| Ayant déjà eu le plaisir de rencontrer le général hollandais, Felicia s'incline et le salue. L'idée de le voir tâter de la piste de danse l'intrigue, cela plaira aux espagnols. Elle signe alors volontiers l'autorisation de l'homme de sa main valide et lui tend son passe-droit. Elle ne revient volontairement pas sur le sujet du señor Payne, dont elle préfère laisser l'affaire aux mains de la justice. |
Moi j'bite que dalle à vos bureaux. C'est ici qu'il faut demander une autorisation?
Moi ch'uis un geeentil p'tit gars. Pacifique et tout. Et poli. Et j'aimerai une autorisation pour venir visiter ma ville d'accueil de l'époque, et peut-être y acheter une belle chaumière de chiottard pour y couler des jours paisibles comme une fiotte. Et puis y'a plein de pines d'huître de vieux copains par là. C'est que y'a une tente au camp paria, mais je pense que la mienne est encore dans une cave par chez vous.
Je serai gentil tout plein, avec des bisous d'enculé, c'est promis.
Revenant de l'ancien bureau tout juste pour entendre la demande de Caratawc Don JeF se saisi de 2 autorisations qu'il rempli et tamponna soigneusement.
- voilà 2 autorisations de 3 jours pour la señora Dewïd et pour le señor Catarawc. Bons séjours à vous
| Le regard fixe sur l'étrange personnage apparaissant dans le bureau des douanes, l'hidalga le détaille de haut en bas. Elle consulte les registres tandis que l'autorisation lui est accordée puis elle observe la carte de la cité.
Elle se demande si cet individu appelé Caratawc le Pendu ne serait-il pas l'ancien propriétaire de ce que l'on nomme aujourd'hui "l'antre du pendu."
Ancien, bien sûr, puisque tout logis se trouvant en terre espagnole appartient aux espagnols.|
C'est qu'un paquet de sacs à viande me causent de la fiesta d'Esperanza, et parait qu'on peut même y grailler ??!! Est-ce qu'on inviterait pas un pauvre coq affamé ? J'aurais même deux trois bricoles à offrir à votre marmaille une fois sur place"
Bibi profite qu'il n'y a personne pour essayer de faire comme le maître. Elle prend une feuille d'autorisation pour Buddy et la pose sur le bureau, en la maintenant fermement de la paume de la main gauche. Puis elle la tamponne de la main droite, en y laissant 2 doigts de la gauche, écrabouillés entre le tampon et la feuille. Mais ça ferait presque une croix en y regardant de loin.
Enfin, Bibi mange le papier, très satisfaite (ça se voit dans son regard, avec l'habitude). -Rrrrrrrr...
Mais bon, les voies du CUL sont impénétrable, ça compte comme une autorisation quand même.
Posté le 28/02/2018 à 23:06:47. Dernière édition le 28/02/2018 à 23:07:46
Au terme d'une traversée difficile sur ses deux petites roulettes mal graissées et une rencontre musclée qui justifie son triste état, peu approprié pour une fête huppée, Dédé se pose contre la fontaine d'Espéranza, déchargé.
Après s'être fait pisser dessus à deux reprises par des passants qui estimaient que c'était pas correct de se soulager dans la fontaine et avoir subit un attouchement assimilable à un toucher rectal par l'Ahyo li qui l'avait manifestement pris pour une benne à ordure, il était temps que Dédé parte en quête d'un peu d'assistance dans cette ville trop civilisée.
Le mine déconfite, le Pendu ne savait plus quoi dire. S'étant préparé une flopée d'insultes, cette autorisation lui avait sévèrement coupé l'herbe sous les pieds. Après quelques instants à rester hagard, il repris ses esprits...
