Faux Rhum Le Faux Rhum Faux Rhum  

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... et sa mort. -1- 2 3  
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Alanis
Alanis
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15/11/2005
Posté le 01/04/2008 à 11:01:14 

[Histoire relatif au personnage de Nick le Brun]

Neoh van Angstig m’avait déjà affaiblit lorsque j’avais essayé de le déloger. Mais quand je vis Tipiak de zeeman, Raoul Vandeputt et Tuxedo Fenrir arriver sur moi, alors que je tenais un des points de pillage d’ Ulüngen, je su que je n’allais pas m’en sortir.

Les premiers coups étaient à mon avantage. Mais lorsqu’ils décidèrent de cracher leurs balles sur moi, je sentis des décharges m’envahir le corps paralysant parfois certain de mes membres.

Raoul Vandeputt, l’audacieux, essaya de me mettre à terre, mais la chance était cette fois contre lui. Il voulu s'amuser a me faire les poches. C'était bien le moment. Je concentrai mon énergie et portai un coup qui lui fût fatal.

Mes dernières forces furent absorbées dans ce coup. Tipiak et Tux n’eurent plus qu’à m’achever de leurs dernières balles.

Je perdis connaissance dans ce coin des remparts de la ville Hollandaise. J’eu quand même une dernière pensée pour mes amis qui se trouvaient a Colon Van Ders.

- Qu’importe si nous ne pillons pas la ville ce soir. La diversion aura fonctionné pour prendre Colon Van ders et faire payer les Français de leur ignominie.
Alanis
Alanis
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15/11/2005
Posté le 01/04/2008 à 11:11:11 

Quelle est belle … Ma fille. Elle rit et court vers sa mère.



Le soleil des Caraïbes chauffe mon cœur et le bonheur m’envahit à me faire déborder de larmes.
Je l’entends qui m’appelle de sa petite voie :

- Papa, Papa.

Et sa Maman qui me regarde avec tant d’amour. Elle me parle.

- Si nous quittions cette île, mon amour ? Si nous allions vivre loin de cette fureur et de cette île envahit par la guerre. N’aspire tu plus à la paix ?

- Si mon aimée, notre départ est maintenant près. Partons.
Alanis
Alanis
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15/11/2005
Posté le 01/04/2008 à 11:22:03 

Arrrhhhh !!! La douleur est insoutenable. Je ne sais même pas ou j’ai mal tellement j’ai mal. J’entends des voix autour de moi. Elles rebondissent à l’intérieur de mon crâne. … Docteur ? … des compresses, infirmières … … cette fois, c’est la fois de trop… … comment a-t-il pu survivre jusque la … … je ne peux plus rien faire … J’ouvre un œil, qu’est ce qu’il se passe ? Je voie rouge, ils sont tous rouges, ils s’agitent autour de moi ? Qu’est ce qu’il m’arrive ? La pensée me traverse l'esprit - Dulcina !!!! Il faut que je voie Dudu et Alanis !....... Aaaa, j'ai si mal.
Dulcina Fagney
Dulcina Fagney
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13/02/2006
Posté le 01/04/2008 à 11:29:36 

Ils étaient partis à Ulüngen. La défense hollandaise se concentrerait dans leur ville, leur tour serait vide… tel était le plan. J’avais renoncé à rejoindre Nick au nouveau Manoir pour m’approcher du Monastère. Cela faisait pourtant une semaine que nous n’avions pu nous voir, et il me manquait tant… j’étais venue dans l’Est pour lui, pour le rejoindre… Le Monastère… Ce lieu… il était rempli de souvenirs… C’est ici que nous nous étions véritablement rencontrés… Ici que j’avais eu mes premières grosses peines, mais aussi que j’avais connu un autre Amour… quelque chose dont je n’aurais jamais mesuré l’impact, à l’époque… et pourtant… Lorsqu’il fut temps de quitter les lieux pour investir l’avant-poste hollandais, je jetais un regard en arrière… Aurons-nous le temps de revenir ici tous les deux, avant de quitter l’île ?... Je saluai le frère Tucker non sans une pointe de nostalgie… Un dernier regard par-dessus mon épaule à ce Monastère qui disparaissait… Sur la route, je discutais avec mon ami Branlouze. Il était tout excité à l’idée de rejoindre enfin l’Angleterre pour agir à nos côtés. J’étais pour ma part plongée dans mes pensées… Allez, derniers combats… nous allons amasser un peu d’argent, puis on quitte cette île… ce sont nos derniers combats aux côtés de nos amis, après il faudra leur dire au revoir… Nous étions entrés dans la tour. Je fis un tour d’horizon, vide… Je sifflai mes amis et compatriotes pour leur indiquer que la voie était libre. Silencieusement, nous hissâmes les couleurs anglaises sur Van Ders. Silencieusement, nous prenions la tour Est. Une fois fait, je grimpais au sommet de la tour… Etrange sensation que j’eus alors, comme si l’on me comprimait le thorax, comme si je venais à manquer d’air… Sans savoir que c’est à cet endroit même que se trouvait Ammokk le soir de mon mariage, ce soir là où j’avais fait un malaise… Sans le savoir, je me sentais à nouveau mal… mais étrangement, ce n’était pas la même douleur… J’avais retiré et jeté il y a quelques semaines cette bague qui me brûlait… A présent, c’était mon médaillon qui transmettait en moi comme une décharge… « Ca va Dudu ? » Je me retournai brusquement. « Tu es toute pâle ! » Je regardai Branl qui m’observait, et tentais de reprendre ma respiration. Un regard vers Ulungen… la ville semblait si calme vue d’ici, je ne sais si le vent aurait pu porter les cris des combats jusqu’ici, mais aucune lumière ne nous parvenait. « Tu crois que ça va là bas ? » Branl me souriait. « Dudu, tu parles que ça va, ils sont à Ulungen ! Ce n’est pas comme si c’était leur première fois ! Allez, viens te reposer… » Je le suivis et descendis de la tour… Etrange sensation… Vivement demain que je le rejoigne…
Alanis
Alanis
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15/11/2005
Posté le 01/04/2008 à 11:55:21 

