Faux Rhum Le Faux Rhum Faux Rhum  

Le forum > Taverne > ma révérence
ma révérence -1- 2  
Auteur Message
John Ch "le borgne" Rackham
John Ch "le borgne" Rackham
[ Adminator ]
Déconnecté
Inscrit depuis le :
20/10/2005
Posté le 12/11/2006 à 01:08:55 

le capitaine était encore calme quelques heures auparavant ... mais plus maintenant ... il ne devait pas y avoir beaucoups des ses frères qui l'avaient déja vu dans une telle fureur ... croyez moi que je me suis retenu pour pas en buter un ce soir ! quand la famille n'est plus ce qu'elle était .. il est temps de partir ... je n'ai pas pour habitude de macher mes mots ... et je ne vais pas commencer maintenant ! j'ai tout sacrifié pour la confrérie ... ma vie, mon amour ... le peu de vue qu'il me reste ... vous avez tous remarqués mes traits tirés, la fatigue qui se marque ... mon amaigrisssement ... il est temps que je parte ... je n'ai plus ma place ici ... les jeunes loups sont là .. et bien .. la place est libre ... Azalée ma soeur ... Padré mon ami Alfred mon second .. Armando mon frère .. toi tu sais pourquoi je pars ...tu connaissais mon tourment ... j'aurais pu résiter encore ... mais là .. j'en ai trop gros sur la patate que pour ne pas partir ... il retire son bandana noir .. le pose sur la table jette un oeil à ses frères sors son petit couteau .. celui qu'il a utilisé sur Hopkins ... et le plante en plein milieu de la table cadeau ... [HRP: ceci est juste un RP .. pas de rip en vue, faut pas déconner non plus ..faux espoir ahahah ]
Ely
Ely
[ Adminette ]
Déconnecté
Inscrit depuis le :
09/12/2005
Posté le 12/11/2006 à 01:25:19 

Elyngwen s'avança, la fureur marquant son visage, ses yeux rouges marquant sa douleur. Pas un mot, tout avait été dit... Elle toisa John, un homme comme les autres finalement, le défia des yeux, prit le couteau et s'entailla la main. - Mon sang pour la confrérie ! Elle laissa tomber quelques goutes sur la table. - S'il faut qu'il y en ait un qui nous quitte, dix nous rejoindront ! Vous mes frères, mes soeurs... prouvez moi qué yé n'ai pas eu tord ! Montrez moi la voie et demain nous monterons à la victoire... Nul doute que nous allons prendre cher ces temps-ci. Mais yé en moi oun nouvelle force, oun fureur inextinguible, et yé mourrais cent fois pour vous, yé verserais cent fois mon sang ou yé perirrais à jamais dé la lame dé cé couteau ! Ses jambes tremblaient, la tâche allait être lourde...
Dbsman
Dbsman
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
28/10/2005
Posté le 12/11/2006 à 01:41:54 

*Dbsman assistait a la scène un peu plus loin, touché par les paroles sortant de la bouches du borgne. Il s'avança près de lui* Mon ami... c'est une triste soirée pour la confrérie... j'étais ravi d'avoir combattu a tes cotés et d'avoir été sous tes ordres... Bonne chance pour la suite... A bientot j'espere.. *Dbsman s'en alla un peu plus loin, attristé, il ne dormirait surement pas ce soir*
John Ch "le borgne" Rackham
John Ch "le borgne" Rackham
[ Adminator ]
Déconnecté
Inscrit depuis le :
20/10/2005
Posté le 12/11/2006 à 02:22:15 

il venait de quitter la grande salle ... laissant derrière lui ceux et celles qui étaient sa vie depuis des années ... il arriva dans son bureau ... regarda la chaise offerta par Azalée ... ahaha meme pas confortable en plus ... charogne va ... il avanca par derrière le bureau, ouvri son tiroir, sorti le paquet enroulé dans un mouchoir ... le humma .. ahah night ... si tu crois que tu les auras ... tu te mets le doigts dans l'oeil ... il placa son précieux paquet de cubain dans son sac ... puis ilavanca jusqu'a la fenêtre ... et jetta son regard vers les brumes matinales ... je te l'avais dit ... t'en souviens-tu ? j'en avais fait le serment ... et la parole fait l'homme son regard se perdait au loin ... il n'avait pas d'idée précise de l'endroit où Espéranza se trouvait ... mais il ne lui faudrait pas longtemps pour la retrouver ... je t'avais promis de te rejoindre si tu n'y arrivais pas ... j'ai voyagé par maints sentiers obscures je me suis égarré sur de nombreuses routes ... mais j'ai fini par retrouver la bonne mon amour jettant un dernier regard au soleil levant ... il se tourna vers l'intérieure de la pièce ... qui sait ...se dit-il, en cachant un de ses cubains dans le bureau je viendrai peut-être te rechercher un jour ....
El Padre
El Padre
Déconnecté
Inscrit depuis le :
07/02/2006
Posté le 12/11/2006 à 09:20:30 

