 Le Faux Rhum
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Journal de Bord d'Althéa de Rioghan
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Posté le 07/03/2016 à 15:02:08. Dernière édition le 06/03/2019 à 23:17:30
Ardent Trachyte
Ses yeux verts Tournés vers le couchant rougissant,
Ses longs cheveux portés par un étrange vent,
Elle vit s'envoler ces pétales vivaces,
Sur cette écarlate armure lui faisant face.
S'approchant lentement, réduisant cet espace,
Son visage orné d'un doux sourire fugace,
Lentement, adroitement, usant de patience,
Il l'attira tout contre lui avec sapience.
De ce bel instant sincère et intrépide,
Une amitié naissante, évidente et candide,
Vit lentement le jour dans la douceur du soir.
Une main glissa dans l'autre l'éclat d'obsidienne,
Symbole de la promesse dont elle est gardienne,
Et dont la sincérité fera leur histoire. |
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Posté le 31/05/2016 à 09:40:47. Dernière édition le 21/05/2022 à 20:32:40
Résurgence du passé
Découvrir au milieu des sables de Topaze
Un parchemin usé du temps de tant d'années.
Déchiffrer cette lettre écrite avec emphase,
Hésiter un instant, puis vers lui l'envoyer.
Elle porte des noms, des souvenirs perdus,
Ravive la flamme de vies si longtemps déchues.
Elle soulève des questions, perturbe son âme,
Mais est le symbole de ce qu'il avait vécu.
Les questions resteront pourtant sans réponses,
Le temps a fait son œuvre, voilà la vérité.
Dans son cœur de Loup gronde l'azur de l'annonce,
Le temps a fait son œuvre, mais rien n'est oublié. |
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Posté le 04/08/2016 à 16:27:10
~ Liberty - 3 août 1716 ~
Althéa discutait avec son Amiral lorsque ses yeux se révulsèrent et qu'elle s'effondra à ses pieds.
De longues minutes passèrent, puis la jeune française ré-ouvrit les yeux. Ses iris avaient perdus le vert émeraude qui les caractérisait pour ne laisser qu'une lueur blafarde qui se changea lentement en un gris profond.
Elle sorti sans mot dire et disparu à travers la jungle dense de Liberty.
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Posté le 26/09/2016 à 13:31:19. Dernière édition le 06/03/2019 à 23:17:52
Tout va bien, je suis là
Je ne sais expliquer ce lien, cette complicité, cette tendresse,
Que tu portes en toi et m'offres chaque jour comme mille caresses.
Tu veilles sur moi, me tiens la main et m'empêches de tomber,
Lorsque le destin sur moi s'acharne et ne cesse de me tourmenter.
Ta douceur me berce au milieu de mes nuits sans sommeil,
Ta présence me rassure comme nul autre pareil.
Derrière ton armure se cache un cœur tendre je le sais.
Aimer, crois-moi, n'est pas une faiblesse mais une liberté.
Chaque instant passé, blottie au creux de tes bras,
Mon esprit s’apaise et mon cœur se met en émoi.
Mais ton armure bien trop lourde me repousse loin de toi,
Et ton silence me dit simplement : "tout va bien, je suis là."
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Posté le 26/09/2016 à 13:38:10. Dernière édition le 06/03/2019 à 23:18:01
Le Château de Solitude
Du haut des tours de mon château de solitude,
Je cherche ta présence sur l'or du rivage,
Et le doux baiser, confié au vent du sud,
Déposé sur mes lèvres, larme d'un nuage.
Ornées des fleurs de la passion éternelle,
Où je trempais ma plume pour t'offrir la lune,
J'ai le souvenir de ces rimes immortelles,
Qui se dessinaient sur le sable de la dune.
Du haut des tours de mon château de nostalgie,
Je trace ton nom en lettres de diamants
Pour suivre ton ombre et raviver la magie
De cette flamme où nos sourires éclatants
Dansaient parmi violons et violoncelles.
Te souviens-tu des mes larmes d'émotion,
Quand du ciel, les notes universelles,
Pleuraient de rage sur mes désillusions ?
Du haut des tours de ma citadelle d'ivoire,
Je n'entends plus ta voix parfumée de soleil
Chanter l'amour sur les pages de ma mémoire.
(Au cœur de la nuit étoilée, nos âmes veillent.)
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Posté le 22/01/2017 à 18:32:53
~~ Liberty, 22 janvier 1717 ~~
Althéa ouvrit son carnet, et y glissa une plume de perroquet sur la page d'un Haïku qu'elle venait d'écrire.