Je sais que je suis inconscient, mais pas encore mort. Je ne souffre pas dans cet état. Je revois mes compagnons des derniers jours, et ceux que j’ai rencontré en arrivant sur l’île. Tous ces visages qui se mélangent. Branlouz, Adé, le Lord, Zol, Sparfell, kassad, Bloody, Nomi, Tybidoun, Tout Jaune et tant d’autres, tous ceux qui ont fait ma famille mes frères et mes sœurs. Je revoie ces prises de tours, ces pillages et tous ces drapeaux Français qui flottent aux vents chauds de la mer des caraïbes. Nos Sabres qui se croisent vers le ciel pour célébrer notre unité et notre victoire. Je suis fier d’eux, fier de notre famille.
Gwenn de Kermeule
Gwenn de Kermeule
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21/08/2007
Posté le 01/04/2008 à 11:59:34 

Les râles des blessés résonnaient, des gémissements de douleur étouffés, des pleurs, les insultes et les cris de rage d'un homme devant se faire amputer... pour les amants de la guerre, autant de choses à accepter avec philosophie. L'hôpital n'était pas encore saturé. Les choses se présentaient donc bien. Un chiche drap blanc déja souillé de sang séparait son lit du reste de la salle. Assis sur son lit, le baron d'Aramitz convalescent était occupé à cacheter la lettre de compliments qu'il envoyait à l'Anglaise Elinor. D'une main distraite, il caressait les cheveux blonds d'une infirmière généreuse, et agenouillée, la remerçiant d'un sourire bienveillant. Tandis qu'elle se rhabillait, les échos d'une conversation proche parvinrent à ses oreilles. Les médecins de Liberty jouissaient d'une expérience et d'un talent inégalable, il n'en étaient pas moins aptes à sauver absolument tous leurs patients. Un malheureux allait expirer. Serrant les dents à cause de la douleur occasionnée, aidé par la jeune femme inquiète, il revêtit ses chausses et sa chemise, se coiffant d'un chapeau panaché et passablement usé. Il sortit de l'avéole, enroulant autour de son poignet le chapelet servant de pendentif à une petite croix en or et ivoire. Un doux sourire triste passa sur ses lèvres lorsqu'il vit de quel patient il s'agissait. Sans marquer une seconde d'arrêt, il s'approcha du lit du mourant.
Gwenn de Kermeule
Gwenn de Kermeule
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21/08/2007
Posté le 01/04/2008 à 12:10:23 

Le chapelet se déroule, Henri échange un regard entendu avec le personnel soignant. Il ôte avec respect sa coiffe et la pose sur le torse ensanglanté de Nick Le Brun, meneur des 4 Lunes, guerrier de légende, brigand, pillard, mercenaire, proscrit...époux d'une femme bientôt éplorée, père d'un enfant bientôt orphelin. L'homme qui se dit abbé place alors sa croix entre ses paumes jointes, égrenant d'une voix douce et grave une brève série de prières latines. Il porte la croix à ses lèvres puis la place dans la main droite du gisant, refermant son poing dessus. A son tour agenouillé au côté d'un lit, le front baissé, les mains jointes, un ministre de Port Louis accompagne les derniers instants du plus grand paria de sa colonie.
Alanis
Alanis
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15/11/2005
Posté le 01/04/2008 à 12:21:20 

