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Les épreuves du Liberty's Men -1- 2 3  
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Doña Kassandra Dellago
Doña Kassandra Dellago
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30/03/2007
Posté le 20/06/2007 à 08:32:33 

Elles avaient reçu une foule de demande d'inscription, certaines avaient fait rire la française, d'autres l'avaient laissé perplexe. Mais toutes les inscriptions furent dument enregistrées et classées. Il était temps pour le jury de lancer les épreuves du concours, elles écrivirent alors aux candidats ceci: "Cher candidat, Votre inscription enregistrée, vous pouvez participer au concours en lui même. Il se déroulera en deux épreuves sur lesquelles vous serez jugé et évalué. La première consistera à réciter un poème de sujet libre, laissez donc votre imagination nous ravir. La seconde sera un défilé, là ce seront nos yeux que vous devrez charmer. La date de cloture des épreuves est pour ce dimanche à 00h00, si vous devez nous réclamer un délais pour raisons X ou Y veuillez nous prévenir le plus rapidement possible. En espérant votre présence, Le jury du Liberty's men" [HRP: comme précédemment, le flood est proscrit, un post par candidat en deux partit, l'un pour le poème, l'autre pour le défilé. Enjoy EDIT: Au vue du nombre de demande que j'ai reçu pour avoir un temps plus long, je repousse la limite à mardi 00h00 /HRP]
Dbsman
Dbsman
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28/10/2005
Posté le 20/06/2007 à 18:51:36 

*Dbsman, après avoir entendu les différentes épreuves, se dirigea dans sa loge pour écrire un petit poème. L'homme mettait tout son coeur dans ce futur chef d'oeuvre. Une fois terminée, il se changea puis avant de faire son entrée sur scène, adressa quelques mots aux différents concurrents* Faites place ! Premier à me lancer ! Je vais vous montrer ! *Dbsman entre sur scène* http://img513.imageshack.us/img513/2276/libertysmen5brs6.jpg Mesdames et Mesdemoiselles, Je vous ai concoté un poème qui marquera vos esprits à tout jamais. Je suis persuadé que lorsqu'à 55 ans vous serez enceinte, vous lirez ce magnifique poème à l'enfant qui se trouvera, normalement, dans votre ventre. Je suis sûr que lors d'un moment de doute, lors d'un moment de tristesse, vous lirez ce poème. Je mettrai ma main au feu que lorsque vous serez malheureuse d'avoir abattue malencontreusement une biche, vous lirez ce poème *Petit temps d'arrêt* à la biche. Enfin voilà, cessons le suspense et laissons place à mon poème : *L'homme prend une grande inspiration, regarde chaque membre du jury, puis se lance* Oh mes chères membres du jury, Que je vous les chante ou les crie, Ces mots que je vous adresse, Seront tel, je pense, des caresses. *L'homme relève la tête car il a finit son exceptionnel poème* Voilà, j'ai finit. Ne vous avais je pas dit que mon poème était tout bonnement sensationnel ! Rangez vos mouchoirs s'il vous plait, je ne voudrai pas que mes adversaires voient tous les points que je viens de marquer. *L'homme se retire de la scène pour se préparer à défiler devant le jury. Les jeunes femmes patientaient. Une heure après, Dbsman arriva enfin sur scène* http://img525.imageshack.us/img525/8733/libertysmen4bbzm1.jpg *Toutes les femmes sont, semblent ils, choqués. L'homme regarde sa tenue, puis dit tranquillement* *Montre la tâche de café* Oui alors ça c'est le café de ce matin. Je ne voulais pas dormir tout nu sachant qu'il y a des petits coquins parmi les candidats alors j'ai mit cette tenue. J'ai malencontreusement fait tomber du café sur cette dernière. *Montre les traces de mains puis rit* Ces traces sont d'avant. Je voulais aller boire un coup à la taverne d'à côté, mais il y a un homme qui m'a traité de, je cite, "Bouc". *Se touche la barbe* Evidemment, j'ai répliqué en le traitant d'âne et c'est ainsi que nous nous sommes battu. Le voyou, il a saccagé ma robe. *Dbsman admire les traces de mains puis observe le jury. C'est alors que d'un seul coup, l'homme arrache sa tenue et l'envoit avec grande maladresse par la fenêtre, dans la boue, près des cochons. http://img258.imageshack.us/img258/3332/libertysmen7bfu0.jpg J'espère que cela vous plait mesdames et Mesdemoiselles ! Je l'ai cousu moi même avec des poils d'ours. *Après avoir montrer son maillot de bain au jury, Dbsman fait un petit clin d'oeil à chacune des membres puis s'en va en passant devant ses adversaires. L'homme leur adresse quelques mots* Qu'est ce que vous dites de ça !
Pedros 'Aigri et seul contre tous'
Pedros
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21/08/2006
Posté le 20/06/2007 à 19:26:52 

*Pedros s'approcha du jury. Puis vacilla une fois. Une deuxième. Une troisième. Il était certain qu'il avait abusé d'on ne sait quelles substances.* http://www.hiboox.com/image.php?img=hfanakay.jpg Un poème pour quoi faire ? Depuis quand un homme a besoin de ça pour vous plaire ? Un homme, un vrai, est là pour vous protéger, Au creux de ses bras vous vous réfugiez. Un coup de tatane aux bandits Et en récompense vous lui touchez le zizi. Oh blasphème, le jury ne vas pas aimer Que je parle de façon si crue de la vie rêvée. Loin de moi l'idée d'me vanter, Mais avec la Baronne d'Olympie J'ai appris quelques trucs posés, Pour monter au 7eme ciel de façon easy. Je suis prêt à prendre rendez-vous avec chacune de vous, Pour vous prouver ma bonne foi, Chacune son tour ou bien toutes à la fois, Je n'ai pas de souci car chez moi rien n'est mou. Vous avez pu remarquer mon franc-parler, Car pour être un Liberty's Men faut assurer. Ne pas mentir est un des piliers, Être bien membrer est un autre pilier. *Pedros se grille une cigarette, regarde le jury dans les yeux et leur sourit:* http://www.hiboox.com/image.php?img=ekw165tp.jpg Alors pour ce rendez-vous ça marche ? Rassurez-vous si c'est non, Je ne ferais pas tâche, Et m'en irais avec distinction. Mais pour vous prouver ma valeur, Me voici dans toute ma splendeur. Avec moi, les femmes verront la vie en rose, Non vraiment le mieux est de voter Pedros. *Pedros repartit en s'allumant une nouvelle cigarette...* Faut vraiment que je pense à en racheter... Ou en squatter à Magdalena... héhé http://www.hiboox.com/image.php?img=o3dnqnm5.jpg
La Verve
La Verve
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10/07/2006
Posté le 20/06/2007 à 19:34:36 

