Le Faux Rhum
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Dans le Manoir... Le Borgne a trouvé Rafaella
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Auteur
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Message
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Posté le 02/06/2006 à 10:30:46
Alors que mendosa
attendait la reponse du borgne il vit le
senio jes ramassé son tromblon et sa lame et se jettait a
l'assaut de l'etage, le sang bouillonant de
l'hidalgo l'avait fait agir trop vite....Mendosa
avait donné sa parole mais maitenannt que Jes avait
declanché les hostilité il ne resté plus qu'a
agir vite avant que rafaella ne sucombe
Mendosa attendit
un moment en hesitant
Il entendit
ensuite Jes :
La Nonne éliminée.
Je suis à coté de
Rafaella je la protege...
Le
borgne a subi peu de dégat de ma part , Je n'ai vu qu'un seul autre
pirate à l'étage, Lord Hawk
Mendosa decida alors puisque Jes se placait en opposition aux
pirates pour la
protection de rafaella de donner l'assaut ...
A
l'attaque.......
Il
fonça alors à l'etage et tomba nez a nez avec lord hawk qui retenait
nightbringer, En garde Lord
hawk
s'en suvit de nombreuse passe d'arme ou les deux adversaire
rivalisera d'adresse
l'un l'autre, apres avoir reussi a mettre plusieurs blessures qui ont laissé Lord
hawk à
l'article de la mort, il voulu placer sa botte secrete, mais se decouvrant alors, lord hawk le
surpris par une feinte et un coup d'estoc fabuleux qui mis mendosa a terre.
Mendosa lacha
alors
son arme à terre
Yé mé rend lord hawk, yé né peux plus mé battre... Tou a gagné
cette
bataille.
Yé sais qué yé t'ai gravement bléssé si tou le souhaite depose aussi les armes
que d'autres
n'auront peut etre pas la fierté d'eviter de combattre un homme aussi bléssé. Afin
d'eviter qué tou
tombe sous les coups des autres rend toi egalement, retirons nous ensemble dou
combat et laissons
combattre les valide.
LE BORGNE REND TOI, NOUS SOMMES PLUS
NOMBREUX ET NOUS AVONS RAFAELLA,
TU ES FICHU, REND TOI ET TU SERA JUGE PAR LE GOUVERNEUR A
ESPERENZA |
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Posté le 02/06/2006 à 11:02:13
le borgne qui avait veillé tard Rafaëlla, s'était endormis au moment où le soleil décida de pointer son nez à travers la brume recouvrant le manoir ...
le peu de sommeil qu'il réussi a prendre fut interrompu ca et là par les plaintes et délires de la belle Rafaëlla ... il ne comprenait pas toujours ce qu'elle marmonnait, mais un nom revennait toujours sans cesses ... la belle devait avoir connu des temps difficiles pour délirer comme ca ...
quelques heures plus tard, le borgne sursauta, le vieux plancher du manoir était un ami à lui ... il savait qu'il le préviendrait rapidement d'une trahison espagnole ...
les bruits sourds venaient du couloir ... un combat s'y menait ... il entendait le souffle de son frère .... il devait être attentif ....
le borgne se tourna pour prévenir son capitaine. La nonne avait veillé encore plus tard que lui, elle devait sûrement être encore endormie ... il devait la réveiller en vitesse
c'est quand il se tourna vers l'endroit où devait se trouver soeur Azalée, capitaine de la confrérie, et Rafaëlla Salazar la madrileña, qu'il fut le plus surpris ... son sommeil avait été plus profond qu'il ne l'avait cru et le plancher moins amical qu'il n'y parraissait ...
là, devant lui, se tenait accroupi, El senor Jes Tippoune del Esperanza.
Penché sur le corps endormi de Rafaëlla .... Celle crapule avait donc réussi à passer à coter de lui s'en l'éveiller ...
comme un félin, le borgne bondi sur le pauvre qui n'eu meme pas le temps de se retourner ... il l'égorga comme un chien, donna un coup de botte dans son cadavre,
l'envoyant rouler sur le coté ...les mains dégoulinantes du sang de l'espagnol, le borgne décida de mettre ses peintures de guerre et s'en badigeonna la face, le cou, les bras et le torse ...
MENDOSA ... TU AVAIS DONNE TA PAROLE ....
MAINTENANT ..