La lumière m’aveugle ! Non !! C’est trop tôt. Le ciel s’assombrit les nuages noircisses. Je sens la pluie sur mon visage. Les gouttes sont des gouttes de sang sur ma peau. J’ai peur. Dieu va juger mon âme. J’ai tant tué, tant versé de sang au nom des miens, au nom du profit. Non pas déjà, pas maintenant. Je lutte pour sortir de mon inconscience. La douleur revient plus forte dans mes entrailles. Je vois cet homme penché sur moi. Je le reconnais... Aramitz ! … Me repentir. … J’arrache les mots de ma bouche : - Mon … père … lavez moi … de … mes péchés.
RIP
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Posté le 01/04/2008 à 12:47:57 

50 jours qu'il avait quitté l'île. Tellement de choses se sont produites durant ces 50 jours... Désormais mercenaire et naviguant d'île en île attiré par l'argent et le désir de rencontrer un adversaire de valeur, Nightbringer avait terminé de mettre à mort un vulgaire aristocrate non loin de Liberty quand il apprit la nouvelle. Nick le brun, maître des 4 lunes, était en train de lacher son dernier souffle. Aucune joie, aucune peine. C'était un grand homme qui mourrait, celui qu'il avait le plus combattu sur cette île et qui lui avait toujours échappé. Un regret ? Un seul. De ne pas l'avoir achevé lui-même. L'ancien pirate continua sa route vers l'île suivante, se remémorant leur dernier affrontement. -Peut-être trouverai-je un jour quelqu'un d'assez valeureux pour me faire subir le même sort...
Alanis
Alanis
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15/11/2005
Posté le 01/04/2008 à 14:04:46 

La douleur se transforme en tristesse. Ça fait tout aussi mal. C’est peut-être ça, se repentir ? Je pleure. Je pleure mes compagnons, Je pleurs mes amis. ... La douleur est immense et saigne directement mon âme... Je pleure les hommes et les femmes que je laisse derrière moi. Je pleure ma femme que j’abandonne à ce monde de fou. Elle qui a déjà trop souffert, elle qui ne méritait pas ça. ... C’est insupportable... Je pleure ma fille. Elle que je ne verrais pas grandir. Puisse dieu me pardonner et les protéger. Je n’en peux plus. J’aurais tant aimé les revoir avant de partir. Sentir un baiser, une caresse, un souffle. Adieu mes amours, adieu mes amis, adieu ... Liberty.
Dulcina Fagney
Dulcina Fagney
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13/02/2006
Posté le 01/04/2008 à 14:19:54 

Encore ce rêve… Nous allons embarquer sur le bateau, il part de New Kingston… Nous sommes là, tous les trois, le visage rayonnant du bonheur de partir vers une nouvelle vie, ensemble… et partagé d’un peu de tristesse de dire au revoir à nos amis. Ils sont tous là, sur le quai. J’ai une grosse boule près du cœur, c’est si difficile de les quitter tous. Ils sont devenus ma famille lorsque je suis arrivée sur cette île, la famille de Nick aussi… mais aujourd’hui, lui et moi, nous avons notre propre famille. Je regarde Alanis, elle fait des câlins à tous ses Tontons et Tata, à son Parrain Choco, à sa Marraine Anna, à Tequila, aux jeunes de la BYL qu’elle a appris à connaître, et même à mes amis qu’elle ne connaissait encore pas ou si peu… Le Capitaine du Navire nous fait signe qu’il va larguer les amarres… il est temps de partir… Je serre une dernière fois mon « frangin » Choco dans des bras, puis nous montons sur le pont, et je m’approche du bord du bateau, avec Nick qui porte Alanis, pour faire signe à tout le monde, la larme aux yeux mais la joie au cœur… Tiens, mon ventre, je suis… « Dudu ! » Branlouze me réveille. J’émerge doucement, pour me rendre compte que je suis dans Van Ders. Petit à petit, tout me revient. Je souris à mon ami, les couleurs anglaises lui vont bien, ma foi. Il me tend un superbe parchemin sur lequel sont réunis deux sceaux... dont un que je reconnaîtrais entre mille. "Du courrier pour toi." Je le prends avec impatience et me hâte de l'ouvrir, le sourire aux lèvres...
Karim
Karim
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13/01/2006
Posté le 01/04/2008 à 14:23:58 

