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Dans le Manoir... Le Borgne a trouvé Rafaella 1 2 -3- 4  
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Posté le 03/06/2006 à 11:10:50 

Don Vito Corleone , apres avoir achever ce Leon , s'approchit doucement de tequila ayant besoin de soin il la vola , mais a sa grande surprise son sabre tomba de son etuis et vint s'affoncer dans le pied de cette charmande tequila. Elle s'écroula sur le sol , il fit tout son possible du bouche a bouche , ets ...pria dieu pour qu'elle ne meurs pas ..mais s'était deja trop tard . HRP:navré tequila ^^
John Ch "le borgne" Rackham
John Ch "le borgne" Rackham
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20/10/2005
Posté le 03/06/2006 à 11:53:59 

le borgne toujours au chevet de la charmante Rafaëlla, venait t'entendre le dernier cri de sa soeur Téquila ... - borgne .... je ne ... pou rrai pas .... aaa ... - swouf- en une seconde, il senti la fureur s'emparer de lui NOONNNNNNNNN TEQUILAAAAA NONNNNNNNN PUTANA D'ESPAÑOLES .... le borgne était dans une rage folle ... mais il fut vite calmer .. son habitude de la mort repris le dessus ... encore une fois de vieux souvenirs refirent surface ... un ami ... un géant ... un homme en noir ... la douleur ... il ressenti de vieux sentiments .... puis il referma son coeur à la vitesse de l'éclair et l'adrénaline remplaca le sang qui coulait dans ses veines .... il se retourna vers la femme qui était juste à coter de lui, et lui soupira .. qui es-tu donc, toi que les espagnols ne veulent sauver ?
El máscara oscura
El máscara oscura
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10/11/2005
Posté le 03/06/2006 à 12:50:31 

mendosa fout de rage sorti de l'hopital de fortune, il venait d'etre mis au courant des evenement de la matinée. Corleone je t'avais prevenue, je ne suis pas homme de menace comme je te l'avais souligné, les menaces sont pour les faibles, ce que j'annonce je le fait. A peine entra t'il dans le couloir qu'il appercu 'le malin' mais celui ci semblé fatigué et peu enclin à pour riposter en cas d'attaque, mendosa decida alors de le laiser traquille et lui fit une reverence en pensant tout lui montrant les mains en l'air qu'il n'etait pas la pour se battre Ou est tu corleone? Mendosa fouilla la demeure et vit alors corleone caché dans la salle à manger, il ajusta alors son tromblon Vous ne voulez pas vous disciplinez eh bien soit, je vais vous l'aprendre à coup de plomb. Mendosa fit alors feu et une volée de plomb atteigni corleone qui s'effondra, mendosa se mit alors à genoux et fit un signe de croix , il se releva et attacha ses armes, afin que lors du prochain combat si il devait y avoir son adversaire ai forcement le temps de l'achever avec qu'il puisse degainer, Mendosa en avait assez et avvait decidé de se rendre Le borgne j'arrive, je prefere me rendre et pouvoir soutenir rafaella que voir une telle bande d'incapable et d'irresponsable risqué sa vie. Mendosa monta alors les escaliers et croisa la nonne bien affaibli, son tromblon etait encore chargé mais il etait décidé, les pirates tiennent une otage certes , mais il tiennent plus à sa vie que la plupart des hommes dans le manoir, il fit signe à la nonne pour lui montrer qu'il n'etait pas la pour se battre et que ses armes etait attaché et continua sa route. Demonio, yé suis la, laisse moi voir rafaella, yé né souhaite plus me battre contre toi, tu respecte sa vie contrairement au autres alors accorde moi cela laisse moi la veiller....
Kigon
Kigon
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11/11/2005
Posté le 03/06/2006 à 13:12:10 

*Kigon s'eveille suite au vacarme à l'étage. -C'est quoi se bordel!On peut même plus dormir tranquil! *Kigon monte a l'étage et se retrouve nez à nez avec la Nonne encore couverte du sang de l'espagnol gisant a ses pieds. "On dirait que mes compatriotes ont attaqués. Ils auraient au moins pu me reveiller. *Suite à une passe d'arme rapide il enleve les dernieres forces de la Nonne. -Bon, une bonne chose de faite *Kigon s'aventure plus loin à l'étage lorsqu'il remarque Le Borgne et Mary Read au fond d'une salle lugubre. "Oula ca s'annonce mal. Rafaella n'est pas la, on va en profiter pour arroser le tout d'un peu de plomb. "Ptin c'est long à rechargé cette petoire -Bon quand faut y aller... POUUMMM!!!!! *Mary Read s'effondre sur le sol. Alors que Le Borgne est legerement touché. "Bon au moins j'aurais pas à m'occupe d'elle. -En garde le Borgne *S'en suis un âpre combat au cours duquel Kigon recoit un coup extremement violent du Borgne. *Kigon espera que quelqu'un finirait se qu'il avait commencé pour que cette prise d'otage finisse enfin alors qu'il s'évanuissait.
La Nonne
La Nonne
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29/11/2005
Posté le 03/06/2006 à 13:25:26 

