Le Faux Rhum
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Dans le Manoir... Le Borgne a trouvé Rafaella
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Posté le 03/06/2006 à 11:10:50
Don Vito Corleone , apres
avoir achever ce Leon , s'approchit
doucement de tequila ayant besoin de soin il la vola , mais a
sa grande surprise son sabre tomba de son
etuis et vint s'affoncer dans le pied de cette
charmande tequila.
Elle s'écroula sur le sol , il fit
tout son possible du bouche a bouche ,
ets ...pria dieu pour qu'elle ne meurs pas ..mais s'était deja
trop tard .
HRP:navré
tequila ^^ |
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Posté le 03/06/2006 à 11:53:59
le borgne toujours au chevet de la charmante Rafaëlla, venait t'entendre le dernier cri de sa soeur Téquila ...
- borgne .... je ne ... pou
rrai pas .... aaa ... - swouf-
en une seconde, il senti la fureur s'emparer de lui
NOONNNNNNNNN
TEQUILAAAAA NONNNNNNNN
PUTANA D'ESPAÑOLES ....
le borgne était dans une rage folle ...
mais il fut vite calmer .. son habitude de la mort repris le dessus ... encore une fois de vieux souvenirs refirent surface ... un ami ... un géant ... un homme en noir ... la douleur ... il ressenti de vieux sentiments .... puis il referma son coeur à la vitesse de l'éclair et l'adrénaline remplaca le sang qui coulait dans ses veines ....
il se retourna vers la femme qui était juste à coter de lui, et lui soupira ..
qui es-tu donc, toi que les espagnols ne veulent sauver ? |
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Posté le 03/06/2006 à 12:50:31
mendosa fout de rage
sorti de l'hopital de fortune, il
venait d'etre mis au courant des evenement de la
matinée.
Corleone je t'avais prevenue, je
ne suis pas homme de menace comme je te
l'avais souligné, les menaces sont pour les faibles, ce que
j'annonce je le
fait.
A peine entra t'il dans le couloir qu'il appercu 'le malin' mais
celui ci
semblé fatigué et peu enclin à pour riposter en cas d'attaque, mendosa decida alors de le laiser
traquille et lui fit une reverence en pensant tout lui montrant les mains en l'air qu'il
n'etait pas la
pour se battre
Ou est tu corleone?
Mendosa fouilla la
demeure et vit alors corleone
caché dans la salle à manger, il ajusta alors son tromblon
Vous ne voulez pas vous
disciplinez eh bien soit, je vais vous l'aprendre à coup
de plomb.
Mendosa fit alors feu et
une volée de plomb atteigni corleone qui
s'effondra, mendosa se mit alors à genoux et fit un signe de
croix , il se releva et attacha ses
armes, afin que lors du prochain combat si il devait y avoir son
adversaire ai forcement le temps
de l'achever avec qu'il puisse degainer, Mendosa en avait assez et
avvait decidé de se
rendre
Le borgne j'arrive, je prefere me rendre et pouvoir soutenir
rafaella que
voir une telle bande d'incapable et d'irresponsable risqué sa vie.
Mendosa
monta
alors les escaliers et croisa la nonne bien affaibli, son tromblon etait encore chargé mais il etait
décidé, les pirates tiennent une otage certes , mais il tiennent plus à sa vie que la plupart des
hommes
dans le manoir, il fit signe à la nonne pour lui montrer qu'il n'etait pas la pour se
battre et que ses
armes etait attaché et continua sa route.
Demonio, yé suis la,
laisse moi voir rafaella, yé
né souhaite plus me battre contre toi, tu respecte sa vie
contrairement au autres alors accorde moi cela
laisse moi la veiller.... |
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Kigon |
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Posté le 03/06/2006 à 13:12:10
*Kigon s'eveille suite
au vacarme à l'étage.
-C'est quoi se bordel!On peut même plus dormir tranquil!
*Kigon
monte a l'étage et se retrouve nez à nez avec la Nonne encore couverte du sang de l'espagnol gisant a
ses pieds.
"On dirait que mes compatriotes ont attaqués. Ils auraient au moins pu me
reveiller.
*Suite à une passe d'arme rapide il enleve les dernieres forces de la
Nonne.
-Bon, une bonne chose de faite
*Kigon s'aventure plus loin à l'étage lorsqu'il
remarque Le Borgne et Mary Read au fond d'une salle lugubre.
"Oula ca s'annonce mal.
Rafaella n'est pas la, on va en profiter pour arroser le tout d'un peu de plomb.
"Ptin c'est
long à rechargé cette petoire
-Bon quand faut y aller...
POUUMMM!!!!!
*Mary Read
s'effondre sur le sol. Alors que Le Borgne est legerement touché.
"Bon au moins j'aurais pas à
m'occupe d'elle.
