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Vendetta ! 1 -2- 3  
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Don Alejo, explorateur
Don Alejo, explorateur
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20/11/2005
Posté le 01/10/2010 à 18:18:32 

Juan était tombé une seconde fois. L’hidalgo rayait une ligne de plus sur sa liste. Pour les noms restant, les choses allaient être plus délicates. Pas plus difficiles mais plus complexe politiquement… Le prix de la vengeance.
Mais il y avait un cas particulier dans cette liste. Un cas qui avait été plaidé. Et une promesse avait été faite.
Alejo parti sur les pas de la fille de Dudu. 

01/10 17:30:19 :
"Don Alejo, explorateur te pointe de son Requiem, t'interdisant tout mouvement sous peine d'être truffée de plombs." à Alanis
01/10 17:31:08 : "Don Alejo, explorateur dit : "Tu n'as pas été très difficile à retrouver. Tu te souviens que nous avons un compte à régler, n'est-ce pas ?" à Alanis
01/10 17:31:36 : "Don Alejo, explorateur jette une rose jaune, symbole reconnu sur cette île, à tes pieds." à Alanis
01/10 17:31:45 : Tu jetes Rose Jaune de la Trahison.
01/10 17:34:25 : "Don Alejo, explorateur dit : "Tu as de la chance que j'ai beaucoup d'estime pour ta mère. Tu n'imagines pas ce que me coûte cette promesse, mais je me contenterai de te tenir à ma merci." à Alanis
01/10 17:35:30 : "Don Alejo, explorateur dit : "Ton orgueil blessé, à défaut de plus, me suffira. Par pitié. non pas pour toi, mais pour ta mère et pour l'espoir qu'elle porte encore." à Alanis
01/10 17:36:19 : "Don Alejo, explorateur dit : "Moi, je crois que tu es trop aveugle pour t'en rendre compte. Mais je respecte sa volonté." à Alanis
01/10 17:36:39 : "Don Alejo, explorateur jette un sachet de dragées à tes pieds." à Alanis
01/10 17:36:49 : Tu jetes Dragées des Le Brun.
01/10 17:36:19 : "Don Alejo, explorateur dit : "Peut-être qu'un jour tu comprendras qui tu es vraiment et d'où tu viens. Que tu es le fruit de l'amour et non de la haine..." à Alanis
01/10 17:38:53 : "Don Alejo, explorateur dit : "Bah... C'est une quête trop longue pour moi. J'ai d'autres chats à fouetter. Mais tu vois au moins, ainsi, l'honneur que te fait ta mère par son amour." à Alanis
01/10 17:39:32 : "Don Alejo, explorateur dit : "Un cadeau plus précieux que tu ne l'imagines vu ce que tu en fais..." à Alanis
01/10 17:39:56 : "Don Alejo, explorateur dit : "Adios, Alanis ! Dieu protège ta mère." à Alanis 

Sans se retourner, l’explorateur s’éloigne jusqu’à ce que la pirate soit hors de vue.

Une promesse est une promesse.
Don Branlouz dé la Feñecki
Don Branlouz dé la Feñecki
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19/08/2006
Posté le 04/10/2010 à 00:39:41 

Ce matin là au camp, paria je déposais mon médaillon des 4 lunes sur la tombe de nick.

Dans l'après midi je m'étais posté non loin du cours d'eau, peut avant j'avais croisé deux français se tenant prêt a sillonner le nord de l'ile, je sourie quant a l'hironie de la situation, il était lourdement armé, prêts a cette guerre contre l'espagne, je les savais mes ennemis, mais un contrat était un contrat et maintenant seul ma propre réputation était en jeu.

Je me rafraichissait de ma marche lorsque je fut interrompu par alejo,

"Hõla, Branlouz. Tu te souviens sans doute comment tu es devenu pirate ? J'ai une dette envers toi. C'est le moment de la payer..

"Enfin, j'espère... Je sais que face à un tireur, ça va être compliqué et assez aléatoire....

 "L'Espagne n'oublie pas !.


L'échange de coup de feux qui suivit fut terrible dans les deux sens, et je m'écroulais sous le coup des balles.


Je comprenais bien que notre dernier duel n'avait pas due plaire a cette homme d'honneur.
Caratawk m'avais dit: : "Bouteille a cul d'barrique ..." enfin.. je vous passe les détailles..
je devais occire un des plus honorable de liberty, et je devait le faire lors d'un duel et bien sure abattre mon adversaire de la plus vile manière, avant même que ne commence le duel.


