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[EVENT] La course aux grenades de Carthagène. 1 2 -3- 4 5 6  
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Mr test
Mr test
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15/06/2008
Posté le 03/07/2008 à 01:18:34 

Ahhhhhayaaaaaaaa PAN ahaaaaaaaaaa La deuxième balle partit bien loin du pirate pour venir s’échouer lamentablement dans la cime d’un des arbres… Tony Nashbrow-Tikinson n’était pas doué d’une fine dextérité dans le maniement de la pétoire. Les armes à feu lui avaient toujours fait une sainte horreur, engendrant chez lui de douloureuses céphalées lorsque le son rauque de la balle fouettait ses frêles oreilles. Il savait qu’il était à présent à la merci de ces vils pirates, plus aucune balle, il fallait trouver autre chose… Des milliers de petites gouttes de sueurs commençaient à suinter à travers l’ensemble des pores de sa peau… Le pirate aux cheveux blanchâtres s’approchait de lui à présent : - Je te donne une heure pour nous donner ces foutus plans ou on va continuer à te mettre des mandales… Tony Nashbrow-Tikinson tenta de prendre un air innocent, travaillant les moindre trait de son visage crasseux et regarda Sing avec le plus d’assurance possible : - Je n’ai pas ces plans ! Moi aussi je les recherche ! Le premier pirate commençait à s’impatienter, il se joignit à l’autre afin de faire monter d’un cran la pression sur Tony Nashbrow-Tikinson. - Et la poudre ? C’est la poudre que je veux ! - Diego ! c’est Diego Del Loyal qui a la poudre - Plus que 57 minutes !! Tony Nashbrow-Tikinson regardait ces deux fourbes avec un mélange d’effroi et de dégoût. Peut-être que le taux de cosanguinuité était un peu trop élevé dans la confrérie… Il tenta une autre approche… - Allons messieurs… Retrouvez donc votre calme, nous ne sommes pas des animaux que diable ! Il se tourna vers Sing, sorti un petit objet de sa besace et plein d’aplomb lui lança… - Surtout à votre âge… Un petit cigare pour vous détendre ? L’homme le foudroya du regard… TNT renchéri… - Il se fait tard messieurs, je suis épuisé par ces heures de marche.. Nous tenterons de reprendre la route à l’aube à la recherche de ces fameux plans ? - Gagner du temps, il lui fallait gagner du temps, trouver une solution pour s’extirper de des griffes de ces pirates… Les deux hommes avaient également l’air épuisés… Le vieux finit par lui annoncer qu’ils en finiraient avec lui dès l’aube… La nuit commençait à recouvrir l’épaisse forêt de son manteau étoilé, les deux pirates avait établi un camp et était à présent entrain de faire griller un animal non identifié sur une broche. Le clapitement de la graisse coulant sur les braises chaudes fut assez fort pour couvrir un léger craquement de brindille que l’ouie fine de Tony Nashbrow-Tikinson capta immédiatement… Il n’eut que le temps de voir briller à la lueur de la lune le torse d’un homme… Les coups de feu transpercèrent l’air… Les deux pirates étaient à terre sous le regard égaré de Tony Nashbrow-Tikinson….
Anne Providence
Anne Providence
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07/08/2007
Posté le 03/07/2008 à 01:44:13 

Je maudissais Hernanone. Trop tard, j'arrivais trop tard à Esperanza. Diego Del loyal avait mis les voile déjà. L'idée qu'il ai pu menacer Abricot me réjouissait. Djezous et Kasandra à l'imitation de Dudu se seraient-ils jeté du haut d'une falaise ? J'arpentais la ville à la recherche de l'Espagnol mais il était bien parti. Il me fallait un refuge pour la nuit. J'en connaissais un malheureusement il était déjà occupé. Qu'importe en quelques passe d'amres j'expliquais à Jovic qu'il aurait mieux fait de rester chez les Anglais. La nuit faut mauvaise, j'avais la crainte qu'un Espagnol obsédé de la gâchette ne me renvoie chez moi. La nuit fut calme, ce n'est qu'à leur de la sieste qu'une Espingouin insomniaque vint me chercher querelle. Il reparti aussi vite qu'il était venu. Il avait du courage et le soir au moment où j'allais sortir, il se présenta de nouveau à la porte nous restâmes surpris quelques secondes face à face. Le combat fut plaisant, il se battait bien pour sa jeunesse et me fit quelques frayeurs Cas El chabalito était son nom. Le combat se termina en course poursuite dans la ville. Bousculant au passage quelques passants. J'allais sortir quand je croisais Corto. j'avais une revanche à prendre depuis le manoir, il était temps. Mais trop essoufflée de mon combat et agissant sous le coup de la colère il m'infligea une rouste qui me fit réfléchir. Je ne du mon salut qu'à 3 grenades dont une défectueuse. Je quittais Esperanza ne sachant où retrouver Hernanone ou Diego.
Cap'tain Brook
Cap
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15/01/2006
Posté le 03/07/2008 à 03:13:37 