-En garde le Borgne
*S'en suis un âpre combat au cours duquel Kigon
recoit un coup extremement violent du Borgne.
*Kigon espera que quelqu'un finirait se qu'il avait
commencé pour que cette prise d'otage finisse enfin alors qu'il s'évanuissait. |
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Posté le 03/06/2006 à 13:25:26
* Azalée sortie de
l'hôpital pas très loin derrière Drake.
Tout en avançant elle marmonnait *
Je termine
toujours les confessions que je commence,
question d'éthique ! Rafaella, je vais faire tout mon
possible pour vous rejoindre avant l’irréparable.
Cette petite est tellement croyante que je ne
voudrais pas qu’elle trépasse sans au moins avoir eu
l’impression de vider sa
conscience…
pan … pan pan… pan !
* Les balles fusaient
*
Aiiiiiyeu !
Lachez vos pétoires et venez vous battre espèces de lâches !
* criblée
de balles elle
avait de plus en plus de mal à avancer. L’escalier du premier étage n’était plus qu’à
quelque
mètres…mais, un bonheur n’arrivant jamais seul, une momie accompagnée de son meilleur ami
squelette lui sautèrent à la gorge. Bien remontée, elle leurs mis une paire de claques à chacun
avant de
continuer car des espagnols lui filaient le train. La religieuse utilisa ses dernières
force pour se
hisser en haut de l’escalier mais, les pertes de sangs étant trop importantes, elle
s’adossa au mur en
attendant ses pour suivants, immobile. Polisson ne se fit pas attendre et
savoura le fait de voir sa proie
sans force. Il colla son tromblon sur le front de la religieuse
et appuya sur la gâchette et…rien, l’arme
était enrayée. Il sorti alors son épée mais la Nonne
retourna ses coups sur lui dans l’énergie du
désespoir. C’est alors que Mary Read surgit de
l’ombre et égorgea d’un coup sec le tireur malchanceux. *
Tenez bon ma soeur, je dois
faire le ménage mais je reviens vous voir juste après.
* Ensuite tout se brouilla, elle
eu un vague souvenir de Mendosa ayant un geste de paix… des
craquements du plancher,…une pensée
pour Rafaella n’ayant personne à qui se confier…et la sensation du
canon froid de Kigon sur sa
tempe. Cette arme là ne s’enraya pas * |
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Posté le 03/06/2006 à 13:32:22
le borgne, qui s'était effondré de fatigue suite aux combats consécutifs et aux nuits de peu de sommeil à veiller Rafaëlla, fut réveillé en sursaut par des coups de pétoir assourdissants ...
relavant la tête ... il pu voir Mary couchée par terre ... il prenait sa lame quand il vit devant lui, pratiquement à bout portant, Kigon .. le redoutable tireur ... il savait qu'a cette distance, celui-ci ne pouvait le manquer....
BOUM
BOUM
BOUM
BOUM
quatres coups de feu retentirent dans la chambre ... le borgne s'effondra au sol sous le choc .... il avait pris une balle dans le bras gauche, lui faisant lacher son propre pétoir, une autre un peu plus haut ... proche de son épaule .... la troisième balle l'avait atteint dans le ventre et la dernière partiquement au même endroit ...
FUMIER ... C'EST DONC TOI KIGON ... LE TIREUR ....
il le voyait .. là .. à un mètre de lui ... essayant de recharger son pétoir ...
encore une fois, la rapidité du borgne devait lui sauver la vie .. avant que son ennemi n'ai réussi à pointer son arme sur lui pour l'achever ... il lui avait sauté dessus ... l'adrénaline qui avait remplacé son sang depuis la mort de sa soeur Téquila le mentiendrait debout jusqu'a la fin ...
le combat qui s'ensuivit fut d'une brutalite tel que seul le borgne pouvait en être capable
le malheureux kigon, fut-il un dieu au pétoir, ne valait pas un clou devant un combattant aguérri tel que le borgne dont le bras et la lame ne faisait plus qu'un.
Blessé de toute part par les balles de celui-ci, le borgne lui imprima son nom sur le torse avec son propre couteau ...
c'est dans des souffrances terribles, aveuglé par la rage de la mort de sa soeur, écoeuré par le fait qu'aucun espagnol ne semblait vouloir le survie de Rafaëlla que le borgne décida finalement de mettre fin à Kigon ...
il le scalpa d'abord, lui trancha les oreilles et l'égorgea lentement
Kigon se noyait dans son propre sang , secoué de spasmes ...le borgne, épuisé, s'écroula à terre sur les genoux et regarda le chien pris de convultion devant lui ...
- le borgne .. le borgne laisse moi venir ... je prefere me rendre et pouvoir soutenir rafaella
il entendit une voix et reconnu celle de son ennemi Mendosa ...
enfin ... tu . .as .... compris ......
et dans un dernier élan . il lui cria ...