Pelallo sortait de ce lit d'hopital depuis quelques jours, il se trainait dans les actions, il tirait le moins possible pour eviter de faire souffrir son ventre encore ouvert. Après une de ces nuits fragile et torturée, Pelallo se réveille en sueur: "Ely, Ely !!" puis il reprit son souffle: "Ely, ou est John ?" Puis il retomba dans le lit encore humide de sueur, les yeux clos...
Alessandro
Alessandro
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
06/11/2005
Posté le 12/11/2006 à 09:46:56 

*Boitant encore un peu Alessandro sortait de l'hopital du bandeau noir quand il vit son capitaine sortir de son bureau et quitter le repère en descendant l'échelle de corde. Peut être étais-ce l'air triste du borgne, ou l'absence de son bandeau noir, (ou encore le fait que capitaine emportait la boite entière de cubains) ... Alessandro compris que quelque chose de grave venait de se tramer. Il fila vers la grande salle du repère et y trouva Dbsman assis dans un coin, la mine maussade, et la charmante Elyngwen, rouge de fureur (Alessandro prit le temps de constater que cela lui allait à ravir), la main en sang, et le fameux couteau du borgne à la main... Il resta interdit quelques instants puis s'avança vers la pirate callipyge* "Ely ? Qué s'est-il passé ici ? "
RIP
Déconnecté
Inscrit depuis le :
Posté le 12/11/2006 à 10:23:38 

[HRP : Didjou !! Tu aurais pu mettre un titre moins alarmiste, j'ai failli me ripper avant de lire le sujet !]
Lady Jade
Lady Jade
Déconnecté
 
Inscrit depuis le :
22/12/2005
Posté le 12/11/2006 à 10:41:53 

[ ] Jade avait entendu des rumeurs... Tout se transmettait si rapidement sur l'île. Le borgne, John, un des plus vieux pirates, avait quitté la confrérie ! Quel bandeau porterait-il alors ? Se contenterait-il d'être un paria, un rejeté ? Tenterait-il de rejoindre une nation ? Mais l'important était aussi son geste envers celle qu'il aimait. C'était donc définitif ? Elle prit une jolie plume et apposa quelques mots sur papier, d'une écriture élégante... Au dela des tourments que vous éprouviez, c'est un magnifique geste que vous faites... Esperanza a décidément beaucoup de chance... Vraiment beaucoup de chance... Elle signa rapidement... L'encre de son nom se dilua sous une larme qui venait de se perdre sur le papier. Qu'importe, lui seul la verrait et il pouvait savoir...
Russell 'Le vagabond'
Russell
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
09/01/2006
Posté le 12/11/2006 à 11:54:22 

Assis sur son lit d'infortune, Russell s'apprêtait à éplucher un oignon quand il entendit des dicussions en dehors de la tente. C'est que même loin de toutes ces villes les nouvelles circulent vites et parviennent jusqu'aux oreilles des reclus, des parias. Le capitaine des pirates, Le Borgne, jettait son bandeau noir. L'oignon finit sa chute dans une marre de pisse. Un si bel oignon ... mais une telle surprise ! Le Borgne ! Du temps où il était encore au service du bastion britannique de Liberty, Russell se souvint de l'homme puissant qu'il était, du ralliement dont il était capable. Rejoindre la confrérie paraissait si naturel pour un homme emprunt de liberté. Mais aujourd'hui voilà qu'un sentiment encore plus fort en a décidé autrement. Loin dans cette jungle, Russell avait eu le temps de réfléchir, de cuisiner son cerveau, de faire bouillir ses pensées. Qui sommes-nous sur cette île ? Quoi de plus fort au final que de refuser de pourchasser autrui pour au contraire le rejoindre ? Russell pris un nouvel oignon dans son filet et recommença à éplucher. Son regard s'humidifia. A la simple proximité du bulbe ou à la découverte de ce qu'une sombre peau peut dissimuler puis révéler ?
Dona Espéranza
Dona Espéranza
Déconnecté
Inscrit depuis le :
13/11/2005
Posté le 12/11/2006 à 12:17:55 

