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la fin d'un calvaire .. ou comment sortir des geôles espagnoles ... -1- 2  
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John Ch "le borgne" Rackham
John Ch "le borgne" Rackham
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20/10/2005
Posté le 20/07/2006 à 19:45:05 

cela faisait pratiquement 3 semaines que je 'vivait' dans un putain de cellule haute sécurité dans la prison d'Espéranza ... l'ex général hijo dé puta Alejandro m'y avait enfermé suite à certaines exactions de ses propres troupes ... il parrait même qu'il aurait abattu, lui-même, un de ses propres soldats ... pdt 2 semaines, j'ai oscillé entre vie et mort ... les trop nombreuses blessures acquissent au manoir hanté m'avaient vraiment affaiblies ... et puis, j'appris plus tard, par un de mes geôliers, que lors du rituel pour Rafaëlla, j'avais énormément déliré, faisant croire à mon gardien que j'allais passer l'arme à gauche la nuit même. Mais il m'en fallait plus que celà. A mon réveil, il y a quelques jours, je senti comme un vageu d'air frais battre le long de ma gorge .. mon esprit s'égarra du coté de la femme que j'aime ... bientôt elle sera près de moi .. peut-être même viendra-t-elle me cherche ici ... défiant ses anciens compatriotes ... plus les jours avancaient et plus des rumeurs folles circulaient au sein de la garde espagnole .. on murmurrait que mes frères organisaient ma libération ... il était temps ... je commencais à perdre trop de poids dans cette cellule ...
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Posté le 20/07/2006 à 21:29:33 

Alejandro reprenait ses esprits dans un lit de la zone de soin de la corniche quand il surpris la conversation de deux infirmières. Le Borgne allait être libéré par ses compagnons. Alejandro se doutait qu'ils allaient tenter quelque chose mais était surpris que l'opération se soit montée si vite et si discretement. Alejandro interpela un docteur Hola doctor, yé dois partir. Le docteur fit demi-tour, vraissemblablement habitué à ce genre de propos mais Alejandro lui saisit le bras Non vous ne comprennez pas. Je dois vraiment y aller. Je dois retourner a Esperanza, un dangereux criminel est sur le point de s'échapper et je ne veux pas être couché là quand il le fera... *cough*... *cough*... Une quinte de toux interrompit Alejandro. Le docteur hesita un moment et appela une infirmière. Il lui tendit une clef. Faites préparer l'attelage d'intervention sur le terrain et aller me chercher une des fiole bleue que je conserve sous clef dans mon bureau. Il se retourna vers Alejandro Je ne sais pas qui vous êtes mais j'ai entendu parler de ce pirate et des massacres qu'il perpetue. Vous avez participé à sa capture ? Alejandro esquissa un sourire avant qu'une douleur ne le transforme en grimace Ou...oui. Le docteur hopina du chef Bien. Le voyage ne sera pas agréable mais vous serez en meilleure forme en arrivant. En attendant, buvez ça. Le docteur tendit à Alejandro la petite fiole bleue que venait de lui apporter l'infirmière. Mmmhh... Ce n'est pas mauvais. Il faudra que je... Les mots de l'espagnol se perdirent dans le néant dans lequel il plongea...
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Posté le 21/07/2006 à 01:15:50 

BAF! BAF! Alejandro ouvrit les yeux et saisit son agresseur à la gorge. Une poigne de fer bloqua sa main Hola amigo, tout doux. Los doctores viennent dé té déposer y ont dit qué tou allais té réveiller mais yé n'avais pas le temps d'attendre ! Alejandro reconnu Inigo Montoya. Ses joues en feu lui signifiaient à quel point Inigo était impatient... Alejandro se remit sur pied et fut surpris de se sentir en si bonne forme. Il y avait quelques heures il était mourant et là il parvenait à tenir debout. Inigo, il faut que je te parle de petites fioles bleues qu'il faut absolument que l'on se procure et... Oui oui plous tard l'interrompit Montoya Va donc té rémettre d'applomb, nous sommes en train dé mettre en place lé plan dé défense. Alejandro se rendit à l'auberge et engouffra 3 brochettes. Il hésita devant les bonnes grosses pintes mais il aurait besoin de toute sa tête ce soir... Il retourna devant la prison, là où se rassemblaient les braves qui allaient tenter de repousser l'attaque pirate. http://img100.imageshack.us/img100/1687/prisonbreak1cc4.jpg
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Posté le 21/07/2006 à 01:49:06 

