 Le Faux Rhum
|
|
[Tailor for Hire] Sous la cahute du commanditaire insurgé
|
1 2 -3- 4 |
|
|
Auteur
|
Message
|
|
Nielsen |
|
|
|
|
  |
|
|
Inscrit depuis le :
21/04/2009 |
|
|
|
Posté le 06/05/2012 à 00:52:42
Nielsen avait enfin compris la démarche à suivre pour obtenir ce fameux bandeau tant recherché. Lissant pour la dixième fois sa mèche zébrant son crane, il s'approcha du pirate :
Alors, que dois-je accomplir pour l'avoir, ce bandeau ?
Si j'ouvrais tous les tiroirs du Meuble, et si je les inversait ?
Ou alors, je soigne un pirate ! Non là ca fait beaucoup quand même...
Je ne vois rien de plus difficile pour moi, qui suis un soigneur né ! |
|
|
|
|
|
Posté le 06/05/2012 à 10:06:43
L'asiatique avait bien besoin d'un tailleur. Et de se raser, une bonne coup, sans doute. Un nouveau moral. Mais pour l'heure...
Bvien le bvonvour à vous !
Une rumeur faivant etfat dv'un ftfockf dve vieilles frippfes dvont vous fouhaitferiez vous dvebvaraffer, ve vienv à vous pfour vous pfropfover dve vouv foulagver dv'une veftfe.
Pfarait quf'en efangve vous rendvez dves fervifes ? V'ai dveux tfoiv idvees ! Faut f'advreffer à qufi ?
Ah, et fi vous tfrouviez dves dvents dvans votfre tfas dve bvrin, n'hevitfez pfas, hein
|
|
|
|
|
|
Posté le 06/05/2012 à 19:58:01
*Délaissant quelques peu les espagnols dévolus à un autre confrère, l'Ogresse voit revenir le primate savant et, tandis qu'elle gratouille son pelage à l'arrière de la tête, parcours ses preuves des yeux.*
"Mon singe, je ne suis pas satisfaite. Ceci ne saurait suffire.
C'est trop facile, trop fade: quelques pièces ne sauraient garantir mon approbation.
Trouves mieux, je te pries."
*Se tournant vers l'asiatique au bandeau orange, la bougresse sourit cette fois en coin et lui mime une révérance.*
"Mais bien sur, Père Chat sous la Lune. Bienvenue chez nous!
Ta première mission sera d'aller vanter les mérites des pirates sur la place publique de chaque nation -et pas d'entourloupe ou de critiques déguisées-, autant que d'affirmer au su de tous que Dbs est le seul vrai journaliste de cette ile.
La seconde, ma foi, c'est de te procurer assez de dents pour offrir un dentier au vieux Bill... et les prends pas sur un innocent, cette fois, d'accord?" |
|
|
|
|
|
Posté le 06/05/2012 à 20:24:32
incline la tete et commence à reflechir.
Pfar cfontfre, fa fait cfombvien dve dvents ?
Pfarfe qufe ve fais quf'il en a encfore, alors ve voudvrais pfas.. enfin voila, qufoi
...
Rooh, mais non, ve pfarle dve Fcforbvutf, pfas DvéBvéEffe ! |
|
|
|
|
|
Posté le 06/05/2012 à 20:34:24
"Débrouilles toi avec lui. T'es un grand garçon, non?" |
|
|
|
|
|
Posté le 06/05/2012 à 20:38:52
On pfarle dv'un cfontfrat, ve pfrefere etfre pfrefis ! |
|
|
|
|
YuKi |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
25/08/2010 |
|
|
|
Posté le 06/05/2012 à 21:57:05
* Après quelques jours de marche à travers l'île, YuKi arriva enfin devant les portes d'Ulugen. Ainsi sa première mission était sur le point de commencer. Il passa dans un premier temps au bureau des autorisations afin de ne pas avoir d'ennuis avec ses anciens ennemis. Comme lui avait demandé Skuleth il lui fallait courtiser la personne en charge du bureau ( Cf:Bureau des autorisations hollandais ). Avec la classe et le glamour qui résidaient au fond de lui, YuKi exécutat une entrée magistrale afin de séduir de son mieux ce loup de mer de Rider. Pas très finement peut être, mais il s'était donné du mal et avait travaillé sa chorégraphie toute la nuit de la veille.
Il accéda au coeur de la ville et se rendit directement à la taverne, endroit le plus propice pour y travailler son art de la séduction. Il apercu une jeune demoiselle très sage et timide accodé au comptoir qui semblait ouverte à toute proposition. Il entama la conversation sur divers sujets et après lui avoir payé du champagne toute la soirée pour 38 PO, elle l'emena dans une chambre sombre à l'étage. Certains raconte qu'ils ont entendu la petite gémir de plaisir toute la nuit et qu'ils ont eu du mal à dormir à cause du bruit.
Une fois le soleil levé, YuKi pris sa plume pour écrire au pirate avant de se remettre en route: *
" Monsieur le pirate,
Je suis actuellement à Ulugen où j'ai réussir à conclure cette nuit avec mademoiselle Kelsey Van Dresonchorst. Voici ci-joint sa petite culotte encore humide qui vous prouvera que je n'ai pas mentis.
Je pars demain pour Port Louis où dit on les femmes y sont fraiche et raffiné et les hommes beau et efféminé.
Je vous tiendrais au courant rapidement de l'avancé de ma mission.
-YuKi- , séducteur. "
06/05 04:10:49 :Tu achètes de la marchandise pour 38 PO.
06/05 04:10:49 :Tu prends du bon temps avec Kelsey Van Dresonchorst. Umhh...
06/05 04:08:59 :Tu entres dans Ulu - Auberge.
06/05 04:07:36 :Tu entres dans Ulüngen.
Tableau de chasse:
Kelsey Van Dresonchorst (level 1)
Une petite douceur des neiges à la peau soyeuse et au regard triste, elle possède un charme et une douceur indéniable...
|
|
|
|
|
Skuleth |
|
|
|
|
 |
|
|
Inscrit depuis le :
01/06/2007 |
|
|
|
Posté le 06/05/2012 à 22:48:28
Accoudé au comptoir, le confrère sirote un rhum alors qu'il reçoit un perroquet. Il ouvre la lettre, et tombe en premier lieu sur un drôle de tissu avec une odeur entrainante.
-Ah, Carlos, regarde encore une admiratrice héhé. C'est pas beau ça ? Regarde moi ça, elle a mit du parfum sur un mouchoir qu'elle m'a envoyé.
Se frappe le torse.
-C'est ça la marque des grands homme mon bon Carlos. Les femmes leurs envoient des mouchoirs avec leur parfums par simple admiration.
Ce disant, Skuleth se frotte le visage avec le tissu, avant de lire la lettre.
Tiens, regarde, c'est l'autre crâne de melon qui me tient aux nouvelles pour sa mission. Alors, il aurait fait des avances à rider, comme je lui ai demandé. J'aime bien. Si ça se trouve, grâce à moi, j'aurai crée un nouveau couple, si après ça on dit que la confrérie veut le mal des corsaires.