Mendosaaaa ... monte ..... vite ... Ra.. fa... ëlllllll aa
http://img90.imageshack.us/my.php?image=lafinderafaella2bz.jpg |
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Posté le 03/06/2006 à 13:54:39
*Lord Hawk, dans un lit
du manoir, pas très confortable
d'ailleurs, avait vu son frère Drake sortir de bonne heure. Il y
est revenu très rapidement. A cette vu,
le sang de Hawk ne fit qu'un tour, il bouillonait !
Et
encore, quelques minutes après c'est ses
soeurs Mary et La Nonne qui les rejoignaient
!
C'était décidé, puisque seul Mendosa avait compris la
gravité de la situation, il serais le
seul a ne pas tomber sous la furie d'un des frères de la côte très
énervé !*
Attendez
que je sorte mes amis spanish, vous allez vous en souvenir !
*S'adresse a ses frères
et soeurs*
Je vous vengerait ... je vous le promet !
Le borgne
attend moi ...
J'arrive ! |
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Posté le 03/06/2006 à 19:38:58
Rafaella est parcourue d’un frémissement.
Elle se tourne vers le Borgne, les yeux complètement dans le vague. Son visage, pâle comme un linceul, fait penser à un ange, malgré la déchirure violacée purulente qui court le long de son cou.
Dans un murmure elle lui dit :
« Azalée, prenez ma bague.
C’est important !
Je me sens tellement faible.
Vous êtes la capitaine et je sais que je peux vous faire confiance, j’ai fais beaucoup d’erreur dans ma vie, j’ai laissé beaucoup de gens souffrir par ma faute. Et ma mort risque de ne servir à rien.
Quittez ce lieu maudit, ce manoir ne contient que des morts et tant que vous resterez, ceux ci s’accumuleront encore.
Azalée ce sont mes dernières volontés ! »
Rafaella a haussé un instant le ton et un immense frisson l’envahit de nouveau.
« Laissez les miens, mon sang n’est pas fait pour signer des déclarations de guerre. Dites aux miens que ce sont mes derniers souhaits.
Par respect pour tout ce que j’était je ne veux pas qu’une bataille porte mon nom.
Je ne voulais que la paix. »
Le regard et la voix de Rafaella semble pendant un instant perdurer. Mais l’étincelle qui l’animait semble cette fois s’être définitivement éteinte.
Sa main droite est légèrement tendue vers le Borgne comme pour l’inviter à prendre la bague sertie d’ambre dont elle parlais.
Ses yeux noirs sont ouverts et son regard est calme et bienveillant comme c’était si souvent le cas, de son vivant. |
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Posté le 03/06/2006 à 19:50:17
Alejandro fut parcouru
d'un frisson.
C'était chose
courante en ce lieu et pourtant celui-ci était
particulier.
Il leva doucement les yeux au plafond
qu'il contempla en
silence.
non murmura-t-il... |
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Posté le 03/06/2006 à 20:03:08
quelques heures avaient passés dans ce manoir
le borgne s'était éveillé en sursaut, les cauchemars avaient eu raison de sa fatigue ...
il se leva et alla près de Rafaëlla qui délirait ...
doucement, il la souleva et la pris dans ses bras ....
il entendait à peine sa respiration .... les battements de son coeur étaient très faibles, à peine pouvait-il les sentir ...
Rafaëlla .. Rafaëlla .... reste avec moi .. reste avec moi je t'en prie ...
Dios ... Diossss entend ma voix et sauve là ....
le borgne était désespéré .. il savait que le meurtre de Téquila, seul chirurgien capable de la sauver avait été le meurtre de trop ... il était annonciateur d'un grand malheur ... et celui-ci se passait juste ici, dans ses bras ...
Mendosa ... Mendosa .... pourquoi as-tu mis autant de temps à comprendre mon ami ...
ses pensées se perdaient dans les méandres de son esprits ...
une seule chose comptait à présent, il porterait Rafaëlla avec ses dernières forces vers son funeste lit ...
http://img475.imageshack.us/my.php?image=lamortderafalla6fu.jpg
Rafaëlla ... voilà ... tu seras mieux ici ... respose toi maintenant ... que ton âme meurtrie soit soulagée de tes tourments ...
celà faisait tellement longtemps que le borgne n'avait plus versé une larme ...
la dernière fois ... il senti cependant quelque chose dans ses cheveux
Rafaëlla, dans un dernier sursaut, venait de lui tendre la main ...
elle parlait dans le vide .. yeux mi-clos ... souffle court ...
il avait du mal à comprendre ... il se rapprocha de sa bouche et senti son souffle si près qu'il cru l'embrasser ...
prend ... ma ....ba ...gue ... la .... no ... nne ....
le borgne pris la main de Rafaëlla dans la sienne et la serra de toute ses forces ...