 Ce n'est qu'en me réveillant que je réalisai que Alejo ressemblait bien plus a une belle caissette de doublons d'or qu'a un danger.
Don Alejo, explorateur
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20/11/2005
Posté le 07/10/2010 à 14:54:38 

Se battre contre un bon tireur était plus éprouvant qu'il ne le pensait. Après deux bonnes journées de récupération, Alejo raye une nouvelle ligne sur sa liste. Ses comptes avec don Branlouz étaient soldés.
Il fit le compte de ce qui lui restait : un français qui s'efforçait de se sacrifier chaque jour pour sa nation et des anglais. Il allait donc falloir se retourner contre les lois de cette nation qui l'accueillait...
Il attendrait la fin de la guerre pour s'occuper de cette partie de sa vengeance.
Don Alejo, explorateur
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20/11/2005
Posté le 15/10/2010 à 08:37:53 

Alejo raye plusieurs lignes sur sa liste. tous les membres de la famille de Mirande.
Il a mis plusieurs jours à retrouver Elwendal dans l'ancien repaire des pirates. Et il a tenté, en vain, de la faire tomber sous ses balles. Mais cette femelle est dotée d'une cuirasse plus épaisse que la coque d'un galion. Rapidement, hasard ou instinct, Vala Bas est venu rejoindre sa fille. Et, faisant parti de la liste, elle offrit une occasion facile de se venger à l'hidalgo.
Mais bientôt, la situation s'est inversée. Si Alejo est acharné dans sa vendetta, la mère louve l'est autant dans la défense de ses enfants...

13/10 03:51:23 :
Vala Bas sache Alejo que s'en prendre à ma famille, c'est une chose que je ne peut laisser passer....
13/10 03:51:41 : Vala Bas tu doit me comprendre... l'honneur... tout ça.....
13/10 03:52:38 : Vala Bas alors soit tu part d'ici en considérant que l'ardoise est vide entre toi et nous, soit tu me trouvera toujours sur ta route, j'en fait le serment.
13/10 04:01:36 : Vala Bas n'oublie pas ce que je t'ai dit Alejo, soit tu stop ta croisade et l'ardoise s'efface, soit tu me trouvera entre toi et ma famille.
13/10 04:01:42 : Tu es tué par Vala Bas.

Une défaite est toujours amère. Mais l’hidalgo sait apprécier le combat de celle qui protège sa famille. Alors, il accepte la main tendue et efface son ardoise. Il sait qu’il n’est pas si différent de son ennemie…
Don Alejo, explorateur
Don Alejo, explorateur
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20/11/2005
Posté le 16/10/2010 à 09:46:30 

Alejo parcouru du doigt, une dernière fois, sa liste des rancunes. Il restait quelques noms, mais plus rien d'important. Des gens partis, disparus pour la pluspart. Quelques-uns étaient trop enfoncés dans des ruines pour que la traque en vaille la peine... Quelques contrats suffieraient.
Seul Sing, son vieil ennemi, était introuvable, trop occupé avec les français. Tant pis, l'hidalgo avait une autre idée pour lui.

Et puis, son bateau pour le Vieux Continent l'attendait.
Le Masque
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20/11/2005
Posté le 24/10/2011 à 14:17:23 

Enfin… Après des semaines de patience, mes indics viennent me signaler que Walter est isolé. Réfugié dans le village Taopucco, loin de toute aide.
Il est tard, mes frères sont nombreux à être sorti faire la guerre. Mais de ceux qui m’ont offert leur aide, Esther et Anne sont là. Et c’est elles que je voulais avant tout. Quelques mots suffisent à les convaincre : abandonner la bataille un jour pour une affaire personnelle.

Je joue les éclaireurs et repaire bien vite le teuton. Seul. Parfait.
Je fais un signe à mes compagnes et reste en arrière pour contempler le spectacle, tout en préparant ce dont j’aurai besoin bientôt.

- Anne, Esther. Occupez-vous de lui. Je veux seulement qu’il reste vivant. Le reste est à votre guise.

La Tigresse se penche vers l'une de ses bottes et en sort une petite dague aux motifs ibériques. Puis elle s’avance lentement, un sourire carnassier aux lèvres.

- Bonjour mon mignon.... il parait que tu aimes bien te servir de ça
, lui lance-t-elle en lançant une main dans son entre-jambes et serrant fort, plaçant sa dague sous la gorge de l’homme.
J'ai envie de te saigner comme un porc et de te châtrer comme un chapon. Le menu te convient ?

Mais le mercenaire ne compte pas se laisser faire et envoi son poing en plein visage de son opposante. Elle riposte d’un coup de genou bien placé et sort sa Destinée. L’affaire se fait sérieuse.

Derrière elle, Esther est devenue Ogresse, d'apparence monstrueuse, cauchemar d'un dément poursuivit par le fantôme de noyés anthropophages. Elle rentre dans la danse à son tour, la peau du teuton virant au bleu chaque fois qu’elle le touche.

Le combat est plus difficile que je ne pensais, ce bâtard se débat comme un diable. L’espace d’un instant, j’en viens à douter. J’arme le chien de Requiem. Quoi qu’il fasse, il ne s’échappera pas d’ici. Mais la Providence réussit à placer une botte violente, laissant l’homme très mal en point. Il chancelle.

- On ne s'en prend pas impunément à la Confrérie, à un membre de la Confrérie, aux intérêts de la Confrérie ou aux intérêts d'un membre de la Confrérie.

Les deux furies s’emparent de lui. Deux femelles pour lui seul, l’ironie de la situation me fait sourire.

