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Une vie parmi tant d’autres.  
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Posté le 29/12/2007 à 02:04:10 

Un jour de travail comme les autres au bar d’Esperanza, les cernes sur mon visage ressortaient énormément du fait des longues heures de travail. Je transportais les barils de bières et de rhum là où on me disait. En plus des heures de travail je m’entrainais au maniement du sabre avec un autre serviteur qui fût gardiens de la ville à une époque, mais maintenant était trop vieux pour continuer à bien faire se travail. Il m’apprit en premiers à éviter les coups avant de donner. L’art de la défense, l’offensive attendrait, je n’avais pas le niveau requis pour cela. Durant ces entrainements il ne m’apprenait pas que le sabre, mais aussi les bonnes manières (savoir parler aux dames de façon courtois), les principes moraux (cherche pas à emmerder plus fort que toi), la justice (ce que mérite un homme ou une femme pour telle ou telle crime selon lui). De jour en jour ma musculature devenait plus développer et je comprenais mieux le monde de Liberty, comment survivre avec une aiguille face à 10 sangliers enragés m’était tout de même pas encore possible (mais avec un scalpel si ). Les espagnoles que je rencontrais au bar racontaient de belles histoires de combat en mer ou sur terre. Ils narraient tous leurs exploits avec une choppe de bière à la main et tout le monde écoutait pour savoir comment ils avaient fait mais surtout pour connaître les points faibles des un et des autres.
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Posté le 09/01/2008 à 17:14:55 

[http://www.radioblogclub.fr/open/128156/radiohead/%20RadioHead%20-%20Everything%20In%20Its%20Right%20Place%20-%20Radiohead.rbs] Mon entrainement devenait de plus en plus complet, on ne se limitait pas à juste répéter des mouvements pour que ceux-ci deviennent des mouvements habituel et donc plus facile à utiliser en combat car plus naturel. Le duel face à mon maître était difficile. Je portais des coups précis, je tentais de toucher les points vitaux telle que : la carotide, la tête, le cœur, les couilles… ou alors de l’avoir aux niveaux des cheville pour qu’il ait plus de mal à se déplacer mais celui-ci me collait toujours un revers de sa lame dans la trogne quand ça devenait trop dangereux pour lu, et moi je me tombais comme le simple enfant que j’étais. Ma dignité froissée par ce simple coup. Puis ensuite nous allions la taverne et buvons, lui du rhum et lui me payer de la bière car il voulait que je tienne encore sur mes jambes pour que l’on puisse reprendre l’entrainement après. Je passais donc mes journées à m’entrainer avec mon maître et à vider les ordures de la taverne et quand il se passait un combat dans la taverne j’essayais de virés les gars à moitié dans le coma avec le tavernier. A la fin des mes 14ans j’ai essayé de me faire repérer par ceux de nation quelque temps puis décidai de me remettre dans mon coin à m’entrainer peu de temps après cette tentative, je n’étais pas assez mûr ou bien était trop renfermé sur moi-même qui sait? Toujours est-il que je revins après 4 ans de silence à mettre entrainer, mon mentor était mort à mes 16ans, et j’étais devenu plus mûre du moins je le pensais. Les espagnoles, je les aimais mais quelque chose n’allait pas, je ne me sentais pas chez moi malgré les 4 longues années passé avec eux. C’est alors que mon choix se fit sur l’Angleterre. Durant plusieurs jours je réfléchissais à cela. Je pris ma décision et décida de quitter ma nation l’Espagne pour rejoindre les anglais. J’avais envoyé donc ma lettre au 3 dirigeant de l’époque. Je fus refusé directement, ils n’avaient même pas cherché à me comprendre, seul le gouverneur m’avais envoyé une lettre d’excuse. Aussi bête que cela puisse paraître c’est à compter de ce jour que je me décidais de me venger d’eux. C’est puéril je le sais, cela ne mène à rien mais cela est plus fort que moi. C’est pour cela que maintenant j’essaie d’être loin de ces anglais car je sais que mon bras partira tout seul si j’en croisais un. Après avoir été dégouté de ce refus, je décidais de rejoindre la nation qui me paraissait la plus respectable et celle où était mon héros préféré quand j’avais entendu son histoire à la taverne quand je n’avais que 15 ans. Il était un homme honorable, calme, réfléchie, bon… Ammokk. Je ne l’ai jamais croisé mais si je le croise un jour je lui dirais que j’ai envie d’être aussi respecté que lui, et que lui, est un homme que je considère comme le héros de Liberty. Je fis donc ma lettre au gouvernement hollandais qui était à ce moment là dirigeait par: Gaël, Gaart et Tuxedo. Ils me dire tout d’abord de calmer mes ardeurs car je faisais apparemment peur quand on lisait ma lettre de motivation. Ceux-ci me dire que si je faisais la moindre bavure, je redeviendrais paria, si j’attaquais le moindre français se serait le même sort, car dans ma lettre je disais que je n’aimais pas les alliées de mon ancienne nation, que je trouvais qu’une alliance c’était être faible, même si ce que j’avais dit n’était que un mensonge dont j’ai honte. Quand j’y repense aujourd’hui je trouve étrange d’avoir été accepté, vu comment je m’y étais pris. Tuxedo me l’avait dit, si je deviens hollandais, évite d’attaquer nos alliées, ne fait rien sur les hollandais et alors tout se passera bien. Je fis donc mon intégration à la hollande. Le nouveau bandeau sur ma tête me donnait un sentiment étrange, une impression de faire un nouveau départ. Je me fis donc discret au début puis décidais de prendre une place un peu plus importante pour que l’on sache que l’on pouvait me faire confiance. C’est ainsi que je me proposais en tant que procureur. [HRP : regardez dans archive, taverne RP, « plus le temps passe, plus mon cœur s’emballe », si vous le voulez en moins abrégé^^]
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Posté le 19/01/2008 à 16:46:33 

