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Histoire d'une recrue française  
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Thamior Naïlo, de retour
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31/03/2007
Posté le 31/05/2007 à 22:24:12 

I – L’arrivée Il y a bien longtemps, je vivais dans le royaume de France. Mes parents étaient bons avec moi mais ma vie ne me plaisait pas. J’entrepris dès lors un fou projet, rejoindre l’une des villes françaises dans les caraïbes, ou dit-on, l’action et l’aventure font rages. Je quittais ma ville natale, Paris, afin de me rendre en Bretagne où de nombreux navires quittaient la France. J’avais quelques pièces d’or que j’avais durement acquis ses dernières années et qui me permirent de me payer le voyage dans l’un de ses ports, Saint-Nazaire. Le voyage dura deux jours. Saint-Nazaire, une ville merveilleuse mais complètement différente de Paris. Il me fallut une semaine afin d’obtenir une autorisation pour me rendre dans les caraïbes et encore une dizaine de jour avant de trouver un capitaine qui accepta de me laisser embarquer. C’est alors que j’embarquai à bort du navire « La fleure des vents », un bâtiment commercial de soixante mètres de long lourdement armé afin de renvoyer tout navire pirate dans les abysses. Nous levons l’ancre quelques jours plus tard. Le navire avançait à grande allure et les marins avaient la vie dure avec les temps changeant de l’Atlantique. La traversée durait depuis une trentaine de jour lorsqu’un pavillon menaçant s’approchait dangereusement. Le capitaine prit les devant et lança toute une série de manœuvre afin de se mettre en position favorable contre le navire pirate qui fût durement endommagé après la première salve des canons manoeuvra en retraite. Après cette monter d’adrénaline, tout resta paisible à bord du navire. Il m’arrivait parfois d’aider le médecin de bord qui avait accepté de me faire part de ses quelques connaissances qui, selon ses dires, me serait très utile quand je serais livré à moi-même. Je pris de plus en plus goût à la médecine et j’espérai pouvoir devenir médecin dans ma nouvelle vie. Puis un beau jour, je me réveillai en entendant la vigie criée « Terre ! Terre ! ». Me voila arrivée dans les caraïbes et j’allais débarqué sur l’île de Liberty dans la ville française, Port Louis. Lorsque je mis pied à terre, ma première pensée était « A moi l’aventure et la liberté ».
Thamior Naïlo, de retour
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31/03/2007
Posté le 31/05/2007 à 22:25:06 

II – Les débuts La ville de Port Louis était différente des villes du continent. L’ambiance était différente, les marins chargeaient les navires ou allaient au pub. Il y avait beaucoup de soldats dans la ville et après m’être renseigné, j’ai appris que les fins de mois étaient mouvementées car il y avait de nombreuses tentatives de pillages. Je me rendit au bar pour obtenir des informations sur l’île et pour tenter de trouver un travail, ce n’est pas le tout de fuir le continent mais avec presque plus un sou en poche je devais travailler pour suivre. L’aubergiste me conseilla d’aller voir le Gouverneur français car il cherchait des volontaires pour diverses missions plutôt bien payées. Je concédai un pourboire en guise de remerciement. Après avoir eu cette information fructueuse, je me rendis au palais du gouverneur non loin afin de voir si il restait encore quelques places à pouvoir. Après un entretien de quelques minutes, j’obtenu ma première mission. Je pris le temps de visiter la ville afin de faire une premier repérage qui pourrait m’être très utile dans l’avenir. Puis, je me rendis aux portes de Port Louis et je pénétrai pour la première fois dans les zones inconnues de Liberty ou je pris la direction du nord. Au bout de quelques heures, je fus quelque peu fatigué et je décidai de faire une halte. J’installai donc mon bivouac pour la nuit. En admirant le couché de soleil, je me repensais à cette journée merveilleuse qui venait déjà de finir. « La journée est passée drôlement vite… Je n’ai plus ressentit un tel sentiment depuis bien des années » me dis-je. J’espère que ce sentiment allait être le même durant tout mon séjour sur cette île exotique. La nuit se passa sans aucun incident majeur. Elle fut courte car je n’avais pas l’habitude de dormir en pleine nature mais ça ne gênait pas plus que ça. Je devais m’y habitué car ce n’était sûrement pas la dernière nuit à la bel étoile et la, j’ai eu de la chance d’avoir la clémence du temps. Je fini par arrivée au lieu dit de ma mission ou je rencontra un émissaire du gouverneur. Il prit connaissance de la raison de ma venue et m’indiqua la suite de mon aventure. C’est alors que je partis en quête de ses hommes indigènes. Je ne tardai pas à en me retrouver nez à nez avec l’un d’eux. Le combat fit rage et très vite, je perdis l’avantage. Une aventurière française me sortie de cette situation bien délicate. Je dus attendre plusieurs heures avant de me retrouver dans cette situation mais cette fois, je sortie plus victorieux que la dernière fois. Je retournai auprès du général français afin de lui faire part de l’avancer de ma mission ou je fus informé de sa complète réussite. Une nouvelle mission me fut confiée.
