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[EVENT] La course aux grenades de Carthagène. -1- 2 3 4 5 6  
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Don Digo De Las Vegas
Don Digo De Las Vegas
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05/05/2007
Posté le 20/06/2008 à 11:26:49 

--------------------------------------------------------------------- RESERVE A CEUX QUI PARTICIPENT A L’EVENT. --------------------------------------------------------------------- Pour l’énigme c’est ici : http://www.pirates-caraibes.com/fr/index.php?u_i_page=5&theme=15&sujet=15789&u_i_page_theme=1&u_i_page_sujet=1 Et le HRP ici : http://www.pirates-caraibes.com/fr/index.php?u_i_page=5&theme=1&sujet=15276&u_i_page_theme=1&u_i_page_sujet=1 ---------------------------------------------------------------------
Guillemin VonderHück
Guillemin VonderHück
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12/02/2006
Posté le 20/06/2008 à 15:25:58 

Carl se rendait au temple Maya lorsqu'il vit au loin un Anglais. Celui-ci semblait être bien jeune pour s'aventurer dans ces montagnes... C'est pourquoi Carl s'approcha de lui. Il remarqua que le jeune avait un baril sur son épaule. - Hey petit, qu'est ce que tu fais là, et que transportes-tu ? - Je ne suis pas un gosse... répondit l'homme en se retournant. Et ce que je transporte ne regarde que moi. Mais Carl voulait savoir... il tenta donc de subtiliser une première fois le tonneau, mais l'Anglais se retourna, et Carl fit mine de chercher une plante. Puis il tenta une seconde fois, mais l'Anglais le surprit : ce dernier tenta de l'attaquer, mais il n'était visiblement pas bien doué en escrime, trébucha, et se planta sa propre épée dans son bras. Voyant qu'il allait mordre la poussière, il se mit à courir comme jamais. Hélas, la journée de Carl l'avait fatigué. Je le ratraperai demain pensa Carl.
La Nonne
La Nonne
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29/11/2005
Posté le 21/06/2008 à 12:50:26 

La battue était lancée ! Aprés 2 jours de traque en forêt, Azalée apreçu une des silouhettes recherchée, Cécile Gramont de la Potinière. Elle se lança à sa poursuite en pleine jungle en l'exortant à se rendre et à lui céder les plans: Mais ce ne serais pas la Potinière que voilà ? Lache moi les plans grognace ! Mais elle filais comme une anguille il fallait tenter de les subtiliser en pleine course, ce n'était pas chose aisée et Azalée finie emmêlée dans les lianes telle un roti de porc bien ficelée et sans les plans pour couronner le tout. Je vous retrouverais La Potinière et cette fois je ferais pas dans la dentelle !
La Verve
La Verve
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10/07/2006
Posté le 21/06/2008 à 14:07:21 

Ce matin, un perroquet arriva au repaire. Une chose était sûre, à cette heure-ci ce devait être important. Pan ! Pan ! Pan ! Une autre chose était sûre, le capitaine était debout. On retrouvera sans doute jamais la dépouille de ce vaillant soldat du ciel. Les coups de feu avaient réussis à réveiller Vaughan, qui se précipita dehors, croyant à une attaque des corsaires, son état semi-endormi n'était pas à son avantage. Quelques plumes se prenaient encore pour Icare, et ce qui semblait être une feuille. Le pirate s'en approcha et tenta tout d'abord de former un puzzle mais en vain, il y avait que trop de morceaux disparus. Il reconnu seulement quelques mots : "Potinière" ; "Azalée" Il semblait que sa sœur l'avait trouvée, ni une ni deux, il se lança à sa recherche. A travers la forêts, se battant contre la nature, il essayait de se dégager. "Enfin une clairière", se dit-il. L'océan, il était sur une côte de l'île oui, mais où ? Il longea la côte mais reconnu quelques ennemis prononcés de la confrérie, il se ravisa et se rangea du côté de la difficulté, des arbres et des bêtes sauvages. Après plusieurs heures de marches, il vit quelqu'un tenter de s'enfuir, les plans à la main. Aucun doute possible, c'était la potinière. Elle courait plutôt vite, essoufflée, elle se posa contre un arbre. A quelques mètres d'elle, Vaughan fit connaître sa présence après avoir envoyé un perroquet à ses frères et sœurs : "Hey ! La Potinière ! Ne fais pas l'imbécile avec moi, donne moi ces plans et je te laisserais la vie sauve."
Tyler
Tyler
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19/03/2006
Posté le 21/06/2008 à 14:37:37 