Van Ray Vaughan s'approcha du jury, très mal habillé, plein de boue, de mouches et autres insectes dégoutants. -Mesdames du jury, je ne vais pas défiler ni vous offrir un poème. Je viens de me rendre compte que ce concours n'était pas fait pour moi. Désolé d'avoir pris de votre temps. Des rumeurs racontent que certains candidats auraient émis des pressions sur le canon de beauté qu'est Van Ray Vaughan afin qu'il de désengage.
RIP
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Posté le 20/06/2007 à 20:09:43 

*Shadow s'empressa d'écrire son poème pour ne pas faire attendre ce charmant Jury, composé des plus belles femmes de Liberty. * Rédigeant son poème depuis le trône de l'interieur du palais du Gouverneur Anglais : http://www.imagup.info/images/03/1182362650_siegegouverneur.JPG C'est un poème que vous souhaitiez ? Faites attention de ne pas chavirer ! Ne votez donc pas pour se Pedros acro de cigarette, Ou encore ce Dbsman qui ne fait que la girouette. Ce qu'il vous faut c'est un homme un vrai, Un homme qui sache vous charmer. Pas d’embrouilles man, pas de litiges, Si ma classe était contagieuse, je t'aurai contaminé. Faudrait m'éliminer, m'mettre en quarantaine, ou m’éloigner, Pour que les femmes ne soient pas toutes figées ! Ne me tente pas, j’aime trop les femmes pour être honnête, La luxure m’aura à l’usure peut-être L’espoir et l'amour dans tout ça que sont ils devenus ? Je les ais vu partir a cette guerre mais n'en sont par revenus Si mon parcours n’a rien d’héroïque, Fallait que je maîtrise les mots pour me défendre, Car si t’as pas les mots t’es pas sur de te faire prendre Viens avec moi tu vera j'aurais la trique ! Au cours d’une vie y a tout un tas de trucs qui s’oubli pas Faire l'amour avec Shadow fait parti de ses choses là... Et pour vos beaux yeux, me voila en train de combattre un des plus féroces zombie : http://www.imagup.info/images/03/1182363463_bataillezombie.JPG Shadow !
Thamior Naïlo, de retour
Thamior Naïlo, de retour
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31/03/2007
Posté le 20/06/2007 à 21:31:37 

Thamior Naïlo reçu un perroquet venant de Kassandra. Celui-ci indiquait les épreuves qui devront être réalisé pour le jury. La première consistait à écrire un poème et la seconde, de faire un défiler. Il se mit à réfléchir quel poème il pourrait leur écrire… Aucune contrainte n’était donnée ce qui compliqua la tâche. Thamior ne se laissa pas impressionné par la tâche et rechercha une idée, une inspiration. Dans le milieu de la journée, il eut enfin un déclique et sortit de son sac un parchemin, un fusain, une plume, son encrier et un support solide. Il s’assit les genoux croisés et se mit à écrire. Il du faire plusieurs essais au fusain avant de trouver les mots qui convenait ou du moins, qu’il espérait convenir. Sur le parchemin final, il était écrit les quelques vers suivant. « Très mal en point je t'a trouvé Et des soins je t'ai prodigué D'amitié nous fûmes liés Des aventures partagées Mon aide je t'ai proposée Avec joie tu as accepté Très nombreux furent les chemins Que nous fîmes main dans la main Puis dans un beau lieu isolé Toi et moi nous sommes approchés Dans ce repère mal famé La paix ton âme a retrouvée Mon coeur n'a cesse de t'aimer Et l'amour je t'ai apporté Thamior Naïlo, dévoué serviteur. » Le poème était cours mais il venait du cœur et c’est tout ce qu’il comptait pour lui. Il devait maintenant songer au défilé… Chose peut facile pour lui, il avait plutôt l’habitude de défiler entre les patients et les malades afin de les soigner. Jamais il n’avait songé et même penser qu’il devrait défiler pour séduire. Il se songea durant de nombreuses heures à comment séduire le jury, aussi exigeant que celui la. Il eut enfin une idée, une idée qui selon lui allait plaire. Il se rendit au lieu ou les épreuves se déroulaient. Il était habillé d’un pantalon blanc, d’une tunique bleue et d’une cape rouge pourpre d’un côté et bleu avec trois fleures de lys dans le dos. Il portait dans sa main droite un parchemin et dans sa main gauche, cinq roses rouges. Il s’avança lentement puis salua gracieusement le jury dans un geste digne des salues qui sont offert au Roy qu’il accompagna de ses quelques paroles «Bonjour à vous, noble jury. Vos beautés communes illumines ses lieux ». Il lut le parchemin à haute voie tout en avançant vers le jury. Il leur déposa une rose devant chaque membre du jury tout en leur faisant un clin d’œil charmeur accompagné d’un sourit angélique. Le poème finit, il déposa le parchemin sur la table. Il se retourna pour aller vers la sortie et à mi chemin, il se retourna pour leur envoyé un baiser à chacune d’elle accompagné d’un nouveau clin d’œil et prononça « En revoir à vous anges d’un jour, je fus ravie d’avoir pu vous côtoyer même qu’un moment. Bien à vous et porté vous bien » puis repartit.
el Valiente del Clacos
el Valiente del Clacos
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05/04/2006
Posté le 20/06/2007 à 22:33:42 