- Tenez-le, mes belles. Et mettez sa main droite bien en évidence.

Je profite un instant du spectacle, savourant la situation. Puis je m’approche enfin. Dans une main, mon arme. Dans l’autre, une tige de fer dont l’extrémité est portée au rouge.

- La vengeance est plus qu'un devoir, pour moi. C'est une façon de vivre. Et chaque fois que tu toucheras une femme désormais, tu penseras à moi. Et au sourire qui se cache sous mon masque, bâtard !

D’autorité, je glisse une orchidée rouge dans sa poche. Puis, lentement, sans aucune hésitation, je plaque la pointe de feu au creux de sa main. Et j’appuie de toutes mes forces, de toute ma rage. L’odeur acre et écœurante de la chair brûlée empeste l’air de tout le village. Je finis par retirer le tison, me réjouissant de la marque en forme de masque qui scarifie cette main.
Je sors alors une petite bourse de mon pourpoint et en retire une pâte sombre que j’étale sans précaution sur la blessure.

- Pour que ça ne cicatrise pas trop facilement... Je m'en voudrais que ça se passe trop bien pour toi...

Puis je pointe Requiem en sa direction.

- Ne le lâchez pas, mes belles. Je ne lui offre aucune chance de s'en sortir. Peut-être que je devrais le tuer. Mais j'ai trop bon cœur.

Et j’ouvre le feu.
Don Alejo Onza de Llama Duende y Seda
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Posté le 25/02/2015 à 11:00:39 

Février 1716. L'enfant grandissait dans le ventre de Kristal. Une fille pensait-elle.
Sans doute avait-elle raison : les femmes sont la cause de chaque faux pas de l'hidalgo et celle-ci ne faisait pas exception. Rarement la vie de l'hidalgo n'éait aussi bouleversée.
Pourtant, cette matinée avait tout d'idylique. Quelques jours de repos et d'amour dans les bras de son amante lui avaient fait oublié le vie de l'île.
Mais Liberty est une maitresse exigeante qui n'aime pas être délaissée. Et c'est par la lame du Roquet qu'elle vint se manifester.
A peine habillé, pris par surprise, Alejo ne réussi pas à défendre celles qui lui étaient chères. Blessé, il n'assistat même pas à l'assaut du mercenaire sur sa compagne ni aux menaces exprimées pour son enfant à venir.

Des menaces de mort.

Alejo n'était pas diplomate, ni même capable de grande déduction. Il se retrancha immédiatement dans ce qu'il savait faire : la vengeance. Puisqu'il ne pouvait pas défendre sa famille, il ferait savoir que le prix de cette attaque était élevé et que la prochaine coutera aussi cher.
C'est une leçon qui est longue à donner, il savait qu'il lui faudrait être patient...
Don Alejo Onza de Llama Duende y Seda
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Posté le 25/02/2015 à 11:10:48 

Clairière nord de la Crique.
Les informations ont été faciles à obtenir, le Roquet n'est pas encore sur la défensive. Bien, ce sera simple.

L'hidalgo rentre dans la clairière, Requiem en main. "Je ne sais pas ce que te fait gagner ton contrat. Mais tu vas apprendre qu'il peut aussi te faire perdre beaucoup."
Alejo ne s'avance pas et se contente d'ouvrir le feu, sans hésitation.
Tu as assommé Le Roquet


Simple et efficace. Inutile d'en faire plus pour le moment.
Par contre... Avec le Roquet se trouvait Barbe Blanche. Que fait-il là ? N'a-t-il pas menacé Kristal, lui aussi ? Serait-ce le commanditaire venu prendre des nouvelles de son contrat ? Est-ce un hazard ?

Dans le doute...
Tu as assommé Barbe Blanche
Don Alejo Onza de Llama Duende y Seda
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Posté le 25/02/2015 à 11:21:15 

Il fût un temps où il défendait l'Honneur. Et le sien en premier.
Mais ce temps était lointain, enfoui dans sa mémoire, flou et indistinct.
Aujourd'hui, il défend sa famille. L'Honneur n'a pas sa place dans ce combat. Et pour traquer un paria, il n'y avait qu'une bonne solution.
Sa famille passait avant son honneur. Et avant sa nation.

Tu es banni de ta nation, tu deviens un paria, la vie va être dure...

La chasse allait vraiment pouvoir commencer.
Don Alejo Onza de Llama Duende y Seda
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Posté le 14/10/2020 à 22:58:05. Dernière édition le 14/10/2020 à 23:15:47 

9 octobre 1720.

"Je voulais te parler mariage..."
Alejo laisse une ou deux secondes de silence.
"Le mariage de Sita et Andras. Meiga, accepterais-tu d'y être ma cavalière ? Si tu n'as pas peur de mettre une jolie robe et d'éclipser par ta beauté les autres invitées, j'en serai honoré."

La réponse ne fut pas celle qu'attendait l'hidalgo.
Combat contre BadClown, tu te défends et prends 40 points de dégâts. C'est un coup critique !
Combat contre BadClown, tu te défends et prends 46 points de dégâts. C'est un coup critique !
Promptement assommé en envoyé à l’hôpital. L'affaire devenait sérieuse et le clown avait abusé de la faiblesse d'Alejo : les femmes.