Continue sa lecture jusqu'au moment où : "Voici ci-joint sa petite culotte".
-QUOI ??
Lance la culotte qui atterrit sur le crâne de Carlos. Puis, sort négligement son malmort, qu'il pose sur le comptoir, le canon face à Carlos.
-T'as rien vu, rien entendu, ok ?
Puis se retourne, en entendant les paroles des nouveaux venus. Raul, et Nielsen, rien que ça ? Faisant comme si rien ne s'était passé, regarde Raul en premier.
-Hum, je ne m'occuperai pas de toi mon grand, mais ne t'en fais pas, on trouvera quelque chose pour toi. Quelque chose de bien, ne t'en fais pas. Au fait, comment va ta petite Violette ? Et sa maman ?
Sourire carnassier à l'évocation de ces deux dernières personnes, avant de se tourner vers Nielsen. Le confrère se lève, et tourne autour de lui, le jaugeant.
-Alors comme ça, mon jeune ami, tu veux une veste hein ? Pour la classe ? La drague ? Laver tes toilettes ? Hum, bien, bien, je vais réfléchir à quelle tâche je vais te confier.
|
|
|
|
|
|
Posté le 07/05/2012 à 01:24:45
Le voleur avait rejoint le refuge sous les menaces de son ancien compatriote et, depuis, y retournait régulièrement. Il aimait à prendre des nouvelles au sujet de cette petite affaire qui tournait plutôt bien, semblait-il. Si le devenir des vestes et bandeaux ne l'intéressait pas, notre homme se gaussait d'imaginer les réactions des plus stupides ennemis de l'équipages face à cette future vagues d'hommes et femmes habillés aux couleurs des frères de la côte. Oui, s'y retrouveraient-ils, ces chasseurs pour qui porter un simple brassard sombre revenait à s'engager à violer femmes et enfant tout en incendiant maisons et chiens et qui s'imaginait donc rendre la justice divine en tirant sur les premiers hommes de noir vêtu qu'ils croisaient ?
Et le voilà qui attendait, allongé sur une des poutres soutenant le toit, comme à son habitude. Il aimait bien cette place : assez proche de la porte et du centre des négociations pour tout voir et entendre, tout en étant invisible pour qui ne levait pas la tête à le chercher. L'ombre le rassurait et la proximité du plafond donnait au craintif l'agréable impression d'être protégé contre toute agression. Rien ne pourrait le surprendre. Hubert n'était pas homme à avoir le vertige, pas pour si peu. Et c'est donc adossé contre l'un des gros morceaux de bois de la charpente, les mains croisées derrière la tête afin de rendre plus confortable sa tenue, une jambe négligemment pendue tandis que l'autre, semi repliée, lui assurait un minimum d'équilibre, que l'Hollandais eut le plaisir de voir entrer la dernière tête qu'il aurait pu s'attendre à croiser par ici. Son grand rival, celui qui lui avait piqué femme et dignité : Raúl Madeiros.
Un saut svelte bien étudié lui permit de s'assurer une réception par trop difficile. Quelques pas plus tard, c'est sorti de l'ombre qu'il se trouvait debout aux côtés de Vardek Crom, à lever les yeux vers l'Espagnol. Pour une fois, aux tremblements de peur se mêlaient ceux de l'excitation : après tout, que risquait-il, entouré comme il l'était du Golem et de son créateur, du masochiste de rouge armuré, et de ce voleur à la grande gueule qu'était l'initiateur de tout ceci. Sans même compter les autres présents...
Sa voix rendue trop aigüe par ce sentiment de supériorité qu'il avait du mal à contenir s'exprima donc en ces mots :
- Madeiros ! Quel plaisir de vous revoir ! Vous savez à quel point je vous estime. Après tout, vous m'avez vaincu, non ? Une preuve de votre talent. Je suis bon perdant, et je ne vous en veux pas le moins du monde pour cela.
Mais passons. Vous souhaitez chanter nos mérites et gagner notre affection, c'est cela ? Notre "reconnaissance", dirait mon collègue.
Hubert partit d'un éclat de rire avant de s'approcher un peu plus de l'Esperanzien, un bras tendu comme pour lui serrer la main tandis que l'autre vint se poser contre ses épaules pour l'attirer plus près de la table des négociation.
- Regardez donc la qualité de ces tissus. Et comprenez leur signification...
Une petite pause marquait la dernière phrase, comme pour laisser à son interlocuteur le temps d'enregistrer ce dont l'ancien homme de ménage des Pestes lui parlait.
- Je discute, je discute, mais vous n'en avez que faire, n'est-ce pas ? Après tout, si vous êtes ici, c'est bien parce que vous connaissez la valeur de ces pièces.
Se redressant de toute sa hauteur ce qui, pour un homme de taille et corpulence moyenne comme lui, ne représentait pas grand chose (son physique anonyme lui avait toujours permis de passer inaperçu, le plongeant peut-être dans la vocation qu'on lui connaît), le von Tach se mit à frotter la barbe qu'il n'avait pas, dans l'attitude typique de l'homme qui réfléchit, avant de reprendre bien distinctement.
- Peut-être savez vous que nous entretenons ce qui doit être le meilleur réseau de plaisirs des Caraïbes ? Jeunes femmes, pucelles à la peau d'albâtre ou d'ébêne, roturières usées par les souffrances de la vie et désireuses de trouver un emploi moins contraignant, plus plaisant. Il en faut pour tous les goûts !
Tout le temps de son énumération, Hubert tentait de cacher le malaise qui le submergeait. S'il commençait à devenir familier avec les notions de passages à tabac, meurtres, voire saccages de ports, sa timidité lui avait toujours causé de surprenantes réactions à l'évocation des filles de joies et autres femmes de petite vertu. C'est néanmoins en rassemblant tout son courage ou ce qui s'en rapprochait le plus (peut-être l'appât du gain ?) qu'il réussit à reprendre sans trop de gêne :
- Oui, pour tous les goûts, et même des hommes, pour quelque noble fortunée que son mari absent ne suffit plus à satisfaire voire, de temps en temps, pour quelqu'homme lassé de la gente féminine et désireux de s'ouvrir à de nouvelles expériences...
Laissant plâner le mystère au sujet de la mission le temps pour lui-même de retrouver un souffle qui ne risquait pas de le faire crever d'asphyxie, Hubert ouvrit à nouveau la bouche au bout d'une petite dizaine de secondes :
- Ne vous inquiétez pas, Raúl, nous n'allons pas vous demander de financer votre corps. Après tout, nous sommes vos amis, non ? Ce que nous voudrions, en échange de notre gratitude exprimée par ces vestes et bandeaux, ce serait que vous rappelier à Liberty qui contrôle le marché de la luxure dans les environs.
Déjà, vous allez me raser ces poils qui recouvrent votre corps ! Tous, sans exception, hormis vos cheveux et votre moustache, bien entendu. Oui, uniquement la moustache.
