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Feuilles au vent (les textes perdu de vos pj's)  
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Assashin L'Arachcoeur
Assashin L
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28/01/2008
Posté le 13/12/2020 à 01:34:15. Dernière édition le 19/12/2020 à 23:44:04 

Vague à l'âme.
 
Quand l'esprit et le cœur s'en trouvent chamboulés il ne reste qu'un amas informe d'informations bousculantes et tonitruantes.
Combien de temps encore ce supplice intérieur bouillonera ?
Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
Un cri déchirant, intérieur et puissant. Ce souvenir que cela était si douloureux voilà qui fait mal.
L'oiseau en cage n'est pas toujours celui qu'on croit et quand la porte se claque au nez cela est toujours plus douloureux quand on s'attend à ce que cela soit pour autrui.
Oui, l'âme et le cœur sont deux muscles qui se travaillent. Et les crampes arrivent toujours quand on s'y prépare le moins.
Dualité de penser, savoir ou oublier.
Quand l'esprit domine la chair tout va, quand l'équilibre s'inverse voilà qui devient intéressant. Une torture exquise et experte qui ne laisse aucun recoin à nu.
Dieu que cela fait mal mais que cela est bon.
À croire que sous la forge, des émotions se révèle et se réveille de vieux démons et des anges plus beaux encore.
Ce qu'il en sortira de ce combat ?
Qui sait, quelque chose de beau, quelque chose de grand, le temps le dira. Ou du temps perdu pour ce que vous en savez.
Mais qu'en savez-vous ? Rien ? Ou trop ?
Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
C'est déchirant que de se déchirer ainsi.
Les vagues douloureuses rendent l'esprit clair et brillant, en même temps qu'il l'embrume dans des spirales incertaines.
La pièce vole et le joueur ne sait si sur pile ou face tombera. Ou sur la tranche ? Pour ce que d'incompréhension et d'incertitude coexistent ici.
 
Vous l'aurez compris, ce soir dans l'esprit de celui qui écrit.
Vague à l'âme.





*abandonné dans la cale d'un navire échoué part inadvertance*
Assashin L'Arachcoeur
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Posté le 14/12/2020 à 00:30:03. Dernière édition le 19/12/2020 à 23:43:53 

De l'art de ce défaire.
 
La propriété n'est qu'un mythe. 
Pour ceux qui ont tout de naissance elle est la normalité, une règles immuable. 
Pour ceux qui n'ont rien, elle est un rêve innacessible.
Il y a encore  d'autres aussi qui de leur mains et de leur sang s'approprient ce qu'ils entendent comme leur dus.
Ils ont là , la vérité, la leur défendus part le feu et l'acier.
Pourtant. Rien n'est acquis, rien n'ai dus. Rien ne ce mérite réellement car rien n'est à personne.
Alors, pourquoi la perte ou la peur de perdre est si fortement encrée chez ceux qui pense être propriétaire ?
Tous est de l'art de ce défaire.





*jeté à la mer, une bouteille solitaire au repaire*
Assashin L'Arachcoeur
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Posté le 15/12/2020 à 23:46:44. Dernière édition le 19/12/2020 à 23:45:09 

Un feu ne meurt jamais
 
Hardant, brûlant, inssasiable.
Le feu est une chose que l'on peut croire vivant.
Dans ses dansent étranges, des reflets passé, présent et futur peuvent être trouvés pour qui sais regarder.
Parfois une bise peut le souffler. Une tempête l'amenuire . Mais l'éteindre ?
Oui l'éteindre est une chose qui n'est pas aisé.
On peut croire qu'une chose l'étouffe, mais à peine enlevée voilà qu'il jaillit à nouveau
vivant et fort.
Et même alors qu'il n'en reste que des braises. 
Un habile souffleur pourrais, avec facilité, le refaire vrombrir.
Oui, l'éteindre n'est pas chose facile.
Mes amis entendez moi bien.
Un feu ne meurt jamais.





*au coin d'un feu, emmitouflé dans l'amour, laissé au vent près d'un lac maya*
Assashin L'Arachcoeur
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Posté le 17/12/2020 à 01:42:05. Dernière édition le 19/12/2020 à 23:46:51 

 souvenirs qui ne s'effacent
 
Certains moments ce gravent d'eux même dans votre mémoire, d'autres ce plantent dans votre chaire.
Étrange comme l'existence ce répète.
Que de vieux schéma réapparaissent, que de  vielles fables vous hantent. 
La vie est ainsi faite paraît il, de cycle.
Certain laissant plus de trace que d'autre.
Comme une vielle croûte sur une blessure ancienne qu'on ne peut s'empêcher de gratter. 
Habitude ou volonté. 
De l'avoir et de ce faire mal pour s'en rappeler.
Pourtant ses moments d'un autre temps devraient pouvoir être gommer.
Refaire toile blanche de tout ce qui peut nous retenir.
Mais est ce bien la une solution ? Pérenne ?
Je ne pense pas.
Comme tout à une histoire, tout à un passé.
Vouloir passer outre reste à ce leurrer ; avancer dans le noir alors qu'une torche à la main tu porte n'a jamais été un choix raisonnable.
Alors oui. Gardons les précieusements. 
Oui.
Ses souvenirs qui ne s'effacent.





