 Le Faux Rhum
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Le monstre a fuit en rampant et Rafaella est vivante...
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Posté le 14/05/2006 à 19:06:04
Un hurlement ! Tragique, déchirant.
Quelque part dans la cave du monastère une jeune fille est à genoux.
Elle pleure.
Des roses noires tapissent le sol, comme si un bouquet avait été éparpillé autour d’elle, mais leur odeur enivrante ne suffit pas à couvrir celle du sang qui macule la pièce et ses vêtements.
Je ne comprends pas !
J’étais prête.
Je savais ce qui m’attendait. Mon bras n’a pas tremblé, malgré mes larmes.
Le regard du monstre, son sourire carnassier. elle secoue violemment la tête
Dans un murmure
Je devais mourir.
Je devais être pardonnée.
Je devais cesser de souffrir.
Elle se prend la tête dans les mains tout en se remémorant ce qui l’avait amenée là.
Cette vie atypique d’une jeune privilégiée à l’éducation internationale, fille d’un redoutable diplomate, artisan entre autres de la paix entre l’Espagne et les Provinces Unis.
Puis l’incident au Louvre, le début de la chute qui mena le déshonneur sur son père.
L’enchaînement qui suivit le retour, dans la honte et la crainte, à Madrid et la décision irrévocable : l’exil.
Le début de l’enfer avec cette traversée cauchemardesque et la mort de son père quelques jours avant d’atteindre Liberty.
Liberty rien qu’à cette pensée les larmes redoublèrent de force et de douleur.
Liberty l’île maudite !
La misère, la folie de sa mère, les blessures…
La jeune femme de rage commence à cogner violemment le sol à poings nus. Puis après quelques minutes porte ses mains meurtries à son ventre.
Elle pleure et souffre mais ses forces l’ont quittées, la rage est retombée.
Cette blessure, qui plus jamais ne la quittera.
J’aurais du mourir…
Je voulais mourir !!!
Ses lèvres se sont closes mais son monologue continue.
Je ne me le suis avoué que depuis peu, mais oui je souhaitais la mort. Je souhaitais la paix.
Ce pour quoi mon père a tant lutté.
Ce en quoi j’ai toujours cru. Tant de culture, tant de richesse, tant de beauté. Nos nations ont tant à s’apporter.
Mais non, toujours la guerre revient, la cruauté des hommes.
Tout cela a cause de quelques bouchers… De quelques démons ...
Comme Chumbucket.
Oui elle avait voulu le détruire. User de ses dons et de son éducation de pour montrer a tous l’étendue de sa monstruosité lors du procès.
Mais sur une île pareille où tant de haine est concentrée, ses efforts étaient futiles.
Les Tacos, Chumbucket et autres ne sont condamnés que si ils se retournent contre les leurs. La peste et le choléra sont de bonnes choses tant qu’ils ne s’abattent que sur l’ennemi.
Tous des monstres !
Tous des hommes.
Cependant elle ne commença à songer à la mort que lorsque le Borgne la menaça de viol. Quand elle songeait que personne ne serait là pour l’empêcher d’assouvir ses bas instinct sur elle.
Rien n’arrivait à écarter cette idée. Et elle se mit a penser que si ce jour devait arriver, personne ne pourrait l’empêcher de retourner sa dague contre ce ventre souillé.
Ce jour n’arriva pas. Le Borgne avait eu des mots durs mais il ne souhaitais pas la violenter.
Seulement l’angoisse, elle, ne la quittais pas.
Car personne de toute façon ne l’aiderais.
Pour surmonter ses peurs elle essaya de se tourner vers Dieu. Mais c’est un homme qui lui répondis au moment où elle cherchait à tous les fuir.
Alors la fuite continue.
Jusqu’a ce que l’idée d’en finir s’impose : d’une manière digne, sans renier les enseignements du christ, mais en essayant de montrer au monde l’horreur dont tous détournais le regard.
Elle décida donc de s’attaquer de front au monstre. Qu’elle le blesse à mort ou non, elle y laisserait la vie à coup sûr.
Pourquoi ?!
Pourquoi suis je toujours vivante ?