Alejandro patienta un moment, les échanges allaient bon train et une stratégie commençait à se mettre en place. Il fallait absolument savoir quand les pirates allaient passer à l'attaque pour essayer de les surprendre aussi des volontaires iraient se placer dans les couloirs pour monter la garde alors que le gros des troupes resterait en retrait en attendant l'alerte. Alejandro participait aux débats quand une voix lointaine le troubla ...hijo de puta... Alejandro secoua la tête, cela devait être le vent. Il reprit sa discussion. ...viva la libertad... Les sourcils froncés, Alejandro tourna la tête de part et d'autre puis leva le regard. Il eclata de rire en voyant Le Borgne, visiblement affaibli par son séjour tous frais payés, agiter le poing derrière les barreaux de sa cellule ! http://img91.imageshack.us/img91/4966/prisonbreak2tv1.jpg
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Posté le 21/07/2006 à 01:51:17 

ALERTE ! ALERTE !! ILS ATTAQUENT !!! Sebarbare avait eu le temps de donner l'alarme avant de succomber ! Polisson et La Mangusta furent terrassés peu après mais eux aussi avaient joué leur rôle, ils avaient ralenti les pirates mais surtout ils avaient permis de les localiser précisemment. L'assaut fut lancé. Alejandro grimpa l'échelle à toute vitesse et débarqua le premier à l'étage de la prison. Il pouvait voir 3 pirates : Alessandro, Hawk et Azalée. Hola crapules ! http://img230.imageshack.us/img230/4884/prisonbreak3pv2.jpg
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Posté le 21/07/2006 à 02:27:44 

Ensuite tout alla très vite. Inigo le rejoignit et mit en joue Hawk. Alejandro s'approcha pour jauger la force des attaquants et sentit la balle siffler a ses oreilles. Lord Hawk tressaillit sous l'impact. Alejandro le mis en joue également mais le pirate s'effondra. Inigo avait ouvert le bal, il était temps de trouver une cavalière. Alejandro voyait la Nonne à quelques pas de lui et Tequila un peu plus loin mais ne pu se résoudre à tirer sur une femme ce soir là. Il pivota et tira sur Leon qui s'écroula alors que deux balles le touchaient à la cuisse. http://img96.imageshack.us/img96/8761/prisonbreak7xu7.jpg Il redressa la tête pour identifier son tireur et apperçu Azalée qui le regardait en souriant. Pas mal la Nonne... Deux autres balles le touchèrent. Zvargas maintenant, qui avait visiblement une meilleure arme que son capitaine. Trois autres balles sifflèrent et le loupèrent d'un bon mètre. Alessandro maniait le tromblon aussi bien que le balai ! http://img96.imageshack.us/img96/6862/prisonbreak4xy7.jpg Alejandro éclata de rire et se moqua des frères de la cote quand Drake lui colla ses deux bastos en pleine poitrine. Marcel enchaina et il avait, lui, visiblement des aptitudes particulières pour le tir mais seules deux de ses quatre balles touchèrent Alejandro, fort heureusement... Tequila, la pacifique, décida elle aussi de jouer du tromblon et tira par deux fois en criant "je suis désolée de cela. Mais je vise dans votre main pour que vous lachiez votre arme". Une seule de ses balle toucha. Tout ceci s'était déroulé en quelques instants et Alejandro, étourdit par les impacts n'avait pas pu bouger. Il reussit cependant à faire quelques pas en arrière pour se mettre à l'abri. Ils avaient failli l'avoir ! Une ou deux balle de plus et s'en était fait de lui ! http://img93.imageshack.us/img93/2750/prisonbreak6wz3.jpg
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Posté le 21/07/2006 à 03:06:05 

Alejandro utilisa tous les bandages qu'il possédait pour boucher ses trous Hijos dé puta ! Essayer dé mé transformer en passoire, moi ! Mais alors qu'il se soignait Inigo le prevint que les pirates s'approchaient. Don Armando tout d'abord apparu au bout du couloir. Alejandro s'était posté à coté d'Inigo, empaleuse à la main, en face du pirate. Ils se défiaient du regard. Puis tout à coup, Marcel dépassa le coin et les chargea. Alejandro et Inigo se mirent en garde et s'en suivi un combat titanesque. Une des touche de Marcel perfora le ventre d'Alejandro. Il allait mourir là, il tenait à peine debout. Il recula d'un pas, ce qui le sauva car l'arme de Marcel s'abatit dans le vide, et leva son tromblon. Marcel ne vit jamais la balle arriver. Lex yeux d'Alejandro se brouillaient et il ne vit même pas arriver Don Armando qui d'une attaque l'envoya au sol à coté de Marcel. L'aventure se terminait là pour Alejandro, sa chute lui paru être interminable. Il savait qu'il allait mourir, la lumière blanche le lui disait. Il était bien. Il n'avait plus mal nulle part, la lumière le rechauffait. Il était bien. Il pouvait enfin se reposer, la lumière chantait pour qu'il s'endorme. Il était bien. Il se laissait aller vers cette lumière qu'il voyait là, juste là, à quelques pas. Il était bien. Enfin pas vraiment bien, il y avait quand même cette piqure sur le flanc qui le genait un peu ! Qu'est-ce que c'était que ce truc qui gachait son départ !? Alejandro réouvrit les yeux et vit quelques pétales mélangés au sang qui s'écoulait sous lui. Quelqu'un avait glissé une rose dans sa ceinture sans qu'il ne s'en apperçoive et il était tombé dessus. Alejandro esquissa un sourire et ferma les yeux. Mais, cette fois, la lumière était partie.
John Ch "le borgne" Rackham
John Ch "le borgne" Rackham
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20/10/2005
Posté le 21/07/2006 à 03:38:55 

