Excusez-moi pour le dérangement! Monsieur Borat s'était endormi dans la forêt, je l'ai secoué un peu, et les pièces sont tombées de ses poches. Il se trouve qu'il s'est ..hum... un peu... comment dire... assommé lui-même en se prenant les pieds dans ma Bible, quel maladroit je vous jure! Mais je sais que les infirmières d'Ulugen sauront le remettre sur pieds dès demain. Du coup, pour le dédommagement, vu que j'ai récupéré mes pièces, ce n'est pas la peine. J'espère juste que Monsieur Borat fait la charité au mendiant devant le Temple, le dimanche matin.
Accompagnant la religieuse, la galloise ne peut qu'approuver.
C'est tout à fait vrai ! Et, de là à dire qu'il a fait exprès pour ne pas continuer la leçon de catéchisme... Il n' a qu'un pas. Que je ne franchirais pas. J'espère quand même qu'il vérifiera, la prochaine fois, avant d'exercer ces talents ! Les autorisés devraient être en toute sécurité sur les terres hollandaises, non ?
Bonjour Il se trouve que je suis nommé suppléant par Mme l'intendante. Alors il y a un dossier en cours c'est cela ? Les parties ont jusqu'à ce soir 19h pour faire valoir leurs versions des faits et tout éléments à pourvoir qui predenteraient un intérêt pertinent.
Posté le 27/01/2020 à 15:01:25. Dernière édition le 27/01/2020 à 15:04:23[ Message Modéré ]
On m'a encore volé, et ce coup si je n'ai aps de preuve formelle, juste une énigme, mais je ne connait pas la réponse, cet indice vous-dit-il quelque chose?
"Tu trouves ce billet dans ta poche, pour un des vols dont tu as été victime : "un indice hummm, je ne suis plus très jeune et francaise ^^"."
Epona retire le C/C d'historique et rappelle la charte: "Je respecte les sujets "RP" et ceux qui ne le sont pas en ne postant pas sur ceux qui ne me plaisent pas. (Un sujet Rp doit finir Rp et vice versa)".
Un C/C d'historique n'étant pas RP, en plus d'être moche, merci de s'en abstenir
Voui M'sieur!! Y'a une affaire d'abord que c'est que je connais la sentence!
Que le jugé coupable M'Sieur Boratte, il doit me donner des bonbons d'abord!!! Et que comme la dame Madré Anne elle a tapé un Nollandais et qu'elle s'est fait justice elle même, elle aussi elle doit me donner des bonbons, Pleinnssssssss!
Alors tout ça, ça fait pleins de bonbons pour Alice!!
Je tiens à dire que la justice d'Ulungen, sous ma juridiction, sera appliquée en plein.
Affaire 1720001-Ulungen: Madre Anna contre Borat
Borat est reconnu coupable de vol sur autrui autorisé, en la ville d'Ulungen, en le jour du 26 janvier 1720. Je vois néanmoins que Madame Madre Anna a préféré retiré ses demandes d'indemnités, arguant que l'incident était clos, car le bien retrouvé. Fort bien. La justice en tient compte mais le cas ne saurait être clos de par simple retrait de la partie plaignante. La cause est toujours là même si la fin n'y est plus.
M. Borat, puisque vous avez voulu prendre à autrui ce que vous ne deviez prendre, je vous demanderai donc de donner à qui doit recevoir. Par ces motifs; Vous serez donc quitte d'un avertissement pour ce qui touche à l'amende envers la plaignante mais participerez aux frais du prochain office, à hauteur de cinq cents (500) pièces, en bouteilles et rôti, afin de fournir aux plus nécessiteux un repas chaud et garni. Si vous n'avez guère de goût en matière de picrates et autres victuailles, vous pourrez fournir la sommes susdite au tribunal qui se chargera d'en faire redistribution, au ducat près. Et par ailleurs, vous fournirez également à tout enfant qui serait en ville le jour de la distribution, une friandise de votre choix.