Un perroquet arriva sur moi et m'annonça la terrible nouvelle. Je n'avais jamais cru le proverbe qui disait que l'oiseau rouge était de mauvais présage. Mais pourtant c'était le cas. Le volatile était couvert du sang de Nick, et était bientôt bien plus bavard que lui. Cela aurait du arriver, mais j'aurais aimé être le premier. Je repensai au premier jour de ma venue, à notre premier contact avec Nick, tout jaune, adé, tibidoun, momo, sing et ceux qui attendent leur tour. Pour un peu, on ne se serait jamais connu, car il m’avait confié par la suite qu’il s’était trompé de personne quand il m’a enroulé. Peut être cela m’aurait évité tant de tristesse en ce jour de blague, même si aujourd’hui ce n’en était pas une. Ou alors une très mauvaise. Je n’en aurai pas la force, et je ne pense même pas savoir qui sera en état de graver le nom de notre ami à coté des autres. TRIVIDIC, peut être, lui homme si dur et si rêveur pourra imaginer autre fin. Je m’en voulais, car je n’avais pas été assez rapide hier soir. Il se faisait exécuter alors que j’approchai d’ULUNGEN, et bientôt Hooligan venait me barrer le chemin. Sans ça, peut être serait-il toujours la ? Est-ce donc de ma faute ? Je fermai les yeux et laissai couler les larmes sur mes joues. Bientôt mon pistolet prenait l’eau. Même si nous sommes nombreux et résistants, qui sait combien de nos amis tomberont encore ? En tout cas, Nick, tu nous quittes, mais j’espère que tu accepteras que l’on ne te suive pas dans cette aventure, car nous devons défendre ta mémoire et tes femmes. Notre rôle change, mais nous serons plus fort. Puisses tu nous surveiller et guider nos armes vers d’autres choix que la bêtise des simples d’esprits que nous serons le temps de faire notre deuil. Je portai la main sur mon chapeau et le secouai en direction du ciel, avec l’espoir que Nick me remarque en rejoignant sa demeure maintenant éternelle, mais la seule personne qui me vit fut un jeune hollandais qui ne comprit pas mon geste, et même qui se prit à rire. Mais ai-je la force de lui répondre ? bien sur que non. Mais cela m’était égal, mon seul but était que mon frère me remarque et me salue une dernière fois. Et pourquoi pas me pardonner ?
Marius le Gardien
Marius le Gardien
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12/09/2006
Posté le 01/04/2008 à 14:42:51 

Marius, parfaitement remis des derniers jours trainait en ce lieu ou les morts côtoyaient les vivants... Il vit Nick mourir petit à petit, tentant de s'accrocher tentant d'expier ses fautes au dernier moment... Marius repensa à ses premiers instants sur l'Ile... Il avait rejoins rapidement l'Unipl et montra très rapidement de fortes capacité... Mon parrain, Jean français de Montecroix me parla un jour des guildes françaises, le Lys, une des forces les plus importantes, mais surtout il me parla du FBI dont Nick le Brun était le meneur. Il m'en fit l'éloge, me disant que personne ne pouvait s'opposer à eux, aucune guilde n'était aussi puissante que la leur et que quand il y avait une guerre, la présence du FBI changeait totalement la donne en la faveur de la France... Mais ce temps ne dura qu'un temps... Il se rappela rapidement tous les changements qu'il avait vu sur Liberty, ceux auxquels il avait assisté, ceux auxquels il avait participé et surtout ceux qu'ils avaient déclenché... Le FBI devenu les 4 lunes étaient devenues des ennemis de la France, à peine plus respectable que les pirates... Pourquoi ? La puissance leur était elle montée à la tête, sûrement, mais pas seulement. Ce qui était sûr, c'est que pour lui, leur meurtre sans raison, excepté celle de l'argent, les familles veuves, les villes détruites constamment faisaient qu'aucun d'entre nous ne pouvait être pardonné, qu'aucun d'entre eux, ne pouvait revenir dans le droit chemin. Qu'aucun d'entre eux ne méritait la vie. Lui même il avait pris des vies, mais toujours dans un seul et unique, en protéger d'autres et en bien plus grand nombre, protéger sa nation, ses amis, les familles de Port Louis... Mais comment en étaient ils arrivés là ? Etais ce la destinée de tous les puissants de Liberty qui las des guerres, las des défenses difficiles, las de servir les autres, leurs objectifs et leurs envies personnelles prenaient petit à petit le dessus créant alors des tueurs sans foi ni loi, si ce n'est celle de l'argent et du plus fort ? Etais ce aussi ce qu'il l'attendait ? Ce qui attendait ses frères et sœurs ? toujours plus puissants ? L'ombre le submergerait il de trop un jour qu'il ne puisse plus faire la différence entre le bien et le mal ? Toucher à l'ombre n'était il pas déjà en soit un dépassement de cette ligne fragile et si invisible ? Marius se ressaisit et regarda à nouveau Nick... Il payait simplement les erreurs de sa vie, les vies qu'il avait pris trop nombreuses et son destin était de finir ainsi laissant derrière lui des gens qui l'aimait pour ce qu'il était et non pas ce qu'il était devenu... Marius fit ses adieux et se prépara pour une bataille d'anthologie le soir même... Il sangla son armure, le visage dur, se redressa de toute sa stature, et donna quelques ordres autour de lui... Il ne se retourna pas, car il avait lui aussi des choses à accomplir et il était convaincu que la voie qu'il suivait était la bonne, toujours protéger, toujours défendre sa ville, sa nation, les français et leurs intérêts... Ps : désolé si mon message semble improviser, c'est le cas... mon perso réagit comme ca à l'inspiration, c'est comme cela qu'il réagirait de toute façon...
Gwenn de Kermeule
Gwenn de Kermeule
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21/08/2007
Posté le 01/04/2008 à 14:54:14 