Valiente monte sur le podium. Il était seul pour le moment mais il voyait des gens s' approcher de lui. Une foule commence a s'amasser autour de lui, s'écartant de son passage afin de laisser place a une estrade imaginaire ou il peut défiler devant les jurés. Il apercoit au loin une femme en détresse il s'empresse de lui porter secours. Le dieu de l' amour se doit de sauver les femmes dans le désarroi en mal d'homme qui puisse la satisfaire. La réveillant cette femme tomba immédiatement amoureuse de l' espagnol. Elle rejoint alors la foule suivant atentivement Valiente défilant devant le jury. Arrivé devant eux, Valiente tend une lettre rose a chacune des femmes. Je voudrai m'adresser a ces dames Celle qui composent ce jury Ainsi qu'a toutes ces femmes Qu'abrite liberty. N'en avez vous pas assez de voir Vos hommes rentrer le soir Transpirants de violence Souriant de la transe Qui succede aux combats ? Ce n'est que loin de vos bras Qu'ils consacrent leur temps Qu'ils savent être patients Plus que dans vos ébats. Je viens vous porter secours Mon corps a toute épreuve Des défis les plus torrides Vos fantasmes sont autant de preuves De cette gymnastique insipide A laquelle se livre vos hommes Vos amants vos balourds. Laissez moi deviner vos contours Combler vos désirs Vous n'avez pas mots a dire Valiente excelle dans cet art Laissez moi vous guider Je suis l' unique phare Qui vous menera a l'amour. Sans mot dire, il fait demi tour et repart vers Esperanza, ville de l'amour. (HRP désolé si mes images sont trop grandes, si besoin je les redimentionnerai)
Cap'tain Brook
Cap
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15/01/2006
Posté le 21/06/2007 à 04:57:53 

Après le passage de Valiente, un silence envahit la salle... Il semblerait que le prochain candidat à venir présenter son poême soit l'Idole des Femmes, la Star du Black Beer Pub, la Terreur de Liberty : Yonkon. Tout le monde attendait, semble-t-il son arrivée, on entendait un peu partout des chuchottements qui montrait l'impatience des spectatrices. Quand tout d'un coup: "Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!!!!!!!". Yonkon fit donc son apparition sur la scène...Cette fois ci, il avait décidé de porter la tenue qu'il porte tous les jours. Son torse, toujours aussi bien bati, était quelque peu caché par sa belle veste rouge qui pendait sur ses épaules...Avec sa démarche ravageuse, il se dirigea vers la table des Jurées tout en envoyant de tendres baisers aux femmes qui ne cessaient de crier son nom. Puis il se pencha avec courtoisie pour saluer les six belles demoiselles qui étaient face à lui. Quand il se remit droit... "Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!!!!!!" La veste que portait Yonkon sur ses épaules tomba tout d'un coup et forcément, les femmes criaient de plus en plus fort à la vue des tablettes de chocolat qui mettaient en valeur le ventre de leur Héros. "Excusez moi un instant!!!"dit-il avec sourire au coin des lèvres Yonkon se retourna et... "Ahhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!" ...se baissa quelques secondes pour ramasser sa veste. Les femmes semblaient de plus en plus folles à la vue de ce postérieur bien ferme... le brouhara se faisait de plus en plus intense. Si intense que Yonkon dut demander à tout le monde de se calmer pour pouvoir réciter le poême qu'il avait préparer avec amour...Quand le silence arriva, Yonkon récita alors son poême : Yonkon, Je m'appelle Yonkon. Je suis un garçon, Pas comme les autres. Yonkon, Les filles aiment mon nom. Elles crient mon prénom, Comme toutes les autres. Je voudrais leur faire l'amour, Simplement leur faire l'amour. Yonkon, Si tu m'trouves mignon, Que tu m'trouves canon, Ne fais rien d'autre. Yonkon, Sans mon pantalon, Et même sans caleçon, Je serai des votres. Je viendrais vous faire l'amour, Simplement vous faire l'amour. Yonkon, Je toucherai vos nichons Vous me direz qu'c'est bon comme toutes les autres. Yonkon, Faites très attention, Suis pas un cochon, Comme tous les autres. Je ne veux qu'être votre amour, quand vous chercherez un amour. Le poême de Yonkon remplit d'émotion la totalité du public...Non seulement les femmes avaient les larmes aux yeux, mais en plus, elles devenaient totalement hystériques... Certaines d'entre elles jetaient même leur culotte sur le podium. Après avoir repris ses émotions, Yonkon retourna alors s'assoir à coté des autres candidats, sans bien sûr oublier de saluer le public et le Jury. [HRP] Pour les plus vieux d'entre vous : http://www.youtube.com/watch?v=xPm8LJUZDAc . Je sais que ça vous rappelle de très bons souvenirs [/HRP]
Tout Jaune "Peau Morte"
Tout Jaune "Peau Morte"
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23/03/2006
Posté le 21/06/2007 à 18:29:42 

Tout Jaune arrive face au jury, il a la méga patate mais est très stressé par l'enjeu. Les regards et le jugement d'une armée de femme lui faisait infiniment plus peur que tous ce qu'il avait pu vivre sur le champs de bataille. Il regarde le jury de face et se dit à lui même : Allez bonhomme Spectacle Puis jette sa veste et se positionne de profil. Il entreprit ce qu'il savait très bien faire... se la péter avec son jeu de jambe de détraqué du ciboulot. Quelques gestes, une pause, quelques geste, une pose, on se retourne... Yah ah! la tonicité mes dames, la tonicité. Dit-il en continuant sa gestuelle dansante. On aperçu quelques membres du jury hocher de la tête au rythmes des mouvements de Tout Jaune. Attention tout de même au limbago. Le bruit de ces pas sur le sol faisait resonner dans la pièce, un hymne sensuel et entrainant. Ce déhanché, qui a si souvent fait choire les armes, fera t-il tomber ces femmes? Il s'arreta net dit tout doucement, quelque peu bredouillant : Quelquefois les cheveux en pagaille, Retour du champs du bataille, une nuit sur la paille, Oh oui, ça fait un baille. Quelques fois fragile Parfois homme facile Pas mal habile Oh lalala, ces filles ! Quelquefois si seul Parfois elles m'en veulent Oui mais... si seule Oui mais si seule... Quelquefois si drôle a jouer son rôle Oh oui... Si drôle Regard qui frôle... Quelquefois j'aime rire car je n'ose ecrire, ni même vous dire, Je vous désire. Subjugué par cet emballement lirique surprenant,il se sentit gêné. Il s'arreta net et regarda l'ensemble du jury et Tout Jaune Rougit. Il se baissa, repris sa chemise et quitta la pièce sans faire le moindre bruit.
El Bibi
El Bibi
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06/01/2007
Posté le 24/06/2007 à 01:23:43 

