 Le Faux Rhum
|
|
Pedro cherche l'Amour : Promesse d'un mariage en velour !
|
-1- 2 |
|
|
Auteur
|
Message
|
|
|
Posté le 02/06/2011 à 23:00:24
Chères demoiselles, ladies, miss et autres femmes aux coeurs esseulés, Chenzu. Une Grande et Très Bonne Nouvelle m'est parvenu aujourd'hui de la part d'un citoyen espagnol. Le très aimé et apprécié de tous, Pedro de Camello, souhaite faire part aux peuples de son désir Flamboyant de trouver l'Âme Soeur.
L'honorable conservateur d'Espérenza, tel un paon, dévoile également ses atouts en promettant à celle qui sera l'Heureuse Élue de son coeur un Amour Éternel, passionné, dévoué, ainsi qu'un soutien chaleureux, amoureux. Celle qui partagera la flamme de son coeur se verra également récompensé d'une bague qui se veut hors de prix, unique en son genre et bénie du Seigneur Tout Puissant. Une dote de 3000 pièces d'or sera également généreusement offerte en guise de bonne volonté et de pure affection !
Oui mesdemoiselles et Chenzu ! C'est Une Offre qui né peut Pas sé Refouzer ! Monsieur de Camello souhaiterait également partager sa résidence D'Espérenza, alors l'amour devra peut-être vous porter jusqu'au changement !
Êtes-vous prête à vous lancer dans une telle aventure ? Serez-vous celle qui saura digne d'un tel amour ?
[RP OUVERT] |
|
|
|
|
|
Posté le 02/06/2011 à 23:05:14
Yé souis prète, Pedro à partayé votre couche... Pour 3000po, yé souis prète à tout ! |
|
|
|
|
Esther |
|
|
|
|
  |
|
|
Inscrit depuis le :
19/01/2010 |
|
|
|
Posté le 02/06/2011 à 23:32:40
*A l'écoute des rumeurs de l'ile, l'Ogresse qui était comme toujours en train de boire se tourne vers son voisin de comptoir au bandeau noir et, avec le sourire de l'ivrogne bienheureux qui vient d'avoir une bonne idée, lui demande:*
"Oh, dis, tu crois qu'on pourris lui envoyer Hubert? Jveux dire, si jamais la bague vaut cher, y'a moyen de s'en payer du rhum, avec ça..." |
|
|
|
|
|
Posté le 03/06/2011 à 11:31:57
* Par une nuit bien arrosée, l'homme avait fait savoir à son collègue Klétorius que la seule chose qui lui manquait sur l'ile, c'était une femme généreuse et attentionnée. En effet, sur le continent, le Duque avait une femme qui l'attendait, mais leur union n'avait pas eu lieu avant son départ et maintenant qu'il était sur Liberty, il ne souhaitait pas rejoindre sa soit dulcinée que ces parents avaient choisi pour lui.
Pour le mariage, il avait déjà tout planifié. Une union à Esperanza, au sein de l'église espagnole. La bague était déjà toute trouvée, un joyau inestimable que le Duque avait reçu lorsqu'il avait sauvé Juan Carlossito. Ce joyau sertit d'une multitude de roche de toute les couleurs pouvait donner envie à n'importe qu'elle dame. Quelle femme n'a jamais rêvée d'avoir une montagne comme bague de mariage ?
L'annonce de la recherche de l'âme sœur faite pas Klétorius, promettait au Duque de trouver la femme avec qui il s'unirait...* |
|
|
|
|
Chenzu |
|
|
|
|
 |
|
|
Inscrit depuis le :
09/05/2007 |
|
|
|
Posté le 03/06/2011 à 15:19:12
*De part son particularisme exacerbé, Chenzu n'a jamais réellement été intéressé par une union, mais il est aussi vrai que sa relation avec Pedro de Camello avait depuis longtemps un petit quelque chose de plus qu'avec quiconque d'autres sur l'île de Liberty.
Peut être là l'occasion de sceller une union, disons un peu particulière et quelque peu libertine.
