 Le Faux Rhum
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PILLAGE : Vous avez repoussé l'armée Française
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Auteur
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Message
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Posté le 09/01/2013 à 00:45:06
*La cité de Port Louis retrouvait un peu de sa sérénité grâce aux gestes d'aide et de solidarité entre les combattants français dans la tour Louis le Grand ou dans l'enceinte fortifiée de la cité de Port Louis.
Au dehors, au coeur de la ville, l'agitation avait disparu.
Quelques précheurs fous ne manquaient pas bien entendu de parler de la fin des temps.
De ci, de là, fleurissaient même quelques sourires, preuves d'une confiance retrouvée.
Le voile était levé. Tel le phénix, Port louis renaîtrait de ses cendres et prendrait un envol qui illuminerait bientôt toute l'ile, au point que même les âmes les plus sombres en seraient aveuglées. *
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Posté le 10/01/2013 à 00:28:24
*La journée étant passé, Frederiko se sentait mieux...
Il avait eu une discussion avec sa bien aimée durant la soirée ...
Il avait enfin pris conscience que son passé était passé et qu'à présent
Il avait tout ce qu'il voulait c'est à dire une femme superbe...
A présent, il était enfin prêt à vivre une vie sans rancune...
Sa haine envers les bataves s'est estompée car pour une fois dans sa vie
la réalité lui avait sauté aux yeux...* |
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Posté le 10/01/2013 à 02:22:07
Liet est heureux de constater qu'un français, enfin, se rend compte que les hollandais sont foncièrement bon et généreux... et que c'est la faute des français tout ça. |
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Posté le 16/01/2013 à 14:27:21
Hrp: pour georges...
*Frederiko avait connu la vie à Port Louis, mais ces derniers temps, il logeait dans la forêt qui s’étendait entre la caverne du diable et Ulungen.
C’était une magnifique forêt pleine d’arbres aux pains, de conifères de toutes sortes
et de branches cassés, entravant les passages.
Elle possédait également en son sein un monastère.
Non loin de ce monastère ce trouvait un résineux, tel qu’on pouvait voir à travers toute la région, mais qui avait la particularité de s’être vu en partie déraciné lors d’une précédente tempête.
Heureusement ces voisins, plus robustes, l’aidait à garder un semblant de dignité en acceptant qu’il s’appuie sur eux.
De ce fait, un creux c’était formé sous ces racines, et c’est tout naturellement que Frédériko l’avait choisit comme ami...avec lui, ils s'échangeaient leurs énergies...
De plus l’odeur qui régnait en ce lieu, témoin de la matière qui était en train de devenir terre, était puissante.
La journée avaient été venteuse, et le ciel ne s’était pas découvert.
Pourtant en fin de journée, le soleil avait réussit à contourné les nuages pour lancer ces derniers rayons sur le paysage.
La végétation s’était alors illuminée.
Ce spectacle avait été si beau que même le vent en eu le souffle coupé.
Ce fut le moment que Poppea, Massam et Frédériko, choisirent pour se glisser dans le monastère.
Ils se faufilèrent à travers les bois, en direction du monastère, insensible à la beauté qui les entouraient.
Lorsqu’ils atteignirent l’orée de la forêt,la nuit commençait à s’installer et les éléments reprenaient leur droit.*
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Posté le 16/01/2013 à 14:50:48
Ces derniers jours George avait été une personne très sollicitée. Certains diront par les femmes du bordel - et c'est sans doute à juste titre - mais également pour des affaires administratives qui nécessitent une dose d'énergie considérable et une attention continue. Entre les autorisations à distribuer par centaines, la diplomatie franco-hollandaise à négocier avec son homologue, et quelques discussions géopolitiques avec des hollandais, George n'avait pas eu le temps de mettre un pied hors de Ulugen de la semaine.
Hier soir, à la tombée de la nuit, c'en fut assez. Il signa les derniers papiers, donna un coup de tampon à une missive en direction de Port Louis, s'arma de son sabre et décida de filer hors des murailles de la ville. Après tout, George c'est en premier lieu un baroudeur, un guerrier, un homme qui voyage ... la vie de bureaucrate a ses avantages (dit-il souvent en réajustant son pantalon) mais peut-être n'était-elle pas faite pour lui. Du moins il avait besoin de retourner gambader un peu dans les bois autour d'Ulugen et de se changer les idées.
