Faux Rhum Le Faux Rhum Faux Rhum  

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Hangin' thief blues 1 2 3 -4- 5  
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Tyler
Tyler
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19/03/2006
Posté le 20/01/2008 à 17:03:28 

Tyler reposait le baril perché tel un perroquet sur son épaule et agrippa Troun par dessous les siennes pour le faire grimper dessus. La nuit était aussi sombre que le bandeau qui leurs barrait le front. _ Tu auras une vue imprenable d'ici ... Troun sautait sur le baril _ Oh voui !! Dis tonton-feu d'artifesse ... J'peux le faire ? _*soupir* Bon ... Tiens ... Mais tu fais ça proprement ... Tyler lui tendit la torche. Troun la prit dans un sourire qui lui fendait le visage en deux ... comme seule une lame dans certains cas peut le faire ... Il s'accroupit sur le tonneau et abaissa la torche jusqu'à ce quelle touche le sol ... Le sol crépitait, le mélange de poudre et de souffre prit feu. Troun suivait de ses yeux écarquillés les zigs-zags de l'étincelle qui passait entre les caisses de marchandise restées sur les docks de New Kinston. Tyler regardait les méandres de cette lave en fusion remontant la pente d'un volcan imaginaire pour attendre le cratère. Le galion de la royale au bout du quai semblait aspirer le crépitement des artifices comme on aspire une bonne Margarita avec une pousse de bambou creusé ... Il aspirait encore et encore jusqu'à en être plein ... Puis le crépitement disparu, l'étincelle se dissimula à la vue des deux enfants ... Troun jeta un regard vers Tyler, implorant des yeux que ce ne soit pas fini. Le silence interrogateur laissant croire à la fin du spectacle. Tyler fit un signe de tête en direction du galion qui devait repartir en Angleterre le lendemain pour y juger Wiggins. Toujours rien ... le sourire de Troun tombait peu à peu ... Wiggins avait été retenu quelques jours ici, assez pour avoir le temps de lui faire part de nos intention. Il fallait à tout prix le libérer ... lui seul connaissait le secret du trésor dont nous avait parlé Don Melinigos ... Toujours ce silence ... Troun commençait à faire une moue qui semblait être un prélude à une chiâlerie ... _ Dis tonton-potion-foireuse ... ? Ca à pas môrché encore ton truc ... c'est nul ... _ Regarde encore ... Lorsque le gamin fit volte face, le bruit assourdissant d'une détonation gigantesque fit exploser le galion de la marine anglaise ... Le souffle de la déflagration fût si puissant qu'il projeta Troun de son tonneau pour atterrir dans les bras de Tyler qui se trouvait derrière lui ... Se relevant de concert telle une bête à deux têtes pour voir le bateau se fendre en deux. Le grand mât avait été projeté à la verticale et ne retombait qu'à l'instant ... dans une éclaboussure titanesque. Tout feu tout flamme, les voilures s'envolaient, soulevées par l'air chaud et libérées de leurs entraves. Le ponton coupé en deux, l'incendie débutant qui ravageait la passerelle s'éteignait petit à petit par la descente régulière du galion qui coulait dans la baie. Tyler ne regardait pas vers le bateau mais vers le visage de Trounuzoïde, illuminé par les flammes et le spectacle _ Yihaaa ! Youpi ! Encore tonton ... encore ... _ C'est fini pour cette fois petit ... on verra ça un autre jour. Ne tardons pas ... les habitants de la ville sont réveillés. Pour eux ce soir, c'est la goutte d'eau qui a mis le feu aux poudre...
Louis-Philippe Armand de Maupertuis
Louis-Philippe Armand de Maupertuis
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12/03/2006
Posté le 20/01/2008 à 20:19:25 

Le français se dirigeait sans hésitation dans un dédale de couloirs, avec pour seule compagnie l’écho de ses pas réguliers. Il régnait ici une humidité qui l’emplissait d’un malaise diffus, et il se dit qu’il n’aimerait pas habiter l’endroit. Naturellement, la plupart des locataires avaient signés un bail à durée indéterminée bien contre leur gré. Raison de plus, nota-il mentalement. Il songeait à son ami Mad Wiggins, et au pétrin dans lequel ce dernier avait réussi à se fourrer. L’anglais lui inspirait des sentiments contradictoires – amusement, irritation, indulgence, compassion – mais s’il ne devait en retenir qu’un, ce serait une certaine sympathie. Ses souvenirs remontaient à loin, à une époque où il était gouverneur et Wiggins, tire-laine – une main noire dans un gant de velours -, à une époque les amours de l’anglais avec Tylde avaient paru bien innocentes. Puis il y avait eu June. Ah ! Que de quiproquos ! C’était le bon vieux temps. Il en était là de ses réflexions quand un cri retentit dans la prison : _ C’est pas un peu fini, ce boucan ! De rage, il dégaina un mousquet et ouvrit le feu sur la source de cette interruption. Est-il besoin de préciser qu’il manqua largement sa cible ? _ Toi, l’espion, attend seulement que j’ai appris à viser pour voir ! Et sur ce - et sur un grognement dédaigneux de l’espagnol - il reprit sa ronde et tenta de se raisonner en se disant que de toute façon, il n’y pouvait rien, et qu’il saurait bien assez tôt ce qu’il était advenu de l’anglais que tant de gens qui se haïssaient tant semblaient décidés à tirer de là.
Hoyt van Ulüngen
Hoyt van Ulüngen
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08/10/2006
Posté le 20/01/2008 à 20:35:11 