Assise dans l'Outpost, Espéranza somnolait losqu'un perroquet lacha sur elle son butin. Elle ramassa le parchemin et le lue ! Son coeur faillit s'arrêter ! Etait ce posssible ? John, venait il vraiment de quitter la confrérie ? Elle n'en croyait pas ses yeux ! Son rêve allait enfin se réaliser, elle allait pouvoir vivre aux cotés de l'homme qu'elle aimait ! C'est le coeur empli de joie et les yeux plein de larmes qu'elle lui écrivit sur le champ afin de ne pas perdre une seconde de ce bonheur tant attendu !
Ely
Ely
[ Adminette ]
Déconnecté
Inscrit depuis le :
09/12/2005
Posté le 12/11/2006 à 12:37:28 

Ely releva la tête, elle avait entendu des cris de l'hôpital... Son coeur se réveilla, son sang chaud la traversa, elle avait encore des frères et des soeurs sur qui compter et qui comptait sur elle. Elle se délivra de sa torpeur, sentant une main forte dans la sienne. Elle ne savait que trop bien ce que c'était que d'aimer, elle comprit qu'elle pardonnerait au borgne de les avoir laisser... Elle sourit, mais un sourire des plus carnaciers s'afficha sur ses lèvres. - Il est parti Alessandro, il nous a laissé pour elle... Mais yé pense qué l'on entendra encore parler dé loui d'une façon ou d'une autre... Elle quitta la pièce pour l'hôpital, entoura sa main d'un bandage et s'avança vers Melinigos. Elle lui remit les couvertures en place et passa un linge d'eau froide sur son front en sueur. - Calmez vous, yé souis là, tout va bien sé passer.
garett
garett
Déconnecté
Inscrit depuis le :
05/11/2005
Posté le 12/11/2006 à 13:03:34 

Dans cette île fantastique que les momies et les démons hantaient, la magie s’amusait parfois à malicieusement transporter les conversations les plus secrètes. Fatigué, assis dans un recoin de la grotte, il écoutait. Des fumerolles transportaient des portions de conversation. Ainsi LeBorgne a décidé de quitter la confrérie. Il est déçu par ses anciens frères. L’amour….. Autant garett espérait secrètement le retour d’une légende de la nation anglaise, autant ce n’était pas la première fois que ce dernier s’écartait de ces camarades d’infortunes, puis les retrouvait. L’Angleterre avait tellement changé elle aussi. Doña Espéranza avait retrouvée la nationalité espagnole, Est-ce que ça allait changer quelque chose? Garett se retourna, demain il avait encore une longue route à faire. Avant de dormir, il eu un petit sourire. La magie de l’île avait aussi transporté les dernières pensées de Don Alessandro. Il resta interdit quelques instants puis s'avança vers la pirate callipyge* Il s’inquiétait pour les attributs viril de ce pirate. Garett avait lui aussi remarqué le postérieur rebondie de la pirate. Mais il s’était montré discret. . L’éducation anglaise…
RIP
Déconnecté
Inscrit depuis le :
Posté le 12/11/2006 à 13:21:00 

Le vent portait parfois les sombres nouvelles d'un bout à l'autre de l'île. Le souvenir des cloches du monastère Saint-James, qui sonnaient à la volée, qui résonnaient dans le terrible orage qui menaçait de noyer les moins et leur réserve de bière. Elle n'avait pas eu besoin d'un message pour savoir qu'au manoir, Rafaella était morte. Ce souvenir lui glaça le sang. Nulle cloche dans la corniche. Nulle église qui puisse continuer de symboliser sa lutte contre le Borgne. Alors pourquoi avait-elle su, tout de suite, qu'il se passait quelque chose ? Elle regarda autour d'elle, et la vit. Rafaella. Le visage plein de haine, rongée par un désir furieux que Lizzie imaginait être la vengeance. C'est elle qui l'avait ressenti et l'avait transmis Lizzie. Etrange magie qui liait le bourreau et la victime. Le Borgne quitterait la confrérie... Elle perdrait sa révérence et sa crainte envers les pirates. Hawk, Night, les faux médecins, les traitres bas-de-gamme... Nul n'était digne d'être combattu et encore moins craint. Une nation l'accueillerait-il ? Probablement l'Angleterre, ce ramassis de lâches et de fourbes. L'avenir promettait d'être mouvementé. En silence, Lizzie aiguisait sa lame.
Johann Faust, dit 'le Docteur' (Daisuké)
Johann Faust, dit
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
12/03/2006
Posté le 12/11/2006 à 13:37:02 