le borgne était couché sur son lit de bois, d'un bois moins dure que ca tête ... les murs de la prison résonnaient d'un chant nouveau ... un chant qui lui plaisait un chant qui lui redonnait espoir un chant qui lui apportait des nouvellas de ses frères un chant qui lui chantait le doux nom de son aimée ... l'espoir de revoir Espéranza faisait battre ses tempes ... son coeur courrait dans sa poitrine ... il allait la revoir ... elle viendrait le chercher ... elle serait là, avec ses frères ... et rien ne leurs résisterait ... ils seraient les plus fort ... ils connaisaient ses frères .. il savaient qu'ils ne craignaient rien ... ils n'avaient pas peur de mourir pour un des leurs ... pour lui ... demain ou dans deux jours, il verrait le soleil .. il serait avec elle ... oh mon amour ... comme ta vue sera douce ... hardi les gars ... boutez moi ces putains d'espingouins hors d'ici ... fauchez les ... trucidez les ... tuez les tous ... puis le borgne émis une pensée ... et pour cette hijo dé puta d'Alejandro .. criblez le de balles .. faites lui bouffer du plomb à en vomir ... que lizzie pleure toutes les larmes de son corps ... mort au tyran ... viva la libertad .... viva el cofradía ET QUE LE CHAT DE GOUTIERE CREVE
Bragado Balboa
Bragado Balboa
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27/02/2006
Posté le 21/07/2006 à 05:24:31 

Depuis lz temps qsu'il montait la garde devant la celulle du borgne ilavait ampleme,nt eu le temps de reflechir a ses acrtions. Convoquer pour empechjer la lberatiojn du pirate par ses paires il avait pris tout les riqsques pour venir defendre son prisonier. C''ae avait deja étée assez dur de le capturerer il nefalllait pas relacher se efforte maintenant!! Depuis il montaot la garde...
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Posté le 21/07/2006 à 08:39:19 

Assise contre un mur dans le couloir du troisieme etage, Lizzie tentait tant bien que mal de se reposer sans s'endormir... On ne savait jamais avec ces maudits pirates, ils pouvaient surgir a tout moment. Le plus difficile, c'etait cette attente impatiente avant le combat : des heures ou l'on s'interrogeait fatalement sur l'interet de risquer sa vie sur un champ de bataille. Lizzie jeta un coup d'oeil autour d'elle. Kan etait assis juste en face d'elle, lui non plus ne dormait pas. Il etait pret. Un peu partout dans l'etage, des Espagnols veillaient en silence, prets a tomber sur les freres de la cote si ceux-ci arrivaient. De sa position, Lizzie ne voyait pas la geole de Le Borgne. C'etait mieux. Apres tout ce qui etait arrive, Lizzie aurait peut-etre pu lui pardonner, mais le pardon n'etait pas vraiment dans sa nature, et quand elle pensait au desespoir de Louis-Philippe, elle voyait le Borgne ricanant en arriere-plan. C'est lui qui avait cause tous ces malheurs... Tu n'echappera pas a la justice divine, gromella-t-elle a voix haute. Pas question de le laisser s'echapper, rejoindre ses freres et sa bien-aimee. Elle respectait les amours impossibles plus que tout au monde, mais elle ferait son possible pour que celui-ci se termine dans le sang et dans les larmes. Que pouvait-il se passer a l'etage inferieur ? Le silence etait terrifiant, beaucoup plus que le vacarme des armes qui les avaient tenus eveilles pendant la premiere moitie de la nuit. Les pirates passeraient-ils ? Elle esperait que quelqu'un viennent jusqu'a elle, elle avait tant de comptes a regler. Le Padre... J'ai trois balles dans mon tromblon que je garde specialement pour toi, promit-elle a la nuit. Il apprendrait le prix a payer pour avoir trahi sa confiance. Elle aimerait beaucoup rencontrer Soeur Azalee aussi. Jeune hollandaise a peine debarquee sur Liberty, tout le monde ne lui parlait que de cette Nonne terrible, voleuse, traitresse, qui avait durablement traumatise son pays. Elle lui gardait aussi quelques coups d'empaleuse... Mais que se passait-il a l'etage inferieur ? L'attente, le fait de ne rien savoir etaient insupportables... Ou etait Alejandro ? Probablement en train de se battre pour sa patrie. Il avait fait une tete assez bizarre quand elle lui avait donne une rose, avant d'entrer dans la prison. Allons, comment pourrait-il se douter de quelque chose ?, se dit Lizzie. Meme elle n'etait pas certaine de ses sentiments. Il y avait bien ce poeme, griffonne a la hate et offert au vent, mais etait-ce suffisant pour croire a l'amour ? Lizzie se renfrogna. Elle n'aimait pas se sentir dependante de quelqu'un. D'ailleurs elle n'etait dependante de personne, et elle s'en moquait bien de savoir si Alejandro etait vivant ou mort. J'espere quand meme qu'il est vivant... pensa-t-elle une derniere fois.
el Valiente del Clacos
el Valiente del Clacos
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05/04/2006
Posté le 21/07/2006 à 09:27:46 

