 Le Faux Rhum
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Nous chassons les raclures du temple!
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Posté le 13/02/2009 à 12:24:53
Je n'ai pas de bateau, la confrérie en a un qui se nomme le sournois et qui n'a guère besoin d'être au temple.
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Posté le 13/02/2009 à 18:35:21
Bah si vous n'êtes pas capitaine d'un bateau, vous êtes capitaine de quoi alors!?!  |
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Posté le 14/02/2009 à 06:31:53
Pssst Wildekat, n'insiste pas trop, il tient au titre. Il va encore nous faire une dépression si on le ménage pas.
Appelle le juste capitaine, ça le rend heureux. |
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Posté le 14/02/2009 à 10:57:29
C'est à n'y rien comprendre!
Mister I continuait paisiblement son petit bonhomme de ch'min dans ce temple, toujours en attente de son rendez-vous avec celui qui pourrait lui fournir cette carte après laquelle il courrait depuis maintenant plusieurs semaines.
Hier, c'est bien un lache, du nom d'Henry Morgan, qui, non content de préciser qu'il se baladait en paix, non content d'avoir été laissé en vie, s'en était finalement pris à sa vie, manquant de peu de le faire passer de vie à trépas!
Alors, quand ce matin, Mister I repris sa route vers le descendant maya, se perdant dans un dédale de couloirs et de ponts qu'il ne connaissait pas, il ne pris pas de risques avec ces deux espagnols connus pour s'en prendre à tout être qui porte le bandeau noir.
Quelques passes d'armes, le coups de Maître Wang dans les dents de numerobiño (certes il m'a fallut m'y reprendre à trois fois!), pour finir par une danse avec Carmen, et la voie était sécurisée, au moins jusqu'à demain!
Quand ensuite, deux hollandais vinrent le féliciter, Mister I comprit pourquoi son alter ego, Sing, avait toujours refusé de généraliser un jugement sur quelqu'un à la simple couleur du bandeau.
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Posté le 14/02/2009 à 13:07:35
Embrasse son chien
Ch'uis fiere de toi, on a vengé tonton de n'amour, tatana et tonton bizarre. Maintenant, arrête de mâcher son bras c'est pas bon ! |
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Posté le 14/02/2009 à 13:56:07
Au hasard d'un couloir, je tombe sur un "chasseur" de pirate. A pas de loup (oups) je m'approche pour lui mettre une tappe sur l'épaule.
Pardon vous cherchez des pirates ?
Je vais vous aider, Nous sommes partout. Une tigresse cela vous convient-il ?
Il n'a pas le temps de sortir son tromblon que j'a déjà ma destinée en main pour lui faire apyer ses balles sur mes frères et soeurs.
Mais dans ma précipitation je manque une marche. Il Esquive ma première attaque. Je ne tarde pas à bondir sur mes pieds ne lui liassant aucune chance.
Une fois ll trouve la parade, mais à part, éraflé ma cuirasse, son épée en bois ne lui sert à rien.
Deux touches plus loin il est au sol. Sortant un oeil de tigre de mon sac je le jette à ses pieds. Il y avait longtemps que je n'avais pas fait ceci.
Je repars, mais après un instant de réflexion je reviens sur mes pas, fouillant sans honte ses affaires, je sors une balle. Elle vient s'ajouter à celle de Patanocjk et des autres au retour, ilfaudra que je les compare. Je n'ai toujours pas trouvé mon tueur de cet été ! |
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Posté le 16/02/2009 à 23:56:34
Son chemin l'ayant mené à passer non loin du centre de l'île, et par là-même, du temple maya, Sir Holmes ne put s'empêcher d'avoir une pensée pour Lady Alanis.
Et si elle venait à se trouver non loin de la sortie?...
Il prit la peine de lui écrire, afin de lui proposer, à tout hasard, de l'y retrouver, et, outre son carnet qu'il souhaitait lui rendre, de l'inviter à dîner.
Sa lettre resta sans réponse, mais il décida tout de même de se rendre sur les lieux, cela ne lui ferait point un si grand détour, il n'était plus à une journée près, pour rentrer à New Kingston.
Il arriva dans la soirée, et eut l'agréable surprise de croiser la marraine de Lady Alanis, Madre Anna. Celle-ci le salua rapidement, mais d'une manière amicale, salut qu'il lui rendit avec un sourire.