Tumulte à quelques pas La clé! comme si on avait le temps de chercher cette babiole peut-être encore autour du cou de Ferrigton... *Le hollandais entrepris de forcer les épais barreaux* Derrière lui les corsaires et flibustiers s'affrontaient régulièrement, le forçant à se carrer dans un petit coin pour éviter les débordements et coups perdus. Il avait déjà vu passer le sorcier et son acolyte alcoolique, les anglais présent en avait souffert. Il y avait même un grand escogriffe tout balafré qui était descendu en chargeant la flibuste...pour lui même sombrer sous les coups d'un barbu anglais. confusion la plus totale? c'était dur de repérer ça à l'oreille en tout cas. -Wiggins, dit leur d'arrêter d'se foutre sur la tronche, je m'entends plus forcer! de l'acide...mince, ça m'aurait bien aidé...pourquoi j'ai jamais c'qui faut sous la main? Les barres ne semblaient pas insensible à mes charmes, mais ça prenait bien trop de temps... et déjà d'autres arrivants montaient les escaliers.
Trounuzoide
Trounuzoide
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02/11/2006
Posté le 20/01/2008 à 21:43:49 

** Petit Troune était tout fière, il avait réussi presque tout seul sa seconde grande mission pirate... ** C'était trop bien, tonton-boum! Ca a failli foirer encore une fois, mais là, c'était top!!! Dis, la prochaine fois, on pourrait mettre un peu plus de lumières de toutes les couleurs, et mettre le son un peu moins fort? Avec de l'écho, dis, tu penses pas que ce serait mieux? ... Dis, pourquoi tu dis rien et pourquoi tu sors un badeau tout sale de ta poche? Hein, dis, pourquoi tu m'a prit par les épaules en me secouant avec des gros yeux? Maintenant on peut faire du bruit, tout le monde il est réveillé, et ils veulent nous voir pour nous demander un bis! Alors pourquoi tu ne veux pas leur faire coucou? Tu es timide? C'est ça? Et c'est pour ça que tu passes ton foulard autour de ma tête et que tu le met devant ma bouche? Dis, pourquoi tu sers autant? J'arrive plus à parler, moi!!! hmmm, HMMM! HMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM!!! HMMMMMMMMMMMMMMMMMM!!! Hmm hmm hmmm!!!! HMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM!! HMMMMMMMMMmm... :-/ :-/ :-/ HMMMMMMMMMm!!! ** Balancé sur les épaules de ce tonton indigne, il fut trimballé jusqu'à la prison. ** En lui enlevant son baillon et en se protégeant la figure de tout ce qui pouvait passer à porter de bras du petit, Tyler lui répettait: "Oui, c'est bon, je te laisse tranquile. Non, je ne suis pas méchant. Non, je ne veux pas que tu me crache dessus. Non, mémé ne viendra pas me faire rentrer mes doigts de pieds dans mon Non, ça ne sert à rien de mettre de la peinture fraiche sur la poignée de ma porte au repère. Non, mettre du sel dans ma carrafe de rhum ne servira à rien... Au fait, t'as pas rendez-vous avec ta copine??? Non, je n'ai pas peur de son chien... Non, il ne viendra pas me mordre les fesses... Oui, va tout lui raconter, et demander à son tonton de venir me tataner ma sale face de babouin pas frais... 'faudra quand même penser à l'empêcher d'écouter la nonne discuter avec Sing, ça lui donne pas mal d'idées, à ce p'tit..." ** Profitant du fait que son méchant tonton tortionnaire avait l'air perdu dans ses pensées, Troune lui donna un coup de pied dans les tibias, et couru dans les couloirs de la prison à la recherche de sa nouvelle copine toute neuve Emeraude. Il la trouva en train de jouer à un deux trois soleil, et l'entraîna dans un coin du couloir, d'où ils pourraient manger des bonbons et regarder le pestacle. C'est alors qu'apparu le vilain et méchant Libérator. ** "Dis, vilain et méchant Libérator, tu pourrais nous envoyer des bonbons? Aîeuh, pas si fort, et pas dans la tête-heu!!! J'vais tout dire à mon tonton-archi-fessier, et il va venir te faire sauter ta sale tête même pas belle!!!" Se retournant vers sa copine: "Bon, 'scuze-moi, 'faut qu'j'aille voir un médecin... J'ai super mal à la tête, là, depuis le bonbon du Libé qu'a tort... P'têt'une carrie... Tu me racontera le pestacle, dis?"
Jan der Vernboer
Jan der Vernboer
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21/11/2005
Posté le 20/01/2008 à 21:46:07 

