Faux Rhum Le Faux Rhum Faux Rhum  

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Une cargaison de choix -1- 2 3 4 5 6 7  
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Commodore Salas
Commodore Salas
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11/04/2006
Posté le 12/05/2009 à 19:04:46 

Assis en bord de plage, le Commodore regardait les vagues s'éteindre sur le rivage.

Cela faisait deux jours qu'il attendait la venue de son contact.
Celui-ci ayant promis, dans sa lettre la plus récente, qu'il arriverait dans le courant de la semaine, à bord de sa goélette : La Dame Blanche.

Le soleil se couchait lentement, l'air était doux.

Une tache apparu à l'horizon.
Lentement, une forme se dessina pour apparaitre plus clairement.

Un navire, nu de tout étendard, se rapprochait de la côte.
http://img99.imageshack.us/img99/2028/golette.png

Le voici enfin, murmura-t-il en se levant.
Commodore Salas
Commodore Salas
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Posté le 22/05/2009 à 11:02:44  [ Edition bloquée ]

Bwade-Bein était né au Soudan, il y a de cela plus de 32 années.

Emporté avec les enfants de son village par des membres de la Compagnie Royale d'Afrique alors qu'il n'avait que 5 ans, Bwade fut vendu, quelques mois plus tard, à un riche Anglais, propriétaire d'une plantation de canne à sucre.

Asservi pendant plusieurs années, forcer de travailler une douzaine d'heure par jour contre un bol de nourriture insipide, Bwade tenta de s'enfuir une première fois à l'âge de 14 ans.
Avec l'appui de quelques camarades et de la servante de la maisonnée, il fugua une nuit, pendant que les maîtres dormaient.

La virée se solda évidemment par un échec : Sans carte, vêtements ou rations de survie, le pauvre enfant fut retrouvé deux jours plus tard, affalé sur le bord d'une route...

Il reçu 46 coups de fouets : Un pour chaque heure d'absence auprès de son maître.


Depuis, avec toute la rage et le ressentiment qui bouillonnait en son sein, Bwade prépara sa seconde et (espérait-il) dernière évasion de ce domaine et y parvint, 3 ans plus tard.

Il devint alors ce qu'on appelle un Nègre marron. Parcourant les routes, volant sa nourriture de ci, de là.. Toujours à l'affût et l'oeil constamment ouvert.

Au fil de ses rencontres dans les tavernes les plus sordides de Saint-Domingue, Bwade fut engagé comme gabier, à bord d'un navire nommé La Dame et spécialisé dans la contrebande de sucre et de tabac.
Gravissant les échelons de la hiérarchie du navire et s'imposant par son charisme et son absence de clémence envers ses ennemis, Bwade-Bein devint timonier, puis Capitaine de La Dame.

Il renomma alors le navire : La Dame Blanche, et, bien qu'ayant vécu lui-même cette abomination, se reconvertit dans la traite d'esclaves et de main-d'oeuvre en tout genre.

Commodore Salas
Commodore Salas
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Posté le 28/06/2009 à 15:32:09 

Debout sur la falaise, le Commodore contemplait l'agitation des matelots qui s'affairaient sur le bateau.

L'ancre fut jetée, et plusieurs barques mises à l'eau.
Le navire se dressait fièrement dans la crique, contrastant avec les déchirures tristes de l'île dans l'océan.

Cinq embarcations se mirent en route vers la plage.
A la proue de la première se tenait un homme, le visage sombre, gardant mystérieusement l'équilibre, malgré le roulis des vagues.

Le Commodore se mit en route. Descendant lentement de son promontoire, il se dirigea vers la plage où  débarquaient ses invités.


La bienvenue à vous tous, frères !!
Liberty est aujourd'hui votre demeure..


Se tournant vers le fier capitaine :

Hé bien... te voici enfin, racaille !

Ces deux hommes fiers se toisèrent quelques secondes...
Puis s'enlacèrent comme des frères.

- Bwade, mon ami,.. Quel bonheur de te revoir !!

- KRRR...Pardonne mon retard, frère. Nous avons eu ...KRRR.. une corvette à couler sur notre route...KRRR.
Je suis heureux de te voir en bonne santé !

Puis, se tournant vers son équipage il s'écria :

- KRR.. Quant à vous, bande de feignants, ramenez moi toutes ces barques sur la plage, et profitez-en pour allumer un feu !! KRR

Ignorant les grincements de dents caractéristiques de son compagnon, le Commodore le prit par l'épaule et l'emmena faire quelques pas sur la plage.

- Tu m'as parlé d'un contrat juteux, Bwade.. Dis m'en plus..

- KRR.. En effet.. Nous pouvons ramener un joli magot de cette affaire...KRRR..
Un riche arabe..KRR.. qui recherche des femmes pour son harem... Il ne veut pas se mettre les continentaux à dos et me demande..KRRR... de venir les chercher au loin...KRRRR...

- Des femmes ?!
Ce n'est pas ce qui manque ici,
s'exclama le Commodore, on en a à tous les gouvernements !! Haha !

-KRRR.. je suis sérieux..KRRR.. Il les veut jeunes et belles...
Et comme tu connais cette île mieux que personne, KRRR.., je me suis dit que nous pourrions partager le pactole..KRRR...

