 Le Faux Rhum
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Hangin' thief blues
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Posté le 17/01/2008 à 17:35:07
Debout au milieu du couloir sombre, je pointais mon pistolet dans la direction de ce Geralt de Rivia.
- Enfer et Paradis, quelle est la route que vous croyez emprunter? m'enquis-je.
Je tenais mon arme à bout de bras lorsqu'il s'arrêta dans son pas de fuite, et qu'il se retourna vers moi.
- Mon chemin est pile entre les deux, m'annonça-t'il.
- Vous voulez rejouer? lançai-je.
De ma main gauche, j'extirpai une nouvelle pièce d'or de mon décolleté et l'envoyait voler dans sa direction. Ma main droite le tenait toujours en joue.
- L'enjeu?. fit-il. Il ravança d'un pas lent dans ma direction, l'air bravache, raclant sa botte contre le sol, levant un petit nuage de poussière.
- Il parait que c'est ainsi que Saint Pierre choisit, pour certains. Je l'observais se rapprocher, tentant autant que possible de ne laisser transparaître d'autres expressions qu'un sourire indéchiffrable sur mon visage.
- Alors, je ne laisserais pas ce choix au hasard.. renvoya-t'il, faisant valser la pièce dans une cellule voisine.
Il avança d'un second pas. Je le tenais toujours en garde du bout de mon bras.
- Je vois que même les pratiquants ont encore peur de l'Enfer..
- Vous voyez bien des choses.. j'attends de voir votre libre arbitre osa-t'il, faisant un nouveau pas. Il n'était plus qu'à deux mètres de mois.
- Avez-vous bien fait attention au chemin que vous avez choisi?, observais-je, tandis qu'il continuait d'avancer par petits pas.
- Absolument pas, sinon je ne serais pas ici.. et vous?
- Mon chemin ressemble au votre, je le fixais d'un air imperturbable.
- Cette balle? il marqua un dernier pas, il n'était plus qu'à quelques centimètres à peine du canon de mon pistolet.
- Vous croyez y lire votre destin?, mon doigt sur la gâchette
- Je ne crois pas au destin.. et je ne crois pas non plus que vous ayez vendu votre corps pour me pénétrer à votre tour
C'était le dernier affront. Je le dévisageais quelques secondes sans dire un mot. Je ne bougeais plus. Mon bras tendu lâcha le pistolet brandi en son bout. Celui-ci tomba à terre en s'ouvrant.
Vide.. pas la moindre trace de poudre dedans..
Son regard s'arrêta sur le pistolet déchargé, à terre, puis se retourna vers le mien.
Vide..
- Méfions-nous des apparences? souffla-t'il, en passant sa main dans mes cheveux.
J'essayais de ne rien laisser paraître de mon trouble, tandis qu'il s'avança d'un dernier pas, pour coller sa bouche à moins d'un pouce de la mienne.
- Vous ne pourrez pas laisser toutes vos décisions se prendre sur un coup de pile ou face, fis-je d'un dernier souffle.
- Pas toutes.
Sa main passa de mes cheveux à mon décolleté, me caressant le cou. Il m'embrassa.
Je fermais les yeux.
J'avais perdu la deuxième manche. |
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Posté le 17/01/2008 à 18:53:42
"Petite, tu ne devrais pas rester là..."
Combien de fois j'ai entendu cette phrase ! Tous le monde qui passait me la répetait. Et pourquoi moi j'aurais pas le droit ? Les gardes bizarres qui me veulent du mal ils s'enfuient quand Choco leur mort les fesses ! ihih....
Pis j'ai des protecteurs en plus. En avançant dans la prison, chantant parce que j'aimais bien les échos, j'avais aperçu une madame que je connaissais trés trés bien. C'était ma tata ! Je me jettais dans ses bras et la première question que je lui avais posé était si mon tonton allait revenir. Elle m'a dit que oui, qu'il ne fallait pas s'inquiéter mais je voyait bien que ça allait pas...
Comme elle devait finir quelque préparation dans ses armes avant de continuer, j'ai marché dans la boue jusqu'à une grande échelle.
C'était dur pour Choco parce que il avait beau être trés trés fort, oui, mon chien c'est le meilleur de tous les chiens.
Eh bah il avait beau être super fort, il pouvait pas grimper lui ! Mais j'ai eu de la chance parce qu'il a trouvé un petit trou qui montait la où jallais, j'sais pas à quoi il servait avant mais à nous il a bien servi !