Thamior Naïlo, de retour
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31/03/2007
Posté le 31/05/2007 à 22:25:36 

III – Des rencontres fructueuses Lors de ma nouvelle mission, je rencontrai une jeune recrue française du nom de Kassandra. Elle venait, elle aussi, d’arriver sur Liberty. Nous décidons de rester en contact afin de s’entre aider dans l’avenir. Elle souhaitait devenir commerçante et moi médecin. Nous sommes complémentaires et nous pourrions dans l’avenir avoir besoin du talent de l’autre. Nous avons la même mission et nous avançons durant quelques heures ensemble avant de se séparer mais nous restons en contact. Durant plusieurs jours, je marchais sans trouver les individus qui menaient la vie dure aux ressortissants français. Soudain, une nouvelle tomba. La nation française venait d’entrer en guerre contre l’Angleterre. Les soldats commencèrent à se déployer près de moi. Un ressentiment de peur m’envahi. « Quatre jours, dans quatre jours, la guerre commencera » pensai-je. Un soldat français m’apprit que j’étais dans l’une des zones les plus risquées. L’angoisse me prit. « Ma… ma quête est la et la guerre est en plein milieu. Que dois-je faire ? » Me demandai-je. Je décida de rester la et de tenter de finir ma quête. Durant les jours qui séparaient les premières offensives, j’espérais être épargné. Je me préparai à passer la nuit. Je gardais mon épée prêt de moi… on n’est jamais assez trop prudent. Des l’aube, les premiers combats commencèrent prêt de moi. Je quittai en sursaut mon campement de fortune pour me réfugier dans la forêt voisine. « Trop tard », un anglais m’a vu et me charge. Je parvins à lui mettre une touche puis le noir… le noir… C’est ce qu’il m’entoura soudainement. Je me réveillai. Du bruit, des hurlements, des infirmières surchargées se sont ce que je puis entendre et voir à mon réveil. Mes cotes, j’ai mal. Ma tête, elle est lourde. Un bourdonnement m’abasourdit. Je me rendors. J’ouvris les yeux, un médecin est la. Il m’ausculte. Il me parle. Je lui réponds instinctivement. Il m’observe. « Dormez encore, vous pourrez partir des l’aube. Infirmière, donnez lui un calmant pour la nuit » dit il en se levant. Elle me tendit un récipient. Je bus le contenu. Ma tête, j’ai mal. Mon ventre, j’ai mal. Mes cotes, j’ai mal. Mes douleurs s’apaisent. Je me rendors. Je me réveillai. Je vais mieux mais j’ai encore des douleurs. Une infirmière m’informe de l’heure. La mi-journée est déjà la. Je sors. Je suis de retour à Port Louis. Le front est actif. Les anglais ont passé plusieurs défenses anglaises. Le lieu de ma quête est encore un lieu de grande bataille. Je prends la décision de m’éloigner des combats. Je pars visiter Ulügen, fief hollandais. Le chemin est long. Je rencontre un ennemi, je le tue. J’avance de ma mission. Je continu d’avancé vers la ville hollandaise. Lors de mon premier bivouac, je rencontre Hernanone. C’est une aventurière hollandaise. Nous discutons autour d’un feu. Elle me conseille. Je l’écoute attentivement. Je lui parle de moi, de mes projets et mon ambition de devenir un médecin pacifiste. Elle me parle de Tylde, de la Guilde de la Recherche Médicale de Liberty. Je prends note. Le lendemain, nos routes se séparent. Nous restons en contact. J’envoie un perroquet pour demander que mon nom soit « Thamior Naïlo l’apprenti médecin ». J’arrive à Ulügen, Je rencontre le Gouverneur hollandais, j’ai une mission. Le soir, un perroquet arrive. Un dénommé « Le Cabotin » m’a écrit. Il est membre de la GRML. Il me propose son aide pour y rentrée. J’accepte. Je lui renvoie un perroquet. Nous échangeons des perroquets une bonne partie de la nuit. Le lendemain, je pars faire la mission hollandaise. Je me décide d’écrire à Tylde. Je lui envoie un perroquet afin de lui exprimer mes intentions et mes motivations pour intégrer la GRML. J’appréhende sa réponse. Elle me répond quelques heures plus tard. Elle désire mieux me connaître, mieux saisir mes ambitions. Je suis jeune et peu expérimenté, elle veut connaître mes réelles motivations.
