Faux Rhum Le Faux Rhum Faux Rhum  

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Un nouveau départ  
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Peter
Peter
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15/06/2007
Posté le 30/06/2007 à 16:08:26 

Souvenirs Je me nomme Peter pourquoi ce nom je ne le sais pas, je suis orphelin, je n’ai jamais connu mes parents et ne les connaitrait sans doute jamais. Ma vie semble marquée par des forces mystérieuses que je ne peux malheureusement pas contrôler : Pourquoi suis-je né avec une lettre m’indiquant mon devoir : servir ma nation anglaise et me méfier des français. Les français pourquoi eux ? Qu’ont-ils avoir avec ma vie ? Ont-ils un lien avec la disparition de mes géniteurs ? Je recherche encore des réponses à ces questions avec l’espoir de découvrir un jour la vérité.Vérité es ce à cause de ce nom que je me suis lié d’amitié avec cet espagnol? Je ne sais pas, il est vrai que j’étais fébrile après la mort de mon ami Lavi fier et noble représentant de la nation anglaise. Je m’en rappellerai jusqu'à ce que la mort me prenne : « C’était un matin de juin bien que les températures ne le montraient pas, je venais de dormir dans la rue après mettre fait jeter du bar de ma contrée. La nuit avait été longue et alcoolisée, nous venions en effet de fêter comme il se devait ma victoire au concours d’escrime régionale. Le vent soufflait dans mes cheveux longs, je me levai et m’étirai afin de mieux me réveiller. Je levai les yeux au ciel et remplis mes poumons d’oxygène : c’est alors que je compris que quelque chose n’allait pas, je m’attendais à sentir la boue et l’alcool dans le pire des cas, mais c’est une odeur de mort que je senti. Je courus comme si ma vie en dépendait vers cette odeur le cœur battant craignant que la vie me prive d’un de mes amis. Je m’approchais de cette odeur croisant sur le chemin des rats, des porcs en liberté, mais rien ne préoccupais plus que cette odeur. L’odeur s’intensifia et j’entendis des voix s’élever. Lorsque je vis les personnes qui parlaient, je vis également un cadavre. C’était Lavi la bouche grande ouverte une bouteille, de rhum à la main, et une balle dans le cœur. La rage et le désespoir m’envahir et mon chagrin me poussa à hurler. Ce n’était pas un hurlement de peur ou de chagrin mais de rage, je ne reconnus pas ma voix. » Après cela j’appris que la mort de mon compatriote était l’œuvre de pirate ayant besoin d’argent. A partir de ce jour je me résolu à servir ma patrie du mieux que je le pouvais, et à pouvoir rivaliser un jour avec les pirates afin de retrouver le meurtrier de mon ami et de le venger. Afin de me rappeler de ce jour toute ma vie, je fis couper mes cheveux. Cet acte pouvait paraitre dérisoire mais cela ne m’inquiétait guère. Lors de mes nombreuses quêtes je fis la rencontre de Vérité un espagnol ayant une personnalité attachante. Son caractère me rappelais celui de Lavi, et le lieu de cette rencontre était un signe : la caverne aventura. Je senti que ce n’était pas la fin de mes aventures, mais seulement le début...
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Posté le 30/06/2007 à 19:03:42 

