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[Event] Une Peste Maléfique. -1- 2  
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Don Valakas, Le Faucheur.
Don Valakas, Le Faucheur.
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07/04/2008
Posté le 02/02/2010 à 23:12:15 

Le Libris Mortis vibre, il est impatient… 

Je pousse le dernier rocher bloquant l’entrée que mes esclaves d’Humains ont creusée. Une odeur de soufre et de brûlé emplie tout le conduit, seul le bruit de la lave coulant par de nombreux endroits trouble le calme d’église qui règne en ce lieu maudit.
Le sang de la terre illumine certains couloirs, offrant un spectacle des plus macabres, ombres et carcasses, tombes et squelettes se mêlent dans un ballet effrayant sur les murs et le sol de ce donjon.   

Les vieux fous de prêtres avaient donc raison, ce lieu existe réellement ! 
 

La Source d’un pouvoir immense ! 
 

J’ai appris l’existence de ce lieu par le Libris Mortis, lorsqu’il m’a révélé une carte, à plusieurs lieux sous le temple, un autel aurait été érigé par des sorciers Mayas pour faire des sacrifices à leur Dieux de Sang et du. Cet autel aspirait les âmes des défunts et permettait aux sorciers de lancer des sorts très obscurs. Cependant, quelques siècles plus tard, avec les premiers colons et l’arrivée des hommes d’église, ces croyants d’Humains ont décidé de faire cesser ces sacrifices et ont scellé de manière magique ce lieu. Ils ont tout d’abord détruit jusqu’au dernier morceau l’autel, pensant que le problème allait se régler de lui-même par cette méthode, mais même la Terre elle-même était souillée par le sang versé. Ils ont donc décidé d’aller plus loin en plaçant quatre objets saints autour de cette zone terreuse : un crucifix, un goupillon, un cierge et  une bible. Associée à une incantation, ils ont canalisé cette source du Mal pour éviter qu’elle ne soit utiliser par quiconque. De fil en aiguille j’ai cherché comment rompre ce sortilège et il m’a fallu lire des livres venant du prêtre d’Esperanza pour trouver une solution.
 

Se retourne vers ces mercenaires : Allez vermines ! Vous savez où placer ces sceaux démoniaques. Il nous faut couper cette protection.
 

Plusieurs heures plus tard.
 

Je me trouve au centre du donjon, ce sol semble moite malgré la chaleur environnante, il suinte à plusieurs endroits d’un rouge brûlé. Ne sachant pas quoi faire ensuite, j’ouvre le Libris Mortis. Quelques secondes s’écoulent avant de voir apparaître en lettres de sang une incantation. Comme d’habitude, je ne sais pas ce qui va se passer, mais je fais confiance à ce livre. Récitant à haute voix les versets, j’observe autour de moi si quelque chose bouge ou apparaît, je continue inlassablement en pensant ne pas voir d’effets visibles… Quand, soudainement, le sol se met à trembler ! Je ne m’attendais pas vraiment à ceci en fait, des morceaux du plafond tombent un peu partout, la lave sort de manière violente en forme de geyser, les murs se fissurent, et le sol s’ouvre telle une large cicatrice… Une lumière verte tel un éclair mais sortant du sol frappe le Libris Mortis de plein fouet.
 

Je sens en moi une énergie des plus sombres m’envelopper de son voile néfaste, ce qui reste de mon humanité semble aspiré dans un puits sans fond, ma Haine semble se galvaniser chaque seconde… Je veux… Je veux… les faire souffrir, les voir dépérir, leur faire comprendre les souffrances qu’ils m’ont infligées en voulant sauver leur religion à la place de leur ami dans cette église. Espagnoles… Amis… Non H-U-M-A-I-N-S… Je les HAIS TOUS… Plus de différence, je serai leur bourreau, je viendrai les faucher comme la Mort.
 

*Tourne une page du Libris Mortis*
 

Je sais enfin comment je vais procéder… Mais il va me falloir de la main d’œuvre qualifiée pour faire ceci… Et je sais qui contacter…
Don Valakas, Le Faucheur.
Don Valakas, Le Faucheur.
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07/04/2008
Posté le 04/02/2010 à 22:49:35 

Une porte magique et sombre s’ouvre dans l’air, je m’y engouffre comme à mon habitude. Le couloir dans lequel j’arrive est obscur et poussiéreux. Derrière moi, une porte en bois mène vers l’extérieur. En face, une seconde porte entrouverte laisse passer de la lumière.
On entend le vent s’engouffrer par divers endroits dont un carreau cassé à côté de la porte derrière moi. L’odeur de rhum mélangée au tabac semble stagner dans l’air ambiant malgré ce vent, tout comme la poudre on dirait bien… Sans bruit je m’approche de la porte avec de la lumière…

CLIC, CLIC

Je m’arrête… et baisse la tête pile au bon moment.

BLAM, BLAM
… des morceaux de bois me tombent dessus. La poussière se dissipe peu à peu, j’entends :

Foutu pisse-cailloux, tu crois que j't'ai pas cramé depuis vingt-huit minutes!?
Ramène ta face de pastèque par ici avant que j't'ouvre en deux et que j'te sorte les boyaux. Tu empestes tellement à 10 miles que même parmi les dessous de Zapata j’arriverais à reconnaitre ton odeur.

Je relève ma tête et observe deux gros trous dans la porte…

M’oblige pas à utiliser le mini canon, approche-toi !

Il faut croire que tu vises toujours aussi bien la tête, sac à foutre !

Du gland ! Tu fous quoi ici ? Ton cul vierge moisi n’a rien à faire dans notre repaire!

