 Le Faux Rhum
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Chez Jacquot - bar de la plage - nouvelle adresse
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Auteur
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Message
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Posté le 02/01/2008 à 13:10:27
Ben c'est pas interdit aux p'tites filles ici...
S'assoit en poussant un soupir, le tabouret était moins grand que l'ancien sur lequel elle était.
Pis c'est bon le champagne.
Le chien se réveille, regarde autour de lui puis vient vers sa maîtresse pour se coucher à coté d'elle, surveillant le monde autour d'un oeil méfiant.
Pis mon papa il vient presque jamais ici.
Moi je sais jouer à pleins de trucs ! Tu connais la bataille au trèfle ? C'est mon frère qui me l'a appris, r'garde c'est vachement facile !
Commence à expliquer... |
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Posté le 02/01/2008 à 13:21:01
Ecoutant la petite fille lui expliquer son jeu, le "démon" sourit tendrement et se rappela sa chére cousine Anaelle qu'il avait vu au mariage de Dudu avec sous son ventre, une jolie arrivée dans se monde |
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Cypher |
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Posté le 02/01/2008 à 17:01:16
La flasque vidée, Anke partit chercher une mirabelle puis but dehors toujours en compagnie de Don Branlouze.
- Peut être est ce l'alcool -m'enfin quand je suis soule, je préfère taper- mais moi aussi, je voudrais vous avouez un truc, mon p'tit Don Branlounet. Je vous aime. Laissez moi devenir votre Donna Branlouze, ou mieux ! A l'hollandaise, votre Van Branlouze ! Laissez parler votre coeur et nos esprits échauffés ! M'acceptez vous comme épouse. Je le reconnais, c'est un peu rapide. |
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Posté le 02/01/2008 à 17:26:51
(suite du RP "L'Ombre de Kharn Reinert")
- Ah ! Ah ! Ah ! Y'adôôôre les pirates !
Doña Maria-Isabel battit l'air de son éventail et fit quelque pas maladroits en direction du bar, un clin d'oeil à Jacquot puis se retourna vers l'assistance dans une position lassive.
Oh yé la gorge séche, n'a-t-il pas oun mauvais garçon qui puisse offrir una petite coupe de champagne à una señorita assoiffée ?
D'un rapide coup d'oeil, elle remarque les mines affreuses des pirates et de quelques corsaires aux aguets.
Dans un coin, elle reconnaît, avec stupeur, Dante se délectant d'une pipe caractéristique. Le ministre avait reçu des informations concernant les clés dissimulées dans des pipes finement taillées.
Elle tira un long fume-cigarette noire qu'elle porta à sa bouche.
- Qui aurait dou fuego pour m'allumer...ma cigarette ?
Elle s'avança langoureusement vers l'Anglais, lui passa une main dans les cheveux.
- Dites-moi, guapo, vousse semblez amateur de pipes ? dit-elle en tendant sa cigarette vers Dante. |
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Dante |
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Posté le 02/01/2008 à 17:52:22
Dante ne pouvais pas s'empêchait de rire à cette situation. Tous ces regards se tournant vers lui, le plan marchait à merveille. L'une des amazones reçu un message et sortit de la taverne laissant sa soeur le surveiller de près.
- Qui aurait dou fuego pour m'allumer...ma cigarette ?
Cette femme à l'allure étrange qui s'approchait de Dante, lui caressant les cheveux. Il ne l'avait pas remarquer et pourtant...
- Dites-moi, guapo, vousse semblez amateur de pipes ?
Il sortit une allumette et mit la flamme sur le bout de la cigarette de cette femme. Tout en profitant des dernières fumées sortant de ca pipe.
- Je suis juste un jeune collectionneur. Avec les drôles d'histoire qui tournent autour de ces pipes, leurs valeurs doivent atteindre les sommets.
Il sourie à la femme.
- 1er fois que je vous vois ici et pourtant vous me rappeler quelqu'un? On ne serait pas déjà croisé ? |
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Posté le 02/01/2008 à 19:47:21
Doña Maria-Isabel tira une bouffée, jeta sa tête en arrière et éclata de rire.
- Ah ah ah ! Soyez soûr que j'aurais gardé lé souvenir d'oune homme si charmante ! Yé mé nomme María-Isabel Paloma de la Serena dite La Mariposa. C'est oun surnom que m'ont donné mes admirateurs car quand yé chante à l'opéra dé Madrid, je virevolte tel lé papillon ! Yé la grâce féminine et lé génie dé la musique en moi.
