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Les Français ont les poches perçés ? Au bord de la banqueroute [Event] -1- 2 3  
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Le Morse
Le Morse
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17/12/2010
Posté le 21/03/2014 à 19:42:30 

Quelque part sur Liberty dans un endroit désert un voleur regardait un tas d'or conséquent et tout en vidant une timbale d'un grand cru de vin fin il monologuait à voie basse.

"Que vais-je faire de toi ?
Dois-je fondre toute cette mitraille afin que la provenance n'en soit jamais découverte ?
mais que ferais-je de tout ce métal ?

Je suis bien marri de ne savoir que faire de tout cet or.

Non c'est bel et bien ainsi qu'il a la plus grande valeur.

Peut être est-ce l'occasion de construire enfin ce repaire privé ? Mais je n'ai pas les talents d'architecte requis pour réussir cette prouesse. Il me faudrait donc trouver quelqu'un qui accepterait un règlement un peu louche.

Il parait que ce n'est pas gratuit tout ça..
ou alors.. Ou alors..."

Enhardi par l'alcool présent en grande quantité dans son sang, il se saisit d'une plume et glissa celle-ci sur un parchemin.

Bien plus tard une silhouette discrète profita de la nuit bien tranquille après la débauche de la soirée suite à la victoire des Français sur la cité batave pour glisser un parchemin sous la porte de François Enclume avant de repartir sans même avoir été inquiété.

Le marchand d'arme, ayant abusé de la victoire entre les bras d'une femme fort peu avare de ses charmes comme il en avait tant dans les rues de Port Louis ses temps ci, se leva fort tard.
Il aurait fort bien pu ne jamais voir ce bout de papier si il n'avait pas également abusé de l'Armagnac de Maïté au comptoir. Les pas hésitant et la rencontre violente avec le sol fut loin de lui remettre les idées en place. Mais d'ailleurs la découverte du bout de papier non plus.
Loin de se douter de ce qu'il avait entre les mains il prit le chemin de la taverne pour manger un morceau. En se battant avec ses brochettes il oublia le papier sur le comptoir comme il y oublia également de ne pas poser le nez dans son écuelle pour y finir sa nuit.

C'est donc le maitre Jmelapete tenancier de son état qui découvrit le papier et eut la primeur d'en découvrir son contenu. Contenu qu'il ne put s’empêcher de partager avec inquiétude avec la cité encore bien assoupie.

En voici donc la substance de ce texte :



La victoire vous va si bien après la défaite.
Mais si vous aimez tant et tant vous battre avec vos voisins il ne faudrait pas oublier que vos finances sont au plus mal. Et il vous faudra bien une année de fort belles recettes pour reconstituer les doublons que votre ancien ministre à perdu en faisant preuve de négligence.

Dans ma grande mansuétude je suis prêt à vous éviter la banqueroute et vous permettre de retrouver votre Or.
Mais pour ça il va falloir faire quelques prières aux dieux. Et se tenir à carreau histoire que je ne change pas d'avis.

On se recontacte bientôt !
Quelqu'un qui vous veut du bien


Hors Rôle Play
Amis joueurs il est temps de me proposer vos proposition pour revoir l'Or revenir dans l'escarcelle de votre ministre.
Nous avons tenté d'y réfléchir, mais le temps fuit si vite qu'a l'allure ou nous nous sommes pris on sera encore dans la même situation dans un an.
C'est donc maintenant à vous d'y mettre un peu du votre si vous voulez revoir cet Or ou votre voleur le conservera.
Trouvez nous un principe de jeu à mettre en place.
Applicable avec le modèle du jeu (trésor, achat, quête, PNJ ...)
Et proposez le moi.
J'accepte tous types de proposition tant que le réglement et déroulement soit clairement compréhensible.
Violette et son Lapinou
Violette et son Lapinou
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12/08/2007
Posté le 21/03/2014 à 20:14:43 

Violette sautillait dans Port Louis en criant partout :"On a gagné, on a gagné, nananère !" 
Elle n'oubliait pas non plus de préciser à chacun :"La guerre est finie, mais pas les bisous !" 