-Mmm... En effet, nous ne cracherions pas sur un peu d'or... Quoique.. je dois t'avouer que mes hommes et moi-même sommes fatigués.. Les attaques incessantes de ces chiens... Les repousser, les noyer, leur couper les membres... Cela use à la longue..



S'arrêtant soudainement :

- KRRRR.. Qu'à cela ne tienne !
Notre dernière prise nous a ramené le meilleur rhum et les plus délicieuses viandes que tu pourrais manger !
Accompagne-moi ..KRRR..sur mon bateau quelques jours, avec tes hommes.
Vous prendrez quelque congé de ce ..KRRR..rocher pendant que mes hommes s'occuperont de mater la racaille citadine ! KRRRR...


Se caressant le menton, le Commodore prit un instant pour la réflexion... Se retournant vers le capitaine :

Fort bien !!
Je rassemble mon équipage et nous arrivons !
Commodore Salas
Commodore Salas
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Posté le 01/07/2009 à 08:12:21 

Assis sur un rocher, L'ancêtre frappait le sol de sa canne :


Ha mais commencez pas à m'énerver, ça va encore me donner des gaz !!
Et c'est vous qui en souffrirez cette nuit...

Non, mais je vous aiderais bien, mais ... mais ma jambe me fait mal...

Ouhhh... Cette douleur... aïe..

De toute façon, le capitaine m'a dit de surveiller les alentours... C'est que j'ai des responsabilités, moi...
Allez, dépêchez-vous...
Panda
Panda
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Posté le 01/07/2009 à 10:35:40 

(écrit sous le personnage de Novak ar Lacis)

Le Capitaine Bwade-Bein avait parlé, l'équipage irait s'amuser sur l'île des pirates de Liberty.
Enfin... s'amuser... ils avaient une mission tout de même, mais celle-ci était une des plus plaisantes qu'ils avaient eu à faire.

Novak, un énorme tonneau de provision calé sur chaque épaule, descendait tranquillement la passerelle de la Dame Blanche. Cette force de la nature, comme d'habitude, était chargé de faire le débarquement de ce qui servirait aux différentes excursions sur l'île.

Il posa ses tonneaux, se retourna et buta dans un des pirates de l'équipage du Sournois. Il lui aboya dessus...

"Izriet no mana veidā, nelietis! Vai es padarīt jūs skewered un ēst, ko šakālis nonāca pirmais !!"

Devant l'air surpris du pirate et le fait qu'il n'avait rien compris, Novak parti d'un rire gluttural, le poussa d'un revers de main sans soucis et continua ses affaires
Alanis
Alanis
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15/11/2005
Posté le 01/07/2009 à 11:49:56 

http://www.deezer.com/track/3209833

« La Dame Blanche » amarré à couple au Sournois, Douglas Fairbanks s’attelait à la dernière vérification des aussières, au lovage des lance-amarres et à la tenue des voiles enroulé autour des baumes.
Il n’oubliait jamais de s’employer à cette besogne mais s’il avait rarement à redire auprès de son équipage. La Dame Blanche était un navire bien entretenue et soigné. 


Déjà certain membres de l’équipage descendaient à terre pendant que les membres de la confrérie Pirate de Liberty montaient à Bord de « La Dame ».  

Il se dirigea vers le carré des officiers ou se trouvait Le Capitaine Bwade-Bein en compagnie du Capitaine Salas. 


-          « tout est en ordre Capitaine, permission de descendre à terre ? »

Les deux capitaines tiraient sur leurs cigares comme deux hommes heureux d’avoir conclu une bonne affaire. Bwade s’adressa à Douglas :

-          « Vous savez pourquoi nous sommes ...krrr... la, Mr Fairbanks ? Le capitaine m’a fait par d’un plan qui nous aidera dans notre ...krrr... petite entreprise. Nous agirons dans quelques jours dans une des villes de Liberty. Faites vous ...krrrr... discret d’ici la et faites part à l’équipage du plan que je vais vous exposer. Prenez donc un verre de ce Rhum. La ...krrrr... confrérie regorge de trésors dont nous aurions tord ...krrrr... de ne pas profiter. Ahaha !

Le Capitaine Salas souriait d’un air entendue à Bwade-Bein. Douglas s’assit quelques minutes puis rejoignit le pont de la Dame ou commençaient à s’installer les membres de la Confrérie. Il remarqua les ladys pirates qui ne manquaient pas de beauté.

Ce n’était donc pas une légende !  La confrérie avait dans ses rangs des perles aussi belles que dangereuses.  Il en aurait bien fait son quatre heures, mais n’osa pas s’y frotter. La réputation de ces femmes pirates avait depuis longtemps traversé les mers des Caraïbes. Et puis... il trouverait bien son bonheur parmi la future cargaison de la Dame Blanche.

 Douglas Fairbanks s’équipa de son tromblon et sa lame venue d’Asie. Une lame vive et capable de trancher un membre d’un seul geste. Puis enfin posa le pied sur la terre ferme.  