Morte Liberté
Hommes bernés par l'égo
Destruction du beau |
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Posté le 10/02/2017 à 10:51:23. Dernière édition le 06/03/2019 à 23:18:14
Larmes du cœur La tristesse s'empare de mes mornes pensées,
Le décor s'est imposé à mon âme disloquée.
Mes souffles plaintifs nappés de manteaux d'oppression,
Ne cessent de hanter mes jours de désillusions.
Noyée dans l'éther de mes propres anathèmes,
J'aspire à cette main qui me sortira de ce problème.
Alanguie et rongée du manque de ta passion,
Ma raison est plongée dans une vile dépression.
Je me débats et crie, me démène contre moi-même,
Appelle de mes sens les personnes que j'aime,
Espérant une réponse à ma féroce inquiétude.
Les larmes de mon cœur coulent de désarroi,
Brisant mon humeur dans un terrible effroi,
Je pleure et tremble, espérant la quiétude.
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Posté le 17/02/2017 à 12:52:01. Dernière édition le 06/03/2019 à 23:18:25
Ta liberté contre la mienne
Je crierai peut-être, mais ne pleurerai pas,
Ta force coule dans mon être, loin de moi.
Je t'offre cette liberté excessive et cruelle,
Qui t'attire plus que mes bras. Charmeuse irréelle.
Voles vers tes rêves, laisses moi construire les miens,
Nos vies parallèles marcheront d'un pas serein.
Nos chemins n'ont pas été faits pour se croiser,
Je l'ai compris, Amour, à toi de l'accepter.
Plus tard, un sourire sur mes lèvres dessiné,
Par la force d'une pensée vers toi dirigée,
Je rêverai de nous, nostalgie du passé.
Plus de caresses sur mon teint de porcelaine !
Je tourne la page, sans regrets et sans haine,
Car mon amour pour toi est trop grand. Capitaine ! |
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Posté le 22/02/2017 à 00:57:01. Dernière édition le 06/03/2019 à 23:18:34
Passé, Présent, Avenir...
Découvrir
Plaisir
Vouloir
Avoir
Donner
Aimer
Tromper
Laisser
Affaiblir
Anéantir
Redresser
Avancer
Découvrir
Plaisir
...
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Posté le 07/03/2017 à 16:27:44. Dernière édition le 06/03/2019 à 23:18:43
Fortitudo Mea
Qu'il est triste de voir les imaginations,
Et les esprits confus et vils de certains pions,
S'embourbant toujours plus loin dans leur sottise,
Croyant connaitre mes pensées non émises.
Il serait pourtant si simple de me parler.
D'échanger simplement et cesser d'imaginer.
Mais il est plus facile de me penser despote,
Et de fermer les yeux sur ses propres fautes.
Lasse de me sacrifier pour le bonheur des autres,
Je relève la tête et vis enfin pour moi.
Tant pis si mes actes et mes dires ne plaisent pas.
Vous pensez ma force inférieure à la votre ?
Riez ! Riez ! Rien ne peut être fait contre moi !
Car mon nom, toujours résonnera : Althéa !
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Posté le 22/01/2018 à 11:46:55. Dernière édition le 06/03/2019 à 23:18:52
Presque une année entière s'est écoulée depuis la dernière fois où j'ai pris la plume pour écrire dans ce carnet.
Une année pleine de rebondissements, d'aventures, de doutes, de plaisirs et de pleurs.
Mon silence épistolaire n'est pas du fait de cacher des choses, mais bien la conséquence d'un tourbillon qui m'a chahuté comme une brindille dans un torrent de montagne.
l'île semble condenser nos vies et ne nous laisse pas le loisir de nous apitoyer sur notre sort.
Seuls les plus forts résistent à l'implacable avancée du temps de Liberty.
Je suis de ceux-là, quoi que certains en pense.
Je suis de ceux-là, et rien ni personne ne pourra le changer. |
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Posté le 04/06/2018 à 16:32:24
Lettre ouverte à mes amis :
~~ Liberty, 1er juin 1718 ~~
Mon passé m'a rattrapé.
Assise sur l'un des tonneaux de Louis le Grand, attendant patiemment qu'un corsaire d'une autre colonie vienne tenter sa chance pour prendre possession de la tour, un homme que je croyais mort m'est réapparu.
Mon regard s'est vrillé dans le sien et dans l'espace d'un battement de coeur il m'a lancé une bourse dans les mains.
Mes yeux n'ont quitté cette apparition que le temps d'ouvrir le contenant et de marquer une hésitation sur la vision du contenu.
Remontant sur LUI... il avait disparu, me laissant seule avec mes interrogations et mes doutes.
J'ai besoin d'avoir des réponses à mes questions et pour cela il me faut partir à sa recherche.
Prenez soin de vous,
Je reviendrai...