Un sacré foutoir dans cette tôle. Les Manos veulent sauver Wiggins, les pirates veulent le récupérer, d'autres corsaires veulent pendre Wiggins, des gardes s'en mêlent. Et moi, je veux buter du pirate. Le Wiggins, il peut crever sa geôle ou courir dans les bois, je m'en tape. J'ai eu du bol ce soir. J'ai d'abord croisé Titus, l'ancien Mano converti pirate. Il est reparti les pieds devant. Et ensuite, le petit Trounu, le sale gosse... Une bonne raclée, ça lui refera son éducation. Mais voilà les autres qui débarquent. J'appelle Carl et Dbsman mais déjà, ils font face à l'assaut. Merde ! Ils ont eu Carl !!! Re-merde, Dbsman maintenant ! Il me reste quelques bastos, je canarde dans le tas, l'Ammokk a faillit crever mais non, il tient bon. Je ne peux pas tenir seul... Sanca fait feu. Ils m'ont eu, je ne vais pas rester là, faut que je bouge... Descendre, vite, quitter cette prison... [hrp : L'hosto est plein... On se retrouve dans les hostos de nation :-( ]
L'Écorcheur
L
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19/01/2007
Posté le 20/01/2008 à 22:42:34 

Sympa l'infirmière... J'avais déja entendu parler des femmes à barbe, mais plus je la regardais, plus j'étais sur d'une chose : ce n'etais pas une femme... Les prisons anglaises n'ont pas le meme standing que Sainte Catherine. Heureusement que le vieux Sam refuse sa soupe, ça détourne l'attention de l'infirmiere... Soudain, parmi les blessés, j'aperçois mes compagnons d'infortune, Bauldreg et Hercule de Cyrano, se lever en silence et sortir de la cellule de repos. J'ignore encore tout de leurs intentions, mais je sais une chose : ces gars-là ont défendu Port Louis de la souillure des pirates, il y a quelques jours. Je me lance a leur suite, en repensant aux raisons qui m'ont moi-même amenées ici : les rumeurs prétendent qu'un anglais se serait fait prendre en volant une carte de quelque chose, aucune idée. Tout ce qui est sur, c'est que la couronne anglaise et les frères de la cote veulent cette carte; ceci m'a tout de suite frappé : ce bout de papier devait être très important pour que la moitié des forbans de l'ile se ramène aussi près d'un comptoir. Si cette carte est aussi importante, alors elle revient assurément au Roy de France. Quelle belle pensée ! et pourtant, la veille, le grand noir ne l'avais pas vu de cet œil, et m'avait envoyé rencontrer l'infirmière sans aucun état d'âme. Je suis dans le couloir... Des pas raisonnent dans le couloir, je me plaque derrière le recoin d'un mur. Bauldreg apparait au coin d'une porte, et me fait signe; je le suis, grimpe des escaliers, et arrive a l'étage. "Quelle est la situation ?" "Wiggins est dans sa cellule. Sinon, c'est assez calme... pour l'instant !" Me répondit-il en souriant. Hercule s'était avancé, et après avoir neutralisé un pirate, gardait le couloir qui menait aux cellules des dangereux criminels. Nous redescendons avec Bauldreg, quand un mouvement attire notre attention : quelqu'un bouge au rez-de-chaussée ! Nous débouchons dans la pièce, pour y découvrir un anglais, immobile. Ami ou ennemi ?" m'enquerrais-je. Pour toute réponse, j'obtiens deux balles, une me transperce le bras, l'autre érafle mon ventre. Nous remontons précipitamment nous mettre a couvert, au lieu de rester dans la cage d'escaliers sans abri. "Il se rapproche" observa Bauldreg. "Attendons qu'il soit dans les marches..." Une balle ricoche contre le mur, a coté de sa tête . Je m'élance alors dans le vide, sans prévenir. Le tireur est aussi surpris que mon compagnon. Il n'a pas le temps de réagir que ma lame lui ouvre le bras, lui faisant lâcher sa pétoire. Le second coup est si puissant qu'il est projeté a plusieurs pas. "Je préfère le combat au corps a corps" conclus-je. Pas le temps de reprendre ses esprits, le cri d'agonie d'Hercule nous parvient. Je monte les marches 4 a 4, juste a temps pour voir Titus Pullo, un pirate retors et mal habillé, en plein duel avec Bauldreg. Je m'interpose, pour laisser mon équipier reprendre son souffle. Les sabres s'entrechoquent, et après plusieurs passes d'armes, l'ennemi est mal en point, mais je ne me sens pas non plus en grande forme... Au diable l'incertitude ! je me prépare a lancer une autre attaque quand le forban s'écroule. Derrière moi apparait soudain l'espagnol, réputé excellent tireur et chasseur de pirates. Il m'a sauvé la vie. Mais pas le temps de le remercier, les renforts arrivent : Dbsman et Carl Thurner, deux anglais fidèles a la couronne, me croisent et se mettent en position. Je suis rassuré. Je descend voir comment va Bauldreg, il se remet a coup de champagne. Je fais de même, quand des coups de feu se font entendre : un autre pirate s'affaisse dans la pièce. Nous remarquâmes un jeune anglais écumant, qui rechargeait son tromblon. La confusion commençait a gagner la zone. Nous remontons avec Bauldreg, pour couvrir nos nouveaux "alliés". Puis tout va très vite : des cris, des tirs, puis une bande de pirates nous prends a revers. Mince, je ne m'attendais pas a les trouver ici, ces 2 la ! Je fais ce que je peux, mais Bauldreg et Noudwi sont mis a terre. Je me retrouve isolé et en sang, alors que les autres ne s'attendent pas a cette manœuvre : je lance des feintes et parvient a blesser le grand pirate, mais il me le rend bien, et m'envoie valdinguer au sol. Ma vue se trouble, et je vois les flibustiers s'engager dans le couloir menant a Wiggins. Avec désespoir, je comprends que la France n'aura pas cette carte si convoitée. Mais ce n'est pas le pire : Je vais retourner dans les griffes de l'infirmière !
Noudwi
Noudwi
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29/04/2007
Posté le 20/01/2008 à 22:49:00 