-         
« Liberty nous voici, montre nous les beautés que tu cache. »

 Douglas quitta rapidement le repaire est s’enfonça dans la jungle de Liberty.
La Verve
La Verve
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10/07/2006
Posté le 01/07/2009 à 13:08:09 

Un être, ou même une chose était assis au milieu de New Kingston, harcelant et questionnant les habitants. Ah !! Ce Joye c'était encore perdu, il cherchait son capitaine. Faute de mieux, il regardait quelques gamines qui jouaient sur la place de la ville avec quelques idées sombres en tête...
Ambre dans son linceul
Ambre dans son linceul
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12/03/2008
Posté le 01/07/2009 à 13:59:53 

Quelques jours a dit le capitaine.
Héhé, suffisant pour que je tâte quelques cuisses !

Ruppert descendit du pont de La Dame Blanche avec sa besace remplie de bouteilles, d'un peu de pain, d'une pipe et de sa petite boite à hashish
Il avait prévu de faire le tour des quartes villes principales de l'île. C'est là bas qu'il avait le plus de chance de trouver de jolies demoiselles.

Pied à terre il s'exclama avec un sourire bien à lui


LIBERTINES, me voila !
Gaston, Barbe Trempée
Gaston, Barbe Trempée
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18/10/2007
Posté le 01/07/2009 à 16:24:24 

[Message ralatif au personnage : Signora Giuseppa]

« Per la Madonna ! Ma où vive les pirates de cette île ! Une grotte ! Dio, Dio, Dio ... »

*Fouettant l'air d'un éventail afin de se rafraichir, une femme d'un certain âge emprunte à son tour la passerelle séparant la Dame Blanche de la terre ferme de l'Antre du Sournois.  En effet, le navire de Bwade mouille désormais dans la grotte prisée par la confrérie. La Signora est affublée d'une grande robe de soie et porte un grand voile dans les cheveux. D'un ton sec et sévère elle vocifère aux membres de l'équipage quittant la Dame Blanche*

« Joshua, Quinn, L'ancêtre, Novak, Douglas, Ruppert, Joey, Gweltazig, et les autres ! Ma ! Uomini da niente ! Dégotez moi della grue, et piu vite qué ça ! Et io veux dou cuissot ferme, della croupe charnue et des miches digne de ce nom ! Madre di Dio ! »
Titus Pullo
Titus Pullo
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08/02/2007
Posté le 01/07/2009 à 21:14:24 

L'Irlandais obéissait toujours aux ordres de la maquerelle...

Indicible crétin, le matelot était la parfaite incarnation de l'homme de main responsable du moindre problème, le type qui se fait toujours réprimander par le Capitaine, juste parce que sa trombine ne revenait à personne... Sauf à la Signora Giuseppa.

Qui était le plus à plaindre ? Chaque membre de l'équipage avait son avis sur la question mais pas un ne bavait par peur des représailles de l'Italienne qui controlait toute la chair fraiche captive.
Madre Anna
Madre Anna
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09/12/2005
Posté le 01/07/2009 à 22:10:55 

Gweltazig Le Fustec n'était pas fâché d'arriver sur la terre ferme. Il avait beau être Breton, il n'avait pas le pied marin. Son domaine, c'était la chasse... à l'homme.
Et la Maquerelle semblait pressée d'acquérir quelques proies. On ne rigolait jamais avec les ordres de la Signora Giuseppa.

Il se faufila à travers la jungle, ne jetant qu'un vague regard aux Indigènes rencontrés. Ils faisaient généralement de piètres travailleurs.
Port-Louis, sa première destination sur Liberty. Un attroupement de soldats bleus, parmi lesquels il se faufila sans presque se faire remarquer, se contentant d'un signe de tête au Général, et d'une salutation polie au Gouverneur.
Toujours bien se mettre avec les autorités, cela pouvait servir.

Puis trouver un toit, quelques armes. Attendre son heure ensuite.
Anne Providence
Anne Providence
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07/08/2007
Posté le 01/07/2009 à 23:13:16 

Soldat Louis
http://e3.img.v4.skyrock.net/e34/tontonlouis/pics/1325105100.gif" border="1">


Ca fait une paie qu'on n'a pas touché terre et même une paie qu'on se fait les gonzesses en poster. Tant pis pour celle qui s'pointera la première...


Note que que quand je vois l'air décidé de la première je vais attendre la seconde. Pas mieux... Bon elle est où la future cargaison de marchandises ? Moi j'aime bien vérifier la qualité des produits. Faut dire que j'en ai vu :

Devant l'éternel j'vous jure qu'j'en ai vu
Des grandes des belles des moches et des tordues


Jolis les yeux bridés mais ils se font clairement comprendre, l'autre en soutane... Hum. Et celle là qui a des allures masculines ?

Ok, capito, on va attendre les jolies corsaires, plus dociles j'espère.

Du rhum, des femmes et d'la bière nom de dieu
.

Aller où est le premier comptoir ? Je rêve de plaies, bosses, beuverie et femmes !

Blessure de guerre, cul d'bouteille, coup de couteau
Tant qu'y aura des comptoirs on aura des héros


Du rhum des femmes c'est ça qui rend heureux

Pas de "panique" de toute façon

Au bras de fers c'est toujours toi l'plus fort
Qui s'envoient la patronne
.


*Fait gonfler ces biceps* J'ai toutes mes chances.