Rien ne pouvait perturber sa concentration... Son bras ne tremblait pas, son doigt attendait patiemment que la cible arrête de bouger... Pan!!!! Le premier des deux pirates tomba aussitôt... L'autre eut à peine le temps de réagir qu'il était déjà criblé de balles et ne put donc survivre très longtemps à cette attaque surprise. Le vieillard remercia alors son sauveur et s'évanouit aussitôt... "Putain mais dis moi qui tu es avant de pioncer, Vieux Chnok!!!!!" Rien à faire, aucune réponse n'allait éclairer Yonkon ce soir... Il faut qu'il attende le lendemain... "Peu importe", se dit-il avec un petit sourire au coin des lèvres, "si ces deux Pirates se sont donnés autant de mal à menacer ce Vieillard, c'est qu'il doit être quelqu'un d'important... Je pourrais ptet me faire des sous..."
Anne Providence
Anne Providence
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07/08/2007
Posté le 03/07/2008 à 07:36:13 

J'arrivais dans la tente où je savais trouver Hernanone. Quelle surprise de découvrir une telle garde autour du Colonel Diego Del Loyal. La poudre allait encore parler ! Melle Candyce, Esmeralda (avec une petite pensée pour la peine d'Alfred). Cette chère Hernanone et ses 4 contrats. Colm dormait un peu plus loin je tâchais de parler à Diego. Après cela, et avant de m'attaquer au chat noir, je me devais de reprendre des forces mais c'est un peu trop imbibée que je m'attaquais au chat noir. Et il était en mesure de battre la tigresse....
Hernanone la Rousse
Hernanone la Rousse
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22/09/2006
Posté le 03/07/2008 à 17:45:19 

Hernanone avait quitté Espéranza à toute vitesse, se dirigeant vers le Sud et la ville de New Kingston. Diego chercherait sûrement à se mettre en sécurité dans une ville et ses informateurs lui avaient dit qu'ils avaient croisé le petit homme en direction de la cité anglaise. Elle fit le trajet en une journée, courant aussi vite que possible à travers plaine et jungle pour arriver épuisée sur la place publique de New Kingson mais sans l'avoir aperçu en route... Rageant, elle fit un rapide tour de la place, avec les forces qu'il lui restait et hurlait à travers la ville Del Loyal sortez de votre cachette, nous n'avons pas fini notre discussion... Mais pas trace du petit homme. La Française, fatiguée et ne pouvant aller plus loin, passa la nuit sur la place publique anglaise. Le lendemain, elle croisa Marius, qui lui dit avoir fouillé toute la ville mais sans succès. Hernanone partit donc voir dans les alentours de la ville, commençant par le couloir de la prison. Elle n'y trouva que Yonkon, qu'elle n'osa pas déranger. Puis elle fila vers la tente de Mac Donnel Dougie. Et là, surprise: il était là, assis au fond de la tente, sur un coffre, semblant endormi. La jeune femme s'avança vers lui à pas feutré. Son oiseau noir et blanc partant prévenir des renforts. Elle arriva juste à son contact. Il dormait profondément. Rapidement, Emeraldas vint le rejoindre et elles bloquèrent le colonel Del Loyal. Il ne pouvait plus s'échapper. Hernanone tenta de lui parler, mais il restait muet. Soudain elle entendit du bruit vers l'entrée de la tente, elle tourna la tête et vit Mademoiselle Candyce arriver. Les renforts arrivaient. Emeraldas laissa Candyce prendre sa place à côté de l'homme. Elle tenta elle-aussi de lui parler mais toujours sans succès...A croire qu'il avait perdu sa langue. Puis Colm arriva, il se plaça à quelques pas des trois femmes. La soirée allait être longue...très longue... Plusieurs heures passèrent. Del Loyal n'avait toujours pas dit un mot. Hernanone ferma un instant les yeux et lorsqu'elle les rouvrit, elle se trouvait sur un lit de Sainte-Catherine, très mal en point, le corps douloureux. Une infirmière lui expliqua qu'elle avait été blessée par une grenade et qu'on avait retrouvé une pierre à ses côtés: "un oeil du tigre"... La Française tenta de se lever de rage mais la douleur fut trop forte et elle retomba sur son lit. Anne.... Sombrant peu à peu dans un sommeil lourd, elle marmomma de colère: Je le retrouverai ce maudit, ce fourbe, ce lâche de Del Loyal....Et il parlera cette fois, il parlera.
Mr test
Mr test
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15/06/2008
Posté le 03/07/2008 à 23:02:39 

Abasourdi, Tony Nashbrow-Tikinson ne se réveilla que très tard le lendemain… Autour de lui une mare de sang lui rappela les évènements douloureux de la veille. Il était à présent étonnamment seul… Il prit de nouveau ses barils sous son bras et partit la nuit venue en direction des montagnes vers l'est…
La Main Noire
La Main Noire
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05/04/2006
Posté le 04/07/2008 à 10:40:46 