*Suite à l'abordage raté et la fuite de Sir Tony Nashbrow-Tikinson la confrérie est un peu sur les nerfs* Mierda ! Y nous faut TNT et la Poutinière avant qué les corsaires né lés rattrapent ! *Tyler s'accorda une nuit de repos pour méditer sur la direction à prendre le lendemain !* J'ai rêvé cette nuit ! Un rêve étrange ! J'étais sur le ponton du port de NK, Kawill se tenait droit devant moi ! Puis faisant volte face, il caressait du bras la jungle de Liberty en chantant de sa voix grave et rocailleuse... http://www.deezer.com/#music/album/4733 Dés potron-minet le sorcier se mets en marche, confiant que les paroles de Kawill ne sont pour une fois pas tombées dans l'oreille d'un sourd. Une journée de marche dans la jungle, et aucune trace du nobliaux anglais ! *Plante sa lame des sorciers mayas devant son corps accroupi, comme à son habitude.* La jungle est dense autour de lui, verte et toujours en mouvement. Tyler ferme les yeux mais reste vigilant. Quelque chose cloche ici ! *Ferme les yeux pour mieux voir* Je ne fais généralement qu'un avec la nature, les animaux s'accommodent aisément de ma présence ! Pourquoi sont ils si discrets ? *Une goutte tombe sur le front du sorcier puis perle jusqu'à la commissure de ses lèvres. Les yeux clos, Tyler goûte ce mélange de sébum et d'effluves corporelles* De la sueur !!! Il y a quelqu'un qui pisse de trouille dans l'arbre au dessus de ma tête ! *Pincement des lèvres faisant apparaitre une canine* Je m'en vais te faire descendre de ton cocotier plus vite que tu n'es monté mon gaillard ! *Saisi le manche de son épée à deux mains et l'envoi en tournoyant dans l'arbre pour couper la branche sur laquelle le pervers spectateur est recroquevillé* La branche cède... Le voyeur se gaufre lamentablement sur le crane et gît au pieds du sorcier... *La main sur le menton* Foutre de salamandre ! Mais c'est Sir Tony Nashbrow-Tikinson ! Quel abrutis ! On est en pleine jungle et je me suis équipé léger moi, j'ai pas de quoi le soigner moi ! *Fouille le corps* Il était bien sensé porté un baril de poudre pourtant... Ce coyote a dû le planquer dans le coin ! Pas moyen de le ranimer ! Si le Capitaine apprends que TNT est mort par ma faute avant que l'on ai retrouvé la poudre, je suis bon pour être la nounou d'une famille d'ours sodomites... *Porte discrètement le corps de l'anglais jusqu'à Lonely Keeper pour qu'il soit rapatrié à NK* Ni vu, ni connu ! Une fois remis sur pieds il reviendra sûrement dans le coin rechercher son baril de poudre !
Doc Ethelbert Pea
Doc Ethelbert Pea
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17/03/2007
Posté le 21/06/2008 à 15:15:17 

Hier soir, Le Doc avait prévu de partir courir à travers l'île à la recherche d'une des 3 personnes ayant une partie des grenades sur eux. Il avait préparé de petits starting block et enfilé ses atouts de sprinteur. Une fois prêt, il avait bu quelques bouteilles, histoire de bien dormir. Tôt ce matin il avait vaguement était réveillé par des coups de feu mais s'était rendormi, l'alcool d'hier n'avait pas encore totalement disparu de son sang. Il se reréveilla, frais comme un gardon aux alentours de midi et fut rapidement averti que La nonne et Van Ray avait trouvé la Potinière. Ethelbert cala ses pieds dans ses startings block, banda ses muscles et bondit telle une gazelle à travers la jungle. Le soleil, à son zénith, tapait très fort en ce jour de solstice d'été. Les cocotiers et palétuviers de la jungle ainsi que le peu de vent venant de la côte ne parvenait pas a suffisamment le rafraichir, son string laissait pourtant l'air filer le long de ses jambes... Après quelques heures de course harassante, il vit enfin Van Ray Vaughan, pile où lui avait expliqué ses frères. Pea ne pouvait arriver devant Cécile de Gramont en si petite tenue et couvert de sueur, il n'aurait pas été très crédible pour la retenir en otage le temps que ses frère les rejoigne... Il s'essuya donc à l'aide de bandages et enfila sa plus belle armure et tout ce qui allait avec. Là, il avait l'air bien plus menaçant. Il fonça sur Cécile, la hache levé bien haut au dessus de leurs têtes. Bouge pas l'Putinière ! Au moindre mouv'ment j'te montre les bonnes manières version pirates !
Scorbut Bill
Scorbut Bill
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25/05/2007
Posté le 22/06/2008 à 04:54:04 