Dans tous les cas, l'idée de marcher auprès de ce fidèle compagnon n'était pas forcément pour lui déplaire. Encore fallait-il qu'il se libère des contraintes du couple pour n'en garder que les côtés posittifs.
A cette simple pensée lui vint une question : "Quelles sont les côtés positifs dans l'union simple et classique de deux êtres ?"
Il s'avère néanmoins difficile de répondre à ce genre de questionnement quand le subconscient décide de faire barrage*  |
|
|
|
|
|
Posté le 04/06/2011 à 08:34:22
Si j'ai bien compris, nous avons là un homme d'église qui "vend"un un mariage avec un parfait inconnu avec pour seule motivation le gain d'un bijou probablement magnifique qui doit valoir une fortune ?
En d'autres thermes, une incitation à la luxure rétribuée, l'arrangement d'une union basée sur la cupidité de l'une pour satisfaire les besoins de débauche de l'autre.
Quelle est belle, l'Eglise d'aujourd'hui....
Soupir en secouant la tête. Quel homme était encore capable de comprendre ce à quoi aspire une femme ici bas. |
|
|
|
|
|
Posté le 04/06/2011 à 12:30:39
Écoute Apolline, pensive.
Il est vrai que, présenter un somptueux cadeau comme (presque) seule motivation pour se présenter comme candidate au mariage, n'est pas des plus reluisant pour la condition féminine....
De plus, comment promettre amour, dévotion ou je ne sais quoi d'autre s'il n'y a qu’intérêt dans cette démarche?
Seul le désir de luxure et de pouvoir peuvent tenter dans les conditions citées par Klétorius.... Non les sentiments et une affection véritables. Ou alors vous aurez une perle rare... |
|
|
|
|
|
Posté le 04/06/2011 à 19:14:37
Que de pessimismes mesdames !
La façon dont je présente les choses importent peu ! Bijoux ou pas, je vous éliminerais même des candidates potentielles si j'étais mon bon ami Pedro ! Simplement pour y avoir pensé !
*L'Archevêque se rend compte de sa présentation et soupir son mécontentement.*
Je ne suis pas ici pour Vendre un mariage, mais pour Propager la bonne nouvelle d'un Sentiment de Désir Amoureux de la part d'un homme trop malheureusement esseulé ! Vous, Chipies ! qui ne pensez qu'à l'OR ! Je vous trouve méprisables !
*Complètement hypocrite*
- Comme si le besoin de richesses pouvait dominer l'Amour Sincère ! ......
Pedro de Camello recherche l'Amour et il ne désirait que démontrer par l'offre de cette bague, sa grande Sincérité à vouloir trouver ce Bonheur ! Vous.... qui ne pensez qu'à l'or et à l'argent !
|
|
|
|
|
|
Posté le 04/06/2011 à 20:04:47
Nous serions méprisables si, toutes autant que nous sommes, aurions répondu favorablement à votre racolage.
Je ne saurai que trop vous conseiller de dresser un portait de votre protégé, ses goûts, ses passions, ses loisirs, et peut-être parviendriez vous à obtenir une rencontre plus stable et sincère.
Loin de moi l'idée de vouloir vous subtiliser le rôle de marieuse qui semble vous tenir tant à cœur, mais je doute qu'un homme d'église soit au parfum des jeux de la séduction indispensables à votre entreprise.
... ou alors, il manque dans mon éducation certains errata des principes ecclésiastiques. Lache un petit rire malgré elle et se fend d'une révérence des plus convenables. |
|
|
|
|
|
Posté le 04/06/2011 à 21:25:05
Répondant à Esther, tout en se resservant un bière :
Hubert ? Ce pauvre Duque mérite-t-il ça ?
Enfin, de toute manière, je ne pense pas que les volontaires se pressent au portillon. On est sur Liberty et les histoires de dot ou de mariage arrangé... Foutue liberté des femmes... Enfin, si tu me permets, ma belle.
Il boit la moitié de sa bière puis rabat son masque sur sa bouche.