IL EST TROP TARD ....
comme une furie, le borgne débarqua dans la chambre voisine où un autre chien était là, surpris qu'il lui tombe dessus aussi rapidement, l'homme n'eu meme pas le temps de sortir son épée .. à peine su-t-il tiré un coup de pétoir sur le borgne qui était déjà sur lui, rapide comme un clair ...
le borgne l'envoya roulé dans un coin après lui avoir coupé les oreilles ..
MENDOSA ... TU VAS MOURIR MAINTENANT ....
il bondit dans le couloir, lame affamée de sang, tuant tout sur son passage, squelettes, zombies et autres ... rien ne se mettrait en travers de la mort de Mendosa maintenant ...
QUE LE CHAT DE GOUTIERE CREVE ...
ce furent les dernières paroles que Mendosa entendirent ... le borgne n'eu aucune pitié pour lui, il l'acheva comme un chien à l'agonie ...
tu as trahis ta parole lui souffla-t-il quand il l'égorgea |
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Kigon |
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Inscrit depuis le : 11/11/2005 |
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Posté le 02/06/2006 à 11:17:24
*Kigon se reveille après son
altercation avec Drake
-Tiens il me manque quelque chose.
-Saloperie de pirate tu m'as pique ma
hachette de sauvageon!!
*Kigon erre dans les couloirs
-Y a foule aujourd'hui.
*Soudain sont
regard croise celui de Alfred.
-C'est toi le salopio qui m'a envoyer à l'hopital d'une balle après
que la Nonne se soit acharnée sur moi!
*Kigon lui tire une balle
Paf
-Bien fait. Bon maintenant
les interets.
*6 balles plus tard Alfred s'effondrais
-Bon un de moins! |
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Alfred |
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Inscrit depuis le : 16/12/2005 |
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Posté le 02/06/2006 à 11:43:42
Entendant ses freres appeler
Tequila depuis des jours, Alfred
se rend vers l'étage de ce manoir, usant de sa petite taille
pour se frayer un chemin jusq'à l'escalier
!
ARGH, trop de monde, pas assez de coins
d'ombre, le voila arrêté à quelques pas de cet escalier
allant vers l'étage. Faisant quelques
clins d'oeil à des jeunes moussaillons espagnols histoire de leur
faire comprendre qu'il ne
sortirait son arme qu'en cas de legitime defense ! Sa trousse de medecin en
main plutot qu'une
arme!
Et c'est la qu'il attend, peut de temps plus tard, au bout du couloir, il
entend des
cliquetis, genre comme s'il l'on rechargeait une dizaine de canons ! et à la lumière d'une
torche apparait Kingon, une arme monstrueuse dans les mains, et commence un feu d'artifice !!!
Alfred
tombe sous la mitraille, le corps truffé de plomb.
Alfred depuis un lit dans cette salle
infame du
manoir où se reposent nombre de blessés, donnent quelques instructions à l'infirmière
exténuée qui
s'affère sur les blessures de chacun !
Plus haut... Moins loin... AIIeeeee dit il
en serrant les
dents.
Puis la patience vient à bout de ce travail incommensurable, retirez des
centaines de plombs de
tout son corps. |
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Posté le 02/06/2006 à 12:57:08
Dans la plaine, Don Inigo
s'arréta de courir et se mordit
les lèvres: les nouvelles qui venaient de lui arriver n'étaient
pas bonnes...
La veille il avait
laissé Mendosa gérer la prise d'otage des pirates. Sur place
et conscient des enjeux de cette sombre
affaire, il lui faisait totalement confiance.
Mais
la situation semblait avoir totalement échappé
aux négociateurs.
De part et d'autre, des
pirates et des corsaires avaient choisi dé prendre les
armes plutot que de continuer le
dialogue.
Et Rafaella maintenant? La pauvre, qui avait subi les pires
sévices de la part du
Borgne, ne devait surement sa survie qu'à peu de chose.
Mais le Gouverneur
Montoya
n'était surement pas le seul à se poser cette question... |
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Téquila |
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Inscrit depuis le : 20/10/2005 |
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Posté le 02/06/2006 à 13:10:38
Ah la la....
Je suis si
loin, je me suis perdue dans les
caves de ce manoir immense, et maintenant, un Anglais, Bob le
méchant me bloque le passage qui me mène
vers le rez de chaussée.