Caratawc le pendu
Caratawc le pendu
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26/06/2006
Posté le 02/07/2009 à 03:39:09 

Ses pieds nus, couverts de cors au recto et de durillons au verso, foulaient le sable chaud de Liberty pour la première fois.

Je suis pas bien mécontent d'êt'e a''ivé. C'est que les écha'des de cette ba'que ne m'ont pas fait du bien.
Chaka s'adressait à Boiteux, son boa constrictor en qui il trouvait toujours une oreille attentive à ses sentiments les plus enfouis.

Les plus fiers compagnons avaient débarqué. La fine fleur de la Dame Blanche. Des hommes et des quasi-femmes aussi braves qu'ils étaient hauts en couleur. De fiers gaillards avec qui partager cette semaine de remplacement pendant que les hommes du Sournois allaient se dorer la pillule et faire connaissance avec Bwade.

Avec des gailla'ds aussi 'obustes, je 'isque de pas avoi' beaucoup de boulot pa' ici. Ils tombe'ont pas malades, ne se'ont jamais blessés et ne 'isquent pas de se to'd'e la cheville dans un nid de poule...

Le boa restait songeur, tâtant les vibrations des mots de sa langue frétillante couleur pêche.
Et voilà que Chaka se plaignait déjà.
Il songea alors à dispenser sa médecine à ceux qu'il rencontrerait. De toutes façons, ils n'avaient aucune consigne, si ce n'est occuper la place des autres pirates pendant qu'ils étaient partis. Alors autant troquer ses compétences contre un peu de curry, de gingembre, de piment doux ou de poivre.

Il partait avec un à priori positif. Il n'y avait semble-t-il aucun esclave ici. Tous ces corsaires méritaient surement ses bons soins.
Le Boucanier
Le Boucanier
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28/01/2006
Posté le 02/07/2009 à 18:37:02 

7 longues semaines qu'il avait quitté lisbone, chassé qu'il était pour avoir saigné une putain sur les docks.

Enfin il avait acosté sur cette fameuse liberty. Les promesses d'or seraient elles tenues? Pour le savoir, il fallait commencer par ecumer les tavernes et voir un peu ce qui pouvait être trouvé comme marchandise. Nul doute que ce soir il aurait repéré ses premières proies.
Le Boucanier
Le Boucanier
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28/01/2006
Posté le 03/07/2009 à 07:30:32 

La première mission de repérage se déroula à Ullungen en ville puis à la taverne. Il y avait là quelques poulettes à l'allure convenable, mais rien qui ferait tourner la tète de nos clients. Quoique les formes de Tyldes rapporteraient certainement quelques doublons...


02/07 22:29:04 : "João Pedro dos Anjos hmmmm, voilà oune petite qui pourrait rapporter un peu plouche, yé vais noter ton nom, ta croupe est ferme et ta poitrine oppulente, tou va mé rapporter beaucoup d argent!" à Tylde la douce

02/07 22:25:34 : "João Pedro dos Anjos te tripote un peu au passage et s éloigne un peu perplexe... Hmmm, tou né fera pas une très bonne affaire, mais yé répasserai té prendre!!!" à Morgana


Sans la rencontre avec un soulard muet, il se serait mis en route dés l'aube pour Port Louis, mais finalement, la présence des infirmières était agréable et il y en avait bien quelques unes qu'il reviendrait chercher pour les mettre à fond de cale.


RIP
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Posté le 04/07/2009 à 02:38:48 

*Une petite tête couverte d'un drôle de chapeau, la pipe au bec, dépasse de l'arrière de la Dame Blanche.
Puis plus rien. Puis elle ressort. Puis plus rien. Et ainsi de suite une demie douzaine de fois.*

J'serais pas un peu fônfôn moi ? Ahlalala. Que dirait le Grand et Unique Djah s'il me voyait...

*Le corps tout entier apparait. Un petit homme maigrelet, noir et vieux s'étire et respire à grandes bouffées...*

-Hummmm. Sentez moi cette odeur de liberté.
Il est temps de sortir de ce rafiot et de prendre la poudre d'escampette...
En parlant de poudre...


-Raaaaah non avance vieux fou ! Tu as assez fumé dans la cale !

*Le deuxième homme sortit...*

Kakis l'Arabikis
Kakis l
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Posté le 04/07/2009 à 02:50:13 

*Regarde hébété son camarade, après quelques instants il réagit*

- Ah ouii ! Ah on y tipart hein ?

*Sort de sa cachette à la suite du premier homme*

- Ah non, ma chicha !

*Retourne sur ses pas et regarde affectueusement sa chicha de poche et marmonne*

- Ah on en fait plus des comme celles-là !

*Regarde autour de lui et s'esclaffe*

- Hey mon ami, faut qu'on bouge !
Spectre de Don Branlouz
Spectre de Don Branlouz
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Posté le 04/07/2009 à 21:59:23 

s'Mo venais de se faire embaucher par bwade il y a de cela deux semaines dans une taverne de Tortuga, la mission était simple même pour un esprit comme le sien, trouver des femmes pour la revente au marché aux esclaves.

