Faux Rhum Le Faux Rhum Faux Rhum  

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Joe Krill
Joe Krill
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16/08/2007
Posté le 14/12/2007 à 21:53:39 

* se dresse sur la table et se met à chanter* http://www.radioblogclub.fr/open/52786/pavarotti/Luciano%20Pavarotti%20%20-%20Giuseppe%20Verdi%20-%20%20Nessun%20Dorma Bon, ça vous à plu ? Bien, fous le camp maintenant.
Peter
Peter
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15/06/2007
Posté le 14/12/2007 à 22:01:16 

Mon dieu quel voix!! S'écartes du pirate pour ne pas qu'il s'épuise les cordes vocales.
Chenzu
Chenzu
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09/05/2007
Posté le 18/12/2007 à 11:52:12 

Heureusement que j'ai mes cheveux qui cachent mes oreilles !! Je gagne quelques décibels pour supporter ça !
Joe Krill
Joe Krill
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16/08/2007
Posté le 22/12/2007 à 12:47:32 

*Joe empoigna la pièce de huit qui pendait à son cou, et envoya de la mirabelle sur la fille encapuchonnée en jurant et en se signant. * Gast ! arrière, suppot de l'éthyle ! Lord ! Looord ! j'ai vu le démon de la bouteille ! hips... *Le Krill prit le coffre qu'il porta à bout de bras vers la sortie en hurlant des imprécations. à Moitié en Delerium tremens, il tira quelques coups de feu une fois dehors et disparut dans la nuit... jusqu'a la prochaine fois. *
Gaston
Gaston
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18/10/2007
Posté le 22/12/2007 à 15:38:25 

~gaston semblait se reposer tout ce temps, affalé sur une des tables avoisisantes. Le tricorne tombait sur ses yeux, de la bave coulait le long de sa joue, tout laissait croire qu'il cuvait l'alcool fraichement consommé. Une fois Krill sortit, il releva la tête. En passant sa main dans sa barbue touffue il tendit une cacahuète à son macaque. Ce dernier s'empressa de l'engloutir avant de sortir.~ " Hahahaha, allez Jacquot ! Fait péter la gnole ! J'ai la gueule aussi fraiche qu'une pucelle vierge de tout alcool, faut changer ça ! " ~sa barbe, remontant au niveau de son nez, laissait imaginer un sourire caché sous les poils la garnissant. Il prit soin de remettre son tricorne d'aplomb, tout en se dirigeant vers le comptoir.~
Emeraude
Emeraude
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11/11/2007
Posté le 22/12/2007 à 18:12:48 

*Rentre en espérant avoir semé son père et son oncle, regardant derrière elle quand elle referme la porte.* ihi... *Se dirige vers le comptoir et semble chercher quelque chose du regard.* Ben... c'est qui qu'a touché à ma coupe de champagne ?
Cypher
Cypher
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11/12/2007
Posté le 23/12/2007 à 10:49:41 

Krill ! Fait péter une mirabelle. Il me lança une bouteille à la tête mais je la rattrapai habilement. Je lui adressai un sourire narquois. Je savais qu'en tant que femme, j'aurais peine à me faire accepter. Le Nectar divin coulait dans mes entrailles. La bouteille sèche, je lançai une bourse sur la table et l'ouvrit d'un coup de pétoire. Elle était remplie d'or. Jacquot ! Tournée Générale ! C'est moi qui paie ! M'sieux dames, regardez moi ça ! Je sortis un torchon roulé en boule qui contenait des herbes. Des Champignons magiques d'Ulungen ! Essayez !
RIP
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Posté le 23/12/2007 à 22:28:08 