Rafaëlla dit-il dans un murmure
lorqu'il senti son dernier souffle, el demonio avait pris la place du borgne |
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Posté le 03/06/2006 à 20:14:49
Boulito entendit le
manoir lui meme gémir , un cri comme
étouffé .. celui savait d'ou il venait , et savait ce qu'il
signifiait .. mais il n'osait pas y croire
.. il n'osait pas s'imaginer la scène, des images
terribles défilaient. Boulito fit le tri, chassa ses
mauvais démons .. puis tenta de retrouver ses
esprits, il respira profondement puis :
une
chose est sure : cette voie etait
celle de Rafaella
Et dans un élan de desespoir , boulito
se mit à hurler :
Dona tenez bon , vous ne pouvez pas nous laisser .. je ne vous ai pas
encore
offert la rose que je vous avais promise !!! Votre heure n'est pas venue .. accrcohez vous !!
Boulito savait qu'il ne faisait pas le poids face au terrifiant le Borgne , il
avait
d'ailleurs déjà perdu un bras .. mais pour dona, il etait pret à lui donner son deuxieme
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Posté le 03/06/2006 à 20:14:58
Au moment précis où les
dernières paroles de Rafaella
s'échappaient de ses lèvres, le vent faisait claquer les fenêtres
du monastère Saint-James à l'autre
bout de l'île. Sifflant, soufflant, tournoyant dans la cour
de l'abbaye, il apportait avec lui des
nouvelles de malheur, de tristesse et de deuil.
Rafaella...
Elisabeth releva la
tête. Sa journée s'était révélée
particulièrement éprouvante : la troupe hollando-française chargée par
les Moines de les
débarasser des morts-vivants hantant leur cave à bière s'est fait attaquer à maintes
reprises par
des momies particulièrement coriaces, et Elisabeth saignait, une large entaille le long du
bras.
Elle n'aimait pas ce vent. Il était obscur et désagréable. Il portait en lui une peur sourde, une
douleur latente.
Rafaella...
Mais pourquoi lui semblait-il tant que le ciel
pleurait
? Ce n'était qu'une tempête, rien de plus... Pourquoi l'atmosphère lui donnait-elle
autant envie de
pleurer elle aussi ? La fatigue, rien que la fatigue. Et pourquoi le vent
parlerait-il de Rafaella ? Elle
devait être loin d'ici, probablement à Esperanza, fêtant la
grande victoire acquise par les Espagnols au
dépend des pirates. C'était la dernière missive qui
était parvenue au monastère en provenance de
l'Espagne....
Rafaella...
Pourquoi pensait-elle à Rafaella ? Une amie, une
vraie,
mais sans jamais l'avoir vue. Intègre, loyale, honnête... Prête à tout sacrifier pour la
justice. Pour
vivre dans la fierté. Pourquoi ce sentiment bizarre, ce creux dans l'estomac, cette
sensation de vide ?
Pourquoi s'inquiéter, un soir comme celui-là, alors que
justement...
Rafaella !!!
Un
cri rompt le silence du monastère. Elisabeth se
lève aussitôt, comme tous ses voisins. C'est un message.
Une lettre arrivée par pigeon. Tout le
monde se presse autour du destinataire pour savoir de quoi elle
parle. Tout le monde sauf
Elisabeth. Elle a trop peur d'apprendre la vérité, elle ne veut pas connaître
la suite. Mais elle
s'approche et arrache la feuille de papier des mains de son propriétaire. Puis elle
s'éloigne,
sans un mot. Personne ne tente de la récupérer, tous ont vu l'expression sur son visage. Elle
lit
:
Cher *illisble*
Je vous écris du manoir hanté où la situation est *illisible*
borgne s'est emparé de Rafaella Salazar et l'utilise comme *illisible*
Don Mendosa et les
autres
Espagnols sont en train de *illisible* semblerait que Rafaella soit blessée, nous ne savons
*illisible*
Cordialement,
*illisible*
Sans un mot Elisabeth rend la lettre
aux
autres. Elle en sait plus qu'eux de toute manière. Elle sait que Rafaella est morte. Le vent
et son coeur
le lui ont dit. Ce creux dans l'estomac, cette sensation de vide, c'est exactement
ce qu'elle avait
ressenti à la mort de Marcus. Ou non, plus exactement à la mort de sa soeur.
Parce que comme pour sa
soeur, elle sait exactement qui a tué son amie.
Le
Borgne.
Le Borgne et les autres pirates.
Mary Read. La nonne. Drake. Ces voleurs sans foi
ni loi, ces bandits anarchistes, ces ennemis de la
liberté et de la justice... Cette fois-ci ils
sont allés trop loin. Ils ont tué une femme, la plus intègre
qui soit, une amie. Ils paieront
cette dette jusqu'à la fin de leurs jours.