Jusqu'à ce qu'elle vit un attroupement et comprit qu'il se passait quelque chose que les français trouvaient plus importants que ses appels aux bisous. Mais comment était-ce possible ? Il faudrait dire à Pierrot de se faire le relais de ses consignes, c'était bien après la guerre qu'il fallait se câliner !

Elle finit finalement par comprendre qu'il s'agit de l'affaire de l'or volé à l'ancien ministre dont elle avait du s'occuper dès son premier jour de mandat. C'est vrai que ça faisait beaucoup de sucettes, cette histoire avait fallit gâcher toute la bonne humeur des français ! 

En tant qu'Intendante, Violette avait donc tout fait pour faire plaisir à ses français et qu'ils puissent sourire, puisqu'ils aimaient ça, l'or : écrire à l'ancien ministre, ouvrir un procès exceptionnel contre le nain Magnus, elle avait même invoqué les dieux en se proposant pour résoudre le problème elle même avec une de ses supers idées ! 

Par exemple, on aurait pu réunir toutes nos économies pour confectionner plein de nounours et les vendre aux enchères sur Liberty pour renflouer nos caisses, tout le monde aime les nounours ! Ou alors, on aurait pu les offrir gratuitement à tous ceux qui nous donneraient des indices sur le voleur, et on lui aurait fait une attaque de bisous  et de chatouilles jusqu'à ce qu'il rende l'or ! 

Mais malheureusement, elle avait juste vu le vent bouger les poils de nez de Cornan. Puis il y eu avait la guerre, et maintenant qu'elle n'avait plus de responsabilités, elle avait prévu d'aller en vacances voir son Falco. C'est bête, parce qu'elle était sûre que Pierrot, le nouvel intendant, il aurait jamais des idées aussi chouettes que les siennes ! 

Pierre de Siorac
Pierre de Siorac
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30/10/2011
Posté le 21/03/2014 à 21:00:47 

*Un gamin des rues de Port-Louis distribuait des tracts à qui en voulait.*

LES FRANÇAIS ONT LES POCHES PERCÉES!
PORT-LOUIS AU BORD DE LA BANQUEROUTE! DEMANDEZ LE JOURNAL!

LE VOLEUR S'ADRESSE AU PEUPLE FRANÇAIS!

*Pierre en prit un, fit sauter une pièce d'or dans la poigne du petit et reprit sa route, jetant un oeil au pamphlet. Tandis qu'il lisait ces phrases d'un mauvais goût détestable, il se dit à lui même:*

Tu veux jouer les bons samaritains mon gars...
Et pourtant il faudrait te lécher le rectum pour obtenir ce qui a été perdu par un inconscient...

*Pierre crache par terre et déchire le papier avant de le jeter dans la rigole.
Il regarde alors le Ciel, espérant y capter une quelconque présence divine et dit, les yeux pleins de haine:*

Qu'il le garde.
Elizabeth de Beauregard Swann
Elizabeth de Beauregard Swann
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28/07/2013
Posté le 22/03/2014 à 09:29:37 

Elizabeth avait été attirée par l'attroupement de nombreux français à Port-Louis. Beaucoup d'entre eux étaient envoûtés dans une lecture de tractes collées un peu partout sur les murs de la ville. La française poussa certains de ses compatriotes afin de se frayer un chemin rapidement et lire elle aussi. Lorsqu'elle put enfin être aux premiers rangs, lorsqu'elle put enfin lire les écriteaux, elle se retourna vers ses camarades. Le seul mot qui lui était venu directement aux yeux fut : "Or".

L'Or, encore un problème d'argent, encore un désir irrationnel, toujours besoin d'Or. Elizabeth se rappela alors de son ancien mandat d'Intendante, lorsque les satanistes étaient également venus s'adresser à eux, dans l'espoir de récolter de l'argent. Le fait est qu'ici, c'était à nous de trouver le moyen de gagner de l'argent. La belle française se creusa la tête, réfléchit...longtemps...puis se dirigea vers une fille de joie de la Fleur Bleue qui faisait mine de lire l'affiche (mais Elizabeth savait que cette idiote ne savait pas lire). Elle la prit par le bras et l'amena sur l'estrade de Port-Louis.