Il prit la direction du Nord, jugeant plus sage de ne pas s'aventurer sur le sol français à la suite des négociations entreprises avec Walter, l'intendant français. Un accord tacite avait en effet été fait entre les deux hommes dans lequel chacun s'engageait à rester plus ou moins chez lui le temps qu'une décision soit prise. Taillant sa route à travers les arbres centenaires de la forêt, il avait le sentiment de revivre. Ah sa plume ne lui manquait pas, décidément rien de tel qu'un sabre à manier pour le mettre de bonne humeur. Il décida toutefois de faire halte dans le monastère lorsque la nuit fut bien installée. Il était tard, il voulait aller faire un tour à la cave à bière pour faire le plein et en profiter pour se reposer un peu.
Quelle ne fut pas alors sa surprise lorsqu'il ouvrit la porte, de se retrouver face à trois français bien connus de services d'ordre. Massam le boucher dont la face scarifiée parle d'elle même, Poppea la frigide mais pourtant toujours fourrée dans les mauvais coups ... et Frédériko qui semble se prétendre le médecin de la bande. N'ayant pas encore été remarqué (oui, George est quelqu'un de discret, au pas léger) il profita de ce laps de temps pour sortir quelques lettres de sa besaces qu'il avait rapidement parcouru du regards. Il aurait préféré y avoir passé plus de temps ... Pas de doute possible, dans ces courriers qu'il avait reçu, plusieurs faisaient mention de français en patrouille non loin d'Ulugen, de la forêt, de la grotte du dragon. Ces trois là étaient juste trois de plus. Enfoiré de Walter, il avait pourtant ma confiance !
Ni une ni deux, il envoya le caviste du coin chercher son plus fidèle compagnon Baptiste le tank qui se trouvait à Ulugen au cas où les choses tourneraient mal. Mais il n'aurait pas le temps d'attendre les renforts, non ... il ne pouvait pas prendre le risque de les laisser s'échapper.
Profitant de l'effet de surprise, George fit alors ce qu'il sait faire de mieux. Il dégaina son sabre, dans l'idée qu'au moins une personne dans cette salle ne passerai pas la nuit qu'il aurait pu espérer. |
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Posté le 16/01/2013 à 23:22:30
Arrive sur la place et commence à dresser un étal. Il se dit que cette fois-ci il tient le bon filon, une façon subtile et intelligente de remplir les caisses.
Il appelle alors les badauds:
Mesdames et Messieurs approchez approchez! Venez découvrir le dernier bijou tout droit sorti de la Plume Bleue, la maison d'édition de Port-Louis.
Voyez ce magnifique ouvrage, un livre humaniste et plein de bon sens, un écrit bien construit comme la pensée de son auteur, je vous présente donc:
"Comment foutre en l'air la diplomatie de paix en une leçon", par le talentueux Nick le Brun, un garçon autodidacte, dont l'appréciation géopolitique n'est plus à démontrer!
Des rumeurs circulent déjà sur un potentiel tome 2 "La Hollande m'a tué", un recueil plus autobiographique...
Allez ne vous refusez pas ce plaisir, vous les avides de culture, quelques pièces et vous emportez votre exemplaire! |
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Eden |
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Posté le 16/01/2013 à 23:30:56
S'approche de l'étal d'Ambroise. Puis sautille sur place.
Moi moi, j'en veux un. J'ai bien envie d'foutre en l'air des nations. Par contre vous avez pas le préquel : Comment mettre en place un plan machiavélique ... ou comment je détruis une nation avant de partir dans une autre ? Toujours du même auteur si je ne m'abuse ! |
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Posté le 16/01/2013 à 23:35:58
* L'homme nouvellement arrivé à Ulungen avait un contrat à respecter et des missions bien précises. Mais son employeur avait aussi exigé qu'il mette son arme au service de sa nation quand le besoin s'en ferait sentir.
Quand il eut vent qu'une attaque se profilait, il se dépêcha à venir en ville. Les Français avaient été repoussés mais leurs comparses anglais essayaient encore de tirer leur épingle du jeu. L'un d'eux voulait agresser un soldat hollandais, l'autre prenait la fuite.
Les deux furent abattus, sans sommation.