Le rôle de procureur me demandait pas mal de temps. Je profitais de ce temps pour me faire connaître. Ce ne fût pas une tâche facile, mais qui ne tente rien n’a rien. Je m’occupais donc de ce rôle durant de nombreuses semaines. Jonglant sur différents dossiers. La crise de la guerre arriva face à la France. Cela devait éclater un jour, les provocations de certains ne nous avaient pas tous laisser de marbre, et donc il avait fallu que l’on essaie de riposter. Mais cette envie simple de se venger se transforma en guerre, qui fût un terrible échec pour nous. Après cela, il y eut une période dont je ne me souviens de rien. Un grand trou noir, la seule chose dont je me souviens c’est d’une éclipse. Après cette période, je parcourais l’île à la recherche de mon moi intérieur. Je m’entrainais tout les jours, je marchandais avec certains commerçants ou autre corsaire de l’île. Les élections arrivaient, une fois terminer la justice fût totalement revu, je fus démis de mes fonctions de procureur. J’étais content et à la fois triste. Content car je n’avais plus cette tâche qui était lourde à porter, triste car je gardais tout de même de bon souvenir en tant que procureur, j’avais vu des tas de choses intéressante à la cour. Maintenant je n’avais plus rien à y faire. Je repensais donc à des choses plus personnelles. C’est ainsi que je me rappelais de mon envie de poursuivre Anne Providence. Cela était futile de ma part. Comment pouvais-je la retrouver. C’est elle qui me trouvait, et non l’inverse. Il faudra que je pense à essayer de la revoir pour une revanche, mais je n’avais pas entendu parler d’elle depuis bien longtemps, j’étais inquiet, aussi étrange cela pouvait paraître, je m’étais attaché à elle sans vraiment le vouloir, malgré cette balle tirer sur moi et m’avoir ensuite laissé trainer sur le sol comme un moins que rien. J’avais changé depuis notre dernier duel. Et je comptais bien la retrouver pour une revanche. Maintenant je la voyais plus comme une rivale, mais pas comme une ennemie. Si cela s’apprenait, ça ne m’aiderait pas franchement et m’entrainerai sûrement bien des ennuis avec les mes compagnons de guilde, mais si je ne dis rien ils ne seront rien. Quelque jours après ces réflexions sur Anne, je reçu un courrier d’une de mes connaissances. Elle me proposait de me dégourdir les jambes avec d’autres membres de la guilde et d’aller à la Corniche, mettre un peu de bordel. Je me dis donc bonne idée, faut que je ne reste pas inactif sinon, je vais perdre la raison.
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Posté le 20/01/2008 à 17:18:50 