Elle jeta un regard à l'entour et s'aperçut de l'amazone la dévisageant. Au fond de la salle, don Branlouze se faisait outrageusement accosté par cette morue hollandaise de Waarheid.
- Par contre en termes de beauté féminine, vous n'êtes pas gâté par ici, heureusement que yé suis arrivée...
Vousse êtes collectionneur...comme c'est étrange, moi aussi !
*Se rapprochant de Dante et sur le ton de la confidence*. Mais moi yé collectionne lé hommes...yé suis comme cé papillon qui boutine dé flor en flor goûtant au nectar précieux.
Elle fit claquer son éventail à la face de l'amazone Isis comme pour éloigner un insecte nuisible et dérangeant.
- Mais ditesse-moi vous êtes ici en cloub de fumeur de pipe, je vois ce ténébreux hidalgo là-bas en prise avec cette chartière hollandaise de bas étage. Est-il également amateur de beaux objets...comme cette pipe ? Yé m'intéresse de près aux choses rares...Savez-vousse si d'autres corsaires ou pirates peuvent m'aiguiller...vers ces trésors uniques et rares ? |
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Posté le 02/01/2008 à 22:35:35
Levant soudainement la tete, le chasseur de prime vit Dante se faire acoster par une femme tout jsute rentré dans la taverne. Ecoutant avec attention, il entendit un nom qui lui semblait avoir déjà entendu
... María-Isabel Paloma de la Serena...
Regardant la femme avec attention, le jeune homme reparti écouter la jeune Emeuraude tout en gardant un oeil sur cette senorita insolite ... |
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Posté le 03/01/2008 à 06:21:32
Barth entra dans le bar dans le plus grand des silences,il s'assit a une table vide et cria:
-Jacquot!Une bouteille!
Il sortit de son manteau un cigare qu'il alluma.Il observait un peu tout le monde tout en buvant et fumant,jusqu'a ce qu'il vit Dantesortir de son veston une pipe.Je me murmurais:
-Bientot je remplacerai ce cigare par une pipe..peut etre celle -ci d'ailleurs... |
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Dante |
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Posté le 03/01/2008 à 18:23:01
- Mais ditesse-moi vous êtes ici en cloub de fumeur de pipe,
je vois ce ténébreux hidalgo là-bas en prise avec cette
chartière hollandaise de bas étage. Est-il également amateur
de beaux objets...comme cette pipe ? Yé m'intéresse de près
aux choses rares...Savez-vousse si d'autres corsaires ou
pirates peuvent m'aiguiller...vers ces trésors uniques et
rares ?
-Vous savez il faut faire attention à ce genre d'objet. Voyez cette pipe que je tient n'ai qu'une pure imitation de la vrai que j'ai trouver a l'ouest de l'ile. Les contrebandiers s'amuse à en vendre au ignorant. La vrai pipe?...En lieu sur voyons je ne me risquerai pas à l'amener avec moi. Si vous voulez en trouver vous avez qu'as vous renseignez avec le nabots et son coffre. Dites lui aussi qu'il me doit toujours une bouteille de rhum venant de Tortuga !
Se tourne et regarde un paria espagnol tenant une pipe dans sa main .
Je n'ai pas pus indentifier l'objet qu'il tien mais quelque chose me dit que cette piste est la bonne...
Vois le regard interresser de la seniorita et n'en dit pas plus. |
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Alanis |
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Posté le 03/01/2008 à 23:14:26
*Sirote son verre de Rhum, dans un coin sombre du bar, tout en observant la scène* |
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Posté le 04/01/2008 à 17:16:31
*rejoins Nick et commande une bouteille*
Ca risque de durer |
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Posté le 04/01/2008 à 22:39:06
La cantatrice gloussa à la réponse de Dante, agita son éventail en direction de don Branlouze de la Feñeki.
- Ah señor, vousse êtes la prudence en persona, comme vousse faites bien dé né pas amener votre précieuse objet dans cé bar à pirates...où il n'y a pas de pirates...
Sans doute, sont-ils trop occoupés à courir après les mises à prix des corsaires ou à batailler dans leur cave comme des vers dé terre.
Passez oune bonne soirée, gentleman !