Ishtar poussa la porte branlante et haussa un sourcil. Qu'est-ce que c'était que ce bar miteux ? Etait-ce bien ici que... Elle aperçut alors la silhouette connue. Oui, c'était visiblement bien l'endroit, remarquablement choisi, comme d'habitude. Bientôt, elles allaient disputer leur place aux rats dans les égouts... Secouant la tête, elle s'approcha de la jeune femme aussi sombre et encapuchonnée qu'elle-même, et s'installa en repoussant sans cérémonie un ivrogne hollandais apparemment trop ivre pour réagir. - Tu m'offres à boire, Sister ? La route a été longue, et je suis tombée sur une espèce de dingue de la gachette qui sortait d'ici en courant comme un dératé avec un coffre... Tu ne lui as pas fait peur, j'espère! Un sourire ironique se dessina lentement sur ses lèvres lorsqu'elle ajouta : - En tout cas, je pourrais suivre les yeux fermés les effluves d'alcool qu'il laissait derrière lui, tu n'y es pas allée de main morte! Elle se pencha un peu plus vers sa voisine, les yeux brillants de curiosité, et murmura : - As-tu... des nouvelles?
RIP
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Posté le 24/12/2007 à 00:08:23 

Krill s'était éclipsé en un clin d'oeil, visiblement troublé par les effluves d'alcool et la tentative d'approche de Freya. Son attitude frisant le delirium Tremens l'avait un peu rassuré sur la valeur du contenu du coffre, et elle avait décidé d'attendre fermement son retour. Un souffle de vent glacial lui fouetta le visage. Une silhouette élancée, vêtue d'une longue cape noire s'avança vers elle... Elle reconnue immédiatement la démarche sensuelle et affirmée de sa soeur. - Quelle joie de te revoir enfin, je commençais à me lasser de la puanteur se dégageant de cette taverne et des aisselles transpirantes de ses messieurs. Elle lui tendit un verre de la robuste mirabelle de Jacquot. L'odeur délicate d'Ishtar venait délicatement soulager sa muqueuse nasal, lui rappelant les petites lettres parfumées que sa tendre soeur aimait lui envoyer. Le moment de béatitude fut bref, le retour à la réalité plus abrupte lorsque l'odeur de charogne émanant du fin fond du gosier de l'espagnol accoudé au comptoir éructa dans leur direction. - Des nouvelles...un peu...mais on ne sera pas trop de deux je crois...Et j'ai ma petite idée sur la démarche à suivre... Freya se pencha un peu plus vers sa soeur, murmurant dans son oreille pendant de longues minutes. Elles se regardèrent enfin avec toute la complicité qui les liait depuis ces quelques mois - Trinquons ma belle, et prenons un peu de bon temps en attendant que notre client revienne! Aux Amazones! Et à ce cher Rubel bien sûr! Les verres clinquèrent et se vidèrent en un instant
Cypher
Cypher
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11/12/2007
Posté le 24/12/2007 à 10:22:02 

Le mélange champignon magiques et mirabelle m'avait tout chamboulé. Maintenant, je faisais des entailles dans la table quand Jacquot me rappela à l'ordre : Hé la pisseuse ! T'arrêtes ça tout de suite ! Je le regardais dans les yeux. Je me levais avec un p'tit Ha ! prétentieux et partit, prennant sauvagement le reste de champignons magiques. Je sortis une flasque de rhum de l'intérieur de mon manteau. Tu peux me praquer ... me zaquer ... me vaquer de là mais *hic* j'en ai toujours aut*hips* ! Je sortis titubant m'asseoir dehors, seule devant la taverne.
Spectre de Don Branlouz
Spectre de Don Branlouz
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19/08/2006
Posté le 26/12/2007 à 19:35:43 

*une voie dans le noire* Desoler mamselle !! si vous vous croyé seul dévant lé pub ,vous vous tromper ! cela fait un bon moment que je suis ici ,c'est pas la plous mauvaise place ,..on entend tout ,sans se faire voir ! et l'on s'apperçois des fois, que l'on transporte de veritable tresort sans meme le savoir .*montre a waarheid l'objet que contien sa blague*...HEY !! donselle ,me vomis pas déssou ! *s'eloigne en pestant et en essuyant son costume* HiJos..!! De la cAlAbrA.. négrAsss.!la PInga Qué Pingas !!Todas las p... ...!!
Dante
Dante
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01/07/2006
Posté le 26/12/2007 à 21:22:34 

