Faux Rhum Le Faux Rhum Faux Rhum  

Le forum > Bar de la plage > Le convoi noir
Le convoi noir -1- 2  
Auteur Message
Général Zapata
Général Zapata
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
21/02/2006
Posté le 23/11/2007 à 15:25:23 

Vendredi 23 Novembre La petite caisse venait de se remplir, l'or des français avait permis d'arriver au montant nécessaire. Je regardais les sourires béats de mes frères devant la masse d'or offerte à nos regards. Combien de corsaires avaient dû pleurer leurs bourses, combien de contrefaçons de nos pourfendeuses avions nous dû vendre, combien de pillages et combien de contrats avait-il fallut pour réunir ce trésor ? C'est comme si tout le vice de Liberty avait pris la forme d'une baignoire de fric, c'était beau, ça se passait de commentaire... Maintenant il fallait emmener cet argent, le contact de Titus nous attendrait au lieu rendez-vous. Une fois débrouillé sur place on lui balance le fric et lui nous passe la marchandise, restait qu'à espérer qu'aucun corsaire ne nous tombe dessus.. "En route companeros, nous allons défendre cet or plous qué vos misérables vies" J'avançais en tête vers l'extérieur du repère.
Commodore Salas
Commodore Salas
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
11/04/2006
Posté le 23/11/2007 à 16:24:04 

"En route !! " , entendis-je. Et nous nous mîmes en marche. J'étais inquiet : la route serait longue et difficile.. Nous devrons être prudents. Cependant, je savais que, comme toujours, nous menerions notre aventure à bien. Et quelle satisfaction ce sera de revenir au repère, ensuite... "Je suis fatigué", pensai-je.
Daniel Monbars
Daniel Monbars
Déconnecté
Inscrit depuis le :
04/07/2006
Posté le 23/11/2007 à 18:41:55 

Vous voila enfin à votre vraie place .... Vous faites des mulets très ressemblants .... Transpirez, se donner de la peine doit etre une sensation étrange pour vous ... Ne cherchez plus, cela se nomme fatigue et c'est le travail qui fait cela ...
Bauldreg 'trucide-fauve'
Bauldreg
Déconnecté
Inscrit depuis le :
17/03/2007
Posté le 23/11/2007 à 18:47:52 

Hrp : C'est un rp accesible a tout corsaires ? Plus de précisions ?
Le Boucanier
Le Boucanier
Déconnecté
Inscrit depuis le :
28/01/2006
Posté le 23/11/2007 à 19:21:57 

Je vous rejoins ce soir mes frères, tenez bon en attendant!
Jan der Vernboer
Jan der Vernboer
Déconnecté
Inscrit depuis le :
21/11/2005
Posté le 23/11/2007 à 19:28:28 

Tiens, des pirates à dépouiller... Voleurs de toutes nations : il y a du fric qui sent un peu la caverne mais il saura être dépensé. Bretteurs, tireurs : Il est plus facile de se servir sur des cadavres !
Le Cubain
Le Cubain
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
14/10/2007
Posté le 23/11/2007 à 19:30:24 

Après une longue marche, nous avons décidé de monter le camp dans un endroit abrité. Pas très confortable pour dormir mais au moins à l'abris des manants. Diego partit ramasser du bois pour allumer un feu. Les nuits, de ce côté de l'île, sont fraîches. Il prit du bois sec et dur puis se choisit un rondin. - "Celui là ira directement au travers de la tête du premier qui s'approche. Cet or, on l'a mérité et faudra plus que du courage pour espérer le toucher alors nous le chaparder n'y pensez même pas! Hawk, tiens!" *Tend une bouteille de vieux rhum brun puis se retourne vers Zapata* -"Il faut s'attendre à quoi avec le gars de Titus? Du souffre et de la poudre ou plutôt accolades et franche camaraderie?"
Lord Hawk
Lord Hawk
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
04/01/2006
Posté le 23/11/2007 à 23:21:13 