Maria-Isabel observa avec attention les discussions et les allées et venues des corsaires. Le ministre reconnu deux Français dont le mari de la grosse lulu anglaise. Mais il fut plus intrigué encore par ce paria espagnol dont il avait lui-même signé l'exil deux semaines plus tôt. Don Juan savait désormais que deux personnes détenaient des clés du coffre.
Mais la pipe du paria, membre notoire de cette guilde de sauvageons et d'asociaux qu'est "Les 4 Lunes", était-elle une imitation ? Le banquier espagnol devait trouver un moyen de le vérifier...
- Dios que cet endroit est sinistre, il est tiempo d'y mettre oune peu de gaité ! Musica maestro !
A cet instant, une mélodie s'éleva d'on ne sait où, la lumière baissa d'intensité, et se braqua sur doña Maria-Isabel, accoudée au bar, son porte-cigarette dans la bouche. Elle tira une bouffée, puis balaya l'assistance du regard.
Les notes de piano envahirent le bar.
- " Et moi la fille libérée,
Confondant le jour et la nuit
Pratiquant l'amour buissonnier
Comme un défi.
Maria-Isabel se planta entre les deux Français, prit la bouteille des mains de Nico et se servit une coupe. Tout en chantant, elle fit remonter sa main le long du pourpoint de Nick le Brun, jusqu'à glisser dans son cou et sa joue.
Oui moi j'éprouve quelquefois
L'envie d'être apprivoisée
D'arrêter mon cinéma
Et de tout partager.
Elle fit un clin d'œil à Nick et une petite tape sur son nez avant de repartir vers le centre du bar, humidifia ses lèvres avec sa flûte de champagne puis lança son verre derrière elle.
A quoi sert de vivre libre
Quand on vit
Sans amour ?
A quoi sert de vivre libre
Quand on vit
Sans amour ?
Elle arriva, dansant et se déhanchant à la hauteur de Waarheid qu'elle jeta sur le côté d'un coup brusque et se présenta devant don Branlouze, posant une main délicate sur son épaule.
Maria-Isabel prit sa pipe et la manipula un instant avant de la remettre entre les lèvres de l'Espagnol, grattant une allumette dans le réservoir, le regardant fixement dans les yeux.
J'ai eu des plaisirs d'occasion
Et des projets au singulier
Mais quand arrive l'addition
Il faut payer
Toujours sa main sur l'épaule et passa derrière l'Espagnol, l'embrassant de ses bras et se balançant.
Et toi qui es plus fou que moi
Tu m'apprends à t'attendre
A trembler de peur et de joie
En espérant ton pas
Elle lâcha le paria espagnol et recommença à danser vers le centre du bar, la lumière suivant son parcours.
A quoi sert de vivre libre
Quand on vit
Sans amour ?
Maria-Isabel virvoleta à reculons vers Dark Archangel. Elle se blottit contre lui et agitant son éventail devant les yeux de la petite Emeraude.
A quoi sert de vivre libre
Quand on vit
Sans amour ?
La cantatrice repartit vers la sortie du bar Chez Jacquot, s'appuya langoureusement contre l'encadrement de la porte, sa tête inclinée sur son bras étiré tandis que la musique ralentit.
A quoi sert de vivre libre
Quand on vit...
...Sans amour ?
La lumière revint complètement, et doña Maria-Isabel Paloma de la Serena disparut du repaire des pirates.
(suite "l'Ombre de Kharn Reinert")
(hrp: crédit : "A quoi sert de vivre libre ?" Nicoletta (1998) in Master Serie) |
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Posté le 05/01/2008 à 12:54:22
Cinq Amazones débarquèrent dans la taverne et s'installèrent à la table de Rubel.
La joyeuse Ishtar vint s'approcher de Rubel pour lui faire une accolade amicale, mais ce dernier la repoussa froidement.
Rubel: "Voyons tiens toi un peu! Bon vous semblez bien enthousiaste cet après midi, vous avez progressé dans la recherche des clés?"
Nephtys jetant un regard à chacune de ses soeurs commenca: "Non pas vraiment, par contre il y a du nouveau en ce qui concerne le coffre..."
Rubel écouta les fraiches informations de l'Amazone, les autres restant silencieuses, puis il hocha la tête lorsqu'elle eu terminé.
Prendre possession du coffre si tot serait peut être délicat, il faudrait le garder ensuite, mais cela pourrait également faire un excellent élement de négociation.