Mais si le Duque est saoul et pas très habitué de la physionomie féminine, ça pourrait bien marcher. |
|
|
|
|
Dudu |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
13/02/2006 |
|
|
|
Posté le 04/06/2011 à 22:29:18
Kletorius était venu me voir. Il savait que je connaissais du monde, et donc, probablement quelques jeunes femmes célibataires, dans le lot...
Bien entendu, que j'en connaissais!
Il voulait que je les contacte.
Je vais voir ce que je peux faire...
Que je lui avais répondu.
Mais là, j'hésitais... D'un côté, Camello, un homme bien, gentil, serviable, et sensible. Un homme qu'on aurait envie d'aider, j'avais déjà essayé lorsqu'il avait perdu Percy, même si je n'avais pas été d'une très grande aide.
Et puis, je devais bien ça à Kleto...
Mais de l'autre... je ne pouvais m'empêcher de trouver toute cette histoire contre-nature. Se marier sans amour? Qu'y gagnerait-il? Serait-il lui rendre service que de lui amener une femme sur un plateau d'argent, qui n'aurait d'yeux que pour son or? Sans compter qu'à mes yeux, le mariage était le sacrement le plus beau et pur qui puisse exister...
Je soupirais... tout en me demandant ce qui pouvait pousser le Duque à souhaiter se marier si précipitemment... |
|
|
|
|
Sara |
|
|
|
|
 |
|
|
Inscrit depuis le :
07/03/2011 |
|
|
|
Posté le 05/06/2011 à 09:47:49
Sara avait eu vent de l'offre de Kletorius. Cela semblait intéressant. Outre la dotte, l'homme à marier était noble, duc de surcroit. Cela laissait penser à de nombreuses richesses. La cérémonie serait somptueuse et la bague surement digne d'une princesse. Par contre, il faudrait négocier pour ne pas aller à Esperanza. Et pour 3000po, il ne fallait pas qu'il espère une femme fidèle. Pour celà, il faudrait augmenter la dote. Oh, et puis une union comme celle là, tout le monde comprendrait que la femme aille voir ailleurs. D'ailleurs, n'était-ce pas ce que souhaitait cet homme ? Qu'espérait-il en proposant de l'argent ? Et de toute manière, le jour où ce mari deviendrait génant, il y aurait toujours moyen de trouver un amant jaloux pour l'assassiner.
Sara continua à réfléchir pendant quelques temps encore, pensant aux conséquences d'un tel mariage. Mais décidément, la somme était trop belle pour la laisser passer. Elle prit alors une plume pour écrire à l'archevêque. Mais elle fut vite embêtée. Personne ne lui avait appris à écrire, tout du moins à écrire à de nobles personnes. Elle savait se débrouiller, bien sur, mais son language n'était pas parfait, loin de là. Pour une bague et 3000po, il fallait trouver une solution. Elle pensa alors à ses amies du ministère, Apolline et Scendde. Elles étaient distinguées et semblaient bien élevées. Il y en aurait bien une qui pourrait lui écrire sa lettre. |
|
|
|
|
Esther |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
19/01/2010 |
|
|
|
Posté le 05/06/2011 à 11:37:43
*Après avoir jetté un regard d'avertissement à son compagnon, l'Ogresse lui répond sans hésiter:*
"Tu sais, il y a des rumeurs comme quoi le duque aurait eut Chenzu pour cavalier à la st Valentin. Si ça se trouve, il ne veux se marier que pour préserver son image d'une appellation d'invertit.
... Et puis bon, tu sais, Hubert, une fois bien apprêté c'est à s'y méprendre: il a la taille fine, le geste gracieux, de belles mains et des traits délicats. Et puis franchement, il fait des miracles autant avec une casserolle qu'avec une aiguille ou une serpillère.
Honnêtement, il ferait une bien meilleure épouse que 90% des femmes de cette ile. Jsuis pas sure qu'on pourrait plaindre Pedro, outre le fait qu'il dormirait sur la béquille..." |
|
|
|
|
|
Posté le 05/06/2011 à 11:44:48
Mesdemoiselles, Mesdemoiselles,
Je suis heureux de vous trouver dans ce lieux, certaines ont des réactions mitigées et je les comprends.