Althéa |
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Posté le 28/09/2018 à 10:06:28
~~ Liberty, 14 septembre 1718 ~~
Je suis revenue sur Liberty après avoir réglé quelques soucis personnels il y a moins de trois semaines.
Mais la vie à Port-Louis ne me convient plus.
J'ai une soif de liberté qui ne cesse de grandir en moi.
Les corsaire de la colonie n'y sont pour rien.
Le problème, si je peux l'appeler ainsi, vient de moi.
Je veux me sentir vivante !
Chevaucher les vents et avancer comme je l'entends.
Port-Louis je te quitte !
14/09 22:42:16 Tu es exclu de ta nation, tu deviens un paria, la vie va être dure... |
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Posté le 28/09/2018 à 10:16:48. Dernière édition le 06/03/2019 à 23:02:10
L'esprit hanté de rêves nébuleux
A-t-il des lueurs dans ses cheveux ?
Le céleste disque orange
Fait-il écho de ses récitals étranges ?
Crois-tu qu'elle va revenir ?
Doit-on de ses rivages fuir ?
Vont-ils fondre sur nos espoirs ?
Et étinceler d'écumes dans le noir ?
Seras-tu là, toi le soldat ?
Quand ma nuit étalera sur vous ses bras ? |
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Posté le 28/09/2018 à 10:22:39. Dernière édition le 08/04/2021 à 22:20:39
Sombres souvenirs
Ces sombres souvenirs estompés par le temps,
Maîtres de mon âme et gardiens de mon présent,
Coulent dans mes veines de la même manière,
Que le venin clairvoyant d'aveugles vipères.
De ma posture altière nul indice ne parait,
Mais les miroirs de mon âme trahissent mes pensées.
Je ne tiens dans la main qu'une rose fanée,
Qu'un amant inconnu un soir m'avait donné.
Acculée par des sentiments bien trop plaisants,
Aveuglée par ce doux et bel envoûtement,
Ivresse de ses sinistres noirs présages.
Ambassadeur né de la morose obscurité,
Laisse ma douce lumière éclairer tes pensées,
Et aides-moi à briser cet infaillible orage.
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Posté le 28/09/2018 à 10:38:20. Dernière édition le 06/03/2019 à 23:07:50
Yetilia ni, valta inkotomar
Ny jinso es fula di wazunar
Dy lomi ty estar-is viggo
Shinye, ty estar-is dasue di ny jinso
Ly windia us tarar a nya puelo
Mai us soule ny dialo
Dofi my nar sureru-rim ti
Lemba ni ti ly egoti
Torri dy flor di Tsuki mareru
Sent noctae wer ty yasuru
Ly lomi estar-im ty sarcos
Lemba ni ly toti duaos |
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Posté le 28/09/2018 à 10:40:09
~~ New Kingston, 27 septembre 1718 ~~
Je ne suis pas membre de la GRML. Mais je suis médecin.
On ne demande pas à un soldat de réfléchir lorsqu'il voit un ennemi. Sa fonction est de sortir son arme et d'exécuter ce pour quoi il est fait.
Je suis médecin, et tout patient est un cadeau pour moi. Quelque soit sa nation, quelque soit son passé, je vois en lui la possibilité de parfaire mon art, de m'exercer, de trouver de nouveaux défis et parfois mener des expériences discrètes.
Lorsque j'ai croisé Red Frag à New Kingston, mes yeux se sont immédiatement posés sur sa main droite.
Sa main... broyée par son propre ami Nikolaï sous l'influence de la confrérie. Faut-il abandonner tout libre arbitre pour intégrer ce groupe ? Je le pense. Formatés, modelés, adaptés au bon vouloir de l'équipage. Ils ne sont pas libres, quoi qu'ils en disent, et je comprends pourquoi Jocard les a quitté. Sa soif de liberté ne pouvait s'exprimer dans ce carcan.
Mais revenons en à Red Frag.
Je l'ai croisé bien des fois sur cette île mais jamais je n'ai vu chez lui ce regard quasi vide d'expression qu'il a posé sur moi ce jour.
La confrérie à broyé bien plus que sa main. Et seul le temps et la patience pourra soigner cette blessure.
Pour ce qui est de sa main...
Je lui ai proposé de le voir en tête à tête. Nous avons convenu d'un rendez-vous dans le bureau du détective.
Passée la conversation de convenance, je lui ai demandé la permission d'examiner en détail son membre meurtri.
Nul doute que Téquila et Voynich ont fait un excellent travail de réduction et de soin.
Mais la main reste tremblante, certaines articulations raides, la force manquante, la peau... horriblement sèche et meurtrie.