Je lui ai demandé de bouger.
Zvargas est à coté de lui, Alessandro me
suit.
Mais nous avons du nous arreter dans ce couloir
étroit.
Je ne sais que faire, j'ai compris
l'urgence de la situation pour Rafaella, mais
entre cet anglais qui est sur le chemin et ne semble pas
vouloir bouger, et la distance qui nous
sépare, je ne pense pas arriver jusqu'à vous avant demain. |
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Posté le 02/06/2006 à 13:27:44
le borgne sentait que la situation avait empiré depuis hier ....
beaucoups de ses frères étaient tombés ... mais bien moins que les espagnols ...
il se demandait si des renforts allaient arrivés ... ils en auraient grand besoin ...
ah .. moi et mon caractère de cochon ... si je n'avais pas encore provoquer Don Armando, il serait déjà venu nous aider ...
le borgne ragarda par la fenêtre du manoir, pensif ...
Armando mon frère ... où es-tu ? me pardonneras-tu mon putain de caractère d'anglais ... c'est maintenant que j'ai besoin de toi ...
Et vous mon coeur ... le sang de vos frères coule ici même .. me le pardonnerez-vous un jour ...
Padre ... je puis vous assuré que je veille sur Rafaëlla comme sur ma propre soeur ...
le borgne était pret à tout pour la maintenir en vie ... tout ce qu'il espérait, c'était voir arriver Téquila ...
Mary était près de lui, le regard aussi sombre que le sien. Ses vetements étaient de la meme couleur que la peau du borgne, rouge sang, son collier d'oreilles autours de son cou ... elle ferait fuir n'importe quel abruti qui oserait encore monter ici
le borgne avanca jusqu'à l'escalier ...
Téquila ...
Téquilaaaaaa
magnes toi ....
ET VOUS LES ESPAGNOLS .... IL NE VOUS RESTE QU'UNE CHOSE A FAIRE ... RESTEZ EN BAS ET LAISSEZ PASSER TEQUILA
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Posté le 02/06/2006 à 14:57:18
Goethals rencontra
Louis-Philippe Armand de Maupertuis sur
les rives du lac interieur, ils passerent 2 long jour a
parler de la vie sur liberty, je parti
chercher
du bois pour maintenir le feu toute la nuit en
revenant je le trouvat allonge par terre , en sang; je
m'approchais de lui doucement, n'en
croyant pas mes yeux. Un anglais l'avait attaque alors qu'il
vaquait a ces occupations, je
m'accroupit pret de lui, et m'avouat ;"Goethals, on a parler du manoir, je
t'est dit que je
voulais aller rendre...c'etait pr sauver une belle espagnole, la plus belle fille que
tu puisse
imaginez, et meme plus encore, Le borgne l'a capture, va la sauver a ma place, fait le pour
moi.
Et les yeux de Louis-Philippe Armand de Maupertuis se fermérent. Goethals se leva, prit ces babages
et partit sans attendre le jour.
Le borgne!!!! J'arrive! Ma promesse serat tenu!
Quelques jour plus tard, il rencontra des membres Du bar de la lame acéré dans les
montagnes.
Il s'ecria:" amis! retourer au bar prevenir tout le monde, on va sauver une jeune
filles
de la griffe de le borgne!"
Ils s'pprocherent de moi, et me s'exclamerent "tu rigole,
le temps qu'on
retourne a ports louis et qu'on remonte, tu serat deja mort, de plus, on ne sait
pas qui se trouve au
pub... nan nous te suivont, allons au manoir
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Téquila |
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Inscrit depuis le : 20/10/2005 |
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Posté le 02/06/2006 à 16:26:41
Bob le méchant, l'Anglais,
n'a toujours pas bougé
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Posté le 02/06/2006 à 17:41:31
Les brumes se dissipent
et Mendosa reprend conscience, il
est tout courbaturé comme si il avait dévallé les escaliers...
ou suis je ? pensa til , mais un rapide
coup d'oeil lui fit comprendre que la matiné n'etait pas
un cauchemar mais bien la realité, l'attaque
prematuré de ses hommes lui avait forcé la main et
avait ammené les troupes à une funeste
aventure.