*retour au repaire, sûrement déplacer part un mousse curieux*
Assashin L'Arachcoeur
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Posté le 19/12/2020 à 01:51:19. Dernière édition le 19/12/2020 à 23:45:56 

Sur la route de la soie
 
Ses reflets dansant sur mille feux
Ses paysages changeant sur mille lieux
Ses déserts et ses montagnes innombrables
Ses secrets et ses brigand innommables.
 
C'est sur ce chemin de la douceur supreme
Ou j'ai eu a m'égarer.
C'est sur ce chemin aux richesse  extremes
Ou je t'ai rencontré.
 
Oui toi la miko qui a sus au travers de mes secret voir.
Et a travers mes fêlure te glisser
Oui toi ma miko qui sans le chercher sans le vouloir 
À sus faire de moi d'amour tomber. 
 
Dans ce temple tu m'a montré des délices
Au seul dieu normalement réservés
Dans ton temple tu m'accueilla sans malice 
Et au paradis mainte fois m'emporter.
 
Puis le temps comme une robe glissa, 
Mais jamais notre amour ne se fana. 
Dans ce manteau rouge que tu aimais tant 
Je dus te glisser avec mon cœur mourant.
 
Je me souvient précisément de chaque instant.
Mon cœur en saigne encore jusqu'à présent. 
 
Sur cette route de la soie




*rêverie d'un autre temps volant en ville orange*
Assashin L'Arachcoeur
Assashin L
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Posté le 19/12/2020 à 23:36:08. Dernière édition le 19/12/2020 à 23:47:32 

Le vent dans ses cheveux
 
J'pense la meilleur solution, c'est d'l'arracher.
Couper court t'voit. A la base.
Pasque pas l'faire ça serait D'la torture.
Ouai.. C'est s'que j'vais faire.
D'la torture.
Un petit peu. Juste quelques doigts. Pis t'être un peu sa queu qu'ma dit vouloir fourrer.
E'pis comme j'serais partie. Autant continuer.
L't'aillader les jarret, l'couper les tendons des jambes pis des bras.
Comme ça, 'fra encore plus marionette. A débiter d' paroles sucrées sans les gestes.
S'te bonne idée. 
Bordel les hollo on raison. Dans l'alcool s'cache des vérités. S'profond le cul d'une bouteille.. 
Ouai pis comme jsuis pas un monstre j'finirais part le cou.
Slasssk !
Sec comme ça, s'bon coup de lame et op.
Sentira à vie le vent dans ses cheveux.
Sur la pique ou j'vais la mettre.







*sur un coin de table au coffre, sitôt écris sitôt oublié *
Assashin L'Arachcoeur
Assashin L
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Posté le 31/12/2020 à 19:56:52. Dernière édition le 31/12/2020 à 19:58:19 

Divers texte donné au vent sur plusieur jours. Comme pour emporter avec les paroles ainsi couché

La pluie tombant Drue 
Derverse sur mon âme
Des vagues de nostalgie. 
 
L'âme en peine pleure
Déverse sans vergogne 
Des pluies de douleurs. 
 
Une lame de peine 
Une mer de douleur 
Un phare inatégable. 
 
Dans le noir tout change 
L'obscurité comme cadeau
L'éternité comme prison. 
 
Un feu couvant 
Une faim dévorante 
La violence au jour. 
 
Ho toi l'astre voilé
Lumière vacillante 
Enracine le mal. 
 
Sans chaîne la bête gronde 
Les maillons d'humanité brisés
Sans raison tout est perdu. 
 
Le monstre au grand jour
Du noir de l'esprit 
À la lumière du sang. 
 
Tous se perd 
Rien ne se garde
Pas même la raison 
 
 
Paulus van Tard
Paulus van Tard
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Posté le 31/12/2020 à 20:04:48 

Liste de course :

3 harengs
Un demi-livre d'oignons
Penser à amener le seau à réparer
Huile de coude c'est quoi ça ?
Assashin L'Arachcoeur
Assashin L
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Posté le 04/02/2021 à 01:48:51. Dernière édition le 04/02/2021 à 12:27:41 

Aube et crépuscule. 
 
 
Dans la douce clarté d'un matin morne,
Je me lève de ton absence lassé. 
Les rayons, qui traverse les cimes, ornent
Ma tête comme la couronne que j'ai laissé.
 
Je n'aimerais, ne souhaiterais, ne voudrais pourtant,
Que l'oublier pour ne pas souffrir autant. 
 
Dans la tendre pénombre d'un soir mourant,
Je me couche, dans un lit vide, seul est glacé.
Les rayons de lune m'englobent en tombant, 
Comme un manteau de pénombre oublié 
 
Je ne voudrais, ne pourrais, ne devrais pourtant 
Que la laisser pour ne pas qu'elle souffre autant 
 
Des matins et des nuits inplacables passent
Et mon choix, ma peine jamais ne s'efface 
 
Dans ses multitudes de matins et de soirs passant 
S'est sa main dans la mienne que je rêve, navrant. 
 