Depuis quelque temps déjà, je commençais à changer physiquement, je me regardais dans une flaque d’eau dans la corniche. J’avais les cheveux qui commencer à devenir blanc, mes cheveux était long et fin. Mon visage commençait à avoir des traits plus fin, et mon visage était pâle. Mes yeux enfoncé dans leurs orbite et d’un noir profond. Je n’étais pas laid pour autant mais je ne comprenais pas ce qui pouvait entrainer des changements pareil en si peu de temps. Cela avait commencé il y a 3 jours seulement, et alors j’avais les cheveux châtains et les yeux brun et le teint plus matte. Je me sentais bizarre. J’étais comme envahi par les fantômes de mon passé, je repensais sans cesse à ma sœur, à mon frère, même à mon père et à ma mère que je ne portais pas particulièrement dans mon cœur. Je voyais de brèves images de Peter, et Olof, Anne, Gaart, Oog et encore bien d’autres. Cela n’avait aucun sens. Je les voyais toujours tous encore et pourtant je ne cessais de penser à eux comme si je ne les avais pas vu depuis longtemps. Erika
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Posté le 11/02/2008 à 16:53:23 

J’étais à la Corniche quand j’appris la nouvelle. Gaart et Oog allaient se marier. Mon esprit un peu perdu par le chaos qui régner en ce lieu, mis un certains temps à assimiler la nouvelle. Mais quand je compris, je sautais de joie. Mon cœur s’emballait, je repensais à tout ce qui c’était passé depuis ma rencontre avec Gaart et Oog. Il en était passé de l’eau sous les ponts depuis me dis-je. Je rangeais donc le message dans une de mes poches et écris à Gaart, qu’il pouvait compter sur moi pour y être présent. Une fois Iti envoyait, je repris mon long et sinueux voyage à travers la Corniche sans baisser ma garde comme je venais de le faire durant quelques minutes. Les hollandais étaient mal vus depuis l’annexion de la Corniche par la LGD. Oog conseillait aux nôtres de rester aux aguets tout le temps, sinon c’était un allé à l’hôpital directement. Je me devais de longer la coque du navire pour pouvoir être sûre de ne pas recevoir de coups mal placé dans le dos. Plus la sortie s’approchait plus j’avais peur de ne pas être assez vigilant ou de croiser quelqu’un qui ne me portait pas dans son cœur. Je m’avançais doucement, chaque pas m’approchait de mon but. Lorsque je vis la sortie de la Corniche, c’est avec grand plaisir que je quittais celle-ci. Je m’en allais à grands pas vers Unlungen, un mariage m’y attendait. Même si je doutais de la place que j’y avais… Depuis quelque temps déjà, j’ai l’impression que l’image que j’avais de la Hollande se détériore de plus en plus. Et plus le temps passe, plus mon cœur s’emballe à l’idée de quitter la hollande quelque temps. Le soir du mariage : J’arrive à l’église, je regarde tout les invité et me rend compte que je ne connais quasiment personne en dehors des mariés. J’essaie d’aller vers les autres, mais je ne sais pas trop comment m’y prendre. De plus j’ai peur que mon cadeau de mariage ne soit trop ridicule. C’est un livre comptant l’histoire de Barbe Rouge pour si ils ont un enfant à venir, qu’ils puissent leur raconter l’histoire de ce célèbre pirate. J’écoute notre gouverneur unir ces deux personnes auquel je tiens énormément. Une larme coule le long de mon visage, mes yeux deviennent rouge à force de pleurer devant ce moment si beau. Quand la cérémonie est terminée, je reste dans l’église et je réfléchis, je réfléchis sur ce que j’ai fais, sur ce que je vais faire, sur les gens que j’aime et qui sont si peu nombreux, malgré les apparences. Je m’en vais rejoindre les autres au palais du gouverneur après être sorti de mes pensées. Je me mets dans un coin lors du banquet, seul 2-3 personnes sont allées me voir, et je les en remercie. Les autres m’ont laissé dans mon coin, trop occupé à discuter entre eux de différente chose et d’autre. Ce soir, j’ai surtout observé les gens qui m’entouraient. Et c’est à ce moment que je vis en quoi la Hollande était soudé. Ils étaient heureux entre eux, seulement, en dehors des mariés et d’un invité, je me sentais exclus. C’est alors que j’ai bu en la santé des mariés et me suis enfermé dans mon coin, noyant mon chagrin dans l’alcool. Le regard triste, le cœur serrait, je n’avais pas ma place en Hollande finalement.
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Posté le 24/02/2008 à 21:41:38 