« - Ceci, messieurs (et mesdames), sont les plus belles créatures qui représentent notre nation. Regardez attentivement ses courbes, admirez sa chevelure incertaine, plongez votre regard dans le siens et tentez de capturer cette naïveté perverse et sensuelle. Oui, vous avez compris. Pourquoi ne pas user de toutes nos filles de joie pour récolter un maximum d'argent ? Il faudra bien entendu d'autres moyens, mais ce n'est qu'une idée. »
Li Kui
Li Kui
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20/05/2008
Posté le 22/03/2014 à 10:15:35 

"LES FRANÇAIS ONT LES POCHES PERCÉES!
PORT-LOUIS AU BORD DE LA BANQUEROUTE!
DEMANDEZ LE JOURNAL!"

Li kui entendis là une des journaux, ayant repérer l'agitateur prés de pierre il alla à ça rencontre.


-File moi moi un bout de ton papelard le môme... *lisant attentivement* Boarf!!!! foutu voleur! attend que je lui mette la mains dessus il changera de métier!

Le gosse dévisageant li kui

-Quoi tu veux un bonbon?!?

-Une pièce monsieur!

Li kui choppa le gosse par le col tenant toujours ces journaux et l'envoya dans la flotte par dessus les quais.

-Terminé la propagande moucherons!

Turb Van Solo
Turb Van Solo
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09/08/2008
Posté le 22/03/2014 à 11:20:57 

Depuis son arrivée sur l'île, Turb n'avait jamais réussi à faire fortune. Pas faute d'avoir travaillé dur ; même au plus glorieux temps des PTT, il n'avait jamais eu plus que quelques centaines de pièces de côté, à croire que c'est un vrai panier percé. Certains diront qu'il a "bu" toutes ses économies, des mauvaises langues ! Non, c'est certainement sa générosité quotidienne et spontanée...

Quoique. Pris d'un doute, Turb a tenté l'expérience de ne plus boire qu'une bouteille sur deux pendant quelques temps. Par le plus grand des hasards, son compte en banque s'est mis à grossir, grossir, grossir. Curieuse coïncidence. Et c'est là, alors qu'il avait enfin accumulé un beau petit capital pour rénover sa cave qu’eut lieu le drame : envolées les économies !

A croire qu'il n'était fait que pour rester roturier, pauvre Marieke. A la pensée de sa rousse, il eu un sursaut de combativité : il ne baisserait pas les bras si facilement ! Vite, un Rhum d'Ark'eyst, ça l'a toujours aider à réfléchir.
Les idées ne se bousculent pas, une deuxième bouteille semble indispensable.
Une troisième...

Bon zang mais z'est bien zûr !

S'exclame t'il après avoir fini une rangée de bouteilles.
Les éléments du puzzle s'étaient assemblés un à un dans son fût à neurones :
Turb planquait toujours ses pièces d'or quelques jours dans un tonneau de Rhum du Père Ralex avant d'aller les déposer chez le Ministre. En plus de les protéger des malandrins et autre Huberts, ça les rendait propres comme des sous neufs et les pièces sentaient admirablement bon.

Tellement bon qu'elles avaient sans doute "contaminé" leurs nombreuses petites voisines dans le coffre national.

Le plan était simple :

1) Refaire le plein de rhum de Ralex
2) Attraper un cochon sauvage
3) Le dresser à sentir les bonnes pièces en le rendant dépendant au rhum de Ralex (nb: faudra lui donner l'exemple)
4) Emmener son cochon sur les traces du voleur, celui-ci a forcément dû déjà dépenser quelque pièces ici et là.
5) Recouper les pistes pour identifier le voleur (va falloir des bouteilles pour bien réfléchir et pas se tromper)
6) Déloger le voleur et sa planque
7) Lâcher le cochon et se cachant les yeux si on ne supporte pas la vue du sang
8) Ramasser le butin et le ramener à Port Louis sans se faire choper par les complices du voleur ou les pirates.
9) Arroser la bonne nouvelle et rendre ce jour férié à Port Louis !

Un plan parfait.
Bon...

Du rhum et du cochon, ça doit pouvoir se trouver dans les parages !
Lorathor Stormwolf
Lorathor Stormwolf
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30/03/2013
Posté le 22/03/2014 à 14:15:32 

"LES FRANÇAIS ONT LES POCHES PERCÉES!
PORT-LOUIS AU BORD DE LA BANQUEROUTE!
DEMANDEZ LE JOURNAL!"