Mademoiselle, *El Bibi regarde Kassandra et pense aussitot a l'histoire qui unit Kassandra et Don Djezous* Mademoiselle puis-je vous faire un poème qui parlera de vous et de Djezous? Le voici vous me direz ce que vous en penserez. J'espère que le reste du jury ne serra pas trop offensé que je ne parle que de Kassandra mais l'inspiration d'un poète ne se commande pas et le sujet est libre.. *s'éclaircit la voix* humm humm humm Vous êtes sa carte favorite, celle de la passion. Le rêve est empli de liberté et d'espoir, il vous enivre et décuple vos sensations. Quand il s'evanouit, le vide vous envahit, votre coeur se durcit et s'enveloppe de pierre dense et massive. Avec le temps, elle s'épaissit et seul un nouveau rêve puissant peut la détruire, s'il n'est pas trop tard... Puissiez-vous rêver ma belle, indéfiniment. Pour ma part, je ne rêve plus. J'espère que vous aimerez ce poème contenant une partie de l'amour qui vous concerne. Le fait que ce poème soit en vers libre représente la liberté de l'amour qui vous unit. Comme me l'avais dit un vieux sage Espagnol : "L'Amour ne cherche pas à définir. Il est ce mouvement qui invite, ouvre, inclut et autorise. L'Amour est illimité" Je tiens a vous dire que je ne suis guère doué pour les parades, je n'ai point l'habitude des défilés, je vais donc essayer de prendre la pose. *El Bibi sort son empaleuse, tente vainement de prendre oune vaillante pose et affiche son meilleur sourire* *rengaine son empaleuse salue de son chapeau le jury en se courbant* Que le meilleur gagne dit il a l'assemblée. [HRP Je tiens a signaler que j'ai eu quelques soucie pour réussir a afficher la photo donc si vous souhaitez voir la photo initial avec les bonnes couleurs contactez moi... Sinon bravo a tout le monde car vraiment c'est du boulot de faire des petits montages..]
Bobby
Bobby
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29/04/2007
Posté le 24/06/2007 à 17:14:01 

La soirée était froide, mais Bobby était chaud. Debout sur l’estrade, Bobby se mis de dos. http://youtube.com/watch?v=pWG6GAmVxqg Bobby leva les bras en l’air, puis il se retourna. Bobby fait le beau, et se mit a hurler ces quelques mots. Une vie à être dévoué, rien qu’une nuit pour le prouver. Bobby aime la vie, et Bobby sait comment se faire aimer la nuit. Oh, mesdames, vos désirs ultimes, Bobby les comblera. Oh, mesdames, vos parties intimes, Bobby les comblera. Jusqu’au plus profond de votre âme, Bobby vous hante par sa présence. Jusqu’au plus profond de votre corps, Bobby est jouissance. Une nuit pour le prouver ? C’est a vous de décider. Venez voir Bobby, et Bobby vous fera voir !!! Bobby a fini.
Redline de Bourbon (Chirurgien)
Redline de Bourbon (Chirurgien)
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27/11/2005
Posté le 24/06/2007 à 21:40:33 

Discrètement, très discrètement Redline le mal aimé, monte sur les planches, sans image puisque depuis toujours il la montrait à gauche.... Pourquoi se cacher... Il n'était pas inscrit, mais au diable... Il sentait bien que les juges ne s'intéressaient pas à lui, mais son but est de plaire à la seule personne qui l'applaudirait. Beau le ciel ... Chanson poétique. Beau le ciel fêtant notre amour Bleu et blanc il porte l'oiseau Qui conduit ce rameau chaque jour Vers le bonheur que c'est beau Comme cette vague aux embruns de lumière Il vient s'abandonner sur le sable blanc Et son ressac donne la force à cette terre Qui fertilise l'union de ces deux enfants Toi tu n'es qu'une fille de l'ombre Qui dévore la vie avec tes yeux amandes Moi le soleil qui fait briller cette fibre Qui va tisser notre amour à la ronde Sur ce sable notre amour est sans frontière Il est pour ceux qui ont un coeur d'enfant Loin des hommes de guerre et de la misère Qui pensent détenir les brides du temps Regarde au dessus planer cet oiseau Il porte le rameau et l'espoir De notre amour par dessus les eaux Comme le soleil il va chasser le noir Beau le ciel fêtant notre amour Bleu et blanc il porte l'oiseau Qui conduit ce rameau chaque jour Vers le bonheur que c'est beau Robert °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° Sur la plage... si si c'est vrai... bain de minuit et feu de bois... Et une friandise pour le plaisir des yeux et des oreilles. http://www.dailymotion.com/video/x1bd58_la-belle-nature °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Ric Dangerous
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Posté le 25/06/2007 à 00:00:34 