Minuit… Je balaye lentement une dernière fois le message qui vient d’arriver à la lumière blafarde d’une chandelle en cire noire. Un certain Diego Del Loyal nous proposait une mission plutôt intéressante et lucrative… Le grincement de la lourde porte de la guilde me fait sursauter. Je distingue dans la pénombre deux silhouettes emmitouflées dans une longue cape sombre. Je me lève doucement et entraperçoit le sourire narquois qui se dessine sur le visage de mon compatriote qui exhibe avec fierté son butin du jour, grisé par une journée de pratique du Noble Art. Sitôt la lettre mystérieuse lue et relue, nous décidons d’envoyer des perroquets noirs aux quatre coins de l’île. Les réponses ne tardèrent pas…. La Mano sera dans quelques jours de nouveau réunie…. Sans attendre, un vieux parchemin usé, une plume, et le lâche et traître plan d’action fût rapidement établi….
Illyasviel von Einzbern
Illyasviel von Einzbern
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31/08/2007
Posté le 05/07/2008 à 13:36:20 

La tente de Mac Donnel Dougie. En arrivant près de New Kingston, j'avais entendu de nombreuses rumeurs : un Espagnol traînant une lourde caisse serait entré dans la tente de l'ermite, suivi, quelques temps après par une garce pirate. Je décidais donc de m'y rendre. J'avais des comptes à régler avec les "frères de la côté"; ceux-ci ayant mis à feu et à sang notre beau comptoir hollandais. En arrivant, qu'elle ne fut ma surprise de voir Charlotte de Berry menacer l'homme. D'après ce que j'avais entendu, elle en avait après la caisse que celui-ci traînait. Mon sang ne fit qu'un tour, et je m'élançais donc vers les deux, bousculant au passage une pauvre poule qui picorait tranquillement dans la tente, et m'écriant : -La Garce! Laissez cet Espagnol. Vous avez brûlé Ulüngen, vous le paierez. Quant à vous, hombre, je ne sais pas ce qu'elle vous veut, mais fuyez tant qu'il en ai encore temps, car une "grenade" pourrait bien être la dernière chose que vous verrez. Courrez! Surprise, la pirate se retourna pour m'asséner un coup de rapière, que je parais aussitôt avec mon pistolet pour contre-attaquer aussi sec. Malheureusement, je ne pus que lui érafler le bras. Une seconde plus tard, la femme au bandeau noir, enragée, s'empressa de frapper à nouveau, mais son coup, imprécis, ne m'atteint pas. Puis elle se mit à rire, rejetant ses cheveux en arrière, et croisa mon regard. Depuis, nous nous observons, l'épée levée; chacune prête à embrocher l'autre.
Professeur Poufouplat
Professeur Poufouplat
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25/06/2007
Posté le 05/07/2008 à 14:39:59 

J'étais en train de discuter avec le diego. Ce dernier n'était pas très coopératif il faut bien le dire. Mais voila que l'on vient m'interrompre. Une jeune hollandaise au nom imprononçable, Illyasviel von Einzbern , fit irruption. elle s'adressa alors à nous : La Garce! Laissez cet Espagnol. Vous avez brûlé Ulüngen, vous le paierez. Quant à vous, hombre, je ne sais pas ce qu'elle vous veut, mais fuyez tant qu'il en ai encore temps, car une "grenade" pourrait bien être la dernière chose que vous verrez. Courrez! Suite à cette déclaration s'en suivit un combat stérile. Fatigué par son duel avec wildekat , la Garce ne put toucher la hollandaise. Les deux femmes restaient la à se regarder sans qu' aucune n'aient envie de partir. La journée allait être longue ... .
Illyasviel von Einzbern
Illyasviel von Einzbern
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31/08/2007
Posté le 05/07/2008 à 15:40:21 

J'avais attaqué trop rapidement. Elle n'attendait que ça, la garce, et je le savais. Mais la rage qui m'habitait était trop importante. Charlotte para donc mon assaut avec une facilité déconcertante, et en profita pour me planter son sabre dans la jambe. Puis, d'un geste ample de la main gauche, elle m'assomma à moitié. La suite du combat allait être difficile... Mais une idée -que je qualifierais de "géniale"- me vint à l'esprit : si la force brute ne fonctionnait pas, autant utiliser la ruse. Ce fut donc la raison qui me poussa à m'écrier, tout en prenant l'air surprise : -Oh ! L'espagnol ! Il s'enfuit ! Comme je m'y attendais, la naïveté de la pirate lui fit tourner la tête, ce qui me permis de la frapper. Bien que mes blessures m'empêchèrent de lui causer de sérieux dégâts, je ne pus m'empêcher de rire de la pirate. J'espérais que l'exaspération allait lui faire commettre des erreurs, mais il en était tout autrement. Et, d'un rapide coup de rapière, elle faillit me trancher le cou. Je parvint quand même, à la frapper de nouveau, après avoir détournée son attention vers sa bourse; mais mon ultime assaut se retourna contre moi. Charlotte avait gagné le duel. C'est ainsi que je me suis retrouvée à l'hôpital, à moitié morte, et pleine de crasse; maudissant son manque de talent en temps qu'escrimeuse : -Désolé, Mac Donnel Dougie. Mais la prochaine fois, je n'hésiterai pas à user de mes plombs. Je vous conseille quand même de renforcer votre tente. Puis je tombais dans les bras de Morphée.
Doc Ethelbert Pea
Doc Ethelbert Pea
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17/03/2007
Posté le 05/07/2008 à 18:37:46 