Je viens vous causer business et vous proposer un deal, si toi, tes frères et sœurs êtes d’accord.

Alors Caratawc, on cause ? Ou je sors ma lame pour te faire deux autres trous du cul ?
Madre Anna
Madre Anna
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09/12/2005
Posté le 07/02/2010 à 16:48:48 

L'intrus était plus que mal embouché. L'idée qu'il nous proposa me pétrifia d'horreur. C'était bien de Caratawc, un type capable de se promener avec un corde de pendu autour du cou, de nous amener une affaire pareille.
Je quittais la pièce en claquant la porte:

"Décidément, cette Confrérie est vraiment prête à accepter n'importe quoi désormais!"

Je ruminais dans ma chambre quand Sing vint me rejoindre. Le vieux hibou venait rarement me parler pour ne rien dire. Longuement, il m'expliqua que tout cela pouvait nous être utile. Non, ce n'était pas un simple contrat, mais un moyen de ramener Ching. Moi, la servante de l'église catholique, je ne pouvais que connaître la nécessité du sacrifice humain.

http://www.pirates-caraibes.com/fr/index.php?u_i_page=5&theme=17&sujet=20978&u_i_page_theme=1&u_i_page_sujet=1

Je rejoignis le groupe en silence. Mon savoir en médecine était nécessaire pour isoler le virus.
Le coeur au bord des lèvres, je fis mon devoir.
Don Valakas, Le Faucheur.
Don Valakas, Le Faucheur.
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07/04/2008
Posté le 08/02/2010 à 22:05:38 

Je regarde une partie des bandeaux noirs devant moi avec un mélange de dégout et de respect. Le dégoût, vient du faites que pour certains ils ne valent pas mieux que la raclure Humaine qui pullule sur l’île. Le respect, c’est que tous ou presque (regarde Madre Anna claquer la porte et l’entend râler comme une bonne vieille matrone) reste de marbre devant la proposition que je viens de leur faire. 

Le deal est simple, jouez les gardes du corps le temps que La Peste emporte toute l’île et vous pourrez acquérir le moindre centimètre de terre de Liberty. En contre parti j’aurais ma vengeance tant attendu depuis le jour ou le peuple d’Esperanza à choisi de sauver leur religion plutôt qu’un ami.
 

La question qui va se poser est : Vont-ils me prendre au sérieux ? Ou je vais devoir leur prouver ce que je sais faire ?
Titus Pullo
Titus Pullo
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08/02/2007
Posté le 14/02/2010 à 23:22:18 

Les recherches sont fructueuses, une demi-douzaine de sceaux maudits récupérés en seulement quelques jours dans cet antre maléfique.
L'avancée est aisée entre tous ces teenagers de l'exploration à la Indiana Jones, référence à "Indiana Jones et la dernière croisade", ouvrage trouvé dans les affaires de Madre Anna.
Ces pourceaux errent torche à la main parmi les zombies et autres rats pustuleux m'ouvrant une voie royale vers chaque sceau.

Tout se présente très bien avant l'arrivée des corsaires plus chevronnés.
Sylar
Sylar
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06/07/2007
Posté le 15/02/2010 à 17:27:44 

*Sur le chemin pour aller voir son gouverneur, Sylar croisa un homme qu'il n'avait jamais vu jusqu'ici.
Un homme effrayé qui criait à qui voulait l'entendre que le Mal été de retour sur l'île.*

*Sylar, s'approcha en s'imaginant qu'il s'agissait encore d'un ivrogne qui avait abusé du Rhum de Kenny*

*Voyant Sylar s'approché, l'homme couru vers lui, tel un fou et Sylar compris qu'il était sous l'emprise de la terreur et non de l'alcool*

Sir, Sir, Sir, je vous en prie....aidez moi, je me nomme Père Guillaume et vous devez m'écouter....je vous en supplie...

* L'homme était terrifié et son discours décousu*

Le Malin...il est de retour, il faut le combattre, pour le bien de cette île....des hommes, son oeuvre est en cours et d'ici peu il sera trop tard....des z..z..zombies, des rats...aidez  moi, par pitié, pour l'amour de Dieu.

Des sceaux démoniaques...une Bi..bbible...et... pour pour pour.... le détruire

*Sylar écouta attentivement son histoire. Au final, il comprit l'importance des évènements qui se déroulaient actuellement*

*L'idée d'aller explorer des endroits infestés de rats et zombies ne l'enchantait pas mais sa décision était prise....il ne pouvait pas ignorer les avertissements du Père...demain il se mettrait en route.*
Madre Anna
Madre Anna
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09/12/2005
Posté le 15/02/2010 à 22:12:47 

J'avais vendu mon âme pour sauver une soeur, et Dieu, ou le Diable, ou qui sais-je encore, me le faisait payer.
Par deux fois, une crise me terrassa, victime du virus que j'avais réveillé et propagé.
Frissonnante, je m'effondrai dans l'antre du zombie. Je ne sais comment je me retrouvais à l'hôpital. La fièvre me faisait perdre tous mes repères. Je m'agitai dans mon lit, balbutiant des propos sans suite.

Maman...Amaury... Le Zombie... il est avec vous? vous? non? Manitas, tu es là? Ching, où es-tu? Mamaaaaaan, j'ai mal, si mal, pardon... Amaury, mon tout petit, c'est toi? AAAAAAhhhhhhh ! Mais qu'es-tu devenu? Toi aussi, tu es un mort-vivant? Non, laissez-moi, vous êtes morts. Manitas? Manitas?

