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Un simple pillage, vraiment ? [RP ouvert]  
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le meuble
le meuble
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29/06/2009
Posté le 30/07/2011 à 12:23:32 

[Intro HRP :
Un post RP, pour que chacun puisse exprimer le ressenti de son personnage vis à vis du pillage des français.
Les trois parties sont invitées à se prononcer (pilleurs, pillés, absents qui même du fond de leur donjon ont du entendre le raffut).
C'est aussi l'occasion de faire des paris sur la suite des évènements !
Ne prenez pas spécialement en compte de ce qui a été dit avant vous, pas besoin de liens entre les posts !]


Bureau de la justice espagnole, le lendemain du pillage

Le meuble rangeait les codes, les recueils de jurisprudence et les minutes des derniers procès.
Les pilleurs n'y étaient pas allé de main morte.


Caramba !
Quel bordel !
Pourquoi ont-ils donc eu besoin de tout retourner ici ?
Notre or ne leur suffisait pas, il fallait en plus qu'ils agissent comme les pires scélérats ?

Le justicar s'arrêta de ranger.
L'état du bureau qu'il occupait n'était qu'une infime part de ses ressentiments.
Il n'arrivait même pas à se calmer en occupant ses mains.


Nous piller !
Avec la complicité de ces foutus pirates !
Sont-ils donc devenus fous ?
Moi qui espérait que la diplomatie pourrait...

Le meuble se souvint de l'échange épistolaire qu'il avait eu récemment avec l'un de ses homologues français.

Ma lettre était pourtant claire, nous ne comprenions pas, nous avions besoins d'explications, nous aurions pu secourir les français s'ils en avaient exprimés le besoin.
Monsieur de Linciel ne semblait pourtant pas fou.
Des débuts d'explications rationnelles commençaient à sortir.
Les français auraient agis dans le bien des colonies, même si le temps leur avait manqué pour le faire comprendre à tous.

MENSONGES !

Le justicar repensa aux jours précédents le pillage.

Quand je pense que même notre très cher El Duque s'est déplacé en personne jusqu'à Port-Louis.
Lui, un diplomate aguerri, bien au delà de tout intérêt personnel.
Ces satanés français lui ont sortis parmi les discours les plus veules que Liberty ait connu.
Lui qui prônait la médiation au nom du peuple espagnol, lui aussi a été abusé.

IMMONDES POURCEAUX !

Le meuble enrageait.
Il avait vu les corps de ses amis à l'hôpital.
Bien sur pour lui c'était toujours plus facile, un petit tour chez l'ébéniste lui suffisait.
Pour ses compagnons...
Certains étaient gravement touchés.
Rien ne permettait d'affirmer que tous s'en sortiraient.

Ce que les pilleurs ignoraient, c'est qu'en ne le brûlant pas, ils ne l'avaient pas tout à fait abattus.
Il était certes très mal en point sur le champ de bataille qu'était devenu Espéranza.
Mais il avait pu les écouter, entendre leurs rires gras et leurs médisances, une fois leur forfait accomplis.


Quand je pense qu'ils parlaient d'équilibre.
"Remettre les compteurs à zéro", qu'ils disaient.
Comme si refuser notre aide, refuser la négociation et s'allier une fois de plus aux pirates, c'était "remettre les compteurs à zéro" !

Tout ce qu'ils ont fait, c'est franchir dans la joie et la bonne humeur le dernier pas qui les séparait du gouffre.
Tous les regards étaient braqués sur eux, depuis leur folle expédition main dans la main avec les pirates.
Si nous avions des doutes, si nous pensions que les français avaient peut-être de bonnes raisons, même s'ils refusaient de nous les communiquer...
Maintenant c'est fini, aucun doute ne subsiste.

Port-Louis est ravagée par la gangrène.
La peste et le choléra ont élus domicile en leurs murs !
Ils ont accueillis à bras ouvert la vermine et l'ont faite leur.

RACLURES !


Mais si le justicar avait pu entendre certaines paroles françaises, il avait aussi entendu certains murmures...
Murmures émis par des voix aux accents qui ne trompaient personne.
Les pirates...