Rohel avait bien reçu la missive de la Gouverneur française. Cécile Gramont de la Potinière aurait été aperçue dans la Jungle non loin d'Ülungen portant avec elle les plans de ces fameuses grenades dont tout le monde parlait. Elle serait poursuivie de près par les Frêres de la Côte, désirant eux aussi récupérer les précieux documents. Le Français se prépara encore une fois pour aller lutter contre la Piraterie. Cette guerre ne se terminera que lorsqu'il sera mort au combat, ou que tous ces maudits Pirates auront été pendus haut et court sur l'échafaud de la ville. Récupérer les plans pour pouvoir fabriquer des grenades serait un avantage décisif contre eux, Rohel en était persuadé. Voila pourquoi il s'était proposé pour faire le travail: attaquer de nuit les Pirates afin de permettre à Cécile de fuir, voir de l'escorter s'il ne finissait pas encore une fois sur un brancard. Le tromblon chargé et le sabre au point, il se lança dans la jungle, direction Nord-Est. La Nonne avait été repérée non loin de la Planque de Draculus, coupant l'accès au Sud à Cécile de Gramont. Il partit donc droit vers cet emplacement. Arrivé en vue du repère du cochon tueur, il ralenti l'allure, et resta le plus silencieux possible. Si le cachalot pirate l'entendait, l'effet de surprise serait fichu. Après quelque pas, il vit une lueur danser non loin entre les troncs, dans une petite clairière. Il se rapprocha encore pour découvrir la Pirate assise au bord du feu. Impossible de voir si elle dormait ou non, mais Rohel savait qu'il fallait agir vite, car une fois le soleil levé, la course reprendrait de plus belle. Il adressa une prière à Dieu, caressa Crin-Noir, et sortit de la jungle, le tromblon pointé droit devant lui. Il fit deux pas dans la clairière et pressa la gâchette, tirant jusqu'au cliquetis caractéristique d'un chargeur vidé. Sans attendre que la fumée se dissipe, il se mit à courir en direction du campement. La Pirate ne dormait point, elle avait pu se dégager de l'averse de plomb sans trop de dommage, et était capable de se battre. Elle tira son sabre et accueilli celui du Français. Il la repéra aussitôt sur sa gauche, la garce s'était jetée sur le côté pour éviter ses balles. "Laissez donc cette femme, maudite Pirate !" Hurla t-il en abattant lourdement sa lame sur celle de son adversaire. Il savait qu'il n'avait que très peu de chance de la vaincre au corps à corps, sa réputation la précédait. Mais la fuite était pire que la mort. Le combat fut bref cependant. En quelques esquives et passes précises, la Pirate mit hors combat l'impétueux, sans qu'il ne puisse l'atteindre une seule fois. Il tomba dans l'herbe grasse, une plaie béante sur son flanc. Une terrible douleur lui irradiait tout le torse, montant jusque dans sa nuque, et il tentait tant bien que mal d'endiguer de ses mains le flot de sang qui jaillissait par saccades de sa cuirasse percée. Un voile noir lui tomba sur les yeux et il sombra dans l'inconscience, encore une fois vaincu par un de ses pires ennemis.
La Nonne
La Nonne
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29/11/2005
Posté le 22/06/2008 à 10:26:41 

