Don JeF vit arriver les différentes demandes des pirates. La situation était assez tendue en ce moment mais la restauration de l'église Santa Maria, l'inauguration de la BITE et la cérémonie des Liberty's Trophées était un moment de trêve.
Le plus difficile serait de faire passer la pilule de la provocation de Madre Anna auprès de ses compatriotes. Heureusement que Bibi avait (presque) fait du bon boulot.
Toutefois les espagnols ont un caractère sanguin, mais comprennent les choses de l'amour. Et le comportement puéril de la Madre ne pouvait s'expliquer que par son désir de se faire remarquer par Fëantir. Aussi étrange que cela semblait à Don JeF, il devait reconnaitre que Fëantir exerçait un attrait animal auprès de la gent féminine.
D'ailleurs, en parlant de Fëantir, il se demandait si il serait raisonnable de l'amener aux cérémonies. Certains des convives risquaient de le chercher. Il faudrait qu'il discute avec les autres membres du CUL de la moins pire des solutions.
Pour en revenir aux pirates, il leur adressa la même missive: "Chers Pirates,
Vous avez fait l'effort, plus ou moins soutenu, de demander une autorisation, et, au nom de notre Intendante, je vous en suis gréé.Vous êtes donc les bienvenues aux cérémonies.
Je vous averti toutefois que toute violence, physique ou verbale, est proscrite et provoquera une exclusion immédiate.
Posté le 26/02/2018 à 21:03:15. Dernière édition le 26/02/2018 à 21:04:07
Et si c'est un voleur qui a mit ça dans ma poche?
N'est-il pas vrai que l'on pourrait ne pas imaginer que le recèle ne serait pas un larcin, et ne mériterait pas de ne pas être récompensé à la juste valeur du travail qui n'a pas été effectué en amont, et de par le fait ne pas être punissable au regard d'une loi ferme que le CUL n'a pas encore établit ?
Eh bien par exemple "sac à foutre" peut être interprété comme une insulte, et n'est donc pas exempt d'une certaine violence, et par conséquent proscrit.
Le principe, c'est que tout le monde profite des festivités, mais pas aux dépends d'autres convives.
Et le CUL n'établit pas de loi, il n'imagine rien dans ce domaine. Chaque membre parle en son nom propre. Je me contente d'indiquer les règles pour que tout se passe pour le mieux pour tout le monde, sous le couvert de l'intendance espagnole bien évidemment.
| JeF prenait les choses en main, et il le faisait bien. L'hidalga passait régulièrement dans les bureaux, le nez affairé dans quelques papiers administratifs. Heureusement que les conseillers de la lumière étaient là pour l'aider car avec les préparatifs de ces deux fêtes elle ne s'en sortirait pas.
Elle s'empresse de rajouter un panneau non loin de celui de son compatriote : "Prière de venir propre." Car elle ne tenait pas à ce que les siens se voient contaminés de différentes maladies par manque d'hygiène des barbares qui débarqueraient dans la cité.
Entendant le capitaine pirate prononcer déjà la première insulte, elle laisse échapper un "mmf !" de mécontentement puis elle lève les yeux au ciel. Elle s'esquive alors vers son bureau puis elle revient en tenant sur son panier droit un panier rempli de... savons. Et sur la pancarte, un nouveau message : "Chaque individu grossier sera tenu de se laver la langue."
Et le premier savon est offert gracieusement à Gemini. Elle lui remet l'objet en le regardant d'un air fier et satisfait. |
« Cher garant, comme nous l’avons presque convenu, j’ai, au péril de ma vie, récupéré dans la poche du vilain vent pire cet objet que tu convoitais tant. Je suis sûr que tu apprécieras ce geste à sa juste voleur, que tu seras un bon garant pour la semaine, que tu me donneras 10 000 po et que Darkouille ne t’en voudra surtout pas trop trop d’utiliser ses affaires. Mais t’inquiète, je ne lui dirai pas. Surtout quand tu m’auras donné un bonbon et 666 pièces.
Coucou c'est moi !! J'aim'rai bien avoir une autorisation pour v'nir à Esperanza pour la fête du trophée. Lapinou est nommé dans la catégorie des bisounours il a hâte d'embrasser tous ceux qui seront tristes d'avoir perdu !!
*se rappelle qu'on lui a dit de se montrer mignonne et gentille alors s'empresse de rajouter*
Oh et puis il fera des bisous à ceux qui seront contents d'avoir gagné aussi hein !!!
*voit le panier tenu par Dolorès et oublie la politesse en tendant la main*
Posté le 27/02/2018 à 08:14:31. Dernière édition le 27/02/2018 à 08:23:01
De son lit d’hôpital, se fait réveiller une seconde fois d'une désagréable façon avec un réveil matin. Les lames puis les "drrinnnngg", en plus à Santa Lucia, la journée commençait bien...
Maaaaaaahaaaaaaa qué c'est quoi ça hum??!! Bordel dé mierda cé...