Résumé de mon arrivé sur Liberty : Je venais d’arriver dans la demeure là où nos parents travaillaient, c’était si vaste, papa et maman étaient furieux que Henry se soit encore échappé pour ne pas être là à un moment si important, le nouvel an, surtout que nous étions chez les maîtres de papa et maman et ils voulaient faire bonne impression devant eux. Je tenais Erika par la main, elle avait peur, nous étions dans un endroit inconnu et cela ne lui disait rien qui ne vaille. Nous avancions doucement dans cette grande allé, il y avait des statues un peu partout, soudain papa m’emmena rejoindre les autres enfants qui étaient dans le jardin, à la fontaine, je lui demandai pourquoi je ne pouvais pas rester avec eux, il me répondit : « Tous simplement parce qu’on en a décidé ainsi ta mère et moi, Erika viens avec nous, toi, reste ici car tu nous fais honte donc tu reste avec ceux qui sont comme toi, inutile, tout comme ton frère d’ailleurs qui ne pense qu’à jouer à son jeu ! » J’étais complètement dans l’incapacité de dire quoi que se soit, mes parents me jugeaient inutile et de plus il insultait Henry pendant qu’il était pas là. Certes il avait eu tort, mais moi je n’avais rien fais, je n’ai jamais sue mentir d’ailleurs. Je faisais tous dans notre maison quand ils n’étaient pas là, je m’occupais de tout, Erika, Henry même le ménage (le peu que je pouvais faire du moins) je m’entraîner de plus au combat derrière la maison avec un bâton quand j’en avais le temps mais je m’occupais surtout de la maison, et il me disait « inutile » j’en restais complètement secoué.. Je vis alors ceux que mon père disait inutiles, ils étaient tous espagnoles, c’étaient tous des esclaves, ils avaient pour seule vêtements des guenilles toute déchiré, je m’avançais vers eux en reprenant mon sang froid, eux ils ne m’avaient rien fais, ils n’allaient tout de même pas prendre tout à la place de mon père. Je rejoins donc les autres en me retenant de tuer tout le monde. Au bout de quelques heures j’avais fais connaissance avec tout le monde, mais celui que je préférais le plus était Rodriguez, l’aîné de la bande de la bande, il avait 16ans, les autres avaient en moyenne 10 ans. Au file d’une conversation sur nos parents je lui dis à un moment ce que venais de dire mon père sur moi quelques heures auparavant et lui expliqua que je ne voulais plus le revoir, je voulais libérer Erika de l’emprise de nos parents. Se fut à ce moment qu’il me dit: « On a prévu de brûler la maison de ces pourris qui nous traitent comme si on était leur chien, quand ils seront tous à table nous irons à la bibliothèque on y mettra le feu avec la torche qui sert à éclairer le souterrains seulement il faut qu’ils y aient l’un de nous qui fasse diversion, pourrais tu le faire? » Je dis oui en hochant de la tête alors il me sourit avec un air complice, il me dit que pour qu’ils aient le temps nécessaires d’aller chercher la torche, ils ne leur fallaient que quelques minutes et me dit de les rejoindre ensuite à l’entré de la maison. Ce que je fis alors, je pris le pistolet à un garde qui dormez comme une souche sur un banc dans le jardin et alla discrètement derrière la porte de la salle principale, je tentais alors de tirer dans mon père mais vu que je n’avais pas prévue le recule provoqué par le tir… C’est à ce moment que la balle parti et j’eux l’impression que mon cœur s’arrêta, j’avais tiré sur Erika, elle avait reçu la balle dans la poitrine je pris alors les jambes à mon cou, la foule dans la salle paniquait à un telle point que personne n’aurait pu voir ce qui se passait en-dehors de la salle, je rejoins alors Rodriguez et les autres à l’entré, ils me dirent que l’on allait tous se séparer c’était les au revoir .Rodriguez me proposa de partir au port de la ville ,il avait arrangé avec son cousin un passage pour aller sur le bateau pour aller sur une île nommé : Liberty. Les premiers jours du voyage en navire je ne cessais de penser à Erika morte par ma faute et à cet abruti de Henry qui nous avait lâché, en plus avec le bateau qui ne cessé de tanguer j’avais la nausée en plus de mon humeur particulièrement maussade. Pour Rodriguez j’étais juste une présence qui l’aider à nettoyer le pont durant se voyage. Une fois arriver à Liberty nous nous séparâmes, 2heures après je vis qu’ils avaient une balle dans la tête quand je passais dans une ruelle, j’appris qu’il avait été tué par un paria qui avait besoin de se défouler, et s’est ainsi que je vis Esperanza pour la première fois. 4 ans plus tard : Je suis arrivé il y a quatre ans sur cette île, et jusqu’à là je n’avais aucune connaissance en dehors de l’homme qui m’a aidé jusque là Olof.Je fis cette rencontre lors d’une mission à aventura qui étais savoir si un homme qui avais demandé une aide à notre nation étais encore en vie et si oui je devais l’escorter à Esperanza. Mais durant mon trajet à dans cette caverne je fis la rencontre de se jeune anglais nommé Peter nous fîmes route ensemble dans cette caverne et nous discutions durant le trajet. Nous restâmes durant plusieurs jours à discuter en frayant un chemin dans cette caverne, j’appris nombre de chose sur lui, il avait perdu une personne auquel il tenait beaucoup récemment d’où le fait qu’il c’étais coupé les cheveux et je respecté la mémoire de l’homme dont il me parlait, il me dit aussi qu’il n’avait jamais connu ses parents et de ce fait c’était nommé Peter et sur ce je lui dis que moi je les avais connu mais j’aurais aimé ne pas les connaître et nous avions discuté de nombreuse chose encore mais sans intérêt, je finis par le prendre comme le frère et la sœur que j’avais perdu…
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Posté le 04/07/2007 à 10:02:23 

Voilà plusieurs jours que nous nous étions séparés, je me décidais de lui envoyer une lettre pour que l'on se retrouve à NK au Black Beer Pub pour que l'on aille ensemble à la caverne où nous nous étions rencontrés, je me demandais comment lui écrire sans avoir l'air d'avoir des moeurs étranges... -_-' Je me mis à méditer plusieurs heures sur la question et finis simplement par lui dire directement dans ma lettre: "Hola l'ami anglé,ou plutôt cher Peter, Rejoin-moi a la taverne de ta petite vile, je trène par la vien mi rejoindre nous devon kausé l'ami " ... Cette lettre était pathétique j'avais rien réussi de mieux ce jour-là. Je repris ma marche vers NK l'esprit un peu rêveur de découvrir la ville de NK j'en avais tellement entendu parler que j'avais du mal à me retenir de courir. Je n'avais point d'argent sur moi alors le vole je m'en moquais un peu, car à ce que j'avais entendu, les anglais n'avaient jamais leur mains dans leurs poches mais plutôt dans les votres, j'espère que cela est faux sauf si ce ne sont que de belles femmes qui vole et dans ce cas là je les laisserai faire une fouille plus approfondie sans me débattre.
Peter
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15/06/2007
Posté le 05/07/2007 à 22:36:28 