In nomine patris, et filii, et spiritus sancti... Le mousquetaire a entendu les paroles du bandit, il a hoché légèrement de la tête, puis il a commencé à énoncer l'absolution. Comme tous les autres, à l'heure du trépas, Nick le Brun demande la grâce du Seigneur, offre sa repentance pour tous les péchés qu'il a pu commettre. Et elle lui sera accordée. La litanie du décès s'élève dans l'air de l'hôpital, ceux qui connaissent mal le baron d'Aramitz peuvent le voir prier avec une piété pure, féroce et sincère, en contraste rigoureux avec l'image qu'il produit à l'ordinaire. Enfin, par trois fois, il effectue le signe de croix sur l'homme, alors que ce dernier expire son dernier souffle. Une main referme les yeux de Nick le Brun. Puis, Henri appose la petite croix précieuse sur le front du mort, appuyant fortement pour y imprimer la marque du Christ. De se bourse il retire deux Louis d'or pour les poser sur ses paupières closes. Il rammène la main du mercenaire sur la garde de son sabre et rassemble le tout sur son torse. Tu en auras besoin, vieille canaille...nous nous reverrons de l'autre côté. Amen.
Dulcina Fagney
Dulcina Fagney
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13/02/2006
Posté le 01/04/2008 à 15:22:48 

« Non… non… non… » Ces mots sortent de ma bouche dans un souffle au fur et à mesure que je parcours cette lettre… Je me relève et lâche le parchemin en criant d’une voix rauque. « Niiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiick » Branl me regarde étrangement, inquiet. « Dudu, qué passa ? Réviens ! » « Niiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiick » Je cours vers la sortie de Van Ders, et écarte les bras comme si mon cri n’en sera que plus fort… « Niiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiick » Je sors de la tour, et je regarde vers Ulungen… Il était là bas pour la dernière fois… non, il est à l’hôpital de Port Louis… Il est… Non ! « Niiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiick » Ma voix se casse petit à petit, le cri est déchirant et traverse toute la jungle qui nous entoure… Je veux qu’il m’entende, je veux qu’il vienne tout de suite… « Niiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiick » Rien à faire, je ne peux m’empêcher de crier… je regarde partout aux alentours, j’ai l’impression que je vais exploser, il faut que je crie… « Niiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiick » Mon cœur se déchire, il MENT ! Cet Henri d’Aramitz, il MENT, ça ne peut pas être possible ! « Niiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiick » Je regarde partout autour, mon visage est complètement déformé par la douleur. Cette lettre, le sceau de Nick joint au sien, non, ce n’est pas possible… « Niiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiick » Non, c’est faux, c’est faux, c’est FAUX ! « Niiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiick » Je crie encore, cette fois des larmes viennent envahir mes yeux, mes joues, mon cou, mon visage entier est inondé. Je suffoque, je marche sans avancer, ma vision se trouble puis revient… « Niiii…iiiii….iii….iiiiick » Je hoquette, je n’arrive plus à respirer… Autour de moi tout n’est qu’illusion, oui, c’est cela, je rêve… enfin, je cauchemarde, c’est évident. Allez Dudu, arrête un peu, tu vas avoir l’air ridicule en te réveillant…
Spectre de Don Branlouz
Spectre de Don Branlouz
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19/08/2006
Posté le 01/04/2008 à 16:40:14 