*Daisuké était abbatu. Encore la veille, il avait été assit a côté de cet homme, grand et fier, qu'était son sensei. Il lui avait dit de se calmer, de sentir l'odeur qui émanait du café, de s'assoire, de regarder les étoiles et les montagnes au loin. Personne mieux que lui ne savait se qu'il aimait, se qui le calmait, se qui le faisait rire, se qui le rendait triste aussi. Aujourd'hui il était parti, son bandeau noir troué laissé sur la table du repère. L'impression d'un vide immense. Daisuké prit le bout de tissu noir et l'enfourna dans sa poche, avant de sentir le contact avec son carnet. Encore une preuve de son attachement a cette personne: le carnet de victimes du borgne. Daisuké soupira...* "Sensei... Regardez moi. Aussi loin que vous puissiez etre, regardez moi. Je vous ferais honneur, a vous et a vos preceptes, en souvenir du temps passé. Je me debrouillerais, et un jour, vous serez fier de moi!..." *Daisuké finit par sortir du repere, l'esprit un peu confu. Ses freres pourraient compter sur lui, mais il lui fallait un peu de temps pour reflechir....*
Drake, 'Le Malin'.
Drake,
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
23/11/2005
Posté le 12/11/2006 à 17:22:39 

*Drake avait écouté le capitaine faire son annonce, il avait accepté cette nouvelle avec un étrange sentiment : bien que son frère exposait une colère des grands jours, il était évident que celui-ci avait prévu son départ depuis un certain temps* *Il afficha un sourire, et murmura* "Sacré Borgne, toujours là pour faire le spectacle... quoi qu'il arrive"
La Nonne
La Nonne
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
29/11/2005
Posté le 12/11/2006 à 18:47:11 

* Azalée rentra au repère car le pillage d’Espéranza avait vraisemblablement été annulé…elle avait attendu en vain une bonne partie de la nuit tout prêt du point stratégique qu’elle devait prendre. Elle n’avait pas compris pourquoi ses frères n’avaient pas été au rendez vous ce soir là, tirer au flan ne leur ressemblais pas. La religieuse entra dans la grande salle et vit les mines décomposées de ses frères...pour sûr ça sentais le sapin. Après s’être enquit de la nouvelle et ce fut à son tour d’être abasourdie et ses rides se creusèrent. Suite à un long silence elle lâcha * Comment a-t-il pu nous faire ça, sans prévenir et en plein milieu du plan tordu qu’il avait échafaudé… c’est l’acte le plus lâche qu’un de nos frères n’ai jamais fait… je n’arrive pas à y croire tellement il me déçoit. * Elle s’assoie et se prend la tête dans les mains * C’est le genre de chose qui arrive à me faire douter de mon engagement pour notre cause…mais ne vous inquiétez pas, je vais me battre pour défendre nos intérêts même si j’avoue ne plus y trouver plus aucun plaisir après avoir entendu ça. Il savait très bien que nous ne lui aurions fait aucun reproche pour le pillage raté, c’était une opération d’envergure encore jamais tenté, les chances de succès étaient infimes mais nous l’avons tous suivi de notre plein gré. Tout ça pour l’autre poilue d’Epséranza, si il tenais vraiment à retrouver sa femme à barbe il n’avait qu’à demander sa réintégration, et pas tous nous prendre à revers comme un… un… * D’un coup elle se leva, grimpa à l’escalier comme une furie et ouvrit la porte du bureau du capitaine avec fracas. Elle scruta la pièce 3 secondes puis saisi le fauteuil qu’elle avait offert au dernier capitaine puis, de toutes ses forces elle l’envoya à travers la fenêtre qui vola en éclat. Espérant que le Borgne ne soit pas trop loin pour l’entendre, elle hurla de toute ses forces par le trou béant * J’espère qu’il vous tombera dessus et que ça vous brisera le cou espèce de lâche !! De toute façon c’était un vrai tape cul mais vraisemblablement vous ne méritiez pas mieux !! Allez retrouver votre guenon hirsute si ça vous chante Capitaine « Que pour ma gueule » !!! … * respire bruyamment * … Plus que par mon frère,…mon second, …mon capitaine, … c’est par un fils que j’ai l’impression d’avoir été trahit… ALLEZ AU DIABLE !!! * Puis la religieuse se laissa tomber sur le plancher qui lui aussi émit une plainte de souffrance, elle était à bout de souffle et n’avait jamais paru aussi vielle*
Lord Hawk
Lord Hawk
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
04/01/2006
Posté le 12/11/2006 à 18:59:57 