Pendant quelques jours, Pea avait délaissé la chasse aux grenades pour s'emparer de Louis Le Grand et la défendre un peu. Lassé d'être enfermé dans cette tour il s'était mis en route en direction d'où ses frères avait vu TNT pour la dernière fois. 2 Juillet 1708 Après quelques mètres dans la jungle, il fut pris d'une furieuse envie de déféquer, l'alcool ingurgité en attendant de l'action dans la tour commençait à essayer de forcer la porte de sortie et il fallait faire vite. Perdu au milieu de nul part, en pleine nuit il aurait dû être tranquille... Mais c'était sans compter sur Marmuk, cet empêcheur de chier en rond, qui le surprit à quatre patte, string en bas des jambes et qui, joignant le geste à la parole, commença à lui tirer dessus. - Une tour arborant un drapeau noir ! Et vous vous permettez de trainer autour de cette tour ? Pas de repos pour les membres de la confrérie qui ont osé prendre notre Tour. Quelques pruneaux bien placés vous feront le plus grand bien. Au lieu de quelques pruneaux, ce furent 7 balles bien placé qui touchèrent le Doc. La 8e, par chance, le rata et il en profita pour rétorquer : - Oué ben là j'prends pas du r'pos j'suis en train d'en hisser un autre d'drapeau noir... donc tu m'laisse finir tranquille et j'viens t'mettre t'fessée ! A peine sa phrase finit, une nouvelle balle l'atteint et enfin une dernière qui le toucha en plein dans le trou prévu à cet effet. Ethelbert, tordu de douleur, tomba comme une merde, dans la sienne. 3 Juillet 1708 Le lendemain, Pea décida de traverser le lac red à la nage. Il y perdit beaucoup de temps mais au moins il fut débarrassé de cette odeur immonde et les mouches perdirent sa trace. A bout de souffle il décida d'aller se cacher dans la planque de chez Wong. Cette fois ci ce n'était pas un tireur français qui vint le déranger mais un de ses vieil ami aux Mains Noirs, voleur de grand renom. Oliver profita de son sommeil pour lui subtiliser quelques bricoles mais surtout son Schrub... 4 Juillet 1708 Fort heureusement pour le Doc, Oliver, à bout de souffle lui aussi, s'était caché derrière la dépouille du fauve mystique. Sentant le vide dans sa collection d'alcools Pea bloqua Oliver et commença à négocier, une balle ratée en avertissement. L'arrangement fut vite trouvé, un objet contre un autre et les 2 repartirent content d'avoir récupéré un bien précieux. Ethelbert, lassé de ses rencontres avec des corsaires qu'il aurait préféré ne pas voir, se remit en route pour trouver celui qu'il cherchait vraiment. Ses frères avaient localisé Sir Tony Nashbrow-Tikinson non loin de là et Sing le gardaient en joue. En quelques foulées il était à côté de lui, posant sa hache devant lui pour essayer de lui faire les poches... TNT ne le remarqua pas mais Pea su qu'il ne servait à rien d'essayer, il était bien trop mauvais pour ça et TNT bien trop vigilant. Il reprit alors sa hache et la brandit haut par dessus leurs têtes, l'avertissement était clair : Maint'nant t'attends mes frères aux mains agiles sagement ou j'te montre comment j'ampute ! Pea soigna une blessure de TNT, il fallait qu'il reste en vie sinon ils ne sauraient jamais où se trouve la poudre. La nuit se passa presque sans embuche et les 2 frères de la côte furent rejoint par Anne Providence. A eux 3 ils encerclaient TNT et ce faible anglais ne pouvait rien tenter... Pourtant il le tenta quand même ! A grand coup de ruse malhabile il essaya de dégager l'attention du Doc sur les étoiles pour lui tirer dessus. Mais c'était sans compter sur sa peau de requin. A court de balles TNT s'essaya au combat au corps à corps, encore une fois c'était sans compter sur sa peau de dur à cuire... Dépité, TNT abandonna. Il était à la merci des pirates ! 5 juillet 1708 De bon matin, Ethelbert remarqua que TNT saignait encore beaucoup, il le soigna à nouveau et entama la discussion d'un ton jovial : Avec c'bandage t'ira mieux mon gars. T'sais les pirates c'est pas des mauvais bougres. Mais si t'veux une chance d'rester en vie va falloir négocier... et j'pense qu'j'suis un des plus ouverts. Disons qu'j'pourrais t'laisser partir après avoir fini d'soigner tes blessures. J'd'mande pas grand chose, juste un échantillon d'poudre ou d'mixture ou d'j'sais pas trop quoi qu'est dans l'tonneau. Réfléchis y, ça vaut pas l'coup pour toi d'mourir sur c't'île...
Anne Providence
Anne Providence
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07/08/2007
Posté le 06/07/2008 à 01:59:44 

