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Le bleu voit rouge..  
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Karim
Karim
Déconnectéparia
 
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Posté le 09/04/2008 à 11:17:53 

Bonjour, je me présente : BLOODY HARRY KIDD. Je naquis un 22 octobre 1689 de père malheureusement inconnu et de mère malheureusement connue. J’ai débarqué sur l’île un 13 janvier 1706 par le biais d’une galère helvète venue vendre son fromage sur LIBERTY. Ce sera mon premier et mon dernier travail sérieux et à rémunération constante. Cela me permettra toutefois de pouvoir m’acheter mes armes et mon équipement, et de traiter avec les 4 lunes, en contact eux aussi avec le même vendeur, DOUDOU LA NEGOCE. Je deviens majeur le 22 octobre 1707 et commence à prendre de la hauteur dans la guilde, passant de Fantassin à Fantassin 2e ligne. S’en suit alors une longue période de vie de mensonge et de liberté, jusqu’à ce qu’un pirate ne souhaite dévoiler une liste peu vérifiable donc très facilement crédible pour bon nombre de détracteurs des 4 lunes qui cherchaient à mettre une tête sur notre guilde. Malgré tout, notre adoration ironique de la France continua et se fit savoir par des actions peu orthodoxes que seuls les français et nous autres pouvions en saisir le sens, car notre rébellion était en marche. Mais notre force de frappe et d’action ne pouvait pas être ignorée, car notre présence en France représentait un poids important dans la vision des guerres contre les autres pays. Seule ombre au tableau, MAMAN KIDD m’avait suivi et résidait à Port LOUIS également. Ce qui me donnait plus de force à ma battre et à ne pas rentrer. Regarder devant et non derrière, tout en surveillant l’arrière qu’elle n’arrive pas par surprise ! Vous expliquer pourquoi je lui voue un culte aussi négatif serait une vaine chose et le temps m’est compté. Toutefois je dois vous signaler qu’à la case lors de ma jeunesse, ma mère laissait mon père s’occuper de ses enfants et elle partait en guerre, jusqu’à la mort de PAPA KIDD lorsque j’avais 6 mois, ce qui engendra une éducation autonome depuis cet age. J’ai appris à marcher, être propre et à m’instruire seul. Et si la génétique le permettait, ce serait d’ailleurs mon père qui aurait mis bas et non ma mère. La violence dont elle fit preuve lors de ses entraînements m’orienta vers le tir, jusqu’au jour ou je réussis enfin à la toucher. Mais elle portait un casque et j’étais cul nu. Alors je pris conscience que me battre au close était une chose importante à connaître en cas d’échec à distance. Mes fesses me forcent à m’en rappeler toujours aujourd’hui. La considération de la France pour notre cercle indépendantiste prenait de l’ampleur, et j’avoue que cela me dégoûtait au plus haut point. Les accords qui cachaient des pièges ainsi que les traîtrises faisaient de liberty un lieu où je perdais le goût de vivre. Je préférai même retourner sur le continent. Ce que je fis mais pas longtemps, car mes amis avaient besoin de moi pour des plans bien plus intéressants que l’avenir de la France. Ce fut le symbole de mon retour. L’anti France. La pariatisation des 4 lunes avérés et suspectés prit effet lors des élections françaises. Ce qui nous laisse le champ libre pour quitter en toute quiétude la France gangrenée qui nous fatiguait tant. Notre campement se trouvait idéalement pour piller nos « amis » hollandais. Une gourmandise de trop, penserons nous plus tard. Voir tant d’amis disparaître jusqu’à Nick en mars dernier me fait prendre conscience de la tristesse de ces lieux et le besoin de me forcer à progresser, car un valeureux soldat comme Nick n’était déjà rien face à la haine hollandaise, alors moi, n’en parlons pas. Malheureusement, je me pose la question, est ce que quelqu’un m’aurait pleuré? Je ne pense pas. Ma mère aurait sans doute profité pour claironner que j’étais le fils de mon père, pleutre et faible, et qu’à elle toute seule, le pillage serait réussi. Ma vie prenait un tournant, puisque ce dimanche 6 avril, je devins anglais. Et pendant une guerre contre ces pauvres français. Eux qui nous conservaient et nous appelaient pendant les guerres se retrouvent séparés d’au bas mot 20 soldats d’expérience, et qui plus est les affrontaient pendant la guerre. Les parias s’occupaient de leur coté, Et les anglais de l’autre. La motivation revint, aidé par la présence des âmes de nos amis. Aujourd’hui, je suis à l’hôpital. Comme tous les jours, mais ma motivation me pousse à retourner bouter du français. Aurai-je la même motivation lors de la guerre espagnole ? Je ne sais pas. En espérant que la France aide l’Espagne, cela me permettrait d’incruster l’Angleterre dans mon sang de façon calme et progressive, sans perte de motivation. Car tout tourne autour de cette haine de la France qui me taraude, et qui guide peu à peu les pas de mon passé. Et cela me gène. Malgré mes antécédents et ceux de mes amis, l’Angleterre m’accueille a bras ouverts, et m’oblige à toute loyauté envers elle. J’espère avoir les capacités de le lui prouver grâce à mes actions. Anglais, si tu croises ma mère, fais lui les poches, tu seras riche ou mort. Elle me ressemble mais avec plus de cicatrices et plus de moustache. Un contrat sera de mise. Gouverneur, si elle demande à passer anglaise, refuses la, elle est bien en France, car elles se ressemblent et agissent pareil. DUDU, Merci pour ton aide, Nick aurait apprécié je pense. En espérant que tes actes et les nôtres ne te seront pas préjudiciables. ALANIS, je t’avais promis de te protéger, je me rapproche et j’espère tenir ma parole tant que je serais la pour ramener à la raison les gens qui te veulent du mal.
 

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