*En entendant cela, Lorathor se calfeutra dans le bordel avec Claris*
Turb Van Solo
Turb Van Solo
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09/08/2008
Posté le 08/04/2014 à 18:05:23 

Plus il y pensait et plus son idée lui semblait tenir la route.
Les cochons étaient connus pour leur flair de truffiers, ses pièces devaient pouvoir se sentir à 2 jets d'bouchon avec un cochon bien dressé... il aurait tort de ne pas essayer.

Le problème sera de ratisser l'île, seul ce serait bien trop long, il lui faudra chercher des volontaires parmi ses compatriotes. Faudrait peut-être qu'il passe par la Petite Gazette de Port-louis tiens ?

Et pourquoi pas...
Turb Van Solo
Turb Van Solo
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09/08/2008
Posté le 10/04/2014 à 23:42:15 

*Turb prit sa plus belle plume et écrivit à son amie Eva, lui expliquant son idée et le besoin de la partager avec un maximum de Port Louisiens*

La P'tite Gazette de Porc Louis devrait se vendre comme des p'tits pains ces jours-ci !
Ulysse
Ulysse
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13/02/2012
Posté le 11/04/2014 à 01:42:01 

"Un ministre qui a perdu les coffres de Port Louis" et ce par négligence dites vous ?
Je reviens à peine et c'est la pagaille financière qui règne dans la petite ville bien portante que j'avais quitté... Moi qui voulais me refaire ma garde robe....

Elle fouette salement cette histoire ! Tu parles ! Tous des escrocs ces commerçants avec leurs sourires jaunes et leurs babioles de basses qualités. Y'en a pas un pour rattraper l'autre. Aller, sauf peut être le vendeur de boutanches de la distillerie..... lui au moins on sait pourquoi on lui échange quelques piastres bien gagnées !

Il les a caché ces coffres ! On va retrouver c'te putain d'or !
Et quand on l'aura déniché, on videra le contenu pour lui enfoncer profondément le contenant dans le rectum.
Prépare toi une once d'huile de phoque, du beurre de cacao, du guacamole...
Tout c'qui pourra te servir à lubrifier, parce que ça risque de coincer à un moment.....

Voleur de poule ! Assassin !

Henri Harchalombe
Henri Harchalombe
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23/02/2014
Posté le 11/04/2014 à 01:52:44 

Cela ne faisait pas si longtemps que ça qu'Henri avait débarqué à Port Louis.
Très vite il s'était intéressé à la vie de sa nation.
Très vite il avait eu vent de certaines rumeurs sur le ministre du commerce.

Aujourd'hui, la nation avait besoin d'eux... le peuple était en péril...

Il fallait remettre la main sur tout cet or perdu...

Walter " el Hechizado " Hunyadi
Walter " el Hechizado " Hunyadi
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11/03/2006
Posté le 11/04/2014 à 11:34:10 

Soldez.
Vos femmes, votre honneur, vos lames. Nul doute que partis preneurs se présenteraient, moi en premier lieu.

Tel serait le conseil d'un reiter...

Un noble carnassier cependant vous dirait de vous procurer l'or avec ces métaux bien plus précieux que sont le plomb et l'acier.
Maëmys
Maëmys
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17/02/2014
Posté le 11/04/2014 à 13:19:00 

*Liberty... Cette île me déçoit plus qu'elle me rend heureuse... Meurtre, violence, corruption, cruauté, perversion et maintenant vol...

Sont-ce ces terres qui rendent les êtres humains si horribles et malsains ? Vais-je aussi le devenir à l'avenir ? Serai-je moi aussi un monstre ?... Parfois je me le demande et cela m'effraie...

Non, je ne peux penser cela, car il existe, même ici, des personnes aux cœurs et aux âmes pures, qui ont su faire preuve d'une douceur et d'une gentillesse incroyable envers moi. Mais... eux aussi ont tué... et ... moi aussi d'ailleurs... quand je repense à ce sang sur mes mains...

Je ne sais quoi penser de tout cela, cette île me rend folle, j'ai peur... Je doute de plus en plus de moi, de ce dont je suis capable, de ce que je suis vraiment et par-dessus tout, de mes valeurs... Et j'ai tant de mal à offrir ma confiance à présent... Quel cauchemar...