*Hawk avait écouté le discour du borgne attentivement, un départ ... encore, il n'en croyait pas ses oreilles ... John, qui s'était tellement investit pour la confrérie ! Et tout ca pour ... pour une femme ...* Mon capitaine, mon frère ... si tel est ton choix ... mais sache que tu vas nous manquer ! *Puis voyant Azalée sur le plancher s'approcha d'elle et lui tendis une main pour l'aider a se relever* Nous nous y feront ma soeur, relèves toi, il ne faut pas sombrer dans le désespoir et la colère! Pour la confrérie !!!
La Nonne
La Nonne
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
29/11/2005
Posté le 12/11/2006 à 19:09:02 

* Azalée saisi la main du jeune homme qui peina à la relever * J'admire comment vous restez de marbre face à ...cette trahison mon enfant. Vous êtes manifestement plus posé qu'à votre arrivé. Quand à moi, même si c'est la déception qui me fait parler, ma colère n'est pas encore prête à retomber. Je vais d'ailleurs aller débusquer nos futurs envahisseurs, il n'y a que ça qui peut me détendre sur l'instant et j'ai grand besoin de me changer les idées.
Ralex
Ralex
[ Adminateur ]
Déconnecté
Inscrit depuis le :
24/09/2006
Posté le 12/11/2006 à 19:09:57 

.
Alfred
Alfred
Déconnectéparia
Inscrit depuis le :
16/12/2005
Posté le 12/11/2006 à 19:45:42 

* Alfred tournait autour de l'auberge depuis que le Borgne était parti, il avait esquivé le siège qui était passé par la fenêtre quelques temps plus tôt, et il continuait à ruminer pour lui même Ah celui-là il m'en aura fait de belles ! C'était vraiment un piège que d'accepter de devenir son second ! L'argumentaire était bon en plus, contrebalancer sa violence et son impulsivité, et patati et patata. Je m'en étais bien tiré, depuis la défense de notre camp contre les hollandais, j'avais réussi à amener mes frères dans les mines en leur demandant de rester calmes. Et ces français qui sont devenus jaloux, pouah !!! Et cette idée qu'il s'était faite, le John, qu'il avait été complétement exploité lorsqu'il avait été second de soeur Azalée, et que c'était ça le boulot d'un capitaine ! Glander pendant que le second se tape tout le boulot. Il avait lancé cette idée de pillages à la chaîne, et qui devait préparer la logistique de tout ca ! Ben le bon Alfred ! A New Kingston, pas de soucis, les frères s'étaient coordonné comme des chefs, mais Esperanza, une odeur, une image, je ne sais quoi a suffit à John pour perdre le fil, et vlan, tout parterre ! C'est sur qu'il y allait avoir un avant et après ce pillage raté, mais au lieu d'une crise de nerf du genre "c'était de votre faute", comme on pouvait s'attendre du sang bouillonant du Borgne, le vla qui ouvre son coeur à ses émotions, prend tout sur lui, même ce qui ne lui incombe pas, et part rejoindre la Grizzly ! * On commencait à percevoir l'usure des planches, là où Alfred venait de tourner en rond pendant des heures (encore du boulot pour le prochain mousaillon , nettoyer et lustrer les planches de la terrasse de l 'auberge) Et avec tout cela, on va devoir se défendre contre les anglais qu'on entend déjà s'organiser autour du campement ! Pfffuiiiit
Couskou Van Haecken
Couskou Van Haecken
Déconnectéparia
 
