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La cinquième lune -1- 2 3 4  
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Alice, Princesse Gardienne de Nollandie
Alice, Princesse Gardienne de Nollandie
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25/03/2007
Posté le 28/11/2007 à 03:20:22 

La nuit avait été rude, il avait fallu défendre Van ders de l'attaque des Lyssois. Le chemin avait été difficile, le brouillard était opaque et on ne pouvait se repérer. Seuls Lizzie et Yop avaient atteint Van Ders pour la sauver à temps des griffes des vils français. Nightbringer y était sur l'un des points stratégiques depuis le matin.. heureusement il avait tenu bon. De justesse... à quelques secondes près ils avaient sauvé Van Ders... Hooligan, Gaart, Tuxedo, Kameel, Aardbei et Wildekat n'avaient pas pu atteindre la tour, paralysés sur place par le brouillard... mais ils étaient soulagés, les Français n'avaient pas la tour. Plus de deux semaines qu'ils guettaient les Français pour protéger la ville et la tour... et ce maudit brouillard avait bien failli faire tout rater. Soulagés, ils étaient allé faire une ronde dans la ville, et contrôler que tout allait bien. Wildekat s'était réveillée le matin, plutôt de bonne humeur.... Van ders était Hollandaise, la ville était en sécurité, tout allait plutôt bien. Elle décida d'aller faire un saut dans l'océan pour se changer les idées et patauger un peu avec les dauphins. Direction la plage près d'Ulüngen. Elle vérifia qu'elle était bien seule et se déshabilla. Elle sentait le sable sous ses pieds, chaud et moelleux... le soleil caressait sa peau d'une douce chaleur... elle ferma les yeux... tout ceci lui rappelait des souvenirs heureux... elle souriait et son coeur battait plus vite. Elle soupira et se dirigea dans l'eau. Elle était fraîche et le contact sur sa peau réchauffée par le soleil lui donnait la chair de poule. Elle frissonna et entra dans l'eau, en plongeant sous les vagues. La sensation d'être dans du coton, les bruits qui s'assourdissent, le roulement de la mer... ce bruit sourd, ce bien être qu'elle ressentait en étant sous l'eau. Elle fermait les yeux et se laissait porter par le courant, laissant échapper quelques bulles d'air par le nez. Soudain, une étrange sensation. Une voix. Un langage inconnu, mais que Wildekat comprenait.. on l'appelait... « Wildekôrttgrnh » Elle ouvrit les yeux et vit une tache foncée foncer sur elle. Elle cria, mais ne sentit que l'eau salée emplir sa bouche, sa gorge et ses poumons... Paralysée, elle sentit la tache noire passer à travers son corps... c'était froid, froid comme la glace.. froid comme la mort... elle se faisait transpercer par des milliers de pointes de couteau... elle allait mourir..non... elle ne devait pas.. elle ne pouvait pas abandonner ses frères et soeurs, son pays... et Lui. Un sursaut de vie s'empara d'elle, et dans un effort surhumain elle réussit à sortir la tête de l'eau, tout en tentant de respirer. Les vagues la balancèrent contre le rivage, comme une carcasse de bateau échouée. Elle était pleine de sable, les cheveux dans les yeux, le corps froid, si froid... elle peinait à se relever et rampa vers la terre ferme, puis dans un dernier effort se retourna sur le dos en toussant toute l'eau de mer qu'elle avait ingurgitée. Elle restait là, étendue, yeux fermés, face contre le soleil, le corps froid comme la mort. Elle ne sentait pas la chaleur du soleil caresser sa peau... elle ne voyait plus la lumière filtrer à travers ses paupières. Elle ouvrit les yeux et vit que le soleil était noir. Il ne brillait plus. Mangé par un autre astre.. la lune.... oui la lune en pleine journée cachait le soleil. Quelque chose n'allait pas bien. Elle tenta de se relever mais fut prise de violent spasmes. Elle suffoquait, une main invisible l'étranglait, cette main froide et glacée... « Non.. noooon.... laissez-moi.... » Le souffle coupé, elle s'étala une fois de plus sur le sable. Elle allait mourir ici, sur cette plage, d'un mal invisible? Non... qu'est ce qui se passait? Elle attrapa son couteau et trancha l'air autour d'elle frénétiquement, comme une aveugle attaquée par un danger inconnu. Elle frappait et frappait, mais sa lame ne trouvait que l'air... Et cette voix dans sa tête.. cette voix froide et aigue « Wildekôrttgrnh, ne te bats pas...... Wildekôrttgrnh tu es à moi... Wildekôrttgrnh tu as du travail » « Non...non... au secours.... Laissez moi.... » elle luttait tant qu'elle pouvait. Elle tomba à genoux dans le sable, et se mit à vomir ses tripes, la voix hurlait dans sa tête « Wildekôrttgrnh NE TE BATS PAS cela ne sert à rien... Wildekôrttgrnh tu es à moi... à moi » Submergée par toutes ces émotions, elle sombra dans un sommeil profond. A son réveil, elle se trouva nue, allongé sur le sable, un couteau à la main, le bras ensanglanté... Elle leva les yeux vers le soleil, il brillait, tout était normal autour d'elle. Tout, la lumière, l'océan, le sable... tout sauf.... les sensations. Wildekat ne sentait pas les rayons du soleil sur sa peau, ni le vent dans ses cheveux, ni le sable sous ses pieds. Elle tentait de se rappeler... non, elle n'avait pas pris de cuite avec Gaart pour faire coin!coin! Elle n'était pas non plus allée au coffee shop.... d'ou venait cette étrange et nouvelle sensation? Trouver ses frères et soeurs, vite. Elle attrapa ses habits et les enfila, empoigna son sac et se mit en route vers Ulungen. A qui se confier? On risquait de la prendre pour une folle, ou pire, pour une sorcière si jamais elle racontait ce qui lui était arrivé... A Ulungen, ses frères et soeurs étaient rassemblés autour de la place centrale. Lizzie faisait un discours. « tout à l'heure, les Dieux de Liberty ont changé les couleurs de Van Ders. Elle est maintenant bleue mes amis. Oui, ne me demandez pas comment c'est humainement possible, ce sont des Dieux, et ils sont tout puissants... le fait est que Van Ders ne nous appartient plus ». « Wilde! Wilde! T'étais où? Hein?! » Gaart lui tirait sur la manche « bah heu.. a la plage » il se rapprocha d'elle et lui chuchota « tu as vu ce qui s'est passé? Le soleil..? J'étais dans la cache d'amado et.... » Elle le regarda, surprise. Elle ne répondit pas tout de suite. Il avait vu lui aussi. Elle regarda autour d'elle et vit Tuxedo et Edwin, qui avaient l'air un peu perdus. Elle leur fit signe et ils vinrent à leur rencontre. « mes chers frères, j'ai vu quelques chose d'étrange... le soleil... caché derrière la lune... » Ils ne dirent rien, mais elle comprit à leurs regards qu'ils étaient rassurés de voir qu'ils n'étaient pas seuls... Tuxedo prit la parole « j'étais vers les docks..... j'ai vu... comme toi Wilde... le soleil...... disparu.. comme ça... » Edwin semblait accuser le coup. Voir un grand guerrier comme lui aussi pâle et perturbé fit mal au coeur de Wildekat. Elle lui prit la main « Edwin, ça va? » Il ne répondait pas, elle le prit dans ses bras, mais bizarrement, elle ne sentit pas la chaleur humaine. C'est comme si elle enlaçait un rocher froid. Comme si ELLE était un rocher froid.
L'ermite
L
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24/11/2006
Posté le 28/11/2007 à 12:49:47 

« Heinrihrwôônrwoâ ! Heinrihrwôônrwoâ ! » Du fond de la caverne sombre dans laquelle il trainait depuis maintenant quelques jours, Heinrich entendait ce murmure résonner comme dans un cauchemar. La grotte était sombre, on ne distinguait pas grand-chose à la faible lueur des torches disséminées le long des murs. Mais quelque chose en lui lui disait que ce murmure ne venait pas de la grotte. C’était quelque chose de plus profond, de plus lointain… « Heinrihrwôônrwoâ, tu as une mission à accomplir ! Ne m’oublie pas ! » Il était temps de sortir, retourner voir la lumière du jour, quitter ce cauchemar. Il faisait trop sombre par ici, même sa peau semblait plus sombre sous terre, à moins que ce ne soit pas seulement un effet de lumière…
RIP
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Posté le 28/11/2007 à 14:56:22 

Je suis à l’infirmerie je me suis pris un assez gros choc à la tête. Gaheriet nous a tous surpris. C’étais bien vu de sa part. Je regardais le plafond, bien que j’ai la vision un peu trouble, et entendais les infirmières parlaient d’un patient qui commençait apparemment à avoir la peau foncé, puis je les vis qu’elles me pointaient du doigt discrètement. Je plissais mes yeux et vis ma peau à peine plus foncée qu’à mon habitude. « Silkoortgrof... tu as une tâche à accomplir » A ces termes je sentis comme mes entrailles se broyer, je retirais les mains de mon ventre et vis une tâche sombre s’étaler sur tout mon corps et la douleur aller partout où celle-ci apparaissait. Les infirmières fondirent sur moi ne sachant que faire et tentèrent de me plaquer sur mon lit. J’étais pris de spasme. Une fois les spasmes finit les infirmières me regardèrent les yeux écarquillés. J’étais passé d’un peu foncé à limite gris et noir. Je regardais à travers la fenêtre de l’hôpital et vis que le soleil était caché par la lune. Me sentant vide. La douleur était passée et j’entendis la voix me reparlait : « Silkoortgrof par faire ce que tu as à faire… » Je me levais les yeux des infirmières toujours braqué sur moi et sorti de l’hôpital d’Ulungen. La douleur qui aurait dû être encore présente du fait que je venais à peine de me faire avait disparu.
Gaart Hoofeln
Gaart Hoofeln
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01/11/2006
Posté le 28/11/2007 à 15:49:07 