- qué passa ...qué passa ...qué passa !! plus je posé la question plus je semblai deviner et plus je redouté la réponse . je pouvais maintenant entendre mon coeur résonner dans tout mon corps mais mon esprit lui, refusait d'y croire . je ramassai le parchemin tout en regardant dudu, et me mis a lire silencieusement ... C'est avec tristesse que je prends la plume pour vous écrire aujourd'hui. Nul ne sait jamais comment apprendre une telle nouvelle, moi pas mieux qu'un autre, aussi, je vais devoir être direct. Je sais d'avance que la brutalité de l'annonce vous blessera, et vous avez le droit de maudire le messager que je suis... Votre époux, Nick Le Brun, est mort aujourd'hui, dans l'hôpital de Port Louis, des suites de ses blessures. A de trop nombreuses reprises il a bravé la mort, comme nous tous, ce combat à Ulüngen fut celui de trop... Je ne me permettrais ici aucun jugement, le fardeau de devoir annoncer à une épouse aimée et une enfant chérie que leur maître n'est plus est déja par trop cruelle. Je vous abjure de ne point haïr ceux qui l'ont terrassé...votre mari était un colosse et un guerrier de légende, il n'en était pas moins qu'un homme, et un soldat, qui connaissait les risques qu'il choisissait de prendre. Je ne parle pas ici uniquement pour vous, mais surtout pour votre progéniture, que vous aurez la lourde tâche d'élever seule pour le moment...ne laissez pas le Mal prendre racine dans le coeur de votre fille par le biais de la rancoeur qu'elle ne manquera pas de ressentir. Nick a accompli d'innombrables méfaits dans son existence, mais à travers votre chagrin, n'oubliez jamais que Alanis est la plus belle chose qu'il ait jamais pu accomplir. Sachez aussi que c'est moi qui l'ait accompagné jusqu'aux portes de la mort. Sachez que votre époux s'est sincèrement repenti pour ses fautes et que je lui ai octroyé l'extrême onction. Voila le maigre réconfort que je peux vous donner. Je rassemble en ce moment même ses effets, et j'ai joint son sceau personnel à cette missive, afin que vous puissiez être tout à fait certaine que je ne vous joue point ici un affreux tour. Je suis à votre disposition, votre dévoué, Henri, baron d'Aramitz, mousquetaire de la Maison du Roy, abbé, ministre de Port Louis. pendant toute la lecture mon poing s'était serré. je regardé dudu hurlante de douleur a la recherche de quelque chose a lui dire ...les hollandais ! ..et cette stupide prise de tour ..Non..Non ça doit être faux ..alors pourquoi je me sent si seul ..maudit sois-tu Dieux..et que la madonne soit maudite aussi..alanis..tu ne connaitras pas ton père...DUDU !! mais pas un mots ne pus sortir de ma gorge, je ne fit que regardé fixement dudu en plissant les yeux pour retenir mes larmes . d'un corps sanglotant je rechargé mon pistolet, ajusta mon bardas, je pris dudu dans mes bras en la serrant très fort. - por lui cé né séras qu'une séconde, por nous cé serras une vie avant dé lé rétrouver, pense a alanis. puis je m'éloignais a grandes enjambées rejoindre le campement dans la noirceur de la jungle, l'âme en ébullition ...
Ric Dangerous
Ric Dangerous
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19/11/2005
Posté le 01/04/2008 à 18:01:32 

J’avais fini par baisser les bras et pris la route de la sortie. « Trop de bondieu de pirates dans c’te mine ! » avais je songé. « En plus on y voit goutte et ca puire la vinasse de mauvais goût. Il me faut un rhum, un bain chaud et un lit douillet !! » A l’extérieur des mines du crâne, une petite brise me glaça le sang. Pas une de celle qui vous donne froid mais plutôt celle qui refroidi l’âme. Un silence de mort régnait là dehors… Pas de doute...quelque chose de terrible venait de se produire comme si la nature elle-même tentait de s’exprimer silencieusement. Quelque chose de terrible…terrible…d’assez terrible pour me changer à jamais…
Dulcina Fagney
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Posté le 01/04/2008 à 18:10:09 

Branl me ramène à la réalité… Il m’a rejointe, son visage exprime une telle tristesse, je vois les traces humides de larmes qui traversent ses joues. Son visage me ramène à la réalité… et ma voix déchire l’air entier à nouveau… « Nooooooooooooooooon, Niiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiick ! Noooo…ooooo…oooon » Il me prends dans ses bras, et me sert fort, je sens toute consistance quitter mon corps, j’aimerais que mon cœur se vide, qu’il meurt tellement je souffre, que tout cela finisse… Branl reste un moment à me serrer ainsi, il me parle, mais je ne l’entends pas, je laisse juste mon corps se vider des larmes qu’il contient… Il finit par s’écarter, puis se dirige vers la sortie, le visage grave et exprimant une telle tristesse… j’en ressens encore davantage la mienne, me déchirant le torse… Je me laisse tomber, à genoux, et prend ma tête entre mes mains, une tête secouée de spasmes de laquelle des quantités de larmes qu’on ne pourrait soupçonner d’exister tombent… L’incompréhension, la douleur, le refus d’y croire… tout se mélange en moi, oui, je refuse d’y croire, Nick n’a pas pu me laisser tomber… Nick n’a pas pu nous laisser, Alanis et moi. « Nick, t’as pas pu faire ça ! Ecris moi, dis moi que tout va bien, NIIIIIIICK !!! » Je sanglote à nouveau, tremblant de tous mes membres, je vois trouble, je vois flou, mes larmes ne me permettent pas d’entrevoir que je ne suis pas seule… qu’à côté de moi, deux amis m’ont rejointe…
Zol Tipiak
Zol Tipiak
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Posté le 01/04/2008 à 19:33:09 