Nom d'une pachole à dents! Qu'est-ce que c'est que ce pet à jus qu'on m'sert par ici? Mais faut mieux choisir vos sent-la-pisse qui bossent dans vos bureaux les gars! J'décarre de l'île avec 248 pingouins au compteur, tendance génocide de fourmis, et quand j'reviens quelques années après, me voilà pardonné! C'est encore plus facile que de mettre une main au cul à Dudu. Donc voilà, bien sûr, j'vais pouvoir aller et venir avec une gentille tape sur l'épaule! P'têt même qu'on va me tirer sur la tige à l'oeil si je déballe mon steak dans Esperanza. Et dans deux semaines j'suis gouverneur! Haha!
Il semblait bouillir, et la marmite finit par déborder.
BORDEL! SI C'EST SI SIMPLE VOUS ALLEZ ME RETIRER CETTE CHIASSE D'AUTORISATION AVANT QUE J'EN TAILLADE UN! Moi qui pensais devoir batailler un peu, et qu'ensuite je pourrai vous dessouder avec votre propre bénédiction... Si vous collez vos tronches tous seuls directement dans le gibet, il est hors de question que je vous tue tous!
Entendant beugler une voix familière, Madre Anna prit son vieux compagnon par le bras.
"Caratawc, je voulais répondre à ta lettre d'hier, mais voilà que nous pouvons parler en personne. Viens donc à la taverne, je pense que tu y seras plus à l'aise qu'à l'église. Il faut que je t'explique quelques changements sur cette île."
Passant par là, le vampire hausse un sourcil en reconnaissant une voix familière et sourit en voyant qui beuglent ainsi. Tiens, les morts reviennent ! L'océan n'a plus voulu te supporter vieux pendu ? Tu as encore trop hurlé sur son dos ? Allez, passe donc à la taverne, je t'offrirai un rhum pour ton retour.
| Il n'y avait rien de plus agaçant que d'entendre un homme jurer pour l'hidalga qui hocha passivement la tête. Son regard glacial dardé sur le señor Caratawc, elle attend qu'il termine de s'exprimer avant de retirer l'un de ses gants de soie puis de lui montrer la sortie.
Elle ne démordra pas. Non seulement il allait garder cette autorisation - puisque cela semblait fort l'offusquer - mais il devra en plus respecter les règles de la cité s'il vient. L'intendante comptait bien remettre ce grossier personnage à sa place s'il osait montrer le bout de sa barbe. |
*suite à une première missive envoyée à l'intendante, la jeune française s'avance dans le bureau des douanes afin d'y demander une autorisation*
Bonjour,
Je suis d'ores et déjà sur vos terres mais j'aimerai y rester quelques jours de plus en toute tranquillité. Il y a des personnes avec qui je dois parler et cela me permettra de prendre un peu de temps pour visiter votre ville. Disons que deux jours me conviendrai parfaitement, si possible.
Voici un petit quelque chose pour l'un des vôtres.
*récupère son autorisation auprès de l'espagnol avant de le remercier*
Merci bien. J'ai déjà eu le droit à quelques coups de feu par l'un des vôtres il y a quelques instants, mais je vais me dire que c'est sa manière à lui de dire bonjour ou de m'accueillir sur votre territoire. Je suis quand même bien contente d'être vive et d'avoir pu esquiver ses balles.
Quant à mon frère, ça ira pour lui ne vous en faite pas, il est costaud.
*salue les personnes présentes d'un signe de la tête avant de tourner les talons et quitter la pièce*
Posté le 19/03/2018 à 22:47:01. Dernière édition le 19/03/2018 à 22:56:58
Entre dans le bureau des Douanes et cherche une roue à tourner. Se souvient alors que cette merveille ne se trouve pas partout puis détaille la pièce du regard pour déterminer à qui elle doit s'adresser.
"B'jour! Y'a quelqu'un? Parait que j'dois arrêter d'me faufiler partout. Du coup, j'me fais plus civilisée et j'viens vous saluer! Mes hommages à vot' Intendante!
