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Aux bons souvenirs  
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Sanria Fair Wind
Sanria Fair Wind
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Posté le 05/07/2018 à 18:09:42. Dernière édition le 05/07/2018 à 19:15:09 

[Suite du concours rp combat dans la taverne :
https://www.pirates-caraibes.com/fr/index.php?u_i_page=5&idmsg=1333336 ]

Si Jaba était parvenue à la retrouver ici à Liberty malgré le temps passé  la distance et son changement d'identité, Sañria Fair Wind craignait pour sa liberté. 
Elle même avait eu du mal à reconnaître son ami d'enfance. Il avait vieilli. Comme elle après tout. 

Les informations transmise par Jaba avaient confirmé ses craintes. Celui qu'elle devait épouser, Señor José Elviejo, il y a des années, la recherchait.
Sa belle mère ayant passé l'arme à gauche et étant la seule héritière, Sañria se retrouvait à la tête d'un petit pactole, aussi bien financier qu'immobilier et commercial... Une belle prime était promise à celui qui la ramènerai au logis du vieil éconduit. Vieil éconduit oui car le señor avait déjà passé la cinquantaine quand la jeune Catarina (son vrai patronyme) n'en avait que 15.

Jaba se moquait des histoires d'argents mais il savait que si elle remettait les pieds en Espagne, le demoiselle serait vite mariée et aurait certainement un accident malheureux qui permettrai à Elviejo d'hériter de sa jeune épouse et de récupérer énormément de fond qui le sauverai de sa banqueroute personnelle.
Il avait bien essayer de séduire la belle mère de Sañria mais la vieille l'avait vu venir. 
Jaba avait un plan pour assurer la tranquillité de la jeune femme : prétendre sa mort et ramener la bague de fiançailles ou le came serti de pierres précieuse qu'elle portait au cou comme preuve de son décès  mais il avait accepter la requête de la jeune femme de lui laisser quelques jours pour réfléchir à toutes les options. 

Sañria avait vendu la bague des sa première nuit de cavale contre un peu de nourriture et quelques pièces  Soyons honnêtes, un petit trésor de pièces dont le reste dormais sur son compte de guilde. 
Ne lui restait que le camé, qu'elle avait hérité à la mort de sa mère véritable. 

Elle arpentait sa chambre en se demandant que faire depuis la veille au soir, se demandant que faire. 

- Rentrer d'elle même en Espagne pour réclamer l'héritage ? Reprendre sa vie de rentière, à l'abri des soucis ? Gérer le commerce qu'avait fait fluctuer sa belle mère pendant son absence ? Mais le vieux Elviejo allait sûrement réclamer la main promise ce qui n'augurait rien de joyeux pour sa santé future. 
Sans compter qu'une jeune femme comme elle, à la tête de cette fortune allait attirer tous les prétendants du pays. Adieu la liberté, la tranquillité et la vie d'aventures. Non ce n'était pas pour elle. 

Rentrer en Espagne et tout revendre ? Cette rentrée d'argent serait la bienvenue. Elle pourrait ouvrir ici un labo pour reprendre les recherches entreprises avec son père à l'époque. L'église n'avait aucun pouvoir sur Liberty. Et le retour à la maison permettrait de récupérer les carnets de notes qu'elle avait noirci avec son père. 
Elle pourrait aussi soutenir financièrement les recherche des CUL.
Mais revendre prendrait trop de temps et elle était recherché, c'était prendre beaucoup de risques. 

Prétendre à sa mort et perdre le seul souvenir qu'il lui restait de sa mère et de son père ? Seul point d'ancrage qui l'avait retenu du pire après la disparition de son frère ?

Non, rien ne vas, je ne sais plus. Je ne sais pas ... 

Elle devait être conseillé mais Yulia avait quitté l'île depuis un bon moment. Et Sañria savait qu'elle ne reviendrait pas.
D'un coup, elle pris sa veste, et sorti de sa chambre. Qui mieux que son ami d'enfance, venue expressément d'Espagne et qui la connaissait par cœur pourrait la conseiller. Elle devait le retrouver. 

Ou es tu Jaba ? murmurait-elle, fonçant tête baissé dans l'escalier.

Elle croisa des membres de sa guilde qui la salua mais elle ne les vit pas. Elle passe comme un automate pressé devant eux, sans même un signe de la main. Ils la regardèrent, surpris.
Sanria Fair Wind
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Posté le 09/07/2018 à 22:22:37. Dernière édition le 09/07/2018 à 22:38:24 

[1ère semaine]

J'avais cherché Jaba dans toute la cité sans succès.