*Le soleil se couchait. La marche fut longue aujourd'hui ... et encore, il en reste le double a faire. Hawk s'allongea, essayant de seulement sommeiller. Il fallait garder un oeil ouvert au cas ou quelqu'un les surprendrais. Pourtant, finir la bouteille qui lui avait tendu Diego n'était pas la meilleur chose qu'il eu fait avant de monter la garde. * En tout cas, Titus, ton gars il a pas interet a nous la faire a l'envers ! *Se dit'il avant de comater.*
Tyler
Tyler
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
19/03/2006
Posté le 24/11/2007 à 09:23:37 

"En route companeros !!" _ Mais ... on vient juste d'arriver ... Pirates ... ! C'est pas une vie j'vous jure ! C'est un métier ! Le temps de m'habiller léger et mes frères sont déjà partis. Il fait nuit noire lorsque je décide de prendre la route. Seule la lune vient guider mes pas et me montre la voie à suivre. J'arrive au campement de fortune ... tout le monde dort autour d'un feu fatigué lui aussi ... je lui redonne un peu de courage pour affronter la nuit et cherche un peu de réconfort pour affronter la mienne *Soulève et retourne une bouteille de rhum dans le prolongement du bras étendu de Hawk* *La bouteille au dessus du visage de Tyler pleure avec difficultés ses dernières larmes d'alcool ...* Jadis, aux Enfers Cert's, il a souffert Tantale Quand l'eau refusa D'arroser ses a- mygdales Etre assoiffé d'eau C'est triste, mais faut Bien dire Que, l'être de vin C'est encore vingt Fois pire... Fort heureusement, je trouve mon bonheur en soulevant le coude du Commodore ... une bouteille pleine
Anne Providence
Anne Providence
Déconnecté
Inscrit depuis le :
07/08/2007
Posté le 24/11/2007 à 10:56:28 

Depuis le temps... Titus avait déconné à un moment, quittant le chemin de la confrérie. Nous l'avions pariatisé et donné ordre aux gardiens de ne plus le laisser revenir, mais pourtant quel boulot il avait accomplit. A son retour il avait eu une longue discussion avec le Padre et Sing. Après nous avions fait nos comptes. Le rendez-vous aprochait. Nous étions encore épuisés du contre pillage. Mais nous avions besoin de tout cet or qu'il avait fallut défendre avec acharnement. Quand on recença les volontaire pour escorter le Commodore, je me levais sans hésiter. Zapata avait bien étudié la carte, le trajet serait long et fatiguant mais il en valait le coup. La nuit venue nous étions harassés, il fallait tenir. A nous déplacer comme cela en groupe nous passerions pas vraiement inaperçu. Combien penseraient à l'iminence d'un autre pillage ? J'avais déjà résisté à 'envie de masscrer quelques corsaires imprudents. Tout est une question de temps....
Tyler
Tyler
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
19/03/2006
Posté le 24/11/2007 à 13:14:47 

Pas d'inquiétude à avoir mes frères ... ce qu'il nous font perdre ... ce n'est que du temps ...
Commodore Salas
Commodore Salas
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
11/04/2006
Posté le 24/11/2007 à 21:10:16 

1ère soirée à la belle étoile La nuit était froide. Tous regroupés, nous avions veillé ensemble : buvant, chantant, avant de nous endormir, exténués par cette journée de marche. Le ciel était étoilé, le vent frais. Un silence nous entourait. Je fus réveillé par quelques murmures. Lever en sursaut. Panique. Regards alentour. "Qui va là ?? , demandai-je. J'aperçu une jeune enfant, farfouillant dans mon sac. Pardon, monsieur!!" me dit-elle, "J’ai faim, je cherche juste de quoi manger… Pardon monsieur ! " Elle était maigre et sale. Un air sournois dans le regard, des vêtements déchirés sur ces bras décharnés. Je cette petite en pitié et lui décidai de lui offrir de partager un repas avec moi. Elle pouvait également se reposer pour la nuit en notre compagnie. Je choisis de me rendormir, non sans inquiétude, sachant une étrangère dans nos rangs. Ce ne fut pourtant pas de là que venait le danger. Alors que je rêvais de mes années en mer, je fut soudain surpris de me retrouver assis,… les yeux écarquillés,… la main sur l'estomac. Une tache de sang s’étendait sur ma chemise. Poignardé dans mon sommeil. Qui ??? Je pu apercevoir ce chien. Il restait là, devant moi. Me regardait agoniser. Je réveillai Diego, m’affalai et tombai dans le coma... "Basch, je te traquerai….et n'aurai de cesse de te rechercher. Tu mourras !! Abattu comme un âne blessé....
Anne Providence
Anne Providence
Déconnecté
Inscrit depuis le :
07/08/2007
Posté le 24/11/2007 à 21:20:04 