Laer Mor, Kassad et moi savions que Nick était déjà parti. Notre tâche était de faire diversion à Ulungen pendant que d'autres prenaient Van Ders. Ca ne devaient pas être facile mais ça nous faisait pas peur. Une fois entrés dans la cité nous ne rencontrâmes pas beaucoup de résistance, mais c'est avec effroi que nous découvrions le corps de notre frère. Notre première pensée fut pour Dudu et la petite Alanis, comment allaient elle réagir ?
'Le Violoniste'
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Posté le 01/04/2008 à 19:49:21 

Un perroquet mélodieux se pose sur l'épaule du Violoniste et lui caquète une petite mélodie cryptée... "Quoi??!!! Nick? Nick Le Brun est mort?? Mais ce n'est pas possible!! Il y a sûrement une erreur! Le Nick que je connais est plus fort que toute une armée, il ne peut pas mourrir comme ça!" *Moment de silence...sans musique...moment d'une extrême rareté...* "Il faut que je joue, que j'évacue cette nouvelle dont il n'est pas concevable d'imaginer les conséquences...Dudu...Alanis...j'arrive m'occuper de vous..." Le Violoniste sort son violon là où il est et commence à jouer une mélodie, la même qu'il a joué à Nick lors de leur première rencontre "Nick, où que tu sois, c'est pour toi..." Un larme coule sur la joue du Violoniste pendant que le flot des notes envahit la pièce.
Dulcina Fagney
Dulcina Fagney
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13/02/2006
Posté le 01/04/2008 à 19:53:30 

Une peine partagée ? Je suis là, avec Zol et Nomi, perdus aussi, j’ai l’impression d’être un zombie, je ressens une douleur comme jamais je n’ai ressentie, une douleur lancinante qui n’arrive pas à cesser… Je finis par sortir de ma torpeur… Nick n’est pas mort, ce n’est pas possible… Nick ne peut pas mourir, il ne peut pas nous abandonner, je vais aller le chercher à l’hôpital et on va aller chercher Alanis et quitter cette île comme on l'a prévu… Je finis par sortir, de mes mains tremblantes et fébriles, un parchemin et une plume de mon sac. Voyons, je vais lui écrire, il me répondra que tout va bien, et tout ira mieux… Je tiens la plume maladroitement, et mes larmes tombent sur l’encre qui commence à former ces quelques mots… « Nick, on me fait croire que tu es mort... Nick, mon Amour, mon tendre, mon époux, je t'en prie, ce rapace saura te retrouver, réponds moi, dis moi que ce n'est pas vrai, réponds moi Nick, je t'en prie... je t'en prie... » J’attache le message à la patte du rapace… Je lui souffle de retrouver Nick… de lui amener ce message, de faire vite… En le regardant s’envoler, c’est tous mes espoirs qui s’envolent avec lui… Je me languis de recevoir une réponse, je tremble à l’idée d’entrevoir mon oiseau revenir m’apporter une lettre de mon mari… Il est des choses qu’une femme ne sait pas accepter… Il va me répondre… il va me répondre… il va me répondre…
Armand Thierry
Armand Thierry
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26/09/2007
Posté le 01/04/2008 à 20:08:23 

La lumière revenait, mes yeux se rouvraient, le coup d'hier m'avait assomé pendant plusieurs heures. Je me relevai de mon lit durement, lorsque je vis un attroupement, je fus étonné. Je me dirigeai vers le lit entouré, je vis Marius, plusieurs infirmières, Aramitz penché sur le lit. Je me rapprochais jusqu'à atteindre le bout du lit et voir, le voir. Mes yeux restèrent bloqués quelques secondes, mes muscles s'arrêtèrent. Le verre que j'avais dans la main s'éclata sur le sol, la bouche ouverte. Je mis quelques secondes a réaliser et a reprendre mon esprit. Je fermais les yeux et me dirigeais a côté. Je les rouvris et le vis de plus près. Ma bouche toujours ouverte je restais quelques minutes avant d'entendre D'Aramitz prononcé quelques mots. Il déposa un chapelet sur la dépouille. Je mis ma main sur mon cœur et la posa sur le sien en baissant la tête. Je ne pouvais pas, je ne pouvais pas y croire, c'était impossible. Mon plus grand ami sur l'île, ce n'était pas possible.Je me crus dans un rêve. Je pris de ma sacoche un cigare, un chef sauvage me l'avait donné. C'était un cigare trouvé dans le temple. Je le pris pour le déposer dans la poche intérieur de son gilet. Ce fût le pire d'incompréhension de ma vie. L'évènement le plus triste, le plus choquant que je connus. Je fis son éloge tout haut : " - Aucuns ni jamais personnes ne sera aussi dévoué et valeureux que cette personne. J'aurais pris le temps de prier Dieu si je ne pensais pas que cette homme pourrait tombé. Je le croyais invincible. Nick fût le premier a m'accueillir et m'aider a mon arrivée sur cette île. Il fût comme un père. L'île a perdu un de ses piliers. Nick, nous ne t'oublierons jamais, puisse tu être en paix. " Je partis et m'assis sur mon lit les yeux fixés sur le sol
Hernanone la Rousse
Hernanone la Rousse
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22/09/2006
Posté le 01/04/2008 à 20:28:15 