Et puis, Alejo déteste qu’on le dérange quand il est en bonne compagnie !
Don Alejo Onza de Llama Duende y Seda
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Posté le 14/10/2020 à 23:14:29. Dernière édition le 14/10/2020 à 23:35:25 

De son lit d’hôpital, l'hidalgo refaisait les comptes dans sa tête, pour que tout soit clair. Ça avait commencé à New Kingston, lors de l'entrainement précédent le contre-pillage.

1 octobre 1720.

BadClown s'approche de toi, puis, une fois qu'il est à ta hauteur, te saisi le bras et te murmure à l'oreille : alors mon cher ami, il semblerait que nous ayons vous et moi des connaissances communes.
Il poursuit, toujours armé de son plus beau sourire, pour ne rien laisser transparaître devant les autres : enfin, nous connaissons les mêmes personnes mais nous n'entretenons pas les mêmes relations ahahah. Voyez-vous, pour moi ce sont des camarades, ce sont des business man et leur profit est mon profit. Aussi, lorsque vous vous mettez en travers de leur route, vous vous mettez en travers de la mienne.

Il insiste pour que ce soit bien clair, en appuyant chaque mot : c'est à dire que le manque à gagner de ces voleurs que vous aimez persécuter, c'est mon manque à gagner ... et vous ne voudriez pas faire perdre de l'argent au clown n'est-ce pas ? Non ... je suppose. Personne ne serait assez fou pour ça.

Il hausse les épaules : vous comprendrez alors que nous sommes dans une impasse. Lorsque je vous vois devant moi, je vois comme le mot "pertes" clignoter. Et ce n'est pas un mot que j'aime voir, je préfère le profit. Je vous préfère donc hors de l'équation.

Il t'attrape alors par le bras, d'un geste lent mais assuré, la poigne est solide, il ne sera pas facile de s'en sortir : la seule question qui persiste c'est ... allez-vous être assez intelligent pour comprendre qu'il faut sortir de cette équation tout seul, comme un grand, ou dois-je vous en faire sortir moi-même pour vous faire comprendre comment ça marche ?

Il pense qu'il sera toujours utile de donner un petit avant gout des prochaines "négociations", qui seront bien moins verbeuses... si nécessaires.


Combat contre BadClown, tu te défends et prends 22 points de dégâts.

Il glousse : n'essayez pas de vous débattre ... allons, ne soyez pas gênant. Respectez-vous, acceptez votre sort, et votre place dans la chaîne alimentaire. Certains sont nés pour être en haut, visiblement ce n'est pas votre cas ...


Combat contre BadClown, tu te défends et prends 21 points de dégâts.

Il t'observe à bout de forces : la morale de cette histoire je pense, c'est que la curiosité est un vilain défaut. N'oubliez pas que vous n'êtes en sécurité nulle part ... ne m'obligez pas à revenir. Sur ce ... je vous laisse réfléchir à tout ça depuis l'hôpital le plus proche. Au plaisir de se revoir, dans de meilleures conditions, si vous faites les bons choix. Cela ne tient qu'à vous.


Tu as été assommé par BadClown.

0 à 1
Don Alejo Onza de Llama Duende y Seda
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Posté le 14/10/2020 à 23:32:27. Dernière édition le 14/10/2020 à 23:32:54 

6 octobre 1720.

Ce n'était encore qu'un incident et le contenu du message tracassait Alejo bien plus que son messager. En voyage pour Esperanza à ce sujet, voilà qu'il aperçoit le ladre paradant en pleine ville, discutant avec Ludivine et le secrétaire de Djezous.
L'occasion est trop belle : il lui faut rendre coup pour coup pour prouver qu'il n'est pas homme à se laisser marcher sur les pieds.

Alejo s'avance vers la place, son arme à feu en main. "Messieurs dames, vous m'excuserez, une affaire à régler : lorsque l'initiative change de main, est-ce que les rôles s'inversent ?"

Tir réussi ! Headshot sur BadClown avec Requiem.

Pour l'hidalgo, l'affaire en serait sans doute restée là. Mais ce n'était pas l'avis du clown. Avis vite exprimé à travers un échange de missives.

- Entendu, c'est ce que vous avez donc choisi.
Maintenant cela devient personnel, il n'y a plus d'accord avec moi, quoi que vous négociez avec les autres. Pour les mois à venir, je serais vous, je ne cesserais pas de regarder derrière moi.
Plus aucune pièce ne sera sure pour vous, vous êtes mon plat, ma souris ... et croyez moi, de nous deux je suis le chat.

- Tu te trompes. C'est toi qui a choisi ce juste retour de bâton en acceptant le travail qu'on t'a proposé.
Mais si tu veux rentrer en vendetta, c'est un domaine qui me connait bien : je ne me défilerai pas.
Toute souris que je sois, moi je sais comment trouver le chat.