Et voilà que je me torture encore en pensant... Quelle idiote... Il m'en voudrait tant s'il savait que je pense comme cela... J'ai tellement peur de le décevoir à nouveau...

Une larme coule sur ma joue durant mon voyage me menant de nouveau à Port -Louis. ~ Je vais aider ma nation du mieux que je le peux encore une fois, la servir... le servir... les servir... Même si je serai peut-être de nouveau pas bien utile... ~ Mais sentir la douceur et la chaleur de mon petit chaton me redonnait bizarrement le sourire... Le fait que lui soit près de moi aussi... Puis... Cette nouvelle rencontre a fait naître une grande joie dans mon cœur... Ainsi que ces lettres de toutes ces personnes qui me sont chères... Je ne suis pas seule, alors pourquoi je me morfonds encore ? Et qu'elle sale attitude de ma part de me comporter si égoïstement en ne pensant qu'à mes malheurs...

Une pensée moins joyeuse me traverse l'esprit alors que je me pose cette dernière question, je pense avoir ma réponse à présent..

Alors que je pris connaissance des dires de ce Walter, une seule phrase, que j'ai eu le déplaisir d'entendre il y a quelques jours, me vient en tête et je ne peux m'empêcher de l'exprimer à mon tour, en murmurant, ma colère dépasse à nouveau mes craintes, aussi grande soient-elles.*

"Gardez vos conseils pour ceux qui les écoutent..."
mameli
mameli
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10/12/2013
Posté le 11/04/2014 à 16:48:06 

"LES FRANÇAIS ONT LES POCHES PERCÉES!
PORT-LOUIS AU BORD DE LA BANQUEROUTE!
DEMANDEZ LE JOURNAL!"

Le cri d'effroi sembla transpercer la nuit comme une lame transperce un abdomen. Aussitot Mameli se rendit à Port-Louis s
e demandant tremblante où en était son or....
Elizabeth Swann
Elizabeth Swann
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28/07/2013
Posté le 11/04/2014 à 19:02:19 

Fait un clin d’œil à l'espagnol.

Vous pouvez encore et toujours courir pour toucher à la beauté et la délicatesse des femmes françaises, Walter. Catin ou pas, nous vallons mieux que vous. 

 
Eva Damian dite "Black Ethel"
Eva Damian dite "Black Ethel"
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23/09/2010
Posté le 11/04/2014 à 20:09:12 

Les récentes nouvelles de son ami Turb l'avaient quelque peu surprise. En effet, la simple idée d'utiliser des cochons en tant que pisteurs l'avait beaucoup fait rire dans un premier temps. Bien que saugrenu, le projet n'était pas idiot et représentait surtout la seule piste pour retrouver l'or des français disparu depuis de nombreuses semaines. Retrouver les caissons d'or pour retrouver le mystérieux voleur. Voilà ce qui intriguait le plus Eva, connaitre l'identité de l'opportuniste prodige.

Il n'y avait pas une minute à perdre, le temps c'était de l'or et il y en avait beaucoup à rattraper. La presse allait chauffer et Paul, l'assistant d'Eva, en serait ravi!

Walter " el Hechizado " Hunyadi
Walter " el Hechizado " Hunyadi
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11/03/2006
Posté le 11/04/2014 à 20:37:19 

Note la provocation de Swann d'un petit sourire cruel.
Le Rorqual
Le Rorqual
[ Administre ]
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14/11/2013
Posté le 14/04/2014 à 10:10:57 

Dans son palais à Port Louis, Jean Passe faisait les 100 pas. La situation était bien plus catastrophique qu'on aurait pu l'admettre... la France du continent avait été claire là dessus : elle n'épongerait pas les dettes de sa colonie. Pire encore, elle refusait de tâcher sa réputation acquise dans la colonisation des territoires des Caraïbes avec une histoire de banqueroute.

Jean Passe savait qu'il ne leur restait plus grand choix : soit ils retrouvaient l'or volé, soit ils leur vaudraient encore mieux abandonner l'île avec les fonds actuels.

Il s'adressa alors à son bras droit, d'une voix ferme.

Faites sonner les cloches de Port Louis. Rameutez la population, et engagez les pour retrouver notre or. Nous aurons besoin de tout le monde.