Rubel confia à Nephtys l'organisation de l'opération, mais elle devrait demander du renfort. Il fallait aussi garder en tête que l'anonymat des Amazones devaient absolument être protégés.
Il s'agirait donc de contacter d'autres personnes dans les environs, d'une part pour se faire aider dans la manoeuvre, mais également pour brouiller les pistes et que les Amazones ne soient pas reconnue.
Rubel reprit: "Contactez quelques personnes en qui vous pensez pouvoir faire confiance, l'objectif premier sera d'éloigner un maximum le coffre des mains des pirates. A la limite si d'autres le reprennaient, ce ne serait pas un problème, on trouverait le moyen de le récupérer à nouveau. Une fois avec le coffre vous laisserez vaguement sous entendre le coin dans lequel il est caché, mais sans trop en dire. Il ne s'agit pas de disparaitre avec ce coffre, puisque nous n'avons pas les clés cela ne servirait à rien. Il faut donc attirer les autres, de plus si nous parvenions à mettre la main sur le coffre mon maître n'excluait pas de l'utiliser comme un moyen de négociation...peut être le céder au plus offrant...Autre chose, une fois en sa possession, restez bien hors des villes, changez de position tous les jours, restez toujours le moins visible possible, mais uniquement dans la région de New Kingston. Vous ne devrez pas vous éloigner à plus de 10h de marche de la ville."
Puis Rubel se tourna vers Ishtar: "Quand vous aurez le coffre, emmene Freya avec toi, partez dans le nord est et trouvez Graveleux...il a sur lui une pipe qui cache une clé, je doute pas une seconde que vous saurez y faire pour vous la procurer...Les autres protègeront le coffre, du renfort extérieur à l'organisation devrait arriver."
Rubel remonta de l'index ses lunettes, et prit congé sans dire un mot de plus, emmenant avec lui le petit coffre qu'il avait trouvé tantôt. |
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Spark |
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Posté le 05/01/2008 à 14:31:47
Relève la cape qui le recouvre depuis un petit moment.
Intérressant, très intéressants. Comme quoi, l'alcool est un puissant allié... |
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Posté le 07/01/2008 à 16:24:32
Diego avait fêté tard dans la nuit son nouveau poste de Capitaine avant de finir allongé dans un caniveau, endormi dans le repas régurgité par une panse ballonée par des litres de rhum.
Se relevant difficilement en attrapant tout ce qu'il pouvait, il fît tomber les vieux tonneaux vides à l'arrière de chez Jacquot.
Le crâne écrasé par la migraine, il entra dans le bar pour commander son remède.
Jacquot, un litre de ruhm brun, celui qu'est pas pour les clients.
Buvant d'une tirée la bouteille, il en commanda une autre puis une autre jusqu'à ce que la folie gagne chaque centimètre carré de son âme.
Il ruminait la perte du coffre et maudissait ces bâtards et leurs descendances. Lui avoir avoir volé SON coffre, pour qui se prenaient-ils?
Propulsant dans les airs la table devant lui d'un coup de main, il s'exclama:
J'vous préviens, vous allez me rendre ce foutu coffre et rapido.
Ça va un moment de jouer les aventuriers mais faut pas oublier où c'est t'y que vous vous foutez et à qui qu'vous l'avez pris!
Ce coffre est aux pirates et à personne d'autre!
Tous les noms qu'on me donnera comme ayant participé au recel de notre coffre vont le payer sur les 50 ans à venir!
Prenez cela pour dit “Une main de posé sur notre coffre équivaut à mettre ses deux pieds en Enfer”
Les bonnets rouges vont bientôt l'apprendre...
Hahahaha
Jette un sac sur le comptoir en bois
20 000 pistols d'or à celui qui nous apportera le coffre.
Foi de sang noir, pas une piècette en moins!
Un homme, le messager pirate, apporte une lettre à Diego estampillée du sceau pirate
Baërn, ta grande gueule te perdra!
...Wöh Wöh Wöh...
Jacquot, un godet à tous les manants en l'honneur de Baern.
A sa santé qui va prendre un sacré coup de plomb dans l'aile!
Vide cul-sec la bouteille puis s'en va.
En franchissant la porte, se retourne et lance:
Le coffre est peste et les clés poison.
Aucune âme ne survivra si par malheur elle s'en empart. Comptez sur nous pour cela. |
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le tsar |
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Posté le 08/01/2008 à 00:27:16
*Trouve enfin, Nick*
Voici des nouvelles des 4 lunes, tu devrait les rejoindre... |
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Alanis |
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Posté le 08/01/2008 à 00:30:15
J'en ai apprit bien assez!