Ensuite, sans demander la moindre autorisation parce que nous sommes maîtres de nos déplacements sur l'île, nous voulons vous voir effectuer dans chaque taverne coloniale de Liberty un spectacle de dénudage. Oui, vous m'avez bien entendu. Par vos "strip-tease", vous rappelerez à chacun que nous pouvons fournir à qui le veut, moyennant finance, objets de désir ou fantasmes interdits de son choix.
Chacune des tavernes de Port-Louis, Esperanza, New Kingston et Ulüngen devra être visitée par vos soins et vous vous y produirez en une représentation unique d'ici la fin du mois.
Quatre dénudages en un peu plus de trois semaines, cela sera-t-il possible pour vous ?
Le sourire d'Hubert efface bien vite sa gêne. Un sourire assez sadique, comme il en réserve uniquement à Madeiros. |
|
|
|
|
|
Posté le 07/05/2012 à 12:55:14
*Lisant dans son coin le compte rendu du français, le pirate prit sa plume et se mit à rédiger dans le boucan que provoquaient les nombreux arrivages corsaires. Décidément, il faudrait veiller à ne pas servir de marchand ambulant à trop de personnages qui aussitôt feraient comme si de rien était, et comme si la Confrérie n'avait pas rendu service aux corsaires; aux nations.
S'éclaircissant la voix, il lança*
Je vous annonce, que les règles changent tout de suite. Les demandes affluent et nous ne sommes pas là pour faire de la charité, alors voici ce qui va se passer.
Les personnes qui sont trop gentilles ou qui n'arrivent pas à accomplir correctement leurs missions, vous êtes prévenus, vous allez avoir des rivaux.
A partir de maintenant, les demandes directes sont irrecevables tout de suite. Mais, si un corsaire désire s'approprier une veste, il devra faire capoter la mission d'un des demandeurs en cours. Les preuves se rapporteront ici-même et les corsaires qui désirent détourner la mission d'un autre devront se manifester au préalable.
Est-ce bien compris?
Personne n'a encore réussi toutes ses missions, alors autant vous dire que vous avez l'embarras du choix. Jetez-vous dans l'arène, vous, nécessiteux, qui voyez d'autres corsaires s'accaparer ce que vous convoitez en demandant poliment. Est-ce si honteux? A vous de voir. Mais si cela vous frustre et vous vexe au plus haut point, alors sortez les armes, clamez vos droits sur ces tissus, et si besoin volez la victoire à l'un de vos camarades (Une contre-mission étant un RP/action allant à l'encontre de la tâche du corsaire qui est en cours)
*Se mettant allant à rédiger, il soupira*
Sir de Siorac,
Je vois que vous avez eu une semaine agitée et je compatis. Cela ne doit être guère amusant de se faire passer à tabac par un adversaire en manque de cibles.
Je me donnerai volontiers à vous expliquer en détail le pourquoi et comment de mes encouragements à vous faire continuer votre mission, mais arrondir les angles ne serait guère un lot de consolation; alors droit au but:
Vous en prendre à un hollandais est certes louable, mais ne correspond guère à l'ordre de la mission.
Je comprends tout à fait que vous ayez une aversion manifeste envers ce peuple barbare qui se cache sous une couronne, mais sachez que le drapeau que je vous ai demandé de déchoir au travers d'un duel est le vôtre.
Je me permettrais un conseil limpidement pertinent et à la fois si peu perspicace, mais...
... si vous avez à combattre en duel -honorable soit dit en passant- un Français, peut-être devriez-vous commencer par organiser cette rencontre à Port-Louis et non à Ulüngen. N'est-ce pas? Alors serez-vous assurément à l'abri du sauvage commun qui se fait assaillant à chaque vue qu'il a de vous.
Allons, ne me laissez pas croire qu'un français à particule refuserait un duel. N'est-ce pas le lot quotidien de toute classe sociale favorisée, dans votre pays?
Bon courage à vous,
Vardek C.
|
|
|
|
|
YuKi |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
25/08/2010 |
|
|
|
Posté le 07/05/2012 à 16:21:41
* YuKi arriva devant Port Louis dans le courant de la nuit. Il passa dans un premier temps au bureau des autorisations afin de ne pas avoir d'ennuis durant son séjour (Cf: Bureau des autorisations francais ). Même s'il aurait préféré avoir à faire à une jeune et jolie petite francaise, c'était le Docteur d'Eon de Beaumont en personne qui était en charge de ce bureau. Pour pouvoir le séduire, il tenta utiliser le charme et l'élégance typiquement francaise avec bien sure des flatteries en prime, cela va de soit. S'étant renseigné et connaissant bien les centres d'interêts du docteur, puis après avoir trouvé les accessoires nécessaire il se mit au travail. Comme son nom de famille était le même que le grand manitou Francais, cela fut un gros atout pour obtenir l'autorisation et arriver à ses fins.
Quoi qu'il en soit, une fois au milieu de la ville il apercu puis rentra dans la seule batisse qui semblait encore animé et éclairé à cette heure tardive. Une fois à l'intérieur, il se mit en quête d'une proie. Hélàs, aucune des jeunes femmes présentes ne semblait seule. Cependant, dans un coin de la pièce, un jeune dandis n'arretait pas de le dévisager avec un grand sourire qui rendait YuKi mal à l'aise. Plus le temps passait et moins de monde était présent dans la salle. Il lui fallait agir... A contre coeur il se résigna à aborder le jeune homme. De toute facon le bougre de Skuleth l'avait obligé de coucher avec au moins quelques hommes et non exclusivement des femmes comme il l'aurait souhaité... La suite de l'histoire continue avec un acte sexuel très rapide entre les deux hommes dans une petite salle sombre en arrière boutique. Le jeune homme lui avoua que c'était aussi ca première fois avec un homme.
Quelque peu dégouté de ce qu'il venait de faire Yuki retourna dans la salle principale où il avait oublié sa veste. Horreur ! On venait de lui dérober 672 Po ! Extrèmement mécontent il s'en alla engueuler l'espèce d'armoire à glace qui bloquait l'entrée du batiment aux gens louches ou sans le sou. Cependant le géant n'était pas très commode et emmena YuKi de force dans une petite ruelle non loin de là pour le rouer de coups. Une fois dans son lit d'hopital, il ecrivit une missive au pirate: *
" Monsieur Skuleth,
Je encore progressé dans la mission qui m'a été confié. En effet je suis passé à Port Louis où je n'ai eu d'autre choix que de coucher avec un homme !!! J'imagine que cela vous fera bien rire mais je ne me suis personnellement pas amusé du tout !!!!! Je voulais vous envoyer son sous vetement, cependant le jeune homme n'en portait pas ! Voici donc ci-joint son pendentif ainsi que sa chaussette droite. En espèrant que ces preuves vous suffirons.
De plus, j'ai eu quelques différents avec une brute en ville et je vous écris actuellement de l'hospital. Je continuerais mon périple à Esperanza et New Kingston dès que je serais rétablis.
-YuKi- "
07/05 11:38:53 :Tu es tué par Phil BLake "The terrible Pirate" .
07/05 11:38:53 :Combat contre Phil BLake "The terrible Pirate" , il te met 18 pts de dég.