Puis le sommeil reprenait ses droits, et je retombais, hébétée, dans un silence qui pouvait durer des heures. Mais les visions d'horreur ne cessaient pas pour autant. Je m'étais mise au service du Zombie, il ne me lâcherait pas comme ça.
Don Valakas, Le Faucheur.
Don Valakas, Le Faucheur.
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07/04/2008
Posté le 15/02/2010 à 22:33:31 

*Mon doigt passe à travers un énorme trou* 

Foutu pirate Humain, ce Branlouz raaaaaah ! Je savais qu’il avait une dent contre moi, mais pas à ce point…

Je me demande si j’ai bien fait d’embaucher cette bande de cloportes.

Mouai en même temps je n’ai pas trouvé plus sadiques…  

Il fait nuit depuis plus d’une semaine sur Liberty, les rumeurs de disparitions, de créatures monstrueuses marchant en direction des villes se répandent comme une trainée de poudre. L’air lui-même est chargé d’une odeur particulière… Celui de la peur.
 

Les églises ont vu le nombre de leur croyant doublé en l’espace de quelques jours, chacun voulant être réconforté et protégé par un prêtre. Ces hommes d’églises vont perdre toutes crédibilités en voyant mes premiers enfants sortir de terre pour dévorer leur fidèles.
Je m’en délecte d’avance… 
 

Il n’y en a qu’un ou deux à ma connaissance qui pourraient me causer problème… Ce vieux débris d’Ezech à Esperanza, et l’Inquisiteur à Port Louis. Dans les autres nations aucun homme d’église ne semble vouloir se dresser contre moi…
 

*Caratawc arrive dans mon dos* 
 

Hey la momie puante, les premiers Humains ont été contaminés, et d’après mes Confrères des groupes d’hommes se mobiliseraient pour venir comment dire… Te faire sauter ce qui correspond à ta carafe d’empafé de zombie fini à la pisse… 
 

*Je me retourne et lui balance :*
 

Réceptacle à fiente de vautour, je te conseille d’aller finir ton boulot, ces Humains vont avoir fort à faire quand ils vont se rendre compte que leurs propres frères d’armes vont se lever pour leur croquer une couille…
 Ahahahahahahahahah ! 

Je rajoute une couche exprès.
 

Je suis curieux de voir ce que ton sobrino va être capable de faire… La remarque fait mouche dans le regard de Caratawc.

Est-ce que je commençais à lui foutre vraiment les pétoches, venait il de réaliser certains aspects de ce contrat ?
 
Gahériet
Gahériet
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02/09/2005
Posté le 16/02/2010 à 08:20:23 

Je me tenais assis devant mon bureau. Une lampe à huire éclairait la pièce d'un hallo de lumière . On pouvait entendre ma plume crisser sur les feuilles.
Machinalement je compare plusieurs tableaux pour voir si tout correspond.


- Saloperie de comptabilité du Lys, je me demande comment on a fait pour tourner jusqu'à maintenant. Enfin, on voit le bon bout, j'ai rectifié les erreurs et tout roule...

Des gouttes de sueur perle sur mon front, je commence à ressentir des courbatures. Je tends mon bras et prends un verre d'eau. Le contact de la fraicheur de l'eau me fait du bien. MAis ça ne dure qu'un temps, rapidement j'ai l'impression de me retrouver dans une fournaise.
Je me lève et là je me rattrape à la table, mes jambes ont flanché, j'ai failli tomber. Un bon vieu reflexe, mon corps semble combattre le mal.

 
- Bon dieu qu'est ce que j'ai choppé

Je me déplace vers le lit, une fois à coté je me laisse littéralement tombé dessus. Je prends mon visage dans les mains et j'essaye de reflechir, sur mon état. les idées fusent entre la douleur à la tête et les images des derniers jours j'ai du mal à faire le tri.
Puis d'un coup j'ai le flash Madre, cette garce lors de notre combat, du moins je devrai dire lors de mon agression semblait pas bien, faut dire elle ne ressemblait plus à la madre que j'ai connu. Elle a du me refiler une merde.
Et là encore un flash


- Oh, merde, on parle d'épidemie de peste, de contamination même de zombie dernièrement, ça ne peut être ça. Pfuuuu, je me retire des combats et voilà qu'il me tombe cette galère.
Bon, mon Gahériet tu en eu vu d'autres, prends sur toi, il ne faut pas s'appitoyer, on va vérifier les ragots. Il semblerait que des expéditions sont parties dans la crypte, on va commencer par là.

Je me lève tant bien que mal, j'arrive à trouver un équilibre. Je fouille la pièce du regard et tombe sur ma canne. Je n'ai besoin que de ça pour avancer, ça me suffira de toute manière je ne crois pas que je pourrai utiliser autre chose.
Et tout doucement dans la nuit je prends la direction de la crypte...
Maître Mihiragula Vanish Sing
Maître Mihiragula Vanish Sing
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27/03/2006
Posté le 16/02/2010 à 11:28:36 

"Si les hommes ont créés les Dieux et autres esprits sans ame, alors ils perriront en lieu et place de ceux-ci. "

La peste faisait des ravages, et les âmes étaient pretes pour le grand voyage. Milles âmes pour un coeur, c'était l'affaire de quelques jours désormais.
Le contrat sera respecté, le temps qu'il faudra pour que Ching se libère du néant. Valakas, quant à lui, redeviendra néant aussitôt que son maître n'aura plus besoin de lui, et c'est Sing qui aura le plaisir d'en faire un ossobuco servit en petit déjeuner pour momo.

En attendant, le sang devait couler, car le contrat devait être respecté.

