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 Le Faux Rhum
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L'histoire d'un Orpheline
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Posté le 06/12/2007 à 05:20:42
Dans une chaumière au allure enchanter, une femme se tenait à la porte, un bébé dans les bras. Un homme marchait dans la neige, s'éloignant de la maison en s'engouffrant dans une allée de la ville de Bradfort. La femme pleurait en tombant sur ses genoux. L'enfant qui était dans ses bras, la regarde et dans un geste qui ressemble à de la compréhension, pose sa main sur la joue de sa mère. Ragardant sa fille, elle réalisais à peine se qui venait de se passer. Son mari venais de la quitter. Maintenant elle était seul. Seul avec sa fille qui portais pour nom Amélia.
Bien des année ont passée et la petite Amélia avait bien grandi. Elle s'était épanouie à merveille, malgré l'absence de son père. Un jour où Amélia rentrait chez elle, une triste nouvelle l'attendais. Elle trouva sa mère allonger sur son lit et le medecin près d'elle. L'homme regarda la jeune femme d'un air triste. Il se leva, mit ses affaires dans son sac et sorta prétendant vouloir les laisser seul l'une avec l'autre. Amélia ne comprennant pas, s'approcha du lit et prit la main de sa mère. "Ma fille, je suis malade" avait dit sa mère. C'est mots fit comme un coup de tonerre dans le coeur d'Amélia. Celle-ci ne comprennant pas comment cela pu arriver. Sa mère lui raconta qu'elle était malade depuis déjà plusieur mois et que sa santé c'est détérioré d'un coup à l'approche de l'hiver. Elle décida après tant d'année, de raconter à sa fille, l'histoire de son père. "Quelque temps après ta naissance, ton père c'est mit à économiser beaucoups d'or à la banque. Quand il eu estimer l'or suffisante, pour subvenir à trois personnes pendant plusieurs année... Il nous quitta." Amélia avais déjà entendu cette histoire sur son père. C'était l'histoire que ça mère lui avait déjà raconter souvent. Ce qu'elle savait, c'était que la suite n'était qu'un mensonge. "Mais ton père, contrairement à ce qeu je t'ai raconter, n'est pas mort... Il disait qu'il ne pouvait convenir à une vie fixe comem celle-ci. Il disait que cette vie était trops ennuyeuse et que même si il m'aimait, il n'en pouvait plus de plus être confroter au danger de lamer et explorer des terres inconnus." |
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