Mes frères avaient retrouvé la piste de Sir Tony Nashbrow-Tikinson. Je partais rejoindre Sing, Lord et le Doc pour les aider à garder ce maudit Anglais. Il tenait contre lui des barils de poudre. Il fallait les lui soutirer. Le vol est loin de faire parti de mes talents. J’essayais de me rapprocher de lui. Mais il se débattait comme un beau diable. Dans la lutte je le blessais involontairement. Le Doc se réveilla. Il fronça les sourcils devant mon attitude. Je haussais les épaules. Il le soigna. On pouvait changer de tactique. Quand le doc retourna se coucher je revins à la charge. Mais plus doucement. Chut allons…. On se calme.... Un petit calin n’a jamais fait de mal à personne. Laissez nous un de ces tonneaux de poudre. Je peux me montrer reconnaissante.... Je passais ma main sur sa main sur ta joue doucement. Allons que nous reproches tu ? Sir Tony Nashbrow-Tikinson frémit sous ma douce caresse et plongea son regard dans mes yeux sombres...: Alors ma belle, on ne sais pas toucher un homme..... pour obtenir ce que l’on souhaite? Puis il se ressaisit: vade retro satans! vous n’êtes qu’une vile et fourbe femelle, vous ne m’aurez pas avec vos arguments fallacieux, digne des pires morues de Liberty! Je souris et balayant de la main sa dernière remarque comme si elle était futile je m’approche encore de l’Anglais. Je passe mes bras autour de son cou comme pour l’enlacer et je me colle à lui en l’embrassant. Je connais 3 sortes de façon de toucher un homme Comme ceci et je l’embrasse de nouveau. Par les sens. Et… Je peux aller plus loin qu un simple baiser... Tout en conservant des gestes sensuels, je semble retirer l’étreinte de mes bras, mes bras glissent le long se son cou et mes mains s’y arrêtent. Elles commencent à serre doucement et de plus en plus fort le cou. Mes pouces sur sa carotide. Mon visage se fait plus dur. Je peux toucher un homme de la lame pour le tuer ou le blesser mortellement. Couteau, pistolet, tes merveilleuses grenades… et pourquoi pas simplement mes mains ? Je dessers la pression sur son cou et ma main toujours caressante descend sur la poitrine à l’emplacement du coeur. Enfin, je peux toucher un homme ici, en m’occupant de ceux qui lui sont chers, famille amis... Après un petit silence je conclue : Avoue que sur ces trois solutions l’une est bien plus agréable non ? En plus ton regard te trahi. Et tu n’es pas totalement insensible… Mais cette île est dangereuse, si jamais je venais à être attaquée et que du donnes ces tonneaux à l’un de mes frères, je saurais de toute façon me montrer reconnaissante. Je l’embrasse de nouveau. Car c est pour la confrérie. Tu sais, on me prétend fourbe, vipère sans honneur, mais ceux qui me connaissent vraiment, y compris certains de mes ennemis vous le confirmerons : Je n ai qu une parole, et je la donne peu. J’attendais sa réaction.
Colonel Diego del Loyal
Colonel Diego del Loyal
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20/05/2008
Posté le 06/07/2008 à 03:18:58 