Vous dites rechercher un homme qui vous montrera ces sentiments. Vous souhaitez que se mariage soit plus qu'une affaire d'argent. Vous voulez des cadeaux, des sentiments, des diners au clair de lune...
Sachez Demoiselles que je suis prêt à vous recevoir à Esperanza pour que nous puissions passer un peu de temps ensemble.
Dames, venez me voir, vous verrez que je ne fais pas ça pour l'argent. Je me sens seul sur l'ile, j'ai besoin de fonder une famille...
Nous apprendrons à nous connaître, vous serez que je ne suis pas un inconnu comme certaine le prétendent... vous verrez qu'avec moi une belle vie s'offre à vous ! |
|
|
|
|
|
Posté le 05/06/2011 à 22:50:18
Klitoris... euh lapsus Klétorius, mon ancien compatriote, t'es pas tombé sur la tête ?
tu 'envois un perroquet pour que je me marie avec Pedro pour une bague, si belle soit-elle ?????
Tu me choques, je n'épouserai que par Amour même si cet homme est sans argent !
Monsieur Pedro,je ne vous savais pas si désespéré. Ou est votre caractèe jovial que vous affichiez lors de votre comédie musicale?
Vous avez multitude de jolies demoiselles à Espéranza, il vous suffirait peut-être d'être moins casanier et de fréquenter les endroits "branchés" de votre ville !
|
|
|
|
|
|
Posté le 06/06/2011 à 01:12:01
Une lettre, écrite de la plus soigneuse manière qui soit, parvient, en cette soirée estivale, au Duque :
« Monseigneur de Camello,
L’amour est-il un mal dont on puisse guérir ?
Je suis amenée à me poser la question ! Car, depuis jeudi matin, lorsque j’appris que votre main était à prendre, je souffre. Une étrange douleur me brûle au ventre, sans qu’il me soit possible de la soigner.
Mais permettez-moi de vous indiquez un autre de mes symptômes : chaque fois que votre nom parvient à mes oreilles, mon corps échappe à ma volonté. Cela va du cri de joie au frisson, en passant par l’évanouissement.
Je ne peux plus le nier : votre charisme, votre gout pour l’art et la culture, votre prestance publique, votre intellect, votre divine beauté, votre philanthropie ; tout cela m’a séduit ! Que dis-je ? Tout cela à dérobé mon pauvre cœur!
Je n’attache aucune importance aux insignifiantes richesses ou pierreries, que cela serve à enjoliver le musée ou à orner Percy d’un nouveau bijou ! Je ne souhaite que vivre avec vous dans le bonheur et la vertu !
Pour vous remercier de l’attention que vous avez porté à ma lettre et à moi-même, et afin que l’on puisse se connaître mieux, je souhaiterais vous donner rendez-vous au Jardin des Amoureux, ou dans tout autre lieu qui vous conviendrait mieux !
Dans l’hâte de vous y voir, ô objet de mes amours et désirs,
Je vous embrasse tendreusement.
Carla Van Der Leithen » |
|
|
|
|
|
Posté le 06/06/2011 à 09:58:27
*Le Duque était tout émoustillé par la lettre qu'il avait reçu de la divine Carla, une femme qui n'en voulait pas à sa bague, pas à son argent mais plutôt à sa sympathie. Le Duque était entièrement charmé, la lettre était très vendeuse pour la jeune femme. Il se décida donc à lui écrire :*
Madame,
Vous semblez être une femme belle, une femme d'esprit, une femme honnête et droite. Je ne cache pas que votre lettre m'a beaucoup ému. Vous savez charmer les hommes, et c'est donc avec une grande joie que je vous annonce que notre rendez vous sera prochainement fixé au jardin des amoureux. Quel bel endroit pour un premier rendez vous, je remarque que vous avez beaucoup de goût.
A notre prochaine rencontre,
El Duque |
|
|
|
|
|
Posté le 07/06/2011 à 09:31:04
Cher Pedro , je te souhaite de trouver le grand bonheur auprès de Carla .