Rohel
Rohel
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25/05/2007
Posté le 17/02/2010 à 08:44:02 

L'épidémie se répandait petit à petit, lentement mais surement. La liste des personnes infectées s'allongeait et la situation ne faisait qu'empirer.

Rohel connaissait des gens sur cette liste et il refoulait avec difficulté sa tristesse. Helena, qu'il considérait comme une amie... Non seulement elle était contaminée, mais en plus son mal la poussait à s'en prendre aux autres corsaires, même à ses compatriotes!
Et du côté Français, les regards se tournaient peu à peu vers Gahériet. Son teind cireux, la lueur étrange dans ses yeux, ses quintes de toux effroyables... Peut-être que lui aussi était infecté, et de plus en plus de monde se méfiaient de lui... voir même, commençaient à le fuir!

Depuis quelques jours, plusieurs rapports témoignaient d'une activité suspecte au fond de la Crypte de Port-Louis. Un passage mènerait dans une antre infernale, dans les profondeurs de la terre, où d'horribles créatures semblaient voir le jour pour remonter à la surface.

Une expédition de courageux Français, prêt à tout pour endiguer ce mal avant qu'il ne soit trop tard, fut alors montée pour aller voir sur place ce qu'il en retournait.
Mais ils étaient loin d'imaginer ce qu'il se passait dans ce donjon maléfique. L'odeur de décomposition, la chaleur étouffante, le manque d'air et pire encore: les créatures en question!

Des tas de chair putréfiée qui déambulaient implacablement vers la sortie, vers... Port-Louis!
Dès leur arrivée, les Français durent repousser les assauts des bêtes, certains avec beaucoup de difficultés tant ces ennemis leur inspiraient une incroyable terreur.

Après des heures d'une lutte acharnée, enfin l'expédition française put prendre un moment de répit et monter une tête de pont à l'entrée. Mais il n'était pas question de se reposer, chaque minute de perdu faisait une victime en plus de la maladie.

L'expédition se divisa pour couvrir plus de terrain. Ils se doutaient tous qu'il y avait une source à ce mal, une source qui devait être anéanti pour que tout s'arrête. Du moins, ils l'espéraient tous...

Rohel partit avec Kristal dans le dédale de ce souterrain, à la recherche de la chose ou de l'être qui avait bien pu déclencher tout cela.
Et rien ni personne n'allaient pouvoir les empécher de sauver Port-Louis de la catastrophe.
Gahériet
Gahériet
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02/09/2005
Posté le 17/02/2010 à 09:36:48 

J'étais rentré dans la crypte de l'église. Je connaissais assez bien le chemin pour y être venu à plusieurs reprises pour y rencontrer l'un des contrebandiers de l'ile. Ma démarche était hésitante, plus j'avançais que je m'appuyais sur ma canne. Les quintes de toux ne cessaient pas bien au contraire.
J'arrive devant la porte du contrebandier, je l'ouvre pour m'assure que tout va bien.
Que vois-je, la fine-fleur de port Louis qui s'est rassemblée là, pour aller chercher le responsable de tout ça.
Je m'avance pour les encourager.


16/02 09:03:25 : "Gahériet manque de perdre son équilibre et s'appuie sur ton épaule pour se rattraper" à Mademoiselle Candyce

16/02 09:03:57 : "Gahériet Au même moment une violente quinte de toux, le plie en deux" à Mademoiselle Candyce

16/02 09:04:24 : "Gahériet le mouchroire qu'il a mis devant la bouche commence à se tinter de rouge" à Mademoiselle Candyce

16/02 09:08:00 : "Gahériet lève son regard vers candyce, ses yeux sont rouge "merci pour cette épaule Candyce, je dois partir je suis dangereux pour vous, fuyez moi dans le dédale" à Mademoiselle Candyce

16/02 09:08:15 : "Gahériet Je ne sais combien de temps je pourrai combattre ce mal en moi" à Mademoiselle Candyce

Sur ces paroles je prends le chemin de la sortie, sentant une envie en moi qui grossi de plus en plus.
Au passage je vois Lagardère, un ami fidèle et surtout l'un des meilleurs médecin de PL.


16/02 09:08:48 : "Gahériet Dépèche toi mon ami de trouver un remède, je ne sais combien de temps je pourrai résister à ce mal" à Dr Lagardère

Après ce dernier avertissement, je me glisse dans le dédale. Je perds de plus en plus le contrôle, ma vision se trouble, j'ai de plus en plus l'impression d'être un pantin dans les mains d'un dément.

Le labyrinthe a déjà commencé à être envahi par des groupes d'aventuriers, j'essaye tant bien que mal d'éviter ces groupes de personnes. Je vois Charles là-bas, mais comme un instinct intérieur je vais dans le sens opposé.
Je m'adosse à un mur, puis au moment de repartir, je tombe nez à nez avec....


16/02 22:48:06 : "Gahériet s'approche de toi, puis d'un coup tombe et perd l'équilibre se rattrape juste à temps sur tes épaules" à Colm Corbek "Le Chat Noir"

16/02 22:48:49 : "Gahériet force pour se redresser, puis te mord au cou" à Colm Corbek "Le Chat Noir"

16/02 22:51:03 : "Gahériet tient sa position, puis relache sa prise une fois rassasié, tu n'as pas pu te libérer de l'entrave" à Colm Corbek "Le Chat Noir"

Le fait d'avoir bu du sang a rassasié le démon. je récupère pour un temps le controle de mon corps. Je sens une force qui m'attire vers le milieu du labyrinthe, je n'ai rien à perdre, j'y vais...
Dame Azorif
Dame Azorif
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04/05/2008
Posté le 17/02/2010 à 12:20:08 

Alors que la veille elle avait réussi à récupérer plusieurs sceaux démoniaques et enfin atteindre la Sainte Bible, Sing avait tenté de lui voler son âme pour l'offrir en sacrifice à un certain Yaluowang pour que sa dulcinée, Lady Ching, puisse lui revenir.
Mais c'était sans savoir que son âme appartenait à son Bien aimé, le Dokter, il était l'unique personne à avoir accès à la profondeur de son être, mais la Peste était une ennemie redoutable, elle pouvait atteindre la perle et transformer son possesseur en un pestiféré dangereux.