Sortant sa tete d'un tonneau de rhum, s'Mo, la tignasse collé sur le coté ouvrit un oeil.
la plage du campement était déjà déserte, tous était déjà partis a la recherche de la marchandise .

*hééé !! foutre d'oursins ! z'ete ou les gros bras  ? *

Décidément seul, s'Mo pris une outre de vin oublié pour se rincer la face et se réveiller un peut, afin de faire cesser le vacarme qui grondais dans sa tete comme cent tambours de sauvage.

Puis il prise route vers la montagne central de l'ile afin d'en repérer les villes environnante tout en chancelant dans la jungle, s'écrasent moustique après moustique sur la face, jusqu'à en avoir le teint noire .

Deux jours plus tard il avait trouvé des femmes, pas vraiment de la pure blanche, pas de celle qui valais un cannons, mais déjà de la belle indigène, et pucelle  en plus !

Après une approche timoré pour tâter la marchandise il compris très vite que ce n'était pas ce genre de femelles hystérique don la tenancière voulait, et valait mieux pas la décevoir la tenancière, si non c'est bwade lui meme qui vous fesait de vous le loch a bateau .
Il faudrait donc trouver la jolie blanche encore fragile, de la viande suffisamment souple pour plier sous les coups de butoir du mal.

C'est donc vers la ville qu'il projetait d'aller, peut-être retrouverait-il son compagnons de comptoir, sons frère de buvette, soldat louis .    
Ching
Ching
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Posté le 05/07/2009 à 13:06:17 

Le Professeur avait réussi à rester patiemment caché de la surface de Liberty durant toute ces années. Seule une jeune anglaise s'était aventurée un jour dans son refuge au centre de l'île, où il menait impunément ses recherches les plus perverses sur l'esprit humain.

Il avait reçu quelques jours auparavant une lettre de son viel ami Bwade-Bein, qui revenait sur Liberty, cette fois ci tenant la barre de La Dame Blanche en tant que Capitaine. Il lui demandait son aide pour une commande très spéciale qui lui avait été faite par un riche arabe.

Lorsque Maboulus foula le pont de la Dame Blanche et se retrouva face à Bwade-Bein, il éclata d'un rire machiavélique:

Bwade-Bein, mon viel ami... Je savais que tu aurais la peau de l'ancien Capitaine, et que tu finirais par prendre sa place! Alors, comme ça on vient sur Liberty pour ramener une cargaison de choix? Je pense que tu va trouver ton bonheur ici!

Bwade-Bein s'approcha du Professeur et le pris par les épaules:

Et oui Capitaine... Il semblerait que j'ai bien retenu certaines leçons... Allons vient, que je te présente mon équipage, je pense que certains vont te plaire...

Quelques heures plus tard, Maboulus partait à la recherche de ces femmes, se disant que si elles ne fesaient pas l'affaire pour la cargaison, elles seraient tout de même utilisables pour ses expériences...


 


Madre Anna
Madre Anna
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Posté le 05/07/2009 à 14:33:01 

Gweltazig avait erré quelques jours dans les environs de Port-Louis. La ville elle-même offrait peu de réjouissances, écrasée par la chaleur tropicale. Pas le moindre fest-noz à l'horizon, seul événement susceptible d'arracher un sourire au sombre marin.

Quant à la commande... l'horizon semblait lui aussi morose. Quelques cuisses tatés et tétons caressés, mais rien de bien concluant. Rien qui lui valut une récompense capable d'acheter une taverne dans le port de *** d'où il était natif.

Les Françaises de Port-Louis semblaient si glaciales que même l'atmosphère enfièvrée d'une soirée dans les Caraïbes ne pourraient les dégeler. Une certaine Cassandre, qui arborait haut et fort le titre de Ministre du Commerce, n'avait même pas daigné lui répondre.
Seule une véritable brune avait trouvé grâce à ses yeux, dans un lieu nommé la Caverne du Lac. Ses yeux pourtant noirs avaient suffi à illuminer sa journée. Une bonne nuit en perspective s'il arrivait à la saisir. Mais la garce lui avait filé entre les doigts, emportant quelques objets au passage. Gweltazig avait alors griffoné son prénom dans son petit carnet.

Méjaï... toi, si je te recroise, tu vas te souvenir de moi... tu auras tout le loisir d'y penser quand tu seras enfermée dans ton harem...

Il repensait à cette proie de choix, quand il fut soudainement assailli par un des cochons sauvages qui trainait dans le coin. Il eut à peine le temps de reprendre ses esprits qu'il réalisé qu'il s'agissait d'un dénommé Marius, une brute de bien mauvaise réputation, dont lui avait parlé ses Confrères.
Allongé sur son lit à l'hôpital du Bandeau Noir, Gweltazig le Fustec jura mais un peu tard, qu'on ne l'y reprendrai plus, et qu'il ferait preuve de plus de vigilance sur Liberty. Apparemment, l'île n'avait pas tout oublié des violences du continent.
Alanis
Alanis
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Posté le 06/07/2009 à 11:03:19 

Port Louis

Comme convenue, Douglas Fairbanks n’allait pas louper la double invitation dans la belle ville de Port Louis.

Une grande braderie y était annoncé et la…« marchandise » était de qualité. Une bonne occasion pour la visiter.