Toute demande d' appel de la présente décision devra être argumenté et étayé par tout fait de nature à rouvrir le dossier, et parvenir sous 48 heures à notre cabinet, qui se réservera le droit de juger si appel il y a lieu d'avoir. Passé ce délai, toute demande sera forclose et la peine immédiate.
Dossier suivant!
Affaire 1720002: Krakos contre X
Au vu des preuves apportées par la partie plaignante, malheureusement beaucoup trop maigres; La justice ne peut que demander la diligence d'une enquête ou le recours à tout réseau d'informateur, en bref à la constitution d'un dossier concret. Il est bien trop aisé pour un voleur de faire tomber la faute sur un autre quidam, un procédé vieux comme le monde, pour se contenter d'un petit mot dans une poche. L'affaire est déclarée classée faute de preuves. Nous espérons qu'elle pourra être déclassée mais nous n'avons pas grand espoir.
La galloise toque à la porte du bureau du juge, puis s'y invite avec un léger sourire aux lèvres. Apparents, encore, les bandages posés par Madre Anna la veille. Elle s'avance, et s’assoit, face à Jax.
J'espère que je ne vous dérange pas, mon cher Jax ? Mais j'aimerais déposer plainte contre mademoiselle Mademoiselle.
Vous voyez, je suis arrivée au coffee shop hier soir, pour retrouver Cendre, Caitlin, et papoter un peu avec les autres avant la cérémonie de demain soir. Et mademoiselle Mademoiselle, semble-t-il, n'a pas aimé le bruit de nos conversations avec Cendre et Caitlin. Elle a demandé à ce que nous allions ailleurs. Mais pourquoi aller ailleurs alors que nos amis étaient là ? J'ai donc juste répondu que non.
La brune plonge la main dans son sac, et commence à déposer des balles avec des traces de sang sur le bureau, les comptant en même temps.
Et voilà qu'elle sort son arme et me tire dessus. Une fois. Deux fois. Trois. Quatre. Cinq. Six. Ah non, ce plomb vient du señor Hongo. Cinq fois, donc. Elle m'a tiré dessus cinq fois. Alors que je porte le bandeau hollandais. Et qu'elle est détentrice d'une autorisation de séjour sur le territoire hollandais.
Elle m'a écrit, en fin de matinée. Mais, peu importe les justifications qu'elle donne. Cela n'excuse en rien d'avoir transgressé les règles des autorisations. Si j'ai éviter de porter des affaires similaires devant le tribunal français, c'est parce que je pensais qu'elle avait fini par comprendre que ce n'était pas acceptable. Mais, apparemment, je me suis trompée.
La sorcière s'adosse ensuite à la chaise, après avoir aligné les plombs soigneusement tout en parlant.
Heureusement que Madre Anna était là pour soigner mes blessures. Et heureusement que les balles n'ont pas été déviées. Parce qu'à ce moment-là, je n'aurais pas eu de repos avant de me venger personnellement. Elle aurait pu blesser -ou pire, tuer !- Cendre et mon fils, qui étaient tous deux contre moi. Elle aurait pu blesser Caitlin ou Anna. Et c'est intolérable.
L'anglaise s'approche pour faire son témoignage étudiant les lieux pour voir comment cela se passe à l'opposé du tribunal qu'on lui a mit sur le dos.
"J'étais fatiguée en arrivant au coffee Shop alors je me suis installée à l'angle près de l'entrée. Je n'ai pu qu’apercevoir Mademoiselle au moment des coups de feu mais je l'ai ensuite vue s'enfuir en passant devant moi avant que quiconque n'ait pu réagir. La seule explication potentielle de son acte est composée des échanges qui ont eut lieu juste avant : - Mademoiselle nous demandant de nous éloigner. - Faye refusant. - Mademoiselle faisant une remarque avant de faire feu.