Thamior Naïlo, de retour
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31/03/2007
Posté le 02/06/2007 à 00:04:39 

IV – Tylde et la GRML La missive de Tylde montre un intérêt à ma demande tout en s’interrogeant. Elle emploie des mots simples et apaisants. Je suis soulagé. Je lui réponds aussi simplement possible. La réponse doit montrer un intéressement et une bonne argumentation. Je me pose, j’écris, je me relis puis je décide. Je décide de lui envoyer cette missive écrite avec la plus belle plume. Je me remets en route pour ma quête. J’avance, je progresse lentement. Là, un montre, je l’attaque. Il est robuste, il se défend bien. Je prends le dessus, il meurt. Je progresse. Il m’en faut un deuxième. Je le cherche. La nuit tombe, le campement est en place. Un perroquet arrive. C’est elle, elle m’a répondu. Ses mots sont calmes et posés. Elle me propose de la rencontrée vers Port Louis après la guerre. J’accepte. Un perroquet part avec ma réponse. Je dors. La nuit est calme. Je rêve, je vois des morts et des blessés. Je les aide, je les soigne. La rosée de l’aube me réveille. Je me lève. Après m’être préparé et avoir rangé mon cantonnement, je me remis à la recherche d’un monstre. Le voila, il bouge, il ne se laisse pas faire. Je le touche, lui aussi. Je prends l’avantage. Il prend le dessus. Dans un élan magistral, il meurt. L’effet de surprise sûrement. Je progresse. Je retourne à Ulügen. Je vais voir un indic. Il est pub. Je lui offre à boire, il me renseigne. Les renseignements me mène non loin de la. Un village m’intrigue. Je rentre. Je me fais attaquer. Je me défends. Le chef, je vais lui parler. Il m’attaque. Je réplique. Il a un bon jeu de jambes. Egalité. Cette fois, c’est le verdict. Lui ou moi. Il prend l’avantage et me touche. Le noir m’envahit… encore…. Je me réveille. J’ai mal. Je reconnais cet endroit. Je ferme les yeux. Un bruit… un blessé, il vient du front. Plus tard, la nouvelle tombe. La guerre est finie. La France a perdu. La tristesse est lisible sur chaque visage. Je souris. Je suis le seul. Je pense. Je vais pouvoir la rencontré. Sûrement bientôt. Un perroquet. Elle est près de New Kingdom. Dans deux jours, elle sera la. Demain, je vais l’attendre prêt du lac qui se trouve à mi-chemin. Je lui écris. Je me repose. Un bruit d’une foule mouvementée me réveilla en sursaut. « Préparez-vous, la guerre contre l’Espagne commence demain ! » entendis-je. Un perroquet arrive. La guerre contre l’Espagne va la retarder. Je maudissais la guerre. Je ne comprenais pas et je pense ne jamais comprendre pourquoi des hommes, qui ont le même sang et le même corps puissent se battre et s’entretuer. « Vais-je encore être victime de ses méfaits dont je ne suis responsable ? Vais-je revenir une nouvelle fois à l’hôpital ? » Telles étaient les questions que je me posais. Je demandai à une infirmière de me réveiller à l’aube. Elle me fit un signe approbateur de la tête. Quelqu’un me réveil. C’est l’infirmière. C’est déjà l’aube, la nuit fut courte. Tant pis, la journée va être longue et je vais devoir me contenter de cette courte nuit. Je rencontre un informateur. Nous discutons. Je sors. La vie sauve est de nouveau sous mes pieds. L’air frai, la calme, tout est si beau et merveilleux. Je m’arrête pour contempler les lieux. Soudain, des coups de feu ! Les fers se croisent ! Les espagnols sont la ! Moi qui espérais tant être tranquille aujourd’hui… Je décampe, je ne veux pas me battre même pour me défendre. Les bruits, ils sont de plus en plus loin. J’avance lentement. Je suis sur mes gardes, nous ne savons jamais. Il est faut être prudent. Un repère la dans les montagnes. C’est la où je dois aller. Je m’y rends. Je