Du coup on a continué à deux, et quand j'ai commencé à être fatigué on s'est arrêté à coté de deux personnes qui étaient anglaises comme moi.
La madame elle était trés gentille et elle a dit qu'on allait libérer mon tonton. Le monsieur aussi il a dit ça, et quand j'ai commencé à pleurer ils m'ont consolée. Le monsieur il m'a même pris dans ses bras. Bon, il était un peu bizarre, un peu vert, mais il était gentil. Il m'a dit qu'il ne m'arriverais rien aussi, et que mon tonton il n'allait pas rester en prison longtemps.
Je m'endormis alors à coté de ce monsieur...
Le lendemain, c'est à dire aujourd'hui, y'a un homme que je connais pas qui m'a encore dit que je ne devrais pas rester ici. mais qu'est ce qu'ils ont tous ? En plus c'était un grand monsieur au bandeau tout noir comme le pirate que j'avais vu la dernière fois, mais j'ai pas peur des pirates moi.
Le monsieur vert il a dit qu'il était à l'étage et qu'il avait retrouvé mon tonton. Il se battait aussi contre des gardes de la prison, et j'ai couru pour le rejoindre.
En haut il y avait aussi ma tata, et pleins d'anglais qui étaient venus délivrer mon tonton ! D'ailleurs, tonton Wiggigi, il était là aussi, mais y'avais des gros barreaux qui nous séparaient...
J'hurlais pour attirer son attention...
http://img139.imageshack.us/img139/4074/piratesscreenua8.png |
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Posté le 18/01/2008 à 04:43:37
Affalé sur la paillasse de sa cellule, Wiggins faisait passer le temps en jouant avec un bol de soupe séchée qui aurait pu être son repas avec le bout de son pied.
Heureusement qu’il avait un peu de visite. Il se jurait qu’il pourrait mourir d’ennui avant d’être pendu.
Il avait horriblement mal aux côtes, au visage et à peu prés de partout. Foutu Ferrington. Ces nobles et leurs cartes qu’il ne fallait pas voler… hmmf…
Un fracas sauva le prisonnier de sombrer dans ses contemplations néfastes.
Des bruits de pas par centaines.
Des coups de feu.
Des lames s’entrechoquant.
Enfin de l’action.
L’Anglais bondit sur ses deux pattes et observa une armée de gardes anglais envahir l’étage de la prison. Les choses n’allaient pas tarder à chauffer.
Il serra les barreaux entre ses doigts. Il avait peut-être une toute petite chance de survivre.
…
De survivre et de conserver la carte.
[ http://img138.imageshack.us/img138/4152/invasionprisonar8.jpg ] |
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Posté le 18/01/2008 à 07:11:21
Bauldreg était arrivé à la prison de New-kingston, il se dit qu'il y allait avoir de l'action, et ça ne lui déplaisait pas.
Il sourit. |
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Posté le 18/01/2008 à 08:48:31
Sing venait de lire l'affiche qu'il avait lui-meme placardé à l'entrée de la prison.
"Bordel de cul de Nonne désséché, c'est pas possible d'écrire autant de conneries en si peu de ligne! Voilà maintenant que Bouyoul et sa bande aux mains sales nous proposent leur aide. S'ils découvrent ce que Wiggins dissimule, on est mal! Sans compter ces deux amazones qui ne gardent pas leur main dans leur poche. Heureusement que Wiggins m'a prévenu à temps, prouvant d'ailleurs par la meme qu'il a définitivement tiré un trait sur ses anciennes relations!
Ah on peut dire que ça va etre un sacré bordel dans cette prison! Le sang va couler jusqu'à deborder dans le tunnel secret et noyer ces pauvres cleps que Titus a apprivoisé depuis des lustres. Le coté sympathique, ça va etre ces corsaires qui ne sauront pas qui est leur ennemi et qui ne l'est pas! Car on peut avoir des objectfs communs et se foutre sur la tronche, comme on peut chercher des choses différentes et avoir interet à s'entendre!"
La libération de Wiggins a finalement été décidée pour dimanche. Ensuite il sera temps d'aller rouster un peu ces gardes du repère qui commencent à nous les biser menu avec leur revendications à deux balle. |
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Posté le 18/01/2008 à 09:29:09
Le Doc était là depuis plusieurs jours maintenant.
Il tenait compagnie à Wiggins avec d'autres amis, ils passaient le temps en jouant aux cartes et en faisant comme s'ils n'étaient pas dans une sordide prison ... en attendant de pouvoir faire plus.