* Azalée sortie de l'hôpital pas très loin derrière Drake. Tout en avançant elle marmonnait * Je termine toujours les confessions que je commence, question d'éthique ! Rafaella, je vais faire tout mon possible pour vous rejoindre avant l’irréparable. Cette petite est tellement croyante que je ne voudrais pas qu’elle trépasse sans au moins avoir eu l’impression de vider sa conscience… pan … pan pan… pan ! * Les balles fusaient * Aiiiiiyeu ! Lachez vos pétoires et venez vous battre espèces de lâches ! * criblée de balles elle avait de plus en plus de mal à avancer. L’escalier du premier étage n’était plus qu’à quelque mètres…mais, un bonheur n’arrivant jamais seul, une momie accompagnée de son meilleur ami squelette lui sautèrent à la gorge. Bien remontée, elle leurs mis une paire de claques à chacun avant de continuer car des espagnols lui filaient le train. La religieuse utilisa ses dernières force pour se hisser en haut de l’escalier mais, les pertes de sangs étant trop importantes, elle s’adossa au mur en attendant ses pour suivants, immobile. Polisson ne se fit pas attendre et savoura le fait de voir sa proie sans force. Il colla son tromblon sur le front de la religieuse et appuya sur la gâchette et…rien, l’arme était enrayée. Il sorti alors son épée mais la Nonne retourna ses coups sur lui dans l’énergie du désespoir. C’est alors que Mary Read surgit de l’ombre et égorgea d’un coup sec le tireur malchanceux. * Tenez bon ma soeur, je dois faire le ménage mais je reviens vous voir juste après. * Ensuite tout se brouilla, elle eu un vague souvenir de Mendosa ayant un geste de paix… des craquements du plancher,…une pensée pour Rafaella n’ayant personne à qui se confier…et la sensation du canon froid de Kigon sur sa tempe. Cette arme là ne s’enraya pas *
John Ch "le borgne" Rackham
John Ch "le borgne" Rackham
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20/10/2005
Posté le 03/06/2006 à 13:32:22 

le borgne, qui s'était effondré de fatigue suite aux combats consécutifs et aux nuits de peu de sommeil à veiller Rafaëlla, fut réveillé en sursaut par des coups de pétoir assourdissants ... relavant la tête ... il pu voir Mary couchée par terre ... il prenait sa lame quand il vit devant lui, pratiquement à bout portant, Kigon .. le redoutable tireur ... il savait qu'a cette distance, celui-ci ne pouvait le manquer.... BOUM BOUM BOUM BOUM quatres coups de feu retentirent dans la chambre ... le borgne s'effondra au sol sous le choc .... il avait pris une balle dans le bras gauche, lui faisant lacher son propre pétoir, une autre un peu plus haut ... proche de son épaule .... la troisième balle l'avait atteint dans le ventre et la dernière partiquement au même endroit ... FUMIER ... C'EST DONC TOI KIGON ... LE TIREUR .... il le voyait .. là .. à un mètre de lui ... essayant de recharger son pétoir ... encore une fois, la rapidité du borgne devait lui sauver la vie .. avant que son ennemi n'ai réussi à pointer son arme sur lui pour l'achever ... il lui avait sauté dessus ... l'adrénaline qui avait remplacé son sang depuis la mort de sa soeur Téquila le mentiendrait debout jusqu'a la fin ... le combat qui s'ensuivit fut d'une brutalite tel que seul le borgne pouvait en être capable le malheureux kigon, fut-il un dieu au pétoir, ne valait pas un clou devant un combattant aguérri tel que le borgne dont le bras et la lame ne faisait plus qu'un. Blessé de toute part par les balles de celui-ci, le borgne lui imprima son nom sur le torse avec son propre couteau ... c'est dans des souffrances terribles, aveuglé par la rage de la mort de sa soeur, écoeuré par le fait qu'aucun espagnol ne semblait vouloir le survie de Rafaëlla que le borgne décida finalement de mettre fin à Kigon ... il le scalpa d'abord, lui trancha les oreilles et l'égorgea lentement Kigon se noyait dans son propre sang , secoué de spasmes ...le borgne, épuisé, s'écroula à terre sur les genoux et regarda le chien pris de convultion devant lui ... - le borgne .. le borgne laisse moi venir ... je prefere me rendre et pouvoir soutenir rafaella il entendit une voix et reconnu celle de son ennemi Mendosa ... enfin ... tu . .as .... compris ...... et dans un dernier élan . il lui cria ... Mendosaaaa ... monte ..... vite ... Ra.. fa... ëlllllll aa http://img90.imageshack.us/my.php?image=lafinderafaella2bz.jpg
Lord Hawk
Lord Hawk
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04/01/2006
Posté le 03/06/2006 à 13:54:39 