Il comprenait de mieux en mieux les motivations liées à son contrat. *
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Posté le 16/01/2013 à 23:37:35
*Marston fait mine d'essuyer une larme* |
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Francky |
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Posté le 16/01/2013 à 23:39:38
Arrive aux cotés d'Eden et lui chuchotte
Il me semble qu'il manque aussi "Comment mettre à mal une guilde en deux leçons" toujours du même auteur bien entendu.
Se tourne vers Sanada
Et bien Patron, je sais pas toi mais moi faut avouer que c'est presque avec impatience que j'attend le tome 2.. On m'a toujours dit qu'on garde le meilleur pour la fin, et dieu sait que celui la il va être bon!
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Skuleth |
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Posté le 16/01/2013 à 23:42:00
Arrive à côté de Marston l'air blasé.
Alors là...
Se tourne vers les hollandais et...s'incline.
Chapeau mes amis.
S'en retourne de là où il venait. |
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Ten |
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Posté le 16/01/2013 à 23:51:13
*bondit près de l'étal de Sanada et s'exclame*
J'en prendrais un tome !
Mais dites moi Patron, une lapidation publique est-elle prévue incessament sous peu pour l'auteur des ces je n'en doute pas passionante lignes ? |
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Posté le 17/01/2013 à 00:03:36
* jette une pièce au marchand ambulant *
Un tome 2 "Comment motiver les troupes ennemies" serait plus intéressant, parce que pour ça au moins, il est très bon votre général!! |
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Posté le 17/01/2013 à 00:22:27
Je suis prenneur ! Est il possible d'avoir une dédicace auprès de l'écrivain en personne ? |
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Effirië |
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11/05/2011 |
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Posté le 17/01/2013 à 08:43:12
Hééé m'dame Ten, la lapidation c'est pas bien!
Pensez au bûcher!
Ca réchauffe le coeur, ça apporte une charmante lumière dans la nuit, ça rassemble les peuples. On peut même faire une bonne bouffe avec les braises!
D'aillaurs, ça apaiserait les tension non ? De bonnes grosses sauci... *cherche Walter, non, mieux vaut ne pas parler de grosses saucisses si il est dans le coin* grosses parts de viande fraîchement chassée.
J'vous fournis, c'est pas un problème! En bois et en chasse, jm'y connais! |
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Posté le 17/01/2013 à 09:05:00
Termine son gobelet de rhum d'un air blasé et s'en ressert immédiatement un second sans hésiter. |
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Posté le 17/01/2013 à 12:32:10
Triste colonie Française réduite au silence par l’ingérence de la Hollande. Ambroise je ne pensais pas vous voir au côté de ces Français lécheurs de cul de batave. Soumis au bon vouloir des Hollandais par la peur et la lâcheté. Prêt à saisir une main tendue qu’ils ont si souvent prit dans la tronche et qu’ils reprendront dans quelques semaines encore et encore.
Je salue mes camarades Français qui ont tout tenté pour en découdre une nouvelle fois avec cette nation imbue de leurs succès. Je suis fier d’avoir servis à vos côtés. J’aime cette France allant jusqu’au bout de la bataille même lorsque les chances sont réduites à néant. J’aime ces Français prêt à saisir la faible opportunité de mettre au pas cette Hollande présomptueuse.
Il n’y a aucune honte à la défaite. La honte est de ne rien tenter et de laisser une France manipulé par les Hollandais. De croire en leurs paroles de fourbes et leurs propagandes.
Non je ne suis pas le seul ennemi Français de la Hollande. Rappelez-vous que les deux dernières prises de Van Ders n’étaient pas de mon initiative.
Je n’ai fait que mener les Français aspirant à un avenir meilleur à la bataille en ne leur cachant jamais nos faibles chances de succès.
Hollandais votre puissance n’est plus à prouver. Les entrainements que vous avez subit ont porté leurs fruits. Votre organisation défensive et votre détermination au combat est exemplaire.
Dommage que vous ayez perdu tous sens de l’honneur et du respect de l’ennemis. On ne se grandit pas en crachant sur les plus faibles. Pour ça vous resterez à jamais une colonie de petits.
J’ai sans doute quitté Liberty trop longtemps pour voir un jour nouveau bruler Ulungen. La propagande Hollandaise a eu raison de Liberty dans toutes les colonies. Les espions hollandais sont partout et les corsaires se laissent aveugler.