Alors qu'elle venait de revenir dans l'Antre maléfique, elle se retrouva nez à nez avec une Française qui semblait combattre la Peste mais... elle avait entendu parler de la contamination de Gahériet et sachant qu'il avait été en contact avec la belle Candyce, elle préféra prévenir que guérir. Ainsi, elle sortit sa lame pour l'éloigner des siens qui avait déjà subi les assauts de son ami Rohel ce matin et elle terrassa la pestiférée potentielle.


17/02 11:58:40 : "Dame Azorif Elle s'approche de toi et remarque que tu as longtemps trainé avec un Pestiféré du nom de Gaheriet. Elle craint pour sa vie et sa santé et prends la terrible décision de prévenir le mal" à Mademoiselle Candyce

Elle continua à avancer dans les couloirs et ses pensées allaient vers Helena, son amie, sa confidente. Elle avait été contaminé par une concoction étrange que lui avait fait boire innocemment Branlouz, elle ne serait plus jamais la même... Ces tristes pensées la rendirent nostalgique et elle espérait de tout son coeur que le Mal serait éradiqué pour qu'elle puisse être sauvée. Elle ferait tout son possible désormais pour sauver son Amie et l'Humanité.

Dr Lagardère
Dr Lagardère
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15/10/2007
Posté le 17/02/2010 à 12:37:57 

Un cauchemar.

La réalité avait dépassé mes pires craintes. Notre groupe d'intervention n'avait pas encore pénétré l'antre du zombie que déjà Gahériet vacillait. J'en fut saisi d'effroi. Le mal gagnait en lui, et il perdait peu à peu sa lucidité.

16/02 09:08:48 : "Gahériet Dépèche toi mon ami de trouver un remède, je ne sais combien de temps je pourrai résister à ce mal" à Dr Lagardère

Il s'écarta puis prestement pris la direction de l'antre, vers son coeur.

J'étais pétrifié. Il me fallut de longues minutes pour reprendre mes esprits. Kristal me fit un signe encourageant, comme à son habitude, et la vue de la fière compagnie qui m'entourait - les plus grands combattants de Port-Louis - me raviva.

Avec Rohel, nous élaborâmes une stratégie pour arpenter l'antre, puis d'un pas décidé y pénétrèrent.

Les ténèbres.

Tout était sombre et glacial. A chaque pas, de dangereux zombies nous sautaient au cou. Nous les repoussions à coup de lame, nous frayant un chemin vers l'horreur. Nous avions bien progressé lors du premier jour, et il fallut bien nous reposer. Mais comment le faire dans un endroit pareil !

Nous décidâmes après un bref repos de nous remettre en marche. Les adversaires étaient nombreux et puissants, nous progressions avec difficulté. Même les plus fins bretteurs de l'île souffraient, et je dus employer toute mon expérience à les maintenir en vie.

Je n'en pouvais plus. Depuis des heures je soignais, cautérisais, recousais, rassurais. Epuisé, je mis un genou à terre, puis m'adossai à un mur. Serrant mon sabre contre mes genoux, je tombai dans un sommeil tourmenté, priant pour que ce damné mal m'épargne...
Rider
Rider
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18/11/2007
Posté le 17/02/2010 à 15:44:57 

"QUOI?

Vous avez laissé nos jeunes partir en eclaireurs?
Non mais sans rire ?... Et personne ne s'en offusque?
- On a su l'ampleur des degats qu'une fois qu'ils ont donné des infos tu sais...
- Et?
- Et ben c'est pas bon du tout, on organise une expedition pour les rappatrier et essayer de voir ce qu'il se trame, Tu en seras
- Ben tu parles !

*Une fois devant la faille qui menait visiblement directement aux enfers ça papotait severe alors que les premiers guerriers essayaient de se frayer un chemin*

- Salopard de Valakas..
- Depuis le temps que je dis qu'il faut l'eliminer celui là....

- Il est contagieux ce ramassis d'immondices.. Et ses sales miasmes ont deja contaminés pas mal de Pirates...

A moins qu'ils ne l'etaient deja ... Va savoir

Bref.. Titus Pullo, Papy Sing, Madre Anna et Van Ray Vaughn ont été aperçu dans une espece de saloperie de Donjon...

- Il parait qu'il y a un acces par la breche dans le mur du fond dans la Crypte sous l'eglise de Port Louis ...

- Ah ouaip? Parce que j'ai une amie qui m'a parlé de la meme chose sous l'eglise Espagnole
T'imagine la taille du truc?... Misere

Et le pire ?
Mais qu'on ai pas trouvé mieux que d'envoyer plusieurs de nos jeunes en eclaireurs !

Sans rire... on est vraiment sans Honneur ou quoi?

- Arrete de raler Rider On y va pour les retrouver justement !
...

Et on y est !
C'est en effet pas loin d'etre les Enfers
L'odeur mefitique, les odeurs de souffres et de moisi , les hordes de zombies c'est l'horreur
Et surtout le mal se repand
Héléna fut la premiere de chez nous a succomber au mal
Et aux cris que nous avons entendu elle a certainement defracté Runik...