*Lord Hawk, dans un lit du manoir, pas très confortable d'ailleurs, avait vu son frère Drake sortir de bonne heure. Il y est revenu très rapidement. A cette vu, le sang de Hawk ne fit qu'un tour, il bouillonait ! Et encore, quelques minutes après c'est ses soeurs Mary et La Nonne qui les rejoignaient ! C'était décidé, puisque seul Mendosa avait compris la gravité de la situation, il serais le seul a ne pas tomber sous la furie d'un des frères de la côte très énervé !* Attendez que je sorte mes amis spanish, vous allez vous en souvenir ! *S'adresse a ses frères et soeurs* Je vous vengerait ... je vous le promet ! Le borgne attend moi ... J'arrive !
Doña Luna
Doña Luna
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03/04/2006
Posté le 03/06/2006 à 19:38:58 

Rafaella est parcourue d’un frémissement. Elle se tourne vers le Borgne, les yeux complètement dans le vague. Son visage, pâle comme un linceul, fait penser à un ange, malgré la déchirure violacée purulente qui court le long de son cou. Dans un murmure elle lui dit : « Azalée, prenez ma bague. C’est important ! Je me sens tellement faible. Vous êtes la capitaine et je sais que je peux vous faire confiance, j’ai fais beaucoup d’erreur dans ma vie, j’ai laissé beaucoup de gens souffrir par ma faute. Et ma mort risque de ne servir à rien. Quittez ce lieu maudit, ce manoir ne contient que des morts et tant que vous resterez, ceux ci s’accumuleront encore. Azalée ce sont mes dernières volontés ! » Rafaella a haussé un instant le ton et un immense frisson l’envahit de nouveau. « Laissez les miens, mon sang n’est pas fait pour signer des déclarations de guerre. Dites aux miens que ce sont mes derniers souhaits. Par respect pour tout ce que j’était je ne veux pas qu’une bataille porte mon nom. Je ne voulais que la paix. » Le regard et la voix de Rafaella semble pendant un instant perdurer. Mais l’étincelle qui l’animait semble cette fois s’être définitivement éteinte. Sa main droite est légèrement tendue vers le Borgne comme pour l’inviter à prendre la bague sertie d’ambre dont elle parlais. Ses yeux noirs sont ouverts et son regard est calme et bienveillant comme c’était si souvent le cas, de son vivant.
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Posté le 03/06/2006 à 19:50:17 

Alejandro fut parcouru d'un frisson. C'était chose courante en ce lieu et pourtant celui-ci était particulier. Il leva doucement les yeux au plafond qu'il contempla en silence. non murmura-t-il...
John Ch "le borgne" Rackham
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20/10/2005
Posté le 03/06/2006 à 20:03:08 

quelques heures avaient passés dans ce manoir le borgne s'était éveillé en sursaut, les cauchemars avaient eu raison de sa fatigue ... il se leva et alla près de Rafaëlla qui délirait ... doucement, il la souleva et la pris dans ses bras .... il entendait à peine sa respiration .... les battements de son coeur étaient très faibles, à peine pouvait-il les sentir ... Rafaëlla .. Rafaëlla .... reste avec moi .. reste avec moi je t'en prie ... Dios ... Diossss entend ma voix et sauve là .... le borgne était désespéré .. il savait que le meurtre de Téquila, seul chirurgien capable de la sauver avait été le meurtre de trop ... il était annonciateur d'un grand malheur ... et celui-ci se passait juste ici, dans ses bras ... Mendosa ... Mendosa .... pourquoi as-tu mis autant de temps à comprendre mon ami ... ses pensées se perdaient dans les méandres de son esprits ... une seule chose comptait à présent, il porterait Rafaëlla avec ses dernières forces vers son funeste lit ... http://img475.imageshack.us/my.php?image=lamortderafalla6fu.jpg Rafaëlla ... voilà ... tu seras mieux ici ... respose toi maintenant ... que ton âme meurtrie soit soulagée de tes tourments ... celà faisait tellement longtemps que le borgne n'avait plus versé une larme ... la dernière fois ... il senti cependant quelque chose dans ses cheveux Rafaëlla, dans un dernier sursaut, venait de lui tendre la main ... elle parlait dans le vide .. yeux mi-clos ... souffle court ... il avait du mal à comprendre ... il se rapprocha de sa bouche et senti son souffle si près qu'il cru l'embrasser ... prend ... ma ....ba ...gue ... la .... no ... nne .... le borgne pris la main de Rafaëlla dans la sienne et la serra de toute ses forces ... Rafaëlla dit-il dans un murmure lorqu'il senti son dernier souffle, el demonio avait pris la place du borgne
Boulito del chocho
Boulito del chocho
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21/04/2006
Posté le 03/06/2006 à 20:14:49 

