Notez seulement, senor Piet, que votre intendante accepte de payer pour sa sécurité, pour roucouler aux côtés d'Alejo plutôt que de combattre la Confrérie.
N'ayant pas trouvé le bureau des affaires étrangères ou des affaires militaires je viens vous informer ici, au cas où notre intendant ne l'aurait point encore fait. Nous ne sommes pas venus chercher conflit en réalité. Une énorme explosion a ébranlé notre tour et nous avons eu besoin en toute urgence de trouver un refuge ainsi qu'un point de vue plus en hauteur pour comprendre ce qu'il se passe. Il semble qu'il y ait des évènements de notre côté de l'ile.
Mais nous ne cherchons pas à vous mener querelle, conscient de la trêve qui fut acceptée dernièrement, et de vos ennuis au jardin des amoureux. De fait donc, je me tiens avec votre homologue dans la tour Espagnole que nous ne défendrons pas ce soir, puisqu'il semble que la nôtre ne se soit pas effondrée. On a pris soin du mobilier vous trouverez tout bien propre en rentrant. Navré pour la gêne occasionnée.
Notez seulement, espagnols, les outrageuses inepties proférée par la pirate Madre Anna, qui ose tenir pour responsable une personne endormie, pour laquelle un tiers a payé sans son accord...
Je ne suis pas derrière les moindres faits et gestes de Don Alejo lorsque je sombre dans le sommeil, obscure médisante que vous êtes.
Très cher Jax, nous prenons l'information en compte. Nul espagnol ne vous agressera au sein de la Madone le temps que vous y séjournerez... A condition qu'aucun de mes compatriotes n'ait à essuyer d'attaque de votre part, s'entend.
Je note surtout que vous m'avez menacé de pariatisation pour cause d'un pouvoir de guérison sur la confrérie.
**Cherche dans son sac à dos la lettre officielle de l'intendante - et prend soins de masquer les annotations confidentielle**
"Nous ne pouvons pas nous permettre d'avoir dans nos rangs des ressortissants qui sympathisent avec la Confrérie"
A croire que vos prérogatives vous montent à la tête, et vous semblez user facilement et surtout à titre personnel votre pouvoir.
Il semble que ce n'est pas la première faute que vous commettez, effectivement, la personne que vous désignez au nom de Don Alejo, a subit également un autre traitement de faveur de votre part, c'est à dire la naturalisation de celui-ci sans passer par la place publique d'Esperenza. (Même si je pense que cela n'aurait pas changer le destin de cette personne).
J'ai pris le risque d'annoncer la vérité sur la place publique, mais l'Espagne, représenter par cette soit disante Intendante, semble oublier qui elle est.
A croire que la confrérie n'est peut être pas les méchants dans l'histoire et sert éventuellement à l'équilibre de Liberty.
Profitez de votre toute puissance pour me pariatiser, avant qu'il ne soit trop tard Arina Logris.
Ne vous en faîtes pas, Dame Meiga ! En tant que collègue de Dame Logris, il aurait fallu mon aval pour vous déchoir de votre nationalité, et celle-ci ne l'aurait jamais obtenu.
Néanmoins, vous avez parfaitement raison, et m'en suis déjà plaint en privé auprès de Dame Logris : que Don de Llama ne souhaite pas participer à notre lutte contre la piraterie est une chose. Qu'il légitime leur exaction en payant une taxe pour la sauvegarde de sa concubine, c'en est une autre qui confine à de la sédition.
C'est pourquoi j'ai ordonné l'émission d'un contrat de nation contre le fautif. Il est inacceptable que ses compatriotes tombent quotidiennement en tentant de bouter la vermine hors de notre jardin tandis qu'il se paie le luxe de les payer pour assurer la sauvegarde de sa concubine.
Dame Logris a vingt-quatre heures pour se conformer à ma demande, sans quoi ce sont mes services qui se chargeront de cette affaire.
La garnison vous sera rendue ce soir comme prévu madame Logris. Avec encore une fois, toutes nos excuses.
En revanche je ne saurais assurer la sécurité du petit canard chapardeur qui vient de dérober pour un peu plus de 3 couronnes à mes compatriotes. J'espère que tout ceci ne tournera pas mal, soyez en assuré.
Posté le 06/01/2021 à 17:13:20. Dernière édition le 06/01/2021 à 17:13:36
Monsieur le canard va bien, en tout cas au moment de mon départ. Croisons les doigts qu'il en reste ainsi. Madame mes respects. Sûrement que ce sera m'sieur Paulus qui serait le meilleur interlocuteur. Je vous salue.
Fulmine et abat son poing sur une table toute proche qui n'avait rien demandé.
Sortez d'ici et cessez de raconter des inepties. Nul don n'a été fait à la Confrérie, et le seul qui a pris cette initiative vient de perdre ses couleurs.
Ne croyez pas que quitter les Jardins vous garantira la paix. Où que vous soyez, nous vous trouverons. Et nous réparerons l'affront qui nous a été fait.
Merci aussi M'dame Arina vous êtes adorable. Je n'ai rien à donner car je suis une très pauvre femme. Quand je serais riche et bah je vous ferais pleins de cadeaux hihi! <3
Bonjour les douaniers. J'aurais besoin d'un sésame dans votre ville pour quelques jours. J'ai un diner qui m'attend avec l'un des vôtre et j'ai des ordres de mission par ci par là.