Je pense qu'elle avait encore une pleine possession de ses moyens a ce moment là..
Car plus innofensif que lui dans ces lieux... Tu meurs
Mais.. Au final

Meme nous les guerriers dit "aguerris"...
On va tous y passer je sens

Oh je suis pas défaitiste... Mais là ... on a pas vraiment une seule chance
Tant que tous ces ânes bâtés comprendront pas qu'on ne doit plus se tirer dans les pattes mais faire cause commune ...

Les combats font rage!
Tout le monde court dans tous les sens en esperant que les personnes qu'ils croiseront ne vont pas se jeter sur eux pour leur bouffer la gueule, la peur suinte de tous les murs et de tous les pores de chacuns des pauvres bougres emprisonnés dans cet enfer, les cris de combats, les lamentations des blessés, les sons de corps rampants ou tombant sous les coups...

Manquerait plus que je tombe a nouveau sur Nick le Brun et qu'il tente a nouveau de me boulotter ce couilloti !

Bah .. Pas grave
J'ai deja plus mon âme alors bon.. Au final je pense pas que je risque grand chose.. Je suis déjà damné depuis longtemps...


Pas grave.. J'y resterais s'il le faut.. mais je ferai de mon mieux pour en emmener le plus possible en enfer avec moi !
Charles de Craon
Charles de Craon
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14/01/2006
Posté le 17/02/2010 à 17:47:26 

Ah le bel endroit ! Et dire que j'étais volontaire pour m'entraîner tout seul là dedans. Mais ça sentait la mort ici et déjà quelques personnes que l'on croisait se traînaient avec un visage pâle à faire peur à un ours sauvage.
Sauf qu'ici des ours sauvages il n'y en avait guère, et pour cause. Charles devait faire équipe avec Gaheriet et l'avait retrouvé le matin même, mais il ne s'était même pas approché, car la banquier du Lys lui avait fait signe de loin qu'il était atteint du mal.
A ce tarif là, il ne resterait pas beaucoup de survivants sur l'île si on ne contenait pas la maladie rapidement. Il allait falloir procéder à une petite saignée... sur toutes les horreurs qui hantaient cet endroit.
La bonne nouvelle, si on pouvait parler de bonne nouvelle, c'était que pour le moment le mal avait renforcé les liens de ceux qui n'en étaient pas atteind. Il avait fallu qu'il se fasse soigner par Lagardère, puis par Alexiane pour que Charles puisse continuer.
Après un ultime effort de Rider pour dégager la voie, le Français était enfin à arrivé à son objectif du jour. Et pourtant il n'était pas si loin que ça !

Charles observa un moment Dame Azorif, se demandant s'il devait la considérer comme une menace pour les sauveteurs, mais Rider lui assura que tout se passerait bien... Façon de parler.
Mieux valait pour le moment faire confiance à son ami hollandais et ignorer la belle de Cadix. Les balles du Français n'étaient pas disponibles à l'infini et il restait ici beaucoup d'autres horreurs à tuer.

Mieux valait choisir ses cibles... Et espérer que tout se passerait bien.
Maiden
Maiden
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15/11/2005
Posté le 18/02/2010 à 15:24:31 


http://www.deezer.com/listen-3130367

Les bruits des humains résonnaient dans les cavernes oubliées de l’antre.  
Zombies, Revenants, Squelettes, Spectres, tous s’était réveillés de leurs sommeils éternelles et avaient répondu à l’appel de Valakas.
 
La mort se propageait enfin comme la lave d’un volcan furieux.
Les humains pensaient ils encore sauver leurs âmes ?
C’était alors, sans compter sur deux êtres abominables, sortie des entrailles de l'enfer, furieux de l’audace des hommes et affamés de chairs fraiches.
Slush
Slush
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19/08/2006
Posté le 18/02/2010 à 15:46:07 

Dans le calme et la  pénombre d'une des chambres mortuaires slush se régale de la chaire verte et purulente qu'il vient de trouver dans l'un des cercueils.
Ses globes oculaires vont de droite a gauche et se pause sur la jeune fille tapis dans l'hombre a coté de lui, elle l'a pris pour un humain, elle a pourtant bien remarqué qu'il ne parle pas et parait en un bien mauvais état.
Surveillant l'entré, un pistolet tremblant dans sa main elle ne se doute pas que slush la regarde comme un enfant regarde une barre de chocolat.
Colm Corbek "Le Chat Noir"
Colm Corbek "Le Chat Noir"
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06/01/2007
Posté le 18/02/2010 à 16:29:07 

"Ave Maria! Reine Magd!
Der Erde und der Luft Dämonen,
Von deines Auges Huld verjagt,
Sie können hier nicht bei uns wohnen,
Wir woll'n uns still dem Schicksal beugen,
Da uns dein heil'ger Trost anweht
" - Ave Maria - Beethoven / Schubert

L’endroit était sombre, humide et d’une chaleur à vous dessécher un lézard en deux minutes, et ce bruit de fond entêtant qui résonnait partout dans les couloirs. Un mélange de souffle constant dans l’oreille, de murmures incessants, de bourdonnements, et cet étrange musique d’orgue. Bien qu’il n’y ait aucune harmonie cet ensemble semblait finalement s’accordait en une symphonie chaotique et ne manquait pas de lui vriller le crâne.