Boulito entendit le manoir lui meme gémir , un cri comme étouffé .. celui savait d'ou il venait , et savait ce qu'il signifiait .. mais il n'osait pas y croire .. il n'osait pas s'imaginer la scène, des images terribles défilaient. Boulito fit le tri, chassa ses mauvais démons .. puis tenta de retrouver ses esprits, il respira profondement puis : une chose est sure : cette voie etait celle de Rafaella Et dans un élan de desespoir , boulito se mit à hurler : Dona tenez bon , vous ne pouvez pas nous laisser .. je ne vous ai pas encore offert la rose que je vous avais promise !!! Votre heure n'est pas venue .. accrcohez vous !! Boulito savait qu'il ne faisait pas le poids face au terrifiant le Borgne , il avait d'ailleurs déjà perdu un bras .. mais pour dona, il etait pret à lui donner son deuxieme
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Posté le 03/06/2006 à 20:14:58 

Au moment précis où les dernières paroles de Rafaella s'échappaient de ses lèvres, le vent faisait claquer les fenêtres du monastère Saint-James à l'autre bout de l'île. Sifflant, soufflant, tournoyant dans la cour de l'abbaye, il apportait avec lui des nouvelles de malheur, de tristesse et de deuil. Rafaella... Elisabeth releva la tête. Sa journée s'était révélée particulièrement éprouvante : la troupe hollando-française chargée par les Moines de les débarasser des morts-vivants hantant leur cave à bière s'est fait attaquer à maintes reprises par des momies particulièrement coriaces, et Elisabeth saignait, une large entaille le long du bras. Elle n'aimait pas ce vent. Il était obscur et désagréable. Il portait en lui une peur sourde, une douleur latente. Rafaella... Mais pourquoi lui semblait-il tant que le ciel pleurait ? Ce n'était qu'une tempête, rien de plus... Pourquoi l'atmosphère lui donnait-elle autant envie de pleurer elle aussi ? La fatigue, rien que la fatigue. Et pourquoi le vent parlerait-il de Rafaella ? Elle devait être loin d'ici, probablement à Esperanza, fêtant la grande victoire acquise par les Espagnols au dépend des pirates. C'était la dernière missive qui était parvenue au monastère en provenance de l'Espagne.... Rafaella... Pourquoi pensait-elle à Rafaella ? Une amie, une vraie, mais sans jamais l'avoir vue. Intègre, loyale, honnête... Prête à tout sacrifier pour la justice. Pour vivre dans la fierté. Pourquoi ce sentiment bizarre, ce creux dans l'estomac, cette sensation de vide ? Pourquoi s'inquiéter, un soir comme celui-là, alors que justement... Rafaella !!! Un cri rompt le silence du monastère. Elisabeth se lève aussitôt, comme tous ses voisins. C'est un message. Une lettre arrivée par pigeon. Tout le monde se presse autour du destinataire pour savoir de quoi elle parle. Tout le monde sauf Elisabeth. Elle a trop peur d'apprendre la vérité, elle ne veut pas connaître la suite. Mais elle s'approche et arrache la feuille de papier des mains de son propriétaire. Puis elle s'éloigne, sans un mot. Personne ne tente de la récupérer, tous ont vu l'expression sur son visage. Elle lit : Cher *illisble* Je vous écris du manoir hanté où la situation est *illisible* borgne s'est emparé de Rafaella Salazar et l'utilise comme *illisible* Don Mendosa et les autres Espagnols sont en train de *illisible* semblerait que Rafaella soit blessée, nous ne savons *illisible* Cordialement, *illisible* Sans un mot Elisabeth rend la lettre aux autres. Elle en sait plus qu'eux de toute manière. Elle sait que Rafaella est morte. Le vent et son coeur le lui ont dit. Ce creux dans l'estomac, cette sensation de vide, c'est exactement ce qu'elle avait ressenti à la mort de Marcus. Ou non, plus exactement à la mort de sa soeur. Parce que comme pour sa soeur, elle sait exactement qui a tué son amie. Le Borgne. Le Borgne et les autres pirates. Mary Read. La nonne. Drake. Ces voleurs sans foi ni loi, ces bandits anarchistes, ces ennemis de la liberté et de la justice... Cette fois-ci ils sont allés trop loin. Ils ont tué une femme, la plus intègre qui soit, une amie. Ils paieront cette dette jusqu'à la fin de leurs jours. Elisabeth s'allongea contre une colonne de marbre. Elle sortit une dague de sa tunique et en contempla les reflets argentés, y cherchant la vérité et le chemin à suivre. Puis elle s'incisa légèrement la joue, en l'honneur de Rafella et pour ne jamais oublier sa mort. Regardant le sang goutter de sa joue et tomber sur les dalles du monastère, elle jura qu'à part des pirates, plus un seul ennemi ne tomberait sous sa lame avant qu'elle n'ait vengé Rafaella en tirant une balle dans le crâne du Borgne. Elle se releva et commença à se diriger vers la sortie du monastère. Le manoir était loin, les pirates l'étaient tout autant. Mais elle n'aurait pas de repos avant d'avoir accompli sa vengeance...
El máscara oscura
El máscara oscura
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10/11/2005
Posté le 03/06/2006 à 20:28:55 