Elle le connaissait peu, ils s'étaient rencontrés par l'intermédiaire de Dudu et pourtant lorsqu'elle apprit sa mort, une profonde tristesse l'envahit, comme si elle venait de perdre un proche... Elle n'aurait su dire pourquoi cela l'affectait, pourquoi la mort d'un homme qu'elle connaissait à peine la rendait si triste....Peut-être parce qu'elle savait qu'au fond d'elle, ils se ressemblaient, qu'ils avaient sur beaucoup de côtés, les mêmes idéaux, les mêmes attentes de la vie....Certes beaucoup l'ont décrié, lui ont reproché maints et maints faits et gestes, mais elle, petite Française venue de Hollande, elle l'avait toujours apprécié Hernanone n'aurait jamais cru qu'il puisse disparaitre de cette manière...Mais après tout il était un homme comme un autre, avec ses convictions, ses idées... Elle regrettait une chose; ne pas avoir eu le temps de mieux le connaitre...Ils se seraient sûrement bien entendus.... La Française laissa, en souvenir de Nick, une trainée de roses roses, symbolisant l'estime qu'elle avait pour lui....
Nico Le Voyageur
Nico Le Voyageur
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11/08/2006
Posté le 01/04/2008 à 20:47:40 

Nico ,après avoir recu un perroquet de Ric, venait d'arriver dans l'enceinte de l'hopital. Haletant, écorché jusqu'aux genoux d'avoir courru sans relâche à travers forêt et marécage. Il demanda qu'on lui ouvre la chambre mortuaire et demanda à rester un moment seul avec le défunt. Le corps était drapé d'une parrure blanche et Nico la releva jusqu'a découvrir jusqu'a mi-torse la dépouille de Nick. Un moment prostré , il se mit à ouvrir la bouche. Nick, J'ai cru à une vieille blague grottesque comme en ont l'habitude nos amis, même si je l'avoue cela aurait été plus crédible de la part de Bloody.... esquisse un sourire Nick, mon ami , tu es un grand homme et tu resteras vivant dans nos coeurs. De part ta bonté , tu m'as tendu la main lorsque j'en ai eu besoin, de part ta volonté rien ne pouvait te resister, Nico ouvrit sa chemise et laissa apparaitre son médaillon des 4 Lunes Si nous sommes une famille, tu es notre père, toi qui nous a toujours mené à la victoire avec honneur. Pour toi mon ami, le voile sera levé, Nico se remémora tous nos ennemis essayant de percer le mystère de notre confrérie et de ces membres et se mit à sourire Ces rustres n'auront plus à nous chercher, nous sauront les trouver. Ils paieront de leurs sangs leurs offenses, oh oui ils trembleront lorsque nous chargerons en criant "Pour Nick". Mon ami, je te promet de vieiller à la protection de ta chère femme et de ta fille ainsi qu'a son éducation. Ta femme est veuve de son homme mais sa famille est toujours derrière elle. Nico déposa entre les mains de Nick déjà presque totalement raide une rose mauve, fleur rare dont il garde secret sa provenance Bon voyage grand chef, et laisse ton charisme se répendre sur nous. Nico remis le linceul blanc sur le corps de Nick et partit à la rencontre de Dudu et Don Branlouz.
RIP
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Posté le 01/04/2008 à 20:51:42 

Un vent de folie s'engouffra dans la pièce. PAN ! PAN ! PAN ! Trois coup de pétoires retentirent sur Liberty. Quelques gouttes d'eau de Sasekoi tombèrent sur l'île, ici et là, sur les porteurs de médaillons dorés. Le vent tourbillonna quelques secondes autour du Brun, ébouriffant cette grosse sucette frisée de Nick. Il faisait peine à voir le bougre, mais ce qui était sur, c'est qu'il y en a un qui l'attendait ferme la-haut.
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