Quand je suis arrivée près de lui, il m’attendais souriant. De nombreux squelettes hantaient ce monastère maudit, mais lui semblait dans son éléments, ajoutant des morts aux morts.
Je me suis approchée avec un bouquet de roses noirs, dissimulant le cadeau que Mystie avait innocemment préparée pour Mister Liberty : Une dague d’assassin anglais.
Son regard de monstre, son sourire carnassier.
Il allait me tuer, cela aurait peut être été la seule chose juste qu’il aurait fait dans sa vie.
Mais j’allais le faire saigner pour toutes les autres, je voulais qu’il hurle, je voulais qu’il souffre.
Qu’il souffre comme j’ai souffert.
Et il a hurlé et il a souffert.
J’ai planté ma dague dans son flanc jusqu’à ce qu’elle y reste coincée. Puis comme enragée j’ai continué à frapper avec ce que j’avais à porté de main.
Le monstre étais quasi mort quand je me suis effondrée.
Un Hurlement !
Tragique, déchirant
Quelque part dans la cave du monastère
Rafaella est à genoux.
Elle pleure.
Des roses noires tapissent le sol, comme si un bouquet avait été éparpillé autour d’elle, mais leur odeur enivrante ne suffit pas à couvrir celle du sang qui macule la pièce et ses vêtements.
Le monstre a fuit en rampant et Rafaella est vivante...
Les voies du seigneurs sont impénétrables, mais sa clémence est souvent douloureuse. |
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Posté le 14/05/2006 à 19:09:40
Très belle histoire. |
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Posté le 14/05/2006 à 19:18:39
[Message auto
modéré]
Madre Anna avait l'habitude de
raconter des histoires à Jim avant qu'il ne
s'endorme. Généralement, il s'agissait des exploits des
défunts guerriers légendaires de
Liberty. Mais ce soir la, l'histoire fit frémir Jim. Le monstre s'en
était tiré! il rôdait
encore sur les côtes de l'île. |
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Posté le 14/05/2006 à 19:20:18
[ Edition bloquée ]
Moi je serais incapable de
faire des histoire comme
sa.
-Car le RP je pige pas trop.
-Et j'ai presque pas
d'imagination.
Edit Cul-De-Jatte
:
RP, c'est parler pour ton perso, pas pour le
joueur, en ultra-résumant.
Mais tu verras, quand
t'es lancé, l'imagination vient toute seule
!
Le RP vient surtout avec l'experience, n'hésite pas à
demander aux joueurs ! |
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Posté le 14/05/2006 à 19:26:15
Très belle histoire, très
belle histoire, c'est ce que se
disent les enfants pour se rassurer mais tout ceci est bel et
bien arrivé, et tant pis si ça vous empêche
de dormir ! |
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Posté le 14/05/2006 à 19:26:37
Chumbucket, c'était lever
tranquilement ce matin la, il avait
finis de faire ce qu'il avais a faire dans le monastere, et
allez ce mettre en route en direction du
manoir , quand un moine l'interpella: "ola mon garcon,
vient donc boire un coups avec moi une derniere
fois avant de partir, cette eau de vie est un vrai
regal"
Chumbucket voulu d'abord le tuer, comme
cela, juste par plaisir, mais chumbucket avais
soif, il decida donc de boir d'abord, et d'ensuite le
tuer.
Mais chumbucket n'étais pas
habituer a des alcools aussi fort, et tres vite il se retrouva au
sol rampant dans la decheance,
mais il continuait a boir, jusqu'a ne plus pouvoi se deplacer, ni meme
paler, il étais la, inerte
sur le sol, un sourire glacial figé sur ses levres.
C'est a ce moment que
rafaella ariva.
Chumbucket avais completement oublier cette histoire de recompense de MR charme, et de
toute
facon, il ne se rendait pas compte de sa presence. Elle comenca par lui deposer la dague de
l'assasin sur le torse,puis un bouquet de rose noir. Ensuite elle pris son arme, et l'enfonca
directement dans le torse de chumbucket. Mais cela n'avais pas l'aire de le deranger, elle
recomenca
donc, une fois, puis deux, puis trois mais tj rien. Chumbucket rester figé au sol son
sourire aux
levres.