Inscrit depuis le :
25/11/2005
Posté le 12/11/2006 à 20:47:37 

...Ainsi donc, John vieux briscard, l'Amour t'aura dérobé ton dernier oeil ! Pour le déposer sur ton coeur... La Cause est éxigente, mais ne mérite pas le sacrfice de deux êtres qui s'aiment... Que l'esprit de Libertalia souffle sur tes prochaines aventures, mon frère, dans de somptueuses volutes de havanes ! Alfred, passe moi un seau, une brosse ! Besoin de me défouler tout d'un coup !
Dulcina Fagney
Dulcina Fagney
Déconnecté
Inscrit depuis le :
13/02/2006
Posté le 13/11/2006 à 01:42:56 

Tard dans la nuit, alors que je m'endormais sur un fauteuil, j'entendis de petits bruits contre la fenêtre... Je vis un oiseau claquer son bec contre la vitre, et me leva pour lui ouvrir. Choco et Hyppelos me demandèrent ce que c'était. Je lu le message, et leur dis: "Le Borgne a abandonné son bandeau... pour rejoindre son Amour!!" Choco et Hyppelos se mirent alors à rire : "Quel dégonflé celui-là, il vient nous provoquer et il s'en va quand il faut se battre hahaha" De mon côté, j'étais mitigée... S'il faisait vraiment ça par Amour... je ne pouvais que le comprendre... Ammokk me manquait tant... Laissant mes amis se recoucher le sourire aux lèvres, je repartis songeuse, dans un sommeil profond, où je me voyais courir après mon bien-aimé, sans jamais réussi à le rejoindre...
Liberty Sing
Liberty  Sing
Déconnecté
Inscrit depuis le :
27/03/2006
Posté le 13/11/2006 à 10:38:35 

C'est avec une délicieuse attention que depuis mon bureau de Port-Louis, j'observait les réactions que cette nouvelle affiche, placardée au quatre coins de l'ile, provoquait. Ainsi donc ce fier Capitaine tire sa révérence dans un élan mielleux qui ferait vomir un mousse en herbe. La chienne des égouts d'Esperanza n'a pas tardé à réagir avec une navrante théatralisation de son fanatisme envers une cause qu'elle n'avait toujours pas pris la peine d'analyser. Dbsman, courtois dans le plaisir qu'il ressentait à voir un rival s'éloigner ne mit pas longtemps à se replonger dans son mutisme qui est le sien depuis son élévation (c'est ainsi qu'il appréhende son obtention du bandeau noir). La dignité et le dandisme d'Alessandro vint rafraichir quelque peu l'atmosphère, tandis que le nain éduqué par Le Borgne envisageait déjà son émancipation, les yeux brillants d'orgeuil orientés vers la sortie. Drake, à son habitude, affichait de facade un recul face à cette situation. Tout juste était-il triste de perdre en Le Borgne un valeureux adversaire au concours du collage d'affiche! La Nonne, aussi borgne que mafieuse, sans nulle doute de l'ancienne génération, celle qui ne comprenait ni n'acceptait la traitrise, bouscula tout son petit monde dans une de ses colères légandaires, ayant bien conscience que la condescendence de ses freres envers LE traitre était le signe innéluctable du déclin de la confrérie. Lord Hawk, avait déjà analysé la situation: plus qu'un capitaine, c'était l'unité de la confrérie qui s'échouait sur la rive de cet amour perdu. Alfred, le fidèle second était desespéré. Il avait toujours accepté de ,'etre que le second des basses oeuvres sans rechercher la gloire, mais il se sentait trahit personnelement par le geste du Borgne, meme si son caractère l'empechait d'exprimer sa colère. Haeken, le commerçant verreux voyait quant à lui un compagnon de jouissance s'éloigner. Les freres de la cote attendaient désormais la réaction de celui qui, avide de pouvoir, allait tenter de profiter de cette chaise vide.
John Ch "le borgne" Rackham
John Ch "le borgne" Rackham
[ Adminator ]
Déconnecté
Inscrit depuis le :
20/10/2005
Posté le 19/11/2006 à 22:06:59 