*aperçoit une missive sur sa table de chevet*
pspspspsssp réveil matin ...pspspsps vent pire.. pspspss 10 000.... maaaaa il est pas bien ce gosse !!!
*demande à l'infirmière*
Fermer la puerta à double tour! Qué personne n'entre ni né sort tant qué yé souis pas rétablis! Y postez oun garde quand même! Trounu trouveras touyours lé moyen d'entrer cé %*µ£^£$%*)) ye veux pas dé gosse auyourd'hui!
Posté le 27/02/2018 à 10:20:42. Dernière édition le 27/02/2018 à 10:20:48
Intrigué, le vampire observe en passant le panier de savon mit là par Dolorès et sourit Il faudrait penser à mettre une notice Intendante. Je doute que tout le monde sache comment utiliser votre cadeau. Sauf Elliott, il a tellement l'habitude de ramasser la savonnette .....
Posté le 27/02/2018 à 14:34:50. Dernière édition le 27/02/2018 à 14:36:06
Une femme longiligne, à la démarche féline et au port assuré, arrive dans la salle de la douane des Lumières. De son regard perçant anthracite elle dévisage chacune des personne présentes avant de prendre la main de Violette et de la ramener devant Felicia Dolorès
- Salut ! Votre p'tite saut'rie m'intéresse pas. Mais y'a la d'moiselle là qui attend pour son autorisation. Je vous s'rai grée de bien vouloir accepter car sinon elle va nous casser les oreilles en pleurnichant.
Elle s'incline lentement puis tourne les talons et repart aussi vite et silencieusement qu'elle était arrivée.
| La patience ne semble guère être la grande vertu des français. L'hidalga pose le panier de savon à disposition de tous avant de s'emparer de quelques formulaires. Un pour la jeune fille française et un pour l'intendant anglais qu'il ne lui semble avoir jamais croisé jusqu'alors. Tout en remplissant leurs passes-droits, elle n'accorde qu'un regard froid à l'accompagnatrice de Violette en guise de réponse à cette dernière.
L'espagnole n'aime point les menaces - ou toutes paroles y ressemblant de près ou de loin. Elle reste ainsi silencieuse tout en laissant ces messieurs dames entrer dans la cité. |
Entrant, encore très curieux, dans la ville espagnol, tenant son autorisation fermement, il s'empare d'un des savons et, sans bien comprendre, va rincer puis nettoyer son épée à la fontaine de la ville. Puis s'empresse de chercher le bar le plus proche.
Posté le 27/02/2018 à 15:04:24. Dernière édition le 27/02/2018 à 15:07:26
*prend un savon pour elle, croque dedans, fait une grimace parce qu'en fait c'est pas bon, souffle un coup et s'aperçoit que ça fait des bulles de bave... rigole et en prend un second pour Cornan, ils pourront faire un concours de bulles!!!! Puis fait un sourire à Dolorès*
...
*Ne dit rien et continue de regarder Dolorès un petit moment tout en faisant ses bulles, et finalement craque ayant trop envie d'entrer enfin dans Esperanza*
| Allons bon, la petite la regarde. L'espagnole la regarde à son tour. Quelle horreur. Aux yeux de Felicia, un enfant n'est rien d'autre qu'un adulte de petite taille, elle les traite donc de la même façon. Avec de la chance, peut-être allait-elle occuper l'enfant pirate.
L'hidalga continue de regarder Violette jusqu'à ce que cette dernière se désintéresse et parte en direction de la ville. Ouf. |
Posté le 27/02/2018 à 16:32:11. Dernière édition le 27/02/2018 à 16:32:26
| Furieuse et le bras pansé après avoir reçu quelques balles - infimes blessures cependant par rapport aux coups de feu qui ont été tirés - l'hidalga déchire l'autorisation de William Payne. Elle estime qu'il peut bénir le ciel qu'elle ne pose pas un contrat de nation sur sa tête pour avoir essayé d'assassiné l'intendante dans sa propre ville alors qu'elle lui avait offert un passe-droit. |
Samuel entre dans la pièce de bonne humeur et s'approche de l'intendante d'un pas décidé. Il s'arrête à quelques centimètre de son bureau et allume sa pipe.
"Ma chère Dona, J'aimerai obtenir une autorisation pour venir participer aux festivités de demain dans votre cité, en plus de ça, j'ai un achat à faire avec l'un de vos compatriotes. Boire, commercer et tater de la..."
Remarque que la gamine est encore dans le coin et arrête sa phrase par politesse et parce qu'il a entendu dire un jour que les enfants n'avait pas besoin de ce langage.
"...piste de danse..."
Il attend qu'elle s'éloigne et lève ses sourcils
"C'est pas passé bien loin!"
Il se tourne vers l'intendante au moment où elle déchire une autorisation au nom de William Payne. Il plisse les yeux en regardant le nom. Il lui disait un truc, un gars rencontré dans sa cité... Il remarque les pansements sur le bras de Dolorès.