Dès qu'un garde passait par là, Ethelbert se cachait ou un ami se chargeait de le faire taire à jamais. Puis ils reprenaient leur partie, discrètement.
Enfin, jusqu'à hier soir....
Vers 23h20 il avait vu un nombre pas croyable de gardes débarqués. Pris de panique il alla se cacher dans un coin de la prison.
Il attendit.
Le combat commença, il dura une heure, deux heures...
Puis bercés par le cliquetis des armes, Le Doc s'endormit.
A son réveil il est pris de remords .
C'est pas possible d'être aussi con !
V'là quat' jours qu'j'attends qu'il s'passe que'quechose ici et quand on pourrait avoir b'soin d'moi j'm' endors !
Voyant les cadavres de gardes à ses pieds il se rend compte que les combattants se sont bien débrouillés sans lui. Il se met aussitôt à la tache et panse leurs plaies.
Alors qu'il soigne les dernières blessures de Bouyoul, il se rend compte que tous les gardes ne sont pas morts, il en reste quelques uns, et des costauds !
Il n'allait pas les attaquer lui même, ce serait bien trop bête...
http://img162.imageshack.us/img162/6970/tiensbonwiwifl9.png
Wiggins ? Tenir bon ? Mon cul ouais !
C'est pas lui qu'a besoin d'être soutenu en ce moment, lui il est bien tranquille allongé sur sa paillasse, à l'abri derrière ces barreaux.
Mais bon, l'amitié c'est comme ça, on pense pas toujours qu'à soi. |
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Posté le 18/01/2008 à 10:25:49
Non non et non ! Vous irez sans moi ! Pas question que je me mouille jusqu'au cou dans ces souterrains innondés ! pas question que je traîne mes bottes dans les couloirs de ce lieu maudit ! Je me suis promis à moi de ne jamais aller en prison, et ce n'est pas pour une petite frappe sans envergure bouffie d'arrogance, sans panache ni principes que je vais bouger ma carcasse d'ici c'est compris ? Sauver cette frippouille, Haaar ! Et puis quoi d'autre ? De mon temps les bandit avaient un peu plus de consistance que ce jeune homme ! je me risquerai pour un vrai homme libre, pas pour un brigand des bas fonds, un simple tire laine escroqueur, coupe jarret, traître, égorgeur, ayant besoin de son petit confort que je vais aller suer ! Compris ? Bon, sur ce, je vais Trinquer chez Jacquot. Quelqu'un vient ? ...
Les frères de la côte considerèrent un instant un Krill haletant avant de prendre le chemin de la Prison de New Kingston d'un seul mouvement.
Le Krill resta un moment immobile et seul au millieu du repère.
Puis, jurant entre ses dents crochues, il tira à lui son sac de cuir qui laissait filtrer le tintement des bouteilles de ruhm et celui plus aigu du plomb contre l'acier de ses armes, et se mit à courrir à la suite du convoi.
Gast, mais ou va t'on, ou va t'on... |
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Posté le 18/01/2008 à 18:11:55
- Allez va chercher !
Lançant de toute mes forces le baton, je regarde ensuite en rigolant Choco aller le chercher en aboyant. Il revient vers moi avec une barre de fer dans la bouche. Ce qu'il peut être bête !
- Mais nan ! C'est le baton que tu dois aller chercher !
Je lui prend la barre de fer et la lance autre part pour m'en débarasser, mais mon chien se mit à courir aprés... En fait, je suis quand même trés fière de lui. Les gens me disaient qu'il était beau, et j'suis sûre qu'il faisait peur aux ennemis ! Il mordait les fesses des gardes qui s'approchaient de moi, et grognait aprés les méchants monsieurs. Au début je suis sûre aussi qu'il se méfiait du monsieur au bandeau noir. je lui demandait si c'était un vrai pirate, puis si c'était un sorcier comme on m'avait dit que c'était un sorcier mala, mava, mata...
Mais quand il m'a donné une jolie poupée, j'ai vu qu'il était super gentil ! Comme l'autre monsieur qui m'a acheté des vetements. Je sais comment faut faire pour vendre, car c'est ce que fait mon papa comme métier et il m'a dit comment fallait faire...ouais ! Et le monsieur qui avait aussi un bandeau noir il a pas arrêté de dire que Choco il était beau ! J'étais toute fière !!