les renforts sont arrivés directement au deuxieme étage profitant d'une breche dans le toit de la prison pour s'y introduire. La garde déja présente leur raconte ce qu' il s' est passé avant leur arrivé. Ils frémissent en comptant leurs blessés et acclament la bravour de leurs compatriotes." 7 pirates sont tombés mais a quel prix ?" "Des francais des hollandais sont venus nous aider" constate fierement valiente confortant l'idée que ce combat est juste. "Mais force est de constater qu'aucun anglais n' est venu se joindre a nous." Il s'efforça a rester éveillé surveillant l' entrée du second étage mais peu a peu ses paupieres se referment. Non je dois etre en pleine possession de mes moyens pensa t il. Ces chiens de pirates n' auraient aucun scrupule a nous massacrer durant notre sommeil. Tous a l'écoute du moindre bruit provenant de l' étage inférieur Valiente s'était allongé dans le couloir il pensait a des milliers de choses tout d' abord en rapport avec l' opération puis son esprit s' égara ... Il s'endormit. Le réveil fut pénible car le sol de la prison n' est pas réputé pour son confort. La garde était toujours présente patiente mais l' atmosphere était chargée, les pirates vont arriver, d'un moment a l' autres pensent ils tous. Lizzie paraissait préoccupé comme absorbée par les pensées d'un autre. "Qu ais je a lui offrir pour lui remonter le moral? Quelques roses... C'est toujours mieux que rien. " Sans mot il lui tendit un maigre bouquet sans prétention ni mauvaises pensées. Un bruit parvient d 'en bas. Il cria "Venez pirates. Que votre soif de sang soit rassasié par le votre !" Mais personne ne vint. L attente commence a etre longue se dit il.
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Posté le 21/07/2006 à 10:25:08 

Tout en haut... Molotov était arrivé au dernier bastion. Si les pirates arrivaient jusqu'ici, ils auraient de drôles de surprises... Il arrive à un étroit passage au milieu duquel se tenait le Commodore Juarez. Il a l'air plutôt fort, lui... Molotov se plaça juste devant lui. Vous ne passerez pas, bandits ! Ou vous devrez me passer sur le corps ! Il se mis à genoux, prépara son tromblon et son épée. Il avait mis tout son plus bel équipement. Qu'ils essayent un peu de me toucher, ces brigands... Ils auront des surprises. Restant concentré, il fixa son regard sur la petite porte.
John Ch "le borgne" Rackham
John Ch "le borgne" Rackham
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20/10/2005
Posté le 21/07/2006 à 10:39:55 

c'est l'odeur de poudre qui l'avait réveillé tôt ce matin ... d'habitude, il essayait de dormir le plus longtemps possible, préférant réver à sa bien aimée que de chasser les rats de sa cellule ... mais ce matin .. une autre odeur se fit sentir ... snif .. humpf humpf ... le borgne respirait profondemment, tachant de trouver ce que celà pouvait bien être beurk .... ah non .. pas çà ... l'odeur qui était des plus désagréable lui rapella les égouts de New Kingston ... égouts qui menaient justement dans la prison anglaise ... cette odeur .. ici .. dans la prison espagnole ... ainsi donc tu es là .... AHAHAHAHA alors le lézard ... tu es revenu .... approche un peu de ma cellule amigo Molotov ...vient dire bonjour au borgne de plus près .... AHAHHAHA puis, parlant pour lui-même on ne sait jamais ... cette imbécile pourrait s'approcher trop près ... ahahha je sens que je vais me faire un putain de lézard baveux moi .... ahahah
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Posté le 21/07/2006 à 10:47:04 