07/05 11:38:50 :Combat contre Phil BLake "The terrible Pirate" , il te met 14 pts de dég.
07/05 11:38:44 :Combat contre Phil BLake "The terrible Pirate" , il te met 16 pts de dég.
07/05 11:38:40 :Combat contre Phil BLake "The terrible Pirate" , tu lui mets 25 pts de dég.
07/05 11:38:36 :Combat contre Phil BLake "The terrible Pirate" , il te met 16 pts de dég.
07/05 11:38:33 :Combat contre Phil BLake "The terrible Pirate" , il te met 14 pts de dég.
07/05 11:38:27 :Phil BLake "The terrible Pirate" va voir ailleur si j'y suis !.
07/05 04:13:23 :Tu achètes de la marchandise pour 672 PO.
07/05 04:13:23 :Tu prends du bon temps avec Christian. Umhh...
07/05 04:10:02 :Tu entres dans PL - Bordel La Fleur Bleue.
07/05 04:07:50 :Tu entres dans Port Louis.
Tableau de chasse:
Kelsey Van Dresonchorst (level 1)
Une petite douceur des neiges à la peau soyeuse et au regard triste, elle possède un charme et une douceur indéniable...
Christian (level 17)
Un jeune dandis qui profite que les femmes viennent à lui pour apporter encore plus de plaisir à la gente féminine. Messieurs passez votre chemin, il n'est pas de ce bord là ! |
|
|
|
|
|
Posté le 07/05/2012 à 17:04:45
*Réprimant une envie de contester, Pierre serra le poing et s'inclina.*
Monsieur, toutes mes excuses.
Il est vrai que la mission que vous m'avez donnée est telle qu'elle est, et sera effectuée selon votre convenance.
*Pierre se dit également que le pirate aurait surement le droit à un couplet dans sa tirade sur la condescendance... Décidément, les pirates étaient d'étranges personnages: le français avait toujours pensé que ce n'était que des rustres à la recherche d'or et de femmes à forcer, mais il se rendit compte que la plupart d'entre eux étaient cultivés, amateurs de joutes verbales et arrivaient à manipuler à leur convenance les corsaires avides de posséder des fripes aux couleurs sombres...* |
|
|
|
|
|
Posté le 07/05/2012 à 18:12:16
Le meuble avait quitté Espéranza, toujours perdu dans ses pensées.
La mission que Skuleth lui avait confié l'ébranlait.
Mon père ?
Quelque part sur cette île ?
Et il aurait été... un arbre ?
Après tout...
Pourquoi pas.
Comment en être sur ?
La piste mérite d'être creusée.
Les pirates savent des choses que nous ne connaitrons jamais...
Mais si il a vraiment poussé sur Liberty...
Comment le trouver ?
Au milieu de ses réflexions, le meuble eu une illumination.
Pour trouver son père, il devait revenir à la base, aux racines...
Si c'est bien mon père...
Il a du me transmettre quelque chose !
Une essence de bois magnifique, noble et virile...
Des planches d'une douceur incomparable.
Des cernes innombrables et parfaitement marqués.
Et puis...
Hmmm, oui sans doute.
Une attirance prononcée pour la gente féminine...
Enfin heu...
Oui, oui une perversité lubrique, en fait...
De quoi ?
Heu, oui, oui, bon, ça va !
Je suis un gros cochon, et puis c'est tout.
Nouvelle illumination.
Une souche, un gros cochon...
Les indices étaient on ne peut plus clairs !
Si le meuble devait avoir un père arbre sur cette île, il ne pouvait qu'avoir poussé dans la planque de Draculus !
Il s'y rendit aussi vite.
Malheureusement, s'il y avait bien une souche sur place...
La désillusion fut cruelle :
http://i43.servimg.com/u/f43/15/63/11/64/pirate53.jpg
Malgré tous ses efforts, jamais il n'obtint de réponse.
Cet arbre-là ne pouvait pas être son père.
Il manquait ce petit rien de magie qui devait forcément couler dans sa sève.
Le meuble décida de continuer à chercher dans le secteur.
Peut-être que Draculus avait vécu ailleurs avant de se terrer dans sa planque.
Mais oui !
S'il se cache...
C'est surement qu'il a peur !
Et un animal qui a peur...
C'est un animal qui a été chassé !
Et si ?
Oui ce doit être ça.
Je parie qu'il vivait tranquillement quelque part, et puis que des humains l'ont chassé.
Je devrais aller voir dans les villages indigènes des environs.
Le meuble se rendit dans le village Gou-chiiii.
Mais il n'y avait pas de traces de souche.
Il alla ensuite au village des Narawaks.
Et en effet, il y trouva une souche !
Tout à son bonheur, il s'élança vers ce qu'il pensait être son père lorsque tout à coup...
http://i43.servimg.com/u/f43/15/63/11/64/pirate54.jpg
Les pirates !
Ils ne reculent devant rien !
Je parie qu'ils ont prévenus les Narawaks.
Tout ça pour corser la mission...
Tout ça pour ne pas partager leurs vestes, surtout !
Quelle bande d'égoïstes.
Allez, je rentre à Espéranza.
J'vais lui montrer, à Skuleth, de quel bois je me chauffe.
Sur le chemin du retour, alors qu'il ne pensait même plus à son éventuel père, le meuble passa par une clairière.
Il senti tout de suite quelque chose de spécial dans cette clairière.
Une souche se tenait en son centre, fraichement coupée.
Le tronc et les branches avaient été réduit en bûches, qui se trouvaient encore à proximité.
La vie n'avait pas encore complètement quitté cet arbre.
Et quelque chose d'inexplicable faisait grincer les charnières du juge espagnol.
La colère quitta instantanément le justicar espagnol.
Il ne savait pas trop pourquoi, mais pour la première fois depuis bien longtemps il se sentait presque chez lui, dans cette clairière.
Comme s'il était...
En famille ?
Mais c'est n'importe quoi !
Ca ne peut quand même pas être mon père.
Et après toutes ces années à glander sur cette île...
On le couperait juste devant mes tiroirs ?
Je ne saurais donc jamais...
Le meuble était un rien dépité.
Démembré comme l'était cet arbre, il ne pourrait plus jamais confirmer les doutes.
Il ne restait qu'une chose à faire...
http://i43.servimg.com/u/f43/15/63/11/64/pirate55.jpg
Il était temps de rentrer à Espéranza, et de rendre compte à Skuleth de son voyage pour retrouver ses racines... |
|
|
|
|
|
Posté le 07/05/2012 à 19:47:14
*Au fur et à mesure que Hubert le brossait dans le sens du poil (probablement la toison drue du torse, vu tout le mal qu'il se donnait), Raúl fronçait les sourcils. La mission était certes des plus simples, mais, si Clémente venait à le savoir, elle lui réserverait sûrement une colère dont elle avait le secret. Se dénuder devant d'autres femmes, ceci la ferait enrager de jalousie, pour sûr. Que dire aussi de cette promotion de la confrérie comme fer de lance du marché de la luxure... Vanter les mérites d'un concurrent au comptoir des plaisirs, c'était enfoncer le clou.