Choco revient vers moi, la barre de fer toujours dans sa bouche. Comme je ne sais pas quoi faire d'autres, je suis un peu à l'écart des gardes parce qu'ils sont méchants et je veux pas les approcher, donc je joue avec mon chien. Mais si jamais les autres ils arrivent pas à taper les gardes, ben Choco et moi on ira les aider, ouais !
Il leur mordra les fesses pour leur faire peur et on reverra enfin tonton !
En tout cas, on partira pas sans lui.... |
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Helena |
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Posté le 18/01/2008 à 18:11:58
Isi arrive enfin dans la prison. Diantre ! Le chemin est complètement submergé par les gardes... Leurs nombres est vraiment impressionnant, mais motivée par l'idée de revoir son ami, elle en terrasse une bonne quinzaine.
Finalement elle s'assieds contre un mûr, reprenant des forces pour demain...
Wiggins O' Malley, you're in deep deep shit ! Just wait till I get to you !
Damn you leaving like this ! Damn you ! |
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Noudwi |
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29/04/2007 |
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Posté le 18/01/2008 à 19:04:15
Noudwi avait observé pendant plusieurs jours l'entrée de la prison. Il s'était placé en position de guetteur en haut d'un arbre pour être sûr de ne pas être repéré.
Comme il s'en doutait il y avait beaucoup de mouvement. Chaque fois que l'un d'eux pénétrait dans l'édifice, son sourire ne s'en faisait que plus grand. La plupart des pourris d'Angleterre venaient au secours de Wiggins comme il s'en doutait.
Personne ne méritait la peine de mort. La sentence était à la fois trop dure et trop douce.
Il ne savait pas ce qui était le pire pour lui, la Mano, ou ces soldats du continent qui osaient pénétrer sur son territoire enlever des proies.
Les soldats lui avaient déjà créé de gros problèmes par le passé. Plus récemment c'était la Mano qui était responsable de la chûte de l'Espagne...et du calvaire qu'il y avait subit.
Il n'arrivait pas à se décider sur ce qu'il allait faire. La mort était bien trop généreuse pour ces raclures.
Ce dont il était sûr, c'était que la plupart de ses proies seraient rassemblées d'ici peu au même endroit. Il trouverait bien quoi faire une fois sur place.
Il finit par se décider à entrer aussi.
Arrivé dans la prison il découvrit la gosse avec son chien. Il en eu des sueurs froides en pensant à la bataille qui risquait de se déclencher à tout moment avec le louveteaux sans défense au milieu.
Il allait lui conseiller de faire demi-tour quand il vit certaines de ses proies s'approcher d'elle.
Les idiots, ils la rassurèrent et prétendirent pouvoir la protéger.
Tant pis. Noudwi resta là, l'air hautin, presque provocateur, au milieu de ce qui devenait peu à peu un vrai nid de pourris.
Il finit par s'endormir...et se réveilla à l'hôpital.
L'odeur qu'il portait était plus significative que n'importe quelle lettre. Titus était passé par là.
Ainsi donc les pirates seraient de la partie. Il se mit à rire doucement...
-C'est ça...venez...venez tous vous rassembler dans la gueule du loup...
Il tenait sa vengeance, même s'il n'avait pas encore décidé laquelle. |
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Posté le 18/01/2008 à 19:30:57
Foutredieu, voilà que les pirates se mêlent à la petite sauterie... Les Manos veulent libérer Wiggins, les pirates le veulent aussi et moi, je veux pas que les pirates obtiennent ce qu'ils veulent.
M'en contrefoue qu'il se balance sur un corde à Londres ou qu'il retourne chez les Manos, faut juste pas que les pirates soient gagnants.
Hep les corsaires, arrêtez de vous foutre sur la tronche au risque de vous faire laminer par les pirates ! Pour une fois, rangez votre orgueil et virez les de cette prison ou foutez les derrière des barreaux ! Vous aurez bien l'occasion de vous trucider après. |
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Posté le 18/01/2008 à 20:46:05
Je tue il.
Je m'endors bourré, ces trois mots sont ce que j'ai compris des directives. Taper ceux qui sont en travers de notre objectif et ceux qu'on ne peut pas piffrer. Bouyoul entre dans la première catégorie, Thurner dans les deux.
Je tue eux.
Un peu d'alcool en tout genre histoire de me torcher, j'suis pas d'humeur joyeuse depuis deux-trois jours. Attendons dimanche. |
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Posté le 18/01/2008 à 21:20:18
Vite, vite! Il ne restait plus beaucoup de temps! Raaah si seulement elle l'avait appris plus tôt... Elle avait quitté le manoir ce matin, et la prison n'était pas loin, mais tout de même...