En revanche, a force de taper, le sang se repandait, chumbucket se vidait,
et il ne lui en
restais guere beaucoup, c'est alors que ces yeux s'ouvrirent, il se redressa
d'un coups, et saisis son
empaleuse, afin de l'abatre directement sur cette felone de rafaella,
qui poussa alors un cris de
terreur, mais non... L'empaleuse rata son coups et alla s'ecraser
sur le sol a quelque centimetre de la
tete de rafaella, chumbucket reassaya, mais non encore raté,
rafaella qui n'en croyais pas ses yeux, mis
du temps a se ressasir, cela paraissait trop facil,
elle saisit alors a nouveau son arme, riposta a
l'ataque de chumbucket, lui plantant alors son
épée droit au cou.
Le sang jaillit a la tete de
rafaella et que chumbucket s'efondrais sur le
sol. |
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Posté le 14/05/2006 à 19:48:20
Bibsy avait entendu du
bruit, un grand bruit ... C'est la
peur au ventre qu'il s'avancait. Prudent mais pas assez, une
scene affreuse se déroulait devant lui, une
jolie dame venait de tuer un monstre ... Cette femme
... Elle lui semblait si cruelle mais pourtant si
belle, pris de peur pourtant par tout ce sang
giclant il prit ses jambes à son cou et s'enfuit jusqu'a
la ville la plus proche...
Cette
femmes aux alures espanol, il ne l'oublierait jamais ... Belle et
mortelle, séduisante au
possible... Il l'a retrouverait et elle serait sienne
HRP un si joli
RP, on ne peut
qu'avoir envie de le continuer 
Edit : Comment mettre en Italique/gras ? Peut on
changer les
couleurs de texte ? /HRP |
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Velvet |
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Inscrit depuis le :
13/03/2006 |
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Posté le 14/05/2006 à 20:45:07
Un hurlement ! Tragique,
dechirant.
La jungle se
met a bruisser de murmures effrenes, des battements d'aile
naissent de toute part, la rumeur vole sur les
ailes des perroquets et des pigeons, court sur le
dos des rats et des singes et infiltre chaque recoin de
Liberty comme ce n'est possible que sur
cette ile mysterieuse.
Velvet, ecroulee au pied d'un
arbre, espere d'abord que cette
agitation distraiera l'aventurier qui tente de la tuer et l'empechera
de la retrouver...
Puis
elle se rend compte de la nature de la rumeur.
Rafaella Salazar,
La Madrilena a
vaincu Chumbucket !
Elle l'aurait frappe a mort alors qu'elle devait lui remettre son
prix de
M. Charme !
Elle avait l'intention de le detruire depuis le debut !
Dans l'esprit
embrume de Velvet se disputent l'admiration et le soulagement et l'horreur. La frele madrilene a
vaincu
le monstre, l'homme le plus fort de Liberty, l'homme le plus fou aussi. Chumbucket ne
fera plus de
victimes aujourd'hui, ses amis dans le monastere sont en securite. Mais l'honorable
Rafaella Salazar, la
distinguee et raisonnable Rafaella Salazar, une des voix les plus respectees
de Liberty !... La seule
prete a defendre Chumbucket alors qu'on le croyait encore simplement fou
? Rafaella, venue en paix pour
lui donner un prix qu'il avait gagne en des temps meilleurs ?
Comment est-ce possible ? L'a-t-il
attaquee avec sa traitrise habituelle ? Ou est-ce elle qui a
voulu le tuer ? Avait-elle jamais eu un autre
but ? Son honnete, son impartialite lors de la
preparation du proces, etait-ce un masque ? Ses appels a la
paix, a l'oubli des querelles de
religion, etait-ce aussi un mensonge ?
Mais ! Comment
reprocher a quelqu'un d'avoir
tue le traitre ?
Velvet a perdu trop de sang pour reflechir.
Elle commence a
s'endormir, puis se reveille en sursaut. Elle ne doit pas baisser sa garde, l'aventurier
pourrait revenir.
/hrp : C'est qui qui a tue qui en fait ? 
Bibsy : < i > ceci est
en
italique < /i > ceci n'est plus en italique. (ne mets pas d'espaces) |
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