Elisabeth s'allongea
contre une colonne de
marbre. Elle sortit une dague de sa tunique et en contempla les reflets argentés, y
cherchant la
vérité et le chemin à suivre. Puis elle s'incisa légèrement la joue, en l'honneur de
Rafella et
pour ne jamais oublier sa mort. Regardant le sang goutter de sa joue et tomber sur les dalles
du
monastère, elle jura qu'à part des pirates, plus un seul ennemi ne tomberait sous sa lame avant
qu'elle n'ait vengé Rafaella en tirant une balle dans le crâne du Borgne.
Elle se releva
et
commença à se diriger vers la sortie du monastère. Le manoir était loin, les pirates l'étaient
tout
autant. Mais elle n'aurait pas de repos avant d'avoir accompli sa vengeance... |
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Posté le 03/06/2006 à 20:28:55
mendosa venait d'arriver
dans les chambres de l'etage , et
la vision de le borgne, portant la depouille de rafaella, lui
fit un choc, mendosa tomba les genoux à
terre. sur son visage se lit la tristesse et la colere, la
colere d'avoir était impuissant et d'avoir
été trahi par ceux qu'il avait toujours tenté de
proteger...., et la tristesse d'avoir vu disparaitre
aujourd'hui en parti par sa faute, la douce
madrilena qui n'etait que fraicheur et sagesse, la tristesse
de se sentir abandoné par le peuple
d'esperenza en qui il croyait et en qui il avait toute confiance,
certes mendosa si il pouvait
rationaliser à ce moment precise saurait que seul certains sont à blamer mais
dans ce moment de
choc il en veut à la colonie toute entiere, que peut il faire mainteant ou peut il
aller? à
esperenza ? cela serait possible mais sa lame ne pourrait rester dans son fourreau en voyant les
assassins de rafaella.
Mendosa se retrouve donc a genoux devant la depouille de rafaella
et le
borgne, completement perdu.
El demonio, aide moi, dis moi que faire... elle t'a
accordé sa
confiance et son dernier souffle, aujourd'hui je suis las de tout
cela..
Mendosa baisse alors
tete et ne dit plus un mot devant le corps encore chaud de
la madrilena et devant le borgne plus que
jamais courroucé. |
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Velvet |
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Inscrit depuis le : 13/03/2006 |
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Posté le 03/06/2006 à 20:52:06
Velvet n'arrivait
pas à dormir. Quelle idée de passer
la nuit dans les égouts ! L'odeur la rendait malade. Et les
grattements et clapotis des rats résonnant
dans les tunnels n'arrangeait pas les
choses.
Soudain elle entendit des jurons en Espagnol venant de
plus loin dans le boyau. Elle
tenta de les ignorer, mais quand ils se muèrent en sanglots et de cris de
"Rafaëlla !" elle n'y
tint plus et se leva.
Le colonel Zapata était en pleurs, une lettre
commençait à prendre
l'eau près de lui. Velvet la ramassa... commença à la lire... elle s'assit comme si
elle avait
reçu un coup à l'estomac. Elle n'avait pas senti ça depuis que Jerk... Elle secoua gentiment
l'épaule de Zapata
Ce n'est pas vrai... Il se trompent n'est-ce pas
?
Ne
recevant pas de réponse, elle secoua plus fort
Arrête Zapata ! Il y
a une erreur, pourquoi
quelqu'un voudrait-il tuer Rafaella ? D'où vient cette lettre d'abord,
tu ne la prends pas au sérieux
quand même ! Sois - IIIIIIH !
Un rat venait de lui
tomber sur l'épaule !
MAIS JE
M'EN VAIS TE TORDRE LE COU ESPECE DE -
oups...
Elle détacha le rouleau de papier
miraculeusement sec du cou du défunt
rongeur mais ne lut que les deux premières lignes avant de le jeter
dans l'eau
puante
Mais c'est pas vrai ! C'est pas vrai c'est quoi ce bordel
!!
Velvet
se laissa tomber sur contre le mur... Elle ne pouvait le croire et pourtant... La rage
contre ces
pirates, contre le Borgne, contre ces Espagnols qui n'étaient même pas capable de sauver leur
meilleur élément se disputait avec une profonde détresse. Comment était-ce possible ? Comment
avaient-ils
pu la laisser mourir ? Un des rares Espagnols qu'elle respectait... Non, qu'elle
aimait comme une soeur
même s'il elle ne l'avait jamais rencontré en personne... Et maintenant
cette rencontre ne se ferait
jamais...