J'ai pu me pencher sur le courrier d'explication, j'ai pu y lire les paroles d'une personne qui justifie ses actes en portant la faute sur les autres, rien de plus. Rien d'intéressant donc, on peut simplement en conclure que soit elle n'assume pas sa propre décision, soit elle essaye de culpabiliser Faye, voir peut être les deux."
*Cendre se faufile dans le bureau de Jax et va se coller pres de Caitlin.*
M'sieur l'juge, moi j'étais en train d'parler contre Faye et d'un coup y'a eu des coups d'feu et l'instant d'apres y'avait du sang et plus du tout cette sale bêcheuse de Maddy... Heu mademoiselle Mademoiselle.
C'cause que c'est qu'une fille capricieuse et lâche. Elle aurait pu tuer Faye comme Howell a tué Carmilla ! Est c'que faut aussi faire comm'si qu'tout l'monde s'en fich'rait ?
Bien. Je n'ai aucune excuse. Je me soumettrai à toute sanction décidée par la cour de Hollande. Par contre, je sais viser. Je n'aurai pu blesser personne d'autre que la personne que je ciblais.
Posté le 30/01/2020 à 00:27:39. Dernière édition le 30/01/2020 à 00:37:31
Quant à toi, Faye, vu qu'apparemment mes messages sont publics, autant les mettre ici. Je n'ai pas cherché à justifier quoi que ce soit. Expliquer, c'est différent. Et encore, ce n'était pas le propos de mon message.
J'aurais aimé que tu fasses preuve avec moi de la même bienveillance qu'avec le reste de l'ile. Ce n'est pas le cas, et c'est sûrement ma faute. Je n'ai pas su gérer ton apparition et celle de ma Cendrounette. C'est évident. Je t'avoue que je m'attendais à autre chose. Pas forcément que tu me prennes dans tes bras pour me dire que tu m'aimes, mais... autre chose. Je regrette sincèrement mon attitude. Elle est la preuve de ma puérilité, et de mon manque total de confiance en moi.
Je regrette aussi le fait que tu ne m’aies au final laissé aucune chance, mais c'est ton droit le plus strict, et mes agissements maladroits et agressifs n'ont certainement pas joués en ma faveur. Je suis heureuse de voir que tu prends soin de ma Cendrounette, elle en a besoin, et je ne suis plus à même de le faire. Hélas.
Merci pour ce que nous avons partagé, même si ce fût bien trop bref à mon goût. Je t'aime,
"Pour avoir lu la lettre en question, celle que Faye a bien reçu au matin, je peux attester que celui présenté par Mademoiselle n'est pas du tout celui qui a été reçu. Si le fond du message est sensiblement le même, le texte est complètement différent, et le texte que Faye a reçu de Mademoiselle est beaucoup plus violent et agressif.
Je laisse à Faye le choix de restaurer la vérité en diffusant le contenu de la lettre originale. Je ne peux conclure qu'à une énième tentative de manipulation de la part de Mademoiselle."
Posté le 30/01/2020 à 00:57:47. Dernière édition le 30/01/2020 à 01:00:03
Prétendre que ce que je viens de dire et ce que j'ai envoyé à Faye, dans ce que je croyais être un message privé, est la même chose, est une manipulation qui ne vient pas de moi. Je ne peux conclure qu'à une énième manipulation de la part de Caitilin. Mais en fait, je m'en tamponne totalement, son avis n'a aucune importance pour moi. Seuls comptent ceux de Faye et de ma Cendrounette.
Je remarque que l'accusée ne conteste pas les faits, qu'elle explique (mais ne saurait justifier) d'une tentative de crime passionnel. Et par ailleurs qu'il a été fait usage d'une arme lethale dans une pièce remplie de monde et ce en pleine période de festivités en la ville de Ülungen, et ce malgré l'accord tacite qui permet aux Français de circuler librement en Hollande et inversement.