tente de me faire un chemin vers le chef des contrebandiers. Ses hommes sont forts. J’ai du mal. Je souffre mais je m’en sors. Cela me rassure. Le chef, enfin, le combat est rude. Je prends l’avantage, je perds puis je regarde. J’attaque, il anticipe et je conte. Ses jours sont finis. La, un tonneau, je le fouille. Il est vide… j’arrive trop tard… Je quitte se lieu maléfique. Je rencontre Kassandra. Elle va bien. Je suis contant pour elle. Elle me renseigne. Je me rends sur place. Je dois rentrée dans la forêt. Je rentre l’arme à la main. Un repère, un garde, c’est la. Je me mets en garde, il charge. Le combat est engagé. Les fers se croisent. Peu de touche arrive à terme. Je le surprends. Il est blessé. Il contre, j’anticipe en parade contre. Il meurt. Là bas, l’homme qui mène la terreur dans la région. Je charge. Il est déjà prêt. Il me parade mes premières attaques. Je le touche. Il me touche. Je fini par avoir le dernier mot. « Voila, c’est fait… » Pensai-je alors. Je dois aller voir les mandataires de mes missions pour leur faire part de l’avancer. Je suis à un jour de Port Louis. Je m’en dors paisiblement. Un bruit, je sursaute. Là un anglais il est menaçant. Je sors mon épée, il charge. Ses coups vont trop vite pour moi. Le noir encore… L’hôpital, il me soigne, je me repose. J’attends. L’aube, je vais faire mes bilans. Je reçois les primes convenues. La Hollande, j’ai des missions à faire là bas. Un jour, je marche. Je suis proche. Un Hollandais, il m’attaque. Le noir… J’en ai marre… La fin de la guerre contre l’Espagne. La France a encore perdu. Le moral est bas. Je souris. Un message m’arrive. Tylde est autorisée à passer en terre française. Nous pourrons nous voir dès demain. Le soleil se lève. Je sors. Un homme m’interpelle. Une veuve a besoin d’aide. Je vais la voir. J’accepte de l’aider. Je rencontre Fortuna prêt des portes de la ville. Je lui achète quelques bandages mineurs. Je quitte la ville. Vers l’ouest je pars. J’arrive dans la région où je vais la rencontrer. Je contact Kassandra. Elle est dans le Nord vers Esperenza. Elle a rencontré un médecin. C’est le Ministre du Commerce espagnol. Tout ce passe bien pour elle, je suis contant. Je contact Hernanone, elle est prêt de New Kingdom. Elle va bien. Je lui transmets que je vais rencontrer Tylde. Elle me répond que je n’ai aucun souci à me faire, c’est une personne adorable. Ça me rassure, je m’en doutai. Une jeune femme en blousse de médecin arrive. « Est-ce elle ? » pensai-je. Elle soigne quelques blessés. Elle me parle. Je lui réponds. C’est elle. Nous discutons. Nous restons la. Elle me propose de m’aider à devenir médecin. J’accepte. Elle me propose d’aller dans les cavernes du lac. Elle m’explique le fonctionnement de la GRML, comment postuler et quelles sont les modalités pour y adhérer. J’approuve. Je prépare les démarches à suivre. Je postule. Les premiers accords tombent. Je m’en dors. Le soleil remplace la lune, nous nous levons et nous partons vers notre destination. Elle ouvre la marche, elle connaît le chemin, moi non. Elle soigne. Nous parlons. Nous apprenons à nous connaître. La caverne, elle est la. Nous entrons. Je trouve un objet. Je progresse dans l’une de mes quêtes. Les accords arrivent aux comptes goûtes. Je serai bientôt des leurs. Un espagnol, il n’a pas l’air commode. Il s’attaque à des Français. Je peux agir. Il arrive. Il me charge. Je n’ai pas le temps de me défendre. Le noir… Je me réveille. Le lieu est nouveau. « Où suis-je ? ». Il m’est dit que je suis dans la salle de repos de la caverne du lac pour les blessés graves. Je sortirai demain. Un perroquet est arrivé durant mon inconscience. Je viens t’intégrer la GRML. Je souris.