mendosa venait d'arriver dans les chambres de l'etage , et la vision de le borgne, portant la depouille de rafaella, lui fit un choc, mendosa tomba les genoux à terre. sur son visage se lit la tristesse et la colere, la colere d'avoir était impuissant et d'avoir été trahi par ceux qu'il avait toujours tenté de proteger...., et la tristesse d'avoir vu disparaitre aujourd'hui en parti par sa faute, la douce madrilena qui n'etait que fraicheur et sagesse, la tristesse de se sentir abandoné par le peuple d'esperenza en qui il croyait et en qui il avait toute confiance, certes mendosa si il pouvait rationaliser à ce moment precise saurait que seul certains sont à blamer mais dans ce moment de choc il en veut à la colonie toute entiere, que peut il faire mainteant ou peut il aller? à esperenza ? cela serait possible mais sa lame ne pourrait rester dans son fourreau en voyant les assassins de rafaella. Mendosa se retrouve donc a genoux devant la depouille de rafaella et le borgne, completement perdu. El demonio, aide moi, dis moi que faire... elle t'a accordé sa confiance et son dernier souffle, aujourd'hui je suis las de tout cela.. Mendosa baisse alors tete et ne dit plus un mot devant le corps encore chaud de la madrilena et devant le borgne plus que jamais courroucé.
Velvet
Velvet
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13/03/2006
Posté le 03/06/2006 à 20:52:06 

Velvet n'arrivait pas à dormir. Quelle idée de passer la nuit dans les égouts ! L'odeur la rendait malade. Et les grattements et clapotis des rats résonnant dans les tunnels n'arrangeait pas les choses. Soudain elle entendit des jurons en Espagnol venant de plus loin dans le boyau. Elle tenta de les ignorer, mais quand ils se muèrent en sanglots et de cris de "Rafaëlla !" elle n'y tint plus et se leva. Le colonel Zapata était en pleurs, une lettre commençait à prendre l'eau près de lui. Velvet la ramassa... commença à la lire... elle s'assit comme si elle avait reçu un coup à l'estomac. Elle n'avait pas senti ça depuis que Jerk... Elle secoua gentiment l'épaule de Zapata Ce n'est pas vrai... Il se trompent n'est-ce pas ? Ne recevant pas de réponse, elle secoua plus fort Arrête Zapata ! Il y a une erreur, pourquoi quelqu'un voudrait-il tuer Rafaella ? D'où vient cette lettre d'abord, tu ne la prends pas au sérieux quand même ! Sois - IIIIIIH ! Un rat venait de lui tomber sur l'épaule ! MAIS JE M'EN VAIS TE TORDRE LE COU ESPECE DE - oups... Elle détacha le rouleau de papier miraculeusement sec du cou du défunt rongeur mais ne lut que les deux premières lignes avant de le jeter dans l'eau puante Mais c'est pas vrai ! C'est pas vrai c'est quoi ce bordel !! Velvet se laissa tomber sur contre le mur... Elle ne pouvait le croire et pourtant... La rage contre ces pirates, contre le Borgne, contre ces Espagnols qui n'étaient même pas capable de sauver leur meilleur élément se disputait avec une profonde détresse. Comment était-ce possible ? Comment avaient-ils pu la laisser mourir ? Un des rares Espagnols qu'elle respectait... Non, qu'elle aimait comme une soeur même s'il elle ne l'avait jamais rencontré en personne... Et maintenant cette rencontre ne se ferait jamais... Elle fondit en larmes, faillit tomber dans l'eau souillée. Et là Velvet fit une chose qu'elle n'avait plus fait depuis longtemps, pour la belle Madrilène qui avait montré à tous la signification de l'honneur et de la piété... Velvet se mit à prier.
Johann Faust, dit 'le Docteur' (Daisuké)
Johann Faust, dit
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12/03/2006
Posté le 03/06/2006 à 21:27:09 