-Mais qu'est-ce que j'fout là? Les jours passent et se ressemblent. Sortir de l'hôpital, attaquer un pirates trop fort pour lui, retourner à l'hosto... La plupart de ceux qui l'entourent veulent libérer Wiggins. Certains se tapent même dessus pour y arriver. D'autres veulent le voir au bout d'une corde, mais sont tellement peu. Et lui...ne sait pas où il veut en venir. Il se bat mais le cœur n'y est pas. Il lui manque une raison. La vengeance, c'était ça la raison de base. Mais pour qu'elle ait un sens il faut qu'elle soit à la juste mesure de l'acte qu'elle venge, ou pire. Envoyer ces mecs à l'hôpital est tellement dérisoire par rapport à ce qu'ils méritent. Mais il a l'intime conviction que quelque chose d'important est entrain de se passer. Il doit être là pour y assister. Alors en attendant de trouver mieux, il fait comme d'habitude. Il se lève de nouveau, et sort de l'hôpital, guettant les allés et venus. Un pirate aura le malheur d'apparaitre devant lui. Noudwi aura lui même le malheur de voir le reste de la confrérie débouler sur lui... Les jours passent et se ressemblent. -Mais qu'est-ce que j'fout là?
Le Boucanier
Le Boucanier
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28/01/2006
Posté le 20/01/2008 à 22:55:03 

Ce ragout de tripes à la mode de New Kingston était un régal! Le perimètre semble sécurisé. Un second assaut ne sera pas necessaire. L'extraction va peut etre pouvoir debuter rapidement... A moins que...
Rose
Rose
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21/08/2006
Posté le 20/01/2008 à 23:14:07 

Les corsaires s'agitaient tout a coup, que se passait il ? "J'entendais des cris. Un frisson, subtil mélange de peur et d'excitation, parcourut mon dos alors que je croisais le regard d'Oliver. L'un comme l'autre avions prit conscience de la folie qui nous avait conduit ici, caché a la vue de nos assaillants près de l'escalier menant au second étage. Mais les lames et les coups de feu se firent de plus en plus proche. Un dernier regard puis... L'assault suicidaire...Nous n'avions aucunes chance face a la tripotée de pirate qui nous cernait, nous le savions, mais qu'importe il fallait tenter." Rose chargea la premiere. En face se trouvait La Nonne qui lanca en premier son attaque mais prit bien vite la fuite. L'anglaise s'arreta d'un coup en voyant Maurice prendre la releve. Celui ci ne serait pas tendre avec elle, un sourir apparut sur son visage, elle savait qu'il serait le dernier. Les coups et les balles de Maurice mirent bien vite la jeune femme au tapis.. "Pardon Mad..."
Liberty Sing
Liberty  Sing
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27/03/2006
Posté le 20/01/2008 à 23:22:58 

L'échiquier avait été dressé, mais personne ne savait qui jouait les blancs. Pour la confréire, pas d'hésitation possible, il fallait sortir Wiggins vivant de cette prison et empecher ses anciens comparses de la mano de mettre la main sur la carte. ça y est presque. Il ne reste plus qu'à ouvrir cette fichue cellule. La clé? Bordel, la clé, qui a la clé? Le chuck? Mais qu'est ce qu'il fout là? Wiggins est en sang, je me jette sur le Chuck.... Wiggins ne semble plus croire en sa liberation, il boit... il tombe. Cette fichue carte nous échappe, mes frères sont agonisants... tout ça pour ça!
Alice, Princesse Gardienne de Nollandie
Alice, Princesse Gardienne de Nollandie
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25/03/2007
Posté le 20/01/2008 à 23:36:46 

Wildekat était loin de la prison de New Kingston, très loin.... mais elle savait que ce soir la liberté et peut-être la vie de Mad Wiggins se jouait. Elle venait de finir de rédiger une longue lettre qu'elle avait envoyée le soir même, et se retrouvait seule, adossée contre un mur. Elle ferma les yeux et essaya d'imaginer la scène à la prison. Ils étaient bien organisés, elle le savait, et ils étaient nombreux. Elle pensait notemment à son frère, Raton qui prennait part à la libération de Mad et en qui elle avait toute confiance. Pourvu qu'ils y arrivent.. pourvu que tout se passe comme prévu... Elle eut un pincement au coeur. Elle savait que sur cette île maudite qu'était Liberty, jamais rien ne se passait comme prévu... ...et c'était bien là qu'était tout le problème.
LeChuck
LeChuck
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05/01/2006
Posté le 21/01/2008 à 00:37:33 