-Ce chien de Krill, me voler mes bouteilles de 10 ans d'ages et me foutre un crabes dans le pantalon, si je le trouve je le... Il ne parla plus en voyant la vielle taverne qui se dressait devant lui. La piste qu'il avait suivi l'avait mené devant cette endroit miteux remplie de pirate. Il sortit son pistolet et se dirigea vers l'entrée, prêt à assassiné le voleur. -Non, vaut mieux être discret. Je vais passez par derrière. Dante ne trouva aucune autre porte autour du bâtiment. Juste un simple trou suffisant pour pouvoir passer. -M'abaissez à ce niveau, tu vas me le payer Krill. Il rentra difficilement dans une petite pièce sombre. Cela ressemblait à un placard à balais...des balais neuf apparemment. La porte menant au bar était entrouverte, de faible rayon de lumière passez. Krill était assis devant le bar avec un Hollandais. -L'angle de tir est parfait cette fois tu vas... Une jeune femme de grande beauté s'assis à la table situé devant la porte. Dante ne pouvais plus que murmurer à lui même. -Saleté, il a beaucoup de chance en ce moment. Il jeta un coup d'oeil à cette femme. Une magnifique jeune femme, un katana sur son dos. Il ne pouvait voir son visage, pourquoi le cachait t'elle ? Une autre personne pris place à cette table. Dante ne pouvais pas la voir. "- Tu m'offres à boire, Sister ? La route a été longue, et je suis tombée sur une espèce de dingue de la gâchette qui sortait d'ici en courant comme un dératé avec un coffre... Tu ne lui as pas fait peur, j'espère!" -Un dingue courant comme un dératé ? Dante remarqua que Krill était partit. Il voulait partir à ça recherche, mais cette histoire de coffre l'intrigué. "- Des nouvelles...un peu...mais on ne sera pas trop de deux je crois...Et j'ai ma petite idée sur la démarche à suivre..." Il n'entendit que de faible murmure. Coffre de Kharn...Trois clés...aux fond des mers. Cela devenait de plus en plus difficile d'écouter. Pourtant il réussis à entendre une information intéressante ! L'endroit de la 1er clé. "- Trinquons ma belle, et prenons un peu de bon temps en attendant que notre client revienne! Aux Amazones! Et à ce cher Rubel bien sûr!" -Des Amazones ? Il avait parlé un peu fort. Heureusement qu'un Espagnol parla au même moment. Dante recommença à ce murmurer à lui même -Vous inquiétez pas mesdemoiselles, moi aussi je vais l'attendre. Et ce coffre m'appartiendra !
Lord Dark Archangel
Lord Dark Archangel
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28/12/2006
Posté le 26/12/2007 à 22:05:54 

Entrant dans la taverne, l'homme enleva son casque laissant voir une cicactrice d'épée barrer son oeil droit, tandis qu'il observait attentivement les personnes présentes dans la taverne. Ola Tavernier, une bouteille de mirabelle pour un assoiffé de passage. Eh une coupe de sang en l'honneur des vivants ... murmura t'il pour lui meme
Cypher
Cypher
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11/12/2007
Posté le 27/12/2007 à 08:27:15 

Revenu de son sommeil réparateur - à moins que ce ne fusse un coma éthylique - Waarheid avait le teint grisonnant, des valises comme pour un aller sans retour vers une contrée lointaine. Elle vit Don Branlouze pas loin d'elle. - Ah, ça y est, vous êtes enfin réveillée, enfin sobre quoi ... Vous m'avez vomis dessus quand vous êtiez ... - Pardonnez moi. Elle mit la main dans sa poche, cherchant quelque chose. - En pour, vous voul ... Sa main avait trouver un petit mouchoir humide, dont le contenu avait été écrasé. - Hé merde ! J'ai écrasé mes champignons magiques d'Ulungen en dormant ... Vous connaissez ? Ca vous transporte à des milliers de miles d'ici ! Mais vous êtes toujours là et on vous prend pour un fou puique vous êtes dans votre rêve ... Pas mal pour oublier les soucis ...
RIP
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Posté le 27/12/2007 à 14:52:01 