Molotov s'approcha du commodore, le contourna, cracha par terre (Le Borgne l'évita, on voyait bien qu'il avait l'habitude) et lui lança : Je n'ai pas oublié notre dernière rencontre, Mr le chien-chien d'Otep... Tu as de la chance que mes balles soit réservées pour tes amis (bien que je doute fort qu'ils arrivent à aller jusqu'ici)
El Padre
El Padre
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07/02/2006
Posté le 21/07/2006 à 11:24:41 

*un hurlement se fit alors entendre... BANDE DE CHIENS, ESPANOLS DE MES DEUX, VOUS N'AVEZ DONC PAS ASSEZ DE GENS D'HONNOR IN ESPANA POR ALLER CHERCHER DES ETRANGERS... VOUS ALLEZ TOUS MOURIR COMME VOUS AVEZ FAIT MOURIR RAFAELLA... IL NE RESTE QUE VOUS? NOUS ALLONS BIENTOT VOUS REYOINDRE, SERREZ LES FESSES ET APPRENEZ A VOS HOMBRES L'ART DOU COMBAT A L'ARME A FEU... Tous reconnurent la voix dechirée de haine du Padre. Puis une deuxieme phrase se fit entendre: JOHN, NE PERD PAS PATIENCE....!!!! El Padre
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Posté le 21/07/2006 à 11:34:16 

Ehe, Padre... Les "étrangers", comme tu dis, (n'oublie pas, pour nous c'est vous les étrangers), sont venus de leur plein gré.
Gaïus Quesada
Gaïus Quesada
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14/01/2006
Posté le 21/07/2006 à 11:43:59 

Après le hurlement du Padre, ce qui caractérisait le plus le couloir où se trouvait Athanael était le silence. Bien qu’il fut entouré de combattants, et non des moindres, il n’entendait pas un souffle, pas même le froissement d’un vêtement. La nuit venait de passer et elle avait été longue, la tension habitait tous les membres de son corps et il imaginait sans peine qu’il devait partager cette sensation avec la plupart de ses compagnons. Athanael décrocha l’empaleuse attachée à son flanc et la posa soigneusement devant lui, puis s’emparant du tromblon qui pendait sur son dos, il fit de même et le mis juste à côté de l’épée. Quelques regards se posèrent vers lui, mais personne ne dit mot, chacun se concentrant sur lui-même et le combat à venir. Athanael s’agenouilla, ses armes devant lui et les mains sur les genoux. Il ferma les yeux et bien vite, il se mit à écouter les respirations de ses camarades, puis les battements de leurs cœurs, calmes, froids, déterminés. Cette sensation le rendit plus serein encore, plus sûr de sa main, plus renforcé dans son engagement à aider les Espagnols. Une phrase lui traversa l’esprit, une vieille bravade venue du fond des temps : - «Ave Caesar, morituri te salutant» prononça-t-il. A ces mots certains autour de lui adressèrent un petit sourire crispé, d’autre un grognement d’assentiment. Tous avaient très bien compris et tous approuvaient la formule. Pas une femme ou un homme qui soit là et qui ne soit pas prêt. Athanael se dit qu’il serait fier de mourir avec eux.
Don Inigo Montoya
Don Inigo Montoya
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09/11/2005
Posté le 21/07/2006 à 11:51:48 