Stupides français, par cette action retentissante, ils se sont mis l'Espagne à dos.
Et qui sait, quand la nouvelle aura atteint les autres colonies, ce que celles-ci décideront...
Mais surtout, surtout...
Ces fous ont grillés le service que les pirates leurs devaient...

Le meuble eu un léger sourire un rien sournois... quel vilain mot, décidemment !

Les imbéciles, plus personne n'entendra leurs pleurs, désormais !


Le justicar regarda autour de lui, soupira un coup.
Non, le bureau n'allait pas se ranger tout seul...
Liza Rojas Martinez Y Feliz Delaluz
Liza Rojas Martinez Y Feliz Delaluz
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18/07/2011
Posté le 30/07/2011 à 13:21:33 

Liza s’était réveillée ce matin à l’hôpital d’Esperenza.
Elle avait été grièvement blessé à deux reprises à en juger par les bandages. 

Par chance, les médecins avaient pris soin de la soigner rapidement et elle se sentait redevable à eux de leurs soins attentifs et rassurer de savoir que certains sont là pour réparer les dégâts.

« Ainsi la diplomatie a échoué »


 
Elle était peu au fait des affaires politiques. A peine commençait-elle à prendre part à la vie de la ville en tant qu’adulte. Néanmoins elle avait compris que la voix qui avait été choisie était celle de la vengeance et de la violence. 

Que s’était-il donc passé ? 
Elle se souvint d’être allée voir le gouverneur, qui a toujours besoin de gens pour effectuer des petites missions et rendre à la ville de petits services. Puis d’être allée flâner en ville.

La déduction qui s’imposa à elle lui parut effrayante :

 
« Donc ils n’hésitent même plus à s’attaquer à des civils.»

Sa tête lui faisait mal et les mouvements lui paraissaient douloureux.

« Peut être que je devrais laisser maman me prodiguer des soins complémentaires ces prochains jours. Autant de temps de perdu pour mon apprentissage. » Pensa-t-elle tristement.

 
C’est avec difficulté qu’elle s’habilla et demanda à sortir de l’hôpital après avoir exprimer sa gratitude à l’équipe médicale.

« Vous devriez vous reposer encore un peu petite, vous n’avez pas l’air si bien en point même si vous avez officiellement le droit de faire comme bon vous semble»
« Je vous remercie mais je me sens déjà mieux »
« z’etes sure ? On a le meilleur intérêt du patient à cœur et moi je vous dis que vous me paraissez pas tout à fait rétablie »
« Je le sais bien et je vous remercie mais j’ai la chance de pouvoir etre sous bonne garde et de pouvoir disposer de soins à domicile »
« Très bien, vous pouvez y aller »
« En espérant vous revoir ans e meilleures circonstances. »

La sortie. La ville. Esperanza. Sa ville. Ravagée. Cette vision affreuse. Des blessés, partout…


Il lui fallut un temps pour concilier ses idées.

 Elle prit alors  le chemin qui la ramènerait chez elle. En chemin des livres gisant au sols, des blessés rentrant clopin clopant,  des groupe qui se formait et jurait contre les pilleurs :
 « Peste soit de cette racaille française. Comment ont-ils osés , ces lâches ! Et avec des pirates en plus, ils ont touchés le fond » disaient certains.
D’autres se préparaient déjà à une sauvage riposte : « ils verront bien maintenant que les pirates ne leurs sont plus redevables ! »


Puisque ses blessures la forçaient à trainer le pas, Liza laissait aussi trainer ses oreilles. Cela rendait le trajet moins ennuyeux.


Elle repensa à la devise d’Esperanza : « L’Espagne n’oublie pas » … qu’allait-il donc advenir ensuite ?
Sanada, mousquetaire du Roy
Sanada, mousquetaire du Roy
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13/06/2010
Posté le 30/07/2011 à 13:45:03 

Au Ministère, les jeunes avaient enfin le sourire, une vraie paie, des mois, presqu'une année qu'ils attendaient ça. Tout avait été si vite, Sanada se remémorait ce dernier mois en parlant à lui-même.

