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Le carnet d'Alanis 1 -2-  
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Capitaine Le Brun
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15/11/2005
Posté le 08/01/2010 à 13:38:38 

08 Janvier 1710

Les choses ne vont pas si mal.
 
Après avoir posées mes mains sur la barre du sournois et réorganisé des élections, l’équipage à finit par me suivre. Malgré la réticence de certain à voir une gamine telle que moi mener la confrérie aux combats.
 
Caratawc n’a pas l’air d’avoir encaisser et joue souvent aux abonnés absents. Zapata lui, ne cache pas sa misogynie mais suis l’équipage avec la grimace. Le retour d’Anne m’a donné à nouveaux des ailes, comme la bonne surprise de revoir Diego qui, lui aussi, avait du mal à croire qu’on ait pu me laisser prendre le tricorne du capitaine.
 
Reste la disparition de Tyler, Ching, de mon second Valiente et Qo’ai Marael. Les pirates sont libre de quitter l’équipage quand bon leur semble, aussi dur qu’ils peuvent me manquer.
 
Je commence à prendre gout au pouvoir, même si c’est surtout de responsabilité qu’il faut faire preuve. Avoir cet équipage sur cette vieille coque, n’est pas toujours de tout repos. J’attends toujours quelqu’un pour remplacer Valiente, un volontaire. Eux attendent surement que je le choisisse … Je pense souvent à Anne Providence. Je sais qu’elle serait efficace et qu’à nous deux la confrérie ferait souffrir d’avantage les colonies. Mais je redoute la réaction de l’équipage. Je n’ai pas envie de nouvelles querelles internes.
 
Mon statut de femme m’impose de mener cet équipage d’une main de fer. Peu souvent apprécié, mais c’est mieux que de me montrer faible.
 
Les Corsaires font les fiers mais je sais que nous les faisons souffrir. Chaque jour la lutte s’intensifie contre les pouvoirs coloniaux. Et le futur apportera à nouveau la guerre, le chaos et le sang. Aujourd’hui l’équipage se met en place. Dimanche sera à nouveau un jour de bataille. Et nos coffres déborderont à nouveau d’or.
 
Mes nuits ont beau être difficile, … mes cauchemars me donne la force d’avancer … Et je sais maintenant qu’il existe une porte vers l’outre-monde… Le Nécronomicon en est la clé et elle est sous bonne protection.
 
J’arrive… papa.


Alanis
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15/11/2005
Posté le 26/04/2010 à 12:30:43 

26 Avril 1710


Cette fois plus rien ne changera.
 
La confrérie m’a trahie. Je m’en rends compte chaque jour depuis mon éviction de la barre. Remplacé par ce bon a rien de Caratawc qui ose refaire ce pourquoi il me critiquait en faisant pire.
 
Je tenais en main la destinée de Liberty et nous allions enfin pouvoir peser sur la politique des colonies toute en se servant dans leurs caisses. Des mois de travail gâché par Sing et mes détracteurs, n’ayant jamais accepté d’être mené par une femme.
Sing avait il peur que j’arrive à un meilleur objectif que ce qu’il avait accomplit ? Il ne m’a jamais donné vraiment de raisons.
 
Nous aurions pu écraser la colonie Espagnol et assouvir enfin la vengeance dont ils méritent plus que tout. Je les tenais !  Un geste et ils auraient été débordé sous le poids de l’armée Française et Hollandaise. Mais le tricorne n’était déjà plus sur mon chef.
 
Pourquoi n’ai-je eu aucun soutien ? Les couards préfèrent se taire et s’en aller plutôt que de faire taire les chiens qui aboient.
 
D’ailleurs c’est que je vais faire moi-même. Imiter les Valiente, Tyler ou encore Manitas qui ne donne plus de nouvelle. Ils peuvent bien le chercher et se poser des questions. Je sais au fond de moi qu’il est déjà loin.
Laisser la confrérie à sont destin pitoyable. Ca ne sera pas le mien. J’en arrive même à comprendre certain corsaires. Les pirates de cette île ne sont que des pantins chanceux d’avoir rencontré Van buick.
 
Fort en gueule mais incapable de porter l’esprit de la piraterie.
Chacun pour soi ? Très bien, désormais je suis seule … bien seule.
 
Il me reste à trouver un nouvel équipage pour accomplir ma tache. Le temps presse désormais. Cette fois ni le Padre, ni Tyler ne me sauvera.
Alanis
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15/11/2005
Posté le 05/05/2010 à 10:52:47 

5 Mai 1710

Ca y est c’est officiel. La planche a été posée sur le pont du sournois et j’ai été invité à m’y rendre.
 
Ils n’ont pas eu besoin de m’y pousser, j’ai quitté le sournois avec un seul regret. Celui d’avoir déçu mon grand-père du destin qu’il me conviait.
 
Pendant longtemps, il m’a formé dans le seul but de mener la confrérie au pouvoir et à la richesse. C’était sans compter sur la vérole qui règne désormais à bord.
 
Caratawc se méfie de mes intentions. Il ne se doute pas qu’en me jetant hors de la confrérie, il me libère et me rapproche d’avantage de mon but.
 
Au diable la piraterie.
 
Je rassemble au fur et à mesure mon équipage. Avec la crainte pour certain de les voir sombrer dans la folie.
 