Douglas arriva dans la nuit en ville ou il trouva facilement une place dans la crypte de la ville. Un endroit confortable, bien que fournis de rongeurs pas toujours agréable. Mais Fairbanks ne s’arrêtait pas à ce genre de soucis.  

Au petit matin il fût surprit de voir que les rues regorgées déjà de monde. Il trouva la de magnifique jeunes femmes comme il en avait rarement vu. Enfin au moins pas autant à la fois.
 Les femmes s’exhibaient presque.  Il ne loupa rien au spectacle et notait la qualité de chacune d’elle. Attrapant parfois leurs mâchoires d’un geste brusque pour vérifier l’état de santé de leur dentition, reflet d’un savoir vivre et de bonne santé de la marchandise. Embarquer une belle blanche en mauvaise santé peut avoir des répercutions dont il vaut mieux se prévoir.

Ainsi Tylde la douce, Kristal, Shekmet, Lady Ashley-Cooper, Mademoiselle Candyce, Nijna Von Doom, une fille de l’Est qui plairait surement à Novaks , nommée Svetlana Coquinovskaya passé sous l’œil expert de Douglas.  


La Noire
le remarqua. Ils échangèrent quelques mots à propos d’un certain Hollandais puis l’invita à attendre la fin d’après midi pour se faire une idée de la qualité de la « cargaison » qu’elle nous proposait. 

Douglas alla vers la maison de France afin de s’y trouver une place ou il aurait une bonne vue de l’estrade tout en essayant de rester discret. Les plaintes des femmes et les regards sombres des hommes, montraient qu’il n’était pas forcément la bienvenue. 

En chemin il croisa une perle qu’il n’avait pu éviter. Une gazelle du nom Akiha. Cette donzelle en avait sous le jupon. Elle cracha au visage de l’homme et lui promit de lui tirer ses balles s’il y revenait. Douglas qui aimait qu’on lui résiste l’aurait bien maté tout de suite. Mais la rue était encore trop fréquenter et particulièrement par un certain Holmes, qui semblait veiller à la sécurité de la ville. Il l'aurait plus tard.

 Douglas passa la journée devant le défilée en compagnie de Soldat Louis et de Gweltazig Le Fustec. Une journée plutôt agréable si ce n’est le passage d’un certain Rodrigo qui fît tomber une brique sur son orteil et de Holmes, et sa morale, qui ne savait apparemment pas pourquoi ils étaient ici.  

Dans la soirée ils envoyèrent une missive à ’La Tenancière’ avec une liste de quelques noms. Elle serait certainement ravie.


 
Malgré leur tentative de discrétion ils furent vite repéré par Luun et Noudwi qui en montrant leurs armes indiquait qu’ils n’hésiteraient pas à se battre si il le fallait.  Douglas n’était pas la pour ça.

Cependant le nuit venue, à un moment ou il pensait trouver la ville plus calme... Il dû se frotter a ses deux énergumènes…
Sir Holmes
Sir Holmes
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Posté le 06/07/2009 à 13:24:29 

Port Louis.

Le détective était arrivé la veille de la fête prévue en l'honneur de la Femme. Il n'aurait manqué cela pour rien au monde, et il avait été choisi comme membre du jury, afin de juger de la beauté et du charme de femmes qui souhaiteraient défiler.

La matinée commençait, et Sir Holmes saluait encore bon nombre d'arrivants, lorsqu'il tomba nez à nez avec une Lady qu'il n'avait encore jamais vue.

05/07 11:33:15 : "Sir Holmes vous aperçoit, et ôte son couvre-chef, qu il pose sur son torse en inclinant légèrement la tête pour vous saluer "Bonjour, Madame."" à Akiha
05/07 11:33:20 : Tu soignes 20 PV à Akiha
05/07 11:33:59 : "Sir Holmes constate une blessure, et vous soigne délicatement celle-ci avant de vous offrir un chaleureux sourire "Je suis enchanté de faire votre connaissance, Sir Basile Holmes, détective de New Kingston." à Akiha

Quelle ne fut pas sa surprise, dès lors, de trouver la Lady lui répondre d'une voix fluette et désordonnée, accompagnée de larmes coulant sur son visage!

05/07 11:41:09 : Akiha vous regarde avec les yeux en larme: snif,... c'est bien gentil à vous monsieur, je suppose que cela aurait du être une bonne journée si seulement tous avaient été comme vous...snif.

Intrigué, mais surtout inquiet de lire une telle tritresse sur le visage d'une Lady, Sir Holmes s'enquit alors de chercher à comprendre ce qui pouvait la mettre dans cet état.

05/07 11:44:19 : "Sir Holmes vous regarde intrigué "Voyons, Lady, pourquoi verser des larmes sur un si beau visage? Vous a t-on fait quelque mal que ce soit? Puis-je vous aider?"" à Akiha
05/07 11:45:58 : Akiha : snif...ce n est rien excusez moi, mais il y avait ce porc et...snif*recommence à pleurer*.
05/07 11:50:39 : "Sir Holmes s inquiète quelque peu, et vous adresse un regard réconfortant "Lady, que se passe t-il donc? Je vous en prie, expliquez moi, je ne saurai tolérer que l on fasse du mal à une Lady!"" à Akiha
5/07 11:57:52 : Akiha : snif, et bien, il y avait ce porc, il m avait coincée entre les 2 maisons à coté, et il m a touchée avec ses sales mains, ensuite je me suis débattue, et il m a dit qu il me retrouvera plus tard..