Ptoui Qu'y m'gave à glairer c'merdeux ! RRRRRRRRKK ! Ptoui ! Amado me fixe du regard. Il sait que je ne suis pas là pour lui apprendre la vie à coup de tromblon. Il sait que je suis là pour mission. Lui, assis et adossé contre le mur au fond de sa planque, chiquant ses plantes, moi, droit et bras croisés, un pied contre le mur : on se fait face de puis maintenant une dizaine d'heure, les seuls échanges étant ses crachats et mes ricanements. La nuit avait été rude. J'avais tenté de rejoidre Van Ders pour aider mes amis à repousser le Lys, mais un brouillard à faire bigler un épervier m'avait étrangement cantonné chez mon hôte. Soit, le drapeau batave flotte encore. Le vent s'était levé brusquement, faisant siffler l'immense statue surplombant la montagne en pénétrant dans ses interstices, me pétrifiant de froid sur place. En quelques minutes la nuit était tombée, la purée avait envahi la plaine en contrebas ... "vraiment étrange, ya quelque chose qui pue" me suis-je dis. "Allez l'Artillerie, quoi que tu sois venu foutre ici, j'peux pas t'laisser partir sans un canon !" "Sans moi Guiseppe, j'en suis plus là." Il m'a l'air vraiment sûr de lui, ça colle pas. "Tsss, L'Artillerie se pisse dessus pour quelques gouttes de pinard. C'est pas c'qu'on dit de toi." Etrange. Dehors, le même vent de la veille se relève en un instant. Je jette un oeil par la sortie et je remarque que la lumière s'abaisse aussi progressivement. Ca pue vraiment là, pour le coup j'me pisse dessus ouais. Je me retourne vers Amado qui me montre un grand sourrire. Comment fait-il pour être si sûr de lui ? Pour jouer le jeu, je prends sa boutanche et bois quelques gorgées en vitesse. Mais tout à coup, je sens l'alcool m'arracher la gorge, je le sens s'écouler en moi en brûlant mon estomac ... et un peu plus que mes tripes. Je me tords de douleur, insulte Amado qui continue de sourrire puis je m'écroule à l'entrée de sa planque. Je sens que quelques chose me ronge à l'intérieur, un poison s'en prend à tout mon corps et je commence à perdre conscience. Je me tortille jusqu'à l'extérieur quand je remarque l'étrange obscurité qui y règne. Je tourne mes yeux qui me font terriblement souffrir vers le Soleil ... Bordel, qu'est-ce qui se passe ? C'est quoi cette saloperie ? Comme un coup d'estoc très violent porté à ma poitrine, je suffoque, me roule par terre de douleur... Amado rit à gorge déployée. Un grondement sourd vient de cette statue qui sert de toit à Guiseppe, une sorte de mantra venant des abysses. Des murmurs étranges se font entendre autour de moi, ils dansent dans ma tête et me soufflent des mots incompréhensibles. "Grôarth ... Grôarth..." Je sens que ma tête va exploser. Comme si mes yeux n'avaient plus leur place dans leur orbites, comme si mon torse se gonflait d'un souffle bouillant, brisant mes côtes une à une. Mes muscles se tendent et ma peau se déchire. "Grôarth... Tu ne peux pas me refuser... laisse moi te montrer." J'entends Amado hurler de chez lui avec un rire malsain. "Grôarth ! Hahahaha ! Mildiouuuuuuuuuuu !" Mildiou ? Non !!! Pas possible ! Je me débats comme je peux mais je n'ai plus la force. Mon esprit m'abandonne. ..... Je me réveille tout en bas de la montagne. Mes vêtement sont déchirés, mes yeux me font horriblement souffir, du sang me coule sur le visage, mais j'ai l'air relativement intact. Je me relève malgré toutes les douleurs et jette un regard là-heur : le Soleil à l'air tout à fait normal. J'ai pas rêvé ? C'était quoi foutre Dieu ? Ulüngen n'est pas loin, je prends le route avec empressement, peut-être ne suis-je pas le seul à avoir vu ça. Les forces me reviennent peu à peu mais je sens encore mes tripes me brûler. Sur la place centrale, les Hollandais sont amassés autour de Lizzie qui nous fait le rapport sur la bataille de la veille à Van Ders. "Nous avons tenus, malgré cette étrange tempête." Elle fait une pause. "Tout à l'heure, les Dieux de Liberty ont changé les couleurs de Van Ders." Mais c'est quoi ces histoires ? J'aperçois Wildekat, buvant les paroles de Lizzie avec un regard livide. Je m'approche d'elle et l'interpelle. "Wilde! Wilde! T'étais où? Hein?!" Elle se tourne vers moi, elle semble choquée autant que moi... "Tu as vu ce qui s'est passé? Le soleil..? J'étais dans la cache d'amado et...." Je vois à son visage qu'elle a vécu la même chose. Mais qu'est-ce que c'était ? Je remarque que pas mal de mes amis ont l'air aussi paumés que moi. Je ne suis donc pas fou ... Perdu et sonné, je rentre dans mes quartiers de la maison LGD et m'allonge sur mon lit. Je tente de me détendre pour méditer à toutes ces salades mais les douleurs sont toujours aussi intenses. Après quelques instants de calme, un grognement dans ma tête : "Grôarth..." Mon souffle se coupe, mon coeur s'emballe, la même chaleur que la veille s'étalle en moi. Les douleurs deviennent insupportable. Mon corps se tétanise sur mon lit. Argh ! Je sens une étrange rage me raidir les muscles et me crisper la mâchoire. Je me regardait perdre tout contrôle de moi même. Une pointe de feu remonte de mon estomac et arrache mes poumons, j'explose en recrachant une énorme quantité de sang. Le pointe continue de monter, elle arrive à ma gorge. La rage est vraiment intense, je ne peux pas .... Aaaarrgh ! Je sens la flêche creuser ma gorge et pousser vers ma bouche...J'PEUX PLUS ! "GRÔÔAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARTH"
Godefroy D'Arcy
Godefroy D
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27/10/2007
Posté le 28/11/2007 à 17:24:02 

Hahaha ils sont repartis comme ils sont venus ces 4Lunes, la queue entre les jambes ! Je tire une certaine satisfaction de cette magnifique défense même si ce n'est pas moi qui les est vraiment arréter. Il fait beau ce soir ... je vais profiter de cette victoire pour m'ouvrire une p'tite bouteille et me la siroter au frais. Tiens Gaart passe... "Tu veux boire un coup avec moi ?" "Grrlm mrrl" Et il part... j'ai pas compris ce qu'il me voulait mais il avait pas l'air comme d'habitude il était peut etre mal luné. Tiens voila Wildekat... "Tu veux boire un coup avec moi ou tu fait comme Gaart et tu me laisse seul ? dis-je en riant "Grrlm mrrl" Ola ! ba décidément qu'est ce qu'ils ont tous ? En tout cas c'est pas ça qui m'enpêchera de profiter !!! Je m'asseois au pied d'un arbre et débouche ma bouteille. Le vent se lève et souffle dans les feuilles de l'arbre. "ba on dirait que le vent aussi est de la fête, ho comme on dit plus on es de fous plus on rit." Un mouvement ! "Qui est la ? Si c'est un voleur attention a toi !" J'armais mon tromblon et m'avança me mettant a la hauteur de l'arbre. Une ombre me tomba soudainement dessus ! mon tromblon tomba a quelques metres de moi. J'hurlai ! je me débattai puis tout a coup mon corps arreta de se débattre et je sentis un froid m'envahir... " Titiorgkkkk ! ... Titiorgkkkk !...Titiorgkkkk !!!!!!!" "haaa mais qui êtes vous ? que me voulez vous ?" "J'ai une mission pour toi que tu remplira quelqu'en soit le prix" "Comment ! a mais non ça va..... je n'eus pas le temps de finir quemon corps fut pris de violents spasmes !!! Je me réveillai la ou je me trouvai la veille. J'avait un mal de crane fou, je me massai la tête et regarda rapidement autour de moi la ville était animé comme d'habitude. Je vis mon tromblon a quelques metres de moi, mais que c'était t-il passé hier soir ? Une jeune fille plutot mignone passa devant moi et me regarda bizarement... "Quoi qu'est ce qu'elle me veut celle la ?" dis-je énervé Bon c'est pas grave de toute façon j'avai autre chose a faire... J'allai pour ramassé mon tromblon lorsque je vis la couleur de mes mains... elles étaient grises !!! Mais que c'était t-il passé hier soir ?
Tuxedo
Tuxedo
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31/05/2006
Posté le 28/11/2007 à 19:32:18 

La défense de ville... Encore et toujours... Foutu brouillard. J'ai bien essayé de rejoindre Van Ders la veille, croyant connaître les environs d'Ulungen comme ma poche, mais après quelques minutes je finis bien par réaliser que les sorties en aveugle dans la forêt étaient un peu trop pour moi. Donc défense de ville. Rien au maquis, rien à l'auberge... Ni Gaart ni Wildekat dans le coin. Des jeunes en pleine forme, personne n’ayant besoin de sion. A l'église, le révérend me dit de passer le bonjour à Géraldine. Bon... Passant au coffee, j'emprunte une canne à pêche et quelques vers à Smoking Jam. Quitte à perdre du temps, autant se faire un festin. Les minutes passent, je rêve d'une dorade en contemplant l'eau des docks. Les épices… Une sorte d'inertie réconfortante m'envahit, mais je ne le réalise pas vraiment. L'eau m'appelle, je ne vois et n'entends plus qu'elle. Tuuuuuuuuuuuuu..... Et d'un coup je bascule. Réveil un peu plus tard, flottant doucement à la surface de l'eau. Je n'ai pas la volonté de recracher l'eau salée qui me racle la gorge, de combattre le mal de tête qui m'assaille ou même d'ouvrir simplement les paupières. Le vent et l'eau des Caraïbes sont aussi brûlants qu'à l'habitude, mais mon corps est glacé... Une flopée d'évènements étranges arrive ensuite, et on a bien du me les confirmer ensuite pour que je les crois vraiment. La nuit cédait sa place au jour, le jour à la nuit en plein après midi ? Le réflexe de la défense me força bien à sortir de ma torpeur pour nager jusqu’au rivage et vérifier l'état de Van Ders… Je me traînai jusqu'aux portes de la ville mais il était visiblement trop tard. Je passai quelques minutes à fixer la tour... Mais aucune de mes pensées n’arriva à expliquer ce qui se passait. Un perroquet atterrit sur la paume de ma main, annonçant le passage français de la tour en milieu de journée, et je partis informer Lizzie de la nouvelle. Je rejoins la ville, mes bras et jambes recommençant à se mouvoir normalement (quoi qu’avec un peu de rigidité) malgré ma santé critique. Sur la place principale d'Ulungen, les autres hollandais sont loin d'être dans un meilleur état que moi, et tous réagissaient bien différemment d’à leur habitude. Wildekat en particulier est complètement déboussolée, mais posant sa main sur sa joue je ne sens... rien. Cela venait il de ma main, de son visage, ou des deux ? Je me tiens un peu à l’écart, regardant les cieux… Gaart et Edwin parlaient aussi de voix intérieures qui les assaillaient, ce qui m’était complètement étranger. L'éclipse, la fumée, la prise de tour, la santé des hollandais, rien n'était compréhensible. Et pourtant tout était clair… Je pris la parole emporté par une euphorie inattendue.: "Bon, alors, il y a des français à Van Ders? On va à Van Ders. Plus de français!" Toute peur, toute anxiété s’était envolé.
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Posté le 28/11/2007 à 21:32:48 

Van De Persia était seul dans une petite clairière près du monastère. Il vue un très épais brouillard arrivé sur lui il emportait tout les moines qui allaient chercher des aliments pour le monastère. Van De Persia courut comme un petit fou pour esquiver se maudit brouillard que les dieux avait lancé sur lui ! Le bouillard sur rapprochait dangereusement de Van de Persia ! Le brouillard emporta l’emporta dans une spiral infernal qui lui fit tourner la tète il voyait son corps se métamorphoser dans tous les sens, il croyait devenir fou ! Les dieux étaient contre lui, un jeune petit qui venait de se voir transformer en un monstre terrible, enfin en un petit monstre terrible ! Le petit ne pu résister a un choc d’une puissance monstrueuse le petit tomba a terre malgré sa combativité mental et physique contre se démon !Il se réveilla le beau matin il était en train de se faire picoré par des pigeons il avait du sans par tout, et une seul idée en tète faire le mal ! Oui se petit qui était très pacifiste devenu un monstre assoiffé de meurtre de vol … Il voulait tuer du drapeau bleus beaucoup de drapeaux bleus le plus possible . A près sa transformation il avait monté en puissance et c’était même battu contre une meute de loup le soir pour s’échauffer.
Oog Hoofeln
Oog Hoofeln
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17/05/2006
Posté le 28/11/2007 à 21:36:45 