Ric Dangerous arriva dans la salle. Il était en retard, comme à son habitude. Il scruta les personnes présentes et de son sourire il salua les membres du jury. Il déposa doucement son couvre chef sur la table a laquelle s'étaient assises celles ci et d'un coup sec retira son épée de son fourreau qu'il planta immédiatement sur la table en bois ce qui fit sursauter les femmes. Il commanda un rhum et débuta en ces termes : « Mesdames et mesdemoiselles, je vous salue bien bas. Je ne suis pas venu pour une quelconque réputation mais bien pour votre plaisir et vos exaltations. » Il déboutonna alors sa chemise, laissant dévoiler son torse quasi imberbe. « Je vous couvrirais de miel ou de fleurs pour que vous puissiez oubliez vos malheurs. Sur les flots je vous emmènerais, et des histoire de pirates vous conterais. » Il but une gorgée de son verre de rhum. « Toute la nuit, je vous comblerais, et jusqu'au petit matin, sur vous, veillerais. Il me faudra ensuite m'éclipser, les maris jaloux ne sont point ma tasse de thé. » Il prit le sabre qu'il avait planté sur la table et effectua des pas d'une danse inconnue. Il se rappelait quelques mouvements sensuels qu'il avait copié à une danseuse à la peau mate lors d'un de ses voyages dans les caraïbes. Le sabre fendait l'air et donnait le tournis au membres du jury. Il fit des sourires à tout le monde et s'en alla.
Spectre de Don Branlouz
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Posté le 25/06/2007 à 10:03:50 

alors que la foule en délire n'attend plus que lui, don branl félicite les autres concurrents pour leur prestation et pour lui avoir chauffé la foule de cette façon... Détendu et calme le fier ibère marcha droit vers le jury se posa face a elles et les regarda les une après les autres dans les yeux durant un instant. puis s'incline * humm..hum senioritas d'el youry.. .. lé poème qué yé vous dédie, por plous dé chaleures né pouvais etre fait que dans ma langue natal..y lé voici. *un long silence fit place ..Mais don branl ne se rappelais plus que d'un seul chose" yonkon , je m'appelle yonkon " ..harrg. Quelle horreur ,ces airs nié qui vous occupe l'esprit pensa don branl . il ferma les yeux pour se concentré et déclama... Mate erigido, brazos ramant, nunca deja de ser amante a quien la marea engendra. Del rabias del oceant al élants de la pasión, bola de canones en fusión, al mareés del amante. * l'homme resta impassible et toujours aussi mystérieux Puis il s'en alla et revint dans de multiples aller retour pour faire admirer sa démarche si sensuel et son corps d'athlète assurément le jury ne pouvais que boire le moindre de ses mouvement, la plus discrète contraction de ses muscles, la plus petite élongation de sa chaire. Du moins il le croyait. señoritas y'espère qué vous avez passé oun bon moment en ma compagnie, y que vous en passerais bien d'autre
Ben Percétoile
Ben Percétoile
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Posté le 25/06/2007 à 13:47:31 

Ben prit un petit moment pour préparer son poème, il n’avait guère beaucoup de temps, il désirait n’être vu par personne, car alors que beaucoup écrivaient, lui ne savait ni lire ni écrire, ou il n’en connaissait pas assez pour que son écrit l’aide réellement, il devrait tout apprendre par cœur. Lorsqu’il fut appelé, il se dirigea sur l’estrade, il n’était guère habitué à ce genre d’exercice et prendre la parole en public l’intimidait quelques peu. Après une longue inspiration, il déclama calmement. « Lorsque le vent vient du nord Nous marins partons sur l’horizon Par delà les mers aux malstroms forts Vers nos destins à jamais voguons Toi ô dame aux mille délices Vient donc me retrouver sur le port Ton absence m’est un supplice Rendant mon cœur comme mort Par delà les horizons j’irai voir Ce pour quoi je fus fait J’ignore si un de ces soirs Le cœur d’une femme j’obtiendrai Mais si la tempête me vainc Si le cœur de ma poitrine est arraché J’espère que ce ne sera pas en vain Que je t’aurais cherché. Mon âge est faible par rapport aux marins Ecumant les mers aux horizons sans fin Mais mon amour est grand et n’est point Fait de toutes ces choses qui ne sont rien Par rapport à mon amour futur Des promesses comme beaucoup En font, desquels on ne peut être sûr Néanmoins laissez sa chance à un jeune fou Idéaliste de naissance, poète par nécessité Abandonné par un bâtiment au fond de l’océan Envoyé pourrir avec les miens maintenant décédé Part avec moi doux amour jusqu’au firmament. Et si demain déjà tu regrettes N’ai pas peur de me blessé A jamais je garderai un tête L’instant où nos lèvres se sont touchées Par nature j’aime plus que tout la mer Mère et sanctuaire de nombreux marins Mais si un soir tu désir écouter ces vers Dévoilé par mes lèvres et écrit par mes mains Sur ton corps pour les graver dans ton cœur Une nuit accordée déjà fera mon bonheur Qu’importe la fidélité que tu me porte Pourvu que mon image à jamais tu emportes. » Sans doute pousser par quelque excitation causée par la poème, le jeune Percétoile se risqua à faire un clin d’œil à l’assemblée et les petits rires pudiques qu’il causa le firent rougir laissant apparaître à la face du monde que ce garçon n’avait jamais réellement connu l’amour. Son poème illustrait bien les pensées utopiques et les espoirs chimériques d’un jeune homme désirant tout mais ne possédant rien. Le défilé fut d’un tout autre genre, les vêtements fournis avaient été choisis pour faire de lui un pseudo-aventurier, il ne restait pour le reconnaître que son petit sabre émoussé, et ses longs cheveux blonds qu’il avait tressé avec attention mais l’on voyait bien qu’il n’avait pas l’habitude. Un tricorne surmonté d’une petite plume discrète de couleur rouge, il portait de hautes bottes noires dont le haut avait été replié jusqu’en dessous du genoux. Sa chemise blanche ouverte jusqu’au centre de ses pectoraux était surmontée d’un manteau bordeaux aux bords noirs, une cape d’une couleur noir était passée sur ses épaules et recouvrait l’entièreté de son bras droit. La mine fière, le tint clair et les yeux aussi profond que l’océan qui n’exprimaient que désir d’aventure et rêves à atteindre parcourait la salle. Enfin, il tira son épée, ses gestes étaient précis et vif, fougue d’un jeune âge que beaucoup de vieux loups de mer espéraient retrouver. Il se fendait, reculait, fine lame qu’il était, après avoir exécuter de savants coups contre des ennemis inconnus et invisibles, jouant de la cape et de l’épée, il se retira, non sans avoir salué l’assemblée et embrasé les plus belles dames de l’assemblée du regard. Enfin, il se retira, sans un regard en arrière, il sourit en regardant l’horizon. *Il ne faut pas amarré un bateau avec une seule ancre, et une vie à un seul rêve* S’avoua-t-il en soupirant intérieurement, il ne restait plus qu’à attendre la lourde sentence qui ne devrait plus tarder.
Le Comte
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03/12/2006
Posté le 26/06/2007 à 12:43:08 