Azalée regarda le corps de l'impudent gisant dans l'herbe maintenant écarlate Non mais ça ne se faisait pas de réveiller une demoiselle par du plomb de si bonne heure ! Elle cracha sur sa plaie dégoulinante Tiens ça va nettoyer la plaie AH AH ! Une fois le feu éteint, et un coup de pied donné au corps de Rohel juste pour le plaisir, elle reparti à la rechercher de sa cible. Elle n'était pas allé bien loin car ce cher Pea, loué sa bedaine, la tenait en garde 300 mètres plus loin. Bouge pas de la Potinasse t'es cerné et cette fois tu ne m'échapperas pas. Si tu veux pas que tache ta jolie robe de soie avec de l'infame jus de tomate lache nous le plan ! ...et file nous du rhum aussi, par pitié
Professeur Poufouplat
Professeur Poufouplat
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25/06/2007
Posté le 22/06/2008 à 13:02:49 

La chasse était lancée. D'après ce qu'avait compris charlotte il fallait pour une raison obscure à son esprit retrouvé une donzelle. Elle s'engagea dans la jungle. Malheureusement charlotte ne disposait pas d'un sens de l'orientation très aiguisé. Il fut alors tout naturel pour elle de se perdre sur la route. " Le soleil se lève au nord, donc je dois aller a gauche !!!, j'aurai peut être du prendre ma carte et ma boussole " se dit elle. Elle passa une journée à tourner en rond carré dans la jungle et fini par atterrir près d'un jeune français. La nuit se passa sans encombres cette route était peu fréquentée. Bien décidé à atteindre l'objectif, elle se remit en route au matin. Signe du destin ou chance, elle arriva à destination. La zone était pleine de goudas voleur. Elle remarque vite le monticule noir au milieu de la verdure. La Nonne était sur place. Pour le bien être de sa frangine, elle entreprit de dégager un peu de place. La Nonne doit disposer d'un espace vitale important. Elle débrouissalla des arbustes et des hollandais. " On est mieux ainsi " dit elle satisfaite Puis elle regarda autour d'elle " mieux humm... les hollandais l'entouraient !!
Doc Ethelbert Pea
Doc Ethelbert Pea
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17/03/2007
Posté le 22/06/2008 à 17:04:20 

Après avoir gardé en joue Cécile de Gramont pendant 24h sans dormir, Ethelbert commençait à croire que le reste de ses frères n'arriverait jamais. Il commençait d'ailleurs à somnoler sérieusement. Déjà cette nuit, il avait commencé à s'assoupir, mais heureusement Jésus était venu lui apporter la bonne parole comme quoi une bonne rixe réveille tout poivrot. C'est qu'il avait raison ce Jésus là ! Pea commençait donc à attendre un nouvel opposant pour l'empêcher de s'endormir à nouveau. Ce fut Skol Van Mad qui le réveilla cette fois ci, d'une balle qui vint s'arrêter sur sa cuirasse, rien d'autre. ça avait été suffisant pour le réveiller, mais une demi heure seulement... Et ce n'est qu'en se réveillant à nouveau sous les coups de TomDark que le Doc se rendit compte de l'astuce des hollandais : en le réveillant un peu avant ils espéraient le faire tomber dans un sommeil profond et revenir pendant ce temps pour le mettre hors d'état de nuire. ça avait bien marché.
RIP
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Posté le 23/06/2008 à 07:47:09 

Shadow avait eu vent de la position de Cécile de Gramont, celle ci était retenue par une escorte de pirates l'empêchant de rejoindre Port Louis. Heureusement que ses pirates étaient là finalement, ça nous permettait de retrouver Cécile plus facilement. J'étais très habile pour me faufiler au travers la jungle et passer inaperçu. Coup de chance, yop avait détruit l'escorte pirates pendant la nuit, il ne me restait juste qu'à trouver Madame de Gramont... "juste" ! "C'est pourtant là qu'ils avaient établi leur campement j'en suis sur ! Mais ou est passé cette Cécile. Impossible d'y mettre la main dessus... Finalement, ça va être plus compliqué que prévu... Filons !"
Black Smoke
Black Smoke
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16/04/2007
Posté le 23/06/2008 à 08:28:39 

Un perroquet se posa sur l'épaule de Lucien d'Astarac. Celui-ci détacha le parchemin accroché à sa patte et le déroula : Marquis, Ai récupéré les plans comme prévu. En attente de vos nouvelles instructions et du paiement convenu. A. Un sourire s'afficha lentement sur ses lèvres.
Madre Anna
Madre Anna
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09/12/2005
Posté le 23/06/2008 à 09:45:08 