Et elle avait appris que des pirates seraient là, également. En quoi cela les regardait-il? Que pouvaient-ils en avoir à faire que Wiggins vive ou meure? Etrange... Et est-ce que cela valait la peine qu'elle se rende dans cette prison, qu'elle y risque sa vie?
bon, assez de question, il n'y avait pas de temps à perdre. |
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Posté le 18/01/2008 à 23:25:23
Il est libre Mad !!!!
Il est libre Mad !!!!!!!!
Certains disent l'avoir vu voler.
J'ai enfin réussi à réunir assez de souvenirs pour trouver la libération de ce Wiggins cautionnable.
Après tout, c'est se mettre en travers de la très sainte Reine d'Angleterre.
Regarde ces miséreux.
La veille encore ils aimaient la reine, à l'annonce de la condamnation de Wiggins, ils jouent les révolutionnaires.
Mais demain ?
Forcemment, ils se metttront de nouveau à genoux devant la famille royale.
Quelle hypocrésie de leur part.
Tâchons de leur donner à toutes et à tous une bonne leçon.
Un enseignement qui je l'espère les feront changer d'avis en terme de devouement.
Avant tout, c'est la liberté materielle d'un homme qui compte.
Il est libre Mad !!!!
Il est libre Mad !!!!!!!!
Certains disent l'avoir vu voler. |
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LeChuck |
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Inscrit depuis le :
05/01/2006 |
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Posté le 19/01/2008 à 00:30:05
LeChuck contemplait d'un oeil admiratif la nouvelle tapisserie en peau de garde qu'il terminait d'affiner. C'était l'heure du Griffon. Le combat allait être rude, la chimère semblait puissante.
Et c'est là qu'est toute la différence entre être et sembler. Le piaf, tout de suite moins légendaire, opta pour un aller simple express de l'air au sol.
Bougon de tant de facilité, LeChuck retrouva le sourire devant ce petit prêtre aux yeux flamboyant de haine
- Oh ! ce tas de plumes est à vous ?
Là aussi, ce fut rapide. S'il y a quelque chose de plus dangereux qu'un nain courroucé, LeChuck sera ravi de le savoir - et de l'éviter dès ce moment. C'est sur cette observation mentale qu'il revînt tout penaud et fort contusé auprès de ses alliés |
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Posté le 19/01/2008 à 05:35:26
J'avais réussit à pénétrer la prison anglaise, et diable! l'endroit était fréquenté.
Du rouge et du noir principalement, et des gardes patrouillant un peu partout.
Je pouvais entendre des escarmouches ici et là, le tintement des lames ou le bruit étouffé de pistolets, parfois un lourd son de chute d'un corps.
Me déplaçant avec précautions, habillement vêtu pour la discrétion, je remarquai des cadavres étendus derrière les caisses, à l'abri des regards.
Ça sentait la poudre et le sang frais dans les couloirs, la paillasse humide et le pot de chambre aux environs des cellules. un vrai repaire de bandits et malfrats en tout genre.
Enfin, j'arrivai devant la geôle du condamné. celui-ci était dans un triste état, mais l'accueil fut chaleureux et nous pûmes bavarder quelque peu. un petit coup de rhum ne fut pas de trop pour se remettre d'aplomb.
Les corsaires loyalistes et leurs alliés, les chasseurs de primes, les anglais pro-O'malley, la confrérie des sombres pirates de Liberty et divers opportunistes voudraient s'en prendre à mon triste ami, tout ça en se méfiant les uns des autres.
Le sortir du bagne indemne serait un exploit en soi. la journée de demain allait être décisive et rester conscient s'avérerait ardu. |
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Posté le 19/01/2008 à 10:34:24
Je m'assois en attendant que les gardes acceptent de laisser sortir mon tonton...
Mais ils ne veulent pas partir, et sans Choco peut être que je serais pas là. Je regarde à droite, je vois mon tonton seul derrière les barreaux, il ne me voit pas alors que j'essai d'attirer son attention. Des gens à coté lui balance des oranges. Pourquoi ils font ça ? C'est pas avec des oranges que mon tonton il va être libéré...
Des méchants bruits me font regarder à gauche. Pourquoi les monsieurs au bandeau noirs ils s'attaquent aux anglais ? Ils sont avec moi les anglais, je croyais que les grands pirates ils étaient de notre cotés... non ?