Cher Jury, Etant donnée ma candidature au poste de gouverneur et l'investissement politique nécessaire que je devrais fournir pour ma compagne électorale, je me vois au plus grand regret de devoir abandonné le concours, de crainte de n'avoir assez de temps pour satisfaire comme il se doit ces noble dames. Je me permet d'adresser un dernier poème pour l'achèvement de ma participation à cette épreuve Fil de Fer pris alors un regarde mélancolique No eres el sol Ni eres la luna Eres tu y my basta Bon courage aux candidats, et bonne chance au jury Fil de Fer
Jimi 'L'Artiste'
Jimi
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24/07/2006
Posté le 26/06/2007 à 13:17:19 

Jimi arriva au bureau du concours où siégeaient les ravissantes demoiselles du Jury. Il avait opté pour une tenue décontractée, en effet il allait visiter les plages du sud de l’île l’après-midi. http://www.hiboox.com/lang-fr/resultat.php?img=r5wpps5c.png&error=0 Ensuite il remit un papier sur lequel on apercevait des petits cœurs rouges sur les marges et qui dégageait une agréable odeur. Ce charmeur parfumait-il même ses écrits ? Et bien oui… Puis s’équipant de son plus beau sourire il raconta comment l’inspiration lui était venue en entendant les noms du Jury et comment il prit sa plus belle plume pour rédiger ces quelques vers. http://www.hiboox.com/lang-fr/resultat.php?img=htr0hzpi.jpg&error=0 La poésie c’est comme un concours, L’on cherche à donner le meilleur de soi, Malheureusement il y a un choix, Qui dépend de ces demoiselles du Jury, Où l’on trouve notamment cette chère Kassy. L’on trouve ce plaisir des yeux, Pour vous qui voyez ces corps musclés, Vous qui rendez le monde si bleu , Je pense à vous tendre Azalée. Un concours c’est comme la poésie, L’on s’évade à travers les mots, Le rêve n’est sans doute donné que par moi, Peut-être trouvez-vous cela chaud , Qu’en dîtes vous douce Annaera ? You’re beautifuuuuul Ji-Mi, Chantait le barde d’Esperanza, Doit-on toujours parler de modestie ? A vous de le dire douce Léa. Que serait ces lignes sans elle, Elle qui donne des ailes, Elle dont la mère se nomme Adélaïde, Ce vers est pour vous belle Tylde. Jimi, connecting women
Général Zapata
Général Zapata
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21/02/2006
Posté le 26/06/2007 à 14:04:30 

TagagdaTagada tsoin tsoin! Qui c'est qui débarque au grand galop? C'est Z-A-P-A-T-A-!-!-! Mesdames yé vous tire mon sombrero, à vous belles muchachas, yé vous livres mes vers, emplis des noirceurs dé cette guerre: Pénétrez dans mon enfer Venez, entrez, prenez part à mon enfer J'y suis si bien, au chaud Réconfortant lorsqu'il fait froid dehors comme dedans Je n'ai plus rien à manger, désolé, c'est un des bonheurs de mon enfer Ça me garde éveillé, parfaitement clairvoyant de la misère humaine J'ai à boire cependant, ce soir c'est une bouteille de vin français : La Vieille Ferme, Côtes du Ventoux L'alcool est nécessaire à ma survie, davantage que la nourriture Je sors ce soir, venez avec moi Nous allons entendre un rythme déchaîné qui réveillera votre coeur Qui le fera battre à sa juste vitesse pour vous transporter hors des murs de votre vie Je vais rencontrer quelqu'un qui me fera découvrir son univers Vous pourrez le partager aussi Écouter la vie se débattre, les gens exister Faire découvrir leur plus grande intimité à un parfait étranger Car je suis un parfait étranger, davantage pour ma famille que pour ces quelques-uns que je rencontre Pénétrez dans mon enfer Si vous arrivez à le comprendre, peut-être ce ne sera plus un enfer ? Mais vous n'arriverez pas à le comprendre Comme je n'arrive pas à vous comprendre Faudrait-il pour cela que l'on tente de s'éliminer l'un l'autre ? Une guerre ne se fait jamais sans perte de vie Je n'ai rien à perdre, vous n'avez rien à gagner S'il faut se battre, je me battrai Si vous voulez la guerre, je la ferai S'il faut vous tuer, je vous tuerai Je n'ai rien à perdre, vous n'avez rien à gagner Pénétrez dans mon enfer... *Repart au grand galop
Sir Psycho Sexy
Sir Psycho Sexy
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14/12/2005
Posté le 26/06/2007 à 16:09:49 