Daisuké avait quitté le soleil et la chaleure du nord de l'ile quelques jours avant la prise du manoir par les pirates. Il avait ete tenu au courant de se qui s'y passait par les espagnols qu'il croisait, par les oiseaux interceptés, par les rumeures. On disait que Rafaella etait mal en point. On disait que le combat opposant espagnols et pirates faisait rage et que le sang coulait a flot. Mais il n'y avait pas que mauvaises nouvelles: on disait aussi que Mendosa etait aux commandes. On disait que Tequila etait en route. De nombreuses fois Daisuké voulu rejoindre le manoir mais quelque part en lui, une voix lui disait qu'il n'avait rien a y faire, qu'il generait. Peut etre meme qu'il pourrait etre la cause d'un accident plus grave, plus important de cause. Il suivait donc l'affaire avec interet, priant pour que le moins de victimes possibles tombent au combat aujourd'hui, et demain. Pourtant, aujourd'hui fut un jour faste: la demoizelle espgnole perdait en vitalité et Tequila etait retardée. Les pirates epuisés a veiller etaient debordés et la 'Madrilena' ne pouvait qu'en souffrir, sur son lit de fortune. Pire; on apprit la triste nouvelle; la soigneuse etait tombée. On l'avait tuée. Tard dans la soirée, la mort de l'espagnole fut annoncée. Au plus grand desespoir de tous, le toccin fut sonné et la vie s'arreta un moment. Les uns lacherent leurs armes, d'autres prierent, d'autres encore pleuraient. C'etait fini. Des larmes perlerent sur le visage de daisuké qui s'aguenouilla, la tete entre ses bras, plus triste que jamais. C'etait fini...
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Posté le 03/06/2006 à 22:14:10 

Des rumeurs, des messages... Les mots de Tequila se promenaient sur tout l'île... "Et c'est ça de croire que les Espagnols peuvent être de parole" Alejandro, la tête baissée et le regard fixé sur le sol, tremble de tous ses membres. Il parle d'une voix hachée, des murmures mais ses mots portent quelque chose de fort. Très fort. Trop fort.. Tequila. Tais toi s'il te plait. Ne dis plus rien et vas t'en. Je ne. Je ne veux pas. Je ne veux pas que cette rage. Que cette rage que j'ai contre tes frères m'aveugle et t'englobe. Vous avez. Vous avez tué. Tué Rafaella. Votre soif de sang. Votre désir de l'or. VOUS. Vous. vous... AAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHRGGG Tel une digue qui lache, la haine envahit Alejandro. Lorsqu'il releva la tête, son regard fixe et ses yeux injectés de sang le faisait paraître à peine humain SOYEZ MAUUUUUUUDIIIIIITS ! hurla-t-il dans le manoir
John Ch "le borgne" Rackham
John Ch "le borgne" Rackham
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20/10/2005
Posté le 03/06/2006 à 22:40:16 

le borgne savait que demain, il aurait une horde de chiens enragés à ses pieds ... pour la dernière fois, il jeta un regard vers la madriléña ... il serait tout seul pour la veillée funèbre http://img479.imageshack.us/my.php?image=ladernireimagederafalla2yq.jpg
Boulito del chocho
Boulito del chocho
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Posté le 03/06/2006 à 22:59:30 

Boulito qui enrageait dé voir les pirates faire semblant d'etre triste .. N'ouliez pas que tout ceci est de votre faute Le Borgne et de celle de tous vos freres.. meme si vous viviez toutes les vies que vous avez volé , vous ne pourriez pas vous faire pardonner .. Ravalez vos larmes de crocodile , ou nous vous les ferons ravaler A hatiser la haine et la violence .. voilà ou vous avez mené Liberty .. au deuil d'un etre aimé de tous .. Boulito qui avait le poing fermé et ensanglanté , ne s'était pas rendu compte que c'était son fleuret qu'il serrait .. Il tremblait de rage , puis .. une larme .. puis une deuxieme .. C'était la premiere fois , il ne savait pas si il devait avoir honte , ou pleurer d'avantage .. mais ce qu'il savait c'est que ce serait la derniere fois ..
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Posté le 04/06/2006 à 01:46:56 