- J'accepte avec plaisir cette vendetta.
Tu seras mon unique préoccupation, chaque jour, chaque nuit, chaque semaine et chaque mois mon seul et unique objectif sera de te retrouver et de te rappeler quelle erreur tu as faite. Cela tombe bien je m'ennuyais, merci.
J'essuierai sans doute quelques revers, mais tu en subiras tout autant, et le plaisir de savoir que je te fais perdre du temps quoi qu'il arrive et que chaque jour tu devras engager des ressources pour me chercher et regarder derrière toi, cela suffit amplement à me faire plaisir.
A très bientôt alors. Très, très bientôt.

1 à 1
Don Alejo Onza de Llama Duende y Seda
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Posté le 14/10/2020 à 23:41:40 

10 octobre 1720.

Nous en étions donc 2 à 1 et la véritable vendetta avait commencé.
Ça inquiétait l'hidalgo, bien sûr, mais ça le réjouissait aussi. Mener une bonne vendetta est tout un art, cette perspective était très stimulante.
Et quelque part, ça ramenait Alejo à ses racines dont il semblait aujourd'hui si loin.

L'avance du clown ne dura guère puisqu'il ne jugea pas nécessaire de s'éloigner du lieu de son méfait.
Le lendemain dès l'aube, à la sortie d’hôpital, Alejo apprenait déjà où il se cachait.

"Un bon chasseur doit aussi prévoir de se mettre hors de danger après une traque..."

Tir réussi ! Headshot sur BadClown avec Requiem.


2 à 2
Don Alejo Onza de Llama Duende y Seda
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Posté le 14/10/2020 à 23:46:38 

14 octobre 1720.

Après avoir perdu quelques jours à combattre les hollandais, Badclown se rapprocha bien trop dangereusement de New Kingston.

"La souris a trouvé le chat !"

Tir réussi ! Headshot sur BadClown avec Requiem.


La souris prenait l'avantage. Et comptait bien creuser l'écart.

Par contre, il faudra faire quelque chose pour ces répliques... Ça manque d'inspiration. La dernière traque remonte à trop longtemps, sans doute.

3 à 2

Don Alejo Onza de Llama Duende y Seda
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Posté le 20/10/2020 à 20:59:43 

17 octobre 1720.

S'il y a bien une chose qui réjouit Alejo, c'est de voir ses adversaires prêts à faire n'importe quoi pour ne pas perdre la face.
Pour commencer, Badclown était allé récupérer l'armure de son frère, Baptiste. Récupérer ? Exhumer, plutôt. Baptiste ne levait jamais son armure. Il doit être mort aujourd'hui et le clown a dû lui prendre son armure dans sa tombe.

Quoi qu'il en soit, ça compliquait grandement les chose. La preuve en était que Badclown venait parader sur le chemin de New Kingston sous sa cuirasse.
C'était l'occasion de tester ce qu'elle valait face à Requiem.
Alejo débusqua son adversaire alors qu'il était déjà bien blessé par James. Il ouvrit le feu sans hésiter.

"Alors, tu es venu me montrer ta nouvelle trouvaille ? Hum... Sacré armure... Mais tu dois pas courir très vite avec ça. Et tu dois avoir sacrément chaud..."
"On va vite voir ce que ça vaut. Tu es bien venu parader ici pour qu'on essaie, n'est-ce pas ?"

Lorsque la fumée se dissipa, l'homme était toujours debout. Grièvement blessé, mais toujours debout. L'attaque frontale ne marchait plus. Mais il était encore plus blessé.

BadClown 'Van Der Tank' tape son poing de fer sur son buste dans un vacarme métallique : l'île entière est mon territoire, et je ne crains rien ni personne. Cette armure et le fait que je sois encore debout est là pour en témoigner !"

"On se revoit peut-être demain matin, le temps de refaire de la poudre et des balles..."

Il ne supporterait pas une nouvelle salve de tir, il le savait. Et il n'irait jamais assez loin pour échapper à l'hidalgo.
Il prit donc la décision la plus humiliante et la plus ridicule qu'il pouvait prendre.
Feindre la mort face à un rat, face à un membre de l'Organisation. Il ne trompait personne.



4 à 2
Don Alejo, guérillero
Don Alejo, guérillero
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Posté le 22/10/2020 à 19:25:06. Dernière édition le 22/10/2020 à 19:33:17 

19 octobre 1720.

Alejo était souriant. Sa cicatrice transformait son sourire en rictus mauvais.
Après avoir consulté un expert, il avait appris une nouvelle méthode pour surcharger son arme en poudre tassée.
C'était dangereux pour un novice mais Alejo avait passé plus de temps avec Requiem, son pistolet à crosse d'ébène, qu'avec ses femmes : ça tiendrait, il en était convaincu.

Confiant, il repartait aussitôt chasser sa proie, terrée dans le Monastère.
Trop confiant...

"Alors, voyons ce que vaut ton armure face à mon canon chargé raz la gueule. " à BadClown 'Van Der Tank'.