Sur son lit d'hopital, LeChuck raconte, le regard triste et la lippe morose J'étais dans le bureau de feu le chef des gardes, je procédais méthodiquement à une introspection. je crois que le trop plein de stress me faisait toutefois présenter mes pensées à voix haute, et quiconque passé par là en aura saisi l'une ou l'autre bribe. - C'est ce soir... Par les généreuses loches d'Elaine ! C'est ce soir, ou jamais. Est-ce que j'ai vraiment bien fait de négocier avec les pirates ? Est-ce qu'on pourra vraiment libérer Wiggs sans s'entretuer ? Oui, il faut le croire. C'est ce soir. Lord de la Vengeance me lança un oeil noir, puis se leva du coffre qu'il gratifiait de son noble séant. - j'ai entendu du bruit. Je vais faire un tour. Déconne pas, me lança-t-il - ouaip... Et puis les coups de feu. Détonation, cri, détonation, criS, fer contre fer, CRIS. Je sortis en trombe. Des MaNos gisaient. Lord DLV était aux prises avec Geralt, le Polonais engagé par June. Diable ! moi qui lui avait fait confiance... Geralt est un excellent bretteur, il a dû neutraliser les quelques manos présents et... Tyler ! merde, lui aussi. Je fonçai. trop tard pour Lord, qui s'effondra. Trop tôt pour Geralt, qui le rejoint, non sans m'avoir gratifié d'une nouvelle balafre à vie. Puis tout se succéda. Bien trop vite. Titus arriva en renfort et offrit un voyage chez Saint Pierre aux français sur place, sans doute accolytes de Geralt. El Liberator l'arrêta net, et dégomma le gamin en sus. Puis la MaNo débarqua. Suivie des pirates. Une vague de pirates. Le ras-de-marée libre de la côte. On allait sortir Wiggs de là! Mais non... Quelque chose clocha, et malgré mes espoirs, ils se battirent. Mes comparses tombèrent les uns après les autres face aux invincibles pirates. Tout celà était sûrement ma faute. Les larmes submergèrent mes yeux. Non... NON ! Je me postai entre Wiwi et la Confrérie... Il ne restait que moi... que moi... Même Choco et Bouyoul s'écrasèrent contre le mur humain... je ne pouvais pas laisser mon vieil ami être torturé par les Frères Noirs... Sans un mot, je me tournai vers Wiwi, et le mit en joue de mon tromblon. Il était agonisant, les Frères l'avaient bien plombé... Pardon, vieux frère... c'est pour toi que je le fais. Et je ratai. A deux mètres d'une cible inerte, je rechargeai et ratai à nouveau. La vérité, c'est que je ne pouvais pas tuer Wiggins. Je croisai son regard, vis la fiole dans sa main, et je sus. Le temps de dégainer, le légendaire Maître Sing était sur moi. Jusqu'au dernier moment, je lui interdis l'accès à Wiggins, puis je rejoins le sol et retrouvai mes amis trahis. Voilà ce que je peux relater de ce carnage... Cette boucherie où personne n'a gagné. Mais ne pleurez pas Wiggins. Je suis certain que même par delà la mort, il trouvera encore le moyen d'éclairer notre vie par ses surprises. Dès demain je quitte New Kingston. Il y a des choses qui doivent être faites pour que Wiwi puisse reposer un jour en paix.
Hoyt van Ulüngen
Hoyt van Ulüngen
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08/10/2006
Posté le 21/01/2008 à 10:15:20 

... -Urg! oh ma tête... rrrhmf! arh! ça résonne comme un lendemain d'cuite mfbl... voyons. doucement. où suis-je? Odeur de vielle poudre et d'urine -la prison! Wiggins! MAD?! bordel. Wiggins? réponds moi! Son corps immobile était allongé dans la cellule, face contre terre, une fiole dans la main -merde! eh! arrête tes conneries! merde merde! foutredieu...qu'est ce t'as fait? Une pulsation sourde dans la nuque -ouch! ...Thurner... ce perfide m'a lâchement assommé après avoir passé plus d'une heure à hurler "mort aux pirates" à moins de cinq metres dans le couloir... tu m'paieras ça mon gars... Des corps inconscients, des armes et du mobilier renversé jonche le sol dallé. le grand barbu se trouve adossé à la porte de métal, yeux clos, le nez en sang -quel carnage. vaut mieux pas trainer trop ici, j'ai toujours pas de papiers en règle. oh! attends. réfléchit. pas de précipitation. vérifie d'abord eh voleur de poules! Des touches dans la jambes ne donnent aucune réaction -pas de respiration non plus apparemment. salaud... putain, qu'est ce t'as fait... Des bruits provenant de l'étage -allons bon c'est pas l'moment... taillons! on verra bien ce qui sortira de ce mic-mac ...
Don Digo De Las Vegas
Don Digo De Las Vegas
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05/05/2007
Posté le 21/01/2008 à 12:42:25 