Ce jour là, je me trouvai dans la Caverne Aventura,j'étais fatigué, exténué par tous ces affrontements : en effet je subissais sans cesse de nouvelles attaques de momies que je m'efforçais de repousser lorsque je vis arriver une personne qui prétendait avoir une lettre pour moi. Elle me tendit cette lettre avec un bras tremblant, je regardai de plus près mon interlocuteur et je vis que cet homme car il s'agissat d'un homme avait du sang coulant le long de sa tempe ; cela était peut être due aux attaque incessantes des momies. Je pris la lettre et lui recommanda un soigneur qui m'avait remis en état de combattre gratuitement, sans attendre aucune récompense. Il me remmercia et s'en alla trouver ce soigneur. Je vis au premier coup d'oeil qu'il sagissait d'une lettre de mon ami Vérité, en effet son écriture était facilement reconnaissable, elle comportait en effet de nombreuses fautes d'orthographe qui était due au fait qu'il avait préféré apprendre à se battre étant jeune que d'apprendre la grammaire et l'orthographe. Mais malgré son enfance difficile il apprit à lire et écrire auprès d'un instructeur qui se nommait Vincent. Ce n'était pas le meilleur instructeur qui soit, en effet il était lui même spécialiste en fautes, et de toutes sortes. Après avoir vu qu'il s'agissait d'une letttre de mon ami, j'entrepris de la lire : il m'invitait à le rejoindre à New Kingston afin de bavarder aimablement sur les différents sujets auxquels nous étions familliers : rhum, alcool en tout genre, femmes... J'étais certe tenté de le rejoindre de ce pas, mais je me trouvais assez éloigné de New Kingston et de plus je devais terminer ma quête afin de toucher ma récompense. Je chercha dans ma poche avant du papier afin de lui répondre lorsque je découvris une vielle montre en or que je venais de kidnapper à un passant : je ne pus m'empêcher de sourire car en effet la prise était magnifique, ce qui n'était pas le cas de son ancien propriétaire. Dans le fin fond de ma poche je sentis enfin un morceau de papier. Je l'inspectai pour m'assurer de son état et commencai à rédiger ma réponse : je lui répondis que je ne pouvais me rendre à New Kingston immédiatement car je n'avais pas encore finis ce que j'avais entrepris. Je lui proposai alors soit de m'attendre quelques jours, voir une ou deux semaines car je devai bien me rendre de toute façon à ma ville d'adoption, ou au contraire de venir me retrouver maintenant à la caverne afin de pouvoir entre autre me faire profiter de son savoir et de sa connaissance de l'endroit et de pouvoir parler agréablement de chose et d'autre. Je me mis en quête de trouver un homme capable d'emporter cette missive à mon ami Vérité : lorsque cela fut effectué je donna quelques consignes à cet homme et le regardai partir au loin....
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Posté le 06/07/2007 à 12:17:46 