Ce labyrinthe semble faire perdre les esprits à plus d’un. Etrangement je ne panique guère devant l’obstacle. J’ai même réussit à m’en sortir sans encombre. Je veille maintenant sur Holmes, Chocoborgne et les quelques 4 lunes qui m’ont déjà invité à me joindre à eux. J’hésite à faire confiance à ma marraine. Elle est pourtant la seule avec Don Branlouz à avoir réagit face à Zapata et Caratawc.
 
Nico Miguel se trouve également dans les lieux. Il me reste à prendre des nouvelles de Valakas et trouver un sorcier et un prêtre pour les incantations.
 
Je touche enfin au but. J’avance prudemment. Je sens mes forces qui m’abandonnent chaque jour d’avantage.
Alanis
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15/11/2005
Posté le 26/05/2010 à 11:29:07 

23 Mai 1710

Le laboratoire de Sing. Encore l’ironie du destin, la première étape de la marche vers l’outre monde ce passera la bas.
 
La confrérie à de nouveau fait appel à moi. Ou plus exactement Ching et Madre Anna. Lorsqu’on se prépare à bruler Esperanza, elles savent que l’on peut compter sur moi. Peut-être une occasion pour elle d’essayer de me faire revenir ?
 
Hélas, le contraire est arrivé. Pas un signe, pas un regard, pas une seule main tendue … La confrérie est devenue étrangère. Et bizarrement je trouve cela normal. Si mon grand-père n’avait pas perdu la boule, ma famille aurait pu porter la confrérie. Mais désormais, elle aux mains de sales cabochards Espagnols.
 
D’autres personnes ont trouvé normal ce qui m’arrivent et non pas hésité à accueillir la vagabonde que je suis devenue. Comme beaucoup d’autres, certain me prennent pour folle mais sont tout de même prêt à ma suivre. Je retrouve chez eux la valeur de la famille et de l’unité.
 
Notre rendez vous c’est fait à l’ancien repaire. Valakas et l’ordre y sont logés. Je sais que ça va être difficile de les faire parler sur la façon dont ils tiennent l’ex-zombie. Je vais user de malice et de fourberie. Restera la force et l’affrontement s’il le faut. Plus rien ne me fera reculer.
 
Mes rêves sont de plus en plus intenses. Chaque nuit tu es présent et je t’entends m’appeler. Je sais que je ne suis pas folle.
Alanis
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Posté le 07/09/2010 à 18:00:50 

Lendemain du 5 septembre 1710

Il est malheureux que quand nous sentons une tempête
Nous pouvons nous rouler quand nous sommes inconfortables
où le diable nous fait pécher
Mais nous l'aimons quand nous filons dans sa poigne.

Il est malheureux que quand nous sentons une tempête
Nous pouvons nous rouler quand nous sommes inconfortables
bien le diable nous fait pécher
Mais nous l'aimons quand nous filons dans sa poigne.

L'amour ressemble à un péché mon amour
Pour celui qui le sent le plus
Regardez-la avec un sourire comme une flamme
Elle vous aimera comme une mouche ne vous aimera jamais,... de nouveau.
Alanis
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Posté le 27/06/2011 à 15:52:26 

26 Juin 1711

Une sorcière !

Sing n’avait pas tord ! Ca sonnait comme de la dérision dans sa bouche.
Mais la vérité est bien telle !
 

Comment a-t-elle osé ?! Elle n’a pas hésité à rallier sa flotte contre Pearl Cove qui m’est propriété après de longue semaine de bataille en compagnie du Boucanier.
 

Et lorsque je lui ai fais comprendre qu’il n’était plus question de voir sa flotte combattre au large de Pearl Cove, elle m’a resservis ses sempiternelles refrains moralistes en essayant de puiser une nouvelle fois dans mes sentiments, de chercher mes faiblesses. 


Sorcière ! 

Et ca ne l'a pas empêché de revenir une nouvelle fois essayer de percer la défense du nouvelle établissement Pirate.  

Je ne me ferais plus avoir. Oui je lui dois la vie et sans doute ma liberté ! Mais pas à ce prix ! Je n’ai pas quitté la confrérie pour devenir sa marionnette ! Sa catin qui servira sa soif de puissance masqué par « la cause » !

 
Les intérêts de l’Angleterre ! Sa cause … anti pirate, anti confrérie, alors qu’elle se laisse toucher par un pirate jusque dans ses draps !  Elle le manipule c’est évident. Elle à un atout dans chaque jeu !

 Sing ne l’aurait jamais toléré. Je ne l’aurais jamais toléré. D’ailleurs, la nouvelle confrérie ne le tolérera pas !

Oh père, elle nous à trahis ! Et si toi aussi, tu n’avais été que l’instrument de ses ambitions ?

Nick le Brun
Nick le Brun
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15/11/2005
Posté le 24/10/2021 à 02:54:59 

24 octobre 1721.

Alanis ...

Il a suffit qu'une invasion d'Ottoman nous réduisant en esclave pour en arriver la.

Trouver un moyen, tomber sur ce vieux carnet et avoir le temps de le lire.

Je lis sur tes lignes tous ce que tu as accomplis et entre elles ce que tu es devenue.
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