J'étais un peu trop occupé. Avez-vous encore besoin d'une autorisation Aphrodite ? La prochaine fois passez donc plutôt dans mon lit qu'on en discute au chaud...
Bien le bonjour, je dois passer voir vos prisons. J'ai fait un cadeau à Bougon mais je suis téléphone et je n'arrive pas copier le texte mais je vois le mettre demain. Une autorisation de trois jours devrait suffire. Merci davance
La femme tournait en rond dans les allées de l'hôpital. Joueuse ou non... Après sa délicieuse rencontre de la veille avec une Espagnole au sang chaud (ne l'ont-elle pas toutes ?) se terminant par de "douces" paroles, Tylde ne savait pas s'il était prudent d'aller en terres espagnoles.
Bon, au pire... Elle me renverra d'où je viens...
Elle pris une plume et commença à écrire.
Monsieur l'Intendant... Walter...
Je vais venir au sein de votre ville, quelques courses à y faire, la mer à observer. Serait-il possible que vous m'accordiez un droit de visite ? Certaines de vos espagnoles ne l'accepteront pas cependant, mais sait-on jamais. Il va de soi que j'aiderai vos arrivants.
Marquant une courte pause, la femme continua sa missive sur des sujets moins diplomatiques. Sa lettre parti avec une rose blanche vers Lui.
Faisant partie de la Team Rocket, j'aurais besoin d'une autorisation le temps que l'administration m'officialise comme résident d'Esperanza. Je suis un ami de votre générale Jessie qui pourra vous confirmer mon installation en ville.
La blonde fait des allers-retours devant la porte du bureau des douanes. Non mais ça ne passera jamais... Mais j'ai déjà les papiers... Rooh... C'est fâcheux cette situation, très fâcheux ! Bon, aller, qui ne tente rien, n'a rien.
Elle entre dans le bureau des douanes.
Bonsoir. Je suis terriblement navrée de vous déranger, surtout que je ne dois pas être de celles que vous souhaitez vois actuellement mais... Je souhaiterais me rendre à la Madone pour quelques achats... Acceptez vous que je m'y rende avec mon autorisation ? Il va de soi que le seul contact que j'aurai avec les autres hollandais sera pour parler du beau temps, rien de plus... Je... Hum..
Le regard des gens présents la fit taire. L'espace d'un instant, Tylde ne savait plus si sa demande était très courageuse ou terriblement bête.
Bonjour bonjour ou plutôt bouenasse tardesse. Alors, en fait... J'aimerai m'en venir rencontrer un personnage à la notoriété grandissante. L'un de vos administrés, sur la place qu'on m'a dit, un nom à faire saliver les mioches qui m'semble... Aussi, Vous pourriez m'octroyer un papier pour m'en venir chez vous, au plus vite ? D'ailleurs j'y pense, faut que je croise mon vice-homologue l'Almirante.
Un présent pardi ! Où avais-je la tête, ces rumeurs de tour sortie des eaux là. Infestée de créatures mi aquatiques mi-indigènes m'en ont fait oublié mes bonnes manières...
C'est chose corrigée Segnor elle inetandanté ! Je vous ai fait envoyer Lukas, élevé au grain biensûr. Du plein air, oh il en a vu, l'a même connu des traversées entre La Barbade et Port-Louis, c'est dire ! Confiez le à votre cuisto surtout. N'allez pas le plumer vous même, il a développé comme un plumage d'albatros, ultra costaud à retirer le bordel. Enfin voilà quoi, les derniers raids n'étaient pas particulièrement fructifiant, que de l'affamé anglais, sans le sou, sur ces maudits rafiots, c'est bien tout ce que je pouvais vous envoyer.
Mais mijotée à l'andalouse, vous m'en direz des nouvelles !
Un doigt passe sur le bureau, et une couche de poussière s'en récolte. Plus de douze jours sans aucun passage, et le grand vide dans tous les autres bureaux également. Cette nouveauté au centre des tours annonçait un froid dans les cités, et le tourisme en subissait les conséquences. Encore quelques toiles d'araignées, et l'hidalga pourrait s'en faire un bureau.
*se pointe dans le bureau et constate les faits: Esperanza prend la poussière*
Félicia, c'est avec plaisir que je viendrai à Esperanza redonner un peu de couleur à cette citée que j'apprécie tant. tu le sais. La couleur dépendra de toi: elle sera rouge sang. Mais pas le même sang, nécessairement. Accordes moi une rencontre et c'est ton sang que je ferais couler... ne me l'accorde pas et ce sont tes compadres qui en pâtiront.
Oeil pour oeil...
Je te laisse la semaine pour réfléchir et me répondre.
*Levant son cache oeil, Rodrigo fait un clin d'oeil à l'hidalga et repart sans dire un mot de plus.*
Posté le 19/01/2019 à 18:38:03. Dernière édition le 19/01/2019 à 18:39:04
Cher ami, j'ai bien peur que vous condamniez l'ensemble des espagnols à tenter le chantage à madame Dolorès qui, si je ne m'abuse, n'a pas le sens du sacrifice que vous tentez de titiller pour la faire venir.
Donc si je peux me permettre et avant que monsieur Metzengerstein ne vienne probablement pour vous montrer son poing parce que vous menacez sa femme, je vous propose de montrer votre mécontentement en faisant couler le sang de corsaires non espagnols.
Car, si vous y réfléchissez bien, ce sera encore plus fort ! Voyez la symbolique, ce dédain de ne toucher à AUCUN espagnol pour montrer combien vous êtes en colère, jusqu'à ce que par fierté ils craquent tous et vous livrent leur dame pour retrouver cet extrême rival puissant que vous êtes à leurs yeux !
Sus aux hollandais, aux anglais et aux français monsieur Rodrigo ! Ainsi, les espagnols n'auront qu'à bien se tenir !
Oui heu, doucement quand même hein, il y a des gars à nous là-bas! S'agirait pas qu'il trucident nos espi... nos touristes. Par exemple, heu, machin, là celui qui a un problème pileux... Mais si... raaa, il m'a filé des sous... Fay... quelque chose... Faya! Heu, non, c'est un gars... Fayo? J'sais plus... Mais bon voilà, lui par exemple, l'est plus Espagnol si j'ai bien compris, mais faut pas me le taper!
Et il y en a d'autre! Machine, là, chose, raaa... Enfin bref, les CUL quoi! C'est bien marqué sur l'étiquette de leur vêtement (pour pas qu'il les perdent) (ou qu'il les vendent sans m'en parler), pouvez pas vous tromper.
Hum, bon c'est pas le tout, je venais pour quoi moi déjà? Ah oui! Féantir! Il est revenu ou pas? Félicia? Jef m'a encore rien dit? Est-ce qu'il creuse?
Se sentant obligé d'expliciter pour Eve, lui ajoute en aparté, d'une voix flippante (ça fait ça quand il essaie de prendre une voix douce et gentille) :
"Ils creusent. En bas, nous creusons tous. Viens creuser avec nous..." "Hum, enfin, si tu veux, hein, on force pratiquement personne", reprenant sa voix normale devant le regard de la ministre.