Quel n'est-il pas mon étonnement quand je regardai Gaart entrer dans la Maison sans me regarder, sans rien me dire. Je le vis s'allonger sur un lit, et me disant qu'il avait une bonne raison pour ne m'avoir pas vu, je le laissais s'agiter, se tourner et se retourner en quête de sommeil. Tout de même inquiète, j'arrêtais mes rangements pour m’asseoir sur le bord de son lit et le regarder, essayant de comprendre d'où ce mal pouvait provenir. L'amour qui était sous mes yeux, cet être si profond que j'avais eu la chance de connaître, n'était plus qu'un corps suant, gémissant, se tortillant... AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRGGGGHHHHH!!! Sous la surprise, je me levais, sur mes gardes, sans le lâcher des yeux pour autant. Inquiète, très inquiète, je m'en vais de suite chercher un seau d'eau et des lingettes propres, et en pose une sur le front humide, non, trempé. Il avait la respiration coupée, un râle roque sortait de sa gorge, et il semblait prendre une teinte maladive. Très vite, j'enlevais les draps mouillés qui le recouvraient, enlevais ses vêtements comme je le pus et entrepris de le nettoyer comme je le pouvais, de le rafraîchir. Mais quoi que je fasse, rien n'y changeait, son état ne désempirait pas... Au contraire! Quoi que je fasse, j'avais l'impression qu'il m'échappait, qu'il partait. Prise d'horreur, je finis tout de même de le laver et de lui refaire un lit propre. Je tamisais ensuite la lumière, pour lui éviter, lors d'un réveil, d'être ébloui. Un temps passa, son état était stable. Je veux dire par-là : ses symptômes ne disparaissaient pas. Puis, plus rien. D'un coup, sa respiration reprit normalement, ses muscles se détendirent, et j'eus l'impression qu'il reprenait un sommeil profond et normal. Pendant un temps encore, je l'observais, puis décidais qu'il était en état assez stable pour me permettre une sortie en ville. Attrapant ma cape au passage, j'ouvris la porte de la Maison et m’engouffrais dans l'air étouffant de la fin d'après-midi. M'autorisant un petit tour de la ville, pour prendre l'air, je regardais tout le monde sous le nez pour voir si eux aussi ne présentaient pas des symptômes étranges... La plupart d’entre eux semblaient normaux, d’une couleur de peau rose pâle, un sourire au lèvre ou concentrés sur leurs affaires, marchant et passant le bonjour à tous ceux qu’ils croisaient. Mais d’autres semblaient complètement perdus, ebettés, l’air hagard, l’œil fuyant, le teint bien pâle, ou plutôt devrais-je dire si peu rose comme il se devrait. Certains avaient l’air de trouver que le gris, le vert, le marron, le noir étaient devenus à la mode, et que se promener avec cette teinte de peau semblaient leur donner un air tendance de nouvelle génération… Je dois certainement me tromper. Vu l’air qu’ils avaient, on avait dû leur imposer la coutume. J’essayais d’obtenir des renseignements autour de moi, à des gens ‘normaux’, sur ce nouveau virus qui semblait circuler dans la ville… Est-ce contagieux ? D’où cela provient ? Comment le guérir ? Mais tous semblaient vouloir éviter le sujet, ou alors prendre un air de celui qui ne sait pas de quoi je parle. Bon, et bien attaquons-nous aux principaux intéressés. Pas compliqué ! et puis j’étais resté aux côtés de Gaart suffisamment longtemps pour me dire qu’une minute à parler à ces messieurs ne m’attirerait pas grand mal à court terme. Je cherchais quelqu’un que je connaissais d’atteint. Je le cherchais, tout en espérant qu’il n’y en aurait pas d’autre. Mais Wildekat était là, prête à entrer dans le coffee shop, et paraissait un peu hagarde. - ‘Wilde ! ! Attends-moi, s’il te plaît ! !’ Je courus pour la rejoindre. Par elle, j’étais sûre de pouvoir en apprendre un minimum. La jeune femme se retourna en m’entendant l’appeler, puis elle pris un air apeuré, me pris par le poignet et m’emmena dans un coin. - ‘Comment va Gaart ?’ Me demanda-t-elle avant que je ne puisse dire quoi que ce soit. - Com… Tu es au courant, que lui aussi est malade ? Un moment de silence puis… - Ecoute, je ne sais pas si tu as eu l’occasion de lui parler, mais il se passe quelque chose de bizarre. - Ca, j’étais au courant ! Laissais-je échapper avec un petit rire. Gaart était à moitié en train de mourir dans son lit il y a moins d’une heure, et je me demande si ce n’est pas le calme avant la tempête ! - Oh ! non. Bref, Tu as vu ? - Ai vu quoi ? - L’éclipse, tout à l’heure. Il y a eu une éclipse et c’est depuis ce moment que je me sens… Bizarre ! - Tu crois ? Tu crois que ça peut avoir joué ? Je suis restée calfeutrée dans la Maison toute la journée sans regarder une seule fois par la fenêtre. - Je pense, mais il n’y avait pas que ça… A ce moment, un homme passa près de nous et nous nous tûmes. Moi, une ‘normale’ parlait à une ‘malade’. Wilde n’avait pas l’air dans son assiette, c’est à peine si elle ne perdait pas l’équilibre… Si seulement je savais ce qu’il se passait ! ! Je regardais l’homme s’éloigner et reporta mon regard sur Wilde… Qui n’était plus là. Elle s’était éclipsée pendant que j’avais le dos tourné, sans que je ne m’en rende compte. Bouche Bée, je regardais autour de moi, mais personne. Elle avait disparu, et tout le monde avait dû rentrer chez soi, le jour baissant. Un frisson me passa dans l’échine, puis je repris la direction de la Maison, sans croiser un chat. La nuit arrivait, et un calme étrange s’installait peu à peu.
Sir Psycho Sexy
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14/12/2005
Posté le 28/11/2007 à 21:53:23 

"Ahhhhh enfin l'air libre!!" crièrent Mugen et Sir Psycho sortant du temple Maya. On était sur les marche de l'entrée du temple et on se reposait en fumant un bon gros join. Autour de nous, sorcières et remanescences essayaient tant bien que mal de nous attaquer en vain. La nuit commençait à tomber quand un grand vent glacial sorti de la porte du temple!! "Brrrr". Puis des formes pratiquement incolores se formèrent dans la pénombre du hall Maya. On entendais des bruit comme : "Titiorgkkkk !, Grôarth !, Wildekôrttgrnh !" et bien d'autres. Ça faisait vachement peur quand même, après les prêtres du temple qui foutent quand même les jetons on s'attendait au pire. Rien arrivait, mais le froid rendait l'atmosphere de plus en plus pesante, on décida de partir et d'aller au dehors. Au dehors on vit des français!! Des français partout, tout autour de notre VD... que se passait-il?? Puis, par perroquet, vinrent les consignes : Tous les français autour de VD et de Ulungen doivent être éradiqués!!! Ce soir tentative de prise de tour!!! Alors avec Mugen on fait le nettoyage : 1, puis 2, puis 3, puis là les français commencent à réagir, ils prennent leurs fusils et tirent. Je me prend des coups de part et d'autre et je vois Mugen tomber... alors je m'acharne sur un des leurs et le blesse tellement qu'il tombe aussi. Subissant les assaults des 2 français restant je succombe et vascille... Le lendemain dans l'hosto tous le monde était joyeux. Je ne comprenais pas trop pourquoi, alors je demandais à l'infirmière qui passait juste à côté de moi "Que se passe-t-il ??". Et elle me répondi, toute contente, que malgré le brouillard Yop et Lizzie étaient parvenus à libéré VD des français!! Alors avec Mugen on se regarda l'air réjoui. Puis on se recoucha un join dans la bouche. Dans l'aprem, on sortait de l'hosto ensemble et allions fumer un peu d' "herbe de Ked" rapportée par mes soins du continent jusque là. Ce qui se passa là fut très étrange : après avoir pris quelques douceurs hollandaises, ma tête commencait à tourner et avant de tomber raide sur le sol, je vis à travers la fenêtre du coffee le soleil caché par quelque chose. J'entendis une voix roque sortir d'au dessus de moi : Psychoktyupoling ! Psychoktyupoling !, comme les voix entendues au temple. Puis une soudaine douleur m'envahit et je senti mon esprit s'éloigner de plus en plus de mon corps. Quand je me reveillais, Mugen n'étais plus là. Yop qui se trouvait à Ulu me dit de rester dans le coffee car les français avaient décidé de venir foutre le boxon ce soir dans notre ville. Alors je demandais comment ils pouvaient faire pour nous attaquer sans qu'on les bute avant, et Yop me répondit : "t'es pas au courant, les Dieux de Liberty ont changé les couleurs de VD en bleu !!! Yop repartit d'un pas lourd, et ma tête recommençait à me faire mal, pourtant je n'avais rien fumé! Psychoktyupoling ! Le soir je sorais pour contrecarer les frenchies, mais la chance de Ar Sparfell était plus grande que la mienne et il me plaça une balle au creux gauche de ma tête. Je ne senti pas la douleur et arriva même à me soigner après ma chute : 27/11 23:53:20 : Tu es tué par Ar Sparfell. 27/11 23:53:17 : Tu utilises Bandage de soin. 27/11 23:53:17 : Ar Sparfell t'a tué d'un Headshot. Psychoktyupoling ! Psychoktyupoling ! Psychoktyupoling ! ...
RIP
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Posté le 28/11/2007 à 22:23:03  [ Edition bloquée ]

Marchant dans Ulungen, je cherchais un coin où il y aurait de l’eau. J’avais des monté de chaleur et des petites convulsions, ma tête se mit à tourner. Je m’affalais au bord de l’eau et m’arrosais le visage. Soudain je fixais l’eau toujours affalé sur le sol. Je vis alors mon reflet dans l’eau. Ma peau avait une sérieuse teinte sombre, mes yeux étaient injectés de sang. J’entendis encore une fois la voix, ou plutôt elle me montra un lieu. Je reconnu la guilde j’y fonçais et c’est ainsi que je découvris une toge noir avec des nuages rouges, des gants noir ainsi qu’un masque étrange n’ayant qu’un trou pour un œil. Je mis les vêtements pour que personne ne me vois dans l’état que j’étais ainsi que le masque. En sortant de la guilde je reconnu Gaart, avec un air pas très frais. Je m’éloignais donc. Les spasmes reprirent une fois sortit de Ulungen un peu à l’écart. Mais celles-ci furent plus violentes que les précédentes. Je me réveillais et revis la lune devant le soleil et la fixais intensément. Je me remis au bord de l’eau et me regardais encore une dernière fois. Le seul œil que je voyais était d’un rouge intense. Tous les autres partis de mon corps étaient cachés sauf mes cheveux. Je transpirais dans tous ces vêtements. La voix me dit : « Silkoortgrof… fait ce pour quoi tu es née… va et maintenant montre moi se dont tu es capable… » Et elle me montra un nouveau lieu je le reconnaissais de suite. Toute sensation avait disparu à ces mots et cette vision… Le regard dans le vide je me dirigeais vers là où j’en trouverai le plus… Mes pas allez tout seul, je ne contrôlais rien… Dans une marche silencieuse je m’éloignais d’Ulungen, dans la direction que l’on m’avait montré… (img jacksparrow666)
Godefroy D'Arcy
Godefroy D
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27/10/2007
Posté le 28/11/2007 à 23:01:51 

"Comment ? allez au monastère ? ok pas de problème j'y file!!!" Je marchais en direction du monastère puis tout a coup... "ARGHHHHHHHHH non pas maintenant !!! j'ai... j'ai une mission a... faire..." Trop tard je ne me controlais plus. c'est a ce moment qu'un aventurier me tomba dessus !!! une voie caverneuse sorti par ma bouche. "RAAAAAAAAAAA qui est tu misérable avorton pour te mettre en travers de mon cemin !? " Ma hache tournoya pour lui fendre la tête mais n'atteint que son oreille droite ! Je me reculais et vida mon chargeur dessus le touchant en plein dans l'estomac mais il était coriace le bougre ! Je lui sautait dessus avec ma hache et lui arracha une partie de l'épaule !!! C'est a croire que la douleur eut un effect puisqu'il me repoussa deux fois de suite. Je décidai de partir car j'avais autre chose a accomplir... Alors que j'allais rejoindre le monastère un indigène me sauta dessus me transperça avec son arme et ce recula rapidement me regardant fixement. Je n'avais rien senti de cette agression mais mon coprs tomba au sol.... Je me réveillai a l'hopital entouré de belles infirmières "Aïe ma tête que c'est t-il passé ?" "Haaaa vous vous avez eut de la chance que Oog vous trouve et vous ramène ici" "A bon c'est elle qui m'a trainé jusq'ici !" Je me sentis pris soudainement de spasmes. Titiorgkkkk ... Titiorgkkkk ... Titiorgkkkk !!! "Non cette voix... c'était comme... c'était comme..." Les spasmes ce firent de plus en plus forts et je perdis conscience...
Mugen
Mugen
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14/12/2005
Posté le 28/11/2007 à 23:34:19 

