Le Faux Rhum   

Je recois mon messager comme à son habitude, avec un bout de viande. Je prend la lettre et lui jette le morceau de chair qu'il attrape rapidement au vol. Je me dépêche de dérouler le parchemin pour essayer de déchiffer son contenu.

 

Seque je lis me rend furieuse. Je prend hâtivement un parchemin vierge ainsi qu'un flacon transparent qui contient le sang de mes victimes. Elle arrache une plume de son oiseau et commence à écrire.

 

main ek aakhiree baar doharaata hoon, main aapakee bhoomi par kveta banaane ke lie praadhikaran se poochhata hoon aur meree bahan kee talaash bhee karata hoon jo gaayab ho gaee hai. yadi aap mere anurodh ko asveekaar karate hain, to aap par ek buree kismat daalee jaegee aur aapako isaka pachhataava hoga.

 

mere sundar kauve keval ve hee pakshee the jinase main vicharan kar raha tha. any sabhee pakshee meree plet par samaapt ho jaate hain yadi ve mere bahut kareeb aane kee himmat karate hain.

 

Elle enroule le parchemin qu'elle donne à son volatile en lui chuchotant quelque mort avant de le laisser s'envoler.

 

Une autre tempête éclate aussi rapidement que la précédente. Le vent ouvre les fenêtres fesant envoler de nouveau les piles de papier. Le corbeau entre dans la pièce pour y déposer la lettre et comence à lui picorer les parties génital assez férocement. Il ne veux pas avec une autre lettre negative et que sa maitresse soit encore déçu quand il sait très bien de quoi elle est capable si on la met en colère.

 

 

Traduction :

Je répète une dernière fois, je demande autorisation pour faire des quêts sur vos terres et aussi chercher ma soeur qui a disparue. Si vous refusez ma demande, un mauvais sort sera jeter sur vous et vous risquerez de le regretter.

 

Mes jolies corbeaux sont les seules oiseaux que je courtois. Tous les autres volatiles finissent dans mon assiette si ils osent s'approcher trop près de ma personne.