J'entendais des cris, des applaudissements..., je me mis donc en marche dans le direction de ce boucan. Et je vis l'affiche de Kassandra... MERDE j'étais en retard à cause de cette fichue guerre!! Il fallait me dépêcher d'écrire un poème et de venir me présenter. Mais comme je n'ai pas de stylo, je cherche autour de moi. Au bout d'un moment je vois un cochon sauvage avec un stylo dans la bouche et un ours avec une feuille de papier à la main ... me dis-je, mais après les avoir envoyé au paradis des animaux je m'aperçois que le stylo et la feuille sont bien vrais. Je commence à écrire ... et une fois fini je pousse la porte de la salle. Kassandra me voit et me dis de me dépêcher, je pars vite dans les coulisses, où le stress se fait sentir. Je vois une coiffe pas trop mal posée sur une étagère. Je la prends et me la met sur la tête. Ça y est c'est mon tour, j'y vais. "Bonjour Mesdemoiselles, je me suis déjà présenté, mais j’y ai encore travaillé. Pour cela j'ai créé un poème qui ne va pas vous laisser indemne." Sur l'île de Liberty, j'ai échoué. Il m’a fallu oublier ; Ranger tout ce qui appartenait au passé. Je voyais que les femmes qui parlaient juste avant que je commence ne parlaient plus et étaient même attentionnées. Pour vous aujourd’hui, mes donzelles, Sir Psycho Sexy entre en scène. Youpi, youpi !! Accroche-toi bien aux rênes, Ca va décoiffer, alors met toi bien sur ta scelle. Hop hop hop, il arrive avec ses bas résilles !! Oulala, je vois que la salle s’émoustille… Sur ce je vais vous quitter, Etonnamment pas pour l’éternité. Xanthie vole durant mon voyage, Y-a-t-il, pour moi, des gens libérés de leurs cages ?? Je sortais tranquillement après avoir fait une préstation assez cool puisque les demoiselles applaudissaient.
Noudwi
Noudwi
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29/04/2007
Posté le 26/06/2007 à 21:58:45 

Noudwi avait lu l’annonce avec une pointe d’inquiétude. Un poème ? Il avait étudié des poèmes depuis qu’il avait rejoint la civilisation, mais jamais il n’aurait pensé avoir un jour à en écrire un. Les épreuves étaient plus dures qu’il ne l’aurait cru. Puis il pris connaissance de la seconde. Un défilé. Il n’y connaissait rien à la mode. Il n’osait même pas retirer sa fourrure. Alors comment ferait-il un défilé ? Après quelques instants de réflexion, il eut une idée. Elles voulaient un défilé de mode, elles allaient en avoir un. C’est avec un petit sourire malicieux qu’il s’attela à la tâche. Le jour venu, à la grande surprise de tous, c’est don Diego DeLaPanda qui s’avança. Muni de ce qui semblait être une chope de bière dont on avait retiré le fond, il se mit à parler dedans pour amplifier sa voix. -Mesdames et Messieurs, Ladies and Gentlemen, Señoras y Señores…Hollandaises et Hollandais. C’est avec grand plaisir que je vais présenter devant vous ce soir, le candidat le plus sauvage, le plus bestial, qui a le plus de mordant ! J’ai nommé Noudwi ! Il a hélas refusé d’ôter sa fourrure et de concourir à visage découvert, prétextant qu’il ne dévoilerait ce mystère qu’à celles avec qui il partagerait l’intimité. Et pour commencer ce défilé de modes, je vous demande donc d’accueillir la bête ! Le prédateur ! Noudwi en mode chasseur nocturne ! http://img112.imageshack.us/img112/4082/nocturnejh7.jpg Vous noterez l’efficacité du camouflage. Mais Noudwi, c’est avant tout le séducteur espagnol. Le bourreau des cœurs. Con la rosa roja del amor. Je vous présente Noudwi en mode Don Juan ! http://img259.imageshack.us/img259/4786/espanant8.jpg Vous connaissiez l’homme sage et calme, le loup aussi doux que l’agneau. Sachez que les gens les plus calmes sont souvent les plus dangereux une fois énervés. Celui qui parviendra à le faire sortir de ses gonds fera connaissance avec Noudwi en mode vénère ! http://img521.imageshack.us/img521/4004/anakin2bc9.jpg N’oublions pas que notre ami est aussi le serviteur de sa meute. Un soldat prêt à tous les sacrifices pour défendre son honneur. Dans la bataille ses poils se hérissent, son énergie est palpable, c’est une machine de guerre froide et implacable. Plus qu’un combattant ! Faites un triomphe à Noudwi le super guerrier ! http://img158.imageshack.us/img158/7873/supernoudwiei2.jpg Mais soyez rassurées mesdames, s’il sait se montrer dur face à l’adversité, il sait aussi être tendre. Un aspirant médecin, dont sauver les demoiselles en détresse est le passe temps favori. Je vous prie donc d’applaudir Noudwi en mode sauveteur de ces dames ! http://img509.imageshack.us/img509/1/malibuyz7.jpg Qui se porte volontaire pour un bouche-à-bouche ? Enfin, je vais me retirer, laissant la place à un Noudwi non superficiel. Le loup que vous connaissez dans son plus simple accoutrement, car c’est vos cœurs et non vos yeux qu’il va tenter de charmer. Mesdames et Messieurs, Noudwi en mode poète. Don Diego se retira. En croisant Noudwi, il lui tapa dans la main tout en murmurant un « bon courage », qui fut remercié du regard. Puis l’homme-loup s’avança, d’une démarche calme et posée. D’aucun n’aurait pu avancer qu’il avait une once de trac. Et pourtant. Il s’était demandé quoi écrire. Devait-il amuser ou attendrir le jury ? Devait-il raconter un épisode de sa vie, ou simplement laisser son imagination agir ? Le mystère, la passion, son côté loup, étaient autant d’aspects qu’il se sentait obligé de mettre en avant. Et l’amour ! Elles voulaient voir de l’amour. Parler d’une mère, parler d’une femme, ou d’un enfant cela aurait été l’idéal. Et s’il pouvait parler d’une expérience vécue en même temps, c’était parfait. Mais comment un homme caché sous une peau de bête pourrait parler d’amour devant une foule ? Sans mentir ? Il n’était pas question de mensonges pour lui. Il avait cherché désespérément, fait couler des litres d’encre, et chiffonné des dizaines d’arbres. Rien ne venait. Il avait passé plusieurs nuits blanches à chercher l’inspiration en vain. Et la date se rapprochait. Jusqu’à cette idée. L’inspiration lui était apparue. Et aujourd’hui il devait bien l’admettre…il avait le trac. Pas question de mentir, il était temps de dévoiler ses sentiments devant toute l’île. Il regarda l’assemblée, pris une grande inspiration…et la relâcha, son cœur manquant d’exploser. Espérant que ça n’avait pas été remarqué, il repris une grande inspiration, et se lança : Alors que j’étais abandonné et perdu Sans aucune famille, sans aucun amour C’est nimbée de lumière qu’elle m’apparût Afin de me donner tout cela pour toujours Sauvage, réservée, et même mystérieuse Sa chaleur attire vagues de prétendants D’une telle douceur, mais non moins dangereuse Sa bise est un cadeau des plus rafraîchissants Transcendant les limites des simples espèces M’acceptant avec elle, à ma plus grande joie Me redonnant espoir et infinie tendresse Voyant ni l’humain, ni le loup, seulement moi Pour toute la chaleur qu’elle m’a prodiguée Pour toute la douceur, et toute l’affection Pour que le monde sache qu’elle m’a sauvé Devant vous, je vais faire ma déclaration Sur mon honneur de loup, la lune en est témoin Si tu le demandais, je t’offrirais ma vie Je t’offre mon cœur sans toi je ne serais rien Je t’aime pour toujours ma belle Liberty. Le choc passé, Don Diego essuya rapidement une larme qu’il espéra non remarquée, et repris la parole. -Un grand bravo pour notre bête de scène ! Noudwi le regarda d’un air complice. -Et merci à toi pour ton soutien. Il s'inclina respectueusement devant le jury, et ils partirent arroser l’événement…
Raoul Vandeputt
Raoul Vandeputt
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15/03/2007
Posté le 26/06/2007 à 23:37:00 