Le pire, ce sont les rémanescences. Alors que Mugen explorait le temple en compagnie de Sir Psycho, l'une d'elle est apparue derrière lui. Ces saletés apparaissent comme ça, sortent de nulle part. Mugen sentit bien une présence derrière lui et il tourna légèrement la tête. Il crut alors apercevoir un visage familier, celui d'une femme qu'il n'a plus vue depuis longtemps: Terra. Tragique erreur. Ces monstres utilisent toutes les faiblesses des esprits humains pour les abuser. La remanescence se jeta sur Mugen et le traversa. La sensation fut affreuse, immonde, répugante. Les torrents de colère et de colère qui étaient l'essence même de la rémanescence se sont déversés dans le malheureux. Heureusement que le spectre n'est resté qu'un court instant dans son corps. C'est alors que Sir Psycho se retourna et découvrit Mugen engagé dans un combat avec une rémanescence, une scène des plus habituelles dans ce lieu. Rapidement, en quelques coups d’épée, il lui fit comprendre qu’elle aurait mieux de rester là où elle se planquait. Puis, ignorant le choc qu’avait subi Mugen, il demanda à celuic-i si tout allait bien avec le ton enjoué de celui qui veut retourner se battre au plus vite. « Ce serait bien de sortir de cet endroit maudit, Psycho. Franchement ça craint ici. » lui répondit-il. La nuit qui suivit fut affreuse. Des ombres apparaissaient furtivement sur les murs du temple, des bruits improbables résonnaient depuis les profondeurs du temple. La noirceur qui avait envahi Mugen le jour précédent était de retour. Oh, elle n’était pas aussi forte, aussi palpable, mais elle était durable cette fois, c’était une torture. La notion de temps disparut pour lui. Cela sembla durait une éternité. Quelque chose tentait d’entrer dans sa tête mais il résista jusqu’au matin. Le lendemain, les deux camarades sortirent du temple. Ils entendirent alors les consignes du général : « Attention, les Français menacent Van Ders ! Liquidez tous ceux qui sont potentiellement dangereux pour notre tour. » Ni une, ni deux, les voilà partis pour une séance de dératisation massive, enfin ça c’est ce qu’ils espéraient. Dans la pratique, la marche dans la jungle et les montagnes du coin les fatigua tellement, qu’après seulement quelques Français passés au fil de l’épée, ils arrivent épuisés devant un autre Français, visiblement pas commode et pas du tout surpris de les voir arriver. Au moment de succomber sous une pluie de balles et de coups, Mugen entendit alors : « Tu es» *squing*. Apparemment un bon coup d’épée peut nuire à la compréhension d'un message. Le lendemain, réveil à l’hôpital. Tout allait bien. Une dépêche tomba. Finalement tout n’allait pas bien. Il ne restait plus qu’à se préparer et à attendre les Français qui n’allaient pas tarder sans aucun doute. Dans l’après-midi, la voix revint. Mugen tenta encore de la repousser de toutes ses forces. Elle parvint néanmoins à introduire dans son esprit des bribes de mots incompréhensibles : « Galkkorl …. rigllok… alkbe …» L’attente fut pénible. Pris entre l’imminence du combat à venir et le problème insolvable posé par la voix, Mugen ne sut résoudre ni l’un ni l’autre, ce qui n’empêcha pas l’heure du combat d’arriver. Et le hasard décida que son adversaire en ce jour serait Kassad. On pourrait qualifier ce combat de… raclée mémorable. Alors que des brancardiers emmenaient Mugen sur une civière, la voix revint mais cette fois Mugen ne put opposer nulle résistance : « Tu vois où ça t’a mené de te conduire ainsi. Tu as refusé de laisser libre cours à tes sentiments profonds. Tu as refusé d’être toi-même et c’est pour cela que ta force t’a quitté. Maintenant tu m’appartiens. »
Floris Ruysch
Floris Ruysch
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02/08/2007
Posté le 29/11/2007 à 00:02:30 

Pacharan l'illuminé espagnol venait une nouvelle fois de faire son spectacle. Poussant un grand soupir Michiel va éteindre le banc et les chaises que l'exité espagnol venait d'allumer. Son oeil est attiré par les flammes. Celà lui rappel quelque chose mais il ne sait pas quoi. Il y a un trou dans le souvenir qu'il à des évenements. Il se rappele Esperanza, l'auberge, le diable vert, le retour à l'hopital.Et puis plus rien. Il se retrouve de nouveau à l'hopital. Mais au milieu il y a des flammes il en est certain. Michiel cherche, torture sa mémoire pour trouver ces flammes dont il se souvient. Il ne se rend pas compte que sa main tient encore la chaise en train de bruler. Les flammes ont atteint son constume qui se met lui aussi à bruler. Mais rien ne semble perturber Michiel qui sort du tribunal d'un pas lourd tenant toujour le morceau de chaise calciné. Michiel se rappel Lizzie au milieu de la place central en train de faire un discour. Mais il n'entend pas ce qu'elle dit, il ne peux pas détaché son regard d'une flamme rouge qui danse dans les yeux de Lizzie. La flamme grandi, grandi et il prend peur, il à peur d'être brulé. Il se rappel avoir fuit vers Esperanza, s'être arreté dans la cabanne de l'ermite. Le soir un jeune français qu'il avait aidé était venu. Il ne se souvient plus de leur discution, seul lui revient le goùt de cendre dans la bouche. Il se rappelle le français qui lève sont épée et il y a une flamme dans ses yeux. La flamme grandi, il ne peut fuir, il se bat, boucule le français mais celui si le blesse mortellement d'une botte étudié. L'hopital, Nick le brun repèré. Géraldine en danger, il y court et ... Il y a une flamme rouge dans les yeux de Nick le brun. Le feu l'entoure, Michiel est là pour aider Géraldine et il ne se défends presque pas, le feu l'embrase et il se réveille. Il voit l'océan completement rouge autour de lui. Non ce n'est pas l'océan, les vagues ne redéscendent jamais. C'est la cime d'arbre, il est regarde un forèt incroyablement dense depuis le dessus. Il ne sait plus qui il est, il n'est sur que d'une chose, il n'est pas le fils d'un artisan hollandais devenu mousse par goùt de l'aventure. La forèt n'est pas rouge, elle donne cette impression car il la regarde au travers d'un grand feu. Sa main est au dessus de ce feu. Il tient un coeur qui palpite encore. Il n'est plus Michiel, il est ... Il est un de ceux qui transmettent. Le sang qui coule du coeur prend feu. Le feu remonte jusqu'au coeur qui explose. Mais il controle les flammes, il force le feu à rester concentré dans la paume de sa main, puis les envoient vers Afgrijselijk qui a besoin de force. Il est ... Michiel se réveille. Il ne sait plus où il se trouve. Un regard autour de lui le renseigne, il est dans sa maison de guilde, la banière à la croix orange est fierement déployé au fond. Il essaye de ce souvenir de ce cauchemard, mais les élements commencent à lui échapper. Il se rend alors compte qu'il à les pieds dans l'eau. Ces yeux le lui disent mais il ne ressend rien. C'est alors qu'il remarque ses mains. Des câls rugueux emplissaient la paume de ses mains. C'étaient les traces de mois de navigations de maniement de l'épée. Elles ont disparues, la paume de ses mains est presque parfaitement lisse. Et elles sont recouvertes de sang.
Raoul Vandeputt
Raoul Vandeputt
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15/03/2007
Posté le 29/11/2007 à 03:04:27 

Il fait froid, un souffle glacé me court sur la nuque. Ma couverture… où est elle?… Je me lève d’un bon et me frotte les yeux. Je regarde autour de moi pour découvrir que je suis dans un buisson d’épines de couleur grise. Du sang coule le long de mon pantalon partiellement déchiré, un sang plus foncé qu’à son habitude... Quelle heure peut-il bien être ? Je regarde le soleil, les yeux à moitié collés, et me rend compte qu’il ne dégage pas de lumière… Ce n’est ni la nuit, ni le jour,…que se passe t il ? Tout est gris autour de moi, le ciel n’est plus bleu et l’herbe a la couleur de la roche… Je cherche dans mes souvenirs pour revenir quelques jours en arrière… Je suis au Sud Est de l’île dans le couloir, récemment éboulé, du phare Amineu. Un messager arrive aux aurores et commence à crier . « Le gouverneur français nous déclare la guerre, les hollandais ne sont plus en sécurité ! Tous les français sont à tuer à vu… » Je l’arrête dans son élan et lui demande de m’en dire plus. « Oui monsieur, c’est la guerre ! Les français ont essayés de prendre Van ders hier soir mais le général et ses hommes, malgré le nombre de français, tient toujours… Mais pour combien de temps ? » Il ne m’en fallait pas plus ! J’accélère le pas pour être en ville avant demain. Le trajet sera long et il faudra que je veille un maximum de temps… Cela faisait plusieurs heures que je marchais en direction d’Ulungen et mon ventre criait famine. Malgré mon inquiétude pour Octarine qui avait quittée le phare la veille, je décidais de manger un morceau. De la viande séchée et un peu d’eau ferai l’affaire… Une fois rassasié, je remballais le tout quand un étrange phénomène se produit… La nuit commençait à tomber, ou plutôt la lune était en train de cacher le soleil… Il y avait plusieurs histoires qui circulaient sur cela, et j’avais toujours cru que c’était des histoires pour effrayer les gamins… Je restais là assis, les yeux vers le ciel, quand une sensation froide se fit sentir sur le pied et s’empara de mon corps tout entier. . Une voix étrange commençait à grogner des une série de mots dans la tête. Je regardais, hébété, la lune passer au dessus de moi et recouvrir le soleil sans pouvoir faire un seul geste. C’est lorsque la nuit tomba, que je m’effondrais… Que c’était il passé ensuite, et qu’est ce que je fais là? J’ai beau essayer de me rappeler mais rien n’y fait… Je soigne mes plaies, qui étrangement ne me font pas souffrir, et décide d’aller vers Ulungen quand j’aperçois Octarine au sommet d’un pic rocheux. Je commence à lui crier dessus comme jamais je ne l’ai fait… « Sale gamine, qu’est ce que tu fous la haut bordel ? Viens ici tout de suite ou c’est moi qui te fais descendre » Elle s’exécute paniquée et se met à pleurer…Jamais je ne l’avais engueulé, jamais je ne lui ferais de mal, je suis son parrain. J’essayai de comprendre pourquoi je l’avais traité de cette façon mais je n’y arrivais pas. Cela n’avait pas d’importance… C’est comme si l’amour que je lui portais n’existé plus ! Il fallait que je sache ce qui m’arrivait, d’où venait cette vision sombre de la vie… Mes réponses je les trouverais peut être à Ulungen…
L'ermite
L
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24/11/2006
Posté le 29/11/2007 à 10:44:42 