Au petit matin, je repris la route, tandis que des oiseaux m'apportaient de bien mauvaises nouvelles de la soirée et de la nuit. L'escorte pirate de la Potinière avait été décimée. En chemin, je ne pus résister au plaisir de passer Shadow au fil de ma lame. Un Hollandais prit également le chemin de l'hôpital, la Française était proche et je ne pouvais me permettre de prendre le moindre risque. Je la retrouvais enfin, perdue au milieu de la forêt ! Ah, elle était belle la noblesse française, les lambeaux de sa robe pendant au milieu des branchages. Je sortis mon épée et redoublai de vigilance en attendant les renforts.
Marius le Gardien
Marius le Gardien
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12/09/2006
Posté le 23/06/2008 à 10:03:29 

Marius rentrait à grand pas à Port Louis. Apparemment la ville était menacée depuis quelques jours... A peine devant Port louis, il vit un de ces sales pirates, il arriva juste au moment où celui ci acheva une pauvre corsaire française... Marius malgré sa fatigue, et sa tenue de voyage n'hésita pas une seconde et fonça pointe en avant... Le pirate ne put résister et tomba face contre terre après un seul coup, un coup magistral... Marius se redressa et essuya sa lame. Il devait aller voir le gouverneur pour savoir comment il pourrait aider les forces françaises à traquer les pirates. De vague rumeur lui étaient parvenus comme quoi les pirates bougeaient en ce moment...
Guillemin VonderHück
Guillemin VonderHück
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12/02/2006
Posté le 23/06/2008 à 13:49:26 

Carl avait couru, encore. Mais à la fin de la jounrée, il avait ralié le Nord d'Ulungen, depuis l'avant-post Lous le Grand. Là, une femme française était entourée par des pirates. Carl s'approcha, et tenta de lui prendre un objet. Hélas, elle était sur ses gardes à cause des pirates, et surprit Carl. Charlotte de Berry, qui passait dans le coin, s'en apperçu, et envoya Carl à l'hosto d'un magistral coup de boule. C'en était fini pour Carl, pour aujourd'hui...
L'Inconnu
L
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02/11/2005
Posté le 23/06/2008 à 18:32:45 

j'arrivais trop tard sur les lieux . La catin avait disparue, mais Yop était toujours là. Il me vit fondre sur lui sans rien pouvoir faire tellement ses combats précédent l'avait épuisé. Il me fallait maintenant retrouver cette catin.
Le Comte
Le Comte
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03/12/2006
Posté le 24/06/2008 à 02:41:46 

Son entrainement s'était enfin achevé, il y avait deçà quelque jours. Marius était parti devant. Courant à travers les forêts, talonné par Candyce, les deux membres de l'Ordre firent halte, épuisés. Après avoir longuement été de garde dans les cachots de la prison, jouant au chat et à la souris avec les bandeaux noirs, Fil de Fer avait eu vent de la menace qui pesait sur les colonies, et de la possibilité de frapper fort leurs ennemis de toujours. Telle occasion ne se représenterait peut-être pas. Le jeune aveugle, dont la hargne s'était accru, était habité d'un violent désir de vengeance. Ils avaient pris ses yeux, il prendrait leur tête.
Scorbut Bill
Scorbut Bill
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25/05/2007
Posté le 24/06/2008 à 04:38:26 

