Posté le 11/07/2019 à 20:34:04. Dernière édition le 11/07/2019 à 20:41:25
La silhouette ricane
"Une autorisation ? Pour quoi faire vu que vous trouverez une excuse du genre "Vous vousnmettez dans la trajectoire des tirs donc vous assumez de vous faire assommer..." ?"
D'un ton agacé:
"Et puis depuis quand le nord de l'ile est la propriété de la Hollande, trés cher ?
Je n'aime d'ailleurs pas trop vos men..."
La silhouette s'interrompt et réfléchit quelques instants avant de lancer d'un ton sévère et convaincu:
"Je porte plainte !
A l'encontre de l'Estimado'Señor Ric Dangerous pour menace contre mon intégrité physique !
Posté le 11/07/2019 à 20:41:09. Dernière édition le 11/07/2019 à 20:42:36
Votre demande n'est en rien justifiée et si j'ai émis cette suggestion, c'est juste parque vous vous balladiez au monastère il y a quelques jours.
Ne vous inquiétez pas, je me chargerais du dossier si vous vous faites aggressez par l'un de mes compatriotes sans raison.
Pour l'heure, votre jeunesse n'exclue pas le fait de demander des autorisations, bien au contraire, contribue à votre bonne volonté et votre propre sécurité.
Ça serait dommage que vous trouviez sur un point stratégique de notre ville...
"Très bien, je note... Evidemment je considèrerai que s'il m'arrivait quelque chose, vous assumerez votre part de responsabilité avec votre menace déguisée publique.
Si votre intention était réellement celle que vous avancez, vous auriez usé d'un petit oiseau tout mignon pour m'en informer en personne.
Il y a donc dans votre démar he une portée bien plus importante que vous ne pouvez nier..."
Posté le 11/07/2019 à 20:51:44. Dernière édition le 11/07/2019 à 20:53:21
Ricanne de plus belle
"C'est bien vous qui m'avez interpelé n'est ce pas? Oubliez donc mon nom et cessez donc de me faire un procès d'intention. Diffamer autrui n'est pas digne d'un gentleman, qui plus est responsable de la justice..."
Posté le 12/07/2019 à 11:05:02. Dernière édition le 12/07/2019 à 12:31:14
La silhouette lance un sourire crispé à l'agresseuse sexuelle et marmonne un "Manquait plus qu'elle pour terminer le tableau..."
Elle se racle la gorge et reprend sur un ton grandiloquent:
"Estimado Señor Ric... Qu'il est fort dommage que nous ne fassiez pas vous même ce que vous conseillez à autrui. Pensez à demander une autorisation la prochaine fois, vous savez bien pourquoi..."
Je viens porter plainte contre les officiers du régiment des Indes Occidentales d'Ulüngen pour leur soumission au Roy de France, et leur volonté de faire de votre colonie l'avant-garde des opérations coloniales françaises.
Un peu d'audace messieurs, la présence de vos troupes comme avant garde de chaque tentative des pouilleux de Port-Louis serait remarquée par une Chartreuse aveugle...
Posté le 16/07/2019 à 20:58:40. Dernière édition le 16/07/2019 à 20:59:15
La silhouette entre à nouveau dans la salle d'un pas lent, comme si toute la misère du monde lui était tombée dessus. En arrivant au centre de cette dernière, il se demande s'il ne ferait pas mieux d'y installer un petit bivouac, au cas où...
D'une voix frêle, elle essaye de prendre la parole mais son élocution semble délicate.
"Estimado..."
Elle s'intérompt un instant pour reprendre son souffle puis reprend plus lentement
"Estimado Señor...
Je viens... porter plainte..."
Elle secoue la tête de dépit puis ajoute
"... Encore...
Je crois que votre nation ne m'aime pas, je ne vois que cette explication possible. Peut être cela vient il de la couleur de ma tenue... noire...
Pourtant, la rumeur dit que cela ne vous a pas toujours dérangé, si vous voyez ce que je veux dire... Haha..."
Son rire est arrêté net par une quinte de toux grasse et prolongée, laissant penser que l'homme allait cracher ses boyaux. Il déglutit, avalant certainement quelques glaires qui le génaient et reprend avec une voix éraillé:
"Mais ce sujet n'est point l'objet de ma visite. Non, je viens à vous pour déposer plainte à l'encontre de l'Estimado Señor...
Tom van Boozen
Il m'a en effet... dérobé une quantité d'or conséquente aux abords de votre cité d'Ulüngen."
Une nouvelle quinte de toux vient couper sa plaidoirie puis une intense myalgie vient tordre son corps pendant quelques instants. Il reprend alors ses esprits et reprend, essoufflé:
"Je disais donc qu'il m'a dérobé une somme importante et a signé son méfaitnde son nom... La raison invoquée est une absence d'autorisation et le paiement d'une taxe qui m'était inconnue...
Cependant, la loi de protection des nouveaux arrivants est toujours active à mon encontre et de tels agissements se doivent d'être sanctionnés. Il est évident que si l'accusé faisait montre de bonne volonté et de repentance en me dédommageant, je retirerai ma plainte afin que votre estimable personne ne soit point trop importunée..."
La silhouette recule des quelques pas et vient poser son séant sur un des sièges de la salle.