Depuis qu’il l’avait entendu l’appeler, Heinrich luttait pour ne pas se laisser submerger, pour garder son humanité et ne pas succomber à l’appel au meurtre, si facile. Mais les souvenirs de moments sombres revenaient à la surface… Peut être était-ce le fait d’être à nouveau loin du soleil et de la lumière du jour, mais tout cela lui rappelait bien trop Calakmul. Ce temple Maya récemment découvert était peuplé de créatures d’un autre temps, d’un autre monde, qui ne demandaient qu’à voir couler le sang. Et bientôt, il ne pourrait plus lutter, il le savait. Puis à quoi bon lutter ? Depuis son arrivée sur cette île, Heinrich avait vu plus de massacres et de sang que durant tout le reste de sa vie sur le continent. Cette île n’était peuplée que de barbares incapables de se contenir, prêts à s’entretuer pour un rien, peut être même juste par plaisir. Au fond de sa caverne, un perroquet venait d’arriver : « Van Ders est bleue, et la France nous a déclaré la guerre ! Nous avons besoin de tout le monde. » La lutte était donc bien vaine, autant succomber comme tout le reste de l’île. Ils voulaient voir le sang couler, et bien il coulerait, et à flots ! C’est alors qu’au détour d’un chemin, Catalina Ibarruri, une jeune française, apparut. Mauvais moment, mauvais endroit, le monstre avait gagné, il allait recevoir sa dose de sang, aussi innocent fût il…
Alice, Princesse Gardienne de Nollandie
Alice, Princesse Gardienne de Nollandie
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25/03/2007
Posté le 29/11/2007 à 13:19:38 

Elle se réveillait au beau milieu de la nuit, elle avait si froid. Et cette voix lui parlait, cette voix glaciale dans sa tête : Wildekôrttgrnh…. lèves toi Wildekôrttgrnh, j’ai du travail pour toi… « Non, laissez moi… laissez-moi !! » Elle prit sa tête entre ses mains, son souffle se faisait bruyant, et la voix ne s’arrêtait pas Wildekôrttgrnh ! ne résistes pas ! C’est un ordre ! Prends ton arme Wildekôrttgrnh, Van Ders… les Français…. Le sang bleu doit couler Wildekôrttgrnh, il le faut ! Nous le voulons… les Dieux nous ont réveillés… le sang... tuer, Wildekôrttgrnh ! TUER ! Le froid l’avait envahie, son cœur ne battait plus, elle était comme morte. Elle se leva, prit son arme, s’habilla et se dirigea vers la sortie d’Ulüngen. Tuxedo était là, blanc comme un linge, prêt à soigner. Hooligan les rejoignit: « Vous venez à Van Ders avec moi ? On va mettre une bonne raclée à ces Français ! On va leur montrer !! » Son visage était plein de rage, mais c’était bien lui, c’était bien Hooligan Van Ulüngen , le seul et l’unique. Dans ses yeux on voyait la Hollande et toute sa dévotion pour elle. Wildekat cligna des yeux un instant, et repris le contrôle. Elle ne savait pas bien ce qui lui était arrivé, elle ne se rappelait plus… « Alors, on y va les amis ? » Hooligan était prêt à partir. « Oui, Hooli, on y va ! Aller, Tux’, c’est parti !! Pour la Hollande !! Oranje Powaaaa !! Le Lys va payer !! » Elle se mit à courir derrière Hooligan , suivie de Tuxedo . Elle ne sentait toujours pas le vent de la nuit, ni l’humidité de l’air.. ce froid qui brouillait ses sens… mais ses frères étaient avec elle, rien ne pouvait lui arriver, elle se sentait en sécurité… et pourtant… Arrivés devant Van Ders, un Français se cachait. Hooligan regarda Wildekat: « Wilde, tu t’en occupes ? Je vais dans Van Ders, rejoignez-moi d’accord ? A tout de suite! » Il fila comme le vent, aussi prestement qu’à son habitude. Wildekat hésita. Le Français, elle ne le connaissait pas… elle ne pouvait pas.. Wildekôrttgrnh !! Tue ! Il le faut, c’est un ordre Wildekôrttgrnh !! Le sang bleu... le sang! Tuxedo s’approcha de Wildekat et lui murmura à l’oreille: « Wildekôrttgrnh, iksuj ksjue tuzer Francôscjrdh Tûûûûûûshhh! » Les yeux de Tuxedo étaient rougis par le sang, mais Wildekat reconnut là un des siens, il ne lui faisait pas peur, au contraire, il pouvait la comprendre, se battre avec elle. Elle sortit son épée et se mit en garde. Le Français contrait ses coups avec brio. Il touchait Wildekat à l’épaule, la cuisse, le flanc.. mais elle ne sentait rien. Elle était une machine à tuer.. tuer des Français, c’était son seul but. Elle vit que Tuxedo la soignait pour qu’elle reste efficace, elle avait une mission à accomplir ce soir, sous la pleine lune, et il l’aiderait. Elle ne sentait pas les mains de Tuxedo la soigner, mais elle le savait, elle le faire voyait aussi. Elle frappait, et frappait encore. Le Français était un bon adversaire, Wildekat avait du mal, mais elle en vint à bout. Il tomba au sol, les yeux rivés sur Wildekat. Elle était pleine de rage. Ses mains étaient pleines de sang, mais elle en voulait encore plus, plus de sang…. Tuxedo et elle entrèrent à Van Ders. Pleine de bleu ! quelle Horreur, Wildekat sentit un monstre s’éveiller en elle, sacrilège, Van Ders ne devait pas rester ainsi... ces Français avaient profané les esprits Hollandais, ils allaient payer par le sang… le sang… Hooligan était déjà aux prises avec plusieurs Français, Wildekat accourut pour se battre à ses cotés. Son épée fendait l’air, elle se battait contre tous les bleus autour d’elle, sans distinction : BadClown, Bauldreg, La Main de l’Ordre, Poppea, elle hurlait de rage, alors que dans sa tête résonnait la voix glaciale Wildekôrttgrnh !! Tue les ! le sang.. venger… Elle s’arrêta haletante, alors qu’Hooligan lui parlait. « Wilde, vide ton chargeur sur la Main de l’Ordre, vite ! » Elle s’exécuta, sans réfléchir… épée, balle, tout était bon pour venir à bout de cette vermine. Ses deux balles virent se loger dans les côtes de la Main de l’Ordre. Le Français s’écroula. Elle vit ensuite Lunn, et alla se défouler sur lui. Elle n’eut aucun mal, et les blessures que les précedents Français lui avaient infligés ne lui faisaient pas mal, elle ne sentait plus son corps.. Lunn était pâle comme la mort quand il tomba à genoux devant Wildekat. Hooligan se battait comme un lion de son côté, et Tuxedo soignait ses deux amis avec rapidité et détermination surprenante. Le Capitaine Caverne regardait Wildekat d’un air de défi.. elle s’approcha de lui et commença à se battre. Wildekôrttgrnh ! Le sang !! le sang !! L’homme était imposant, mais il s’étala de toute sa masse sous les coups de Wildekat. Hooligan avait fait le ménage de son côté, il était fatigué et blessé, tout comme Wildekat, mais il semblait en avoir conscience contrairement à Wildekat. Il s’approcha de Wildekat et Tuxedo qui se parlaient dans une langue inconnue et les observa quelques secondes. « Ca va les amis ? Bon, je suis allé voir, Bacchus n'est pas loin mais il est assez inoffensif seul, nous pouvons nous replier pour organiser la défense » Wildekat et Tuxedo, au nom du Français se mirent à hurler comme des sauvages: « Bacchus!! Bacchûûûûsh!!!!! Bacchûûûûsh !! Bacchûûûûsh !! » Hooligan fronça les sourcils, surpris, mais sous le coup de la fatigue et des blessures, dans la nuit noire, ne réalisa pas ce qui se passait: « D'accord... Je vous laisse... » Wildekat n’entendait pas ce que Hooligan leur disait, elle suivait Tuxedo en direction du seul Français qui restait debout et qui souillait Van Ders Wildekôrttgrnh ! C’est ta mission, tu dois vider Van Ders de ces maudites Français ! tue le !! Elle s’approcha de l’homme, une lueur de folie au fond de l’œil, et se mit à frapper. Une fois, deux fois…dix sept fois pour arriver à bout du Français… il tomba à la renverse, les yeux grands ouverts face aux yeux rougis de sang de Wildekat. Haletante, elle avait toujours aussi froid, mais elle ne sentait toujours pas son cœur, ni la douleur, ni le vent… elle leva les yeux vers le ciel et vit la lune, ronde, orangée qui la surveillait. C’est bien Wildekôrttgrnh ! Repose-toi, demain j’aurais encore du travail pour toi…. Tuxedo dit quelque chose mais Wildekat ne répondit pas. La lune aspirait son âme, mais en même temps, elle sentait quelques chose revivre en elle... une présence… elle regarda ses mains. Elles étaient pleines de sang, tout comme ses habits. « Mais qu’est ce que j’ai fait ? Tuxedo ? Tuxedo ? qu’est ce qui s’est passé?» Les images revenaient dans sa tête, elle se revoyait, furie parmi les furies, se battre contre les Français, ils tombaient un à un… « Non… ! » Son cœur battait de nouveau, mais il faisait mal. Elle fut prise de nausées, et s’effondra sur un rocher à côté de Tuxedo. Il semblait lui aussi plongé dans ses pensées, et regarda Wildekat, un sourire aux lèvres quand celle-ci s’appuya contre lui. « Tuxedo, j’ai froid, j’ai si froid, c’est pas normal ! Qu’est ce qui se passe ? » Il était médecin, il devait savoir… « ...Je vais préparer le feu. Tu n’as pas de souci à te faire, tu es en pleine forme, tes plaies cicatriseront bien dans la nuit. » Tuxedo sortit une bouteille de champagne de sa trousse de médecine. « Célébrons cette victoirel » Il semblait naturel, mais sa voix trahissait une légère hésitation. « Et tout à l’heure, qu’est ce qui s’est passé ? tu me parlais dans une langue étrangère, mais je te comprenais… tu te rappelles Tuxedo ? Qu’est ce qui nous arrive ?» Elle était paniquée, mais Tuxedo, lui, semblait réfléchir. Il n’avait pas l’air d’être traumatisé. « Je ne me souviens pas… vraiment ? Tu es sûre de toi ? » « Sûre? Non... je ne sais plus... oui.. oui je crois.. tu avais un regard terrifiant.. mais tu ne me faisait pas peur... j'avais l'impression qu'on se comprenait mais on parlait une autre langue.... » Elle regarda ses mains « Et ces français.. le sang... je ne l'ai pas rêvé ça hein? On les a bien laminés les Lyssois? » Tuxedo pris une serviette pour lui laver les mains, en reprenant enfin un sourire. « Jusqu'au dernier, tu as été remarquable » Elle l'observait. Il s’occupait d’elle, comme à son habitude, lui nettoyait les mains pour enlever le sang, mais une fois encore elle ne sentait pas la chaleur humaine. Le froid, toujours le froid…. Elle se laissait faire, comme une bête sauvage perdue et terrifiée. Non, pas terrifiée, il était là, avec elle. Elle n’avait rien à craindre. Il avait cet air rassurant que ses frères avaient toujours, ce que Wildekat aimait par dessus tout, cette sérénité, et cette tendresse qui émanait d’eux. Il était à ses cotés, grand et fort Hollandais, mais quelque chose dans son regard n'était pas le Tuxedo qu'elle connaissait... une lueur meurtrière... une flamme de folie... le sang... lui aussi voulait du sang bleu… Son cœur lui faisait mal… qu’avait-elle fait ? Quelles atrocités ? Quels Français avait-elle blessés…peut-être même tués cette nuit ? Que lui arrivait-il ? Elle fouilla dans son sac frénétiquement et attrapa un parchemin, en écrivant, elle fit des taches de sang sur le papier jauni, mais peu importait, il fallait qu’il sache, tout de suite, pendant qu’elle était encore elle-même… Mon amour, Me pardonneras tu? J'ai fait cette nuit des choses atroces... mais je n'ai pas pu résister à l'appel de la vengeance... cela faisait trop longtemps que je tentais de me retenir.... trop c'est trop... les Français doivent savoir qu'on ne crache pas indéfiniment sur la Hollande sans que cela ne se paye d'une façon ou d'une autre... Lizzie… Van Ders... les meurtres sur mes frères... je n'en peux plus... Je sais que je risque de mourir de la main d'un Français cette nuit, mais je ne regrette rien.... je ne peux plus faire semblant, quand on attaque la Hollande c'est moi qu'on attaque... Mon seul regret est de ne pas t'avoir revu pour goûter à nouveau à tes lèvres, sentir l'odeur de ta peau et sa chaleur contre la mienne... Mon amour où est tu? je suis sans nouvelles... j'espère que tu vas bien... Je t'aime. ta Wildekat. Elle roula le parchemin et l’accrocha à la patte de son oiseau. Vite, il fallait qu’il le trouve. Il fallait qu’il sache, qu’il l’aide, qu’il les aide… Tuxedo n’allait pas bien du tout,il soulevait et laissait tomber le corps de Bacchus comme un ballon plusieurs fois en riant. Wildekat tenta de l’aider, mais elle ne savait que faire. Il lui parlait dans la langue étrangère… non il ne fallait pas qu’elle écoute, sinon.. trop tard…. Elle sombra dans un sommeil de mort « Wildekôrttgrnh » faisant écho dans sa tête. Au petit matin, elle fut réveillée par Shadow qui lui tira dessus six fois avant de venir trop près d’elle… la furie qui l’habitait lui donna deux coups d’épée et l’homme tomba, surpris par tant de force. Daniel Monbars lui tira dessus du haut du chemin de ronde, ce qui énerva encore le démon en elle, et quand un Français encapuchonné vint pour la tuer, elle était prête à défendre sa peau très cher… elle toucha l’homme plusieurs fois, mais ses coups étaient puissants, et elle sentit la mort l’emmener dans son linceul lorsqu’elle devina enfin qui était cet homme à capuche qui l’agressait avec autant de haine. Son nom résonna dans sa tête : Charles de Craon…. Charles de Craon… je le connais!!… Non Wildekôrttgrnh, tu ne connais personne.. ce sont tous des Français, il faut les exterminer.
Hiver der blutrot
Hiver der blutrot
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07/12/2005
Posté le 29/11/2007 à 16:39:01 