Le perroquet de Rohel avait pu passer la défense des Pirates, remettre le message à Cécile Gramont de la Potinière et ramener sa réponse. Elle était toujours au dessus de la planque de Draculus, dans la jungle à l'Ouest d'Ülungen. Seconde tentative pour Rohel, plus motivé que jamais malgré les innombrables cicatrices qui se bousculaient sur son corps, telles les courtisanes autour des Princes. Il arriva une nouvelle fois sur les lieux et la luminosité offerte par la Lune lui permit de repérer aussitôt le campement des Frères de la Côte. Il distinguait très nettement Madre, Pea, June, Charlotte, Vaughan et Alanis entre les frondaisons. Les deux premiers étaient les plus proches de lui, mais c'est Alanis qui l'inquiétait. Elle ne semblait point dormir. Impossible pourtant de l'abattre sans réveiller les deux autres, voir même, tout les autres. Il mit un genou à terre, épaula son fusil et visa Madre Anna. Autant descendre les deux plus proches, les deux le plus au Sud, cela ouvrirait très certainement l'accès à Cécile. Madre, cette chienne avait trahi la France et allait en payer le prix cette nuit, Rohel en fit le serment. Il tira, la balle siffla entre les troncs et toucha au but. Un hurlement de surprise et de douleur retentit dans la jungle. Le Français ne perdit pas une seconde, il dégaina son pistolet, et visa Pea qui s'était réveillé en sursaut. Il n'eut pas le temps de comprendre lui non plus, une balle bien placée l'en empêcha. Rohel tira son sabre et s'apprêta à charger quand il vit Alanis jeter un objet dans sa direction depuis l'autre bout du camp . Celui-ci, rond et métallique, tomba quelques pas devant lui. En voyant la mèche entrain de se consumer, il comprit immédiatement que c'était une de ces fameuses grenades, et il se retourna pour courir le plus vite possible. La bombe explosa alors qu'il n'était pas encore hors de portée. Soufflé par le feu de cette arme meurtrière, sa tête heurta un tronc de plein fouet et il s'écroula dans les fougères, tétanisé par la douleur.
Marius le Gardien
Marius le Gardien
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12/09/2006
Posté le 24/06/2008 à 07:34:47 

Marius fonçait à un rythme soutenu... Les arbres défilaient devant ses yeux à une vitesse folle... Il vit rapidement l'espionne française et lui cria de continuer de courir à toute vitesse vers le Sud Ouest... Marius vit alors une partie de la confrérie et fonça droit sur eux. Le destin voulut qu'il n'affronte que des femmes, June, Charlotte qui failli lui faire mordre la poussière et la soit disante jeune Alanis qui ne put absolument rien faire contre lui... Mais d'autres pirates étaient en vue plus au Nord et Marius était fatigué, il lança alors son pérroquet qui partit à Port Louis informer les autres forces françaises en attente... La Guerre avait commençait...
La Verve
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10/07/2006
Posté le 24/06/2008 à 09:14:59 

Comme ils s'en doutaient, l'attaque avait eu lieu la nuit, seul la lune aurait pu les aider. L'environnement était à l'avantage des assaillants, dans la forêt il était déjà difficile de distinguer un cochon tueur d'un perroquet, alors, organiser une défense sans perdre la prisonnière, n'y pensons même pas. Est-ce un moustique qui était venu piquer Vaughan ? Plutôt gros comme moustique quand celui ci s'entrava dans une racine. Un hollandais, Raoul Vandeputt. Le fourbe était bien plus agile que le pirate, mais celui-ci savait parfaitement optimiser ses gestes et était prêt à prendre quelques coups de dagues pour mieux toucher son adversaire. En quelques passes, le voleur parti, grièvement blessé, mais avec son butin. A peine eut-il le temps de se reposer que c'était l'Ordre qui était venu à la charge. Il cru voir Montecroix, mais en une fraction de seconde il avait disparu. Il se retourna et retourna, mais ne voyait plus personne, il n'entendait que les bruits de combat aux alentours. A finir par se retourner on trouve quelqu'un, ce fut une dame : Emeraldas. Le pirate se souvenait bien d'elle, du temps où il feignait travailler pour la Hollande à la corniche et que celle-ci l'avait aider. Les passes d'armes furent de toute beauté, mais très vite, la française se fit déborder et du s'incliner. La respiration forte, le sang qui coulait, Vaughan essayait de rassembler ses forces car il entendait les bruits se rapprocher de lui. Encore Emeraldas ? Impossible celle-ci était bien trop mal au point, Ce fut une demoiselle cette fois-ci, Candyce. Il fallait dire que cela faisait bien longtemps que l'ancien hollandais n'avait vu autant de soldats de l'Ordre. Le combat fut très serré, mais plus les passes avançaient, plus la fatigue paralysait Vaughan. A terre, il était agonisant, il ne pouvait plus rien faire mise à part ramper vers l'arbre le plus proche et attendre des secours.
Mademoiselle Candyce
Mademoiselle Candyce
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21/11/2006
Posté le 24/06/2008 à 14:05:31 