Je doutais de ma place en Hollande, le temps passait et je me sentais de plus en plus mal, il y avait un manque, une chose que j’avais d’habitude mais qui avait disparu, une chose dont je ne me souvenais plus. C’est ainsi que j’écris ma lettre à la confrérie, pour les rejoindre. Je cherchais ma place dans ce monde et me demandait si ça n’était peut-être pas avec eux. Je broyais du noir dans mon coin attendant une réponse de leur Capitaine. Je réfléchissais si cela valait tout de même le coup, même si c’était un peu tard pour faire marche arrière. Il me fallait aller de l’avant et trouver une raison de vivre. Il me fallait la trouver le plus vite possible, sinon je ne sais pas ce que je ferais…
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Posté le 25/02/2008 à 07:08:36 

Je m’entrainais au tir sur des pigeons lorsque je reçu la lettre de Anne répondant à la place de Sing. Je marchais sur la côte Est de Liberty tout en la lisant : « Silk, Cela fait bien longtemps que je n'avais plus de nouvelles de toi. En même temps quand je repense à la façon dont nous nous sommes séparés la dernière fois. Et voici que Sing notre capitaine nous a lu, la lettre que tu lui as fait parvenir. Certains se rappellent que nous nous connaissions et après une rapide discussion qui a lieu entre nous à la réception de chacune des lettres de nos aspirants, le capitaine m'a demandé de te convoquer au repaire pour te remettre ce qui te revient. Petite explication au passage. Les hommes qui gardent habituellement notre repaire sont partis dans des circonstances encore un peu mystérieuses. Tu pourras donc venir à moi plus facilement qu'à l'ordinaire. Préviens moi te ta venue que je puisse te recevoir comme il se doit. Anne Providence » Une fois la lecture terminer je réfléchis sur les termes utilisaient par Anne. « pour te remettre ce qui te revient », « que je puisse te recevoir comme il se doit. ». Je trouve que cela sonnait fort mal. Il y avait quelque chose de pas forcément bon derrières ces termes. Je ne savais que penser de cela. J’écris tout de même à Anne mon souhait de la rencontrer pour que nous puissions voir tout cela. Je ne m’attendais nullement à une discussion de pure courtoisie mais plutôt à un refus un peu brusque de la confrérie, mais je ne pouvais pas savoir tant que nous ne nous serions pas rencontrer. Et c’est ainsi que je pris la route vers le repaire pirate, je voyageais léger pour aller plus vite, après avoir préparé mes quelques affaires pour la route.
Anne Providence
Anne Providence
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07/08/2007
Posté le 28/02/2008 à 00:01:11 

Tout était revenu dans l’ordre au repaire. Les corsaires expédiés à coup de pompes dans le c… dehors. Madre reconduite, Troun au cachot et de nouveaux gardiens au repaire. Je pouvais m’acquitter de ma mission pour la confrérie. Et remettre à Silk ce qu’il lui revenait de droit. Je riais à la pensée de la lettre sibylline que je lui avais adressée. J’approchais dans la forêt à la recherche de Silk. Prudence de nombreux corsaires allaient et venaient. Qui va là? - Silk ? Oui. Qui es-ce? Un messager de la Confrérie. N'as tu pas écrit à notre Capitaine ? Il m’offre un large sourire. En effet. Nous nous connaissons, je suis Anne Providence. On me surnomme la Tigresse - Moi je n'ai pas de surnom mais connais ton nom - Tu connais plus que mon nom je crois Et notre dernière rencontre ne s’est passé comme je l'aurai pensé. J’ai un sourire énigmatique en y repensant. Le parallèle m’amuse quand je pense à ce qui l’attend. Oui c'était ici même je crois ou pas très loin derrière Comment reconnaître un buisson parmi tant d'autre ? C'était dans le coin voila nous nous arrêterons là Je suis un peu fatiguée : Je dis presque pour moi : Cela n'aura pas été sans mal ! Le repaire à défendre le départ des gardiens. J'ai tout vu J'ai vu la masse de bleu et rouge arriver mais j'étais impuissant. Enfin cela ne nous a pas empêcher d'étudier ta candidature avec attention Il m’écoute attentivement* Et donc? Suis-je recaler? *ton ironique* - Comme tu y vas ! Quelle lucidité parfois ce garçon ! Je fouille mes poches. Les futurs aspirants sont divisés en 2 catégories Je sort une carte d’aspirant de ma poche il y a ceci. - L'autre catégorie sont les mal vues je suppose. - Tout à fait, nous leur donnons un objet aussi plus petit, plus lourd qu'ils conservent aussi en souvenir - Du plomb dans le derrière Non, entre les 2 yeux pourquoi dans le dos ! Et c'est ce qui t'attends. Aussitôt je sors mon arme et la braque sur lui. Sans la moindre émotion enfin à part une brève jubilation. Je lui vide mon chargeur dessus. Il riposte d’une balle, toujours aussi rapide le garçon. et pourquoi cette soudaine attaque? - C'est comme ça ! Vouloir venir à la confrérie c'est prendre un risque. Je vois que sa finit pareil que la dernière fois. ta lettre était on ne peu plus. - Silk avant que tu ne sombres dans le coma écoute moi attentivement ! Tu l'avais senti. La confrérie ne s'intéresse pas à toi mais nous sommes ... comment dire respectueux de ceux qui nous ont contacté ainsi nous n'irons dire à personne que tu étais aspirant enfin pardon que tu as souhaité l'être. et mieux en tuant VrV tu passes pour un bon corsaire tout n'est pas perdu cette histoire restera entre nous et la confrérie. - Va-t-en... - Mais méfie toi les corsaires n'aiment ni les pirates ni leur aspirant - VA-T-EN Je connaissais les risques je me suis fait baiser fort bien d'ailleurs - Fort bien (c’est vrai que je l’avais baisé au sens propre comme au figuré*) je respecte toujours la dernière volonté d'un condamné ! -Arrête ton charabia et n'essaie plus de me revoir sinon c'est mon épée dans la gorge que tu sentiras. tu as eu de la chance guenon... - Soigne toi bien alors Je m’en vais en laissant éclater un rire sonore.
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Posté le 02/03/2008 à 17:27:49 