Alejandro n'avais certainement pas prévu de dormir. La nuit serait longue mais la hargne qui lui tordait le ventre l'empecherait même ne serait-ce que de se coucher C'est sans doute cette rage qui bourdonnait dans ses oreille qui fit qu'il n'entendit pas son aggresseur se glisser derrière lui et poser son tromblon sur sa nuque. BOUM ! BOUM ! Alejandro s'était légerment tourné et c'est sans doute ce qui l'avait sauvé d'une mort certaine. Il dégaina son épée et fit volte face pour combattre ce chien de pirate qui l'avait pris par surprise et resta figé devant Mimille l'Hargne Gueule. A la place de la tenue noire des frères de la cote, son agresseur arborait un uniforme de Français. Profitant de la surprise d'Alejandro son agresseur lui assena un coup de taille qui lui déchira la hanche. En s'écroulant Alejandro mumura... hijo de puta de Frances... ici... maintenant... Alors qu'à l'étage Rafaella... Avant de sombrer Alejandro vit Mimille se glisser derrière Bobby pour lui reserver le même sort, jouant ainsi le jeu des pirates...
Louis-Philippe Armand de Maupertuis
Louis-Philippe Armand de Maupertuis
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12/03/2006
Posté le 04/06/2006 à 02:20:02 

Jour 2 Le soleil était déjà haut dans le ciel quand un vacarme arracha Louis-Philippe Armand de Maupertuis des bras de Morphée. Une piqure au flanc et un bourdonnement aux oreilles plus tard, il pivota sur le flanc, et s'empara de sa lame. Il n'entendait plus un bruit, peut-être son agresseur allait-il avoir la sagesse de... Il sentit des mains baladeuses fureter dans son dos. D'un arc de sa lame, aussi inexorable que la course de l'astre solaire, il envoya rouler la tête du voleur, anglais, à quelques pas de là... Rafaella... Il avait un sombre pressentiment, qui obscurcissait l'horizon bien plus sûrement que les nuages dans le lointain. Vers le manoir. Une détonation retentit, quelque part sur l'île. Elle avait quelque chose d'inquiétant, de... Il accéléra le pas. Puis il entendit un cri. Déchirant, celui-ci ancra un peu plus une funeste certitude dans son esprit. A l'ouest, New Kingston, mais il n'avait pas le temps de s'y attarder. L'obscurité étendait déjà son voile d'ombre sur Liberty, l'orage menaçait. Il aperçut des anglais, et demanda des nouvelles du manoir. Le manoir ? Quoi donc, le manoir. Rien, rien que de l'incompréhension, de l'indifférence. La colère menaçait de l'emporter sur la courtoisie, quand il apprit enfin la terrible nouvelle. Le tonnerre éclata dans le lointain, lame venue du fond des âges se briser sur la falaise d'espérance au bord de laquelle son coeur vacillait ces derniers jours, il sentit celle-ci s'abymer dans un gouffre ténébreux, et la douleur de milles échardes transperça ses membres engourdis par le froid des flots de douleur qui submergeaient sa raison. Il tomba à genoux, balayé par le désespoir aussi sûrement que la faucheuse moissonne les âmes. Et il pleura, et ses larmes semblaient bien dérisoires face au chagrin des cieux, qui pleuraient toutes les larmes de leurs cumulus. Rafaella. Eteinte. Trois coups. Le drame est joué, et le destin s'est bien joué de moi ! C'est un rideau d'averse qui s'abat sur la scène de Liberty... Rafaella, ma belle, pourquoi toi, si libre et indépendante, juste et fière, généreuse et... Qui ? Qui a par sa cupidité, par son fol orgueil, causé la perte du joyau d'Esperanza ? Les pirates. Et les espagnols... La peste soit de vos deux maisons... La peste soit de vos deux maisons ! Seul le tonnerre fit écho à ses imprécations.
RIP
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Posté le 04/06/2006 à 10:47:05 