Freya avait senti durant sa conversation avec sa tendre sœur une étrange impression, une sorte de sentiment d’être transpercée aux confins de son être par l’intrusion dévorante d’un fourbe rapace. La finesse de son ouie avait réussi à distinguer à travers le rire gras de l’espagnol le nom de son organisation. L’ensemble de ses fluides corporels n’avaient à peine eu le temps de visiter chacun de ses organes qu’elle sorti furtivement un coutelas de sa longue manche, envoya valser sa chaise d’un coup de pied ferme et vint appuyer sa douce arme directement au creux du cou d’un anglais caché dans un recoin sombre de l’arrière salle. Transperçant furieusement le regard surpris de l’anglais, elle fit glisser lentement son coutelas afin d’écorcher sa peau juste à sa surface. Le sang perlait légèrement le long de la lame qui reluisait à la lumière des bougies blafardes de la taverne. - Vous n’êtes pas très prudent cher gentleman, ne savez-vous point qu’il est risqué de prononcer ce qui vient de sortir de votre gosier malodorant. Elle esquissa un léger sourire, puis relâcha légèrement la pression du cou de l’anglais, passant délicatement un doigt sur la lame afin d’y recueillir une petite goutte de sang qu’elle déposa sensuellement le long de sa langue en regardant l’anglais d’un air amusé. Le goût était délicieusement ferrique, elle senti un frisson parcourir son dos et fini par ranger doucement son arme. - Je serais assez curieuse de savoir ce qui nous vaut l’honneur de votre intérêt pour notre conversation. Freya passa délicatement sa douce main sur la joue de l’anglais, tandis que l’autre s’attardait sur son torse bombé. Une douce voix parfumée lui murmura au creux de l’oreille… - Tu partages sister ?
Dante
Dante
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01/07/2006
Posté le 27/12/2007 à 15:49:47 

Les Amazones, cette tribu de femme solitaire prenant un malin plaisir à s'amuser avec les hommes qu'elles croisent. Dante les connaissait bien, pour avoir servit d’esclave et il savait que l'erreur qu'il avait commise pouvait lui coûter la vie. Pourtant il ne pouvait pas s'empêché de sourire. Cette femme caressant son être... Il devait être l'un des seul homme au monde à connaître deux fois se plaisir. -Un simple mal entendue My Lady. Mais apparemment nous sommes à la recherche du même homme, peut être pourrions nous... Ces mains baladeuses sur mon corps, ce plaisir qu'elle prend en me caressant. Elle n'a aucune hésitation pour les mettre en bas. Je connaissais bien cette façon qu'elles ont à chercher les armes de leurs ennemies. Mon épée était visible sur mon dos, j'ai sentit ces mains touché ma dague et mon poignards. Il ne lui rester plus qu'as trouvez mes deux pistolets. Aux moments où elle les touchera, je les dégainerais. Espérons juste que je sois le plus rapide. Ca sœur pose problème, il fallait gagner du temps. -Vous me semblez bien jeune pour ce genre de plaisir mademoiselle. Cela m’étonnerai que vous ayez la même expérience du toucher par rapport à votre sœur. Une dague à la manche, un Katana à son dos, un coutelas dans une longue manche. L’autre ? Sûrement un pistolet à sa gaine, et une épée cachée quelque part. Va falloir attendre l’effet de surprise sinon elles seraient capable d’anticiper mon action.
Lord Dark Archangel
Lord Dark Archangel
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28/12/2006
Posté le 27/12/2007 à 16:24:47 

Levant un regard discret en direction d'un coin de salle, le chasseur de prime vit avec surprise son ami Dante au prise avec deux jeunes filles. Finissant sa chope, l'homme traversa la salle en silence, sa longue cape noir trainant sur le sol et une main ganté de cuir sur le pommeau de son épée, pour s'arreter à quelques pas du groupe -Mesdemoiselles, je vous prirait de bien vouloir lacher cette homme. Il n'est guére polis de maintenir ainsi une personne entre gens civilisés.
RIP
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Posté le 27/12/2007 à 16:38:10 