Hiver en avait plus qu'assez de ce temple maudit... Il avait même été plusieurs fois poignardé dans son sommeil. Ce temple maya n'est plus pour moi grommelait-il en avançant péniblement... Son pot d'onguent presque vide en témoignait. Sa peau graisseuse sous sa carapace, sa main moite ne tenait plus bien l'épée, c'était trop de signe, il lui fallait rentrer voir les filles d'Ulungen... Perclus de rhumatisme, blessé, il descendit les escaliers qu'il avait autrefois montés avec fierté. Cahin-caha, il passât la sortie et pris un grande bouffée d'air frais... Qu'il était loin le temple et son odeur pestilentielle. Le cœur léger il se jeta dans l'herbe pour savourer son nouvel environnement, cela lui fit du bien... Enfin un peu de douceur dans ce monde, il en existe encore se dit-il. Mais fourbu et harassé, il ne put faire plus de pas et il sombra dans le sommeil... Quand une voix nasillarde le réveilla, Colm Corbek Messire, Vous n'êtes pas sans savoir que les tensions entre nos nations sont au plus fort. C'est pourquoi un contrôle intensif des autorisations de circulation à été mis en place sur le territoire français. Je suis au regret de vous annoncer que vos papiers ne sont malheureusement pas en règles. Une amende d'un montant de 500 po avec une ouverture de frais de dossiers de 25po vous a été infligée. Vous êtes d'ailleurs prié de retourner jusqu'à la frontière Hollandaise pour votre sécurité. Ce territoire entre les tours était neutre, Hiver le savait bien. Je pense sincèrement (et poliment) qu'en ce qui concerne l'amende vous vous fourrez le doigt dans l'œil brava-t-il en se relevant sur le coude... Je compte cependant retourner sur Ulungen, mais sachez que votre injonction n'est absolument pas le motif de cet objectif. Sachez de surcroît que je ne compte "esquinter" personne jusque là. Le fait est qu'il s'aperçut que le bougre s'était déjà servit. Probablement en quête d'argent facile, ce malotru essayait à nouveau de lui faire les poches ! En un éclair sa lame fusa, Hiver blessé n'avait rien perdu de son adresse. Corbek éprouva certainement une grande douleur. Il faut dire que le coup était particulièrement bien placé, entre deux pièces d'armure. Mais hélas, le bougre était venu accompagné d’un tireur planqué dans les fourrés... Bloody Harry Kidd, vida son chargeur et voulu faire le brave en le finissant à l'épée. Grand mal lui en pris, il prit la fuite après deux revers cinglants. Agonisant Hiver ne vit pas la dernière balle... Coco avait frappé... De loin. C'est alors que roulant sur le coté Hiver vit un être étrange caché dans les fourrés... Un grand froid l'envahit. Son sang et le monde s'était arrêté. Devant ce monde statique, à peine conscient, un félin lui était apparut. L'âme de Gaël se dit avec effroi Hiver... Je suis Hivreblutrotkgnurfgngngn, dit la chose, l'âme qui t'a été désignée en haut lieux. Je te propose un marché dit-elle à Hiver : soit je prends ton âme jusqu'à ce que les hollandais relèvent la tête, soit... non rien.... Epargnez mes amis, murmura Hiver en s'effondrant. Satisfait de sa prise Hivreblutrotkgnurfgngngn, regardait le nouveau corps sans vie qui lui était offert... Tiens, si j'allais prendre une chopine en ville se dit-il. Puis, après avoir consulté les esprits, il se rendit à l'évidence : Van Good semblait le dernier endroit à la mode chez les hollandais. Voulant s'acclimater à la culture gouda, il s'y rendit aussitôt.
Edwin Van Drieëndertig Maître Grilladin
Edwin Van Drieëndertig Maître Grilladin
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27/03/2006
Posté le 29/11/2007 à 17:40:05 

Tout va mal à Van Good Edwin est mort !!!! Froid comme la roche il est déjà en putréfaction. Le mal noir a déjà recouvert 70% de son corps blafard où plus aucun souffle de vie ne semble s’en extirper. Les infirmières et le prêtre pleurent un grand héros lors de ce dernier sacrement. Quand tout d’un coup, l’assemblée est envahie par l’horreur et l’effroi. Edwin, s’est dressé comme un « L » les yeux vides, les paupières cachés derrière un voile terne. Il se lève comme attiré par la voix Lizzie sur la place d’Ulüngen. Là il croise Wildekat ; Gaart, Aardbei, animés, eux aussi, par la mort et le mal noir. Les seuls mots qui sortent de sa bouche sont: "Grouirrk Kraapiochaaak trameuleuzgueutefeu ! ARrrggghhhhkkrr !!!" Quelques heures plus tôt … Tout va bien à Van Good. « Van Ders est sauf !! » « Vive Yop notre général » « Gloire à nos héros » C’est cette ambiance festive qui sort Edwin en convalescence de son sommeil. Celui-ci est habité par un sentiment du devoir accompli. Il se remémore ses faits d’armes de la veille, où, en première ligne, il s’est battu vaillamment. Cependant, il reste frustré de ne pas avoir pu aider ses amis perdus dans le fameux brouillard blanc qui caractérise les événements majeurs de l’île. Quand soudain le ciel s’assombrit et la terrible nouvelle se répand. « Van Ders est souillée. ». « Malédiction ! Les dieux nous ont trahis ». En même temps une lueur claire obscure s’insinue par la fenêtre et prend la gorge d’Edwin. Une voix lui susurre des mots incompréhensibles et diaboliques à lui en percer les tympans. La douleur paralysante s’étend au fur et à mesure que le mal noir s’étale sur sa peau. Tout va mal à Van Good Edwin est mort !!!
Jost Barneveldt
Jost Barneveldt
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29/08/2007
Posté le 29/11/2007 à 18:14:02 

Caverne du crâne, a peu pres au même moment L'homme griffone quelques mots sur le papier, qu'il range dans la bague de son perroquet, avant de le relacher, guettant les alentours, sur le qui-vive. Oui, cette guerre qui se prepare ne se fera pas sans lui... En ces lieux sombres, humides et mal famé, Kurota Ryuga tremble. Depuis son arrivée dans cett grotte, il s'est fait voler, aussi bien ses affaires, que le matériel destiné aux jeunes hollandais... sur lequel il avait promis de veiller, pour aider les premiers pas des jeunes hollandais sur cette île hostile. Il regrettait de ne pas s'être méfié d'un compatriote, malgré l'avertissement reçu d'un autre voleur, anglais, peu de temps auparavant... On ne l'y prendrait plus! Déambulant a travers les couloirs, sans objectif a court terme, repoussant les assauts de monstres aussi étranges que le "requin des sables", et autres abberations de la nature, il rejoint un homme l'ayant supplié de renvoyer dans l'au dela quelque sombre démon. Etablissant son campement, il pense pouvoir panser ses plaies, afin d'etre au meilleur de sa forme quand le temps sera venu... Soudain, il sent une lame se planter dans ses côtes. Pas le temps de hurler de douleur, a peine les temps de reconnaitre les traits de son bourreau - Raffaella... qu'il perd connaissance sous la violence d'un nouvel impact... C'est à l'hopital d'Ulungen qu'il reprend conscience (les services médicaux sont treees efficaces, sur cette île griffonne t'il avec d'étranges caracteres). Plusieurs perroquets porteurs de messages divers... combien de temps s'est il écoulé...? Diable, pourvu qu'il n'ait pas failli à ses devoirs envers la nation.... Apres quelques minutes lui ayant permis de rassembler ses affaires, il ressort, pret a servir son peuple le mieux possible. L'atmosphere est etrange, ce jour, à Ulungen... les gens se sont barricadés dans leurs demeures... peu de passants, qui semblent inquiets, eux aussi... Une ombre fugitive passe au detour d'une ruelle, semblant marmonner quelque chose d'insaisissable... (beuuuuaaagh? Le neerlandais comporte encore des finesses qui lui echappent...) Helant queqlu'un, il est surpris de voir cette personne fuir à toutes jambes... Que se passe t'il donc, par ici?? Les heures passent. Puis vient l'heure du coucher. Le stress reçu recemment a epuisé l'homme, à tel point qu'il se resout a dormir dans les rues habituellement tranquilles, sentant le regard d'un chat-grenouille verifiant qu'il est bien hollandais et non un envahisseur... L'homme passe une nuit étrange, emplie de cauchemars monstrueux... ou il se fait devorer par des creatures abjectes ressemblant a ses amis... une lune annonciatrice de malheurs... Ulungen a feu et a sang... A son reveil en sursaut, haletant, il voit, comme cela s'est produit plusieurs fois ce qui semble être la silhouette de sa marraine, Wildekat, venue le saluer pendant son sommeil... Pourtant, sa demarche semble differente... elle hume l'air, telle une bête assoifée de sang, (tue) non comme la panthere a laquelle elle s'identifie parfois... Une fois de plus, elle ne semble pas entendre l'appel de l'homme, qui retombe dans les limbes d'un sommeil qui ne sera pas reparateur... Le matin suivant, c'est épuisé que Kurota arpente la ville, recevant les saluts de certains (Kurota) compatriotes, des dons pour la Caisse Commune... il avance, hagard, ne comprenant pas les paroles de certains... le manque de repos semble avoir altéré sa comprehension de la langue... Tiens, Oog Van nacht a du passer une mauvaise nuit, elle aussi, elle a une sale tête (chose qu'il ne lui dira pas). Tout comme Skôl Van Mad, qui porte les stigmates de rudes combats.... Raoul... Gaart... le Juge Michiel... tous ressemblent presque a des cadavres... Heureusement, il y a les jeunes, et l'aide à leur fournir pour le sortir de sa transe... etrange. Il n'est pas habitué (tue les) à sentir son corps (bois leur sang) aussi (Kurota) faible, presque... (laisse toi aller) malade, mourant... Que se trame-t-il donc à Ulungen??
Gaïus Quesada
Gaïus Quesada
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14/01/2006
Posté le 29/11/2007 à 22:21:31 