S’il l’avait su avant, Colm aurait tourné le dos à ce fichu prêtre. Il n’était pas venu sur cette île pour retrouver les prêchi-prêcha de ces culs bénis du continent, même s’il pouvait parfaitement comprendre que certains en aient besoin.
Pourtant il avait accepté de l’aider. La promesse d’une récompense bien plus substantielle que la rédemption éternelle l’avait suffisamment intéressé pour finalement écouter ce prêtre jusqu’au bout, même s’il se souvenait à peine de son nom : le père Guillaume ou autre chose.
Et désormais il le regrettait amèrement.
S’il n’y avait eu que le décor, cela aurait certainement pu passer, mais il y avait aussi ces rats, du moins c’était ce à quoi cela ressemblait le plus si ce n’est la taille proche des mastiffs de guerre prussiens, qui tentait de vous croquer les jambes toute entières à chaque claquement de leur mâchoires, et ces résidus de personnes qui aurait du être mortes, mais qui étrangement n’hésitaient pas à lui courir après pour des raisons connues d’elles seules.
Heureusement pour Colm, leurs chairs pourries explosaient au premier plomb tiré et les rats guères résistants au tranchant de sa lame malgré leur taille.
De plus il n’était pas seul à errer en ces lieux, une chance… autant qu’une malédiction.

Cela ne faisait que quelques heures qu’il se trouvait là et déjà exténué par sa course et ses combats il avait établi un petit campement près de l’entrée lorsque quelqu’un s’approcha. Prenant les armes il s’attendait encore à tomber sur un cadavre ambulant. Lorsque la silhouette entra dans le cercle de lumière, il reconnu Gahériet, membre du Lys.
Ce dernier avait le teint pâle, encore qu’à la faible lueur du feu cela ne se remarquait pas tant, les traits tirés et la démarche incertaine.
Mettant cet état de santé sur le compte de la fatigue Colm ne s’était pas méfié jusqu’au moment où il fut trop tard.
Avec une rapidité étonnante il se retrouva plaqué au sol, des yeux fous collés à son visage puis une douleur insupportable. Bien que son catéchisme remonte désormais à plusieurs dizaines d’année, la première chose qui vint à l’esprit de Colm fut les paroles du « Je vous salue Marie ».
Il cria autant de rage que de douleur, mais à ce même instant la symphonie atteint son crescendo et résonna de plus belle dans les couloirs, couvrant certainement son hurlement…

LaBougnette
LaBougnette
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20/11/2009
Posté le 18/02/2010 à 16:48:50 

Adossée à un mur crasseux, l’épuisement et la lassitude me submergent.  Cela faisait plus d’une semaine que j’errais dans cette cave humide, emplie de pierres tombales et de cercueils… 
* Quel carnage avait eu lieu ici ? Quelle malédiction terrible était à l’œuvre ? * 

J’avais cherché, comme le père Guillaume me l’avait indiqué, des sceaux placés par les démons, des objets maléfiques éparpillés dans cet enfer lugubre.Nous avions commis l’erreur de nous séparer, nous n’aurions pas du… 

Infesté de rats immondes et agressifs, de morts vivants, de zombies et autres ignominies, cet endroit était le dernier au monde où l’on pouvait souhaiter se trouver. Tous ces monstres m’avaient attaquée à maintes reprises, et j’étais souvent bien amochée. Les rats sont vicieux : ils vous mordent jusqu’au sang, et plus on saigne, plus ça les attire…Une espèce de soldat zombie m’avait attaquée alors que je m’approchais pour examiner l’un de ces cercueils sordides.

Le premier coup m’avait pris par surprise et m’envoyait bouler sur le cercueil qui s’ouvrit sur moi. Je vous laisse imaginer l’épouvante de se trouver nez à nez avec un cadavre… Mais, je n’eus pas le temps de m’apitoyer sur mon sort : le monstre revenait à l’attaque. 


* Son point faible ? Il est moins rapide que moi, et l’adrénaline ne doit pas appartenir à son système, il ne luttera pas pour sa vie comme je le ferai *.  

Une nouvelle esquive, je bondis. J’ai juste le temps d’attraper ma propre hache, de l’abattre, et de constater que lui couper un bras ne suffira pas… Le monstre se relève
 
* Foulà, finalement, je crois que je préfère les rats !!! *


La hache menaçante est de nouveau dans les airs.  
* Il me faut tenter le tout pour le tout : attaquer avant qu’il ne le fasse *


Un bond, un  coup, j’atterris dans son dos, un sourire aux lèvres… qui ne durera pas : le monstre se retourne, ma hache toujours plantée entre ses omoplates ! La seconde de stupeur que je m’accorde manque me couter la vie, la hache s’abat finalement, et m’atteint. Cela suffit à me donner l’idée salvatrice :  * il va falloir trancher dans le lard *.

 
J’aperçois mon sac posé à deux pas, et mon épée qui en dépasse. J’en attrape la garde, et porte l’ultime coup : celui qui décapite ce zombie et en finit de lui.

Mes jambes ne me portaient plus, je m’étais effondrée. J’essayais de reprendre mes esprits et de faire taire la douleur… Ma première pensée concrète avait été de partir, vite, et très loin :
 
* si en plus je dois me faire attaquer par un rat maintenant, je ne m’en remettrais peut être pas*
.

 
Je m’étais redressée, avisais le cercueil, et la pierre à son côté. Je m’étais souvenu alors de ma présence ici et m’étais approchée. J’avais ramassé la gargouille, l’avais fourrée dans mon sac avec mon épée, j’avais récupéré ma hache tant bien que mal, et j’étais partie en courant le plus loin possible…

Je me rappelle m’être effondrée contre un mur quelques pas plus loin, dans la même position que celle que j’occupe en cet instant :
 *
 C’est vrai, mis à par certaines rencontres particulières, cette semaine n’a pas été de tout repos… Heureusement que les vétérans nous ont rejoints, nous n’y arriverons pas sans eux…*


Aujourd’hui, je suis tombée sur plus fort que moi, et la douleur est encore plus grande, elle va me submerger… 

* C’est pas grave, quand je me réveillerai, si je me réveille, je continuerai…*
Sylar
Sylar
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06/07/2007
Posté le 19/02/2010 à 12:55:56 

L'Enfer...oui, ici c'était l'Enfer....