Pourquoi alors ils attaquent aussi les gardes de la prison ? Je comprend pas, mais je vois beaucoup de gens autour de moi transportés par des infirmiers.
J'aime pas voir quelqu'un de blessé, ça me fait peur.
Il y a ce français à l'entrée qui semble attendre, où peut être qu'il ne peut plus bouger parce qu'il n'a pas l'air en forme. Il y a cet anglais qui s'est arrêté pas trés loin de moi, je sais pas ce qu'il fait là. Il y a la gentille madame qui m'avait rassurée, mais elle jette aussi une orange à mon tonton, et elle ne semble pas dans son état normal.
Le monsieur vert qui m'avais pris dans ses bras, je l'ai vu lui aussi transportés par les médecins guérisseurs de bobo.
Je vois un monsieur au bandeau orange et barré, comme celui du garçon avec qui j'ai fait connaissance la dernière fois. Il parle avec mon tonton, il a de la chance, moi mon tonton ne me voie pas. Je vois le monsieur d'hier pirate à qui j'ai essayé d'attirer l'attention aussi parce que je m'ennuyais, mais il semble occupé.
Pis tous ces gardes qui viennent des fois pour s'attaquer à nous, mais heureusement, il y a toujours ma tata. Elle ne fait pas attention à moi, tonton la préoccupe beaucoup, mais je sais qu'elle veille quand même sur moi.
-Choco, viens mon toutou.
Il s'avance vers moi et se couche à mes pieds. j'en profite pour poser ma tête sur son dos et le recouvrir de mes bras.
J'aime mon chien, il me protège, me fait rire, me console, j'aime mon chien.
Pourquoi ça met autant de temps à libérer mon tonton ? J'ai entendu dire que dimanche on allait tous agir, mais pour faire quoi ? Je veux plus le voir en prison, j'aime pas le voir là bas...
Je veux le délivrer, mais j'ai peur de tous ces gardes, j'ai peur que les anglais ils attaquent encore les pirates, j'ai peur d'être toute seule...
Je veux rester avec Choco. |
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Posté le 19/01/2008 à 14:15:29
[ Edition bloquée ]
Ce matin un khastrapoulia croisa l’arabe. Il s’approcha d’elle et reconnue son visage. Elle avait semble il tué un autre pirate hier soir, tard dans la nuit. Il lui adressa quelques mots :
- Tu as envoyé un de mes frères chez les infirmières hier, tu vas souffrir !
Sans plus de cérémonie il l’attaqua. Blessée gravement depuis hier soir, après qu’elle ai dû se défendre contre deux de ces frères, le dit pirate l’a renvoya en une seule touche à l’hôpital de la prison. Quelques heures après, lorsqu’elle fut réveillait elle marmonna quelques mots pour elle même
- petit ahba ! C’est ton frère qui m’a tiré dessus, depuis quand je suis sensée me laisser faire ?! Puisque c’est comme ça, Wiggins et ses acolytes se débrouilleront seuls !
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modo Bonobo puis jacksparrow666: problème réglé avec l'intéressée, merci à elle pour sa compréhension ;-) |
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Posté le 19/01/2008 à 19:07:41
Là, c'est vraiment le merdier. Smiert !
La situation devenait totalement incontrôlable.
Les pirates semblaient attaquer tous les corsaires présents, sans distinction.
Quelques jours auparavant ils s'en étaient pris à lui...qui était supposé être dans cette prison pour faire évader Wiggins. D'ailleurs, leurs cibles principales semblaient être les amis du prisonnier, venus le faire évader.
Incompréhensible.
Sauf si...
Avec un faible sourire, Geralt dégaina sa lame.
Il pensait que ce griffon et ce quatuor de gardes seraient ses seules victimes du jour, il savait à présent qu'il avait tord.
Alors que le petit morveux qui venait de rejoindre la confrérie jouait au docteur avec la petite émeraude, un énorme nègre fit son entrée.
Le Cubain.
Sans perdre une seconde, il posa sa lame sur la gorge de Charity Grey, la propre soeur de Wiggins, menaçant de l'égorger si quelqu'un faisait un geste hostile.
Geralt leva ses mains, analysant la situation.
Il n'en eut guère le loisir, un escrimeur Anglais du nom de Carl Thurner faisant son entrée en scène, déja couvert de sang, il se jetta sur le noir de la Confrérie.
Au milieu du chaos, le Polonais n'eut pas le temps de distinguer le sort de la jeune Anglaise, priant intérieurement pour qu'elle n'ait pas subie le même destin que sa cliente favorite.