Quand la fumée se dissipa, le colosse était toujours debout. Un instant de panique traversa l'esprit de l'hidalgo : il avait été imprudent. Beaucoup trop. Pour la seconde fois. Il n'avait pas prévu d'échappatoire et c'est une erreur qui ne pardonne pas.
Il sortit son sabre, près à défendre chèrement sa peau. Mais il savait que ce ne serait que de la menue monnaie pour Badclown.

BadClown 'Van Der Tank' rigole si fort qu'il s'en abime les tympans : bwaahhahahaaaa, c'est tout ce que tu as ? Après avoir vidé ton chargeur sur un homme blessé, pour rien ... pfff.
Tu as été assommé par BadClown 'Van Der Tank'.

4 à 3
Don Alejo, guérillero
Don Alejo, guérillero
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Posté le 22/10/2020 à 19:33:00 

22 octobre 1720.

La princesse Lolipa lui avait été d'une aide précieuse, une fois encore. Après tout, ne lui devait-il pas la vie depuis 10 ans ?
Cette fois, elle avait convaincu les guerriers de son clan de lui apprendre les technique de combat des Chiii-ka. Face à un ennemi plus fort, il fallait harceler et profiter de chaque faiblesse. Et même l'armure de Baptiste en avait.
Il en fit la preuve en pleine nuit : cette fois, Badclown était épuisé, blessé et à découvert.

"Prêt à tenter de nouveau ? Voyons si j'arrive à te faire danser aujourd'hui." à BadClown 'Van Der Tank'.
Tu parviens à transpercer l'armure de ton adversaire, qui ne bloque donc aucun de tes dégâts.
Tu as assommé BadClown 'Van Der Tank'.

5 à 3
Don Alejo, guérillero
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Posté le 22/10/2020 à 19:50:54. Dernière édition le 02/11/2020 à 17:32:23 

23 octobre 1720.

Alejo avait passé la journée à se montrer méfiant. L'hospitalité des moines cachait mal les regards en coin de certains d'entre eux. Oui, sans aucun doute, on le surveillait. Mais l'indicateur de Badclown finit par poser une question à la mauvaise personne qui s'empressa de la rapporter à l'hidalgo : il était repéré.
Ce n'était pas la première fois. La précédente, c'était lorsqu'il discutait avec Meiga. Et, inconscient du danger, il passa quelques minutes encore avec la jeune femme. Quelques minutes de trop.
Cette fois, il ne fit pas la même erreur : il disparu aussitôt pour se camoufler dans un autre endroit.
Le clown était têtu. Un second indicateur posa des questions mais cette fois, sans succès.
Puisque son adversaire faisait appel à des aides extérieures, l'hidalgo nota intérieurement qu'il pourrait faire de même.

La tempête était passée. Alejo sourit en imaginant sa proie le chercher partout où il n'était plus. Puis il se mit en route.

"J'ai compris que tu me cherchais ? Me voilà."
Tu as assommé BadClown 'Van Der Tank'.

6 à 3
The Beast-man
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Posté le 02/11/2020 à 17:32:11. Dernière édition le 02/11/2020 à 17:33:54 

01 novembre 1720.

Du temps est passé. La guerre semble avoir occupé Badclown, trop souvent réfugié avec les espagnols dans diverses infirmeries. Puis vint Samhain qui mena Alejo près de sa famille, l'esprit loin de cette vendetta.
Mais la pause ne dura pas.
Ce jour, le clown semblait introuvable, de nombreuses recherches ne vinrent pas à bout de sa discrétion.
L'hidalgo prit un costume d'Halloween pour être moins reconnaissable et il changea de nation. Certains virent enfin sa proie : Badclown le cherchait et avait fait le chemin jusqu'à Ulungen mais il ne l'y trouva pas.
L'inverse, par contre... Sous son costume d'homme-bête, la proie était une nouvelle fois le prédateur. Et l'armure de son ennemi ne le protégeait plus guère grâce aux techniques des indigènes de l'île.

"J'ai entendu dire que tu me cherchais aujourd'hui ?
As-tu été trompé par mon camouflage ? Un bon chasseur doit savoir se fondre dans son environnement."
Tu as assommé BadClown 'Van Der Tank'.

7 à 3
La durée de cette vendetta avait atteint celle contre Blake. Le clown serait-il plus obstiné que le "Terrible Pirate" ? Il était temps de lui tendre la main.
The Beast-man
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Posté le 03/11/2020 à 18:29:09 

"Badclown,
 
Il me pèse autant d'écrire cette lettre qu'à toi de la lire.
Mais je te tends la main pour trouver une issue au différent qui nous oppose : retire tes menaces et restons-en là.
Par sept fois blessé, c'est ce qu'il a fallu à Phil Blake pour comprendre que je n'étais pas une proie facile. J'aimerais autant que tu ne sois pas plus buté que lui.
 
Oui, j'ai bien lu tes mots et ton plaisir affiché à m'imaginer perdre mon temps à m'occuper de toi. Mais tu l'as sans doute compris, je prends moi aussi un certain plaisir à cette épreuve. Quand à toi, nul n'est aussi froid que tu le prétends, tu perds ton temps tout autant que moi.
 