Deux jours après son arrivée au campement de Mac Donnel Dougie, Diego del Loyal commença ses préparatifs finaux pour son départ de l'île. La réponse de la Main Noire n'avait pas tardé, il lui fallait maintenant en finir avec ses poursuivants. Dans ce but, il ne fit rien pour masquer sa présence. Il s'installa non loin de l'ermite, bien en évidence. Il s'étendit, tout habillé, dans un lit de camp, son tricorne sur les yeux, son sabre le long de sa jambe et il attendit. Quelque heures plus tard, Hernanone la Rousse débarqua dans le camp suivit de ses femmes d'atour: Mademoiselle Candyce et Esmeraldas. Elles l'encerclèrent rapidement mais l'Espagnol ne bougea pas un muscle. Toujours le tricorne sur le visage, il patienta. La première française, Esmeraldas, fit la sournoise. Lui démontrant sa situation délicate, elle lui fit comprendre que les pièces détachées des grenades leur reviendrait par la force ou la douceur... La deuxième, Mademoiselle Candyce, fit la menaçante. Jouant avec sa lame, le sourire en coin, elle promis des douleurs et des coups, mais sans plus de résultat de la part du Colonel qui restait muet comme une carpe. Enfin, la dernière, Hernanone, se fit conciliante. Promettant qu'il ne lui serait fait aucun mal s'il acceptait de les accompagner et de "parler". Mais le Colonel savait trop bien où ces donzelles voulaient l'emmener, vers une vie captive à l'ombre de la prison de Port-Louis, oublié de tous, hors du monde. Les heures s'égrainèrent, augmentant la frustration des Françaises quand finalement, l'Espagnol s'assit sur son lit, les mains sur ses genoux. Au-dehors, la nuit silencieuse. Rien ne bougeait. C'était trop calme. Le calme avant la tempête. Un sourire mauvais se dessina sur son visage quand, dans un éclair, la tigresse pirate bondit sous la tente. Anne Providence sortit ses griffes et fut sur tous les fronts. Bataillant, rompant, poursuivant. Tandis qu'elle croissait le fer, elle gardait un oeil sur le Colonel. Mais bientôt les bruits de l'affrontement s'éloignèrent quand le champs de bataille se fit aux alentours. Diego del Loyal se leva, prêt à s'en aller, son baluchon sur le dos quand, en se retournant, il vint frapper dans une silhouette massive et menaçante : Maurice de la Rippavière. - Ah c'est vousse ! Yé crû qué les Françaises revenaient, ah ah ! Encoeur bravo ! Et...à bientôt ! Del Loyal voulut passer mais le pirate l'en empêcha. - Je crois que je vais vous garder encore un peu... Maurice sortit son arme et menaça l'Espagne, lui faisant signe de se rassoir. Le Colonel croyait son plan infaillible: les pirates devaient se débarrasser de ses poursuivants et il devait les doubler. Mais il jouait de malchance à cause de cet énergumène. Il lui fallait trouver une solution et vite. La nuit se termina là, Diego del Loyal, silencieux et maussade tenu en joue par le pirate obtus. Au matin, Charlotte de Berry la bien nommée vint rejoindre son Frère de la Côte. La situation de l'Espagnol empirait: il avait échangé les geôles françaises contre la galère pirate. Une lueur d'espoir vint enfin quand Maurice partit en reconnaissance. En effet, les lieux trop fréquentés devenaient trop exposés et il leur fallait bouger leur prisonnier. Profitant d'un moment d'inattention, le Colonel voulut se jeter sur son arme mais un coup de feu partit lui transperçant la hanche. Le tromblon fumant, Charlotte hocha de la tête en regardant l'Espagnol se tordre de douleur. - Non seulôment vousse êtes une garce mais en plous vous êtes sadique ! Blessé, affaiblit, Diego del Loyal se laissa tomber sur son lit d'infortune. Au loin, on pouvait entendre des coups de feu et des explosions. Des Anglais trop téméraires s'étaient trop approchés au goût de Maurice. L'Espagnol profita de ce moment pour bander ses blessures et reprendre des forces à coups de rhums. La suite, fut aussi prompte qu'inattendue, Illyasviel von Einzbern vint à son secours. La jeune femme semblait haïr cette pirate et son attaque n'avait rien à voir avec les grenades ou l'attaque de Carthagène, il s'agissait de vengeance. Sans chercher à savoir, le Colonel se leva d'un bond, saisit ses affaires et cria à Charlotte de Berry entre deux balles qu'il tira en sa direction : - Alors vousse avez essayé dé m'avoir, saletés dé piratas ! Ah ah ah ! C'est peiné dé perdou ! Muerte por la sale garce ! Passe lé message al yénéral Zap' ! Mouahahah ! Laissant la pirate aux prises avec cette Hollandaise, Diego del Loyal fuit le campement sans demander son reste, bien heureux de sa chance et de sa persévérance...
Marmuk
Marmuk
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Posté le 07/07/2008 à 23:13:41 

Marmuk se déplacé rapidement sur ses jambes en regardant au loin de vant lui, lorsqu'autour d'un rocher il découvre Sir Tony Nashbrow-Tikinson entourait par le Capitán Zapata qui se tenait les tripes à pleines mains en agitant son sabre devant lui, le visage plein de sang. Mais également LeChuck qui lui semblait être en plein forme. Marmuk s'allongea prudement, car il pouvait y avoir un autre membre de la confrérie embusqué prêt à faire un carton sur lui. Puis commença à tirer avec son pistolet à double canon, une première balle suffit à achever le Capitan Zapata qui s'effondra dans une mare de sang. Puis une deuxième balle vain se placer dans la cuisse du Chuk. Il avait la peau dure, il était temps de prendre mon pistolet à lunette afin de mieux viser les défauts de son armure. Une balle, encore debout, deuxième balle, encore debout, troisième balle, et merde, le vent c'est mit à forcir et ma balle est partie se figer dans un rocher. Bon on se reprend et une, deux, trois et enfin la dernière balle qui finie par traverser le corps du Chuk tranformé en écumoir. Marmuk range ses armes et continu son avancé prudente Sir Tony Nashbrow-Tikinson était à nouveau libre Marmuk
Marmuk
Marmuk
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Posté le 08/07/2008 à 00:26:14 

Marmuk sorti la tête de derrière un rocher, afin de vérifier si des membres de la confrérie étaient arrivés près de Sir Tony Nashbrow-Tikinson. Rien, pourtant Sir Tony Nashbrow-Tikinson portait une large blessure et Marmuk ne pouvait pas le laisser se vider de son sang. Il avança prudemment et pansa rapidement la poitrine de Sir Tony Nashbrow-Tikinson Puis repartie promptement aussi vite qu’il était venu. Marmuk
Madre Anna
Madre Anna
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Posté le 08/07/2008 à 09:34:06 

Rien n'énervait plus Madre Anna que d'attendre sans rien faire, sauf attendre sans rien faire et pour RIEN. Malgré les trois pirates qui le surveillaient, Le Diego s'était fait la malle. Il avait fait semblant d'être blessé par sa lame, et les infirmiers crédules l'avaient transporté à l'hôpital. Assommée à son tour par Rubis, Madre Anna ruminait à l'hôpital du bandeau noir. " Et dire que je ne me suis même pas encore amusée avec les grenades....
Illyasviel von Einzbern
Illyasviel von Einzbern
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31/08/2007
Posté le 08/07/2008 à 21:58:02 