J’observe le mur sur mon lit de blessé. Je me rends compte qu’à la dernière rencontre avec Anne, j’avais aussi regardé ce mur qui n’était que signe d’un échec essuyer. Je regarde mon chevet, il est bien pauvre, je ne risquais pas d’avoir de visite, personne n’était au courant de cette rencontre et de plus il vaut mieux que personne ne soit au courant de cela. Je me retire, ma tentative pour devenir pirate ayant échoué, je n’avais rien d’autre à faire que poursuivre ma route, mais tout d’abord il me fallait me reposer. Je me demande si je devrais au moins mettre Gaart et Oog au courant ainsi que les autres de la LGD, je leur doit bien ça. Mais seront-ils me pardonner ? Est-ce une des vérités qu’il vaut mieux cacher aux autres afin d’éviter de leur faire mal. Je fixe le mur tout en passant à cela. L’infirmière vient s’assurer de mon état et je la rassure en lui disant que ça va déjà beaucoup mieux. Il ne me fallait qu’un peu de repos pour redevenir totalement en forme. Elle vérifie l’état de mes blessures et m’affirme que je suis sur la bonne voie, et que je pourrais sortir dès demain. Je regarde les autres infirmières qui me regardent de travers. Je ne comprends pas trop pourquoi, je ne sais pas ce que je leurs ai fais. Sont-elles au courant pour l’histoire qui c’est passé avec Anne la veille? Je ne pense pas mais alors quoi ? Je pose la question à l’infirmière : «-Pourquoi les autres me regardent-elles comme ça? Leurs ai-je fait du tort? -Vous ne vous souvenez vraiment pas Silk ? Le 10 Décembre 17**, lorsque vous aviez dévoré l’une des notre? C’est depuis ce jour qu’elles vous regardent toutes comme ça. Vous ne l’aviez pas remarquez ? -Mais qu’est-ce que cette histoire?! Je n’ai jamais mangé qui que se soit! Pourquoi l’aurais-je fais en plus?! L’infirmière me regarde vexer, elle se dit sûrement que je me moque d’elle et part sans me jeter un regard, s’occuper des autres blesser. Je reprends mes réflexions, tout en fixant le mur face à mon lit, avec l’envie de boire une bouteille de rhum pour passer le temps, car cette attente pour se remettre des ces blessures je ne la supportais pas.
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Posté le 11/04/2008 à 14:32:01 