- Voila qui s'annonce ardu, je n'ai plus qu'à fouiller l'île

Je poussais un soupire face à l'ampleur de ma quête et sorti d'Esperanza. Je commençais par les abords de la ville et me dirigeais vers le Nord.
A peine sorti, 2 guerriers me sautèrent dessus. J'arrivais à m'en débarrasser sans trop de mal. 
Le lendemain, un aventurier gouta lui aussi au piquant de Red Lagoon, mon coutelas favori.
Idiote comme j'étais, ce n'est qu'à ce moment là que je me rendis compte que ma gourde était vide et que j'avais pris la route avec peu de vivres.
Je dus chasser pour me sustenter. La faune de Liberty étant luxuriante, je trouva rapidement un petit sanglier dont je fis cuire la totalité de la viande afin de la conserver un maximum de temps. Diverses ruisseaux et lac me permettraient de remplir ma gourde.
Les journées et les nuits s'enchainaient et se ressemblaient. Je tuais les animaux au fur et à mesures qu'ils se présentaient. J'avais maintenant de la viande de crocodile et de tortue en plus de mon sanglier pour varier les plats. Et toujours aucune traces de Jaba.
Le réveil au 8ème jour fut moins agréable : mon camp avait été entièrement retourné pendant mon sommeil. Je fis le compte de ce qu'il me manquait, une bonne partie de mon garde manger et quelques bourses disséminées dans mon paquetage. Je trouvais aussi un mot

message


- Vie ?  ha oui…. vive…. Même les bandits deviennent moins lettrés…. 
Il me reste des vivres pour la journée, il va falloir retourner à la chasse… pfff…. comme si je n'avais que ça à faire….

Je ne vis aucun animal ce jour là, ni ennemis ou ami. J'étais perdu dans les profondeurs de l'île. Je décidais de garder mon dernier morceau de viande pour le lendemain matin et préparais mon camp pour la nuit. Je mis les objets de valeurs sous ma couche et disposais diverses objets de manières éparses afin de me faire une sorte d'alarme au cas ou un importun tenterai de s'approcher pendant la nuit.

Mon instinct ne m'avait pas trompé, en pleine nuit un bruit de tous les diables me réveilla et je saisi par réflexe Red Lagoon. Je me retrouvai devant un maraudeur, (peut-être le même que celui de la veille qui m'avait suivi à distance ?) étalé a quelques pas des braises. Je réussi à le faire fuir sans mal.
Ma maladresse me rattrapa à ce moment-là car je m'étalais moi-même à cause d'un de mes propres "pièges" et ma cheville vrilla.

- Bordel !!! 


Je bandais ma cheville douloureuse, pris une lampée de rhum et repris ma nuit.
Demain, il fera jour.
Sanria Fair Wind
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Posté le 11/08/2018 à 17:49:14 

Le réveil fut douloureux. Ma cheville était plus fragilisée que je ne l'avais cru. Je du rester immobile pendant plusieurs jours. Et mes réserves déjà amoindries ne me rassurait guère. En observant un rationnement sévère, je pu me nourrir un minimum le temps que ma cheville accepte de me porter. 
Dès que je le pu, je châssis pour refaire mon garde-manger remplir mes gourdes. Les sources ne manquaient pas.

Un matin, je remarquais un point noir dans le ciel de Liberty. Je visais et m'apprêtais à tirer quand je reconna'u un corbeau du C. U. L. .. Un message ?

Dame Fair Wind, Jaba attends vous à la taverne du C.U.L... Jaba avoir solution pour vous. 

Je peux toujours le chercher à travers l'île ce drôle, il est en ville.
J'étais à 3 jours d'Esperanza. La route me paru néanmoins assez courte et je retrouvais Jaba, endimanché comme à l'accoutumé. Je saluais mes camarades en passant et le rejoignit à la table qu'il avait choisi.

-Dame Viento, faisant la révérence  
-Jaba, redresse toi. J'ai laissé les codes en quittant l'Espagne. Et ici c'est Sanria Fair wind. 
Tsss tsss, Jaba toujours faire révérence devant dame. 
- Oui mais fait l'effort pour moi s'il te plaît. 
Bien dame Fair Wind, réponse ponctuée par un clin d'oeil. 
 Je ne pus m'empêcher de sourire devant son air amusé.
Nous avions commandés 2 pintes et nous bavardions bon train. 


- Cette île, Liberty, très jolie. Oui. Et intéressante. Et camarades à vous très ... spécial... Oui. Comme homme habillé en dame, ministre  Coutume de île ? 
- Ha ha ha, Jaba, tu as rencontré Don Jef ? Non. La fonction de ministre n'oblige pas au port de le robe et du corset. Don Jef porte des robes car c'est... sa personnalité ? On peut dire cela comme ça . 
- Jaba comprendre. Don Jef ? Homme très intéressant. 
- Oui et très charmant. Sommes nous ici pour parler de lui ? 
- Non, dame Fair Wind, non. Jaba profiter quelques jours de ville et île et peut être trouver solution pour vous. 