Trois jours déjà que Lord faisait les cent pas dans les couloirs tortueux de la geôle. Il avait procédé à un interrogatoire musclé mais les gardes n'avaient pipés mot: ils ne savaient rien. L'opération s'annonçait délicate: pas de trace de cette foutue carte et les corsaires commençaient à affluer en nombre. Il avait déjà du renvoyer El Liberator et Chocoborgne aux portes de la prison et s'était employé à tenir à distance les voleurs en utilisant la même méthode. Oliver et Kheldar qu'il soupçonnait de l'avoir volé n'eurent pas le droit au bénéfice du doute. L'atmosphère devenait irrespirable, tant de gens étaient ici pour défendre des intérêts contraires... à ne pas en douter celà allait se terminer dans un bain de sang. Certains était la pour faire payer à Wiggins ses exactions passés, d'autres pour le libérer. Parmi ses derniers Lady Ching et Charity, deux anglaises pour lequel il avait beaucoup d'affection, il espérait éviter le conflit mais les intérêts de la confrérie étaient prioritaires. Il les somma, une dernière fois, de déguerpir... sans succès, l'affrontement était inéluctable. En premier Lord se débarrassa de Pea qui avait causé des soucis à son jeune frère Trounu. Il avait pourtant de l'estime pour ce dernier mais il ne pouvait se permettre de lui faire une fleur... pas ce soir. Tyler était entrain de combattre Lady Ching. Lord ne pu immédiatement se résoudre à lui tirer dessus, le temps qu'il réagisse son frère avait déjà fait payer son imprudence à sa filleule... il l'avait prévenue pourtant! Kheldar qui était venue en soutient repartit illico victime d'une balle en pleine tête. Il du se contraindre à tirer aussi sur Charity. En prenant la fuite une balle vint lui heurter le visage, rien de trop grave il espérait. Vint alors Geralt de Rivia un bretteur contre qui il avait victorieusement croisé le fer quelques jours plus tôt. L'issu fut différente cette fois ci, Lord était déjà épuisé et sa main tremblait trop pour tenir tête à son adversaire. Il avait eu le malheur de noyer ses idées noires dans le rhum juste avant que le capitaine décide de l'assaut. Ses coups manquaient de précision, il blessa le français mais s'écroula victime da la vivacité du français. Avant de s'évanouir il eu une dernière pensée pour ses frères... pourvu qu'ils réussissent!
Mad Wiggins
Mad Wiggins
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24/06/2006
Posté le 21/01/2008 à 17:17:28 

Un vrai bain de sang. Une boucherie sans nom. La rumeur de la carte que Wiggins avait en sa possession avait dû attiser la convoitise de plus d'un corsaire... et de toute la confrérie pirate. Les mains serrées autour des barreaux de sa cage, Wiggins serrait les dents en se demandant ce qui pouvait bien se passer. Qui voulait le tuer? Qui voulait le libérer? Impossible de distinguer les camps. On s'entretuait devant lui et il ne pouvait rien faire. La soirée prit fin, le sol était littéralement jonché de cadavres et de bouts de chair divers. Les frères de la côte semblaient victorieux, et bien décidés à lui soutirer quelques informations. Son vieil ami Titus commença par lui tirer dessus. Il le manqua. Intimidation? Le voleur ne dirait rien, même sous la torture, mais s'il pouvait l'éviter, après réflexion, ce serait bien aussi. Devant le silence obtus de Wiggins, les pirates essayèrent de se faire plus convainquants. Une balle dans le genou. Une balle dans le ventre. Une balle dans l'épaule. Une balle dans la cuisse. ... Chacun des pirates lui tirait dessus, le criblant de balles brûlantes qui déchiraient sa chair. Son sang s'écoulait sur le sol. Il tomba à genoux, le souffle halletant, transpercé par la douleur. Ces chiens de pirates... dire qu'il leur avait accordé sa confiance fut un temps... Ils n'auraient jamais sa carte. D'une main fébrile il prit une fiole dans la poche intérieure de sa veste, l'ouvrit en tremblant et l'avala d'une traite. Ce goût acre, amer, presque putride. C'était le goût de la mort. Il s'ecroula avec un dernier mot pour la postérité. -So long, suckers... Ainsi s'éteignit la flamme dans les yeux de Wiggins, son sourire malicieux n'avait pas quitté ses lèvres. Il était parti pour de bon cette fois ci, mais il avait réussi à foutre un sacré bordel derrière lui.
Emeraude
Emeraude
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11/11/2007
Posté le 21/01/2008 à 20:12:23 

-Oh.. Mais poussez vous ! J'essayais alors de pousser les gardes qui me cachaient la vue. Troune et moi on voyait pas grand chose. J'avais pas vu en revanche le monsieur espagnol se diriger vers nous, mais j'avais vu Troune courir pour s'enfuir. j'étais donc seule. J'ai vu tous ces grands pirates débarquer pour aller libérer mon tonton. J'ai entendu tous les bruits, j'ai vu du sang... beaucoup de sang... j'ai pleuré... Beaucoup pleuré... Je me cachais les yeux parce que j'avais peur. Choco prés de moi grognait, aboyait, il semblait interdire à quiconque de m'approcher. Au bout d'un moment ça s'est calmé. Pleins de gens étaient par terre. Mon tonton n'était plus en prison. Où était-il ? Où était mon tonton ? Les grand spirates non plus ils n'étaient plus la. Je voyais pas bien tellement j'avais pleuré, mais j'étais sûre qu'ils étaient plus la. Y'avais des monsieurs aui allaient et venaient, ils étaient de l'autre coté de la salle. J'entendais des coups de feux, des cris, j'ai même reconnu la voix de mon tonton au bout d'un moment. Mais je pouvais pas y aller... nan... Ils avaient raison, tous, j'aurais pas du venir, j'avais si peur, je pouvais plus bouger, c'était horrible... Puis tout devint calme, puis je fermais les yeux moi aussi, serrant le plus fort possible Choco contre qui je m'éttais blottie parce que j'avais peur. Sans lui, je sais pas ce que je ferais. Il sait ce qu'il s'est passé, il a tout vu car il est revenu vers moi quand tout s'est calmé... Choco, qu'est ce que tu as vu ? Qu'est ce qui est arrivé à mon tonton ? Pourquoi il vient pas me faire un calin comme il me l'a promis ? Je veux revoir mon tonton...
Matt de Valnëa
Matt de Valnëa
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08/12/2007
Posté le 21/01/2008 à 20:30:48 