Elle fondit en larmes, faillit tomber dans l'eau
souillée. Et là Velvet fit une chose
qu'elle n'avait plus fait depuis longtemps, pour la belle
Madrilène qui avait montré à tous la
signification de l'honneur et de la piété...
Velvet
se mit à prier. |
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Posté le 03/06/2006 à 21:27:09
Daisuké avait quitté le
soleil et la chaleure du nord de
l'ile quelques jours avant la prise du manoir par les pirates.
Il avait ete tenu au courant de se qui
s'y passait par les espagnols qu'il croisait, par les
oiseaux interceptés, par les rumeures.
On
disait que Rafaella etait mal en point. On disait que
le combat opposant espagnols et pirates faisait rage
et que le sang coulait a flot. Mais il n'y
avait pas que mauvaises nouvelles: on disait aussi que Mendosa
etait aux commandes. On disait que
Tequila etait en route.
De nombreuses fois Daisuké voulu
rejoindre le manoir mais quelque
part en lui, une voix lui disait qu'il n'avait rien a y faire, qu'il
generait. Peut etre meme
qu'il pourrait etre la cause d'un accident plus grave, plus important de
cause.
Il suivait
donc l'affaire avec interet, priant pour que le moins de victimes possibles tombent
au combat
aujourd'hui, et demain.
Pourtant, aujourd'hui fut un jour faste: la demoizelle espgnole
perdait en vitalité et Tequila etait retardée. Les pirates epuisés a veiller etaient debordés et
la
'Madrilena' ne pouvait qu'en souffrir, sur son lit de fortune.
Pire; on apprit la triste
nouvelle;
la soigneuse etait tombée. On l'avait tuée.
Tard dans la soirée, la mort de
l'espagnole fut
annoncée. Au plus grand desespoir de tous, le toccin fut sonné et la vie
s'arreta un moment. Les uns
lacherent leurs armes, d'autres prierent, d'autres encore
pleuraient.
C'etait fini.
Des
larmes perlerent sur le visage de daisuké qui
s'aguenouilla, la tete entre ses bras, plus triste que
jamais.
C'etait fini... |
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Posté le 03/06/2006 à 22:14:10
Des rumeurs, des
messages... Les mots de Tequila se
promenaient sur tout l'île...
"Et c'est ça de
croire que les Espagnols peuvent être de
parole"
Alejandro, la tête baissée et le regard
fixé sur le sol, tremble de tous ses membres. Il
parle d'une voix hachée, des murmures mais ses
mots portent quelque chose de fort. Très fort. Trop
fort..
Tequila. Tais toi s'il te
plait. Ne dis plus rien et vas t'en. Je ne. Je ne veux pas.
Je ne veux pas que cette rage. Que
cette rage que j'ai contre tes frères m'aveugle et t'englobe. Vous
avez. Vous avez tué. Tué
Rafaella. Votre soif de sang. Votre désir de l'or. VOUS. Vous.
vous...
AAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHRGGG
Tel une digue qui lache,
la
haine envahit Alejandro. Lorsqu'il releva la tête, son regard fixe et ses yeux injectés de
sang le
faisait paraître à peine humain
SOYEZ MAUUUUUUUDIIIIIITS ! hurla-t-il
dans le
manoir |
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Posté le 03/06/2006 à 22:59:30
Boulito qui enrageait
dé voir les pirates faire semblant
d'etre triste ..
N'ouliez pas que tout ceci est
de votre faute Le Borgne et de celle de
tous vos freres.. meme si vous viviez toutes les vies
que vous avez volé , vous ne pourriez pas vous
faire pardonner ..
Ravalez vos larmes
de crocodile , ou nous vous les ferons ravaler
A hatiser la haine et la violence ..
voilà ou vous avez mené Liberty .. au deuil d'un etre
aimé de tous ..
Boulito qui
avait le poing fermé et ensanglanté , ne s'était pas rendu compte
que c'était son fleuret qu'il
serrait .. Il tremblait de rage , puis .. une larme .. puis une deuxieme
.. C'était la premiere
fois , il ne savait pas si il devait avoir honte , ou pleurer d'avantage .. mais
ce qu'il savait
c'est que ce serait la derniere fois .. |
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Posté le 04/06/2006 à 01:46:56
Alejandro n'avais
certainement pas prévu de dormir. La
nuit serait longue mais la hargne qui lui tordait le ventre
l'empecherait même ne serait-ce que de se
coucher
C'est sans doute cette rage qui
bourdonnait dans ses oreille qui fit qu'il n'entendit
pas son aggresseur se glisser derrière lui
et poser son tromblon sur sa nuque.
BOUM ! BOUM !
Alejandro s'était
légerment tourné et c'est sans doute ce qui l'avait sauvé d'une mort
certaine. Il dégaina son
épée et fit volte face pour combattre ce chien de pirate qui l'avait pris par
surprise et resta
figé devant Mimille l'Hargne Gueule.