"Vous permettez que je me pose un instant, je me sens quelques peu... épuisé..."
*met son monocle et parcours les pièces fournies par le plaignant*
Monsieur, je vois que vous vous êtes bien fait voler mais il n'est apporté aucune preuve de l'identité de votre voleur.
Le mot laissé dans votre poche aurait pu être écris par n'importe quel voleur malin.
D'ailleurs, si vous ne connaissiez le sieur Van Boozen, vous sauriez que ce n'est pas le trait de caractère qui le définit le mieux et que son seul vice est la boisson...
Posté le 26/08/2019 à 19:10:56. Dernière édition le 26/08/2019 à 19:25:06
*vient modestement frapper à l'huis, puis entre et se présente à l'administration*
Bonjour monsieur, madame,
J'aimerais signaler un comportement délictueux,
Aujourd'hui devant témoins, une de vos autorisée, une sorte de sauvage avec des cheveux de nuit très sauvages eux-même, s'en est prise tour à tour à ma personne fronssayze, au Sieur Alberto, Espognol de son état, et à mon jeune poto Cendre, fronssay sous bandeau onglois de son état. Une agression très internationale donc. Nous espérons, devant la violence dont nous fûtes vicitime, que vous comprendrez que nous ayons du adopter une riposte appropriée (nous tenons à assurer que cette dame n'est pas morte néanmoins; elle n'a pas été renvoyée dans le coma non plus, à la différence des adolescents qu'elle agresse parfois). A la lumière de cette accusation, nous aimerions savoir si vous entendez prendre des mesures de rétorsion à son égard. Merci d'enregistrer cette plainte.
*va s'asseoir en attendant la suite du procédé judiciaire*
**Onzahee rentre dans la salle sans prendre la peine de cogner. On peut voir quelle est salement amoché.**
ḍacc janaṟalumāyi ñān niśabdamāyi sansārikkumpēāḷ nagarattil enne prakēāpippikkān varunnatinṟe āśayaṁ entāṇ? ñān onnuṁ cēādikkāttappēāḷ niṅṅaḷ enne prakēāpippikkān tuṭaṅṅiyat niṅṅaḷāṇ. niṅṅaḷ vañcitarākumpēāḷ ñān niṅṅaḷkk oru dēāṣavuṁ ceytiṭṭilla. ñānalla, niṅṅaḷ tanneyāṇ teṟṟ.
Traduction : C'est quoi l'idée de venir me provoquer en pleine ville alors que je parlais tranquillement avec le général hollandais? C'est vous qui a commencé à me provoquer alors que jai rien demander. De lljs ne vous ai fait aucun mal alors que vous mavez salement amiché. C'est vous qui êtes dans le tort, pas moi.
Hmmmm... J'ai rien comprit ! Mais là r'voilà ! 'rquoi vous m'avez tapé d'ssus m'dame ? Vous savez, c'est dang'reux quand on tape les gens 'vec des batons en paille hein. Ca fait pas mal mais ça peut les énerver un p'tit peu en face d'vous.
Posté le 27/08/2019 à 00:13:13. Dernière édition le 27/08/2019 à 13:40:01
Monsieur le clerc hollondais?
Oui j'aimerais ajouter que nous avons de multiples preuves de l'aggression dont nous avons été victime! N'eût été nos épaisses cuirasses que nous étions fait comme du fromage trop fait, notre sang coulant sur les dalles tel un frometon laissé au soleil! Je suis sûr que cette image vous parlera.
J'ai seulement demandé à cette dame de garder ces distances, car je me souviens qu'elle avait occis un fronssay quelques jours plus tôt. Un jeune qui plus est. Et cette femme à la langue digne du glouglou hurleur (mon offre de vous faire porter un sirop pour la toux tient toujours sachez le) s'est jeté sur moi, 4 minutes après avoir signifié qu'elle ne souhaitait pas d'ennuis (j'ai seulement compris cela après coup, n'ayant pas fait glouglou troisième langue, heureusement qu'un homme le parle à l'auberge). Bref, cette...bête hirsute s'en est prise à moi, tentant d'abord de me perforer l'abdomen puis frappant au cou. Bon il se trouve que le métal de ma cuirasse est fort épais et que tout ces coups ont ricoché, mais il y a des témoins. Ser Alberto, qui s'est par ailleurs héroïquement porté à mon secours, et qui fut à sont tour pris pour cible; et enfin le jeune Cendre, ici présent, qui fut également témoin de l'agressivité de cette femme. Nous tenons à signaler qu'elle a porté les premiers coups. Et ce malgré de multiples appels au calme et démonstration de la futilité de ses frappes de moineau.
Enfin, si cela ne vous suffisait pas, sachez que cela a eu lieu sous les yeux de votre général qui j'en suis sûr, saura confirmer mes propos.
Sans tergiverser plus, nous avons donc du, en riposte aux attaques farocuhes de cette dame, contrer et lui apprendre ce qu'il en coûte de s'en prendre aux sociétés humaines. Sans aller, évidemment, jusqu'à l'occire, car à sa différence, nous ne sommes guère bestiau. Oui je dis bien bestiau sans x, tant je suis étonné d'avoir eu face à moi une telle chèvre.