Les gardes bloquaient de nombreux passages et ils étaient plutot robuste, mon niveau d'escrime n'était pas suffisant ou pas tous le temps ici, mais j'arrivais à un croisement, j'étais presque seul, il y avait 3 pirates proche de moi, et un troisième qui ne tardait pas à arriver. -Emy ? Emy où es-tu ? Je cherchais à travers les barreaux si elle n'était pas là, puis elle apparut, triste, des larmes coulaient sur son visage, elle était appeurée. Je voyais son chien qui partait d'un pas rapide vers les escaliers. J'étais fatigué, je savais que Wiggins étais là, un ami à mon père, un ami de la famille qui était connut sur cette île et je savais aussi que les pirates présent n'étaient pas là pour un geulton, mais pour lui, le délivrer ou ... ça je ne le savais pas et demandé aurait été risqué. Ma soeur était près de moi mais je me sentais seul ... trop seul ? je ne le savais pas. Le temps passait et j'entendais les balles, je voulais me lever, une douleur au coeur me prit, serrant ma poitrine, je sentis sa lettre, je m'assis et restais là, à essayer de comprendre les fais ...
La Verve
La Verve
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10/07/2006
Posté le 21/01/2008 à 20:50:18 

Un lac de larmes et sang... Voilà ce que je vis en sortant de l'hopital de la prison. Je ne comprenais pas, où étaient mes frères ? Que s'était -il passé ? La seule chose dont je me souvienne est le parfum d'une femme, décidemment... Et aussi pas mal de coup sur la tête... Est-ce que ça avait réussi ? Dans le doute, je pris ce qu'il restait de mes jambes et tentait de reconnaître des amis ou ennemis, tous des gardes... Raté. Dépité. Fatigué. Plus loin encore, je vis deux ennemis notoires de la confrérie... Vengeance !!!!!!!
Spark
Spark
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13/06/2007
Posté le 21/01/2008 à 22:01:22 

-Ne bougez pas Monsieur, les plaies n'ont pas encore cicatrisé et... Monsieur ! Pour qui elle se prend celle là, j'ai du boulot moi... -Vous avez récupéré les plombs ? Bizarre sa façon de me dire oui... -Donnez les moi ! Pauvre Noudwi, à notre prochaine rencontre je les lui ferais avaler... après tout, moi ce fut dans le cul, chacun son orifice... Allez maintenant, direction le repaire, pas de temps à perdre... bien réfléchis j'vais peut-être chercher une carte . Dans ma recherche de la sortie, je découvre une petite grille suspecte pleine de boue. Héhé ! On me la fait pas à moi, s'il croit la sortie bien planquée, c'est raté. N'empêches que leur tunnel est dégueulasse, ils pourraient au moins y passer de temps en temps... Remarquez, il est censé être secret... Je continue ma petite excursion jusqu'à me retrouver nez à nez avec un homme louche, adossé contre un mur... louche. -Tiens Sam Old ! Le vieux poivrot qui n'arrêtait pas d'insulter Tyler. Bon j'vais être gentil, j'vais lui indiquer la sortie. Je le préviens de ne pas bouger mais il en fait qu'à sa tête le bougre, alors forcément la balle passe à côté... Enfin vu son âge, ça devrait plus poser trop de problèmes. -Tiens prend ça le vieillard !... Haha ! Et tu comptes faire comment maintenant, sans cette bouteille qui te sert d'arme ? Là, j'ai été encore très gentil, peut-être trop, je lui ai révélé ma botte secrète, pas vraiment au point d'ailleurs, quelques secondes après je me retrouvais emmurer dans le tunnel. Il s'était juste décalé de quelques pas, laissant ma tête se fracasser contre le mur... Je crois que les conseils de Titus ne seraient pas de trop.
RIP
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Posté le 22/01/2008 à 06:40:31 

Lord Ferrington entra en grondant dans le bureau du gouverneur. Il tomba nez à nez avec sa secrétaire qui épluchait les dernières formalités administratives à la mode. Celle-ci le regarda avec ses yeux de pie aphone et replongea dans ses paperasses. Après avoir posément mesuré le pour et le contre, Lord Ferrington frappa de son poing sur le bureau, faisant sursauter la fonctionnaire, puis se mit à hurler, comme tout homme de son rang en colère. -QUELQU’UN ICI PEUT M’EXPLIQUER OU EST PASSE O’MALLEY ? Après une minute de réflexion, la secrétaire dévisagea le lord, s’humecta les lèvres et répondit. -Non je ne crois pas. Elle se replongea sans fébrilité dans son travail. Ferrington décida d’utiliser une autre approche. Il tapota de ses doigts sur le bureau de la bique. -Pourrais-je parler au gouverneur, s’il vous plait ? -Non. -Comment ça non ? -Elle n’est pas là. -Et pourquoi pas là ? -Elle est décédée la semaine dernière. Avec un grognement de rage contenue, le noble arracha sa perruque et la piétina. -Qu’on m’amène un responsable immédiatement ! Et que les gardes de la ville s’activent ! Wiggins O’Malley est mort ! Je veux savoir pourquoi et comment ! Son cadavre a disparu… qui l’a pris ! Où est cette foutue carte ? Qu’on m’amène le chef de la garde ! Le chef de la prison ! Des juges, des potences, des huissiers ! Des prévost ! Des cordes ! Des bourreaux ! Et retrouvez moi le cadavre de ce voleur ! Il partit en claquant la porte. La secrétaire rajusta ses lunettes et reprit sa plume.
Bouyoul
Bouyoul
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29/12/2006
Posté le 22/01/2008 à 08:52:11 