Mais il ne vit point Lady Alanis, et décida de passer la nuit en dehors de cet étrange endroit, d'où l'on pouvait entendre des cris tout aussi étranges.
Cependant, le lendemain, il ne put se résoudre à reprendre la route sans avoir de ses nouvelles. Qui sait, peut-être n'avait-elle point trouvé le temps de lui répondre? Il lui restait toujours l'espoir de la croiser.
Un espoir qui ne fut point vain. Alors qu'il s'apprêtait à reprendre la route, il décida d'entrer à nouveau dans ce temple, sait-on jamais, se disait-il.
Après y avoir fait quelques pas, et s'être fait agresser par ce que l'on nommait ici une réminiscence, qui le blessa gravement, Sir Holmes réussit à s'en dépêtrer, et s'apprêtait à s'enfuir de ce lieu maudit, où il se refusait à lever la lame sur toute femme, aussi farouche soit-elle, qui soit... lorsqu'il aperçut, camouflée derrière un arbre, la femme qu'il aimait.
Bien que figé dans un premier temps de cette apparition, il s'approcha d'elle.
Il ne purent point échanger grand chose... S'il fut grand plaisir de croiser le Sir Stanley qui passait par là, interrompant très brièvement son entretien avec Lady Alanis, il n'en fut point de même avec les deux espagnols qui surgirent quelques instants après...
Bien qu'il ait tenté d'implorer le Senor qui faisait feu, d'une dextérité telle qu'il parvenait à toucher Lady Alanis malgré que le détective fasse barrière de son corps pour tenter de la protéger, le tireur ne semblait rien vouloir entendre aux cris de Sir Holmes.
Après que Lady Alanis eût été transportée, d'urgence, en soins intensifs, le détective se retourna vers son agresseur, sous le choc.
Pourquoi, Senor... pourquoi?
La voix du jeune homme grondait comme il ne l'avait jamais entendue gronder, mais l'espagnol ne fit que répondre.
Désolé mon ami, mais les pirates et les voleurs, je supporte pas !.Un vieux compte à régler...  .
Sur ces mots, s'était-il déjà retourné, fuyant sans demander son reste, laissant là le détective qui tenta bien de le suivre, mais qui ne put aller plus loin, pris pour cible par une étrange pucelle.
Après avoir réussi à s'en débarasser, il s'écarta assez loin, blessé des coups qu'il venait de prendre, mais point autant de la douleur qui lui tenaillait la poitrine entière.
Il serra les poings, ressentant une rage intense. Comment, comment pouvait-on ainsi s'arrêter à la couleur d'un bandeau, sans même regarder la personne que l'on prenait en chasse?
"La chasse aux râclures", disaient les rumeurs... quelles étaient-elles?
Mais, bien plus qu'envers le Senor Patanock, le détective ressentait une rage entière contre lui-même. Il n'avait point su la protéger... il aurait aimé prendre les balles à sa place, il ne supportait point de l'avoir ainsi vu tomber, sous ses yeux, et d'avoir ainsi été impuissant face à cela.
La nuit serait longue, pour le détective... empli de remords, ses blessures à vif, il savait qu'il ne dormirait point tant qu'il ne serait pas rassuré quant à l'état de Lady Alanis. |
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Posté le 01/03/2009 à 11:04:41
Vascof en approche,
j'éhsite et préfère lui laisser le bénéfice du doute.
Mas quand il se rue comme uun forcené avec Ammokk le doute n'est plus permis.
Ammokk dormait fatigué des trop nombreuses blessures reçues hier.
Trop tard, il est trop tard.
Une furie se jette sur Vascof, il se defand, mais usant de mes griffes mes crocs mes balles et ma destinée, il finit par succomber.
Dans un dernier râle il proteste :
tu as profité que j'étais en plein combat !!!
- En même temps tu n'as fait qu'abattre un homme à terre. Quand on s'en prend aux pirates, il ne faut pas s'attendre à ce que l'on vous envoie des fleurs. Sauf la gerbe que l'on déposera sur vos tombes ! Lâche et pleurnichard, joli mélange pour ceux qui ont osé se prétendre les Paladins de Liberty à une époque. Je crache sur tes bottes ! |
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