La petite en question était une belle garce qui avait profiter de la clémence de Salas pour me voler. Elle avait changé l'un de mes pantalons pour une loque, je trouvais le lendemain une rose à mes côtés et une peau de bête. Un petit mot accroché : "Ca vous fera un oreiller" Je fulminais mais elle était déjà loin. Diego n'avait pas aimé la trouver là non plus, peut être avait elle refusé de l'aider à assouvir l'une de ses envies. Je l'ignore mais il était aller lui régler son compte. A son retour je lui fit part du vol, elle il ragea de ne pas l'avoir fait souffrir plus. Lorsque Bash paru rapidement nous n'étions plus sur nos gardes il avait eu le temps d'expédier le Commodore au tapis et je ne du mon salut qu'à un réflexe de défense de Diego. Il semblait que notre position était signalée. Plus la peine de nous cacher. Un massacre en règle s'imposait pour faire payer à Bash sa forfaiture. Bash où que tu sois ce soir et les jours prochains songe à tous les Anglais morts par ta faute et ceux qui tomberont aussi sous notre lame par la suite.
Sir Cemloud
Sir Cemloud
Déconnecté
Inscrit depuis le :
21/05/2006
Posté le 24/11/2007 à 22:33:14 

Les rumeurs du nord étaient inquiètantes. Les pirates avaient investis New Kingston et s'en prenaient à la population armée. Basch les avait trouvés cachés dans les marécages à l'est de la ville. Il avait donné l'alerte. M'étant arrété au sud du repaire des contrebandiers, je me sentais un peu trop à l'écart. La lunette de visée montée sur mon arme je montai un peu vers le nord pour voir si je pouvais faire un carton sur un pirate à la traine. Bientôt je fus trop fatigué pour aller plus loin. Je m'installais donc pour la nuit. Ce campement était sur la route des pirates vers le nord et NK, mais je me rassurais en me repètant qu'ils avaient mieux à faire que me chercher ici. LT joua un moment près du feu, puis alla se reposer dans sa besace. Je commançai à somnoler quand j'entendis le tonnerre. Un grondement grandissant venant du sud. Le ciel était pourtant dégagé, par quelle magie? Soudain je vis une silhouette sombre arriver par le sud. Le bruit devenait plus puissant... LA NONNE! La fameuse nonne, elle remontait sa soutane jusqu'au dessus de ses genous pour pouvoir courrir... J'étais abasourdi par la chose... Je me demandais si elle allait bientot effectuer la fameuse manoeuvre, celle ou elle met sa poitrine par dessus son épaule pour faciliter son mouvement. Mais ce n'est pas sa poitrine qu'elle saisit, mais son tromblon. Elle mit le bas de sa soutane dans sa bouche pour continuer à courrir vers moi. La première balle me manqua, je me mis à couvert. Trop lentement. Une deuxième balle me trouva et vint s'enfoncer dans ma jambe. La nonne ralenti et commença à me harceler de coups. Après un court échange équilibré elle s'adressa à moi, j'étais à genous. - J'aimes pas les ministres du commerce... j'peux pas les voler et ils sont pleins de sous !. Elle se remit à la charge, je parais le premier coup et m'écroula au troisième... Elle ne s'attarda pas sur mon sort et se remit en route au pas de course...
Sir Cemloud
Sir Cemloud
Déconnecté
Inscrit depuis le :
21/05/2006
Posté le 27/11/2007 à 01:44:38 