Il faisait nuit, je m’étais trouvé un coin tranquille pas loin de New Kingston pour me reposer et arriver à la ville anglaise le lendemain. Au moment où j’allais m’endormir un crocodile m’a attaqué de la cache où j’étais, je n’ai pas compris vraiment ce qu’il faisait là mais il avait tenté de me dévorer la jambe et cela je ne laisserai plus le retenter. Après un combat acharné je regardais la dépouille de plus près, je restais coi devant ce que je voyais, ce crocodile avait un collier avec son nom accrochait dessus, « Croc ». Les anglais avaient de drôle d’animaux de compagnie, de plus, plutôt mal dressé, me dis-je. Le lendemain j’arrivais à New Kingston je vis enfin cette fameuse ville dont j’avais tant entendu parler. La première impression qu’elle me fit était d’avoir les poches plus légères tout d’un coup, je venais de me faire voler, je me dis ce n’ai rien, j’avais tout prévue de toute manière et de plus je n’avais pas grand-chose dans les poches. De suite je me dirigeais vers le Black Beer Pub. Je vis encore une chose que je n’avais jamais vu jusque là, je n’avais jamais été dans une taverne, je vis pour la première fois des femmes qui nous faisait payer pour causer avec elle et même plus pour les rejoindre dans une chambre à l’étage ce qui était encore plus chère, je compris tout de suite le sens du nom de l’île Liberty avec ces fameuses libertines et libertins. Le barman me dit que si je voulais me faire une pute il me conseillait Chloé je ne compris pas trop ce qu’il venait de me dire pris de cours, je me dis pourquoi pas essayer, je suivis son conseil et me payai Chloé. Nous avions discuté pendant 2h, elle s’endormit à la fin. Je me dis c’est tout de même mal placé son argent si elle s’endort pendant qu’on cause, je la laissais dans la chambre,lui laissant l'argent sur le chevet et redescendis de cet étage voir le barman, je pris un peu de rhum et m’en allais de la taverne. A la sorti de la taverne je vis un homme qui courrait vers moi je me dis il a peut-être pas aimé le fait que j’ai causé avec Chloé ce qui me fis rire directement, sa ne pouvais pas être ça. Il me tendit la lettre et me dis que la prochaine fois que j’utilise un perroquet que l’on était dans un monde moderne et c’était fini les messagers humains, je lui dis directement : « J’avais un perroquet, je l’ai envoyé, on me renvoie un vieux bouc tout pourri mais qu’est-ce que j’ai fais pour mérité sa bordel » l’homme se retourna et me regarda étonner puis s’en alla ensuite en mâchant du noir. J’ouvris cette lettre et reconnu l’écriture de Peter, je vis des tas de fautes que maître Vincent m’aurait tué pour des fautes pareil, comme: « j’ai reçu ta lettre » au lieu de « jé ressu ta letre » je me dis le pauvre ne sait pas le nombre de fautes qu’il avait fait. Bon enfin le message disait au finale qu’il ne pouvait pas aller à New Kingston avant un bon bout de temps et que je devais le rejoindre à la caverne directement. Je me dis « Bon bah… j’y vais, j’ai plus que sa à faire de toute manière ,mais j’ai tout de même une course à faire, me racheter un maudit perroquet… » Je vis le marchand, il me proposa deux perroquet pour le prix d’un, je me dis « ok », je vis ensuite les deux perroquets en question, ils étaient en pleine forme et prometteurs tout deux. L’un s’appelait Iti et l’autre Néris, le fameux duo Iti-Néris et j’espère qu’ils ne se laisseront pas dévorer par des sauvages. Je me pris Iti et envoya Néris à Peter avec un petit message : « Utilise se peroquet mintenant pour m’envoyé té messages je ten fé crédits, je te rejoins a la caverne dans deu semaine, j’ai oublié que j’avé une chose à faire », une fois ma relecture faite, je me dis c’est bon, j’ai bien retiré toute les fautes visible comme me l’avait appris maître Vincent.Je repris ma route vers Esperanza avant de retourner à la caverne aventura y rejoindre mon ami.
Peter
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15/06/2007
Posté le 19/07/2007 à 19:41:12 

Lorsque je reçu le perroquet de mon ami Vérité, je venais de tuer une momie de plus. En effet j'étais toujours en pleine bataille afin de sauver ma peau et me former le mieux possible à l'art du combat. Je vis de nouveau des quantités de fautes d'orthographe mais avec le temps je n'y faisait plus attention. Après avoir relus cette lettre je fus ravi d'apprendre que mon compagnon alllait me rejoindre dans la caverne où je me trouvais. Après cela je me concentrais sur mon repas car mon ventre poussait des cris. Il fallait donc que j'entreprenne de le nourrir et malheuresement les momies n'étaient pas comestibles où sinon il fallait les assaisoner avec beucoup de soins pour ne pas sentir le goût de la chair vieille de plusieurs siècles. Je sortis de la caverne un moment afin de débusquer du gibier : je vis dabord un crocodile mais bon cela ne me disait rien qui vaille, alors je continuais ma route afin de trouver plutôt un bon gros sanglier que je vis au bout de quelques heures de traque acharner. Le combat s'annonçait rude avec un mort quoiqu'il arrive, et ce fut le sanglier qui perdit la bataille bien qu'il est réussi à me faire une entaille de plusieurs centimètres dans le bas ventre. Sa viande était exellente, moelleuse et agréable sous la dent. Le feu que je fis pour cuire la bête me permis aussi de dormir au chaud, ce que je méritais amplement après cette traque qui m'avait épuisée.
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Posté le 23/07/2007 à 00:56:10 