Il leva une main, me demandant d'attendre et fouillait énergiquement ses multiples poches, d'où il sorti une pochette en lin qu'il me tendit.
Son regard m'invitait à l'ouvrir et quand je vis ce qu'il cachait je portais d'instinct la main à mon cou :
Une copie presque parfaite de mon camé se trouvait entre mes doigts 

- Jaba ! Quoi ? Comment ? Ma voix partait dans les aiguë par la surprise.
Señor Elviejo vouloir bague ou came à vous comme preuve disparition.. Bague impossible et came, moi pas vouloir voler vous bijoux de maman. Donc copie de came. Moi souvenir tous détails.

En effet, les 2 saphirs, les émeraudes, le blason noir et bleu. Tout y était. J'admirais le bijou à la lueur d'une bougie pendant que Jaba m'expliquait que les pierres n'était que du verre teinté et que le métal n'était que de l'or de piètre qualité. Quand j'indiquais que ces différences réveilleront les doutes du vieux Elviejo, il se mit à rire bruyamment. 

- Lui presque aveugle et bijou récupéré sur dépouille vous après beaucoup mois en mer. Mer impitoyable pour Dame Viento. Et argent de Señor Elviejo pour payer faux bijou...

J'accompagnait Jaba dans son hilarité, celui qui avait payé pour me retrouver avait payé à son insu ma liberté. Mais je m'arretai net.

- Il revendra le bijou pour l'argent,  il saura que c'est une babiole et il se vengera sur toi.
-Dame Fair Wind pas avoir peur, Jaba donner bijou, récupérer récompense et Jaba quitter Espagne. Liberty île très jolie, très intéressante et avoir retrouvé amie ici. Jaba revenir. 

J'essuyais une larme devant la décision de mon ami. 

- Jaba, avant de revenir, pourra tu me rendre un dernier service ? Mais reste prudent.

Jaba redevenu sérieux se pencha vers moi et je lu dans son regard que quelle que soit ma demande, elle serait exaucée. 
Sanria Fair Wind
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Posté le 26/09/2018 à 18:22:22 

Je savais que Jaba avait pris la mer pour retourner en Espagne pendant ma ballade avec les CUL au temple maya et j'attendais des nouvelles nerveusement. 
Une lettre me parvins peu après le mariage de Minen et Matéo.

                        _______________________________________________
le 13/09/1718


Dame Fair Wind,


Jaba bien arrivé depuis demi lune. Moi avoir donné bijou a Elviejo. Comme moi avoir dit, lui ne pas voir la différence. Moi avoir maintenant petit pactole dans poche. Lui pas encore vendu bijou. 

Comme vous demandez Jaba, Jaba récupérer les notes de papa à vous et vous. 
Jaba remplir plusieurs caisses et avoir mis caisses en sécurité chez Jaba.
Moi attendre vente bien privée de Famille Viento, moi avoir pensé que certains objets pouvoir intéresser vous. Vente avoir lieu le 15.

Jaba envoyer vous message après vente pour dire vous quand moi venir rejoindre vous a Liberty.

Moi saluer vous bien bas.

Ami à vous,
Jaba

                     ______________________________________________

Jaba était encore sauf, Elviejo était plus sénile que dans mes souvenirs. Tant mieux pour lui, mais je ne serais entièrement rassuré que quand Jaba aura poser le pied sur l'île. 
Je décidais d'attendre le prochain message de Jaba pour parler de mes projets à Don Jef et aux responsables du labo du CUL.
Sanria Fair Wind
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Posté le 13/04/2020 à 00:13:31. Dernière édition le 13/04/2020 à 00:15:16 

J'avais quitté la ville. Longtemps. 

La lettre tant attendu de mon ami Jaba n’était jamais arrivée. Puis un courrier, auquel je n'avais rien compris avant d'y retrouver le codage des résistants de ma ville natale.

Jaba était prisonnier, il était accusé de trahison. Il aurait un procès.... Un ersatz de procès, tout le monde savait quel était le sort des esclaves affranchi chez moi. La résistance avait prévu une opération pour le faire évader.
Mon intention avait été de prendre un bateau pour rentrer en Espagne avant qu'il soit trop tard, je devais aider Jaba. J’envoyais une lettre en retour à mon contact dans la résistance dans laquelle je confiais mes projets et leur demandait de me faire parvenir autant de nouvelles que possible d’ici mon arrivée.
J'avais confié mes maigres possessions au ministre, laisser des instructions pour faire parvenir certaines pièces à mes compatriotes sur l'ile et je m'étais mis en quête d'un navire. J'avais rodé plusieurs semaines au port d'Esperanza, demandant aux différents capitaines si l'un d'eux faisait route vers l'Espagne. Je n'eu que des réponses négatives. Je savais le temps compté et la succession de jours ne faisait que croitre mon angoisse.