Inigo se réveillait dans l'hopital, tous ses muscles lui faisaient un mal de chien. Que s'était il passé? Inigo essaya de se souvenir... La veille j'attendais sans bruit avec mes compañeros à l'extérieur que les pirates lancent l'assaut. Maudits pirates! Il ne faut surtout pas les laisser passer! Mais les premiers cris se firent entendre et il fallait agir! Je me ruais directement au premier étage pour rejoindre Alejandro. Là, le dos au mur, je chargeais mon tromblon et, en profitant d'un angle de tir favorable, je visais le couloir dans lequel se pressait les pirates. Lequel choisir? Le premier à croiser ma ligne de mire fut Lord Hawk. J'hésitais un instant, surpris de voir une nouvelle fois Hawk dans ma visée, mais j'avais perdu assez de temps et je fis feu. La dernière balle fut la bonne et Hawk s'écroula dans un rale. Je relevais la tête et j'eu le temps de voir Alejandro abattre Leon. Jusque là notre entrée s'était impeccablement déroulée, mais le plus dur était à venir. Les pirates grouillaient toujours à l'étage et déja certains d'entre eux s'avancaient dans le couloir. Nos tromblons étaient vides, il fallait maintenant se battre au corps à corps. Le premier à s'approcher fut Marcel la Flibuste. Il fallait faire front avec Alejandro, il ne devait passer! Ni lui ni un autre pirate! Le combat fut très rapide et alors qu'il était quasiment à genoux, Marcel me plaça une énorme estafilade. Je du reculer pour me soigner, le temps qu'Alejandro l'acheve. J'allais un peu mieux mais Alejandro saignait abondamment. Et pourtant il fallait tenir encore. Le suivant à se présenter fut Armando. Les armes au clair il ne lui fallut pas lontemps pour envoyer Alejandro à l'hopital. La situation devenait critique mais Inigo entendit à ce moment là des renforts derrière lui et Juan de la Reconquista et Kigon jaillirent de l'escalier! Kigon se présenta directement face à Armando pour me soutenir. Tromblon en main Juan ajustait déja Drake qui tomba au même moment qu'Armando. Le temps de reprendre mon souffle et d'essayer de cerner la situation. Et l'enfer se redéchaina... Kigon s'était posté derrière un pan de mur et tirait dans le couloir Et alors que je pansais à nouveau mes blessures Juan s'avanca dans le couloir. La dernière personne qu'il croisa quelques pas plus tard fut Alfred, malheureusement pour lui... Les pirates s'étaient reconcentrés. Leur plan consistait maintenant visiblement à nous envoyer au diable! Auraient ils oubliés Le Borgne? Mais déja Alfred, Zvargas et Alessandro s'approchaient. Alessandro parvint jusqu'à moi et alors qu'il était visiblement au bord de l'épuisement me plaça 3 coups de sabre. Je ne compris pas pourquoi il s'areta et recula d'un pas. Mes blessures me faisaient atrocément souffrir. Je compris la manoeuvre d'Alessandro quand ce fut au tour d'Alfred de charger! Ma dernière heure était arrivée: c'était mon 5e combat de la journée. J'étais totalement épuisé et près à m'évanouir, mais il fallait lutter! Les pirates ne devaient pas passer!. Je me redressais alors et fit face à la brute. rassemblant mes dernières force je mis un premier coup terrible à Alfred pour le dissuader de poursuivre son combat mais rien n'y fit! Le pirate était là pour en finir, moi ou lui. Et à ce jeu là je pris l'ascendant, le pirate ne me toucha pas une seule fois et il tomba devant moi dans une mare de sang. Je m'attendais alors que l'un ou l'autre des pirates qui étaient face à moi continuent ce combat et m'acheve. Mais ni Tequila, Alessandro, Zvargas, La Nonne, Dona Grizzli o Melinigos ne semblait en pouvoir et entamer un nouveau duel. Nous avions réussi à tenir! Kigon derrière moi me fit un signe de la tête. Il fallait prendre un petit peu de repos, la nuit sera surement très agitée. A 2 face aux 6 pirates nous n'avions que peu de chance mais nous en avions une! Et nous pouvions entendre les bruits de bottes à l'étage qui nous redonnaient du courage! Les renforts étaient arrivés! Les pirates ne pouvaient que se résigner à payer la rançon, que celà plaise à La Nonne ou pas! Ou bien le Borgne resterait encore longtemps dans nos geoles! Je rangeais alors mon arme et hurlais aux pirates: Il est temps por vous dé partir banditos! Il né vous reste plous qu'à payer la rançon y nous laissérons sortir Le Borgne! Reflechissez, il y a eu assez dé sang versé! Puis exténué, je m'affalais contre un mur, sentant la respiration d'Alessandro qui se tenait juste dos à celui ci et un oeil sur Tequila qui, à coté de moi, rangeait son matériel de medecine! Quelques longues minutes plus tard je réfléchissais encore à comment la nuit allait se dérouler, et si les pirates accepteraient d'arreter de faire couler encore plus de sang. Mais alors que je n'arrivais plus à contenir ma fatigue, un bruit. Et quelques coups plus tard je m'écroulais. Quelques secondes plus tard ce fut au tour de Kigon. Visiblement Mary Read, que personne n'avait entendu jusque là, avait profité de la fin des combats pour achever lamentablement les blessés. Mary Read méritait vraiment son surnom de "la hyene"
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Posté le 21/07/2006 à 12:14:04 

Lizzie s'etait repliee, elle etait desormais dans la meme salle que Molotov, tout pres de la geole du Borgne. Elle sentait meme l'odeur infecte que degageait le prisonnier. Autour d'elle les gens semblaient sereins, attendant la mort ou la victoire avec le meme calme. Bandes de chiens ! Le cri du Padre dechira l'air. Lizzie sourit, il n'avait certes pas perdu de son volume sonore, ni de sa hargne. En reponse a son invitation, elle nettoya une nouvelle fois son tromblon et aiguisa son empaleuse...
John Ch "le borgne" Rackham
John Ch "le borgne" Rackham
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Posté le 21/07/2006 à 16:48:33 

