Posté le 23/09/2020 à 21:19:08. Dernière édition le 23/09/2020 à 21:20:56
Bordel... Je vous promets que durant ma visite je ne frapperais personne hormis surement une jolie impertinente blonde et anglaise qui se permets de ce moquer de moi.
Vous voici autorisée. N'oubliez pas d'envoyer un chocolat à la gosse.
Assashin, l'Espagne n'autorise usuellement pas les pirates. Ce serait différent lors de l'opération des stuffs du coeur mais pour l'instant, nous n'y sommes pas encore...
Donc vous venez à vos risques et périls.
D'ailleurs, prenez garde, nous n'apprécions pas du tout l'agression de Valakas sur Mimi. Cela ne sera pas oublié.
Je comprend, mais je suis quand même bien plus charmant que lui. Et je ne touche pas au gosse voyons. L'âge mental compte vous êtes donc plutôt à l'abri part chez vous. Non ? Pas moyen ? Vraiment ? Même avec des chocolats pour mimi ? Si je dit 10 ?
Posté le 23/09/2020 à 22:41:40. Dernière édition le 23/09/2020 à 22:41:56
Hey Ho je sais que je suis impressionnant mais ne me vouvoye pas. Ça me rend mal à l'aise. Je ne suis pas de ce bord là. Et je te laisse choisir le bord.
Si ça veut pas, ça veut pas. J'aurais fais l'effort. C'est déjà beau je trouve.
Qu'est-ce que ce sursaut d'orgueil jeune Ludivine? Vous semblez oublier vos vieux amis de la Chimère qui vous ont donné le biberon et permis de vous enrichir... Qui vous ont grassement payé pour des services pas toujours tout bien proprement exécutés... Qui ont couvert vos arrières sur des actions pas très jolies-jolies... Et voilà qu'on monte le pont-levis.
Je n'ai pas d'ami, que des relations commerciales. D'ailleurs, certains pirates sont encore endettés auprès de moi, merci de me le rappeler, je vais m'en occuper de ce pas.
On peut vraiment compter sur toi, "capitaine", c'est appréciable.
Je suis venue accompagnée d'une jeune arrivante sur Esperanza. Pourriez-vous s'il vous plait me faire bénéficier d'une autorisation ? Je pense reprendre la route dès demain, je passerais par le jardin des amoureux avant de rentrer sur Ulungen. Je remarque que votre ville est bien belle avec son marché !
Bien le bonjour ! Ma démarche est un peu inhabituelle mais passons.
Serait il possible d'avoir une autorisation de vivre ? Se balader impunément sans avoir à se dire qu'un de vos ramolli du bulbe viendra me refaire la façade à des lieux de votre cite ?
Non parce qu'autant je comprends que vous defendiez vos terres, mais tout de même j'ai du rater un épisode; l'île serait donc entièrement votre ?
Je dois avouer que je me tate, au moins les poules comprennent plus que vos petites têtes dénués de matières grises. Demandez à votre Dzejous ça doit pas être pour rien qu'il traite mieux les poules que ses congénères humains.
Excusez-moi Monsieur Hohenheim mais vous ne vous moqueriez pas un peu de nous ?
Je vous ai croisé au Jardin dernièrement, sans autorisation et je vous ai gentiment fait la morale sans pour autant vous renvoyer chez vous car Valeryo n'a pas mauvais fond.
Puis vous m'avez croisé vers le sud hier et vous avez criblé de balles mon sac de fleurs. 18 trous ! Autant vous dire que j'ai perdu un nombre considérable de plantes et de lotions ! Vous êtes parti vous cacher plus loin et je vous ai signifié ma présence tout en vous laissant vivre car hors de nos terres.
Quand vous m'attaquez, Grand et Beau Valeryo, vous attaquez également l'Espagne. C'est le serpent qui se mord la queue, alors arrêtez donc de venir pleurer et envoyez-moi un bouquet de roses rouges en dédommagement, c'est la moindre des choses.
Le contexte monsieur Valeyro c'est que si l'on me cogne je réponds et ce pour le cas du jardin. Par la suite je me balade pour rejoindre une virée au temple et me fait tabasser par vos comparses sur le chemin, 3 fois de suite, forcément quand je vous aperçois je préfère prévenir que guérir au vu des jours précédents.
Maintenant je vois qu'il est impossible de vous faire entendre ne serait ce qu'un brin de raison. Fort bien, adieu en ce cas. Je n'importunerai plus vos misérables existences.
Samuel arrive avec son son chariot et salut tout le monde.
"Mes chères et chers, bien le bonjour! Je viens aujourd'hui demander une autorisation pour me rendre à Esperanza. J'ai des achats à faire et comme à mon habitude, soignerai et offrirai à boire à tout brave présent à l'Auberge."
Salut le secrétaire de son cher ami Djezous.
"Comment allez vous depuis l'autre jours? J'aurai probablement à vous parlez affaire d'ailleurs. Si vous êtes en ville cela m'évitera d'écrire un courrier, mais sinon, nous ferons comme d'habitude hein!"
Romuald vient d'arriver à Esperanza et se présente à la douane.
" Je ne viens point participer à votre guerre avec Ulunguen. J'ai juste quelques affaires à régler ici et je n'ai nulle intention de venir me battre à moins qu'on ne m'y oblige."