J’étais allongé dans l’herbe un parchemin et une plume à côté de moi dans la nuit en regardant les étoiles; le ciel était dégagé, les étoiles brillées comme si elles étaient sur le point d'exploser. C'étais magnifique, il nous faut tous au moins voir cela une fois dans sa vie pour se dire la vie ce n’est pas si moche car il y a de belle chose que généralement on ne remarque même pas tellement on se donne des tâches qui sont en faites futile. Cette nuit faisait parti de celles que je considérais comme idéale, point de guerre, point de problème dans les relations avec ces amis et le ciel dégagé, une douce brise qui ne vous gel point les os et vous donne envie de vous couvrir, non de l'air frais avec une température ambiante idéale. Tout le monde se plaint de ce qu'il n'a pas et ne regarde pas et ne profite pas de ce qu'il a. Nous avons tous des choses que l'on peut voir à plusieurs et qui sont des choses de la vie qui sont simple tels que : Admirer les étoile le soir, les couchés de soleil, la brume matinale, se réveiller vivant, avoir une femme aimante à ces côtés, ... Ceux qui ont leurs jambes ne savent pas vraiment non plus la chance qu'ils ont d'avoir encore leur jambes, c'est seulement quand on les perd que l'on se plaint et que l'on remarque la chance qu'on avait mais cela est tout simplement trop tard pour se rendre compte de cela, on ne peut revenir en arrière, il y a beaucoup de chose qui sont comme mon histoire de jambes perdu, c’est pareil avec les femmes, c’est seulement quand elle n’ai plus là qu’on remarque qu’en faites elle nous manque et cela nous donne l’impressions justement d’être amputé d’un membre de notre corps. . Je m'endormis l’esprit léger avec des pensées simple tel un loup solitaire à la suite de cette série de théorie que je me fis dans ma tête et qui parait logique en fin de compte. Le lendemain je vis que j’avais écris sur un bout de parchemin ce à quoi je pensais la veille sur la vie et ses beauté non remarqué qui sont sous notre nez. Je me fis l’effet de ce qu’appeler mon ami Peter des personnes qui ne faisait rien d’utiles de leurs vie en dehors de faire des remarques qui me paraissent fort futile mais qui dans un ensemble en faites donne quelque chose, un philosophe. Je repris ma marche après cette pensé et vis qu’en faites j’étais juste en face de la caverne aventura. Avant d’entrer je vis un anglais et je lui demandais si il n’avait point vue un homme nommé Peter, je lui fis cette descriptions vite : Petit, l’air triste, cheveux court, anglais mais pas tout le temps avec une tasse de thé. L’anglais me dit qu’il était parti de la caverne il y avait déjà quelque jours et je le remercie et repartie à la recherche de mon ami dans l’espoir de voir une nouvelle de lui par hiboux bientôt. Car je ne savais pas par où commencer mes recherches.
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Posté le 30/07/2007 à 12:14:36 

Le premier lieu vers lequel je me dirigeais fût le manoir soit disant hanté, deux jours de marche pour l’atteindre et je n’ai croisé personne sur ma route, j’ai vécu ces deux jours avec un ennui mortel, qui a-t-il de plus ennuyant que de marcher sans que rien ne se passe? Si, ne rien faire et ne pas marcher mais cela ne sert strictement à rien. Toujours pas de nouvelle de Peter. La première animation que je vis étais le dernier jour en arrivant au manoir, je vis un peu d’espagnole et d’anglais rien de bien inquiétant car je n’allais pas me faire attaquer par mes compatriotes et alliés tout de même. Le lendemain à l’aube je m’en allais dans le manoir soit disant hanté, la première chose que je me dis en entrant dans ce manoir fût «Fyou, je suis terrifié, c’est pour quand les momies ou les squelettes? ». Je vis le couloir puis une intersection, je pris le côté gauche en premier, il y avait une jolie bibliothèque avec une petite bible par terre je la pris, le prêtre de notre chapelle d’Esperanza serait content quand il verra ce que je lui ramènerais. Puis en prenant la bible je me redressais et vis un visage hideux me regardais droits dans les yeux, ses dents étaient toute pourris et il avait une de ces haleines qui vous détruisent les narines, on voyait juste un œil l’autre étais cacher par un bandage qui ne dater pas d’hier, je reculais un peu et regardais la personne dans son ensemble et dis à cette étrange personnage : « Désolé je n’ai pas de bandage sur moi donc je ne peux pas vous remplacer ceux que vous porter en ce moment ». Le malade me regarda d’un drôle d’air et émit un étrange son en me fonçant dessus, je me pris son point en pleine figure et fût assommé je me réveillais et vis une rousse au visage avenant me soigné je rougis devant elle mais elle ne vit pas mon visage à ce moment à mon grand soulagement, elle s’appelait Aphraël, elle me dit cela pour me calmer en me voyant me réveiller puis me dit de me calmer. Après m’avoir soigné elle me laissa là et je la remerciais au passage pour les soins puis elle reprit sa route tranquillement. Ce manoir étais bien hanté en fin de compte, je resterai sur mes gardes à l’avenir, la prudence s’impose. Je poursuivis, après la bibliothèque il y avait un salon cela paraissait logique mais la cuisine, comme la salle suivante je ne compris pas trop pourquoi la cuisine était placée là, mais bon je me dis c’est comme ça et pas autrement. Je m’assis sur le tas de bûche car ma tête tournait un peu à cause du choc que j'avais reçu précédemment, soudain je crus que le mur s’écroulait et je me retrouvais sur le cul dans un nouveau lieu, je ne voyais plus la cuisine. L’endroit était plutôt sombre et il faisait chaud. J’avançais doucement et vis un pont je le traversais et m’aperçu tout d’un coup d’où provenais la chaleur il y avait de la lave au lieu de l’eau sous le pont. En poursuivant ma route je vis des pointes sur le sol avec un homme empalé dessus, sa tête était traversait par une pointe qui lui ressortait pas l’œil, 3 piques dans le bide et 1 sur une jambe, il avait les tripes à l’air qui coulaient le long de son ventre, le cadavre étais entrain de se putréfier, le pu ressortait, je m’en allais vomir dans un tonneau vide en voyant cette scène. Je passais ce lieu en regardant ailleurs en me sentant encore un peu secoué à cause de ce que j’avais vu à l’instant. Je vis alors une araignée géante devant moi, je n’avais pas fais gaffe aux toiles d’araignées sur le passage, je vis l’énorme bête qui barrait le passage et je suis devenu soudain croyant au cas où je me retrouverais au Paradis.
Peter
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15/06/2007
Posté le 06/08/2007 à 19:11:19 