A la place de la tenue noire des frères de
la cote,
son agresseur arborait un uniforme de Français. Profitant de la surprise d'Alejandro son
agresseur lui assena un coup de taille qui lui déchira la hanche. En s'écroulant Alejandro
mumura...
hijo de puta de Frances... ici... maintenant... Alors qu'à l'étage
Rafaella...
Avant de sombrer Alejandro vit Mimille se glisser derrière Bobby pour
lui
reserver le même sort, jouant ainsi le jeu des pirates... |
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Posté le 04/06/2006 à 02:20:02
Jour 2
Le
soleil était déjà haut dans le ciel
quand un vacarme arracha Louis-Philippe Armand de Maupertuis
des bras de Morphée. Une piqure au flanc et
un bourdonnement aux oreilles plus tard, il pivota sur
le flanc, et s'empara de sa lame. Il n'entendait
plus un bruit, peut-être son agresseur
allait-il avoir la sagesse de... Il sentit des mains baladeuses
fureter dans son dos. D'un arc de
sa lame, aussi inexorable que la course de l'astre solaire, il envoya
rouler la tête du voleur,
anglais, à quelques pas de là...
Rafaella...
Il avait un
sombre
pressentiment, qui obscurcissait l'horizon bien plus sûrement que les nuages dans le lointain.
Vers le manoir. Une détonation retentit, quelque part sur l'île. Elle avait quelque chose
d'inquiétant,
de... Il accéléra le pas. Puis il entendit un cri. Déchirant, celui-ci ancra un peu
plus une funeste
certitude dans son esprit. A l'ouest, New Kingston, mais il n'avait pas le
temps de s'y attarder.
L'obscurité étendait déjà son voile d'ombre sur Liberty, l'orage
menaçait. Il aperçut des anglais, et
demanda des nouvelles du manoir. Le manoir ? Quoi donc, le
manoir. Rien, rien que de l'incompréhension,
de l'indifférence. La colère menaçait de
l'emporter sur la courtoisie, quand il apprit enfin la terrible
nouvelle. Le tonnerre éclata dans
le lointain, lame venue du fond des âges se briser sur la falaise
d'espérance au bord de laquelle
son coeur vacillait ces derniers jours, il sentit celle-ci s'abymer dans
un gouffre ténébreux, et
la douleur de milles échardes transperça ses membres engourdis par le froid des
flots de douleur
qui submergeaient sa raison. Il tomba à genoux, balayé par le désespoir aussi sûrement
que la
faucheuse moissonne les âmes. Et il pleura, et ses larmes semblaient bien dérisoires face au
chagrin des cieux, qui pleuraient toutes les larmes de leurs cumulus.
Rafaella.
Eteinte. Trois
coups. Le drame est joué, et le destin s'est bien joué de moi ! C'est un rideau
d'averse qui s'abat
sur la scène de Liberty...
Rafaella, ma belle, pourquoi toi, si libre et
indépendante, juste et fière,
généreuse et...
Qui ? Qui a par sa cupidité, par son fol orgueil,
causé la perte du joyau d'Esperanza
? Les pirates. Et les espagnols... La peste soit de vos deux
maisons...
La peste soit de vos
deux maisons !
Seul le tonnerre fit écho à
ses imprécations. |
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Posté le 04/06/2006 à 10:47:05
Alejandro regarda ses
compatriotes, ses compagnons d'arme
ce matin.
Il était fier d'être à leur coté. Don Articho
avait helas été envoyé à l'hopital ce matin
même par Lord Hawk, il ne pourrait finalement pas
participer. De souza y Fernandez était là près à
l'action mais il avait visiblement mal guerri de
ses blessures de la veille et il perdit conscience avant
l'assaut.
Alejandro se tourna
vers ses compatriotes l'air grave et leur annonca
:
La cible prioritaire est Le
Borgne. L'objectif principal est de récuperer le corps de
Rafaella.
Les combattants se
mirent en marche de concert.
Raul Bravo partit en eclaireur à
l'étage et signala qu'il n'y
avait à priori plus personne mais rompit le contact trop rapidement.
Burrito Del Corrazon monta
donc à son tour vérifier les dires de Raul et confirma.
Boulito Del
Choco fit un crochet
pour vérifier l'entrée du cimetierre qui était vide lui aussi.
Kigon, Boulito
et Alejandro
se dirigèrent donc vers la cave.
Boulito fut stoppé par une horde de momies et lorsqu'il
parvint à en venir à bout, il était trop essouflé pour continuer.
Alejandro et Kigon
continuère
donc tous les deux, esperant debusquer la bête sanguinaire afin de faire parler leur
enormes
tromblons.
Helas ils ne trouverent pas le borgne.