Bien puisqu'il est en ainsi j'en
averti à tout les espagnol présent. Ici je veux
désormais de la discipline, le premier qui tente
de prendre d'assaut l'etage sans que j'ai donné
l'ordre d'intervenir il tatera de mon
tromblon et croyais moi je sais m'en servir.
Governor yé
demande aussi votre soutien, au
moindre signe d'indiscipline de la part d'espagnol y'attend dé vous qué
vous placiez oun
contrat sour la personne incriminé afin qué yé puisse sevir avec votre
aval
Espagnols Si
vous ne pouvez pas vous disciplinez yé vais vous l'aprendre moi, yé
n'aprecie pas qu'a cause dé
vous yé dou rompre la promesse dé né pas attaquer, yé passe l'eponge pour
cette fois ma vous avez
compris qué yé soui maitenant à bout et qué yé vais sevir
le chat sort
ses griffes le
borgne..... |
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Inscrit depuis le : |
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Posté le 02/06/2006 à 17:46:06
En se réveillant, Night
ne vit plus Lord Hawk à côté de
lui, ce qui était une très bonne nouvelle !
Cependant, alors
qu'il partait, Mary read et le borgne
l'encerclèrent, et l'obligèrent à les servir.
Dans
l'intérêt de ses oreilles, et surtout car il
n'avait pas le choix, Night dû se résoudre à sa
"nouvelle" situation.
J'en ai marre d'être
prisonnier de ces pirates...
Tant
qu'ils ne me demandent pas de tuer des espagnols... |
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Posté le 02/06/2006 à 18:11:52
Les soins de Lady Salmakia et l’attention constante de la Nonne et du Borgne avait permis à Rafaella de survivre à cette nuit.
Mais son état n’était tout de même pas beau à voir.
La plaie à son cou commençait à virer au jaune et le pus avait dors et déjà contaminer tout les bandages. Les vêtements et les cheveux trempés de sang et de transpiration, Rafaella paraissait finalement à sa place dans ce lieu maudit.
Au cours de ses brèves périodes de conscience Rafaella pu voir la Nonne prêt d’elle le visage crispé par la fatigue et l’inquiétude.
Mais ses rêves se mêlait à la réalité. Les visages entraperçus ici et là devenait soudainement des démons qui venait la chercher pour l’amener dans l’enfer auquel elle avait cru pouvoir échapper.
Dans la tourmente, elle implora le seigneur de lui pardonner ses péchés.
Prisonnière des ses souffrance, elle jura et injuria ce Dieu cruel.
La fièvre lui déformais les traits quand, elle cracha sa bile sur ce monde.
Par instant, elle souhaita serrer contre son cœur ceux qu’elle aimait.
A de nombreuse reprise secouée par des convulsions qui la laissait brisée elle cru que ceux qui l’attendait dans l’autre monde l’avait rattrapé.
Et par instant comme au creux de la tempête, le silence et le calme se faisait en son cœur : Si elle devait mourir elle mourrait, sans regret, elle avait elle aussi droit à la paix.
Tout cela tournoyais en Rafaella qui laissait de temps en temps échapper quelques paroles difficilement compréhensibles, mélange de français, d’espagnol et d’anglais.
Lorsque le señor Jes prit la Nonne par surprise Rafaella était inconsciente.
Il songeait l’escorter en dehors du manoir, mais quand il vit son état il se rendit compte facilement que la transporter sans précaution pourrait l’achever.
Il essaya tant bien que mal de discrètement préparer une civière, mais le Borgne fut réveillé par les bruits de ce lieu hanté et après un court combat le señor Jes à force de reculer se trouva acculer contre le rebord de la fenêtre. Une botte de le Borgne le contraint à le laisser entrer dans sa garde et un coup d’épaule fini le travail. On entendis un bruit sourd dans le cimetière...
Le señor Jes mettrai du temps à se relever de cette chute. |
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Posté le 02/06/2006 à 18:18:20
*Les yeux
s'ouvrent*
*Drake regarde devant
lui, allongé confortablement dans l'un des lits
de l'hopital improvisé du manoir. Au fond de lui même,
il essaye de se souvenir, les images se
succedent rapidement...il se voit sortant de la salle, puis
courant dans le couloir pour rejoindre
ses soeurs et frères, là un homme n'avait cessé de lui tirer
dessus, puis, ses balles usées,
l'avait engagé dans un combat qui allait être court vu l'agilité du
tireur. Sortant tout juste
de l'hopital, le voleur était tout de même, bien affaiblit, et il n'avait
compris pas lorsque,
en plein combat, une balle l'avait atteint, de dos.*
*En conjuguant
toutes les
informations Drake comprit bien vite, un autre tireur s'était embusqué, assez loin, surement
camouflé par les nombreuses toiles, puis avait attendu, et finalement
attaqué.*
*Drake
sourit, puis dit suffisament fort pour que les espagnols autour de
lui entendent :
"Bande de
laches..."