Je sortais de l'hopital en fin de soirée, encore sous l'influence de la morphine et sous le choc de sa rencontre avec la Nonne. Après plusieurs échanges et une bonne nuit de sommeil je me remis en route vers le sud pour y faire affaire avec un jeune anglais, un peu vert mais qui était désespéré d'acquérir les outils de son métier. Je fus assez généreux avec mon temps et mon argent, lui offrant une bonne affaire et après une longue conversation sur les lieux d'entrainement anglais, je poussa vers le sud. Assez fatigué je parvins proche des lieux de ma rencontre avec la Nonne il y a 2 jours. Je regardais vers le sud et visualisais encore la Nonne crapahutant vers moi. Il faisait plutot sombre et les chauves souris commençaient leur danse silencieuse. Les montagnes proches abritaient plusieurs colonies. Mon attention fut attirée par une silhouette venant vers moi. Ce n'était pas la Nonne... Cette silhouette était en tous cas féminine, mais d'un autre gabarit. J'eu le temps d'enfiler ma chemise de combat et d'équiper mon prototype. Malheureusement j'avais tiré toutes mes balles... Une voix féminine mais plutot forte me parvint...
Anne Providence
Anne Providence
Déconnecté
Inscrit depuis le :
07/08/2007
Posté le 27/11/2007 à 13:25:53 

Ma colère contre les Anglais était loin d'être apaisée. Nous allions remonter, restait à sécuriser la zone. Je fis une sortiede nuit pour partir en éclaireur. Au nord du lac avant New Kinsgton je découvris sir Cemloud actuel ministre du commerce de la perfide Albion. J'hésite un peu entre le laisser ou me venger de certaines de ces remarques perfides. Comme il se réveille à mon approche, finalement je me laisse tentée et lui propose un duel. Après un instant d'hésitation il accepte. Les insultes pleuves. - Chien d'Anglais - madame la bouchère. Le pauvre il ne sait pas que c'est pour moi un compliment. Il est un peu meilleur que moi, qu'importe la victoire n'en sera que plus savoureuse. Par trois fois je lui porte des coups qu'il ne peut parer. Il fulmine invoque le manque de chance. Il chancelle et titube, la victoire est au bout de ma lame. Déjà je lui jette une rose noire et je savoure mon triomphe. J'ignore où il puise soudain un regain d'énergie mais quand je pense lui porter l'estoc, il pare et prend l'offensive. C'est moi qui suis à bout. Nous nous fixons longement du regard. Comme avec Lucifer ou Silk je perds ma concentration. Il me faut me reprendre. Je tourne autour de lui tel un fauve pret à bondir sur sa proie. Je cherche la faille, il est sur ses gardes. Le moment est intense. Un instant encore, une malheureuse hésitation. Il est fort très fort.... Et surgit de nul part Barbe Noir arrive me croyant en danger il vient porte un coup à Cemloud qui tombe au sol terrasé. Je reste un moment interdite. Il n'a pas fait cela ? Il ne m'a pas volé mon combat ? Et pourtant.... Cemloud, tu pouras constater que me place n'est pas au premier étage du Black Beer Pub comme tu me l'as proposé une fois ! Nous nous reverrons et sans Barbe Noire cette fois. Furieuse je rentre au repaire. Je n'ai effectué ni ma mission, ni mon duel. Puisse Le Commodore avoir plus de chance que moi. La tigresse gronde, malheure à celui qui croisera son chemin !
Sir Cemloud
Sir Cemloud
Déconnecté
Inscrit depuis le :
21/05/2006
Posté le 27/11/2007 à 22:01:32 