Les témoignages sont par ailleurs accablants. Si l'accusée n'a effectivement pas dit retranscrire le message qu'elle avait adressée à celle qu'elle a agressé, cela pouvait se retrouver dans l'esprit de la lettre, de sa déclaration. Toutefois cela ne saurait être retenu, l'accusée étant revenu sur son propos pour l'expliquer.
La cour, avant de statuer, laisse à la victime comme à l'accusée le choix de verser au dossier, en privé ou en public le message qu'elle dit avoir reçu. Cela lui reste entièrement facultatif, et relève de son interprétation de la pertinence ou non de l'ajout de pièce au dossier.
En attendant et du fait des festivités qui ne sauraient être entachées d'événements sanglants, si l'accusée désire demeurer en ville, elle devra remettre ses armes durant toute la durée de son séjour au ministre du commerce de son choix, qui en établira reçu et les lui restituera à son départ. Les arrangements et dépens, notamment de frais de garde éventuels, de cette mesure, sont à la charge de l'accusée.
La galloise apprécie les témoignages de Caitlin et de Cendre, et sourit, amusée, devant les paroles de Frag puis de Turb, avant de poser ses yeux sur Mademoiselle. Elle arbore une expression soigneusement neutre.
Oh, vous savez viser, sans doute, Mademoiselle. Mais les accidents arrivent. Et vous n'êtes pas à l'abri d'avoir une arme qui s'enraye, un individu qui bouge au dernier moment, quelque chose qui vient vous faire trébucher...
Par ailleurs, je vous ai laissé une chance, déjà. Et on voit ce que ça a donné. Je ne me ferais pas avoir à nouveau.
Retournant son attention sur Jax, la galloise sourit de nouveau.
La lettre n'est pas forcément pertinente, en effet, mais puisque j'en ai parlé, autant vous la lire.
Elle jette un oeil vers Mademoiselle, arque un sourcil, puis commence la lecture.
"Faye.
Je ne sais pas vraiment comment cette lettre va tourner, les choses étant particulièrement peux claires, dans ma tête. Mais certains points sont évidents. Autant partir de là.
Je t'ai aimé.
Tu m'as abandonné au pire moment.
Je t'en veux pour ça.
Ton indifférence me blesse.
Je pensais que le fait d'avoir perdu une partie de moi résoudrait le problème, mais ce n'est pas le cas.
Quand je vous ai vues, avec ma Cendrounette, j'ai quand même eu un pincement au coeur. Et quand vous m'avez ignorée, c'était terrible.
Je ne sais pas quoi faire.
Tu as refusé de me parler.
Tu as refusé de regarder mes souvenirs alors qu'ils t'auraient expliqué bien des points.
Je n'ai aucun moyen de communiquer avec toi.
Je trouve ton attitude cruelle. Et je n'aime pas ma manière d'agir.
J'aimerai... En fait, j'aimerai que tu comprennes. Pour passer à autre chose.
PS : J'ai ouïe dire que certaines personnes tentaient de me localiser. Si ça a un rapport avec toi, il te suffit de me demander pour savoir où je me trouve. Ce serait plus simple."
Repliant la missive, elle la range dans son sac avant de reposer son dos contre le dossier de la chaise.
En attendant de rendre son jugement concernant l'affaire, ce soir comme indiqué, promulgue une ordonnance temporaire
En la ville de Ülungen, souveraine de plein droit, et sur avis de l'Intendance diplomatique des provinces-Unies.
En ce jour du 30 janvier 1720, à partir de 16h et jusqu'au lendemain midi,
Tout individu est bienvenu en ville mais doit garder arme au fourreau. Toute garde, toute intimidation ou premier sang versé par toute lame, objet contondant, arme de jet de tout type, chaise, mobilier, partie boulière, poutrelles de trois pouces et péremptoires; Ainsi que toute personne ou entité qui contreviendrait au droit de libre circulation dans nos rues, de quelque manière qu'il puisse être; Entraînera l'annulation de facto de l'autorisation tacite. Et tout individu qui serait alors occis par autrui le serait alors sans risque pour ledit autrui de s'en voir sanctionné.