Le désordre ne fit que s'accentuer, et le mercenaire se trouvait quelques minutes plus tard en train d'administrer une violente fessée à la petite recrue des pirates, pour le compte du brave docteur, qui bredouilla quelques explications en lui offrant son salaire.
Il termina le travail en bottant le derrière du moussaillon des Frères de la Côte,
sur un sonore:
"Et que cela te serve de leçon, petit morveux!"
Il tendit ensuite sa main au Doc', car la petite pourriture l'avait mordu jusqu'au sang en tentant de s'échapper.
Cette formalité remplie, Geralt se dirigea vers les quartiers du capitaine, bien décidé à obtenir des explications...malheureusement, l'officier en charge ne l'entendit pas de cette oreille et dégaina sa lame.
Quelques secondes plus tard, un flot de sang éclaboussait le plafond et des gargouillis répugnants retentissaient dans le couloir.
Une porte défoncée lui offrit le spectacle surprenant de Titus Pullo, le légendaire pirate lui-même, occupé à discuter et se faire soigner par un Anglais.
D'humeur diplomate, il offrit ses respects avant de s'effacer pour un endroit plus calme, sachant pertinemment que, si il avait été épargné aujourd'hui, cela n'allait plus durer.
Ses pas le menèrent à l'escalier, en quête d'un refuge, le temps de comprendre les derniers retournements.
Un échange de coups de feu résonnait quelque part derrière lui.
Avalant les marches d'un pas léger, il tomba nez à nez avec Pea, qui lui offrit un sourire gêné et suintant de rhum, en lui montrant du doigt la massive silhouette leur barrant le passage.
Exhalant un soupir, le Wiedzmin dégaina son épée de style médiéval, et se dirigea vers un duel troublant contre une autre légende de Liberty, Ammok, général mythique de la colonie Hollandaise et guerrier reconnu.
Si tu veux frapper un roi, il te faudra le tuer... |
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Cypher |
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Inscrit depuis le :
11/12/2007 |
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Posté le 19/01/2008 à 19:27:03
Mad ? Libre ? Malgré mon respect, faudra surveiller d'avantage nos poches. Un voleur de plus ou de moins ... M'enfin, tant mieux pour lui ... |
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Posté le 19/01/2008 à 19:33:14
Les choses se corsent, et ça n'en est que plus interressant!
Demain soir, l'extraction, car il s'agit bien d'extraction plus que de liberation, de Mad Wiggins se fera.
Les frères de la cote vont devoir relever le défi de sortir Wiggins vivant de la prison, tout en croisant un panel de corsaires plus ou moins amicaux.
Entre les anciens amis de Wiggins qui ne doivent pas tomber sur la carte, les loyalistes qui suivent les ordres de Ferrington, les corsaires qui viennent simplement se frotter à la confrérie, les toubibs anglais qui nous soignent, la gamine qui piaille et qui me soule, et les quelques aspirants présents, le bordel qui règne dans la prison est interressant!
Chacun se place, mais personne ne sait trop quoi faire. Les clés sont entre les mains des frères de la cote, qui déclencheront les hosilités au moment le plus improbable.
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Spark |
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Posté le 19/01/2008 à 20:16:58
-Spark, grouille-toi !
-Ok j'arrive, laissez moi au moins le temps de me...
-Maintenant !
S'arrêtera jamais de gueuler celui là... J'espère que ça s'arrangera avec le temps, pas qu'il se mette à râler comme la grosse dinde...
« Va me chercher une tisane ! » ...
« Une verveine abrutit ! » ...
« Plus chaude ! » ...
C'est clair qu'en rejoignant la confrérie je m'attendais pas vraiment à ça... encore que j'aie du bol, ils m'ont pas foutu de corvée cette semaine...
-Bon tu te bouges au lieu de rêvasser, on a cette raclure de Mad à sortir d'ici.
-Avancez, j'vous suis...
Quel fouteur de merde ce Wiggins... déjà qu'il a pas été capable de récupérer un bout de papier sans ameuter la moitié de l'Occident, y a fallu en plus qu'il se fasse envoyer au trou... et avec la carte en prime... Ah... j'vous jure...
Un dernier regard sur le repaire avant de s'engouffrer dans le tunnel...
Comme l'a dit Jimi, les emmerdes commencent ... |
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Rose |
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21/08/2006 |
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Posté le 20/01/2008 à 00:42:12
Des que nous avons appris l'arrestation de Wiggins, Oliver et moi nous sommes mis en route vers la prison de New Kingston.