La colonne Van Ders - « Il y a trois façon de tuer. lui avait un jour enseigné Zaccharie. La première est en y prenant du plaisir, en se laissant envahir par ce sentiment traître de puissance et qui vous fait croire que vous etes immortel... Tu n'es pas immortel Charles sache le. - Oui mon maître. - La Seconde est en éprouvant de la pitié et en regrettant ton geste une fois qu'il est fait... Dans ce cas tu tueras deux fois ton adversaire, car tu le tueras physiquement, mais tu le tueras aussi en manquant au respect qui lui est dû et à sa mémoire. Tu dois le respect Charles. - Oui mon maître. - Enfin la troisième, tuer sans aucun état d'âme, tuer parce que c'est ton devoir, tuer car tu es soldat, tuer sans plaisir et sans regret. Ton bras deviendra alors l'outil de la mort. La Loi d'Airain. Comprends tu ? - Oui maître. Je comprends. - Ainsi devant le plus faible tu ne chercheras point a faire durer le supplice, tu te vetiras de tes meilleurs vêtements de guerre et tu frapperas avec froideur et force. Contre le plus fort tu te vetiras de manière humble et tu courberas sous ses attaques pour mieux l'occire en usant de sa confiance. C'est ton esprit qui guide l'épée Charles, ne l'oublie pas. - Je ne l'oublierai pas mon maître.» Bien plus tard. Hier. Quand la tour de Van Ders fut enfin prise au prix d'un nombre de blessés considérable dans les deux camps, Charles de Craon qui avait été envoyé à Saint Catherine la veille se détendi un peu sur son lit d'hôpital. Un infirmier se présenta a lui en lui tendant une missive. - « Les ordres monsieurs. » Charles prit le courrier sans rien dire et entâma la lecture. ]Au Capitaine Gaheriet et aux soldats du Lys. Tout d'abord toutes mes flélicitations pour votre bataille d'hier, sachez que nous vous en sommes tous reconnaissants. Vous n'aurez malheureusement pas le temps de vous reposer sur ces lauriers, la seconde phase de l'opération doit être initiée le plus rapidement possible je vous livre ici les grandes lignes et les attributions du Lys : Opération Open Bar... ...S'en suivait en détail tout le déroulé de la mission qu'ils devaient accomplir et les feuilles de route de chacun. Charles prit donc ses affaires et entreprit d'enlever sa tunique du Lys «El PLuribus Unum» qui lui avait servi lors de l'attaque sur Van Ders. Puis, se faisant, il aperçu dans son cabat une petite lettre qu'il avait oublié depuis longtemps. Il l'ouvrit sans trop de douceur et la lue. Une fois que ce fut fait, Charles ne put s'empecher de verser quelques larmes, il se retourna vers la fenêtre pour que personne ne le vit et pleura en silence en regardant dehors. - « Alors tu savais mon maître... quelle ironie... Monsieur le Comte. » Tout à coup le nom de Craon lui paru trop lourd a porter, tout à coup des souvenirs de France qu'il avait en vain tenté d'effacer revinrent à sa mémoire... Ce rôle là, ici sur Liberty n'avait aucun sens, ce rôle là il ne se sentait pas capable de l'endosser... Le rôle du père. Charles se rassit sur son lit et observa la vieille tunique de moine qui lui avait tant servi pendant si longtemps. Il l'a prit dans ses mains et sêcha ses yeux avec. Puis naturellement, il l'enfila. Elle le protégerait, il le savait, elle couvrirait sa peine. Tour française de Van Ders Un peu plus tard Charles pénétra dans l'enceinte et observa les premiers soldats qui prenaient position en son sein. Puis comme il n'avait rien d'autre a faire il entreprit une ronde autour de la tour histoire de verifier que les lieux étaient sécurisés... Ils ne l'étaient pas. Deux hollandais se tenaient près du sixième point, Charles connaissait ses ordres et avança sur eux. Il s'agissaitt de Tuxedo Fenrir et de Wildekat. Ils ne pouvaient rester là et quand ceux ci se retournèrent sur le Français, Charles lu dans leur yeux qu'ils le savaient. C'était la première fois qu'il devait les affronter, bien sur Charles avait déjà combattu contre des hollandais comme le général NightBringer ou l'excellent Edwin... Mais les tensions avec les hollandais, ces tensions qui les ammenaient a se battre les uns contre les autres restaient récentes. Charles porta le premier coup mais à sa grande suprise Wildekat esquiva à une vitesse foudroyante et le toucha au bras. Le Français du alors parer une attaque de Tuxedo qui elle aussi parvint au but. Charles recula. Deux assauts, deux échecs. Il parvint a contenir sa surprise, mais les choses se présentaient mal pour lui. Il renvoya un assaut et réussi a toucher Tuxedo, cependant un autre coup de Wildekat fit jaillir du sang de sa jambe droite. Ca se présentait vraiment très mal. Il recula un peu plus loin pour pouvoir se reprendre. Autour de lui il n'y avait personne qui puisse l'aider et Charles n''arrivait pas a se défaire de se sentiment que quelque chose n'allait pas... n'était pas normal. Il croisa le regard de la jeune hollandaise, il était vide, aucune émotion, aucune lueur, comme habité d'une haine indicible, comme habité par la mort. Cela glaça le sang du Français. Il fallait néanmoins qu'il réussisse et pourtant comme cela lui semblait tout à coup hors de sa portée. Wildekat ne le quittait plus des yeux et se regard lui était insuportable il aurait gelé toute l'île... Charles respira profondement et ferma les yeux. Une phrase lui traversa l'esprit, une règle... Il leva son épée. « Il y a trois façon de tuer » souffla t-il. Son bras tomba lourdement sur la jeune hollandaise et dans une virvolte il la toucha enfin. Monsieur Papillon n'était pas là et Charles le regrettait amèrement, sa compagnie n'aurait pas été de trop. Les hollandais se défendaient bien plus que vaillaiment rendant coup pour coup oeil pour oeil... Le combat était toujours aussi mal engagé et Cahrles comprit bien vite que pour se défaire de ces deux là il devrait y engager sa propre vie. Un coup enfin bien placé mis à terre Wildekat tendit que Tuxedo Fenrir se précipitant sur lui donna une occasion de parade - «à l'anglaise» comme aurait dit Zaccharie - qui ammena Charles sur son flanc. Deux coups. Deux coups de chances. Deux coups désespérés. Mirent enfin fin. Aux espérances des deux hollandais. Lunn qui avait tout suivi depuis le chemin de garde vint à la rencontre de Charles qui restait là immobile sur les lieux : - « Charles ! Félicitations ! quel combat ! Ils ont chèrement vendus leur peaux. » Du sang coulait du bras et de la jambe de celui-ci... - « Quelque chose ne va pas... » souffla-t'il. Lunn regarda avec étonnement les blessures. - « Hum, je n'avais pas vu ça... ça à été plus dur que ce que je ne pensais à ce que je vois. » - « Quelque chose ne va pas... Qu'est ce qu'il ont les hollandais ? .... » Charles était pris de vertiges. Il s'écroula sur le sol. - « Charles ! Lunn le ramassa. Eh ! tout va bien tu en as tués deux, nous sommes en guerre c'est normal qu'ils ne soient pas contents ! » Charles se redressa un peu en s'appuyant sur l'épaule de Lunn. - « Non... j'ai ressenti quelque chose... de pas normal. - « Tu es fatigué, regarde, Poppéa est là bas, elle va t'arranger ça... - « Il se passe quelque chose... de pas normal... »
Godefroy D'Arcy
Godefroy D
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Posté le 29/11/2007 à 23:04:34 

"Aïe aïe aïe ... ma tête ... que c'est t-il passé ?" Cela fesait deux jours que jettait frappé de trou de mémoire en me réveillant sur un lit d'hopital. "Bon c'est pas le tout mais faut que j'y aille moi! j'ai toujours pas atteint le monastère..." J'esquivait les infirmières qui m'avaient formellement interdit de me lever et voulait examiner ma peau. Qu'est qu'elle avait ma peau ? Rien je le savais bien elles s'inquiètaient pour rien. Je partis donc direction le monastère. Lors de ma marche j'évitais deux aventuriers se balladant dans le coin et deux autres français. J'arrivais au monastère sain et sauf. Je me dirigeais vers la cave a bière car une soif soudaine venait de me saisir. Je descendit donc mais arriver en bas des escaliers la voix retentit "Titiorgkkkk... Titiorgkkkk... Titiorgkkkk !!!" "Comment ? oh non pas ça ! pas encore" "Que vois tu en face de toi Titiorgkkkk ? mais oui c'est bien Athanael et il n'est pas seul... tue-le ! tue-les tous ! tu m'as bien compris ? TOUS !!! J'émis un grognement sur cet ordre et chargeait Athanael ! J'élevais ma hache me prépara a l'abbatre lorsque des spasmes me secouèrent violement. Ma hache tomba au sol dans un bruit effroyable et atterit aux pied d'Athanael. Je me réveillai entouré de nombreux Hollandais, je reconnu ausitot ceux qui devait avoir les mêmes symptomes que moi. Mais que c'était t-il encore passer ... je ne me souvenais de rien...
Edwin Van Drieëndertig Maître Grilladin
Edwin Van Drieëndertig Maître Grilladin
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27/03/2006
Posté le 30/11/2007 à 10:08:41 

* Un moment de lucidité * Que c'est t'il passé ? D'où viennent ces étranges stigmates ? J'ai entendu parler de ce genre de blessures ? C'est la signature de Marius ! Que s'est il passé ?? Où ai-je bien pu le croiser ? Mais quelle est cette odeur de mort ?? Mais qu'est qui est arrivé à mes mains ?? Aïe !!! j'ai mal !! AHHHHH !!!! Au secour !!! Aidez moi * souffre le martyr * AHHRRGGHH !!! * perd petit à petit sa lucidité * ARGKKRRR!!!!!!! * scalpe et dévore le cerveau de l'infirmière la plus proche * GROUAAARRKKKRR !! CHTRAVIOTEKK MASTARFLUCKKKRRR
Marius le Gardien
Marius le Gardien
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Posté le 30/11/2007 à 11:10:05  [ Edition bloquée ]

le manchot invite à respecter tout RP !! Y'en a pour tous les gouts ! On aime pas celui-ci on passe son chemin et c'est tout ! On commente dans les commentaires SVP !
Alice, Princesse Gardienne de Nollandie
Alice, Princesse Gardienne de Nollandie
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Posté le 30/11/2007 à 11:46:39  [ Edition bloquée ]