Cela faisait pratiquement 3 semaines que le borgne creusait sous son lit. Il faisait tomber la terre par les minces barreaux qui lui donnait le peu de lumière auquel il avait droit. Un de ces complices, un sympathisant espagnol à la cause de la confrérie, montait la garde sous sa cellule, prétendant surveiller les alentours. En fait, il étalait la terre le long du mur pour ne pas qu'un petit monticule vienne éveiller les soupçons de l'ex général hijo dé puta Alejandro. Cette nuit, pour l'assaut final, le borgne aurait normalement réussi à passer de l'autre coté des barreaux ... et se ferait un réel plaisir d'étrangler la Bennet de ses propres mains ... quand à ce lézard visceux, il le ferait baver jusqu'a le crever comme un gros porc ... allez .. courage ... bientot je serai de l'autre côté ... et j'irai moi même accueillir mes frères et soeurs ... et Espéranza ... pensa-t-il ...
URibellu
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Posté le 21/07/2006 à 19:32:11 

URibellu avait été convié à la prison en tant que Médecin. Tout le monde savait que le sang allait couler à grands flots. Il avait prévenu les bélligérants qu'il respecterait son serment de médecin avant tout, il n'avait pas prévu qu'il serait le premier à tomber lorsque les pirates investirent le quartier où le borgne avait élu résidence. La tension avait été palpable toute la journée dans l'attente des combats, il avait dû s'entasser parmi les espagnols dont les premiers meurtis par la fatigue se laissèrent aller à un repos qu'ils pensaient salvateur. A ce moment URibellu vit 3 pirates investirent la pièce et alors que celui-ci désarmé leur indiquait sa fonction, il fut transperçé de part en part par les lames des damnés et se dit qu'il faudrait réviser son attitude vis à vis des pirates dés qu'il sortirait de l'hopital...
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Posté le 21/07/2006 à 20:10:43 

Toujours présent depuis bientôt vingt heures, je vis enfin les pirates arriver. Ils se mirent à tuer tous les gardes, s'y mettant à plusieurs pour chaque personne. L'étroitesse du couloir nous empêchait de les combattre efficacement. Inexorablement, leur attaque de rouleau compresseur arrivait à bout de tous les espagnols. Tout d'un coup, je vis la Nonne, aussi appelée Soeur Azalée, avec qui j'avais autrefois commercé (quand elle était encore hollandaise), bondir (très agilement pour sa corpulence et son âge) sur Elisabeth Bennet, juste devant moi, et s'en défaire de quelques coups d'épée. Je me retrouvais alors presque seul face à la Nonne. Elle commença à m'attaquer, mais voyant que ses coups ne faisaient que ricocher sur mon armure, elle recula d'un pas et Téquila se mit à la soigner. Je pus prendre moi aussi un peu de repos et bander mes plaies. Tout d'un coup, alors que rien ne le laissait paraître, Téquila (qui a parlé de médecin pacifique ?) chargea son tromblon, le pointa vers ma direction et tira. Le coup partit en plein dans mon poitrail. La Nonne revint à la charge, et j'aperçus Le Borgne de l'autre côté, qui essayait de s'évader. Je commençais à compter les troupes... Défenseurs restants dans le couloir : Trois, plus le commodore. AAAAAAAAAAARGH !!!!; Je décida alors d'en finir une bonne fois pour toute. Je pris mon épée et commença à attaquer la Nonne. Elle me porta un coup puissant qui me fit trembler des pieds à la tête. Je riposta et l'ebranla à peine. Je continua quand même à lui donner des coups, mais elle m'attaqua une nouvelle fois, si violemment que mon armure se fendit en deux. Je pris mon courage (et mon empaleuse) à deux mains et je lui sauta dessus. Quitte ou double. Elle me porta un coup puissant dans les côtes. Je m'écroula par terre. D'accord. Quitte.
RIP
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Posté le 21/07/2006 à 21:37:28 

De son lit d'hôpital, Molotov entendit les cris de victoire. C'est bien, pensa-t-il avec un sourire. Je n'ai pas servi à rien.
Don Alejo Onza de Llama Duende y Seda
Don Alejo Onza de Llama Duende y Seda
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20/11/2005
Posté le 21/07/2006 à 21:43:30 

Don Alejo était en première ligne des défenseurs espagnols. Des derniers défenseurs, pensa-t-il. Sa position n'avait rien de stratégique, mais elle avait une efficacité claire : il bloquait la porte. Après plusieurs heures de veilles, celle-ci s'ouvrir enfin. Les pirates tentaient un entrée en force. Mary Read en tête. Elle pour qui il avait eu tant d'affection, à tort. Elle se jeta en avant, lame en main. Mais elle n'était pas de taille et il en fut un peu déçu... Puisque seule elle ne pouvait pas le battre, Esperanza la félone se joignit au combat. Deux lames contre une. Mais ces femmes ne semblaient connaitre aucune feinte et il les teint à distance. Alors, les pirates changèrent de tactique : Mary et Esperanza se relayèrent pour harceler l'Hidalgo pendant qu'à tour de rôle, elles le prirent pour cible de leur pistolets. Mélinigos du se joindre à elles. Et même ainsi, il continuait de faire front. seule l'intervention d'Azalée, sortant une arme de sa bible, brisa définitivement sa garde : criblé de balles, il s'écroula. La poudre avait réussi là où les lames ne lui avaient fait qu'une égratignure. Il s'effondra sur le sol, en priant Dios pour que la défense tienne face à ces femmes, ces furies.
La Nonne
La Nonne
Déconnectéparia
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29/11/2005
Posté le 21/07/2006 à 21:53:39 