Rubel venait de pénétrer dans la taverne. L'atmosphère à l'intérieur était d'une moiteur étouffante. Dans la pièce les personnes présentes s'agitaient, certains chantaient joyeusement au rythme des clinquement des verres de bière, d'autres jouaient aux cartes s'arrêtant par moment pour pincer grossièrement le derrière des serveuses aux mamelles lourdes leur apportant de quoi s'enivrer un peu plus. Autour des tables toutes sortes d'individus picolaient silencieusement, plongés dans leurs pensées, mais les oreilles trainantes certainement...beaucoup semblaient être venus ici car ils savaient eux aussi que dans ce taudis isolé, ca sentait les rumeurs autant que l'alcool. Rubel apercut deux des amazones. Occupées par l'attention d'un robuste gaillard à l'accent anglais, elles n'avaient pas remarqué Rubel. Il était encore un peu tôt, elles ne devaient pas encore être toutes arrivées. Il prit place discrètement dans le coin le plus sombre du bar. Le chapeau vissé sur sa tête et les lunettes rondes sur son nez masquant son visage, personne ne prêtrait attention à lui. Tout en absorbant lentement la liqueur que l'on venait de lui apporter, Rubel observait discrètement les deux jeunes femmes. Un autre bougre était venu vers elles s'approchant d'un pas menaçant et sur de lui. "Hmmm voilà qui me donne une idée...je suis persuadé qu'elles penseront la même chose et feront ce qu'il faut." se dit t-il à lui même un léger sourire aux lèvres.
Cypher
Cypher
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11/12/2007
Posté le 27/12/2007 à 17:10:04 

Anke venait de pénétrer à nouveau dans la taverne. Tous la regardait. Elle fit signe de la tête. Elle parcourut les clients des yeux avant de voir Dark Archangel. Elle regarda le tavernier qui la regardait et elle fit comprendre qu'elle voulait une bouteille de mirabelle. Elle s'assis à la table de Dark Archangel et ils commençèrent à parler affaire discrètement, Anke offrant un verre à celuic ci.
RIP
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Posté le 27/12/2007 à 17:19:56 