Le voleur prend sa dague, puis grave
sur le bois de son lit, une ligne, il trace à sa
gauche, deux grand traits, il regarde fixement la
partie gauche...
...après quelques minutes le
pirate se met à chanter...:
"Sweet Bloody...sweet bloody day, coming next...oh, sweet
bloody day"
Il
reprend sa position initiale et tourne els yeux evrs le
plafond.*
*Les yeux
se ferment* |
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Posté le 02/06/2006 à 18:42:03
La rage et la haine. Voila
ce qui m'habitait.
La veille la
lutte face au Borgne sanguinaire avait tourné court. La
piraterie, cette confrérie si mystérieuse et
énigmatique m'apparaissait alors sous son vrai jour
: une poignée de corsaires orgueilleux que la
puissance et la crainte qui'ils inspiraient avaient
grisés.
Leur attaque de front d'Eseranza
était une offense au peuple espagnol. Quoi !
Penser que la seule présence de quelques uns des leurs
pouvait suffir à renverser la hardie
défense espagnole ?
Leur bassesse ne s'arrêtait pas là.
Ils
décidèrent de tenter une prise
d'otage. Vaincus par le nombre, vaincus par la hargne, et désormais
vaincus par la
honte.
Alors quand Drake le bien nommé jugea malin d'errer dans les couloirs à la
recherche d'une bagarre, sans prendre garde aux espagnols qui se rassemblaient, je fus pris par
la rage
et décidai impulsivement d'annhiler cet odieux personnage.
Loué soit le Seigneur qui
me donna la
précision de l'aigle |
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Posté le 02/06/2006 à 18:46:29
la nonne n'était plus là pour l'aider ... le borgne se sentait un peu impuissant face à la fièvre de Rafaëlla ...
cette fois, il devrait veiller seul, Mary assurant la sécurité de l'étage ...
un seul espagnol avait réussi à s'approcher ce soir, mais le borgne n'en avait encore fait qu'une bouchée ....
maintenant, la belle délirait de plus en plus ...
http://img506.imageshack.us/my.php?image=lesdeliresderafaella5td.jpg
la fièvre lui avait faire perdre des forces ...
Rafaëlla ... Rafaëlla ... tiens bon ... bois un peu ....
attends ... là .. doucement ..
contrairement à ce que tout le monde pensait de lui, le borgne pouvait se montrer prévenant et attentionné ... bien sûr, il s'agissait de Rafaëlla .. et il avait promis de s'en occupé, à deux personnes auquel il tennait beaucoup, une pour son amour et l'autre pour sa vieille amitié ...
il donna à boire à Rafaëlla, puis, avec le reste d'eau fraiche, il lui éponga le front et la nuque ...
Mary ..
Maryyyyy
je vais avoir besoin d'eau pour la nuit ... le couloir est dégagé ? je vais devoir sortir ....
la nuit promettait encore d'être agitée ...
la journée de demain serait décisive ... si Téquila n'arrivait pas ... il ne pourrait plus faire grand chose pour elle ...
maudits espagnols ... si vous aviez respecté les consignes de Mendosa ... Rafaëlla
serait déjà sauvée ... soyez maudits jusqu'a la 7em génération ... chiens galleux que vous êtes ...
marmona-t-il entre ses dents
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Téquila |
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Inscrit depuis le : 20/10/2005 |
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Posté le 02/06/2006 à 19:44:39
"J'arriveeeeeeeeeeeeeeee !
Je suis enfin arrivée au rez de
chaussée. Demain , dès mon réveil, je fonce au
premier.
Préparez de l'eau chaude, des bandages, faites
rougir une lame au feu pour
cautériser.
Cassez deux pieds de chaise pour faire des atèles.
Prenez le
drap du lit de la
chambre rouge, déposez AVEC DOUCEUR Rafaella dessus, et transportez là dessus. Vérifiez
qu'elle
n'avale pas sa langue.