Les semaines, les mois sans possibilités de départ s’étaient succédés. J’avais reçu une nouvelle missive : un rapport détaillé du procès, qui tenait en quelques lignes et un récit de la suite des événements. Comme je l’avais redouté, le procès n’en avait pas était un. Jaba n’avait eu aucune chance de se défendre. A peine installé, il avait été jugé coupable et la sentence, prononcée.
La résistance avait essayé de sauver Jaba le soir même. Ils avaient repéré depuis longtemps sa cellule et avait mise en place plusieurs équipes : une pour divertir les gardiens et une pour l’extraction, mais rien ne s’était passé comme prévu.
La diversion avait très bien fonctionné mais quand ils étaient arrivés au niveau de la cellule de Jaba, ils la trouvèrent vide. Ayant un peu de temps disponible, ils le cherchèrent dans les cellules avoisinantes mais sans succès. Un prisonnier leur indiqua que Jaba n’avait pas réintégré sa cellule depuis son départ pour le procès au matin. Ils envoyèrent les 2 membres les plus agiles et les plus discrets en exploration pour repérer Jaba dans l’enceinte de la prison. Le reste de l’équipe se rendait au point de rendez vous pour quitter les lieux. Un seul des deux était revenu. Ils avaient retrouvé Jaba, pendu, et les gardiens les avaient surpris pendant qu’ils décrochaient sa dépouille. Ils avaient fui mais son ami était tombé sous les coups de fusil d’un gardien pendant la fuite.

La suite du courrier m’informa que tous les biens présents dans la maison de Jaba avait été saisi lors de son arrestation, même les livres de mon père. Cela m’était égal. Mon ami n’était plus...
J’avais à ce moment fait le compte des disparus qui m’entourait depuis quelques semaines. Yulia était partie. Féantir avait disparu dans sa mine. Don Jef et Riquel avait péri dans un accident des plus spectaculaires. La guilde vivait des moments difficiles. Moi aussi.

Désolée les copains, je me casse.

J’avais pris mon sac et j’avais quitté la ville, direction l’ile. Peut-être pour y retrouver la sérénité qui me faisait défaut. J’avais parcouru l’ile dans tous les sens, sans vraiment faire attention ou j’allais, ni qui je croisais. Après plusieurs mois, mes pas m’avaient ramené a Esperanza et j’apprenais au fil des jours quels changements il y avait eu. L’Amiral était maintenant le chef de guilde. Bien. Allons voir l’Amiral.  
Sanria Fair Wind
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Posté le 18/08/2020 à 20:29:41. Dernière édition le 18/08/2020 à 20:33:15 

J'avais repris contact avec mes amis mais j'avais besoin de plus de temps. Mes contacts en Espagne m'avaient envoyé plusieurs missives, faisant croître mon angoisse au fil des pages qui défilaient. Tout s'écroulait. 

Mon vieux prétendant avait passé l'arme à gauche, un de ses neveux, un certain Pablo, avait hérité et il avait découvert que je n'étais pas morte comme l'avait reporté Jaba. Voilà donc la source qui avait déclaré Jaba comme traître et l'avait emmené à la corde. Ce Pablo avait dans l'idée de me retrouver : certes je n'avais plus aucun biens mais j'étais une jeune femme qui avait été promise à son oncle et comme le mariage n'avait pas eu lieu, il espérait, lui, me mettre la patte dessus et me forcer à honorer l'accord décidé par ma marâtre. Des espions à sa botte étaient à Esperanza, aucune identité n'avait fuité mais ils étaient là et renseigner les hommes de Pablo. Je m'étais de nouveau enfoncé dans le tréfond de l'île.

J'avais croisé des amis sur la route, cela fait toujours plaisir de voir des têtes amicales au détour d'un bosquet d'arbre. Après avoir échanger avec eux, une solution semblait se profiler. Demander à une autre nation de m'accepter dans ses rangs, quitte à changer de nom (encore une fois), changer de tête aussi au maximum. Si notre chirurgien avait encore été de ce monde, il aurait pu me faire ça rapidement et joliment. Je ne sais pas si j'allais trouver quelqu'un d'aussi compétent parmi les membres de la nation vers laquelle je me dirigeais.
Je croise les doigts....
Nouvelle table rase, je vais devoir enterrer mon passé à nouveau, comme à mon arrivée. Et prier....
 

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