J’observe le plafond de ces mines, depuis déjà plusieurs semaine, je réfléchis sur ce que je dois faire. Je me dis comme toujours : « Que faire ? Je n’ai pas fais grand-chose ces derniers temps. » Je ne sais que ce que j’ai appris de mes compagnons de la LGD. C’est une période de crise (pour les anglais). Ils se déroulent de nombreux massacres, et moi je suis à l’écart de tout. Je réfléchis à la raison qui m’avait donné envie de rejoindre la confrérie. Cet envie de connaître Ammokk, un homme que je n’avais pu voir en tant que hollandais car je ne l’avais pas croisé. Puis cette envie d’oublier les lois aussi. Le rêve d’anarchie, faire ce que l’on veut, sans recevoir de punition si l’on enfreint une règle choisit par le gouvernement. Peut-être était-ce égoïste de ma pars, mais c’est ce que je voulais… Et c’est ce que je veux toujours au fond de moi… Je tente de refouler cette idée, car je sais que je ne pourrais jamais devenir l’un des leurs. Ils me l’ont clairement fait comprendre, je ne suis qu’un grain de poussière parmi tant d’autre pour eux. Mon âme n’est pas assez noir pour que je sois pris, je suis encore trop respectueux des règles du gouvernement pour le devenir. Même si les LGD sont très important pour moi, il manque quelque chose que la confrérie pourrait peut-être m’apportait : la famille que j’aurai aimé avoir. Je n’ai jamais eu de parent attentionné. Seulement une sœur attentionnait. Rejeté par mon père et ma mère préférant ma sœur et mon frère à moi, me laissant dans mon trou et s’amusant avec mon frère et ma sœur. Ils leur ont appris l’écriture, la lecture, les manières, la politique, enfin ce qu’ils en savaient, c'est-à-dire seulement ce que leur maître disait. Ils m’ont repoussé car j’avais les cheveux blancs, le teint pâle et les yeux noirs. Pour eux c’était un signe que le diable c’était emparé de moi. J’ai dû donc apprendre l’écriture et la lecture avec un homme qui était le seul à me considérer avec ma sœur comme un être humain, douer pour quelque chose. Cet homme ce nommait Vincent, il c’est occupé de moi pendant deux ans, il m’apprit la lecture et l’écriture, ainsi que les manières, du peu qu’il en connaissait, jusqu’à ce que la maladie lui prenne sa vie. Je vivais dans une petit cabane où mes parents m’avaient laissé, je pouvais être content, il me laissait un abri. Ma sœur venait me voir et m’apportait à manger des fois quand le temps ne se prêtait pas à la chasse pour moi. Elle n’avait que 10 ans est ne comprenait pas toujours ce que mes parents lui expliquer de la politique, et elle venait me voir pour savoir si moi je comprenais lorsque les parents lui avait expliqué plus tôt. Je n’avais que 14 ans alors et n’y comprenais absolument rien non plus. Mais je tentais de comprendre, malgré tout mes efforts, je n’y comprenais rien quand même. Mais au moins je passais des moments avec ma sœur et j’arrivais à m’occuper d’elle comme un frère le devait. Elle me racontait ce qui se passait à la maison et je la regardais narrer, faisant des gestes pour tenter de m’expliquer ce qui se passait, elle savait très bien s’exprimait et avait l’esprit vif pour son âge, c’était la fierté de mes parents, leur réussite et moi j’étais l’échec de leur vie. Voilà comment se résumer mes journées, je chassais, je tentais de faire mon possible pour survivre en restant dans ma cabane et recevant des visites de ma sœur. Et un jour, un mois avant que je n’arrive sur Liberty, mes parents décidèrent de venir me voir dans ma cabane. Mon père me jetait des regards haineux, quand à ma mère, elle était décidé de faire une chose qu’il ne lui plaisait pas mais elle se sentait obligé de le faire. Je les regardais, étonnais de leur arrivé, mon père pris la parole. « Ta mère doit te parler, si ça ne tenait qu’à moi on ne le ferait pas mais bon… » Son ton était froid. Ma mère pris la parole avant que je ne puisse parler. « Nous avons besoin que tu t’occupes de ton frère et ta sœur. Nous allons aller avec nos maitres à une soirée importante pour eux. Il faut que tu nous accompagnes. Nous aurons besoin de toi lors du voyage.» A cette nouvelle, je ne sus que faire, que répondre. Ils avaient besoin de moi, mais je n’avais pas envie d’abandonner Erika à ces monstres, elle la seul qui s’occupait de moi, ou plutôt venait me voir. C’est ainsi que j’acceptais de les aider. Se fut la seul fois que je les aider jusqu’à leur mort. Ce qui s’ensuivait, est une autre histoire, une partie noir de ma vie, dont je n’ai point envie de raconter pour le moment. Mais je suis déjà heureux d’avoir couché tout cela sur le papier. Si quelqu’un trouve cela, mon passé pourra peut-être ne point être oublié. Je regarde une dernière fois ce journal pour aujourd'hui puis le referme et m'endors. http://www.casimages.com/img.php?i=0804110230152914995.png [HRP: j'espère que cette lecture vous aura plus. Depuis le temps que je n'ai pas écris. ^^]
 

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