Hors Rôle Play 
Vous avez la possibilité dès aujourd'hui de retrouver l'or volé. Pour ce faire, une quête vient d'être mise en place : vous disposez de 10 jours, soit jusqu'au 24 avril inclus, pour la réaliser.
L'objectif sera atteint, et l'or récupéré, lorsque 30 joueurs français auront terminé la quête.
Il sera possible de diminuer le nombre de corsaires nécessaires à 25 si une map  de taille comprise entre 5*5 et 10*10 est réalisée sur http://libertyisland.johndegey.org/. La personne ayant fait la map qui sera choisie gagnera une récompense individuelle supplémentaire.
Dirk
Dirk
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02/12/2011
Posté le 14/04/2014 à 10:25:36 

Dirk criait aux infirmières de le laisser sortir puis il fini par se résoudre :

"Allez y les gars, j'vous rattraperai !"
Eva Damian "Pig-malion"
Eva Damian "Pig-malion"
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23/09/2010
Posté le 14/04/2014 à 11:47:59 

En cette belle matinée du 14 avril 1714, la gazette s'arrachait de mains en mains. La colère du Gouverneur Jean Passe s'était largement ébruitée et il était à présent urgent que les quelques 800 000 pièces d'or soient retrouvées. L'avenir de Port Louis était en jeu.

"Demandez le journâââl! Le voleur de Ministre pourrait quitter l'île dans quelques jours! Participez à la grande battue pour retrouver votre or avant qu'il ne soit trop tard! Tout est dans la gazette!"

Combattants ou non, chaque habitant de la ville bleue était concerné et une grande battue venait d'être lancée. Selon le plan de Turb, nous allions nous servir de cochons pour retrouver ses pièces parfumées au rhum. Ces animaux se trouvaient habituellement devant la ville, le groin dans les détritus. Mais malchance ce jour là, il n'y en eu pas un seul.

Il était temps d'enfiler une tenue de camouflage, la traque au cochon sauvage débutait.

Gruiiik!
Violette et son Cochonou
Violette et son Cochonou
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Posté le 14/04/2014 à 12:06:49 

En arrivant en ville, Violette avait rapidement remarqué l'effervescence. Tout le monde cherchait un cochon ! Elle avait fournit à Cornan toute la viande qu'elle avait sur elle pour qu'il puisse aller l'attirer devant la ville, mais elle n'était pas restée avec lui. Non, Violette avait une bien meilleure idée et il fallait absolument multiplier les chances d'attirer le cochon. 

Et quel meilleur appât que d'attirer le cochon par le cochon ? La jeune fille partit donc en ville pour faire quelques achats, pressée par le temps.  

Tu as acheté 1 La dent du Crocodile  à Knack

Elle fouille dans son sac, et y trouve une peau de bête... qu'elle plonge dans un vieux flacon de jus de fraise qu'elle conserve depuis des semaines. Elle attend un peu, en ressort la peau qui est devenue toute rose !!! Ravie, elle la laisse sécher au soleil puis entreprend quelques travaux de couture... 

Elle s’attelle ensuite à limer avec son scalpel la dent du crocodile. Après un travail de longue haleine et plusieurs pansements autour de ses doigts, elle obtient deux petites dents séparées qui ont pile la forme qu'elle voulait. 

Elle enfile son nouveau déguisement à Hubert Lapinou, s’énerve plusieurs minutes à fixer ses nouvelles dents et admire son travail... Hum... Il manquait quelque chose pour parfaire l'illusion, mais quoi ? 

Soudain, elle a une idée... Elle avait bien trouvé il y a quelques jours quelque chose qui allait pouvoir servir. 

Tu trouves en examinant : Banane au Rhum façon Rafiki.

Encore un petit travail de couture pour la faire tenir à la patte de Lapinou, et son oeuvre est terminée. Les cochons, ça mangeait bien des bananes, non ? 

Elle s'empresse alors de retourner devant la ville en exhibant son nouveau Cochonou et en criant de sa voix la plus mielleuse :

-"Petits cochons ! Petits cochons !! Regardez votre copain il est tout seul !! Il s'ennuie sans vous !!! Venez donc le rejoindre !! Petits cochons !! Petits cochons !!! Venez consoler Cochonou et il vous donnera une banane  !!!!"