Passe d’Armes. De la jungle, encore de la jungle, et ma peau alors! Si le Roy nous voyait, il rirait de notre condition, j’en suis certaine. Les branches me flagellaient les bras, les mains et le reste du corps…Sacrifice je vous dis ! Peste soit la Confrérie ! Quelques heures plus tôt. L’entraînement des dernières semaines avait été prolifique et je me sentais dès plus aguerrie pour voler vers d’autres cieux. Non pas que je sois une profonde admiratrice du cartel pénitencier mais l’odeur de la promiscuité est un parfum aussi peu goûteux que la sueur du Nègre. Des rumeurs parcouraient déjà les sous-sols et je m’étais vue remettre un message de Port-Louis. Les informations étaient de première importance d’autant qu’un coup fourré se tramait, les signes concordant avec une volute d’excitation sur l’Île. Sortie de bonne heure, voilà où nous en étions et l’action n’allait pas tarder. Courir, courir, se dissimuler, courir encore puis s’approcher à petit pas, là où se tient un campement de jeunes païens. Après plusieurs mois de mobilisation, le repos prolongé m’avait rendu mes forces et je retrouvais avec une saveur délicieuse l’excitation du combat. Nous n’avions pas été en reste avec les multiples invitations nocturnes des Frères de la Côte mais à ce jeu nous étions bien les derniers à nous en lasser. Là encore, je n’étais pas repue. Le rapport d’hier soir était très clair, hors de question d’échouer. La jeune française se tenait là. De la Potinière tel est son nom. Je ne pus réprimer un mauvais rire, ce qui faillit nous coûter notre couverture. J’espérais au fond de moi qu’elle ne soit pas trop chahutée par les barbares du coin, la différence est telle avec la Cour de Versailles que cela conduit au suicide. Marius me fit signe, je patientai. Un geste, le signal ! Courir…Courir…la lame au vent et la rage au cœur… …Je ressentis dès les premières foulées la fatigue m’étreindre. Le chemin avait été dispendieux pour mon organisme et j’arrivais pratiquement à bout de souffle. Mais la vue de Vaughan m’emplit à nouveau d’une énergie soudaine. Combattre ! Les lames s’entrechoquèrent, un fracas envahit la forêt alors que l’aube prenait son envol, la lumière transperçait légèrement les feuilles et poussait dans ses retranchements l’arrogance de l’obscurité. La joute était équilibrée mais je discernais également chez mon adversaire les signes de la fatigue et d’un réveil bien violenté. Je me délectais de voir les soldats du Roy présents pour cette grande occasion, une feinte puis une autre, encore…j’oubliais mes blessures et assommait d’un dernier coup porté à la poitrine le sujet de Zapata. Reprenant difficilement mon souffle, je ne fit qu’une bouchée du voleur anglais arpentant nos rangs et me lança aussitôt vers la bonne Sœur, mythique Azalée chez les mammifères de Liberty. Les premières touches furent optimistes mais ma lame devint de plus en plus lourde. Je pris de plein fouet la force d’une corpulence avantageuse, un dernier regard vers mon compère, puis un second coup dans le visage me fit vaciller. Le dernier me renvoya dans les limbes de l’inconscience…Notre mission avait été une réussite mais je n’en aurai connaissance que quelques heures plus tard.
Un inconnu
Un inconnu
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Posté le 24/06/2008 à 22:52:55 

De vaillants corsaires français étaient venus pour tentez de me libéré. Ils avaient eu l’avantage de la surprise mais les vils pirates n’en démordaient pas. Le combat était assourdissant, les lames s’entrechoquaient, la poudre des mousquets plainait dans l’air. Du sang partout, il fallait se débarrasser des plans et vite. Il faut que je me cache… se trou fera l’affaire… je me jette dedans... Les bruit se calme… je sort je vois un homme au teint mat et à la mine sévère! Il porte un bandeau de la milice française locale, il me dit qu’il est un officier envoyer pour me secourir. Avec lui on se sent en sécurité, c’est un vrai défenseur… Je prends le risque de lui faire confiance et je lui remets le plan. Mais à peine l’échange effectué, des renforts pirates étaient arrivés, nous avons fuis mais je fus séparé des troupes françaises. Même si elles furent repoussées, il ne restait plus qu’un seul pirate debout. Un horrible bandit issu de ces tribus d’êtres répugnants qui infestait l’île, il me menaçait de son tromblon tant dit que ses mouches tournaient au tour de moi.
Professeur Poufouplat
Professeur Poufouplat
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25/06/2007
Posté le 24/06/2008 à 23:02:19 