Quelle joie de se trouver entourée de ses frères pour cette opération prévue depuis des semaines. Azalée était heureuse et un peu surprise d’être encore debout après le premier assaut d’hier soir. Les espagnols avaient été plus braves et plus malins qu’à leurs précédentes rencontres, notamment Inigo qui avait brillé plus par son culot que par son habituelle absence, son impuissance en sera peut être guérie. Beaucoup de ses enfants avaient été gravement blessés et la hargne de l’ancienne religieuse n’en était que plus exacerbée. Ils décidèrent de monter à 4 au dernier étage pour un assaut surprise basée sur la rapidité d’action. Mary fut la première a entrer car elle ne tenait plus en place. Azalée la suivi et, entra dans le quartier de haute sécurité et eu une seconde d’hésitation en voyant la foule des défenseurs amassés ! http://img117.imageshack.us/my.php?image=quartierhsth8.jpg Le Padre et Doña Espéranza, les deux petits nouveaux, feraient leurs armes aujourd’hui dans la fraternité et le sang. Ce qui donna le plus de courage à Azalée fut de voir, en arrière garde des défenseurs, des corsaires qu’elle rêvait de passer par le fil de sa lame depuis longtemps. - Molotov qui l’avait naguère traité de vielle croulante sénile du haut de sa puberté pas encore passée - Elizabeth Bennet, fervente ennemie des pirates et ex compatriotes se plaignant trop souvent de ne pas croiser de bandana noirs - El Valiente del URE, qui avait lamentablement essayé de la tuer il y a quelques jours en vidant vainement son chargeur sur elle - Jes Tippoune qui l'avit occit alors quelle recueillez les dernières paroles de Rafaella Elle se fraya un chemin en aidant à occire Kan et Don Alejo pour arriver plus rapidement à ses cibles. La mêlée fut meurtrière dans les 2 camps, la pauvre Espéranza eu même droit à la spécialité espagnole, une balle entre les deux yeux… pour une première elle a été servi. Elle arriva à El Valiente « Alors petit, on fait moins le malin quand on sens l’haleine de la bête ! Je vous avez promis une fessée, et je n’ai qu’une parole »… ce fut chose faite. La surprise de taille fut la Bennete, elle frappait avec la force du désespoir et enchaîna des coups terribles à la nonne qui failli y passer tellement la surprise fut grande. Une fillette si frêle mais quel caractère nom de Dieu ! Une fois ressaisie, l’expérience de l’age fit la différence et la jeune fille s’écroula adossée à la grille. Du coin de l’œil elle vit que le Borgne avait réussi à crocheté la serrure avec… avec… une petite cuillère ! http://img170.imageshack.us/my.php?image=cuillreps8.png Il tenta même d’occire son gardien avec son ustensile à dessert mais voyant l’inefficacité de l’arme, il préféra battre en retraite en attendant les renforts et des soins. Azalée voulut aider son frère de demi cécité en attaquant le garde mais Molotov s’interposa et l’empêchait d’atteindre son but. Le combat fut laborieux car l’armure du commerçant batave était d’une résistance a toute épreuve. Ce n’est qu’à force de résistance et des soins de Téquilà, venue en renfort, qu’elle réussi à mettre ce jeune fou à terre. La fatigue et les blessures accumulées la laissèrent exsangue devant le général Zapata qui souriait de toutes ses dents, sûr de lui et en pleine forme. Il faut dire que la défense qu’il avait organisé avait porté ses fruits… un général compétent, ça nous changera. Elle lui cracha au visage « Général Zapata, si vous avez des corones et un peu d'honneur, venez vous battre à l'épée et lachez votre pétoire ! ». Mais le coup ne vient pas de face mais de l’arrière où la vieille religieuse reçu 4 balles de la part de Bobby. Une fois à terre, ce dernier prit son temps pour l’achever à l’épée. Avant de sombrer dans le noir, la dernière pensée d’Azalée fut pour son frère prisonier Mon grand, nous avons fait tout notre possible et y avons mis toute notre hardiesse mais il faut croire que cette fois ce n’était pas assez face à nos adversaires…
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