Tu devrais quand même rester méfiant, elle a des drôles de symptomes pour une femme, c'est peut-être un travesti ou un guet apens ?
Un ami de Chenzu ... Ou autre 
Pour en être certain conclu au plus vite ! HiHiHi !
|
|
|
|
|
|
Posté le 07/06/2011 à 16:14:01
Clémente était assise lascivement dans un somptueux divan, face au Duque Pedro de Camello. Sourire moqueur aux lèvres, elle lisait la lettre qu'il avait reçu de cette mystérieuse Carla, pendant que celui-ci rédigeait sa réponse. Se redressant et gesticulant, elle prend une voix de crecelle pour partir dans une grossière imitation de l'inconnue.
Oooh, mon Pedrooo, vous avez dérobé mon coeur ! Vous êtes si philanthrope ! Oh, mon corps échape à ma volonté, mon ventre me brûle ! Touchez moi, touchez moi !
Emportée par son délire, elle agite ses mains devant son visage, mimant une brusque bouffée de chaleur. L'espagnol lui jette un regard mi amusé, mi agacé. Le pauvre, c'est qu'il serait presque fâché qu'on s'attaque à la mer-vei-lleu-se Carla ! Émoustillée par sa réaction, elle se penche pour essayer d'attraper le courrier qu'il écrit, mais vexé, il le cache jalousement.
Oooh, mon intellectuel, résisteriez vous à mon charme ?
L'enquêteur ne semble pas apprécier qu'on brise sa bulle de romantisme et essaye de se lever pour fuir à la moquerie. L'amour lui aurait-il ôté tout son sens de l'humour ?
Toujours rieuse, Clémente le retient, posant une main sur sa cuisse, l'autre sur sa joue.
Allons, ne soyez pas fâché, le choix de votre future épouse me tient à cœur, voilà tout... J'ai beaucoup d'affection pour vous...
Elle cligne des yeux, faisant une petite moue, et brise le charme en pouffant de rire, non sans quelques postillons :
Oooh ma Divine Beauté ! |
|
|
|
|
|
Posté le 10/06/2011 à 11:30:15
* L'affaire du Mariage arrangé était en ce moment la préoccupation numéro un du Duque. En effet, depuis le temps qu'il voulait se trouver une femme et fonder une famille. Il se disait chaque jour, que bientôt il aurait sa femme, douce, attentionnée, belle...
Mais quand le Duque tombait dans ces rêveries, il y avait toujours Clémente pour l'enquiquiner et lui rappeler que les femmes qui avaient postulées pour le moment étaient des menteuses, des femmes intéressées par l'argent du Duque, par sa renommé et non pour l'intellect et ses sentiments.
L'amitié et souvent très proche de l'amour, peut être le Duque devait-il chercher l'élue de son cœur auprès des ses connaissances familières. Qui sait, peut être qu'une femme était éprise de lui en cachette.
En attendant de trouver la bonne, il y avait toujours Carla, et cette donzelle était très croustillante...* |
|
|
|
|
|
Posté le 17/06/2011 à 17:22:48
Une semaine que le Duque n'avait pas reçu de nouvelle, son cœur dépérissait à vue d'œil. Qui saurais faire renaitre l'étincelle, la pépite qui sommeille au fond de ces tripes ? Le Duque rêvait, il s'imaginait une femme parfaite, sa femme parfaite.
Une femme au visage d'ange, une femme à la beauté d'une fleur de Lys, une femme ayant des jambes de gazelle, une femme aux yeux de biche, une femme aux des doigts de fée, une femme aux pieds de danseuse, une femme ayant la chevelure d'une princesse, une femme ayant une bouche de souris, une femme aux oreilles discrètes, une femme dont les seins donnent envies d'être mangés.
Outre les caractère physique, l'homme s'imaginait une femme chantant et envoutant comme les sirènes, une femme cuisinant aussi bien que les grands-mères, une femme aussi féroce que la lionne quant il s'agit de défendre sa famille, une femme prête à soulever des montagnes pour que son entourage soit fier d'elle et lui soit reconnaissante.