Wildekôrttgrnh!! français!!!! sang bleuuurggg! tuer!! Un Français était là, en train de se battre contre Nightbringer... et Tuxedo... mais Wildekat regardait... elle était paralysée... elle avait froid dans les égouts... mais ne sentait pas l'eau au niveau de ses cuisses, ni la difficulté à avancer. "Tûûûûûûshhh !!! Tûûûûûûshhh !!" Elle ne pouvait prononcer que ces mots... le Français s'approcha d'elle et commença à la frapper... la furie se réveillait en Wildekat... elle le toucha quatre fois... il s'ennervait et pestait contre Wildekat "Sale Hollandaise! je vais t'avoir! je vais te crever comme une chienne!! Tu crois que je me rappelle pas de toi, T'étais avec la D'Arcy!!" D'arcy? D'arcy? ..... qu'est ce que... Géraldine! géraldine! Mais... oui elle le connaissait! c'était ce maudit Ashram!! Elle baissa sa garde.... elle se rappellait de lui, de son visage maintenant. Lui continuait de la frapper, une brute.... une touche dans le bras.... une dans les côtes... elle se laissait faire et le regardait, bouche bée, tentant à peine de contrer ses puissantes attaques....le Français était fort, un bretteur hors pair... elle ne voulait pas se battre contre lui.. le sang avait assez coulé.... puis elle entendit son frère Aardbei " Wiiiiiiildegrôôôôôâraaaaarth !!! Guhûûidre Aaargkrdblfei kraavrann Tssrvaalffr " Il se battait contre Ashram comme un fou, et celui-ci s'effondra dans l'eau pourrie des égouts de sa ville Wildekat se rappellait... la voix... le sang... les Français... elle avait tué cette nuit?? Non.. non.. elle n'avait pas tué... elle s'était juste battue contre ce pourri de Le Brun .. le menteur.. la cause de tous ses malheurs.... Aardbei et Gaart vinrent lui prendre la main et la soutenir. Il fallait partir, ils étaient repérés... elle n'avait pas la force de marcher toute seule. Elle se laissait guider, l'esprit embrouillé.. elle revoyait Choco et son visage déconfit... son ami Choco qu'elle n'avait pas pu consoler... elle qui d'habitude aidait les corsaires, qui était là pour eux... elle n'avait rien pu faire.. rien. Elle ne sentait pas l'eau qui arrivait au niveau de ses cuisses.. elle avait froid.. si froid... mais elle était avec ses frères... maigre consolation quand on voyait dans quel état ils étaient.. et elle ne devait pas être mieux. Seul Night semblait se porter bien. Oui, il était radieux dans la taverne ce soir. Elle regarda sa main. Il lui avait fait un beau cadeau ce soir, la bague brillait sous les reflets de la lune, d'un rouge éclatant.. un rouge sang... la lune.. le sang... qu'avaient-il fait? Il fallait arrêter cela.. sauver leus âmes... partir loin.. loin de cette voix... loin des Français pour arrêter ces carnages... oui fuir... la Hollande... la Hollande était son seul espoir... il fallait tuer ce monstre qui s'était révéillé en elle... avant qu'elle ne fasse d'autres victimes... avant qu'elle ne Lui fasse du mal.. si elle Le touchait elle s'en voudrait toute sa vie... oui... sa bague brillait sous la lune... et Wildekat ne voyait que le sang de Le Brun et d'Ashram se refleter dedans... le sang... fuir... vite... ---- Moderation du manchot supprimé et remplacé par un RP.
Gaïus Quesada
Gaïus Quesada
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Posté le 30/11/2007 à 12:07:32 

La redoute Saint James Charles avait finalement passé la nuit sur place a Van Ders, ses blessures soignées il était resté très fatigué de sob combat. Alors qu'il dormait profondement quelqu'un vint le réveiller en pleine nuit. - «Charles... Charles ! - « Hum ? oui ? oh c'est toi Christian ? - « Oui, je suis arrivé il y a quelques heures, il est bientot 4 heures il va être temps de se mettre en route. - « Je... Oui... Charles se leva. D'accord. » Alors qu'ils se préparaient à prendre la route tous les deux en sirtotant un pot de café, Charles observait sa vieille tunique en silence. - « Tu as l'air bien soucieux mon frère. lui dit Christian. - « Père est mort. » Un long silence s'ensuivit juste ponctué par le pot de café que Christian reposa sans ménagement sur le sol. Il n'etait pas quelqu'un dont on pouvait lire facilement les sentiments. Christian vivait avec ses démons mais sans jamais en faire part. Comme à l'accoutumé il digéra l'information sans rien laisser paraitre. - « Ah. Te voici donc Comte de Craon. Lui dit-il. Peut être... Peut être devrais tu rentrer en France... Je veux dire, pour aller t'occuper des terres de la famille... » - « Blanche fera ça très bien je n'en doute pas. Et puis j'ai encore des choses à faire ici, je ne peux pas partir pour le moment. - « Très bien... Alors comment doit-on t'appeler maintenant ? Monsieur le Comte ? Charles de Craon Comte de Craon ? - « Tout ceci n'a aucun sens sur cette île. Je suis le seigneur d'une terre qui est a des milliers de lieues d'ici et que je n'ai pas vu depuis des années... » Charles prit la vieille tunique et commença à l'enfiler. - « Te rappelles tu quand nous sommes arrivés ? Avec nos ordres de Paris sur le Duc de Bretagne ? - « Bien sur. Comment l'oublier ? - « Athanael. C'est un nom plus facile a porter je trouve. Une identité plus secrète. Je crois que pour le moment c'est ce qui m'ira le mieux. - « Soit. A ta guise. Athanael ou Charles de toutes façons tu es mon frère. Si tu le souhaites ça sera Athanael, et nous oublirons le Comte de Craon pour quelques temps. Charles regarda son frère en esquissant un sourire. - « Merci. Tes paroles me portent. Il y eu encore une fois un long silence durant lequel chacun des deux hommes buvèrent leur café sans un mots perdus tous les deux dans leurs pensées. Puis Christian se leva : - « Il va être l'heure. Nous devons nous mettre en route... Athanael. - « Oui tu as raison. Athanael se leva et alors qu'ils sortaient de la tour Van Ders, il agrippa son frère par la manche. Mefies toi des hollandais. Je ressens quelque chose de bizarre les concernants. Ils ne sont pas comme d'habitude. - « Ils sont en guerre mon frère. C'est normal. - « Non, ce n'est pas ça, pas que ça, j'ai un mauvais pressentiment. - « Hum... Dois je te rappeler que tu en as rarement de bons ? » Chriko se retourna vers Athanael qui ne rajouta rien. Ils se mirent tous les deux en route vers l'Est. Monastère Saint James Un peu avant l'Aube Tout était calme dans le jardin du monastère. Les deux Français avaient fait bonne route et n'avaient croisé personne. Chriko se dirigea vers le batîment du fond. - « Je vais faire un tour à la cave. lança-t-il à Athanael. Histoire de vérifier que tout va bien. - « Bien. Fait donc. Je vais regarder dans le monastère. » Les deux hommes se séparent et Athanael entâma sa ronde, plutôt soulagé que les lieus aient l'air vides. Il monta jusqu'au toit et redescendi dans la grande salle du rez de chaussée. Une fois certains que tout allait bien il se dirigea vers le jardin, préférant attendre dehors sous les toutes premières lueurs du Soleil naissant. Il contempla le ciel quelques minutes. Tout était si calme. si apaisé. Trop peut être. Chriko ne remontait toujours pas, pourtant il aurait dû avoir fini son tour depuis longtemps lui aussi. Athanael tout à coup inquiet parti à sa rencontre. Il traversa plusieurs couloir et toujours personne, puis enfin il arriva à la cave. Il eut un haut le coeur en découvrant la scène. Devant lui à quelques mètres à peine, Hooligan Van Ulungen et Chriko se battaient durement et Chriko n'allait pas bien. Une nouvelle passe d'arme entre les deux et le français fut une nouvelle fois touché. - « Attends Chriko ! Je viens t'aider ! » Mais il n'écouta pas et leva une nouvelle fois son arme sur le hollandais. - « Non ! » Le coup s'abatit et Chriko s'écroula au sol. Athanael fondit sur Hooligan Van Ulungen qui ne put parer l'attaque. Comme il était déjà lui aussi blessé, le hollandais tomba à son tour. Athanael était décontenancé. Il se retrouvait seul, il était arrivé trop tard... Un bruit derrière lui le fit sursauter. Il se retourna et son corps se fut traversé d'un frisson glacé. Quatre hollandais se tenaient groupés là. Etnies, Vyse, le double tranchant, Helen Van Groen et une jeune demoiselle qu'il ne connaissait pas, Van Iye. Il n'y avait pas à hésiter plus longtemps et Athanael connaissait ses ordres. Il fonça sur eux. Tout comme la veille, et une nouvelle fois à la grande surprise d'Athanael, le combat s'engagea très mal pour lui. Etnies et Vyse, le double tranchant parèrent sans sourciller les premiers coups et le Français dû une nouvelle fois reculer, repoussé par la défense hollandaise. - « Ca va pas du tout... » souffla-t-il. L'étrange sentiment qui avait prit possession de lui lors du combat contre Wildekat, refit surface aussitôt. Qu'est ce qui arrivait aux hollandais ? Leur façon de se battre semblait si... différente. Athanael renouvella son assaut et reussi a toucher Etnies, mais Vyse, le double tranchant le toucha encore. Cette fois il ne pouvait plus reculer, il fallait se battre de toutes ces forces, les hollandais semblaient habités... Tout du moins certains, comme ce jeune Etnies dont la technique n'aurait pourtant pas dû gener Athanael à ce point. Le jeune hollandais se battait avec une rage sans commune mesure, sa force s'en trouvait décuplée et le français souffrait. Les coups pleuvaient et les parades s'enchainaient les unes après les autres, Athanael faisait jouer tout son savoir, toutes ses ruses, pour evité les lâmes hollandaises. Son expérience fut mise a rude épreuve, mais enfin elle fit la différence. Alors qu'il avait commencé le combat avec tous ses moyens, Athanael le terminait vainqueur certes, mais totalement épuisé. Etnies et Vyse, le double tranchant avaient combattu de manière rare. Tous comme les deux hollandais de la veille. - « La première fois c'est un accident... La seconde fois ça commence à être inquiétant. » Se dit-il. Il en restait encore deux autres... Helen Van Groen tenta bien de se défendre mais cette fois Athanael ne laissa aucune chance au hasard et frappa de toute sa force. Il ne restait plus que la très jeune Van Iye... A présent seule, elle n'était sans doute plus un danger, mais quelque chose n'allait pas et la mauvais pressentiment qui accompagnait Athanael depuis deux jours se faisait de plus en plus fort. Quelque chose en Hollande n'était pas normal. Athanael s'avança vers la jeune hollandaise qui restait là pétrifiée ne pouvant pas bouger. Charles la regarda dans les yeux et d'un coup enfonça sa lâme un peu au dessus un sein gauche jusqu'à la garde. Le corps se touchaient dans une dance maccabre et immobile. Athanael ne quittait pas des yeux la jeune femme. Van Iye eu un hoquet de surprise et s'affaissa lentement sur ses genoux. Par reflexe Athanael passa son bras libre sous l'aisselle de sa victime et l'accompagna à terre. Tous les deux a genoux. - « Demain quand tu te réveilleras la douleur aura disparu. Mais tu te souviendras de mes mots. Tu pourras me vouer de la haine si tu le souhaites mais sâche que je n'ai pas pitié de toi. Sâche que je ne regrette pas mon geste... Il y a trois façons de tuer. » Un seul geste, Athanael retira la lâme du corps de Van Iye qui s'écroula innanimée sur le sol. Le Français fit quelques pas puis, ne pouvant aller plus loin, s'adossa contre un des pilliers de la cave. Il était seul. Il se sentia terriblement fatigué et très inquiet. Quelque chose de mauvais semblait habiter les hollandais.
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