le borgne reposait tranquillement dans la clairière qu'il connaissait particulièrement bien ... il avait réussi à échapper aux tireurs espagnols qui le traquaient depuis qu'il avait plaqué la confrérie pour rejoindre Espéranza ... confrérie qu'il avait plaqué plus rapidement que prévu à cause d'un de ses frères .. il venait de retrouver celle qu'il aimait ... laissant un espagnol à sa recherche en vie à quelques pas de lui ... il fini par s'assoupir, ce disant que celui-ci serait assez intelligent que pour attendre le lendemain matin et leurs laisser une nuit de répis il n'avait pas pensé qu'un peu plus loin se trouvait son ancien repère et que c'est de là que viendrait le danger Espéranza et lui n'avaient pas encore profiter de la nuit, fatigués qu'ils étaient ... ils avaient fini par s'endormir ... ils se réveilleraient sans doute avant l'aube comme avant, aimant faire l'amour juste au lever du soleil, celui-ci venant les illuminé au moment crucial ... mais cette fois-ci .. cela ne se passerait pas comme ca ... il senti une chaleur couler dans son cou ... la chaleur du sang d'Espéranza ... il entendit un léger bruit de pas s'éloignant ...le laissant là, avec sa femme inerte contre lui ... son sang bouillonant ne fit qu'un tour ... sans rien y voir à cause de la nuit noire, il se rua, arme au poing et pistolet sorti, sur l'ombre qui allait pénétrer dans la tente d'aventurier ... il eu juste le temps de tirer 2 balles à bout portant mais le tueur l'attendait ... on aurait dit qu'il le savait... et l'avait provoqué ... il était déja pret ... le borgne ne s'y attendait pas lui .. la surprise fut totale .. quand dans un éclair de lune ... il reconnu celui à cause de qui il avait quitté la confrérie ... désormais .. il n'y aurait plus de paix entre lui et le charognard
RIP
Déconnecté
Inscrit depuis le :
Posté le 19/11/2006 à 23:24:16 

Nightbringer attendit la nuit pour sortir de sa cachette, et se mit à errer seul vers le Nord à la recherche d'adversaires, humains ou monstres, afin de s'améliorer dans l'art du combat à l'épée. Il marchait encore et encore, jusqu'à entendre une personne bouger, le bruit des bottes foulant le sol faisait écho dans les profondeurs de la nuit. Puis il entendit la voix de cette homme, qui chantait un air de guerre en espagnol contre les frères de la côte, se permettant cet excès de confiance en soi se croyant seul ; mais son destin était désormais scellé. Le pirate se rapprocha alors prudemment et sans bruit de l'espagnol, tel un loup chassant son gibier. Et dès qu'il fut assez proche..... Dans un dernier souffle de vie, les mots "borgne", "Esperanza" et "pirata, hijo de puta !" se firent entendre de la bouche de l'ibère. Bien que ne connaissant pas la signification de la dernière expression, Nightbringer ne tarda pas à comprendre que le borgne et sa chienne, cette traîtresse de Dona Esperanza, rôdaient dans les environs, il fallait qu'elle paye pour ce qu'elle avait fait à la confrérie, peu importe les risques que cela pourrait entraîner. Il se remit en route, puis après des heures de marche, trouva enfin les deux brigands en pleine clairière, endormis... Il ne voulait pas faire de mal à son ex-capitaine, mais sa femme devait être châtiée. Esperanza fut donc emportée quelques mètres plus loin contre son gré, et le pirate engagea le combat ; quelques minutes plus tard, la traîtresse ruisselait de sang, bien qu'elle ne fut pas la seule. Nightbringer, épuisé, ramena le corps auprès du borgne, il aurait une suprise à son réveil... elle vivait toujours, mais son supplice était pire que la mort. Il était prêt à reprendre la route lorsqu'il vit son vieux compagnon bouger, le combat était inévitable après ce qu'Esperanza venait de subir. Il partit donc vers une tente non loin, mais trop tard... 2 balles sifflèrent et touchèrent leur cible, Nightbringer était presque mort lorsque le borgne s'avanca devant lui arme au poing. Le visage de l'ex-capitaine des frères de la côte se déforma à la vue de l'ombre qui lui avait pris celle qu'il aimait, mais il se devait de la venger... cependant rien n'y fit, la jeunesse de son adversaire pris le dessus et n'ayant pu placer la moindre touche, le borgne s'en allait rejoindre sa chienne au pays des songes...
-1- 2  

Le forum > Taverne > ma révérence


Si vous souhaitez répondre à ce sujet, merci de vous connecter.
Marquer tout le forum comme lu
© 2004 - 2024 pirates-caraibes.com - Tous droits réservés