Sir Holmes était de nature pacifiste, cela n'était un secret pour personne. Mais s'il était une chose que ce gentleman britannique ne pouvait supporter, c'était qu'une Lady se fasse malmener. Une telle détresse dans le regard d'une jeune femme lui était tout bonnement insupportable.

05/07 12:01:36 : "Sir Holmes vous regarde attentivement "Lady... vous souvenez vous de l apparence, ou du nom, de ce vil gredin? Je vous promets de lui faire regretter ce geste..."" à Akiha
05/07 12:02:43 : "Sir Holmes ajoute "Je puis vous promettre qu il ne vous touchera point davantage, je ne saurai permettre une telle chose. Vous n aurez plus à craindre de lui."" à Akiha
05/07 12:07:04 : Akiha :snif, cela est bien gentil à vous, mais je ne vous conseille point de vous approcher de cet homme, il est vêtu entièrement de noir, et n à même pas été egratiné par ma hache quand je me defendais.
05/07 12:08:43 : "Sir Holmes vous rassure "Je ne suis point seul, Lady. De nombreux hommes assurent la sécurité des Dames, ici-même. Comment était votre agresseur? Il ne faut point le laisser recommencer, comprenez..."" à Akiha
05/07 12:10:11 : Akiha : son nom était Douglas Fairbanks si je me souviens bien, quant il me tripotait il disait "Notre client va adorer ça!", maintenant je me demande si c est une bonne idée de rester ici...snif.
05/07 12:11:27 : "Sir Holmes vous montre le Sieur Shadow non loin "Restez proche de votre Général, Lady. Il assurera votre sécurité. Je vais veiller pour ma part à ce que ce malotrus ne reproduise point ces gestes déplacés!"" à Akiha

Sir Holmes s'était alors approché du général français, afin de lui confier la protection de la Lady. Celui-ci s'approcha immédiatement d'elle, et le détective, fortement remonté, se mit en quête de retrouver ce rustre personnage.
Il faut savoir que celui-ci faisait presque une tête de plus que notre détective, et se trouvait être bien plus large d'épaule. Mais Sir Holmes n'en avait cure, et lorsqu'il se retrouva face au pirate, il lui fit comprendre qu'il ne tolèrerait point d'autre écartade de ce genre.
Rarement, le ton du détective n'était ainsi monté, et il tentait de se calmer. Mais la fureur rugissait en lui, celle-là même d'imaginer que la Lady qu'il venait de trouver dans cet état, pourrait être Lady Alanis...


Les heures s'écoulèrent ensuite, pendant lesquelles il eut tout le loisir d'oublier cet homme aux ignobles moeurs...

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Sir Holmes
Sir Holmes
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Posté le 06/07/2009 à 13:43:57 

La soirée se terminait, dans les rues de la ville.
Sir Holmes se trouvait las, il n'avait réussi, malgré ses efforts, à oublier les yeux agate qu'il avait tant attendus. Lady Alanis ne viendrait plus, désormais. Après quelques chahuts près de l'eau, le détective finit par prendre congé des nombreuses personnes qui s'amusaient. Le regard mélancholique, il partit en quête d'un endroit calme, afin de s'y reposer.

C'est alors qu'il entendit un cri. Un cri de Lady.
Le gentleman accrut la vitesse de son pas, pour apercevoir la Senorita Nutella aux prises avec... Douglas Fairbanks. Son sang ne fit qu'un tour, en apercevant la Dame lutter contre le pirate, et il accourut à son secours, sans apercevoir l'hidalgo qui s'était également interposé.

06/07 00:34:59 : "Sir Holmes intervient alors, malgré votre imposante carrure, afin de se mettre entre la Lady et vous-même "Je vous prierai de ne plus importuner davantage cette Dame!"" à Douglas Fairbanks

A eux deux, ils firent reculer le pirate, malgré son imposante carrure. Le détective, inquiet toutefois du comportement de celui-ci, appela à l'aide autour de lui.

Tandis qu'il s'assurait que la Senorita n'avait rien, celle-ci le remercia vivement d'être intervenu.

06/07 00:39:22 : Señorita Nutella a la fraise vous remercie puis vous serre dans ses bras, et recommence 20 fois.

Le pirate riait, à son grand étonnement. Il regardait le détective d'un air joyeux, et lui répondit.

06/07 00:39:22 : Douglas Fairbanks T invite à venir prendre une bière. Je rigole, t en fait pas ... Tu sais pourquoi on est la ? Ahaha !.



Sir Holmes s'approcha de l'individu qu'il méprisait grandement, à cet instant. La Lady Akiha, et désormais, la Senorita Nutella, c'en était trop.
Le Senor Rodriguo resta en retrait avec elle, tandis que le détective s'avançait vers le pirate.