Je suis prêt à croire en ta parole si tu t'engages à retirer tes menaces et à ce que nous en restions là, sans rancune.
Dans le cas contraire, tu sais que je suis maintenant équipé pour te faire face, la suite n'en sera que plus douloureuse.
 
Don Alejo"

"Alejo,

Si nous y prenons tous du plaisir, pourquoi en rester là ? Tu l'écris toi même, tu prends un certain plaisir à cette épreuve. Je ne suis certes pas un saint homme, mais même à mon pire adversaire je n'oserais le priver de tout plaisir.
Et moi le challenge est plus corsé qu'espéré, c'en est donc d'autant plus intéressant.
Il serait donc dommage de nous priver de ceci, n'est-ce pas ? De mon côté je n'ai pas la sensation de perdre mon temps, je l'avais quand je ne savais pas quoi faire de mes journées, là maintenant grâce à toi elles ont toutes un but, un objectif, clair et simple ... je ne peux pas rêver mieux. C'est la garantie de passer une bonne journée, peu importe le résultat, et parfois ... "cherry on the cake" même ! Comme tout le monde, j'apprends de mes erreurs, et je garde bon espoir d'inverser les scores.

Félicitations pour ton nouvel attirail, il est en effet efficace. Cela va m'obliger à moi aussi revoir mes plans. Quelle histoire, que de rebondissements !

Le clown"

La vendetta n'était donc pas terminée...
Don Alejo, guérillero
Don Alejo, guérillero
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Posté le 05/11/2020 à 20:15:27. Dernière édition le 16/11/2020 à 17:37:55 

05 novembre 1720

Ainsi, la vendetta continuait, comme le clown le souhaitait.

Alejo se sentait plus à l'aise, tout était en place désormais pour que les mailles du filet se resserrent rapidement sur son ennemi. Et il avait la conscience tranquille : après tout, ce n'était pas lui qui était ni à l'origine, ni à la continuation de ce combat.
Il fallait juste réussir à gérer son nouveau contrat en hollande en même temps que la traque.

Tout allait dans le bon sens. D'ailleurs, Badclown était déjà localisé.
Phil avait trouvé quelqu'un avec la tête plus dure que lui.


"Alors, tu as renoncé à ton armure ? Tu as raison, ça pèse et ça ne sert pas à grand chose, finalement..." à BadClown.
Tu as assommé BadClown.

8 à 3
Don Alejo Onza de Llama Duende y Seda
Don Alejo Onza de Llama Duende y Seda
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Posté le 16/11/2020 à 17:46:25. Dernière édition le 16/11/2020 à 17:47:20 

11 novembre 1720

Alejo avait la tête ailleurs. Préparer la vendetta lui prenait beaucoup de temps mais d'autres priorités se faisaient jour. La grossesse de Kristal. Les retrouvailles de Samhain avec Esther et les jumeaux. Le rituel pour contacter Wilde et Ching. L'anniversaire d'Alexis...
Et au milieu de tout ça, débusquer Badclown. Ça en devenait presque une routine.

L'hidalgo s'approche, arme au poing. "Sincèrement Badclown, ça devient pitoyable. Je comprends qu'on puisse aimer les coups et les humiliations, mais là, ça va trop loin. Je dis ça pour toi..."
Puis il ouvre le feu sans hésitations. Le plomb et les flammes fusent. Mais...

Click.

"Click ? Oh..."
A trop bourrer Requiem de poudre, il fallait que ça arrive. Son arme s'est enrayée.
Manque de préparation. Trop d'orgueil. Ça ne tarde pas : les erreurs se payent toujours.

Tu as été assommé par BadClown.

8 à 4
Alex
Alex
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Posté le 21/11/2020 à 09:43:36 

18 novembre 1720

La vendetta se délayait dans le temps, les deux adversaires se faisaient plus prudents. Plus d'un mois de combat maintenant.
Même dans les situations les plus confuses, elle gardait son importance. Malgré la fièvre et la recherche des coffres, elle guidait l'esprit d'Alejo.
Une fois encore, Badclown était localisé, au sein d'un campement adverse. Là ou ailleurs, qu'importe, il fallait continuer.
L'hidalgo se fraye un passage jusqu'à lui. Un cri terrible et pourtant inadapté monte en lui mais il se tait. Cette vengeance n'appartient qu'à lui, elle ne doit pas être ridiculisée. Il ouvre le feu.

Tir réussi ! Headshot sur BadClown avec Requiem.


Son ennemi au sol, il ne peut plus retenir son cri.

"BANANA !!"

9 à 4
Don Alejo Onza de Llama Duende y Seda
Don Alejo Onza de Llama Duende y Seda
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Posté le 28/11/2020 à 11:09:34 

28 novembre 1720

Les choses étaient revenues à la normale sur l'île. Dans quelques jours, il ne resterait plus rien de cette étrange parenthèse. Presque plus rien, pour Alejo, mais c'est une autre histoire.
La routine de la traque reprenait. Badclown ne semblait même plus faire l'effort de se cacher.