Le jour venait de se lever et je sentis l'air chaud et humide sur mon cou je venais d'apprendre la declaration de guerre anglaise à la France cela ne me réjouissait guère car je ne pouvait pas encore pouvoir prétendre jouer un rôle dans celle ci car il fallait bien le reconnaitre j'étais faible et sans défense, mais je me mis en route vers NK dans l'espoir de pouvoir faire quelques chose d'utile. Lorsque j'arrivai dans ma ville il me semblai que la ville n'était pas organiser comme elle aurait du l'être en temps de guerre pour affronter les français. Les jours passaient lentement comme pour ralentir le début de la guerre qui était pourtatnt inévitable. Lorsque le jour j arriva je me déplacai avec mon materiel de combat pour garder une tour et empêcher la prise de cette tour par les français. Nous attendions patiement l'arriver de nos ennemis en scrutant l'horizon c'est alors que nous les entendîmes : La terre s'était mise à trembler et la peur envahit soudaint mon esprit mais je compris trôt tard que j'allais être massacrer ainsi que nombre de mes camarades. Je vis mes amis tomber au combat si jeune, je ne voulais pas connaître le même sort funeste. Je vis un français arriver vers moi , je l'inspectai visuellement et voyai qu'il était bien plus experimenter que moi à l'art du combat. Il se jeta sur moi et brandit son épée, près à me décapiter. Je parai ces coup du moins les premiers car quelques instant plus tard je me fis embrocher par son épée mais fort heuresement le coup n'était pas fatal et j'entendis alors un cri mon agresseur était à terre et pissait le sang, je me retournai pour voir à qui je devai la vie et m'aperçut que c'était Sire William Lavie. Il se jeta de nouveau dans la mélée avec un hurlement de rage, il tua nombre de français mais ne put éviter une balle dans la tête qui le tua sur le coup. Sire William Lavie n'exstait plus, je ressentis un énorme chagrin due à la perte de l'un de mes compagnons et dans une folie pssagère me jetai sur les premiers français que je croisis. Je reçu un coup sur la tête et sombrait dans le coma. Lorsque je m'éveillai j'étais dans l'hopital que je connaissais si bien désormais...
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Posté le 06/08/2007 à 20:27:50 

Le soir arrivait, j’avais fouillé tout le manoir, pas une trace de mon ami Peter dans se bâtiment. Je commençais à me demander si il ne lui était pas arrivé un gros problème depuis le temps que je n’avais pas de nouvelle de lui. Je devins soudain nostalgique et je repensais à ma sœur morte si jeune il y a de ça 4 ans, j’eu du mal à retenir mes larmes, je n’avais plus pensé à elle depuis tant de temps. Erika la sœur que j’avais tué et auquel je tenais plus qu’au reste de ma famille, ma première victime alors que le but était mon père, j’avais touché ma sœur, à cause de cette balle qui s’était égaré et avait épargné mon père ce lâche. Cette nuit là j’eu du mal à dormir torturer par les souvenirs de ma sœur. Plusieurs jours plus tard : Je reçu une lettre de Peter, il se trouvait à l’hôpital après une bataille près d’une tour dont il ne précisait pas l’endroit. Je me dis en lisant la lettre « Au moins, je sais où il est l’éclopé maintenant » en souriant puis soudain je fus intrigué par le passage où il parlait de Sir William Lavi, il m’avait dit que Lavi était mort, je pense que c’est la peur dont il parlait qui lui a fait voir son ami. Je pris un parchemin que j’avais demandé un homme pas loin qui accepta gentiment de m’en donner un, je lui donné l’argent pour le parchemin et le remercia, tandis qu’il partait. J’avais écris dans ma lettre à Peter que je lui proposais de me rejoindre pour que l’on s’entraine ensemble au manoir avec les vieilles momies et squelettes du coin. J’avais une nouvelle technique à lui apprendre en escrime, bien qu’il avait plus de force que moi il maniait un peu moins bien sa lame que moi la dernière fois que je l’avais vu, bien que je pense qu’il se soit améliorer depuis le temps. Je me sentis plus léger une fois ma lettre envoyait et apportais par mon fidèle Itis. Je repris mon entrainement avec une envie de devenir plus fort encore car je ne voulais pas faire la même erreur qui fut il y a 4 ans de tirer sur Erika au lieu de tirer sur mon père.
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Posté le 11/08/2007 à 17:09:50 