Les pirates eux-même bénéficieront de cette protection limitée et limitative, pour peu qu'ils me fassent un joli cadeau respectent l'esprit de la trêve et n'usent d'aucune provocation. Les agresseurs, qui pourront dès lors faire l'objet d'une chasse à vue, seront affichés en place publique, et les occire n'entraînera nulle sanction collective ou législative. Pour se faire, toute agression nous sera relatée afin d'en faire étalage.
Dit, fait et promu en Ülugen, le 30 janvier de l'an 1720.
Puis reprend:
En gros pour les béotiens: après 16h jusqu'à midi demain on arrête de manger des fruits le premier qui garde un passage, tire sur quelqu'un ou l'estourbit, sans consentement mutuel, peut se faire lyncher au nom de la tranquillité du plus grand nombre, dès que la victime s'en rapporte à nous. On vous dira quand même d'y aller mollo et de pas juste vous en tenir aux racontars d’événement mais de chercher à comprendre. Parce que si quelqu'un arrache la tête d'un autre, c'est peut être justement parce que cet autre contrevenait déjà. Pensez-y.
Bel évènement à tous, rangez vos massues, sortez les godets.
Je vous prie de m'excuser, la cérémonies des trophies a été longue...
Affaire 17200003: Dame Faye, résidente en la ville de Ulungen contre Mademoiselle Mademoiselle, citoyenne de nationalité Fronssayze.
Les preuves étant accablantes, l'accusée ayant avouée, les témoignages etant concordants... Sont retenues comme circonstances aggravantes les risques pour les populations présentes, la violation du traité francollandais, le fait de pas distribuer de bonbons aux enfants, et l'agression en pleine période de trêve et de festivités, en dépit des lois de l'hospitalité.
Pour les faits d’agressions sur Dame Faye, reconnue encore ce soir comme personnalité du monde libertyen tout entier et en application des codes de lois d'Ulungen; Ainsi qu'il est écrit: o Tout coupable au delà du 11° grade devra verser 500 pièces d’or à la victime, et 50 fois son grade à la caisse commune hollandaise ;
Condamne Mademoiselle à verser 500 pièces d'or au titre de réparations à Dame Faye et 1250 pièces à la caisse commune.
Au vu des circonstances aggravantes, et de la récidive de vos actes, nous annonçons aussi que, dorénavant, votre venue à Ulungen se fera aux conditions usuelles d'un étranger lambda (demande d'autorisation et toute condition de visa à l'avenant). Votre présence en ces murs n'est plus garantie sans ces précieux visas.
Posté le 31/01/2020 à 00:30:02. Dernière édition le 31/01/2020 à 00:33:56
Affaire N°1720004 : Ulungen vs Dulcina Fagney, et eventuels complices
En la soirée du 31 janvier, en dépit des lois de l'hospitalité, l'individu susdite nommée Dulcina, a été aperçu, peu après l'annonce de sa défaite, detruisant rageusement les begonias du jardin du gouverneur, crahcant dans la fontaine et tentant de prendre d'assaut les tapis environnants. Son compagnon Ser Voynich se trouvait à ses côté mais aucun lien de complicité n'est établi. Plus tard dans la soirée, on apprenait que, en dépit de l'ordonnance parue plus tôt dans l'après-midi, le sang était versée par ledit compagnon Voynich sur l'Ecumeur, sans qu'on puisse y déterminer ni cause ni lieu.
Tout ceci est fort cotonneux et les protagonistes sont appelés à effectuer toute lumière. Mais agresser Ülungen, si c'est bien cela qui a eu lieu, ne restera nullement impuni.
Posté le 31/01/2020 à 00:31:13. Dernière édition le 31/01/2020 à 00:31:23
Avec un salaire de 20 pièces d'or par jour, il faudra accorder à Mademoiselle 88 jours pour qu'elle puisse vous payer. J'espère que vous serez compréhensif mon bon Jax.
Le Faux Rhum