Le manège de Maria-Isabel comme l'intervention des Amazones avait été distrayants.
Mais de voir ce satané cubain noyer son chagrin dans son Rhum au point d'afficher sa fortune, me réjouissais plus que tout.
20 000 pistols ... voila qui est bien payé pour un coffre qui m'appartiendra bientôt...
Surtout pour un coffre ... vide.
*tape sur l'épaule de Nico*
Allez Nico, il est temps de prendre la route et de passer a l'action. |
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Posté le 08/01/2008 à 16:04:33
Depuis l’attaque d’avant hier, Freya était en convalescence auprès de ses sœurs. Après avoir passé plusieurs heures à renifler les souffles d’éther mélangé aux diverses odeurs s’échappant de diverses plaies putrides que les infirmières s’affairaient à sauver de l’amputation, Freya se dégourdissait les jambes le long des couloirs blafards de l’hospice en attendant qu’Isthar se remette elle aussi de ses terribles blessures.
Même les caresses félines et enivrantes d’un jeune infirmier n’avaient pas suffit à influer sur ses pensées anxiogènes qui revenaient inéluctablement la hanter. Comme certains habitants de l’île, corsaires comme frères de la côte, le mystère et l’appât du trésor, se dégageant du coffre de Kharn commençaient à venir troubler bien des esprits dans les profondeurs abyssales de leur subconscient.
Prise d’un besoin de réchauffer son corps encore meurtri, Freya entra chez Jacquot afin d’accroître les effets des antalgiques à l’aide de quelques gorgée d’éthanol. Elle savait aussi que son système auditif pourrait très certainement capté les vagues des rumeurs du moment.
Tandis qu’elle entrait discrètement par la porte de derrière, elle senti l’ensemble de ses follicules pileux s’hérisser à la vue d’un homme, certes fort bien bâti, mais portant un bandeau noir qui accentuait la noirceur de son regard. Il était accoudé au comptoir, une bourse rempli de pièces d’or négligemment échouée à ses pieds dans les flaques de vomit et d’alcool qui remplissait les entailles du plancher.
La nature de Freya l’aurait certainement poussée à laisser traîner ses doigts agiles près de son corps, mais la raison la fit asseoir sur la table d’à coté où elle pouvait à présent lécher du regard l’attrayante saillance de sa sombre musculature.
Le son d’une voix empreinte d’un accent français vint chatouiller son ouie.
20 000 pièces d’or pour un coffre…
Après son avènement à la tête de la confrérie, le Cubain semblait ouvrir une fine brèche composée de quelques piécettes dans la voie tumultueuse des négociations auprès de mercenaires en tout genre. Je pris un cigare entre mes lèvres, fixant solidement mon regard sur l’armoire prostré à quelques pas de moi en espérant avoir rapidement des nouvelles de ma sœur.
Il fallait que l’on aille le voir, que l’on se mette en route rapidement du coté d’un des coins les plus maudits de l’île, pour lui apporter un peu de nos charmes en cet endroit lugubre… |
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Posté le 08/01/2008 à 23:19:17
La porte du bar s'ouvrit et se referma avec son habituel grincement rappelant un chat scié en deux, laissant un peu de l'atmosphère viciée s'échapper au dehors avec précipitation.
Ishtar se fraya un chemin d'un pas raide, se débarrassant avec agacement d'un reste de bandage qui couvrait son bras, et rejoignit sa Soeur sans un regard pour les présents.
- Heureuse de te revoir, Sister... Cet hôpital ! Tu aurais vu comment ils m'ont empaquetée dans leurs linges ! Une vraie momie ! Ils ont probablement appris leur métier chez les chiffoniers !
Sa rancoeur un peu calmée par ces mots et par le souvenir brûlant de "soins" très particuliers, Ishtar commanda un verre et se tourna vers Freya avec un sourire ironique, en notant ses cicatrices récentes.
- Ils n'y ont pas été de main morte, hein Sis' ? Je crois qu'on les a un peu énerv...
Elle fut stoppée net par le regard impératif de sa Soeur. Promenant le sien dans la salle, elle repéra immédiatement (difficile de le rater, pour être honnête, vu le boucan qu'il faisait à lui seul) une haute silhouette qui ne lui était pas inconnue... Caressant du regard les muscles solides et nerveux du Pirate, elle afficha malgré elle un sourire pervers en se souvenant de leur dernière "rencontre" si brève et mouvementée.