Charlotte gardait la potiniere avec les frangins et frangines. Avec le temps l'attention baissait, comme le soleil, comme les yeux .... La monotonie régnait dans cette jungle luxuriante einévitablement verte, fadasse, sans couleur, l'ennui l'envahissait. Erreur fatale marius en profita pour s'attaquer à trois dames. Par couardise surement par lâcheté et par peur assurément . Malgré cela, la Garce se défendit comme un diable. Elle était enragée à l'idée de combattre un ancien compagnon. Le combat fut sanglant et sans douceur: Attaque rapide, botte secrète, esquive, pointe, toute la gammes des passes fut utilisées. Le combat dura un long moment, Charlotte finit par tombé de fatigue sous les assauts répétés de son adversaire. se réveillant à l'hôpital elle n'avait qu'une idée VENGEANCE !!!
Alanis
Alanis
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15/11/2005
Posté le 25/06/2008 à 10:26:06 

J’avais enfin repris connaissance. Satané de Français de Marius le Gardien, il n’y avait pas été de main morte. Ça m’apprendra à jouer avec ces grenades au lieu de veiller sur ma garde. Bon sang, la Potinère... les plans ... Il faut vite que je parle au capitaine… J’avais rejoint mes frères qui tenaient la Potinière dans la jungle près de la colonie Hollandaise. Cette garce ce jouait de nous, elle avait caché les plans, et ne voulait pas parler même ma lame sous sa gorge. - Les femmes pirates sont toutes plus grossières et vulgaires les unes que les autres, avait elle osé me répondre dans les yeux. Elle ne manquait pas de panache cette petite. - vous avez vraiment un style de mendiantes. La, c’était de l’inconscience. - Quand on en aura finis avec ta jolie petite gueule, même les mendiants ne voudront pas toi. Lui avais-je répondu en serrant les dents et en faisant perlé sa gorge de sang. Je m’étais occupé d’elle toute l’après midi. Coupures, brûlures, rien n’y faisait. J’avais pourtant du la bâillonner pour étouffer ses cris. Et lorsque j’enlevais le bâillon pour attendre une réponse, j’avais droit au silence ou au cracha. Ma patience avait atteint ses limites et le coup de trop m’échappa. La Potinière perdit connaissance en début de soirée. Après m’être fait réprimander par mes confrères et essayer de la ranimer en vain, nous veillâmes prêt de son corps et installâmes un bivouac. Nous étions vraiment mal placé. Trop exposé dans la jungle ou il était impossible d’organiser une défense. La Nuit allait être longue. Dés les première lueurs de l’aube l’attaque eu lieu. Nous avions du mal à repérer les corsaires dans cette jungle. Des tirs venait du Sud et avait touché Madre Anna et Pea qui tombèrent. Sans hésiter une seconde de plus, je lançai mes grenades, ne sachant pas vraiment les dégâts qu’elles créaient. Un Hurlement de Loup perça la nuit avant de retrouver à nouveau le silence. La Potinière se réveilla. Mon visage est la première chose qu’elle vue à son réveil. Cette fois la terreur se lisait dans son regard. - Tu vas parler, maintenant ? Lui demandai-je en l’éblouissant de la lumière de la lune avec ma lame. - Les Hollandais … avait elle soufflé. - Quoi les Hollandais ? - Ce sont eux qui m’ont volé les plans… - Ou ça ? - U… Elle avait du mal à cracher le morceau. Je la secouai un peu en lui lâchant un coup de pied. - Ulüngen. Ensuite se fût ce lâche de Français qui m’attaqua par derrière. Le premier coup m'avait étourdit. Je n'eue même pas la possibilité de me défendre et perdis connaissance.
Le Boucanier
Le Boucanier
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28/01/2006
Posté le 25/06/2008 à 10:51:15 

Le Boucanier avait rejoint le repaire. Il était maintenant tranquillement assit prés du feu à nettoyer son encensoir et à aiguiser sa lame. Il serait prêt à retrouver ses frères le lendemain. Il serait au rendez vous pour récupérer les plans. Encore un festin à prévoir...
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