Posté le 11/04/2021 à 01:42:35. Dernière édition le 11/04/2021 à 01:42:48
Je profite du fait que rien n'a été posté depuis un jour, après votre folie créative des récentes journées, pour un parler derechef de l'excellent saxophoniste Shabaka Hutchings. En plus d'avoir un nom qui flatte tendrement mes oreilles, il a fondé rien de moins que 3 groupes : Sons of Kemet, dont j'ai déjà parlé deux fois ici (probablement mon groupe actuel préféré en même temps), Shabaka and the Ancestors, pour ceux qui aiment un jazz plus classique, et the Comet is coming, un croisement entre jazz et electro (plus réussi je trouve que pour Ibrahim Maalouf et Red & black light, mais ça n'engage que mon opinion) dont il est sujet ci-dessous :
Mais si je vous en parle aujourd'hui, c'est parce qu'il y a peu Sons of Kemet (formé avec deux batteurs, pour appuyer sur les rythmes afro-caribéens de leurs chansons, et l'impressionnant joueur de tuba Theon Cross (qui a aussi son propre groupe)) a annoncé la sortie d'un 4e album pour la veille de mon anniversaire avec un nouveau clip. Alors, forcément, je trépigne d'impatience.
J'ai découvert ça y'a peu et je ne peux plus m'en passer, aussi je partage à ceux qui ne connaitraient pas. Le Bardcore !! Des remix médiévaux de zics modernes. Ce gars là s'est surtout attaqué au rap US et c'est drôlement chouette !
Merci Elijah de relancer le juke box après un mois d'inactivité ! Bon par contre les vidéos marchent pas de mon coté. q: Mais j'en ai profité pour écouter une autre chanson du groupe.
Dans un tout autre style, j'ai découvert, par l'intermédiaire de la chanteuse américaine Somi (dont j'ai déjà posté une chanson il n'y a pas longtemps), une collaboration entre diverses chanteuses, plus ou moins connues, aux origines Africaines. Le résultat est très plaisant. Fatoumata Diawara, Angelique Kidjo, Dianne Reeves, China Moses, Inna Modja, Somi, Mayra Andrade, Thandiswa Mazwai & Terri Lyne Carrington - Ambè https://www.youtube.com/watch?v=A-4ld26VfdU
Entendu ci et là sans jamais vraiment mettre de nom dessus, ce fut une joie exutoire que de redécouvrir ce groupe de punk rock de Brixton à l'occasion du récent documentaire sur leur chanteuse Poly Styrene.
Dans un tout autre registre et venant de Jamaique, le groupe The Revolutionnaries que je n'ai découvert seulement que depuis le flim Lovers rock, et cette scène de (quasi) fin hallucinante.
Sympa et original ! En guise de transition toute pétée, j'embranche sur un autre son en rapport avec les conditions de vie de la classe ouvrière. Enfin, "en rapport"... J'comprends rien aux paroles. C'est surtout le clip et aussi un peu le titre de la chanson et le nom du groupe Londonien de son état. (Quand j'vous disais que c'était tout pété.)