Rubis sur l'ongle ! Bientôt, quand je retrouverais le cure dent qu'il m'a volé, ce sera Bout d'bois dans l'cul... *pas contente* C'est en me réveillant, à nouveau, à l'hôpital (je commence à bien le connaître, celui-là.) que j'ai remarqué, qu'en plus de m'avoir humiliée, Rubis m'avait aussi dérobé ce misérable cure-dent. Et le droit d'asile alors ? Qu'en fait-t-il du droit d'asile ? J'arrive tranquillement près de New Kingston, dans l'espoir d'apercevoir l'Espagnol que j'avais aidé, quand la nuit se met à tomber. J'ai donc décidé de me réfugier dans l'Église, en espérant qu'aucun de ces barbares Anglais ne viendrait souiller ce lieu sacré; mais c'était sans compter ce diable de Rubis et son sabre. Et me voilà de nouveau à l'hôpital; sans même savoir si mon protégé à réussi à s'en sortir. Bon, d'accord, je ne le connais pas; mais j'espère quand même que la nuit passée à l'hôpital après mon combat contre l'autre olibrius de pirate n'a pas été inutile.
La Main Noire
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05/04/2006
Posté le 09/07/2008 à 01:48:28  [ Edition bloquée ]

La démoniaque commande de ce Diego Del Loyal était très claire : braquer le coffre anglais et prendre le ministre Doudou la Chopine en otage. Aucun de nous n’avaient la moindre hésitation…. Avec le machiavélisme qui nous caractérisait, l’organisation fut soigneusement établie dans une osmose de masturbation cérébrale. Le groupe d’assaut était fin prêt : restreint mais d’une redoutable efficacité... La nuit recouvrait progressivement New Kingston, lorsque le signal de départ fut donné par le perroquet de Diego Del Loyal: Membres de la Mano, je vous attends au palais… Mrs Blonde, Mr Orange, Mister Chocowhite, Mademoiselle Bleue, Mr Brown et Floyd Mc Noudwouight se retrouvèrent devant la maison de guilde de la Mano, et se déplacèrent furtivement jusqu’au palais….. la paluche : image
Madre Anna
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09/12/2005
Posté le 09/07/2008 à 10:24:46 

Nous avions à nouveau trouvé Diego. Il semblait que depuis que la nouvelle des grenades était arrivée sur Liberty, une nouvelle routine s'installait pour la Confrérie. Trouver les plans ou la poudre, assaillir la personne sans lui faire trop de mal, l'entourer en attendant les voleurs. Troune courait partout comme un petit fou, en disant "Moi Tata, moi je sais comment lui faire les poches!" Malheureusement, encore une fois ce matin, les corsaires ne l'entendaient pas de cette oreille, et ne nous laissèrent pas profiter assez longtemps de cette réunion de famille autour de Diego del Loyal. Quand elles me virent arriver, les infirmières du Bandeau Noir murmèrent un "déjà là?" compatissant.
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05/04/2006
Posté le 09/07/2008 à 23:32:01 

réservé
le tsar
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09/08/2006
Posté le 15/07/2008 à 13:22:26 

Ce fût la pire soirée de ma vie. J'ai vraiment cru que ma dernière heure était venue. J'allais faire mon petit tour du coté du palais du gouverneur de New Kingston, pour lui rendre compte de l'état des finances, lorsque je vis dans la pénombre des silhouettes traversant furtivement les ruelles de la ville. J’ouvris les portes du palais et je vis des hommes et des femmes masqué d’un loup. Ils ressemblaient à quelques gouverneurs de la colonie, auparavant élus. Mais ce que je pris d’abord pour une fête se révéla être un pillage du coffre. Quelques personnages entassés non loin du coffre essayaient de le forcer. J’ai bien appelé à la garde mais un Espagnol au fort accent que je n’avais encore jamais rencontré me mis en joue avec une sacrée pétoire. J’essayais tant bien que mal de dissimuler mon coffre fort contenant une bonne partie de la fortune Anglaise. Qui étaient ces hommes masqués, que voulaient ils ? J’ai bien essayé de le leur demander, mais la seule réponse que j’eu, furent des coups et des insultes. C’est la que je commençai à craindre pour ma vie. Le coffre ne cédant pas et ne possédant pas la clé pour l’ouvrir, ils m’invitèrent à l’extérieur du palais avec dans le dos, ce petit roquet d’Espagnol qui me tenait toujours en joue. La Garde avait été prévenu. Je me retrouvai dans la taverne avec ses énergumènes qui bloquaient la porte. La tension était telle, que je commençai à trembler, pas seulement de peur, mais du manque d’Alcool. Tout à coup la situation se renversa, et sans que je ne sache pourquoi, c’était maintenant l’espagnol qui était prit a parti. Je profitai du désintéressement dont je faisais part pour m’éloigner. En fait je voulais surtout me rapprocher du comptoir mais une des femmes s’interposa devant moi. Je lui fît comprendre que j’avais besoin d’un remontant. C’est la qu’elle m’offrit un des meilleurs rhum de l’île dont peu de personnes en possède les barriques : Le Rhum du Fendhart !! Je devinais alors qu’une partie de la Mano était rassemblé dans ce Pub, et que ma vie était en grand danger. Mais la femme, me fît signe de partir, et me dit qu’ils en avaient finis avec moi. Je me dirigeais vers la porte lorsque un des Hommes me saisi le bras : -Tu as de l’or sur toi ? Je saisie mon coffre et l’enfonça dans son estomac. Je me mis sur le seuil de la porte et lui lança une pièce d’or, prit dans ma poche. -C’est tout ce que tu mérite, ajoutais-je. Je pris alors mes jambes a mon cou et fuit la ville dans la nuit. La Jungle est parfois plus sécurisante que nos propres villes sur cette île.
Dante
Dante
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01/07/2006
Posté le 15/07/2008 à 20:22:26 