Comme d'habitude je marchais seule, l'esprit remplis de souvenir. Je ne m'étais pas fais vraiment d'amis depuis mon arrivé sur l'île, en dehors de Olof et Peter je connaissais à peine quelque gens. Je marchais sans but dans ce manoir dans l'attente de mon ami Peter disant qu'il me rejoindrait. Plus j'avancais et plus j'entendais « sale paria » ,« traitre à ta patrie », tout cela étais dans ma tête, je le savais mais seulement j'avais l'impression que tout le monde me disait ça. Je commençais à devenir fou jusqu'à ce qu'un acte lâche dont je fût la victime se produise, Davy Jones m'attaqua par derrière, il s'en pris plus que je ne m'en pris, « il n'est vraiment pas doué en escrime » me dis-je tout bas. Ensuite il s'enfuit avant que je ne l'achève, il m'avais un peu blessé mais pas beaucoup, je me mis mes bandages sur mes plaies et repris ma route, je retournais là où j'avais tué cette énorme araignée. Je fis une pause à cause de mes blessures et m'endormis. Quelques heures à peine après je me réveillé mais pas là où je m'attendais, j'étais dans la zone de repos du manoir, ce lieu où on amené les blessés du manoir. Une infirmière m'appris que c'étais un anglais qui m'avais blessé comme cela et que je devais attendre au moins une journée avant de pouvoir repartir, le temps de me remettre des blessures les plus graves. Je répondis à l'infirmière avec un grognement. Le lendemain je vis Davy Jones et la première chose que je fis fût de lui foncer dessus, ça ne pouvait être que lui qui m'avais attaqué durant mon sommeil car il avait perdu face à moi une première fois il était venu se venger la nuit. Il n'eut pas le temps de dire « ON M'ATTAQUE » qu'il était déjà allongé, ko. Quand soudain je pris conscience que je m'étais rabaissé à son niveau, je m'en allais du Manoir en courant je ne savais pas où allais, j'allais là où mes jambes m'emmenais, vers Esperanza. Mais je me souvins tout d'un coup que je n'y étais plus le bienvenu. A cet instant je me dis, comment ça a pu dégénérer à ce point là ? Je deviens désagréable avec tout ceux qui m'entoure en plus de ça. Au départ je voulais juste rejoindre mon ami Peter en angleterre seulement la lettre que j'ai envoyais au gouverneur pour ma demande de naturalistion pour devenir anglais fût refusait, je n'en voulais pas vraiment à ce gouverneur sur le moment puis ensuite sa c'est changé en haine que j'ai ensuite tournais vers Lady Meredith la juge anglaise à cause de son acte le jours du pillage de la confrérie. Par la suite je n'ai plus voulu devenir anglais, je ne voulais point me retrouver avec celles que je considérais comme des harpies, des gêneuse, ... Je ne voulais pas redevenir espagnole parce que je serais passer pour un abruti, alors je me suis dit la hollande serais le plus judicieux dans mon cas je pourrais haïr qui je voudrais chez les anglais, je ne voulais point d'une nation ayant trop confianse à son pna alors devenir hollandais me parus la nation la plus judicieuse dans mon cas. De plus j'admirais de nombreuse personnes qui étaient hollandais, alors j'ai envoyé ma lettre à la hollande, ensuite ils m'ont accepté et on dit que le temps de s'occuper de la paperasse cela prendrait une semaine. J'ai envoyais une lettre à Olof pour lui dire ce qui c'est passé.Et voilà maintenant où j'en suis. Je m'éloigne de Peter au lieu de me rapprocher de lui...
RIP
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Posté le 12/08/2007 à 14:21:41 

Dans la nuit alors que je veillais au près d’un feu de camp que j’avais fait pour me tenir chaud je vis un jeune espagnol aller vers moi, c’était El Dadou, il voulait me défier pour voir ce que je valais, résultat des courses il perdit mais me demanda une revanche quand je ne serais plus paria, je lui dis que j’acceptais. Puis il reprit sa route vers le manoir qui au départ était son but. Après le départ de Dadou je m’allongeais dans l’herbe regardant le ciel. Toujours ce gouffre en moi, cette impression qu’il me manque quelque chose : des amis sur qui compter. Alors je me mis à me traiter de tous les noms pour mon côté insociable. J’avais des choses à dire mais ne pouvais les dire, à cause de ma peur des autres ces derniers temps. Bien sûr comme je ne pouvais faire 2 répliques sans que l’autre le prenne mal je n’étais pas très avancé. J’arrive à être agréable qu’avec 2-3 personnes en dehors d’Olof et Peter, je pris mon tromblon le pointa sur ma tempe et tira. Il ne se passa rien, mon arme n’étais pas charger… Alors je me dis que la mort ne devait pas encore me prendre et je m’endormis en essayant de me vider le crâne (sans ambiguïté) de tous souvenirs, de faire le vide dans ma tête. Le matin même, je retournais au manoir, de toute manière aucun endroit ne m’étais autorisé pour le moment. Une fois au manoir je vis ce que j’aurais préféré éviter, le Gouverneur espagnol, il n’avait pas accepté ma demande de circuler en territoire espagnol, je me fis petit pour essayer de passer sans qu’il ne puisse me voir. Je réussi à passer sans problème mais ne savait si il m’avait vu. Il fallait que j’essaie de faire connaissance avec les gens trainant dans le manoir pour éviter de penser à ce qui me tracassais, mais à qui parler, qui m'accepterai telle que je suis ?
RIP
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Posté le 16/08/2007 à 18:20:23 