- Perfide malédiction! Chien de pirate! Ce Barbe Noir, Satan ait son âme! Je fulminais intérieurement. J'avais repris l'avantage. La bouchêre ne savait plus quoi faire avec moi. Elle était blessée et hésitante, affaiblie. Seul un échange séparait l'un et lautre de la défaite et je me sentais chanceux après un mauvais début. Puis cette balle qui me frappa dans la jambe... Une autre qui s'enfonça dans le sol devant moi et fit sursauter la Bouchêre. Barbe Noir fut aussi swift qu'a son habitude. Un coup puissant aux cotes qui me jetta à terre, telle une poupée de son... Je vit les deux malfaisants s'éloigner et perdis connaissance ...
Baern, le graveleux.
Baern, le graveleux.
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
29/08/2007
Posté le 27/11/2007 à 23:37:33 

Sang de poulpe ! j'ai oublié ces bougres de couillons de pirate. * tire le patron de la nouvelle veste pirate piqué à son ancien capitaine. * Héééé je dois me tirer de ce foutu manoir, à moi les galons ! Quoi comment ça je serais pas demain au camp paria ? Fanqurebleu ! *rédige un petit mot qu'il jette dans le gosier d'un perroquet. * Changement de dernière minute. Suis au manoir. Je sors. Lieu de rendez vous changé. Demain à mi chemin chez Ernesto... Si je meurs changement de plan. * bourre sa pipe et pense déjà à la fumée bienfaisante.*
Commodore Salas
Commodore Salas
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
11/04/2006
Posté le 28/11/2007 à 01:13:32 

Nuit de lundi à mardi Après un peu de repos, nous nous décidâmes à partir. La pénombre nous entourait, la nuit était calme à nouveau. Une étrange électricité se faisait pourtant ressentir dans l'atmosphère et,bien qu'ignorant les évènements troublant Liberty, le convoi se remit en route. Nous étions moins nombreux, plus légèrement vêtus, et l'air froid nous rongeait la peau. Alors que le premier trajet s’était soldé par un échec du à la stupidité du royaume pluvieux, nous décidâmes cette fois de couper court à tout repos, et de marcher autant que nous le pouvions à travers les territoires colonisés. Je vous rejoindrai plus tard , Nous dit un de nos frères Ce sera sans moi cette fois , Nous fit parvenir un second. Décidés à garder le moral au plus haut, nous fîmes la conversation au sujet des attributs de cette veste dont Titus nous avait parlé. Il parait qu’elle brille au soleil , murmura Jimi, et qu’elle est faite d’un tissu qui ne se mouille jamais !! On pourra la porter par tous les temps ! Le soleil se pointait à l’horizon quand convînmes de faire halte. Le camp du nord n’était plus qu’à une journée de marche et nous étions tous harassés par ce long trajet. La fortune voulu que l’on trouve un camp abandonné par quelque colon aventureux. Le capitaine préparait une soupe, immonde, mais qui réchauffait le corps et l’âme, pendant que des draps furent disposés sur le sol Nous fermâmes l’œil, l’esprit plus tranquille qu’à notre départ. Les anglais avaient été raisonnables cette fois. Peut-être était-ce du aux menaces proférées à leur encontre ou sûrement grâce à nos frères partis faire récréation au manoir de l’ancêtre… Je l’ignorais. Mais bien que je ne pouvait qu’approuver leur sagesse pour cette fois, je ne pouvais que regretter que les moustachus du Nord vinssent, à leur tour, jouer les gros bras auprès de nous. Ne comprennent-ils donc pas ? Pensai-je, Est-il trop inabordable pour leur cervelle de chimpanzés de concevoir l’union de la confrérie ? Sa solidarité, sa force et son inébranlable désir de reprendre cette île qui est la sienne ?? Hé bien soit ! Ils périront. Ils périront et serviront d’exemple à leurs enfants. Afin que tous comprennent qu’un corsaire, sur Liberty, est un homme qui vit ses dernières heures. Je regrettai la violence de mes frères sur ces innocents. Ils sont simplement inconscients de leur malheur. Ignorants de leur absence totale d’avenir en ces lieux. Des cadavres jonchaient le sol. La terre était rouge. Gorgée du sang de ces imbéciles. Le convoi se devait de repartir. Alors que mes frères reprenaient leur souffle, je décidai de les laisser se reposer, et m’esquivai sans bruit hors de la tente. Dehors, la nuit était déjà retombée. Combien de temps étions-nous donc restés ici ? Je choisi un long bâton de bois encore humide, pour l’utiliser comme canne de marche et repousser les serpents, et décidai de me mettre en route. C’est alors que je fus attiré par un bruit étrange. Un petit perroquet, tenant en son bec une étrange bourse de cuir, se tenait devant moi. Il me regardait fixement et remuait les ailes. Je pris la bourse. Un lambeau de parchemin y était caché. Je le lu, avant de le jeter sur le sol et de prendre le départ en sifflotant. L’arrivée est différente. Le chemin n’en sera que plus serein.
Commodore Salas
Commodore Salas
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
11/04/2006
Posté le 28/11/2007 à 09:54:04 