Et puis cette idée de s'épiler ! Hubert voulait probablement le ridiculiser, à vouloir le faire ressembler à une femmelette française. Lui qui disait avoir abandonné Clémente, lui qui disait reconnaître sa défaite... Il avait encore quelques tours à réserver à l'Espagnol. Raúl avait donc bien raison de se méfier encore.
Cependant, il se le répétait : la mission semblait facile. Et obtenir quelques tissus pour si peu, voilà qui réjouirait Clémente, même si ça ne lui ferait pas oublier le reste. Il devait réfléchir. Comment tirer avantage de tout ceci ? Il lui fallait discuter un peu plus avec son rival.*
Voyons Houbert, vos n'y pensez pas ?! Clémente né porrait accepter dé savoir qué yé mé dénoude por d'autres qu'elles. Vos dites sohaiter son bonhéur, pero, même s'il né sé passe nada dé plous, vos savez qu'elle né soupporte pas qu'oune señora lève ses yéux sour la mouscoulatoure dé son hombre ! Hem... Vou la votre, vos né devez péut-être pas lé savoir. Pero, sachez qué céla loui fendrait lé coéur.
N'y a-t-il pas oune autré moyen qué dé faire la promotione dé votre entréprise ? Si, par exemple, y'arrivais à convaincre oune o plousiéurs señoritas dé ténir cé spectacle à ma place ? Après tot, lé strip-tease est oune domaine artistique réservé à la yente féminine ! Il n'y a pas moyen dé négocier céla, por lé bien dé Clémente ? |
|
|
|
|
YuKi |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
25/08/2010 |
|
|
|
Posté le 08/05/2012 à 14:37:17
* Après avoir été mal mené lors de sa visite à Port Louis, YuKi se réveilla sur son lit d'hospital à Esperenza. Bien que les infirmières voulaient le garder encore quelques jours il en sortit le lendemain. Paré pour une nouvelle séduction, cette fois ci il était chez lui, dans la belle Esperanza. Il connaissait bien les gens d'ici et surtout les femmes qui y sont caliente. Il s'en alla alors à l'auberge afin de voir ce qu'il pouvait se mettre sous la dent. Il retrouva Skuleth qui comme depuis plusieurs jours maintenant était ici tout les jours afin de recruter des jeunes moussaillons prêt à tout pour leur bandeau noir. Il lui fit un clin d'oeil et lui dit: *
- Regarde et apprend amigo ! Je vais te montrer en direct comment séduire sans artifice.
* Il alla donc séduire une jeune coquine, une habitué de la taverne qu'il avait déjà croisé ici au pars avant. Il réussit en moins de 15 minutes à la convaincre de coucher avec lui. Il pris alors une chambre à l'étage pour 134 Po mais en y allant passa avec sa poulette sous le bras et un grand sourire devant Skuleth.
Une fois l'affaire conclue il redescendit, et alors que le pirate discutait avec un petit nouveau, YuKi lanca négligemment sur la table le soutien gorge de la jeune femme.*
- Tiens voici la preuve de mon acte. Je pars maintenant en direction de New Kingston pour ma dernière étape de séduction. Je t'enverrais un message une fois cela effectué.
* Il commande alors au barman une bouteille de saké sur son compte pour Skuleth. *
- C'est ma tournée, régale toi, je ne serais pas long.
* Il s'éclipse de la taverne, plus confiant que la dernière fois.*
08/05 13:23:05 :Tu achètes de la marchandise pour 134 PO.
08/05 13:23:05 :Tu prends du bon temps avec Inmaculada por Detràs. Umhh...
08/05 13:21:26 :Tu entres dans Esp - Auberge Espagnole, Habitación de comercio.
08/05 13:21:14 :Tu entres dans Esp - Auberge Espagnole, Etage.
08/05 13:20:53 :Tu entres dans Esp - Auberge Espagnole.
Tableau de chasse:
Kelsey Van Dresonchorst (level 1)
Une petite douceur des neiges à la peau soyeuse et au regard triste, elle possède un charme et une douceur indéniable...
Christian (level 17)
Un jeune dandis qui profite que les femmes viennent à lui pour apporter encore plus de plaisir à la gente féminine. Messieurs passez votre chemin, il n'est pas de ce bord là !
Inmaculada por Detràs (level 5)
Une petite coquine qui apprécie particulièrement les mises en situation !
|
|
|
|
|
Skuleth |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
01/06/2007 |
|
|
|
Posté le 08/05/2012 à 22:08:51
Que de bruit dans cette auberge. Le pauvre Skuleth ne pouvait tout simplement plus deviser avec Carlos et refaire le monde autour d'un godet. Ce bon Vardek avait eu raison en mettant la hola. Les choses devaient revenir au calme, on se serait cru dans la salle de classe de Madre Anna avec Trounu qui hurle dans la salle. Skuleth dû se résoudre à mettre un peu d'ordre dans les missions qu'il avait distribué.
La première personne, ou plutôt chose, qu'il vu, fut le reflet du soleil sur le crâne de Yuki. Bon dieu, il allait vraiment falloir que ce dernier se trouve de quoi faire une moumoute. En voyant Raul dans la pièce, Skuleth eut un sourire. Si Yuki n'avait pas d'idée pour sa cible à forte capillarité, voici de quoi faire l'affaire.
-Mon bon Yuki, où en sommes nous alors ? Je vois, je vois. Un soutien gorge, une petite culotte, et une chaussette trouée...
Semble sceptique, puis reprend contenance.
-Bon, après tout, si tu veux dépouiller ses pauvres gens, ce n'est pas mon problème héhé. Mais fait attention de ne pas trop boiter en passant proche du camp paria, tu serai surpris.
Mais je note ton avancement et ton engouement pour la cause, ne t'en fais pas, la confrérie n'est pas frappé de cécité, nous retenons tout.
Ce disant, Skuleth observe le jeune homme qui lui faisait des sourires depuis quelques minutes. Skuleth pensait que le jeune homme voulait entendre une de ces histoires, et répondait par des petits signes de mains aux sourires qu'il lui envoyait, avant d'observer qu'il lui manquait une chaussette. Son regard alla de la chaussette qui restait au jeune homme, à la chaussette que Yuki avait déposait sur la table, et, prit d'un air dégouté, il se saisit du verre de Saké que l'asiatique lui avait commandé et le balança sur le jeune homme.
-Par les milles putains du pape, p'tit con va.
Se retourne une dernière fois vers Yuki.
-Hum, décidément, ta mission me laissera pas sans tracas hein. Ce français là. Il t'a suivit depuis Port-Louis. Pff, t'aurai mieux fait d'le laisser entre les mains du sauvage qui t'as agressé.
Se gratte la tête.
-M'enfin, j'sais pas lequel des deux aurait eut le plus à craindre que l'autre. Au fait, t'as eu des nouvelles du Meuble ? Tiens donc, faudra que je me renseigne où il en est, j'ai entendu de drôles d'histoires moi.
Se retourne enfin vers le jeune Nielsen.