Pour cela, mon combat s’arrête aujourd’hui. Félicitations à mes détracteurs et mes ennemis qui ont finalement eu raison de moi.
Je m’excuse auprès de tous les Français qui ont cru en moi et que j’abandonne aujourd’hui.
Il est maintenant trop tard. Liberty est aux Provinces Unis, et j’ai maintenant mieux à faire que de lutter pour une colonie qui ne se reconnait même plus.
Je ne doute pas qu’un jour prochain la France montre au monde le vrai sens de l’honneur et le droit à l’égalité et la Liberté de chaque Homme. Hélas je crains de n’être plus là pour le voir.
Je vous souhaite bonne chance dans ce sombre avenir, mes amis.
*Nick décrocha ses galons de général et prit la direction du Port* |
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Posté le 17/01/2013 à 12:33:48
*Des applaudissements se faisaient entendre d'un recoin sombre*
Lève son épée en direction de Nick . 
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Posté le 17/01/2013 à 13:17:41
Même mort t'es r'venu, alors l'coup du bateau, t'crois quand même pas qu'on va gober...
Lève son canon en direction de Nick .
Merde, manqué. |
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Posté le 17/01/2013 à 13:29:10
Nick vous vous méprenez sur mes opinions: les bataves, je le dis haut et fort, je veux réussir un pillage de leur ville en réponse au leur.
Seulement, vous avez placé votre mandat sous la grande idée de l'union des rangs français, de l'apprentissage à fonctionner ensemble, et là la tentative d'hier soir allait à contrario de la volonté de votre Intendant et de la majorité du Conseil de Port-Louis. Pourquoi mettre en place des outils de communication si les avis ne sont pas écoutés?
La patience pour venger l'affront hollandais était de rigueur, trop de nos soldats souhaitant partir s'entraîner, mais vous avez choisi de continuer. C'est cela et uniquement cela que je vous reproche, certes dans la forme habituelle d'une fanfaronnade.
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Posté le 17/01/2013 à 14:19:06
écoute ce que les français ont à dire ne dit rien malgré qu'il ait des choses à dire et regarde Liet louper son tir sur Nick
oula l'ami, ça te réussit pas la bibine fufufuf
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Posté le 17/01/2013 à 15:00:49
* De retour très récemment, le baron écoute les propos de son général puis le voit s'embarquer *
C'est bien là tout le problème de ces hommes du peuple.
Incapables d'obéir à des ordres clairs, se reposant uniquement sur des rustres, oubliant de compter sur les gens bien-nés et fuyant à la moindre difficulté.
Que les gueux servent de première ligne et cessent de prendre des décisions. |
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Ten |
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Inscrit depuis le :
07/12/2010 |
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Posté le 17/01/2013 à 17:07:07
*file inocemment quatre autres balles à Liet et lui chuchote*
Ouvre les deux yeux quand tu vises, c't'un blondinet viril assez costaud qui me l'a dit. Mais naaan pas Sanada, j'ai dit viril ! ! Ralala mon p'tit Liet, faut vraiment que t'arrêtes la picole...
*s'approche alors d'Effirie et passe un bras autour de celui du bucheron*
Ah vous m'intéressez Messire, exposez moi donc votre offre. Surtout que quitte à le faire cramer, autant que ce soit spectaculaire. Je veux du joli bois, qui créé des flammes vertes pendant qu'il brule. Oh oui des flammes vertes ! Remarque s'il prend le bateau, le bois et les explosifs sont tout trouvés. Et je peux vous dire que je m'y connais, un bateau, ça crame vite ! Vous pourriez vous occuper de la chasse dites vous ? Quelle fantastique idée ! De quoi préparer un grand banquet dans Port Louis ? De quoi remotiver les troupes pour attendre patiemment la réponse batave à cette action por le moins stupide ?
Alala mon cher Effirie, vous êtes sans nul doute l'homme de la situation ! |
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Posté le 17/01/2013 à 19:07:38
Vous vous donnez en public Ambroise !Ce spectacle que vous nous donnez est pitoyable! Comment osez vous... devant des bataves salir l'honneur de notre général!
*Lève son épée*
A Nick ! Défenseur de Port Louis! |
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Posté le 17/01/2013 à 19:23:44
Verse une part de son vin par terre, la mine grave :
" A Nick. On ne crache jamais sur le dos d'un exilé. " |
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