Alejandro regarda ses compatriotes, ses compagnons d'arme ce matin. Il était fier d'être à leur coté. Don Articho avait helas été envoyé à l'hopital ce matin même par Lord Hawk, il ne pourrait finalement pas participer. De souza y Fernandez était là près à l'action mais il avait visiblement mal guerri de ses blessures de la veille et il perdit conscience avant l'assaut. Alejandro se tourna vers ses compatriotes l'air grave et leur annonca : La cible prioritaire est Le Borgne. L'objectif principal est de récuperer le corps de Rafaella. Les combattants se mirent en marche de concert. Raul Bravo partit en eclaireur à l'étage et signala qu'il n'y avait à priori plus personne mais rompit le contact trop rapidement. Burrito Del Corrazon monta donc à son tour vérifier les dires de Raul et confirma. Boulito Del Choco fit un crochet pour vérifier l'entrée du cimetierre qui était vide lui aussi. Kigon, Boulito et Alejandro se dirigèrent donc vers la cave. Boulito fut stoppé par une horde de momies et lorsqu'il parvint à en venir à bout, il était trop essouflé pour continuer. Alejandro et Kigon continuère donc tous les deux, esperant debusquer la bête sanguinaire afin de faire parler leur enormes tromblons. Helas ils ne trouverent pas le borgne. A l'entrée de la cave il n'y avait qu'Alessandro. Kigon attendait son ordre de tir. Alejandro hesita. Il appreciait jadis Alessandro, il le respectait... Mais aujourd'hui c'était un ennemi mortel. Un ennemi de sa nation, et son devoir devait passer avant ses considérations personnelles. FEU! Leurs deux balles durent toucher Alessandro en même temps et sous l'impact celui-ci fut projeter contre le mur. Alejandro ne tira plus, il avait fait son devoir et Alessandro s'affala sous les balles de Kigon. Ils étaient maintenant à bout de souffle, très mal en point. Alejandro savait qu'ils ne passeraient sans doute pas la journée et qu'une des brutes sanguinaires leur tomberait dessus. Mais ils périraient fierement pour leur pays. Mais la Rage de ne pas avoir trouvé Le Borgne enflait et Alejandro tremblait de plus en plus. Il n'avait rien sous la main pour se défouler ! Il aurait voulu pouvoir cogner quelque chose ! Quelqu'un ! Même un bête chien de l'enfer ! N'importe quoi ! Un cochon tueur égaré ! Un rat arthrytique ! La plus insignifiante des chose aurait suffit ! C'est à ce moment que Sam le paria débarqua en trottinant et en chantonnant. L'espace de 4 balles, Alejandro cessa de trembler...
SoCr4t3
SoCr4t3
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05/04/2006
Posté le 04/06/2006 à 12:03:49 

Tacos arrive enfin aupres de Rafaella et découvre qu'il ne reste plus qu'un cadavre inerte sur le quel repose doucement une rose rouge...
El Padre
El Padre
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07/02/2006
Posté le 04/06/2006 à 20:59:27 

El Padre est en pleine jungle au center de l'ile quand il croise un ami espagnol. Celui-ci lui racontant ce qui venait de se passer au manoir, le pretre eut une réaction inattendue: Il se mit alors a genoux, les mains aux ciel, le visage plein de larmes, commence alors une priere, que dis-je, un hurlement de mots, une sorte de dialogue entre deux ennemis: "DIOS, Yé t'avais pourtant obéis, y'avais fait tout ce que tou m'avais demandé, yé l'avais prévenoue de mon amour pour qu'elle mé fouit, ce qu'elle avait fait. Et maintenant que tou me l'as retirée, tou me la retire oune nouvelle fois. Le fait que ce soit les pirates est un faux prétexte... TOU ES LE SEUL COUPABLE DE SA MORT !!! TOU ME DEGOUTE, TOU ME POUNIS ALORS QUE Y'AI PASSE MA VIE A TE SERVIR !!! RENDS LA MOI.....!!! REDONNE MOI CETTE FEMME QUE Y'AIME, LAISSE LOUI ENCORE VIVRE CE QU'ELLE A A VIVRE SI TOU VEUX QUE YE CROIS ENCORE EN TOI !!!" Puis le pretre se redresse, regarde les personnes autour de lui et vide son chargeur sur la premiere personne venue... Des larmes de sang coulant sur ses joues...
Dbsman
Dbsman
Déconnectéparia
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28/10/2005
Posté le 04/06/2006 à 21:14:11 

*Dbsman, en route pour le manoir, vit un oiseau se poser devant lui.Il se baissa puis ramassa le papier que l'oiseau avait laché de son bec. Lorsqu'il finit de lire le papier, une grande tristesse pouvait se lire sur son visage. Dos a un arbre, il se laissa glisser sur ce dernier puis, assit, il se recroquevilla sur lui meme et il ne fit plus rien, tel un corps inerte*
Boulito del chocho
Boulito del chocho
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21/04/2006
Posté le 05/06/2006 à 17:10:59 

Boulito qui avait traversé la manoire de son pas le plus rapide, atteignait enfin cette chambre .. Elle était vide , les gens avaient l'air de bien respecter ce qui était inscrit sur l'écriteau accroché à la hate avec deux coutelas . Elle était vide .. L'ambiance était pesante , étouffante ..tellement opressante que cela lui provoquait des hauts le coeurs mais il se devait de tenir Boulito referma la porte derriere lui, puis prit la premiere chaise venue pour bloquer l'entrée Nous ne pouvons etre qué dos , y vous Dios .. Boulito les yeux toujours baissés s'approchait du lit, la seule fenetre de la piece donnait sur le lit .. Rafaella brillait , elle était illuminée , on aurait dit un ange .. oui c'est cela un ange .. ! Elle avait rejoins les siens. Désormais Boulito savait qu'elle n'était plus .. Voilà la rose qué yé vous avais promis ma chere ..
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Le forum > Taverne > Dans le Manoir... Le Borgne a trouvé Rafaella


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