Pour tout dire, il rêvait de la femme idéale, mais soyons un peu lucide, l'aristocrate rêve de la Lune... |
|
|
|
|
Chenzu |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
09/05/2007 |
|
|
|
Posté le 20/06/2011 à 19:27:49
*Après avoir laissé le pauvre Camello ronger son frein, décida de se lancer dans la course.
Non pas qu'il voulait apparaître en beau complet porte-jarretellien, mais bien de façon déguisée.
Le fonds de sa pensée machiavélique n'allait pas dans le sens de cacher éperdument sa candidature mais la dernière fois qu'il se promena avec le Duque, c'était lors d'un bal costumé.
Après tout, ce côté "déguisement" avait donné à leur couple une aura supplémentaire.
Peut être était-il enfin temps de creuver l'abcès qui le séparait du Duque et de profiter, face cachée, d'administrer rêve, érotisme et sensualité.
C'est donc ainsi que Chenzu prit sa plus belle plume et écrivit ces quelques mots.*
Mon chère Pedroninou,
*Pris dans sa lancée, Chenzu réalisa qu'il venait déjà de commettre une erreur. Chassez la naturel, il revient au galop.
Pris alors une grande inspiration, se concentra 2 minutes devant sa feuille et se pencha alors sur le bureau, la main tremblante*
Chère Duque,
C'est avec grande stupéfaction que je pris connaissance de votre désir de trouver main à votre goût.
Oh oui, j'aurais pu dire "étonnement" mais de vous voir ainsi remuer ciel et terre afin de vous découvrir une seconde moitié ne m'interroge guère.
Après tout, je vous connais mieux que quiconque sur cette île. Cette révélation pourrait vous sembler quelque peu déplacée mais je pense avoir vécu de telles choses avec vous que peu d'âmes sur cette île, si égarées qu'elles soient, puissent se promouvoir de la jouissance d'avoir partagé une telle proximité avec votre superbe.
Alors oui, je parle de "stupéfaction" à la découverte d'une telle nouvelle !!! Eu égard à mon estime de moi, je reste stupéfaite de vous voir traiter votre solitude d'une telle manière publique.
Comment avez-vous pu oublier nos regards croisées, nos rapprochements d'abord puèriles, puis futiles, puis intéressés, et enfin passionnés. Car oui mon chère Duque, c'est avant tout La Passion qui nous unit à ce jour.
Je puis comprendre que c'est cette folle et torride passion qui puisse aujourd'hui faire un tel affront à votre clairvoyance et à votre objectivité concernant un sujet tel, l'Amour, l'Amour avec un grand "A".
Mais l'Amour n'est-telle pas avant tout la résultante d'un rapprochement entre 2 êtres passionnés ????
Mon chère Duque, je vis d'amour quand je vous vois et je vis de tristesse à chaque fois que je vois votre élégance s'éloigner de moi. Chaque pas nous séparant est comme un coup d'enclûme dans mes cervicales !!!
Ne tournez pas le dos à la vie Pedro, n'ayez pas peur de voir la réalité en face car votre réalité, rapproché à ma réalité, ne formera rien d'autre que notre réalité !
Arrêtons de se cacher derrière un océan de mensonge, nous sommes fait l'un pour l'autre comme le glaive est fait pour percer les plus dures armures.
Aujourd'hui, si je viens vers vous, ce n'est pas pour vous percer le coeur de mes sentiments enfouis, mais bien pour agrandir la brèche qui nous unit et que nous avons, de part nos propres expériences, alimenté à agrandir au fur et à mesure de nos rencontres publiques comme privées.
Alors oui, si je me présente à vous en ce jour, c'est bien la face cachée. Cachée comme l'a été jusqu'alors nos sentiments au grand public, et le pire dans tout ça, à nous même aussi.
Cher Duque, cher Pedro, il est alors temps d'ouvrir en grand la brèche, oeuvre de notre sens du partage et de la vie.
Votre richesse n'a que peu d'importance à mes yeux. En effet, la richesse de mon amour pour Vous vaut toutes les bourses du monde.