Ce vieux Mad... Rose se demandait bien dans quel merdier il s'était retrouvé cette fois. Qu'importe il fallait l'aider et c'était bien cela qui conduisit le couple dans le tunnel secret de la prison.
Parvenu au rez de chaussée le couple croisa Noudwi et Lady Emeraude, ils passerent la soirée tous les quatres, Rose ignorant cordialement l'ancien espagnol.
Le jour suivant, le couple se hata de rejoindre le premier étage de la prison.
Rose et Oliver furent acceuillis par plus de gardes qu'ils ne l'auraient imaginé..
Rose fondit sur les gardes telle une ombre et ouvrit un passage jusqu'a la cellule ou Mad était retenu prisonnier.
Le plus dur restait a faire. Il fallait trouver un moyen de sortir Mad d'ici. Oliver et Rose échaffauderent divers plans, assis dans un couloir. Mais un pirate, Lord de la Vengeance, en decida autrement et offrit un aller simple pour l'hopital a Oliver.
Surprenant Rose dans son sommeil, ce fut au sorcier maya, Tyler, d'envoyer la jeune femme rejoindre Oliver à l'hopital, lui laissant dans la poche une bien étrange missive qui sema le doute dans l'esprit de l'anglaise. Fallait il vraiment aider Wiggins s'échapper ?
Rose leva les yeux au ciel
- Merde, Wiwi qu'est ce que t'as foutu... laissa t elle échapper. |
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Posté le 20/01/2008 à 08:49:29
Quelques bruits de crochetage de serrure...
"Hey merde, faut que je regarde comment fait Drake, je vais encore devoir passer par dessus..."
Quelques pas plus tard, un parfum m'envoute.
J'ai déjà rencontré cette sensation.
En l'occurence celui-là vient d'une femme : Magdalena...
Elle profite de ses avantages pour essayer de vendre.
Je ne sais si c'est le parfum ou autre chose, mais je ne peux poser ma lame sur elle.
Reconcentrons-nous, l'entrée c'est ici.
Il me faut un tabouret ou quelque chose, l'attente va être longue.
Bon il n'y a personne, je peux commencer à m'entrainer de répéter mon texte.
"Figaroooo ! Figaro Figaro !!!!!!Figaroooooooooooo!!!!!!!!!!!!"
Bon, c'est bon, j'ai chauffé ma voix.
Faut que je retrouve le bout de papier.
"Hey salut, si tu veux être le coupaing de Troune, donne des chocos au type qui a les cheveux blonds tout plein de gras, ne fait pas attention, c'est juste qu'il se lave jamais..."
Hahaha, je savais que ce gosse allait préparer une connerie du genre, bon improvisons.
"Bonjour à tous, la prison de NK est déclarée propriété de la confrérie le temps de l'extraction d'un dangereux prisonnier. Les visites sont suspendues jusqu'à nouvelle ordre. Quiconque essaye de passer devrait en répondre devant ma lame.
Ne paniquez pas, ressortez par le tunnel, et encore merci de votre compréhension"
Avec ça, il n'y aura aucun débordement, heureusement que je suis là. |
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Posté le 20/01/2008 à 12:04:22
Il me tire dessus. Je me retourne et je le vois. Mais je n'ai pas le temps de réagir. Il me frappe et me blesse, plus gravement cette fois. J'ai mal. Je gémis, il en profite pour m'embrasser et me mettre une poupée dans la bouche. Puis il me crache dessus.
Là, c'en est trop. Je saisis mon sabre et le frappe.
-Comme ça, on griffe?
Eh oui, mon salaud. Tu crois quand même pas que je vais te laisser lacérer ma blouse sans réagir? Et là, je le frappe à nouveau. Et le blesse. Mais je perds beaucoup de sang et me sens faible. Il en profite pour m'asséner un ultime coup. Je tombe à terre, non sans avoir poussé un hurlement de douleur, puis, plus rien. Le noir total.
Le lendemain, je me réveille dans une salle étrange. Et bondée. Que de monde! Je me sens mal. Et cette odeur de mort... Ecoeurant. Près de moi, je vois une lettre signée de la main du Cubain.
Te voir mourir lentement, perdant ton sang comme une rivière se tarit sous l'effet de la chaleur, était si attendrissant. Biensûr moins tendre que ton cou...
Diego
Je passe ma main sur mon cou et frissonne. |
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