Couchez la sur le coté.
Si personne ne me barre le passage, je
serai là très vite."
Téquila, essoufflée |
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Inscrit depuis le : |
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Posté le 02/06/2006 à 20:41:38
Night, profitant de
l'absence du borgne, décida de tenter
le diable, et se rebella contre Mary Read (HRP : cf forum
modifications).
Vif comme l'éclair, il
s'attaqua à elle, mais cela se retourna contre Night,
il faillit même y perdre une oreille.
Il avait
compris la leçon cette fois-ci... |
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Dbsman |
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Inscrit depuis le : 28/10/2005 |
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Posté le 02/06/2006 à 20:49:07
*Dbsman, couché a
l'ombre d'un arbre, faisait une petite
sieste avant de reprendre sa route.
La au dessus de
lui, un oiseau vint se poser sur une branche de
l'arbre puis lacha un bout de papier qui tomba en
plein sur le nez de Dbsman.
C'est alors qu'il se
leva promptement, dans une colere folle*
Espece de %£¨µ+ d'oiseau!
*Il tira qqu
coups de tromblon vers l'oiseau,
qui s'envola aussitot, puis, il ramassa le papier pour le lire*
Gouverneur,
Un
anglais a été prit en otage par les pirates dans le manoir!
Il se
prénomme Nightbringer!
Il
faut faire qqch, nous ne pouvons pas laisser les espagnols régler ça tout
seul!
*Après
avoir lu ce mot, il se coucha a nouveau contre l'arbre puis, de son sac, sortit un
paquet de
feuille, un encrier et une plume puis se mit a écrire sur chaque feuille*
Hello,
Comme
vous le savez peut etre deja, les pirates ont prit en otage un des notres dans le manoir, nous
n'allons
pas laisser faire ça, c'est pourquoi je vous appelle tous, membre de l'équipe
"Fauquesabrille"!
Nous
nous devons de sauver les otages!
Vous attendrez mes ordres et rester
discret
Dbsman
Gouverneur anglais
*Après avoir écrit sur toute les feuilles,
il les plia une
par une.
C'est alors qu'il se mit a siffler, puis au bout de qqu minutes
d'attente, des dizaine
d'oiseaux survinrent!
Il indiqua a chaque oiseau ou il devait
aller.
Après que tout les oiseaux se
soit en aller, il décida de se mettre en route vers le
manoir.
D'un coup il s'écria*
le boooorgnee, je suis sur que t'es dans le
coup pour les otages, prend garde les "Fauquesabrille"
pourraient venir n'importe quand et de
n'importe ou hahahahahahaha.
Tremble vil gredin mouahaha
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Inscrit depuis le : |
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Posté le 02/06/2006 à 21:30:53
Mary Read, furieuse de
la tentative de rebellion de Night,
lui adressa la parole, après lui avoir collé une paire de
claques :
Alors mon petit, tu croyais
que je n'y verrais que du feu ? On ne me la fait
pas à moi, en temps normal, je t'aurais déjà coupé les
oreilles, mais je n'ai pas le temps. Je
serais toi, je trouverais vite un moyen de me
racheter...
C'est donc à contrecoeur que
Night fut obligé de protéger Mary, au péril de sa
vie.
http://img188.imageshack.us/my.php?image=position9jw.jpg |
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Posté le 02/06/2006 à 23:32:58
Jour 1
Le
soleil l'éblouit quand il mit un
pied hors de l'hôpital. La poussière se mélait au pollen pour
le prendre à la gorge, sèche à l'heure
qu'il était. Devant lui, l'église dePort Louis baignait
dans une lumière trouble, flottante. Aqueuse. Il
s'y réfugia par instinct, écrasé par l'ampleur
de la tâche qui l'attendait.
Quelques minutes
plus tard, Louis-Philippe revint parmi les
mortels et quitta le refuge sanctifié, renforcé dans sa volonté
de secourir la belle Rafaella. Il
ne pouvait laisser Goethal se rendre seul au manoir, et y affronter,
seul, les cruels ravisseurs.
Pas plus qu'il ne pouvait se résoudre à quitter encore Port Louis sans se
rendre à la Fleur
Bleue. Après quelques heures et des adieux larmoyants, il but une longue rasade de Rhum,
fit
coulisser sa lame dans son fourreau, et se mit en route...