Elle ne s'était pas trompée, le regard vigilant de Freya le lui confirma : le mot "Amazone" avait bien, en dépit de toutes les lois de la physique de taverne, provoqué un écho là où il n'aurait pas dû y en avoir. Ishar admira le jeu de sa Soeur, jamais en reste pour caresser de sa lame la peau des indiscrets... qui, à vrai dire, en redemandaient souvent, ensorcelés par les reflets sombres allumés par le sang dans les yeux de Freya. Mais il s'agissait de ne pas casser leur nouveau compagnon de jeu trop vite... Se levant avec langueur, Ishtar rejoignit sa Soeur et dédia son plus chaleureux sourire à leur vis-à-vis. - Tu partages, Sister ? Elle se glissa nonchalamment derrière lui, laissant sa main caresser l'épaule, le creux du cou, la naissance de la nuque, cet endroit où la peau douce et vulnérable se couvre de frissons à la moindre caresse. - Nous connaissons-nous, mon très cher ? Elle se pencha sur lui, laissant ses bras enlacer le torse puissant, les mains s'insinuant délicatement dans les anfractuosités de ses vêtements, attentive aux moindres tressaillements. - Il semble que nous vous intéressions beaucoup... iElle effleura sa joue de la sienne, ses longs cheveux ruisselant sur eux. Ses mains remontèrent lentement pour finir enlacées autour du cou de son interlocuteur. Sa voix, susurrant à l'oreille de celui-ci, prit son inflexion la plus caressante, au rythme de sa respiration légèrement accélérée. - Ne savez-vous pas qu'il est très impoli d'espionner les conversations des dames ? Imaginez que nous soyons en train de comparer nos amants ou notre lingerie fine, comme ce serait embarrassant... Les mains se resserrèrent lentement, faisant apparaître le réseau de veines bleues pulsant sous la peau, communiquant leur rythme jusqu'au coeur d'Ishtar. Enivrante sensation... Elle croisa le regard complice de Freya et transforma son étreinte en caresse sur le visage de l'homme, prenant plaisir à parcourir du bout des doigts les lèvres rêches de celui-ci, avant de se relever et d'attraper sa main en un geste aussi ferme que doux. "Tout doux, bijou !" Songea-t-elle en observant l'arsenal du guerrier. "On va discuter, mais t'as pas intérêt à me casser un ongle..." - Mais peut-être avez-vous également beaucoup de choses à nous raconter... Puisque vous semblez nous connaître, pourquoi ne pas vous présenter, afin que nous goûtions cette rencontre à sa juste valeur... Posant sur sa cuisse la main de leur "invité", elle s'installa sur le coin de sa table et cligna de l'oeil en direction de Freya. - Tu dois être aussi curieuse que moi, Sister... Un curieux personnage vint à cet instant les interrompre. Visiblement, tout le monde était à l'affût de tout le monde, dans cette taverne, et les gens ne connaissaient guère le mot "discrétion". Ishtar lui lança un sourire enfantin, les yeux pétillants. - Ma maman m'a dit de ne jamais parler avec les inconnus ! Zézaya-t-elle avec une petite moue moqueuse. Qui êtes vous pour venir nous donner un cours de bonnes manières sans même vous présenter ? Me trouveriez-vous bien impertinente si je vous priais de vous mêler de vos affaires? A moins que vous ne souhaitiez bavarder un peu, auquel cas vous pouvez vous asseoir et lâcher votre épée, vu son poids, elle ne devrait pas s'envoler...
Joe Krill
Joe Krill
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16/08/2007
Posté le 27/12/2007 à 17:41:33 

* Krill déboula bruyament dans le bar de la plage. * Aye ho Jacquot ! un croque pour moi ! * Se rendant compte que beaucoup trop de regards sont fixés sur lui, il feint de ne pas s'en appercevoir.* Hola les puceaux ! ça veut jouer aux démons de minuit mais ça a pas un poil sur le menton. Si tu veux vraiment approcher la petite femmelle, c'est pas l'acier qu'il faut sortir, c'est l'or. Tss, faut vraiment tout leur dire... Hey, toi, la greluche ! *Il Fixa Anke* Tu veux ma gravure ? *Le Krill attrappa une bouteille de bière aux algues qui végétait sur une table avant de la lui lancer vers la tête* Que les choses soient claires les jouvencaux ! ici, on abaisse sa ferraille pour mieux brandir le verre ! Si vous avez a vous expliquer avec votre voisin de tablée, vous lui envoyez un cruchon, un tabouret ou un poing dans la tête ! Non mais depuis quand on se bat avec des armes dans les bars ? pff... *S'en va squatter la table de la confrérie en gouttant la bière aux algues qu'il a sur le bout des doigts. Il s'empare d'un exemplaire vide, regarde l'étiquette et commande:* Jacquot ! je veux bien de ça avec le croque aux crabes!
Dante
Dante
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01/07/2006
Posté le 27/12/2007 à 18:04:22 