"Alors on continue toujours ? Ça en devient lassant. Enfin... c'est ton choix."

Tir réussi ! Headshot sur BadClown avec Requiem.

10 à 4
Don Alejo Onza de Llama Duende y Seda
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Posté le 07/12/2020 à 13:36:43. Dernière édition le 07/12/2020 à 13:39:19 

10 défaites maintenant, mais le clown n'entendait rien. Il continuait, inlassablement. Jusqu'à maintenant, Alejo était sa seule cible, mais demain ? S'il décidait de changer de tactique et de s'en prendre à ceux qui étaient chers à l'hidalgo ?
Il était temps d'en finir. Alejo pris sa plume et se décida à proposer ce à quoi il répugnait pourtant.
Un duel. Un défi favorable à Badclown, devant public. Une offre qu'il ne pouvait pas refuser. Et qu'il ne refusa pas.

4 décembre 1720. Ponton de la Crique.

Alejo était déjà prêt quand Badclown arriva. Les membres de l'expédition du Donjon sans Frontière seraient les témoins de ce combat. Yulia, James, Bougnette, Jax, la Banane, Cendre. Et Althéa. Et Arina.

BadClown roule des mécaniques tandis qu'il se dirige vers Alejo et sa troupe de guignols : bwahahahahaa. Il pointe du doigt l'intéressé : Alors te voilà donc, fripouille ! J'étais persuadé que tu n'oserais pas venir de peur de te faire humilier en public, muhahahahaa !"

"Il n'y a pas que les clowns qui aiment avoir leur public. Je n'en serai que meilleur face à toi. Nous sommes d'accord sur les modalités ? Début à 10 pas ?"

Il hoche la tête : oui 10 pas ! Mais c'est six pieds sous terre que tu vas finir .... Bwahahahaa"

Alejo sort 3 longs rubans de soie. A chaque extrémité est noué un pistolet. Chargé, ça va sans dire. Il dépose les rubans sur son cou pour que les 6 armes soient suspendues sur sa poitrine. Il sort un flasque de sa poche et boit une rasade, sans doute pour se donner du courage.

BadClown affiche un large sourire, prêt à bondir ... si il y a bien une chose que le clown adore c'est se battre ... alors avec un public et contre son ennemi ... quelle magnifique soirée !"

James lève les mains, lentement, puis les frappe, effectuant un énorme SPLOSH : "Battez-vous !"

Au moment exact où le son se fait entendre, Alejo saisi une paire de pistolets et fait feu sur le clown. Puis lâche ses armes maintenant inutiles pour en prendre deux autres.

BadClown tente d'esquiver la balle mais réalise que le ponton est bien trop étroit : pas le choix, il va falloir encaisser celle là ... mais il a l'habitude, muhahahahaa

Alejo ouvre le feu une seconde fois. Les tirs manquent de précisions mais font un barrage de plomb. S a poudre doit être humide. Les tirs semblent moins puissants qu'ils ne devraient et ses armes dégagent beaucoup de fumée.

BadClown n'a pas le temps de conclure une nouvelle provocation qu'une nouvelle salve de balles fonce dans sa direction, impossible de les esquiver, et cette fois c'est l'épaule qui se fait toucher ... C'est un peu plus douloureux, mais tant que ce n'est pas la tête ...

L'hidalgo saisit la troisième paire de pistolet et ouvre le feu à bout portant, son adversaire étant à portée de main.

BadClown n'aura finalement esquivé aucune balle, mais ce n'est plus important maintenant ... il est au corps à corps, prêt à en découdre ... et le plus important dans tout ça, il est encore debout, la victoire sera forcément sienne maintenant ... MUhahahahaa"

Les spectateurs situés à l'arrière sont peut-être les seuls à distinguer encore ce qui se passe dans cette purée de pois. C'est à peine si les silhouettes des adversaires sont visibles. Les mouvements d' Alejo sont étrangement rigides mais le clown ne peut rien en deviner dans cette fumée. L'hidalgo dégaine son sabre pour recevoir la charge du clown.

BadClown envoie quelques coups de poings à l'aveugle : seul un imbécile manquerait sa cible à cette distance, bwahahahahahaa !!!

Le choc est entendu par tous. Ni la fumée, ni son sabre ne semblent avoir protégé Alejo . Sous le coup, il est projeté en arrière et s'effondre au sol. Là, sans aucun doute, il git raide mort. Un seul coup semble avoir suffit. La peau est déjà terne, ses membres bientôt rigides...

BadClown y voit enfin un peu plus clair une fois la fumée dissipée et observe son adversaire gisant au sol : Bwahahahahahaaaaaa !! Je me savais doué mais à ce point ! Il est incroyable de voir que jour après jour je continue de me surprendre, quel talent !" Il donne quelques coups de pieds dans les fesses du "cadavre" : muhahahahaa, il avait décidément la langue bien pendue pour un incapable !"

Il faudra toute la rage d'Althéa et la hargne d'Arina pour que le clown abandonne sa victime et s'en aille, laissant derrière lui le corps de son adversaire, vaincu.
1 -2- 3  

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