"Tiens, un cochon sauvage. Vade
retro, bestia !"
_ "Huuiiii !"
Louis-Philippe sortit une pomme de sa besace, qu'il
jeta en
pâture au cochon.*Tchac* La bête sanguinaire mordit la pomme, l'hameçon et la
poussière...Le soleil se
chargerait de la rôtir !
Parvenu aux abords du lac, il s'attarda
quelques instants sur la rive,
car la Justice avait un rendez-vous. Mais les heures passaient, et
Sweet-Anna ne se montrait toujours pas.
Son inquiétude pour Rafaella augmentait d'heure en heure,
de minute en minute, alors il sortit ses
dossiers et se mit au travail. La Justice est une
maîtresse exigeante, la Justice n'attend pas ! Mais
pour son plus grand bonheur, le juge de la
cour française avait enfin reçu la missive tant attendu, et la
version définitive de la nouvelle
charte des Règles de civilités et d'urbanités des Nations Française
et Hollandaise,
applicables sur le territoire national, ainsi que sur le territoire de Liberty, et cela en
vue
d'avoir une pleine et entière garantie de la sécurité des citoyens Français et Hollandais, et des
ressortissants étrangers faisant appels aux Justices Française et Hollandaise". Une oeuvre dont
la
gestation avait requise des soins constants, qu'il avait forgé avec patience, aidé en cela
par le juge
Hollandais Franz Van Bronkhorst, le fruit d'une coopération exemplaire, unique ! Sans
plus attendre, il
saisit sa plume et son pipeau, et rédigea missive sur missive, grava sentence
sur sentence. Entre chaque
envoi, il jouait pour attirer une mouette, un air vaguement marin,
chaloupé et mélancolique, la capturait
et lui attachait un message à la patte. Il avait abandonné
très récemment les pigeons, qui s'étaient
avérés peu fiables en certaines circonstances. Mais
qu'importe. Il travailla tard, ce soir là, et usa
plusieurs bougies. Affaire A005, affaire A008,
A009, A11, 12 et 15... Mais toutes ces dossiers ne
pouvaient que lui rappeler la douce
madrilène... Hélas ! |
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Téquila |
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Inscrit depuis le : 20/10/2005 |
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Posté le 03/06/2006 à 01:12:33
Rafaella, je crains de ne
jamais arriver à temps jusqu'à vous.
Je viens d'être attaquée par un anglais nommé Lord Sainro,
au rez-de chaussée. Il m'a tiré une balle
dans la cheville. J'ai senti la seconde passer au
dessus de ma tête. Il a ensuite dégainé son épée, et
tenter par 9 fois de m'atteindre, avant de
glisser et de s'embrocher lui-même.
Il semblerait que
certains se soient mis dans la tête que
m'empêcher de vous rejoindre serait une bonne chose...
Je fais
tout mon possible, je vous
l'assure, tenez bon |
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Posté le 03/06/2006 à 10:25:30
Cela faisait trois jours
maintenant que Léon était dans cet
affreux taudis. Les araignées, les cadavres, les morts vivants,
tout cela ne l'enchantait pas. Il
s'était rendu dans un premier temps à la cave avec plusieurs
de ses frères mais les cris d'espagnols lui
faisait dire que la bataille battait son
plein.
Il avait lui même tué plusieurs d'entre eux
préventivement. La tentative de
pillage d'Esperanza avait renforcé les tensions entre le peuple espagnol
et les pirates. Ne pas
mourrir tué par quelques coup de tromblon, ce serait un trop grand
déshonneur.
Il se fraya
un chemin et dû se débarasser de quelques gêneurs, dont un qui avait
attaqué la veille son frère
Drake, pour pouvoir accéder enfin au rez de chaussée.
Lorsque enfin
arrivé au seuil de
l'entrée il aperçu alors Téquila, partie en précipitation pour soigner la jolie
Rafaella. De
jeunes fous avaient tenté de la tuer, du sang coulait le long de son visage.
Il
dégaina
son arme, et la pointa vers les espagnols présents.
Misérables, on ne s'attaque pas
à un médecin de la sorte! Laissez là passer ou vous périrez sous les coups de ma lame.