Kristal
Kristal
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Posté le 16/04/2014 à 09:49:49 

Assise sur un petit talus de bon matin, elle regardait le soleil se lever sur Port Louis et l'effervescence qui y régnait déjà. Toute cette excitation pour quelques malheureuses petites pièces.

Malenpoint qui ne la quittait plus depuis plusieurs semaines, était revenu docilement sur son épaule après avoir délivré un message à ses frères et sœurs de la plus haute importance. Elle déplia alors la lettre qu'elle gardait sur elle en s'adressant au piaf.
Regarde cette lettre, je l'ai trouvé abandonnée sur le bureau du capitaine qui préfère s'amuser avec les fesses d'une catin que de faire grossir notre coffre. Et pourtant dieu sait qu'on en a besoin avec les alcooliques qu'on a à la maison.
Pas d'expéditeur, pas de destinataire et pourtant elle a atterrie chez nous. C'est un signe, cet homme est la providence. L'or c'est comme une femme, tu en prends soin, sinon ça va voir ailleurs, ils avaient qu'à y faire attention et nous allons nous en charger. La cerise sur le gâteau c'est ça...regarde ...ce qui est noté là en bas....
Un sourire complice à son perroquet, elle range la lettre dans son décolleté afin d'y assurer sa sécurité
Lady Ching
Lady Ching
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Posté le 16/04/2014 à 10:17:03 

Antre de la chimère, quelques jours plus tôt...

Se doutant que le Capitaine était grassement enlacé dans les bras fripés de la mère Salas ou certainement retenu par les muscles saillants de cinquante centimes, Ching toisait d'un air attendri Kristal, propulsée seconde en chef, faire des allers retours entre les deux murs crasseux du bureau des relations extérieures, le perroquet racorni du Capitaine à moitié avachi sur sa frêle épaule gauche.
D'un coup de pied assuré, l'asiatique fit valser bruyamment la massive porte du bureau et hurla en direction du ponton...

Y'a de l'or à se faire mes frères! Des coffres remplis d'or!
Les derniers au rapport héritent de la brosse à dent de la bizu pour les deux prochains mois!
Eva Damian "Pig-malion"
Eva Damian "Pig-malion"
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Posté le 16/04/2014 à 21:01:17 

Eva était ébahie. Lorsqu'elle avait ouvert la porte de sa maison de guilde, elle s'était retrouvé face à face avec cette petite chose à moitié rose, à moitié boueuse qu'elle cherchait à attraper depuis deux jours.

Elle regarda à gauche puis à droite mais ne vit personne. Chanceuse? Surement!

Quant au cochon, insouciant, il était en train de mâcher... sa gazette.

Hey! Mais cela ne se mange pas!

Lorsqu'elle tenta de la lui retirer de la gueule, il se mit à émettre une sorte de grognement. Bien décidée à avoir le dernier mot sur cet animal, elle insista en grimaçant, ses mains recouverte de la bave de ce dernier. Se sentant probablement agressé, le cochon se mit à pousser des cris stridents.

GRRRuiiiiiiiiiiik! GRRRRuiiiiiiiiik! Grrruiiiiiiiik!

Le vacarme était insoutenable et provoqua le recul de la française pourtant téméraire.

Mais c'est qu'il a du caractère! Et un sacré caractère!

Elle n'avait pourtant pas le choix si elle voulait retrouver les coffres de la ville. Elle se rassura alors en pensant que le rhum le rendrait plus docile.

Elle toisa Violette, passant allégrement devant elle avec ses trois cochons dociles puis fixa celui qui se tenait devant elle, ne comprenant pas pourquoi la jeune femme avait tant de facilité avec les siens.

Aucun doute que si elle avait su que c'était Alejo qui était à l'origine du grincheux cadeau, elle se serait vexée!
Madre Anna
Madre Anna
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Posté le 17/04/2014 à 07:56:59 

Loin de Port-Louis, Madre Anna, intriguée, regardait des coffres sur une plage quelconque.

Je suis sûre que ces malles n'étaient pas là auparavant! Un naufrage? Je n'ai entendu parler de rien, et pas d'épave à l'horizon...
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