13 Juillet -Y'as beaucoup trop de boucan en ce moment. Et plus grand monde au bar. Ce passe quoi, Jacquot ? -Mauvais mois pour les affaires. Ma cargaison à été brûlé en même temps que Ulungen. J'ai du doubler le prix de la mirabelle. -Tch ! Foutu pirate. Me demande ce qu'ils les excitent autant. -T'es pas au courent ? Depuis l'arriver de l'espagnol...ce Diego chez plus quoi...ils possèdent une arme capable de réduire en cendre une ville. Des grenades qu'ils appellent ça ! -... -Dante ? -Ou je peux trouvé ce Diego ? 15 juillet Des pirates avec des grenades ? Quel île de fou. Il suffirait d'une petite dizaine pour faire pleurer les 4 nations. Si mes infos sont juste, Diego se cache souvent chez le contrebandier du lac pour faire ces affaires. Y'as plus qu'a se cacher, observer, et fumer une p'tite kiza en attendant qu'il bouge son gros derrière.
Ruy 'El Iule'
Ruy
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10/01/2007
Posté le 16/07/2008 à 23:11:19 

-gruu :o Le petit animal poussait sporadiquement de courtes plaintes entre deux machouillages d'eucalyptus. Capturé par un immonde humain qui machouillait un bout d'bois en feu, il n'était pas heureux dans sa cage. Et l'apparition d'un autre individu encore plus sombre n'était pas pour le rassuré. Après un bref coup d'oeil en direction du sinistre espagnol, le koala se lova au plus profond de sa cage, et continua de machouiller.
Manitas
Manitas
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12/09/2007
Posté le 17/07/2008 à 10:44:49 

- Couuuuiiiiiiiiinnnneeeee ! Le wallaby venait d'être réveillé par deux femmes habillées de noir qui le mirent immédiatement dans une cage. Lorsqu'il aurait récupéré sa forme humaine, ceci ne lui aurait pas déplu, quoique quelques préliminaires n'auraient pas été de trop. Mais là, ne pouvant pas se défendre et ne pouvant même pas tâter un croupion au passage avec ses nouveaux petits bras inutiles, les évènements ne lui plaisaient guère... De plus les deux grognasses avaient oublier sa guitare. Le wallaby commença à s'agiter frénétiquement dans sa cage en montrant l'instrument au sol. - Couine ! Couine !!! Couiiinnnneeeeee ! Une de ses deux ravisseuses finit par comprendre, ramassa l'objet et le lui donna dans sa cage. Ceci calma immédiatement l'animal qui se prostra dans sa prison en attendant la suite des évènements ... - Couine ... Dit-il sur un ton qui était un mélange entre un merci et un reproche.
Alanis
Alanis
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15/11/2005
Posté le 18/07/2008 à 11:13:32 

Je n'en pouvais plus ! Toute une nuit caché dans Esperanza à surveiller cet animal. Je ne sais pas si c'est l'odeur ou ses couinements qui m'énervaient le plus mais s'en était trop, il fallait qu'on sorte de la. Anne était prête depuis un moment et faisait des rondes entre notre planque et la ville pour voir si personne n'arrivait. En fait, je crois surtout qu'elle allait prendre l'air dés que l'odeur l'insupportait. Tyler méditait, toujours stoïque. J'avais pris la décision, tampis pour notre planque, il fallait qu'on sorte le Wallaby et qu'on le fasse prendre l'air. Nous primes la direction du Sud, nous avions loupé le rendez-vous avec Diego Del Loyal aux contrebandiers, nous ne savions pas encore où nous allions le retrouver. Je pris la tête du convoie en "nettoyant" le passage des quelques corsaires s'y trouvant. Nous avions déjà marché une bonne demi-journée lorsque les balles fusèrent autour de moi. Caratawc !!! Encore lui !!! Je bondis sur lui en priant que ses balles me fassent le moindre mal. Il n'eut même pas le temps de sortir sa lame... - Ne restons pas dans le coin mes amis, il faut se planquer dans la jungle, l'odeur de la forêt vierge masquera peut-être celle de notre prisonnier...
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