Léon
pris alors une profonde inspiration et cria
LE BORGNE, LES RENFORTS ARRIVENT! |
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SoCr4t3 |
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Posté le 03/06/2006 à 10:55:12
Tacos s'approche
doucement derriere Drake, qui venait de
sortir d'un combat acharné contre le terrible Kigon, il
se met juste derriere lui et sort doucement son
arme à feu de son étuit, puis en pretant la plus
grande attention possible à ce qu'il faisait, il place
son arme à environ 10cm de la nuque de
drake...PAN
Une bale sortie à une vitesse impressionnante
et transperça la nuque de
drake qui dans ses dernieres paroles prononça :
"tu le
regrettera..."
Le Tacos
fou que les français et hollandais on connu à retrouvé l'esprit de
Tacos, qui se dirige ensuite
vers l'étage du manoir, voulant à tout prix savoir ce qui se passait dans la
piece de la prise
d'otage...
Il s'avance à pas de félin puis voit derriere un mur MARY RED!!! la même
qui
l'avait envoyé à l'hôpital il n'y a pas deux semaines de cela!!!
Voulant bien entendu se venger,
Tacos s'approcha d'elle et dans son élan se fit reperer.
Sans se soucier de cela, il
fonça sur
Mary et commença un perilleux combat à l'épée, et en sorti finalement
vainqueur.
Mais voulant se
reposer il ne se dit pas qu'il y avait peut etre d'autres
pirates et fut assassiné par Lord Hawk dans
son someil... |
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Téquila |
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Posté le 03/06/2006 à 11:01:42
Don Vito Corleone est venu
m'achever. Après qu'Elwar, un
autre espagnol, m'ai tappé à de nombreuses reprises.
Je dois
faire un séjour à l'hôpital.
Je suis
désolée pour vous Rafaella, mais je renonce maintenant,
tout à fait.
Ce dernier geste contre moi, me
prouve à quel point certains Espgnol mettent tout
le monde dans le même panier. Dieu sait à quel point je
ne frappais personne.
Jusqu'alors,
j'ai réussi à rester dans la voie que je pensais juste, continuant
à soigner en m'approchant des
blessés espagnols, avec le risque qu'ils aient une mauvaise réaction en me
voyant près d'eux.
Mais cela ne me repoussait pas, au contraire. C'est ainsi qu'Anna Lucia fut remise
sur pied par
exemple.
Mais là, devant tant d'incompréhénsion, tant d'acharnement, alors qu'une de
votres
agonise, et avait besoin de moi, et bien, je baisse les bras. Je renonce.
Rafaella, je vous
souhaite beaucoup de courage, et adresse vous à Dieu pour votre rétablissement, c'est le seul qui
puisse
encore faire quelque chose. En tout cas, pour ma part, je ne viendai plus !
A quoi bon
risdquer encore
ma vie pour vous, alors que votre peuple vous a déjà condamnée !
Quand aux
espagnols, n'espérez pas
désormais mes soins spontannés. Cela n'arrivera plus !
A l'avenir,
je préfère encore fermer les yeux
et me diriger vers d'autres agonisants. |
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Posté le 03/06/2006 à 11:08:42
Alejandro arriva
essouflé dans le manoir. A peine entré vit
il Albator en train de se battre avec Capitano Cortez,
le pirate avait le dessus. Ces chiens allaient
encore prendre une vie
Espagnole...
Alejandro n'avait pas prévu ça mais il ne pouvait laisser les
siens se faire
massacrer sous ses yeux aussi son tromblon exprima sa colère.
Albator surpris se
retourna
et vit Alejandro le charger, lame au poing.
Les deux escrimeur se combattirent quelques
minutes
avant qu'Albator ne s'écroule mélant son sang à celui de sa récente victime.
Alejandro
entendit des bruits de combat un peu plus loin et ce qu'il vit lui glaça le sang. Il hurla
NOOOOOOOON ! CORLEONE ! NOOOOOOON !
Il vit le corps de Tequila tomber
au
ralenti et s'affaler sur le sol. De rage Alejandro jeta son épée au sol. S'il n'avait pas
été aussi
essouflé par son récent combat il aurait chargé l'Espagnol et l'aurait
trucidé.
CONO YA !
MAIS QUAND CES #&$*$% APPRENDRONT-ILS A SUIVRE DES INSTRUCTIONS
!!!??
Corleone venait
peut-être de tuer Rafaella... |
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