Vos petites cotellettes dodues, dans tous mes rêves sont apparues.
Votre bidon rebondie, dans tous les sens m'ouvre à la vie.
Votre élégance innée, dans ton mon être me fait frissonner.
Mais,
Vos pectoraux surdimensionnés, durant toutes ma vie je voudrais tâter.
Je cours de joie à l'idée de pouvoir respirer ne serait qu'une centimètre de votre corps, qu'un cheveux de votre grace capillaire, qu'une phalange de vos puissantes mains.
Chère Duque, le choix n'est jamais le simple de la vie. Choisir, c'est avant tout perdre !!!
Ouvrez votre destin et vous saurez alors que le choix de perdre s'étouffera vite dans la chaleur de notre Union.
Votre Dévouée !!!
*Chenzu plia son parchemin sans même s'accorder une relecture, pourtant si avenante dans ce genre de situation. Laisser libre-court aux lois de la nature, ne pas regretter....oh non, surtout, ne pas regretter...*
|
|
|
|
|
|
Posté le 24/06/2011 à 14:53:05
-" Une lettre, une lettre ! Une très belle lettre, écrite avec un cœur plein de sincérité, une écriture de mouche, une aura brulante émane de ce papier ! "
*C'est en ces mots que le Duque débarqua au repaire des Boucaniers après avoir lu la lettre de la mystérieuse jeune demoiselle qui rêvait en cachette d'un amour partagé avec l'aristocrate espagnol. Les confrères Boucaniers, furent très surpris, en effet, la majorité de ces amis n'imaginaient pas une seule seconde que l'espagnol trouverait chaussure à son pied. C'est alors que Klétorius, l'un des seuls à avoir soutenu le conservateur prit la parole en ces termes. *
-" Pedro, je suis très heureux. Enfin, l'Amour ! Le grand A de l'amour va faire vibrer notre guilde, après le couple que forme Clémente et Hubert, nous voici arrivé au couple Camello et sa superbe inconnue. Pedro, je me réjouis déjà à l'avance, j'imagine l'église, Santa Maria toute habillée de rouge. Des femmes dans des tenues de rêve; les hommes en costard. Et les sucreries offertes aux invités. "
*A ce moment Clémente prit la parole :*
-" Klétorius, c'est bien de se projeté dans le futur mais nous ne savons pas encore qui est cette étrangère. Je suis prête à accueillir la femme qui fait vibrer notre bon ami Camello mais j'aimerais au moins la rencontrer. Et si elle plait à notre bon ami, je les aiderais du mieux que je peux à célébrer leur unions. Je vous préparerais les cartons d'invitations, je louerais la salle de bal. Je vous préparerais votre chambre à l'auberge pour que votre nuit de noce soit inoubliable. "
*Pedro, qui voyait ces amis imaginer la façon dont le mariage allait se dérouler fût très touché par ces gestes d'affections. C'est alors qu'il envoya une lettre à la mystérieuse jeune femme qui avait laissé une adresse pour pouvoir la joindre. Le lieu donné était le Black Beer Pub, l'homme écrivit donc a l'heureuse élue.* |
|
|
|
|
|
Posté le 24/06/2011 à 15:08:50
* En allant inspecter son courrier au Black Beer Pub, car Chenzu possède une boite au lettre en ce lieu pour ses correspondances secrètes. Il découvre une lettre parfumée, une lettre du conservateur du musée. *
Mon amour Épistolaire,
Votre lettre était magique, oui je pense qu'on peut la qualifiée comme telle. Vous m'avait fait rêver, votre écriture est si romantique, votre syntaxe est tellement langoureuse. J'ai eu beaucoup de frissons en vous lisant. Vous avez envahi mon esprit, je ne cesse de vous imaginer, de me demander qui est ma dulcinée. Comment ai-je pu vous manquer ?
Vous avez su trouver les mots qui m'ont fait me retourner, je n'ai jamais eu d'histoire d'amour aussi merveilleuse. Vous m'avez fait fantasmer !