Une erreur de plus, la frangine est beaucoup plus dangereuse. Le son de sa voix ma entièrement paralysé. Je suis devenue aussi impuissant que mon fils Angelus. Elle s'amuse au même jeu que ça soeur, me torturant l'esprit du désir inassouvie, ce désir que tout homme possède. "Réagis bordel" cette voix dans ma tête. Ma main glissa lentement vers la gaine, il fallait mettre un terme à ce jeu. Trop tard ça main avait arrêté la mienne. "- Mais peut-être avez-vous également beaucoup de choses à nous raconter... Puisque vous semblez nous connaître, pourquoi ne pas vous présenter, afin que nous goûtions cette rencontre à sa juste valeur..." Elle continue à jouer avec mon être...pourtant je ne sentais plus vraiment de dangers. Elles semblaient près à discuter...j'ai gagner un peu de temps. "- Tu dois être aussi curieuse que moi, Sister..." "-Mesdemoiselles, je vous prierait de bien vouloir lâcher cette homme. Il n'est guère polis de maintenir ainsi une personne entre gens civilisés. " A peine eux le temps de m'installer à coter d'elle qu'un autre problème arrive. Dark avait sentit que j'étais en difficulté, mais si je ne l'arrête pas c'est lui qui sera en danger. "- Ma maman m'a dit de ne jamais parler avec les inconnus ! Zézaya-t-elle avec une petite moue moqueuse. Qui êtes vous pour venir nous donner un cours de bonnes manières sans même vous présenter ? Me trouveriez-vous bien impertinente si je vous priais de vous mêler de vos affaires? A moins que vous ne souhaitiez bavarder un peu, auquel cas vous pouvez vous asseoir et lâcher votre épée, vu son poids, elle ne devrait pas s'envoler... " Cette pointe d'exaspération, ça commençais à devenir très dangereux. Il fallait réagir -Dark je te remercie de ta surveillance, mais je suis assez grand pour me débrouiller seul. Et puis je ne fais que connaissance avec deux merveilleuses jeunes femmes. Il n'y a pas de quoi s'inquiéter. J'avais parlé un peu froidement. J'espère qu'il a compris mes intentions. Je me retourne et regarde les deux femmes dans les yeux. Essuyant cette légère blessure au coups -Pardonnez moi je ne me suis pas encore présenter. Mon nom est Dante, simple chevalier à la cour de la reine. Cette indentité incomplète, cette demi-vérité. Je l'ai fait gober à toutes les personnes de l'île. Heureusement pour moi ils n'ont pas cherché plus loin. Pourtant ce malaise...Les amazones sont très douées pour déceler les secrets. Aussi profond sois t'il.
Zol Tipiak
Zol Tipiak
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21/02/2006
Posté le 27/12/2007 à 19:34:38 

Gast a rast ! Jacquot sert donc une bouteille de Lambig au petit homme avec un grand chapeau de ma part ! Peut être sera t il plus bavard ensuite. J'ai bien du bon tabac dans ma poche mais il me manque la pipe.
Titus Pullo
Titus Pullo
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08/02/2007
Posté le 27/12/2007 à 19:38:45 

- Un rhum, mets ça sur mon compte - T'es qui ? T'as pas de compte. - Ouais je sais mais j'ai toujours révé de dire ça. *sort la monnaie et paye Jacquot puis se trouve une table libre*
Maskerd strijder
Maskerd strijder
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25/10/2007
Posté le 27/12/2007 à 20:54:46 

*Les brumes épaisses de l'alcool masquaient encore la phare de sa raison lorsque le hollandais refit surface. Ravalant la salive qui coulait sur son masque il se remit sur pied, apparemment quelqu'un l'avait jeté au sol ou peut-être s'était-il effondré ? Il ne s'en rappelait déjà plus... Il ne connaissait qu'un seul remède pour dissiper le brouillard, reprendre un verre et oublier les tremblement de son corps qui protestait déjà silencieusement.* Jacquot ! Une petite bière légère ! *Il balaya la pièce du regard et aperçut un chapeau rayé qui lui rappelait quelque chose... Krill aussi était là, assis à une autre table, avec quelques hystrions à l'air patibulaire. Deux jeunes femmes discutaient avec un français, Mask en connaissait déjà une, il ne savait rien de la seconde, une voix grave marmonna quelques mots dans un patois de français qu'il ne connaissait pas. Il y avait du monde ce soir. Ramassant son gantelet et son poignard que Krill avait jeté la veille, il se dirigea, bière à la main après avoir rengainé sa ferraille, vers la table de l'homme au chapeau rayé. Sans un mot, il prit place et commença à siroter sa bière.*
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