D'abord Sing et Ching qui se révélaient avant les élections. Dire que je les avaient accueilli sans savoir...quelle honte pour le Ministère...en même temps, ils avaient été plus actifs que tous leurs détracteurs en défense, et cela faisait des mois que les pirates n'avaient pas fait de véritables actions contre la France.
Dieu et ma mère m'ont appris à ne pas juger trop vite et à savoir écouter, nous les avons donc écouter...

LUI, une menace pour les bandeaux noirs, mais pour toute l'île aussi. Une Expédition amenant gloire et fortune, et en échange une aide des pirates contre nos ennemis. Mais pour cela il fallait donner à Sing le gouvernement et à Ching le commandement des troupes?
Fichtre non, la France n'est pas ainsi, je jetai les deux pirates hors du Ministère et me proposait en Général contre Ching.

De nombreuses voix s'exprimèrent, le Lys, trop fier, trop absent, choisit la résistance. Les autres hésitaient: pas une paye digne de ce nom depuis des mois, des Espagnols arrogants menés par un Boris de Stael inbuvable, et toujours si peu de français pour reprendre notre tour. Il fallait autre chose, une aventure pour unir un groupe de français.

Sing et Ching furent élus... Nous n'en restions pas là, enquêtes sur enquêtes, corsaires prêts à les assassiner, le moindre faux pas les conduisaient à leur mort. Mais diable ils furent de parole: comme promis, ils ne touchèrent à aucune loi, aucune institution et accordèrent pleine confiance au peuple français, ils nous laissèrent le choix de qui accueillir pour nous aider contre LUI...je fus surpris, et j'appris à respecter ces anciens ennemis.
Ching se montra présente comme peu de Général ces derniers mois, tentant de mobiliser les troupes pour Louis-le-Grand, en vain...tant pis, nous partîmes sur Maracaibo.

Là encore, la pirate m'étonna, elle motiva tous les français embarqués, attribuant rôle à chacun, jeune comme ancien et les valorisant dans leurs actions.
Nous trouvâmes quelques trésors bienvenus après ces mois de disette...
Et nous découvrîmes LUI...jamais je ne vis homme plus fort, était-ce d'ailleurs encore un homme? Il confirma être prêt à se ruer sur Liberty, nous ne pouvions plus douter de Sing...

Dans le même temps, nous entendions toujours certains espagnols venir vomir leur fiel à notre porte, nous condamnant d'amitié avec les pirates...pauvres ibères, l'amitié est une chose qui dure, comme une alliance...un accord de non-agression n'était en rien une amitié...ah si vous aviez pu LE voir, L'entendre, et L'affronter, vous auriez su que nous avions fait le bon choix...

Mais non, vous avez choisi la honte en pillant notre ville vide...quelques mousquetaires levés à la va-vite tentèrent des choses, mais les corsaires "résistants" n'étaient pas là, étouffés par leur volonté de désaccord avec Sing et préfèrant abandonner leur ville...Mon dieu, j'en ai eu des capitaines, des gouverneurs qui ne me convenaient pas mais jamais, je n'ai failli à mon devoir...

Sur Maracaibo, l'entente vacillait chaque jour, vols entre pirates et français, petites agressions, insultes, je dû défendre mon Ministre face à Esther, Leon se fit renvoyer à Port-Louis, la tension montait chaque jour...alliance qu'ils pensaient les espagnols...vraiment trop prompts à juger sans y être...

Puis LUI est mort, le retour s'annonçait. Nous avions sauvé Liberty, quoique les autres nations en dirait.
Cependant la rage de retrouver une ville pillée, une tour toujours bafouée et les insultes répétées de Boris et sa clique avait nourri notre rancoeur. Le capitaine du navire qui nous avait amené proposa de nous débarquer aux larges d'Esperanza, nous tenions une occasion de nous venger.

Nous fîmes l'état des troupes françaises, une bonne quinzaine de disponible. Malheureusement plus de la moitié était des jeunes ou des non-combattants, commerçants ou médecins... Et nous devions prendre la ville la mieux tenue de Liberty, les espagnols nous attendant sûrement derrière des barricades leurs beaux mousquets dorés prêts à faire si facilement mouche...
Il fallait être réalistes, c'était perdu d'avance...