Je suis arrivé. Seul. Epuisé. Le graveleux est là devant moi. C'est donc toi Le Graveleux ?, Dis-je, J'ai l'argent, ... tu as la marchandise ??
Baern, le graveleux.
Baern, le graveleux.
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
29/08/2007
Posté le 28/11/2007 à 11:46:15 

* Un gringalet me tendit un énorme sac de pièce... 50 000 Po * Héhé T'as peur de rien toi... T'es seul et tu crois que je vais te refiler la fameuse cuirasse de van Buick ? J'ai l'argent et la force de mon côté je pourrais te démolir sur place pauvre mulet. Rpfff Allez tiens vas, tu me fais pitié, voici un exemplaire de la fameuse cuirasse. Fais gaffe à pas te la faire tirer en rentrant chez toi... Sinon je doute que personne ne puisse jamais la dupliquer au repaire... Hé hé hé FFFFFffffffffppppppp *souffle une longue bouffée de fumée de sa pipe dans la tête de l'importun * Allez dégage morveux je t'ai assez vu. * Les corsaires avaient eu 5 jours pour empêcher les pirates d'avoir un nouvel équipement... Ils avaient échoué. *
Commodore Salas
Commodore Salas
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
11/04/2006
Posté le 28/11/2007 à 11:52:07 

Ainsi tout était là... Tout cela pour ca... Allons... rentrons, soupirai-je. Edit : ouais, je m'en doutais...
La langue de bois
La langue de bois
Déconnecté
Inscrit depuis le :
28/11/2007
Posté le 28/11/2007 à 12:54:55  [ Edition bloquée ]

Modo qui passe dans le coin... Roxas
Général Zapata
Général Zapata
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
21/02/2006
Posté le 28/11/2007 à 13:19:32  [ Edition bloquée ]

Modo qui passe dans le coin Roxas
La langue de bois
La langue de bois
Déconnecté
Inscrit depuis le :
28/11/2007
Posté le 28/11/2007 à 13:27:04  [ Edition bloquée ]

(modéré) [ modo jacksparrow666 : y'a un mail pour les plaintes concernant la modération ] Un individu encapuchonné s'avance sur les contreforts de la plus haute montagne de Liberty. Il hume l'air et déclame : - Les corsaires avaient eu cinq jours pour empêcher les pirates d'avoir un nouvel équipement ! Quelle farce ! Etaient-ils prévenus du but de la manoeuvre ? Leurs avait-on au moins indiqué de quoi il retournait ?Y avait-il réellement eu un mérite à l'obtenir ? Décidement cette île a perdu toute sa saveur, plus rien n'y tourne rond et ce ne sont pas des guignols tels que les pirates qui vont lui apporter quoi que ce soit de bon ! La silouhette reste un instant, écoutant l'écho de ses paroles. Puis dans un virvoletement de cape disparait.
-1- 2  

Le forum > Bar de la plage > Le convoi noir


Si vous souhaitez répondre à ce sujet, merci de vous connecter.
Marquer tout le forum comme lu
© 2004 - 2024 pirates-caraibes.com - Tous droits réservés