-Bon mon ami, après avoir réfléchi, voici ta mission :
Tu te dis noble médecin, tu vas donc devoir aller innocemment vers 5 personnes, et leur prodiguer des soins. Quitte ce sourire mon enfant, ce n'est pas tout. Alors que tu sera en train de les examiner et de les soigner, ta mission sera, dans un premier temps, d’aggraver leurs blessures. Par exemple, si tu croises ce bon Lord Kelvin Klein, je veux qu'en voulant lui soigner son herpes des pieds, tu lui arraches un dent. Est-ce bien compris ? Quand tu aura finit ça, vient me voir, on verra ce que tu pourra faire encore héhé. |
|
|
|
|
Nielsen |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
21/04/2009 |
|
|
|
Posté le 08/05/2012 à 23:13:19
Nielsen vérifie son matériel : Fer à souder, lime, pince à métaux, tournevis... Ca devrait faire l'affaire.
On soigne gratis ici ! Viendez à moi !!! Non, non, ne partez pas, c'est du garanti à vie !! |
|
|
|
|
YuKi |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
25/08/2010 |
|
|
|
Posté le 09/05/2012 à 00:08:18
* Alors qu'il trainait dans Esperenza après s'être envoyé en l'air, YuKi apercut le pirate Carlo Cavicchiolo. Celui ci semblait à première vue plutôt sage alors qu'il trainait d'un air louche dans la cité Espagnole. Le pirate lui confia alors qu'il savait comment obtenir une chevelure soyeuse. Yuki lui demanda s'il voulait bien lui donner un peu de cheveux pour que Skuleth arrète de prendre son crane pour un miroir. Cependant, au cours de la convertation, la tension des Espagnols sur le pirate se fit ressentir et celui ci envoya deux d'entre eux à l'hospital avant de décamper à la vitesse de la lumière. *
08/05 22:10:47 :"YuKi Je vous offre Mr Elduque en esclavage. Cela vous conviendrait ? Ou voulez vous que je vienne les couper de force ? " à Carlo Cavicchiolo
08/05 22:07:17 :Carlo Cavicchiolo marmonne qu'il a rarement rencontré de telles lubies sexuelles : "Et que m'offrieriez-vous donc en échange ?".
08/05 22:04:29 :"YuKi Me donneriez vous une grosse touffe de vos cheveux pour ma mission de la confrérie ?" à Carlo Cavicchiolo
08/05 21:25:32 :"YuKi *chuchote:* Mr Skuleth m'a justement demandé de voler une touffe de poil pour me la mettre sur la tête à la place de mon crâne d'oeuf !" à Carlo Cavicchiolo
08/05 21:22:46 :Carlo Cavicchiolo ironise : "Je suis porteur d'un elixir : Il transfère l'entiereté de la pilosité corporelle en une chevelure soyeuse.".
08/05 21:19:20 :"YuKi Que faites vous donc la en plein coeur de la ville avec un contrat sur la tête ?" à Carlo Cavicchiolo
08/05 21:17:13 :Tu entres dans Esperanza.
* Tant pis se dit il, je trouverais bien un autre moyen. Il se mit alors en route pour New Kingston afin d'y effectuer sa dernière séduction. Quand lui vint une envie pressante, il s'arreta dans un bois pour se soulager. *
08/05 23:39:19 :"YuKi * Tout fier de lui, il commence à coller tes poils sur son menton et sa tête. *" à Van Hoffman
08/05 23:38:00 :"YuKi * Il détale alors comme un lapin *" à Van Hoffman
08/05 23:37:38 :"YuKi * Hélas, le vieux matelot est toujours vif et il arrive à renverser Yuki par terre *" à Van Hoffman
08/05 23:37:14 :Combat contre Van Hoffman, vous loupez tous les deux.
08/05 23:35:19 :"YuKi * il retire encore sur ta barbe car il lui faut beaucoup de poil ! *" à Van Hoffman
08/05 23:34:37 :"YuKi * Une grosse touffe de cheveux se détache *" à Van Hoffman08/05 23:33:50 :Combat contre Van Hoffman, tu lui mets 8 pts de dég.
08/05 23:33:39 :"YuKi * Puis il tire de toute ses forces sur tes cheveux. *" à Van Hoffman
08/05 23:33:08 :"YuKi * Il t'arrache violament un bout de barbe *" à Van Hoffman
08/05 23:31:58 :Combat contre Van Hoffman, tu lui mets 12 pts de dég.
08/05 23:31:51 :"YuKi * Il tente de te couper un bout de ta barbe. *" à Van Hoffman
08/05 23:31:31 :"YuKi Donne moi donc tes poils vieux filou !!!! " à Van Hoffman
08/05 23:30:43 :"YuKi * Une fois proche, il bondit sur ton dos tel un félin, le sabre à la main et t'arrache ton bonnet *" à Van Hoffman
08/05 23:29:51 :"YuKi * Il s'approche alors de toi très dicrètement par derrière. *" à Van Hoffman
08/05 23:29:15 :"YuKi * Enfin se dit il, enfin un homme velue avec une grosse barbe ! *" à Van Hoffman
08/05 23:28:46 :"YuKi * C'est alors qu'il t'apercoit *" à Van Hoffman
08/05 23:28:23 :"YuKi * Il range rapidement son gros engin et s'approche discrètement. *" à Van Hoffman
08/05 23:27:46 :"YuKi * ALors qu'il était entrains de pisser contre un arbre dans la forêt, il entend un craquement. *" à Van Hoffman
08/05 22:57:04 :Tu entres dans Île de Liberty.
Image de l'action: http://img23.imageshack.us/img23/7652/cheveuxc.jpg
* Alléluia, cela n'etait pas facile à coller de manière homogène mais une fois les poils en place, le résultat était sublime ! (Cf Avatar). C'est Skuleth qui sera content la prochaine fois qu'il le verrait, et en plus il allait pouvoir séduire encore plus facilement avec ses nouveaux poils. YuKi, heureux, s'endormit comme un bébé afin de reprendre des forces pour le lendemain.* |
|
|
|
|
Gimli |
|
|
|
|
 |
|
|
Inscrit depuis le :
29/08/2006 |
|
|
|
Posté le 09/05/2012 à 09:33:59
*Entre discretement dans l'auberge et va directement prendre place au bar pour questionner le barman*
Bien le bonjour, J'ai oui dire que l'on pouvait se procurer ici une certaine veste taillé pour les homme comme moi! Vous pouvez m'indiquer ce revendeur de génie?
*Commande une chope de bierre en attendant et se demande s'il a bien fait de venir ici* |
|
|
|
|
|
Posté le 09/05/2012 à 14:46:48
*Pierre se retrouvait pour la troisième fois consécutive sur un lit d’hôpital, un Hollandais l’ayant rossé une fois de plus, et cette fois ci, en plein territoire français… En pestant contre l’Intendant de Linciel et sa péquenaude de Générale, qui n’était pas plus maligne qu’une ancre, il sortit sa plume et n’eut pour la première fois plus peur de l’angoisse de la page blanche :*
Laissez-moi vous conter une histoire mes amis,
Qui enchantera, je l’espère, grands et petits,
Mais surtout qui servira de témoignage,
Pour les générations futures et pour tous les âges,
Ce petit conte sur la condescendance,
Aura pour but de dénoncer des Hauts Gradés l’arrogance,
Du petit peuple la dépendance...