Posté le 20/03/2018 à 10:32:28. Dernière édition le 20/03/2018 à 10:33:08
Entendant la hollandaise, Don JeF sorti d'un recoin du bureau le visage et les bras couvert de marque de griffes. Il tenait à la main un livre sur l'anatomie des félins.
- La binocle? Ah, Riquel, on voit que vous le fréquentez peu. Enfin...
Il prit alors un document dans le bureau qu'il remplit et tamponna soigneusement.
- Voici une autorisation de 3 jours, j'espère que cela vous sera suffisant.
Puis, après un moment de réflexion
- Je profite de votre présence ici pour vous féliciter à propos de votre roue douanière. L'idée est vraiment très bonne. Nous vous aurions volonté copié, mais hélas Riquel à fait une syncope lorsqu'on lui a présenté le, modeste, devis d'installation.
| Affiche un léger début de sourire en voyant la hollandaise rentrer dans cette douane. L'intendante vient alors préciser à JeF que cette demoiselle est son invité et qu'en son absence elle aimerait qu'elle soit bien accueillie. |
Posté le 20/03/2018 à 22:42:17. Dernière édition le 20/03/2018 à 22:43:35
Prend l'autorisation et incline la tête comme elle a déjà vu Felicia le faire.
"Merci M'sieur! ... M'dame! ...'fin... Merci à vous!"
Observe étrangement le personnage en face d'elle et reste un long moment à le sonder avant de reprendre soudainement ses esprits quand il parle de la roue.
"Ah! Merci M'Sssddd... Hum. On m'avait prév'nu qu'ça vous plairait! Devis d'installation? Bah j'l'ai faite moi-même, c'pas très compliqué vous savez! Devriez d'mander à celui qu'à construit vot' poulailler! Ah ben non c'est vrai... pas très fiable c'lui-là, vaut mieux d'mander aux poules directement..."
Se met à rire grassement puis s'éloigne vers la sortie.
"Je r'viendrai l'ami(e)! J'pense pas en avoir terminé d'si tôt!"
Surgit dans le dos de la hollandaise. - Je suis ici. Notre bibliothèque est assez vaste il est vrai et sa sonorité en est capricieuse.
Referme le livre sur l'histoire de la colonie espagnole de Liberty et se dirige vers le bureau pour accomplir la formalité administrative.
- Voilà, en tant qu'amie personnelle de notre intendante, voici une autorisation de 5 jours supplémentaire. J'ai réalisé que j'avais manqué de générosité à votre égard à votre premier passage.
Puis, un ton plus bas
- bonne chance pour votre mission secrète. La Hollande à de la chance d'avoir une personne de votre qualité en son sein
Ne sursaute pas comme si la rouquine savait que l'espagnol était dans son dos et sourit en coin avant de se retourner prestement.
"La belle affaire, vous v'là! C'est vrai qu'même quand j'vous parle j'ai l'impression d'être dans l'coin là-bas!"
Suit du regard l'intriguant personnage puis marche dans ses pas jusqu'au bureau. Saisit doucement l'autorisation sur laquelle elle peut lire un petit mot de l'Intendante, chose qui fait apparaitre un nouveau sourire en coin sur son visage. Son port de tête et sa façon de parler s'en retrouve légèrement modifiée.
"Malgré ses pérégrinations, votre Intendante ne manque pas de bien recevoir. Je lui ferai connaitre mon avis sur ce séjour."
Penche la tête en avant pour écouter les derniers mots du Don.
"Ah merci! Mais c'est vach'ment généreux ça!"
Bondit sur l'espagnol(e) pour lui faire une brève accolade, le haut de sa tête atteignant le sternum du personnage pris par surprise. Puis s'éloigne vers la sortie.
#envois un aigle de nk# Esse ici que l'on demande une autorisation ? Des dons à remettre ? C'est que j'ai à faire et affaire part chez vous. Et que vous êtes assez porté sur la violence, pauvre marchand que je suis j'aimerais prévoir une alternative lucrative et pacifique à ma visite. Cordialement VdP