A l'entrée de la cave il n'y
avait
qu'Alessandro.
Kigon attendait son ordre de tir.
Alejandro hesita. Il
appreciait jadis
Alessandro, il le respectait...
Mais aujourd'hui c'était un ennemi
mortel.
Un ennemi de sa
nation, et son devoir devait passer avant ses considérations
personnelles.
FEU!
Leurs
deux balles durent toucher Alessandro en même temps
et sous l'impact celui-ci fut projeter contre le mur.
Alejandro ne tira plus, il avait fait son
devoir et Alessandro s'affala sous les balles de
Kigon.
Ils étaient maintenant à bout de
souffle, très mal en point. Alejandro savait qu'ils ne
passeraient sans doute pas la journée et
qu'une des brutes sanguinaires leur tomberait dessus. Mais ils
périraient fierement pour leur
pays.
Mais la Rage de ne pas avoir trouvé Le Borgne enflait et
Alejandro tremblait de plus
en plus. Il n'avait rien sous la main pour se défouler ! Il aurait voulu
pouvoir cogner quelque
chose ! Quelqu'un ! Même un bête chien de l'enfer ! N'importe quoi ! Un cochon
tueur égaré ! Un
rat arthrytique ! La plus insignifiante des chose aurait suffit !
C'est à ce
moment
que Sam le paria débarqua en trottinant et en chantonnant. L'espace de 4 balles, Alejandro cessa
de trembler... |
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SoCr4t3 |
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Inscrit depuis le : 05/04/2006 |
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Posté le 04/06/2006 à 12:03:49
Tacos arrive enfin
aupres de Rafaella et découvre qu'il ne
reste plus qu'un cadavre inerte sur le quel repose
doucement une rose rouge... |
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Posté le 04/06/2006 à 20:59:27
El Padre est en pleine
jungle au center de l'ile quand il
croise un ami espagnol.
Celui-ci lui racontant ce qui
venait de se passer au manoir, le pretre eut une
réaction inattendue:
Il se mit alors a
genoux, les mains aux ciel, le visage plein de larmes,
commence alors une priere, que dis-je, un
hurlement de mots, une sorte de dialogue entre deux
ennemis:
"DIOS, Yé t'avais pourtant
obéis, y'avais fait tout ce que tou m'avais demandé, yé
l'avais prévenoue de mon amour pour
qu'elle mé fouit, ce qu'elle avait fait.
Et maintenant que tou
me l'as retirée, tou me la
retire oune nouvelle fois.
Le fait que ce soit les pirates est un faux
prétexte... TOU ES LE
SEUL COUPABLE DE SA MORT !!! TOU ME DEGOUTE, TOU ME POUNIS ALORS QUE Y'AI PASSE MA
VIE A TE
SERVIR !!!
RENDS LA MOI.....!!! REDONNE MOI CETTE FEMME QUE Y'AIME, LAISSE LOUI ENCORE VIVRE
CE QU'ELLE A A VIVRE SI TOU VEUX QUE YE CROIS ENCORE EN TOI !!!"
Puis le pretre se
redresse,
regarde les personnes autour de lui et vide son chargeur sur la premiere personne
venue... Des larmes de
sang coulant sur ses joues... |
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Dbsman |
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Inscrit depuis le : 28/10/2005 |
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Posté le 04/06/2006 à 21:14:11
*Dbsman, en route pour le
manoir, vit un oiseau se poser
devant lui.Il se baissa puis ramassa le papier que l'oiseau avait
laché de son bec.
Lorsqu'il finit
de lire le papier, une grande tristesse pouvait se lire sur
son visage.
Dos a un arbre, il se laissa
glisser sur ce dernier puis, assit, il se
recroquevilla sur lui meme et il ne fit plus rien, tel un corps
inerte* |
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Posté le 05/06/2006 à 17:10:59
Boulito qui avait
traversé la manoire de son pas le plus
rapide, atteignait enfin cette chambre .. Elle était vide ,
les gens avaient l'air de bien respecter ce
qui était inscrit sur l'écriteau accroché à la hate
avec deux coutelas . Elle était vide ..
L'ambiance était pesante , étouffante ..tellement
opressante que cela lui provoquait des hauts le
coeurs mais il se devait de tenir
Boulito
referma la porte derriere lui, puis prit la premiere chaise
venue pour bloquer l'entrée
Nous ne pouvons etre qué dos , y vous Dios ..
Boulito
les yeux toujours
baissés s'approchait du lit, la seule fenetre de la piece donnait sur le lit ..
Rafaella brillait
, elle était illuminée , on aurait dit un ange .. oui c'est cela un ange .. ! Elle
avait rejoins
les siens. Désormais Boulito savait qu'elle n'était plus ..
Voilà la rose qué
yé
vous avais promis ma chere ..
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