La foule à l'extérieur était surexcitée, le défilé des candidats était presque terminé et la décision du jury allait bientôt être connue de tous… Raoul, le pas léger, s’avance le torse en avant. Ce n’était pas ce qu’il avait de plus sensuel en lui, mais il le faisait avec fierté. Malgré toutes les moqueries qui courraient dans l’île, il avait pris sur lui et ne s’arrêterait pas maintenant … « Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, Je ne suis pas un adepte des défilés et encore moins des poèmes à réciter en public. Je pensais que le jury allait décider au lit des talents du liberty man, malheureusement ce n’est pas le cas. J’espère néanmoins vous séduire par mes mots et vous envoûter par les formes de mon corps. » Raoul s'avance encore d'un pas et commence à réciter les quelques lignes écrites la veille… http://img370.imageshack.us/my.php?image=sg17au5.jpg Tu respires l'odeur de mon corps chaleureux. Tu m'embrasses et vois s'afficher un sourire radieux Sur mon visage éclairé d'une exquise lumière Celle que m'offre tes yeux bleus clair. L'élixir de ma bouche où l'amour se propage Et de part en part enveloppe ton visage Rempli à jamais ton coeur de douceur Et dans mes bras, tes désirs sont sans peur. J'aime voir ton être frémir avec ton âme Quand dans le mien ton corps s'enflamme Tu bois mon souffle comme un cadeau de la vie Ainsi nous sommes réunis en une parfaite harmonie. Puis, quand la nuit voluptueuse pénètrera les cieux, Que tu dormiras paisiblement à l'ombre de mes reins, Je déposerai, éternel et muet, un baisé d'adieux Sur les lèvres de ton sommeil divin. Je remercie le jury et le peuple de liberty de m'avoir écouté, veuillez m'excuser quelques instants le temps que je me prépare à défiler... http://img177.imageshack.us/my.php?image=zb01kw0.jpg http://img184.imageshack.us/my.php?image=zb55cq8.jpg http://img184.imageshack.us/my.php?image=zb24kh1.jpg http://img291.imageshack.us/my.php?image=raoul1pr1.jpg Plusieurs réactions émanées de la foules, pour la plupart de la satisfaction ... Il n'était pas certain de gagner, beaucoup de concourants avaient le bras long et avaient soif de victoire. Une pensée lui traversa l'esprit, un petit rire lui échappa...Ce n'est que le bras, j'ai donc toutes mes chances Hihi
Guillemin VonderHück
Guillemin VonderHück
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12/02/2006
Posté le 27/06/2007 à 11:36:30 

Cher Jury, Je suis désolé mais je ne pourrai participer à ce concours. Cordialement, Thurner. Hrp : j'ai des problèmes d'ordi irl qui m'empêchent de vraiment m'investir dans ce concours. Encore désolé.
Doña Kassandra Dellago
Doña Kassandra Dellago
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30/03/2007
Posté le 27/06/2007 à 19:38:12 

Messieurs notre dernière candidature sera dont celle de Raoul Vandeputt, merci à tous les participants.
Tout Jaune "Peau Morte"
Tout Jaune "Peau Morte"
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23/03/2006
Posté le 28/06/2007 à 23:04:18 

se racle la gorge en faisant les 100 pas dans le couloir Femmes??? et reprend l'air Trokon, je m'appelle Trokon... arffff
Tout Jaune "Peau Morte"
Tout Jaune "Peau Morte"
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23/03/2006
Posté le 29/06/2007 à 01:10:27 

Alors que je gesticulais dans le couloir, j'aperçu une ombre, derrière une porte... je m'approche... - Oh qu'il est mignon ! Comment tu t'appelles? pas de reponses - Ben alors mon gars, je ne t'ai pas vu défiler? T'es timide? Le jeune homme semble géné, mais fait un petit sourire coquin. - Ohhhh ! qu'il est mignon ! Tu es bien coiffé dis-donc ! - uuuuuuui, c'est une joooolie anglaise qui ma peigné la touffe. me repondis t-il. Allez viens avec moi petit chenapan. Je l'ammène devant la porte du jury en lui tenant la main. - Tu vois derrière cette porte il y a des jolies dames qui reflechissent depuis deux jours pour savoir qui est le plus mignon... tu veux leur reciter un poème? - uiiiii.... hihihihi Je pousse la porte et enfourne le brun homme à l'interieur en refermant derrière lui. Je pose mon oreille sur la porte pour essayer d'entendre mais à part un leger chuchotement, je ne saisis rien... Quelques secondes plus tard, il ressort en courant... -Elles sont joliiiiiiiiiiiiiiies, hhihihihhihi.... - qu'il est mignoooooooooon...
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