06/07 00:43:41 : "Sir Holmes s avance, l air remonté "Ceci n est point une plaisanterie, Monsieur. La Senorita n a nullement trouvé cela amusant. Faut-il vous répéter ce dont je vous ai fait part il y a quelques heures à peine" à Douglas Fairbanks
06/07 00:45:40 : Douglas Fairbanks Voit qu apparement tu n as pas l air au courant et pense s être trompé. "Calme toi, le nain a chapeau ! C est pas toi qui fait la loi ici.
06/07 00:47:05 : "Sir Holmes tente de rester calme "Je ne crois point que ce soit votre cas, de faire la loi. Quelles que soient vos raisons de venir ici, respectez les Ladies qui s y trouvent, et personne ne vous ennuiera."" à Douglas Fairbanks
06/07 00:48:26 : Douglas Fairbanks commence vraiment a en avoir marre de tes leçon et préfère s en aller que provoquer la bagarre..

C'est alors que survinrent les Sieurs Luun et Noudwi, inquiétés de la situation. Le pirate se trouva vite entourré, et sous la menace, chacun sentit la tension soudainement monter. Les bruits de fête s'estompaient, tandis que chaque regard se tournait vers l'incident qui se produisait. Le pirate venait de pincer les fesses de la Senorita en passant auprès d'elle pour quitter les lieux, et cela risquait grandement de dégénérer...



Dans l'ambiance festive qui régnait encore quelques minutes auparavant, personne n'osa sortir son arme, bien que celles-ci étaient à la limite de quitter leur fourreau.
Le Sieur Luun finit par raccompagner le pirate aux portes de la ville.


Sir Holmes était épuisé. Mais plus que tout, il était désormais intrigué.
Cela faisait plusieurs fois, en deux jours, qu'il croisait de tels pirates, et leur langage, leurs allusions à une certaine "marchandise", leurs regards avides envers les Dames, autant de comportements étranges, n'étaient point sans l'inquiéter.
Nul doute que quelque chose se préparait... et le détective était à présent impliqué.
Madre Anna
Madre Anna
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Posté le 06/07/2009 à 16:16:22 

La première partie du contrat était remplie. En quelques jours à Port-Louis, Gweltazig avait zieuté, taté, bref repéré quelques beaux spécimens. Il ne lui restait plus qu'à amener sa liste à la Signora Guiseppa, seule habilitée à juger de la qualité de la marchandise en dernier lieu.

Quelques corsaires avaient bien tenté de faire les fiers, mais aucun n'avait osé le défier véritablement.
Gweltazic cracha à terre au milieu de la jungle en y repensant. Des pleutres, des bons à rien, des ramollis par le climat tropical.

Concentré sur la tâche qui l'attendait, il décida de prendre des forces en pêchant.

La suite allait être rude.
Rodrigo
Rodrigo
Déconnectéparia
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Posté le 06/07/2009 à 17:27:14 

La fête connaissait un grand succès. Le défilé s'était passé au mieux; l'espagnol suivi par un amigo de longue date, Luun, avaient fait leur strip tease sur la place, pour finir ensuite aux docks, avec un bon bain de minuit.

Rodriguo avait remarqué depuis le début de la journée la présence de certains bandeaux noirs, tel Gweltazig Le Fustec, singulier personnage. Il vit ainsi d'autres visages qu'il ne connaissait guère, sans pour autant se montrer agressif, néanmoins un soupçons de provocation ne pouvait pas faire de mal. Il n'aimait pas le fait qu'il y ait autant de pirates lors d'une telle fête, surtout que malgré certains efforts, ces messieurs ne pouvaient cacher certains coulis de baves lorsqu'ils voyaient les femmes qui allaient défiler.

L'ibérique avait déjà fait par de sa méfiance à deux de ses amis, Noudwi, qu'il connaissait depuis les Guerrilleros, et Rohel, un membre de La Ligue des huit.

La provocation commença. Rodriguo s'avança vers Le Fustec avec un léger sourire aux lèvres. Son perroquet Rico ne cessait de picorer le tricorne du pirate, tandis que l'espagnol laissa tomber de son sac une petite brique aux pieds de celui ci. La provocation débutait, le jeu était lancé. Une légère altercation débuta, avec des menaces proférés des deux côtés, mais sans pour autant qu'il y ait eu un quelconque dérapage.  L'espagnol commença à questionner son nouvel ami, mais rien ne fut lâché, pas même un spasme de stress ou autres.

Plus tard bien après le défilé et les strip tease, lorsque Luun et Rodriguo emmenèrent la foule prendre un bain de minuit, l'espagnol eut l'occasion de parler à un homme plus impressionnant que le premier pirate:Douglas Fairbanks.
Un homme corpulent et avec une assurance mesurable par certains "laissés allés" qu'il se permettait, et qui allaient très vite agacer les autres corsaires.

Douglas avait commencé par maltraiter la Senorita Nutella, ce que Rodriguo ne supporta pas une seconde. La lame directement sortie, Rodriguo le menaça en visant les attributs du pirate avec son sabre. Celui ci relâcha alors Senorita Nutella, disant simplement qu'il plaisantait et qu'il voulait se prêter à la fête.
Il était évident que la définition de "s'amuser" était différente entre lui et les autres corsaires qui assistaient à la scène; Noudwi avait sorti ses tromblons tandis que Luun avait sa main sur la garde de son épée.
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