Madame, je souhaite vous rencontrer, je souhaite vivre a vos coté, je veux que vous continuiez à ma charmer !
Vous m'avez ensorceler, votre phrasé était magnifique. Une femme qui sait écrire aussi bien se qu'elle ressent c'est rare, je ne veux pas louper ma Perle Rare !
Réfléchissez bien, je souhaite vous rencontrer. Je pense au Mariage...
Amoureusement,
El Duque |
|
|
|
|
Chenzu |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
09/05/2007 |
|
|
|
Posté le 24/06/2011 à 15:48:59
*Passant délicatement les doigts dans la fente, Chenzu sentit un bout de papier. Encore aurait-il pu être étonné de recevoir une missive mais, à l'humé de ce doux parfum qui émanait de la brèche, Chenzu pouvait le reconnaitre à dix milles lieux : cette lettre émanait du Duc Pedro de Camello.
Chenzu fît alors quelques pas afin de trouver assise à son goût. Non seulement il cherchait une position confortable et adéquate mais aussi cherchait-il à s'inscrire dans un espace où son point de gravité serait au plus proche du sol, ceci afin de limiter les risques en cas de chute.
Faut dire que malgré qu'il examina la scène comme une supercherie, il se savait non dénué d'intérêt et donc tout autant à même d'être submergé par une émotion dévastatrice.
Une voix forte et brutale s'éleva et sortit Chenzu de son mutisme. Dans un éclair de lucidité, Chenzu pria pour que cette voix ne soit pas aussi dévastatrice car quelquechose l'attendait là.....au bout du comptoir.......et......disons que.......il commencait à ressentir comme un assèchement des papilles*
- "Ooooohhhh Chenzu !!! Qu'est ce qui te prends ma grande folle ??? Tu me fais peur là !!! Ca fait 2 mn que ta pinte de Gouinness t'attends là. T'es amoureuse ou quoi ????
- Euuuuuuh non, non. J'arrive mon Kennyninou, pis, entre-nous, j'ai jamais eu aussi soif !!!!"
*Le barman, Kenny Kilik, remarquait bien que Chenzu avait l'air quelque peu préoccupé, mais en même temps, cela cachait aussi une certaine jouissance qu'il ne pouvait expliquer.
Chenzu se leva et s'approcha du coin du comptoir où reposait sa pinte. Arrivé au comptoir, Kenny Kilik se pencha vers lui afin de tenter de lui soutirer quelques informations....huuumm peut être coquines.
C'est alors qu'une autre voix, tout aussi forte mais bien plus criarde, se fit entendre du haut des escaliers. C'était maintenant au tour de Jenna Jameson de rappeler à l'ordre Chenzu, quelque peu désorienté par tout ce qui lui tombait sur la tête en même temps*
- "Oooooohhh Chenzouizouille !!!! Ramène ta fraise mon p'tit oiseau !!! C'est pas pour sortir un jeu de mot bien mauvais et bien graveleux mais j'tiens à t'dire qu'y a une sacré queue d'vant la chambrette !
T'as intérêt à ram'ner ton jus et mettre les bouchées doubles..."
*Chenzu pris quand même le temps de bien se rincer la bouche. Cette douce mousse onctueuse venant inonder tous les capteurs sensoriels gustatifs lui permit de ressentir un tel vent de fraicheur qu'il crût renaitre une seconde fois.
Ce retour éclair à la réalité lui rappela qu'il avait des obligations jouissives à honorer, et dès qu'il aura fini avec elles, sa principale obligation serait purement d'ordre personnel. Personne pour la lui dicter, juste lui avec lui et lui-même....Chenzu réfléchit un instant avant de rejoindre l'étage du BBP, puis se dit :*
-"Huuuuuumm oui, moi avec moi-même mais aussi moi avec la page blanche, prète à se noircir d'encre en guise de réponse accordée à Pedroninou."
*A cette idée, Chenzu esquissa un sourire et se décida à s'engouffrer dans l'escalier, montant les marches deux par deux*
|
|
|
|
Si vous souhaitez répondre à ce sujet, merci de vous connecter. |