Ching était plus confiante que moi, elle fit jouer le service qui nous était dû par les pirates. Ils passeraient devant, c'était décidé, après ça nous serions quittes et serions de nouveau ennemis... Je savais que les espagnols voyant cela d'un oeil extérieur, n'ayant pas pu affronter lui, y verraient une nouvelle déchéance de notre part...mais ils étaient dans l'erreur depuis le début et ne voulaient rien entendre. Camello avait bien tenté de parlementer mais au final son avis borné sur ma guilde sans rien en connaître de ce qu'il s'y était passé, m'avait convaincu. Grâce ou à cause de lui, j'engageais le Ministère sans remords.

Le bateau était amarré, un peu plus loin que le jardin des amoureux, les espagnols pouvaient débarquer à chaque instant, la tension entre pirates était toujours présente, Dandark prit dans sa garde plusieurs pirates, Wiggins s'attaqua à moi... Chacun était pressé d'en finir avec ce marché contre nature....

Puis l'assaut débuta, Ching avaient laissé le commandement des troupes françaises à Eva et moi, nous avions placé les plus solides sur les points exposés, et tous les jeunes sur les points éloignés, nous savions que c'était notre point faible mais nous étions déjà réduit à 13 ou 14... Tous les autres reçurent l'ordre de charger le carré de défense espagnole.

A mesure que je courais vers Espéranza, je recevais les décomptes des pertes, les pirates ne faisaient pas grande impression, jusqu'à l'arrivée de Manitas et Barbe Noire, la donne changea... J'entrai, et fondai seul sur la défense espagnole par le côté Sud, rapidement je me dégageais de l'un d'eux, résistais à Quichotte et Ark'eyst, puis...Gleam aligna son canon vers moi et fit mouche d'une balle...Je me souviendrais toujours de son regard déterminé...bravo, belle défense, il est regrettable de parfois combattre les corsaires d'honneur, mais la vie ne nous offre pas tous les choix...

Je fus évacué et continuai de consulter les rapports, plusieurs jeunes étaient en danger, des espganols s'attaquaient à eux, plus que 13 français, non 12 un des jeunes s'est perdu au jardin des amoureux... Et ça passe...Dieu je respire....Les espagnols ne sauront sûrement jamais à quel point ils étaient proches de réussir...

Nous voilà de nouveaux seuls, avec toujours qu'une petite bande de jeunes et de motivés pour constituer l'armée française, plus d'accord avec les pirates qui au passage nous rackettent et nous trahissent le soir-même...maudit DBsman...
Les espagnols ont encore les trois avant-postes, la force offensive et la bêtise de nous croire pirates...ils ne comprendront jamais... Le sang coulera, chacun croyant défendre son honneur, mais tous l'ont perdu depuis longtemps...Alejo avait raison...

Pedro de Camello
Pedro de Camello
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Posté le 30/07/2011 à 15:13:46 

L'or, voici la mal qui ronge la France. Avare. Cupide. Toujours plus !

Le Duque en apprenant le pillage de SA cité pensa directement à cela. L'or pouvait provoquer des folies et le peuple français avait réalisé un acte de démence. La ville de Port-Louis s'était alliée aux cruels Bandeaux Noirs.

D'après les échos qu'il avait eu, les pirates avaient dévastés les garnisons ibériques avant de laisser aux français la " Chance " de piller la cité du Soleil.

Toute une nation corrompue pour l'or. L'or d'une nation !
Les tensions Franco-Espagnoles étaient à leur apogées mais pas vraiment provoqué par l'or. Plus par l'alliance.

Le peuple français n'était plus digne d'être appelé comme tel. Il méritait bien plus l'appellation de peuple Franco-Pirate.
Mona la Poisse
Mona la Poisse
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Posté le 31/07/2011 à 19:31:30 

Tout était déjà écrit dans les livres d'Histoire, pas besoin d'y revenir. La version était différente selon si si vos bambins avaient leurs fesses posées sur les bancs de l'école de Port-Louis ou d'Esperanza. Mais pourtant un détail manquait toujours, quelle que soit la version.