Le temps efface, les peines et les douleurs,  il paraît. 
Implacable maître, ton œuvre vite assouvir tu devrais. 
 
Que mon choix, rapidement, je ne regrette, 
Car c'est son bonheur, seul, que je souhaite. 
 
Assashin L'Arachcoeur
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Posté le 06/02/2021 à 19:25:55. Dernière édition le 06/02/2021 à 19:26:14 

A tire d'ailes. 
 
J'ai rencontré une jolie et jeune colombe.
Un oiseau blanc sans une trace d'ombre.
Elle était pure, elle était naïve, a peine débarquée.
Sans une trace d'usure sur ses ailes immaculées.
 
Je me moquais somme toute normalement
De sa jeune et prétendue liberté.
Elle qui, partout, allais accompagné,
De sa nounou et de son aigle bêtement
 
Mais je pus vite constater que sous sa grâce juvénile
Se cachait aussi la dureté en devenir du fer encore fragile.
 
Quelque martelage du marteau de la vie.
Et la colombe très vite aura compris.
Que sous tout bel oiseau se cache.
Un trésor de guerre, des serres qui menacent.
 
La découverte très vite, d'un fauconnier pour son cœur.
Lui permit encore plus d'exprimer ses ardeurs.
 
Ma colombe est toujours bel oiseau.
Mais de ses serres maintenant répond au idiot.
 
Si ce n'est son fauconnier,
Qui de sa pelle viendra trancher
Toute velléité de rancœur
Que à tir d'aile elle crée dans vos cœur.
 
Le mien ? Il regarde son vol amusé et heureux, sourire au lèvre.
En sachant que dans ses mouvements vit une part de mon travail d'orfèvre.


*brouillon du poème envoyé à sita pour morsure volontaire au contre pillage hollandais *
Assashin L'Arachcoeur
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Posté le 28/09/2021 à 15:15:34 

Un monde ancien ce meurt, une aube nouvelle ce lève.
 
Les rêves de gloire , comme les vagues s’écrasent sur la dur réalité du sable.
Le ressac qui en résulte ressasse de vain exploit, petit remous vite calmé.
 
Le seul maitre ultime , qui défie les nations, qui détruit les empires, 
qui créé des dieux , des monstres et parfois pires.
Qui nous les fais priée puis nous force a les oublié….
 
Ce seigneur infâme et cruel ne fais de quartier pour personne.
Rien n’est éternel sinon lui, immuable mais changeant
Et pourtant,
On finis tous part le rechercher , toujours a chercher ses faveur pour qu’il nous en octroi un peu plus.
On tente part tous moyen de graver dans ce que l’on peut, le marbre , le sang ou l’histoire.
pour parvenir a lui résister un instant.
 
Mais il finis part tous engloutir sous ses mouvant mouvement.
 
Le temps..

l'homme repose le sablier devant lui qu'il n'a cessé de retourner encore et encore en reflechissant, un long soupire le traverse et il repart sans regarder derrière lui le sablier coule encore un instant puis avant de terminer  s'arrête gardant suspendus de  précieux grain d'or qui ne coule plus..   
Assashin L'enténébré
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28/01/2008
Posté le 18/09/2024 à 00:40:53. Dernière édition le 18/09/2024 à 00:47:16 

Le vent

Souplement il glisse sur les flots sans un bruit.
Il caresse ici une voile, frôle la un mats. Et s'en va sans un bruit vers la mets azur qui l'attend passé Liberty.
Avec lui ?
Des souvenirs, des brides de conversation. De complot ourdis dans l'ombre au grand mouvement de troupe a la lumière du jours. Au petit secret d'alcôve au grande déclaration d'amour publique.
Ici une plume, un oiseau Messagers ? L'ampoitement d'une flèche ? Ou plus fort qu'une lame celle là même qui fait des traitées?
Là un brin de coton ensanglanté. Échos d'un bandages sauvant une vie ou d'un vêtements brutalement ouvert part une épée ?
Dans son sillage tourbillonnes milles vérité,et des mensonges encore plus nombreux.
Mais il ne juge pas, témoins silencieux qui ne fais que passer pour aller la. Dans l'immensité calme.
Il en a vus des événement, charier bien des choses.
Mais il est las.
Arpenter les couloirs de ses temples maudit, de ses manoirs aux remords, de ses hôtels oubliées mais visité.
 Traverser sans faiblir ses masses montagneuses, ses vallées sauvages, ses forêts luxuriantes.
S'engloutir dans ses cavernes obscures et magiques, en ressortir sifflant d'échos sauvage.
S'avancer dans ses villages indigènes, ses villes nouvelles villes étrangères maintenant bien établis.
Et toutes ses voiles le long des côtes de cette île étrange...
Oui il est las.
Alors voilà, il a décidé de partir, d'emmener avec lui ses souvenirs, ses conversations, son souffle qu'il n'a plus.
Le vent s'en va ailleurs.

* Laissé au vent avant de d'embarquer pour le continent régler ses différents familiaux 
 

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