*Pierre, tout en écrivant, se remémora les paroles de Don Valakas :*
08/05 10:12:19 : Don Valakas Quand on joue avec les pirates on perd toujours ....
*Cherchait-il à réellement lui inculquer une leçon, le copinage avec les pirates étant une chose malsaine ou bien tout simplement, il réagissait au dernier message de Vardek Crom qui annonçait que dorénavant les nouveaux inscrits sur la longue liste des demandeurs de mission ne s’en verraient attribué qu’au détriment de celles qu’ils auront faites capoter…*
Sur cette Île malfaisante qui ne connaît que la misère et l’égoïsme,
Peu importe aux corsaires de tomber dans l’alcoolisme,
Si dans les jours à venir ils peuvent se taper dessus,
Ils resteront heureux et d’imbécilités repus.
*Pierre eut une pensée pour son père, membre de la noblesse, mais homme éclairé, qui devait son titre et sa particule à ses exploits en tant que soldat, et ensuite comme stratège. Son père était un homme pragmatique et simple, qui aimait par-dessus tout la compagnie de ses gens, de ses soldats et de ses enfants et épouse. Il avait inculqué à Jean, Samson et Pierre son amour des petites gens, et la confiance qu’il avait dans l’amélioration de la gente humaine.Il disait toujours que l’homme fier a toujours un regard condescendant sur les choses et les gens : et bien sur, aussi longtemps que vous regardez vers le bas, vous ne pouvez voir au dessus de vous… Et il riait…*
Dans les colonies des quatre plus grandes nations du Vieux Continent,
Nous trouvons toujours de quoi grincer des dents.
Que ce soit à Port-Louis, à Ulungen, à New-Kingston ou à Esperanza,
Rien ne sert de voyager puisque des quatre c’est la goutte, la peste, la peunomie ou le choléra.
*Pierre observa quelques secondes l'infirmière qui venait d'entrer dans sa chambres pour s'assurer que tout allait bien pour lui. Ce qu'il écrivait, ses pensées sur la situation de l'Île, sa mission, tout ceci lui faisait de la mauvaise bile, et il décida de taquiner quelque peu cette garce et de la mignarder par la même.Quelques dizaines de minutes plus tard, Pierre reprit son pamphlet et sa plume:*
A Port-Louis, il y a trois catégories,
Les Fanfarons, les miséreux et le Lys,
Bien que les premiers n'en représentent qu'un seul,
Les derniers abandonneront tous les Français dans un linceul.
A New Kingston, c'est plus simple et pratique,
Car de seulement deux personnes on peut faire la critique.
Dudu qui, comme César, est dictateur à vie,
Et Dudu qui, comme Terpo, ne sera jamais partie.
En parlant de Terpo, j'en viens à Esperanza,
Quelle belle ville inanimée niveau politicà,
Où les citoyens espagnols très bêtement,
Tous les mois élisent les mêmes charlatans.
Le meilleur pour la fin, je veux parler d'Ulungen
Une armée de hauts-gradés, prompts à la dégaine,
Qui ne font ni dans la dentelle, ni dans la finesse,
Et qui rossent, rossent, rossent nos petites fesses.
*Pierre posa sa plume et tira sur son cigare hollandais. Cette nation n'avait pas que des désagréments... Touchant à la fin de son inspiration, sa muse ayant surement d'autres chats à fouetter, Pierre griffona un dernier couplet:*
Et que dire des pirates, cette nation fantôme...
Qui depuis de nombreuses années se veut au-dessus de toutes.
Et à qui, corsaires et moi-même, faisant l'aumône,
Pour une de leurs frippes, leur obéissons sans l'ombre d'un doute.
Alors que dire sur cette grande île de la condescendance,
Du colonialisme et des gens de "grande" importance?
À part que nous ne sommes pas tous nés avec la chance,
Mais que nous avons tous la chance d'être né.
*signé Pierre de Siorac, gentilhomme de son état, poète de sa mission*
|
|
|
|
|
|
Posté le 09/05/2012 à 16:36:23
se penche, posant ses mains sur ses cuisses, afin de reprendre son souffle
Fa... f'est fait...
Aux dvents, main... tfenant !
Fafez.. qufe le vieux... bvill.. a refu fefi :
Un perroquet ecarlate, à la patte de bois vole jusqu'a tes cotés, avant de declamer, comme il l'a deja fait à plusieurs reprises
Fer Bvill.
Dvanv un foufi dv'entfraver qufelqufe fove à tfon bvabvil incfompfrehenfibvle, fe fuis fargvé dve tfe tfrouver dves ficfots dve refangve, afin dv'en faire un dventfier. Pfarfe qufe f'est pfas pfoffibvle, on cfompfrend rien à fe qufe tfu bvaragvouines.
Pfar cfontfre, pfour fe faire, il tfe faut cfombvien dve dvents, dvis voir ?
Infivives ? Cfanines ?
Fais moi rever !
Tfon dvévoué, Kfurotfa Ryugva - fa pfeut pflus dvurer, qufand meme; on cfompfrend RIEN qufand tfu cfauves ! |
|
|
|
|
|
Posté le 09/05/2012 à 17:17:52
Don Cervantes se tenait toujours face à l'homme en armure rouge, il fit signe au barman de lui apporter un nouveau tonnelet de rhum en attendant les instructions.
[HRP: Cf tailor for hire sur le forum espagnol] |
|
|
|
|
|
Posté le 09/05/2012 à 20:22:36
viens faire un petit tour et regarde la marchandise.
Pfff...d'façon ils savent pas se fringuer ses pirates...
Repars comme il est venu. |
|
|
|
|
|
Posté le 10/05/2012 à 21:51:42
* Il ne lui restait plus qu'une personne à New Kingston, repaire des voleurs de Liberty et depuis peu en froid avec la couleur de son bandeau. Par sécurité avant tout, YuKi voulu demander une autorisation. Cependant il devait séduire, non pas une femme, ni même un homme, mais bien un singe tout pleins de poils! Cette idée le faisait vomir..... Il se rendit donc au bureau des autorisations avec l'idée de le séduire grâce à des bananes quand il apercut une pancarte à l'entrée du bureau où il était écrit:
ANNONCE
Aucun n'espagnole n'est accepté sur nos terres, ni les gentils quêteurs.
Merci de me renvoyer tout cela chez eux dès que vous le pouvez.