Un endroit dépassant l'imagination et mes pires cauchemars....


Des couloirs sombres, une chaleur étouffante, et cette odeur de mort qui planait...à la fois effrayante et ennivrante qui insitait à s'abandonner....à baisser sa garde...à abandonner...

Et ces cris, leurs échos, venant de tous côtés...des cris d'humains fuyants, perdants la raison...à juste titre...et des cris - ou plutôt des similis de hurlements - de zombies...

Je croisais parfois des tas d'ossements, voir ces non-vivants entrain de se repettre de chair....je passais silencieusement en priant pour que ce soit des restes d'animaux...et non d'humains...pour mon salut...pour garder ce fil de raison qui m'empêchait de sombrer définitivement....

Ma progression était lente, les couloirs étaient infestés de rats, et il fallait progresser lentement, rester sur le qui-vive car on pouvait tomber sur ces monstres à chaque recoin....

J'avais
croisé Amster Van Runik...ou du moins c'est ce que je cru pendant un court instant...l'homme que j'avais connu n'était plus....je sentais une lueure malsaine dans ses yeux...un regard vide mélé de convoitise...

Je compris qu'il me regardait comme du gibier...il s'approcha rapidement...pour se jetter sur moi... je n'eu pas le temps de sortir mon arme... mais au dernier moment...


*Amster zombie te gerbe sur les godasses mais te reconnais avec ce qui lui reste de volonté pour pas te bouffer* BRRAAAIINN!!.

Ce moment de lucidité m'avait surement sauver la vie...et bien que sa dernière once d'humanité allait surement disparaitre, je ne pouvais me résigner à l'abattre....

*vois qu'il te reste un peu d'humanité et sent ton désespoir*...je ne peux pas le faire, je ne peux pas abréger tes souffrances...."

Tu donnes 1 Pistolet à Amster Van Runik, Doc

Je quittais mon "ami"...Attristé mais il fallait continuer pour qu'il n'y ait pas d'autres victimes...

Mais il était peut être déjà trop tard, Le MAL était à l'oeuvre, il s'insinuait partout...

Que Dieu nous vienne en aide
מִשְׁפָּט
מִשְׁפָּט
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19/08/2006
Posté le 19/02/2010 à 18:42:35 

salement déchiqueté par lovevil, la carcasse du zombi se relevais déjà dans la caverne, il n'eut qu'a tendre la main pour ramasser au sol un bras qu'il s'emboita dans la clavicule puis se mit a sentir au sol le sang de celui qu'il avait blessé.
Anton
Anton
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Posté le 19/02/2010 à 20:57:13 

Une épidémie, des morts-vivants...
La situation sur Liberty virait au cauchemar mais heureusement, les corsaires des différentes nations décidèrent d'agir de concert. Anton était de ceux-là. Il pénétra dans cette antre, sans trop savoir où il devait aller.
Des cris se faisaient entendre, des créatures venues d'outre-tombe barraient le chemin. Cette fois-ci, il n'y avait pas d'Espagnols, de Français, d'Anglais ou de Hollandais mais uniquement des hommes et des femmes souhaitant protéger les leurs.
Des pirates étaient aussi en ces lieux, mais encore une fois, ils étaient du mauvais côté : celui de la mort et de la destruction. Anton savait donc que le pire n'était pas les zombis et autres squelettes rampants, mais des êtres faits de chair et de sang, comme lui, animés par des intentions qu'il ignorait encore.
Tant pis, ils ne se mettront pas sur sa route... Ils finiront comme ces morts-vivants... Au cimetière !
Rider
Rider
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18/11/2007
Posté le 19/02/2010 à 22:02:27 

C'est n'importe quoi ... Des amies qui s'entre dechirent

Des corps qui tombent
Et d'autres qui se relevent alors qu'ils n'ont plus de vie

Ces couloirs sombres et ensanglantés sont un labyrinthe menant a l'enfer

Mais on en verra jamais le bout

Kristal n'est pas elle meme

Sinon elle n'aurait pas agressee sa propre amie Azorif ...
Mes deux amies se sont entretuées sous mes yeux...

Je vais devoir la mettre hors d'etat de nuire...

Malgre tout l'amour et l'amitié que j'ai pour elle

Puisse Rohel comprendre mon geste .. Mais apres l'ordre 66 que j'ai declaré contre lui... la pilule va etre encore plus dure a avaler ...

Ce sera elle ou moi...

J'arme mon bras.. Et un seul d'entre nous en sortira vivant
Maiden
Maiden
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15/11/2005
Posté le 20/02/2010 à 11:04:15 

Un Grognement pétrifiant court le long des cavernes de l'Antre.

Le Zombie à trouvé ses proies à la chair fraiche. Il se déchaine sur eux avec une violence inouie se servant autant de sa lame sombre que de ses dents acérés, déchiquetant la chair des hommes envore en vie

C'est leurs hurlements que l'ont entends à present, glaçant d'avantage le sang des corsaires rodant dans les parages.

Maiden semble leur parler tout en crachant des bout de chair de sa gueule rougit par le sang des humains.


"Vous paierez et périrez pour votre audache, Hommes!" Mouahahah !!!
-1- 2  

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