[Ppfffffioooo non d'un Bouyoul jsuis a la bourre .... Je reserve donc ici !]
Gwenn de Kermeule
Gwenn de Kermeule
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21/08/2007
Posté le 22/01/2008 à 10:12:28 

Rien à dire, cet homme était vraiment un diable. Cette nuit, l'oeil du cyclone était de sang Irlandais. Habitué aux situations foireuses, il l'était, mais là, on entrait dans la catégorie supérieure. Il avait compris que ces Mains Noires se fourvoyaient en pensant que les pirates allaient les aider à libérer Wiggins...il se souvenait encore de cette conversation de la veille, avec deux vauriens Anglais, lui disant qu'ils s'en moquaient si O'Malley rejoignait la Confrérie, pourvu qu'il soit en vie. Ils étaient venus et étaient prêts à verser leur sang pour que leur frère puisse les trahir, juste pour lui donner une chance de vivre... Il était impressionné, ces gens avaient finalement quelques valeurs fortes. Et puis, il y avait June. Mais la veille, il avait compris ce qui allait se dérouler. Quand il avait vu ce nègre immense, le Cubain, prendre en otage la propre soeur de Wiggins, quand il avait compris que leurs agressions sur tous les gens venus le libérer ne cesseraient pas. Ils étaient là pour l'Irlandais, eux aussi, mais ils ne toléreraient personne dans leur partie. Ce soir là, le chaos et la mort couraient dans la prison, la poudre et le sang emplissaient ses narines, le sang coulait à flots et les cadavres s'amoncellaient. La garde et les Loyaliste contre les potes du condamné, les pirates contre tout le monde, les aspirants frappant dans le dos. Cela, il avait d'ailleurs pu le constater en personne, quand Le Chuck étala ses allégeances au grand jour, se ruant sur lui pour sauver Lord de La Vengeance...mais trop tard. Un simple aspirant, ou autre chose ? Ce criminel était bien sympathique, dommage. Le Polonais avait eu le temps de rendre la politesse au pirate, c'était tout ce qui comptait. Dommage que les autres n'aient pas voulu comprendre, de toutes façons, les effectifs alignés par les bandeaux noirs dépassaient largement ceux de cette de bande de rascals, saignés à blanc par quatre jours de lutte contre les troupes continentales. Il entendait l'hôpital résonner des plaintes des blessés, coup de bol, il avait attrapé l'avant-dernier lit. Il lui faudrait quelques heures pour se remettre. Lançant un coup d'oeil sur le lit adjacent, il constata avec un plaisir non dissimulé qu'il ne restait presque rien de la blouse de la belle Flora. Ma foi...j'ai toute une nuit à remplir, après tout...
Flora Grace Whitter-Serra
Flora Grace Whitter-Serra
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02/05/2007
Posté le 22/01/2008 à 16:18:16 

Flora venait de s'éveiller d'un long, profond sommeil. Où était-elle? Ah oui, NK... La prison... La mort. Puis la vie, et, à nouveau, un bandeau noir. Et surtout, un regard lubrique. Geralt De Rivia. Flora regarda sa blouse (ou plutôt ce qu'il en restait) lacérée et tâchée de sang. - Mais où est-ce que j'ai foutu ma cuirasse? Elle ne la trouva pas. Faute de cuirasse, Flora enfila sa robe non sans avoir jeté un regard furieux à Geralt de Rivia. - C'est pas parce que je suis dans le coma qu'il faut en profiter pour... Puis elle se souvint. Le concours. Ah bon, ça expliquait des choses... Tout à coup, la raison lui revint complètement. Wiggins! Qu'était-il devenu?
Liberty Sing
Liberty  Sing
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27/03/2006
Posté le 22/01/2008 à 17:09:07 

Beaucoup trop de monde dans cette prison pour permettre de faire évader Wiggins! Le pari était risqué, mais il a fonctionné. Ferrington peut toujours fermer le bordels de NK, pendre toute la population, la confrérie a un nouveau frère, et un nouveau voyage se profile vers cette terre inconnue dont le chemin est tracé sur la peau meme de Wiggins.
Joe Krill
Joe Krill
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16/08/2007
Posté le 22/01/2008 à 17:36:31 

de son lit d'hopital, Krill apprenait la nouvelle Gast, c'té pas un homme libre le wiggins, c't'un homme libéré oui ! Le Krill essuya un regard noir de la part d'un de ses frères. Bah, bah, si il a pas volé quelque chose, c'est bien son bandeau noir... Qu'il vienne, je lui garde a boire...
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