Mona était partie jupes retroussées jusqu'aux hanches, les pieds nus, à travers Esperanza, courrant vers une défaite évidente, mais dont elle se moquait éperdument. Qu'ils vident leurs chargeurs sur elle, pour que ses frangins puissent avancer, c'était tout ce qui comptait. Elle courut jusqu'à un mur impressionnant d'ibères armés jusqu'aux dents, et épuisée mais souriant à la mort, elle essuya assez de plomb dans la couenne pour réaliser le projet mégalomaniaque de Prodigy -une statue de 15m de haut à son effigie- et c'est peu dire.

Elle rampa vers les quais, pour se cacher derrière de vieilles caisses en bois, pendant que la bataille faisait rage. Elle vit Barbe Noire et Manitas s'en donner à coeur-joie, et ne regretta pas les énormes glaviots de sang qu'elle crachait à présent.

Ce qu'elle vit par la suite par contre -oui, ouvrez bien vos oreilles- la laissa sans voix. Alors que la cloche de l'église d'Esperanza allait sonner ses onze coups, elle vit Dudu se baisser pour refaire ses lacets, et malencontreusement glisser. Paf ! Comme c'est ballot, elle venait de perdre sa position, pourtant stratégique. Par chance, les Français, dans le chaos de leur soit-disant organisation, avait eu le temps d'occuper toute la ville, et la tentative de sabotage de Dudu fut vaine.

La France avait vaincu. Ils dansaient, chantaient, et se pochetronaient la cerise, avec cette traîtresse à leur côté. Et Mona s'y connaissait question trahison. Elle aurait applaudit chaudement s'il s'était agit de quelqu'un d'autre, sûrement. Mais Dudu ! Dulcina la sainte ! Elle se mit à hurler, alors que ses frangins la transportaient dans un brancard.

"Echarpez-la !!! Jetez-lui des cailloux ! Brûlez la vive ! A bûcher, la sorcière !!!!! Mais qu'on la jette à la flotte ! La plannnnnnnnnche !!!!!! "

Mona fulminait, mais les Français continuaient à danser. Seuls Sara et Kurota posèrent leurs chopines un instant, et ouvrirent de grands yeux horrifiés. Sara se fit un devoir quasi patriotique de dépouiller la truie anglaise aux couleurs de la France, et fut atterrée de ne pouvoir en faire plus. Mona aimait bien cette petite bohémienne. Elle s'intéressait aux tripes de poulet, et c'est si rare de nos jours. Y a des traditions qui se perdent, vous savez... Mona se fit donc un devoir de convaincre Kurota, et utilisa une technique ancestrale de vieille hystérique, en le harcelant de ses supplications meurtrières. Et il céda.

Elle put enfin s'endormir du sommeil des justes.
IL était défait, Esperanza saccagée, et Dudu lapidée. La messe était dite.
Anton
Anton
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21/11/2005
Posté le 02/08/2011 à 15:29:48 

Anton était dans sa villa, une belle propriété obtenue grâce au pillage du repaire des pirates. Il avait aménagé un laboratoire en sous-sol et travaillait sur une invention de son cru.

Il avait bien quelques nouvelles lui venant de Liberty, l'expédition des Français avec l'alliance avec les pirates mais il ne s'en préoccupait guère : son esprit était ailleurs... Cette invention, mais aussi, elle...

Ses rares rapports humains étaient dans cette correspondance qu'il entretenait et qui lui apportait son rayon de soleil quotidien, mais aussi pas mal de soucis.

Il terminait le réglage de son prototype quand la nouvelle tomba : les Français venaient de mettre Esperanza à feu et à sang, aux côtés des pirates et d'une clique de mercenaires. Ils étaient en outre gouvernés par des pirates. Les citoyens d'Esperanza appelaient à la vengeance et Anton admira sa création : son fidèle pistolet à la crosse de nacre venait de subir une modification considérable.

Il se décida d'aller l'essayer...
 

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