Me baladant dans le manoir à la recherche de momie, toujours sans nouvelle et sans amis. Je ne savais comment m’adressais à quelqu’un sans le gêner. Il me fallait un maître dans l’art de la diplomatie pour m’aider à parler à quelqu’un sans bafouiller. La vie me paraissait bien cruelle parfois. Pourquoi ce problème pour m’exprimer avec les autres? Je m’excluais moi-même en ne pouvant leur parler. L’honneur est une chose que je perdais ces derniers temps de plus, à cause de mes pulsions meurtrières qui me prenaient puis repartaient aussi vite. Et je me retrouvais avec du sang sur les mains sans savoir à qui il appartenait. Mon idée fut après la dernière crise de m’éloigner des lieus publics pour le moment jusqu’à ce que je parvienne à maitriser mes pulsions. Je décidais donc de partir de ce manoir qui aurait pu m’aider à améliorer mes capacités de combattant pour des endroits moins fréquenté dès que je me serais panser mes propres plaies. Je me décidais de mener en quelque sorte une vie d’ermite. La dernière vision du manoir que j’ai est celle du Duc Théodore Chambray quand il m’a soigné et passé une rose de la paix pour montrer ces bonnes intentions. Après, c’est le grand vide. Je suis à 3h de marche du Manoir et je n’ai aucun souvenir d’avoir fais ce trajet, j’ai les mains couvertes de sang, encore une fois j’avais tué quelqu’un qui n’avait rien fais. Je ne sais pas qui j’avais tué cette foi-ci mais j’espérais ne pas lui avoir causé trop de souffrance bien que cela soit sûrement le cas car je ne sais pas très bien maitriser mon arme et donc je mettais beaucoup de temps à mettre un adversaire à terre… Mais qu’est-ce que je deviens ? Un homme sans honneur, un simple brigand ? Je deviens fou. Si cela continu il y aura un nouveau boucher parmi les gens de Liberty, sa n’est vraiment pas ce dont le monde à besoin sur cette île. J’arriverai à mettre un terme sur ces trous de mémoire et ces meurtres, je m’en fis le serment en passant sa lame sur le long du bras gauche pour ne pas oublier ce serment, pour lui laisser une marque qui lui rappellerait sa décision de cette journée.
RIP
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Posté le 24/08/2007 à 10:12:05 

De nombreux jours on passait depuis ce serment, mais les moments d’où je ne me souviens de rien dit « black out » ne me sont point arrivés depuis longtemps. Je n’en suis pas peu fière bien que ce genre de chose ne se contrôle point. Je suis devenu un hollandais à part entière, bien que je me méfie tout de même car considérer comme une « pièce rapporter » il ne faut pas que je crois que ma place soit fixe, le Gouverneur me l’a bien expliqué clairement afin que je ne fasse point l’idiot. Peter ne m’a toujours pas renvoyé de réponse à mes nombreux messages. Je vais lui dire mon vrai nom cela est décidé même si je n’ai pas de réponse je vais lui dire car lui a toujours était franc. Je me nomme en vrai Silk qui veut dire de là ou je viens « soie » mais aussi « éminence grise ». Ma famille autrefois était une famille marchande mais nos talents de marchandage sont devenus quasiment nul depuis que mon grand-père c’est occupé de l’entreprise familiale, notre entreprise à couler et nous nous sommes rabaissés à servir les autres d’une tout autre manière qu’en vendant. Tout comme mon grand-père l’art du marchandage met complètement inconnu mais je compte remédier cela à l’avenir si cela est possible… Toujours est-il qu’en ce jour je suis dans le phare de Liberty à m’entrainer contre les brigands. Je rumine mes pensé et cherche à devenir plus fort comme toujours pour pouvoir aider ma nouvelle patrie. C’est brigands sentent aussi bon que les momies du manoir et sont aussi débiles que les squelettes. Quand à leur dentition nous pouvons en parler au passé vu ce qu’il reste. Leur intelligence est aussi brillantes que celle de mes pieds autant dire aussi que leur haleine est pareil que celle de mes pieds les jours de forte chaleur. Je marche telle un errant en ce jour.
 

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