Son regard pétillant rejoignit celui de Freya, satisfait et impatient. C'est vrai, le jeu n'était pas terminé.
- On y va, Sis' ? Un peu de tourisme ne nous fera pas de mal... |
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Posté le 09/01/2008 à 20:46:16
Maât se glissa discrêtement dans le bar de Jacquot, là où ses soeurs lui avaient donné rendez-vous. Elle remarqua d'un coup d'oeil qu'il y avait amis et ennemis dans cet endroit, et qu'il allait falloir jouer serré. Elle s'approcha de ses soeurs et les salua d'un hochement de tête alors qu'elle s'installait à la table à côté, l'air absent.
Ses soeurs se mirent alors à lui murmurer ce qui s'était passé dernièrement, et les ordres de Rubel.
Maât écoutait attentivement, sans regarder ses soeurs, faisant mine d'étudier les quelques corsaires français qui trainaient dans le bar.
Elle apprit que tout se passait plutôt bien, mais qu'elles s'étaient fait dérober le coffre par les pirates. Heureusement, elles étaient encore toutes en vie. Elle savaient chacune ce qu'elles avaient à faire, et elles le faisaient parfaitement, mais c'était sans compter sur les fourberies des autres corsaires....
- I see... so this is the way it's going to be?!!! Maât ne put s'empêcher de parler à haute voix, visiblement agacée.
Les anglais allaient donc se tirer dans les pattes entre eux... très bien, il était temps de faire la Maât.
Le maître avait été clair, il fallait réussir.
Maât allait faire appel à son réseau d'espionnage. La Justice allait être rendue une fois de plus, à l'insu des fourbes et des menteurs.
Maât prit sa plume et rédigea cinq lettres identiques, dans la pénombre du bar:
Mon fidèle ami,
J'ai besoin de ton aide. Il s'agit de retrouver les détenteurs des trois clés.
Tu as carte blanche, mais ne me déçoit pas, tu pourrais amèrement le regretter...
Maât
Sans perdre de temps, elle ressortit du bar, et elle les accrocha aux pattes de cinq perroquets de cinq couleurs différentes qui voyagaient toujours avec elle: un rouge, un jaune, un orange, un bleu, et enfin son préféré, un noir. A ce dernier elle accrocha une rose rouge à la patte du volatile.
Ils partirent chacun dans une direction opposée, sachant tous parfaitement où trouver leur destinataire.
Maât les regarda partir appuyée à la porte du bar, un sourire mauvais se dessinant sur ses lèvres. |
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Posté le 11/01/2008 à 19:37:34
*Débarque furibard*
Mai.. mai...mais... CASSEZ VOUS DE MON RADE!!! C'est quoi ces tartines là partout? Vous croyez que ça l'intéresse le Jacquot vos histoires à rallonge? Bon dieu Jacquot et dire que j'ai failli t'oublier avec ces foutus buveurs d'eau...
*S'empare du balai spécial fermeture et chasse tout ce qui réussit à articuler plus de trois phrases intelligibles*
C'est un rade à poivrot ici et pas un de ces cafés philo pour poètes enfarinés ni une salle de réunion!!! Maintenant je veux du "bite", du "couille" et du "nichon" à chaque fin de ligne...
Et les cacahouètes sont pas offertes par la maison, alors va bien falloir que quelqu'un raque les conso à Jacquot, pas question qu'il y en ai qui laissent encore des ardoises. |
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Posté le 11/01/2008 à 19:47:58
Bite couille chatte mouille.
Valiente s'éloigne alors avec classe. |
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Posté le 11/01/2008 à 22:11:08
Bon, je vais vous lire la dichotomie du bien et du mal pour que Zapi revienne... |
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Posté le 12/01/2008 à 01:29:19
C'est pas tout, j'ai soif... une mort subite .... |
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Posté le 14/01/2008 à 00:32:33
JE PAYE LA TOURNEE POUR MES CAMARADES !
regarde autour de lui et ne vois pas un 4 lunes ...puis commence a repartire en arriere en regardent l'assenblée stupefaite
*par los corornes dé la madone !!! mais ils sont partie ou ? ils avez portant dit ,on sé rétrouve a la taverne por depenser notre or ...* |
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