Ouuuuf, il n'aurait pas à séduire cette boule de poils de McKain Row.... Cependant, il devra agir discrètement. Il partit donc à la nuit tombé afin de rester discret. La ville semblait déserte à son arrivée mise à part quelques alcooliques qui trainaient encore ivre dans les rues. Sure de lui avec sa nouvelle coupe de cheveux il entra au pub, il y faisait relativement sombre et la fumée des cigares n'arrangeait pas les choses. Il s'installa au bar et commanda toute la soirée en attendant une petite proie anglaise potentiel. Rien ne vint, il se faisait tard et YuKi était maintenant proche du coma ethyllique pour une note de 336 Po. Le reste devint flou jusqu'au matin 11h. Il se réveilla dans un lit à l'étage avec un mal de crâne, une lettre était posé sur la petite table à coté d'un string léopard. Un bon point pour lui se dit il. Il y était écrit:*
" Oohhh mon cher, que dis je mon grand Yuki !
J'ai passé hier soir une nuit de folie ! J'ai découvert des choses que je n'osais même pas imaginer et tu as été majestueux. J'ai été obligé de partir tôt ce matin et je ne voulais point te réveiller mais tu me manques déjà. Je t'ai laissé mon petit string sur la table pour que tu ne m'oublies pas.
J'espère te recroiser très bientôt mon petit chou,
* Au fils de la lettre Yuki se sentit devenir une sorte de dieu sexuel... Puis il lut la dernière ligne: *
Je t'embrasse là où tu sais très fort,
Peter <3 "
- Quuuuuuuoiiiiiii ???? PETEEERRRRR ?? Mais c'est qui ce Peter ??!!!! Un homme ??!! OOohh mon dieuuuuu !! Non pas encore !!!
* Yuki vomit directement par terre tout ce qu'il avait bu la veille. Il déchira en mille morceau et brûla ensuite la lettre avec rage. Déprimé en regardant le string léopard il écrivit à Skuleth: *
" Là c'est trop !!!! Heureusement pour vous que c'était la dernière fois !!! J'ai encore couché avec un homme hier soir ! Voici avec cette lettre son superbe string léopard que j'espère vous porterez avec élégance. J'en ai fini de la séduction. Je pars en chasse à l'homme demain à l'aube afin de débusquer Mr. DonLorenzo pour le chatouiller comme convenu de mes balles.
Je vous tiendrais évidemment au courant une fois cela terminé.
-Yuki-
Ps: j'ai une nouvelle coupe de cheveux très sexy qui devrait vous plaire, du moins je l'espère. "
10/05 01:41:13 :Tu achètes de la marchandise pour 336 PO.
10/05 01:41:13 :Tu prends du bon temps avec Peter. Umhh...
10/05 01:39:39 :Tu entres dans NK - Pub, étage.
10/05 01:38:59 :Tu entres dans NK - Pub, The Black Beer.
10/05 01:35:47 :Tu entres dans New Kingston.
Tableau de chasse:
Kelsey Van Dresonchorst (level 1)
Une petite douceur des neiges à la peau soyeuse et au regard triste, elle possède un charme et une douceur indéniable...
Christian (level 17)
Un jeune dandis qui profite que les femmes viennent à lui pour apporter encore plus de plaisir à la gente féminine. Messieurs passez votre chemin, il n'est pas de ce bord là !
Inmaculada por Detràs (level 5)
Une petite coquine qui apprécie particulièrement les mises en situation !
Peter (level 17)
Un homme, un vrai, comme les aime ces dames. Un voleur aussi... Mais un voleur de coeur !
|
|
|
|
|
|
Posté le 11/05/2012 à 00:04:35
*Depuis quelques temps la belle avait rencontré quelques pirates assez séduisants ou charismatiques. Le premier fut Maître Sing. Un étrange vieillard qui semblait pourtant avoir gardé force et malice malgré ses cheveux gris, comme si l'âge n'avait marqué que son corps sans l'endommager.. Une véritable énigme à lui tout seul. D'ailleurs les premiers échanges le furent tout autant.. "Si tu veux survivre, le sang ne devra jamais te faire fuire. Sing" .
La réponse ne tarda pas et un ordre lui fut donnée.. Trouver Eva et gouter son sang.. Une curieuse histoire.. Bien que n'ayant pas peur du combat ou même de la dite Eva, elle dû en apprendre davantage avant de réfléchir à faire cette tâche. Un jour elle l'accomplirait avec brio.. Mais pas maintenant. Il fallait en apprendre plus sur la confrérie.
Le second pirate rencontré fut Alejo. Quel homme d'une grande classe, un véritable prince charmant aux yeux d'Hitomi. Pourquoi fallait il qu'il soit pris ? Bien que sensible à ses charmes, l'homme ne pouvait ou voulait succomber totalement..
Soit il en s'en mordra les doigts le restant de sa vie. Au moins elle avait réussi à le convaincre de chasser un de ses agresseurs, la brute hollandaise nommé El Bibi. C'était déjà une vengeance d'assurée par le chasseur. Portant fièrement l'orchidée à chaque instant qu'il lui avait offert, elle ne pouvait qu'espérer le revoir bientôt pour voir son emprise sur lui.
Le troisième fut Spadrap. Un medecin pirate d'après ce qu'elle en avait compris. Là aussi de lourds secrets s'établirent durant sa rencontre avec lui. Car au moment même où elle entrait dans un curieux batiment, elle surprit ce pirate avec son amante. Toute confuse elle ne put que proposer ses services de chirurgienne afin de faire oublier sa présence. Ce fut la prière fois qu'elle soignait un homme dont le bandeau n'était ni rouge et blanc, ni sang et or.
Au final elle se rendit compte que le bandeau ne correspondait à rien d'utile pour soigner un homme blessé et se fit la promesse de rétablir sur pied toute personne lui faisant la demande de manière plus ou moins polie, et de refuser les autres.
Le dernier en date fut Carlo. Il y a de celà 2 jours dans la cité espagnole. Beaucoup d'hibères étaient réveillés et l'ont vu soigner ce bandeau noir comme ils l'appellent. Mais que pouvait elle faire d'autre après une demande pareille ?
"Carlo Cavicchiolo s'interroge : La chirurgienne serait-elle interessée de gagner la faveur d'une honnête victime ?."
Rien évidemment.. Quelle ne fut pas son incompréhension quand l'agressivité se fit sentir sur sa personne, à cause du gros Camello, de l'agressif chaton Croquette, ou de la fausse force tranquille Cristobal ? Des menaces fusèrent contre elle, ne pouvant se défendre correctement, elle se mit à courir autour du pirate, dans les rues pavées d'Esperanza. Mais à deux contre un malgré tous ses efforts et ceux du pirate, les lâches commencèrent à la frapper. Profitant de la maladresse évidente de Camello, elle lui fit un croche patte pour le faire tomber sur son comparse Cristobal. N'ayant que peu de temps elle s'empressa de terminer une suture sur le bras de Carlo avant de recevoir un coup fatal dans le dos.
"Vengez moi" lui souffla-t-elle dans l'oreille.. et quelques instants plus tard elle obtint gain de cause..
C'était suffisant pour elle pour décider de changer de vie. Les nations l'avaient rejetée, elle se faisait désormais confiance pour rejoindre les hommes qu'elle estimait.*
" Je souhaite pouvoir faire mes preuves." |
|
|
|
Si vous souhaitez répondre à ce sujet, merci de vous connecter. |