Je ne sais pas si il pourra guérir totalement, mais je suis certaine de pouvoir réduire au maximum ses douleurs et lui redonner plus de dextérité.
Pour ce qui est de sa peau :
- utilisée en cataplasme (1 cuillère à soupe pour un bol, à faire bouillir 5 minutes et à utiliser tiède) le matin, le mélange de fleurs de tussilage et de feuilles de calendula apaisera les tiraillements et adoucira la peau.
- appliquée le soir en massage doux, un mélange d'huiles végétales de millepertuis, d’argousier et de lavande aspic devrait accélérer la cicatrisation et la régénération cutanée.
Pour ce qui est de ses articulations et notamment celle de son annuaire :
La pose d'un système mécanique, composé de bagues et de liens de cuivre, entourant le majeur, l'annuaire et l’auriculaire lui redonnera de la dextérité.
Ce système se compose de trois anneaux de métal adaptés à la morphologie du patient positionnés sur les phalanges proximale, médiane et distale du doigts posant soucis et des deux doigts l'entourant. Ces anneaux sont ensuite reliés entre deux par de fins câbles de cuivre. Ainsi les mouvements des deux doigts extérieurs entraine le fléchissement du doigts interne sans aucun effort et en réduit la douleur.
Red Frag avait l'air de se réjouir de la pose de ce système. Il pliait et dépliait sa main en l'observant sur toutes les coutures, un sourire aux lèvres et les yeux émerveillés d'un enfant.
27/09 22:38:48 "Red Frag regarde le mécanisme, presque émerveillé. |
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Posté le 03/02/2019 à 22:40:43
~~ Liberty, 1er février 1719 ~~
Sémiramis, Belet Babili
De Liberty ; juchée au plus haut de ses monts,
Mon regard suit cette colombe à la vivante bouche.
Rayonnante splendeur, belle Isthar, majestueux parangon,
Dame divine et épouse royale au destin farouche.
Mes yeux attirés par cette splendeur du passé,
Lorsque les rayons de l'aube touchent son front,
S'étonnent, joyeux et comblés, de cette félicité
Revenue parmi nous des puits les plus profonds.
Ô grande âme, toi qui marchait parmi les ombres,
Guerroyait et aimait d'inconcevables manières,
Avance toi au clair et sort de cette pénombre
Que Liberty admire sa Reine en pleine lumière.
Reçoit de moi, l'affection de mon doux hyménée,
Veuve d'Onnès, séductrice irréelle, amante indéniable,
En attendant l'Arouet qui te donnera l'éternité,
Et qu'un cruor pulsant exaltera ton désir insatiable. |
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Posté le 26/03/2019 à 22:59:02. Dernière édition le 01/09/2019 à 15:24:08
Le parchemin est broyé, humide, détérioré...
~~ Li**t* 30 *vr*****7** ~~
Un* *** encor*uvert*******, †*i*********
*s***"""""en†***************** un .*ors*****
Un***"*********, la fa*****u******.
*** *n******* je me rec*s*****... s.*e***
Une**** je fa**s†*ent***** de ne *o*m*c***..
**t*f**n*********!
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Posté le 16/05/2020 à 17:43:43
~~ Avril-Mai 1720 ~~
Ces dernières semaines ont été éreintantes et pleines de surprises.
Un fléau s'est abattu sur l'île, engendré par un illuminé du nom de Plexus.
Les habitants de Liberty, dont je fais partie, ont menés la chasse à ce fléau et en sont sortis victorieux. Le coup de grâce à été donné par deux femmes : Ching Shih et mon amie Calica.
https://www.pirates-caraibes.com/fr/index.php?u_i_page=5&theme=15&sujet=32990&u_i_page_theme=1&u_i_page_sujet=1
Comme quoi, quand ils le veulent les habitants de Liberty peuvent aller dans le même sens.
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Suite à cet événement sans précédent, l'intendante anglaise Shih à organisé un bal de la Victoire.
https://www.pirates-caraibes.com/fr/index.php?u_i_page=5&theme=18&sujet=33030&u_i_page_theme=1&u_i_page_sujet=1
Où j'ai remporté le prix du couple avec Alejo.
Quelle ironie. Il n'y a pas si longtemps Alejo et moi étions en froid. Mais l'antre de Plexus nous à rapproché.
Je suis heureuse de le compter aujourd'hui du côté de mes amis.
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J'ai été élue Intendante d'Ulungen pour un mois.
J'espère être à la hauteur des espérances de mes compatriotes.
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Ces mois d'avril et mai 1720, sont pleins de surprises. |
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Posté le 11/06/2022 à 15:20:05. Dernière édition le 12/02/2024 à 22:23:37
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