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 Le Faux Rhum
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Posté le 25/10/2011 à 23:29:08
Ma fille Mary a été enlevée par un certain comique, qui n'a de comique que le nom !
Il menace de la mutiler, si je ne m'exécute pas très vite. Ses demandes sont simples : Monsieur aime rire, et le meurtre semble le rendre hilare.
Il vient donc de me sommer de mettre un terme à la carrière d' Arsène Hikks, un confrère que j'estime, puis de m'attaquer à Mal'Ganis, et Lovevil pour terminer .
Il m'assure être déjà en train d'entailler ma Mary.
J'aime ma fille plus que tout, mais je ne m'abaisserai jamais à un tel chantage. J'ai fait voeux de vouer ma vie à défendre mon prochain, quoi qu'il arrive. Lorsqu'on me frappe, je tend l'autre joue. Ceux qui me connaissent savent bien que jamais je n'ai dérogé à ces principes.
Aujourd'hui, mon coeur saigne, mon âme est déchirée. Et s'il y a bien un être sur cette île pour qui je pourrais ranger mes principes au placard, c'est bien cet immonde individu qui me demande de tuer pour préserver la vie.
Rien ne m'assure qu'au bout des trois victimes qu'il me désigne aujourd'hui, il s'arrètera et me rendra la chair de mon sang.
J'espère par ce message convaincre la plupart des habitants de l'île à me venir en aide, pour retrouver dans les plus brefs délais ce Comique, et sauver ma fille.
J'en appelle à tous les peuples, tous les individus, et même aux frères et soeurs de la côte, qui n'en sont jamais venus à de telles extrémités pour essayer de me convaincre de rester dans leurs rangs.
Sauvez Mary !
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Posté le 26/10/2011 à 00:02:59
*Hilde s'était retrouvée à promettre à quelqu'un de partir à la recherche de Mary, un simple quiproquo qui la forcait à rechercher l'anglaise...
Elle avait entendue l'appel à l'aide, elle avait surtout retenu qu'il voulait qu'on tue Love. Encore Mal'Ganis, pourquoi pas... Mais Love. Son Love.
C'était un fou, un psychopathe vouloir qu'on tue quelqu'un de si... Hilde se perdue dans ses pensées, rêvant de son anglais, oubliant la disparition de l'anglaise* |
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Posté le 26/10/2011 à 04:30:20
Léo apprit la nouvelle à Ulunge, vite, il se dépêche d'aller sur le port interroger des gens, cherchant à avoir des indices.
Un vieux marin édenté lui parle d'un ami à lui qui a vu un drôle de type caché derrière des fougères pas loin de la cité française.
Léo s'élance à Port-louis, courant sans reprendre son souffle tout le long du chemin. |
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