Thamior Naïlo, de retour
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Posté le 09/06/2007 à 23:36:06 

V – Une nouvelle France annoncée et l’émergence d’un jeunot. Thamior Naïlo avait fait ses débuts sur l’île de Liberty sous le mandat de Maître Sing. Le mois fût trouble et sans équivoque, l’anarchie quasi ou total régnait sur les terres du Roy. La France avait perdu ses deux guerres, la première face à l’Angleterre et la deuxième face à l’Espagne. Les critiques allaient en fleurissant à chaque occasion créèrent un ambiance morose au sein de la communauté de la couronne de France. La fin du mois fût donc difficile et le prochain mandat s’annonçait difficile. Un groupe de l’alliance du Lys, Gahieret et Jean-François de Montecroix avec l’appui d’un valeureux serviteur du Roy, Charles « le voyageur » ont entrepris la tâche ardue grâce à l’élection du peuple français dont Thamior Naïlo a contribué de relevé la France. Thamior Naïlo commença dont le nouveau mandat avec un esprit libéré. Il était devenu un médecin ou seul le professionnalisme était encore à faire. Le nouveau gouvernement semblait prometteur. Les liens avec la Hollande fût donc remis, avec la signature d’un Pacte de Non Agression. Les tensions avec l’Angleterre et l’Espagne étaient entrain de descendre. La fin du mois quant à lui était agitée. Les pirates avaient bien décidé à mettre Port-Louis à feu et à sang et tenter de s’emparer de la caisse communale. Ils échouèrent dans leur quête grâce aux soldats français qui se sont dévoué pour protéger la ville. La désillusion gagna petit à petit Thamior à faire et à mesure que l’on s’avança mois avança. Les tensions avec la Hollande était stable mais de part et d’autre des deux nations, les critiques allaient en grandissant. De chaque côté, l’inutilité du pacte anti-agression était mise en cause. Dans le même temps, l’Angleterre et l’Espagne s’étaient de nouveau allié et menaient des actions afin que les tensions montent en même temps. Les français répliquèrent en prenant l’avant port anglais ainsi que l’avant post espagnol. Thamior Naïlo sortit de son silence et alla manifester son mécontentement sur la place publique. Pas de critique, il exposait simplement des doutes, et espérait que ce mois-ci soit épargné par les guerres. Il présenta aussi un projet, aussi fou soit-il, de se présenter pour le poste de gouverneur de la nation française et annonça qu’il cherchait deux personnes pour l’aider dans cette tâche, un général des armées et un ministre du commerce. Le projet eut quelques réponses en guise de soutien mais peu de proposition pour les postes. Pendant ce temps, les tensions entre la France et l’Angleterre et l’Espagne ne continuèrent de progresser à une vitesse fulgurante. La guerre finit par éclater, au grand regret de Thamior. Les anglais gagnèrent leur guerre en deux jours et il fallut deux jours de plus à l’Espagne pour gagner la sienne. Nous pouvons parler de débâcle de la France, mais il ne fallut pas oublié que les anti-PNA avec la Hollande ont agit de façon spéculaire en tentant de piller Ulüngen. Cela coûtera un bon nombre de pariatisation et une vive polémique. Mais le plus invraisemblable eut lieu pendant la guerre ou un certain nombre de français décidèrent de monnayer des drapeaux. Ce qui causa une perte de temps de l’Etat major français et qui fait partie de l’une des nombreuses causes de la déchéance française. La France était donc à la limite de la guerre civile. Le gouverneur prit donc une décision qui a sûrement sauvé la France en imposant la loi martiale. Thamior Naïlo s’interposa contre cette loi en prenant à diverse reprise la parole. Mais rien ne changea la position du gouverneur. C’est alors et avec plein de courage qu’il décida, dans un signe protestataire mais aussi dans la continuité de ses convictions, de faire une demande des plus surprenante. Cette demande était une demande de pariatisation qui lui fût bien évidement refusé. Les raisons du gouverneur étaient que la France avait besoin de personne comme lui et que perdre un si bon espoir pour l’avenir de France serait l’une des erreurs qu’il ne voulait pas commettre. La rumeur quant à la demande de Thamior pour être pariatisé se répandit vite dans la ville et certains voulaient le suivre, mais pour des mauvaises raisons, c’est pourquoi il décida de mettre un terme à la rumeur et d’expliquer ses raisons. De son côté, la France commença les négociations quant à la restitution des avants postes prit avant la guerre. L’avant poste espagnole fut rendu très vite car un accord avait été trouvé. Le début des inscriptions commença et Thamior s’inscrivit quand même mais savait qu’il ne serait pas élu du moins pour ses élections.
Thamior Naïlo, de retour
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Posté le 01/07/2007 à 01:48:51 

VI – Une mission essentielle Ayant fini ses affaires dans la caverne du lac, je pris la route de Port-Louis afin de rendre les objets qui avaient été volé à la veuve, qui me remercia grandement. Cette nuit la, les hollandais ont pillé New Kingdom mais échouèrent à Esperanza. Les anglais répliquèrent quelques jours plus tard par une déclaration de guerre. Dans le même temps, les discutions entre mon Ministre du Commerce et moi-même sur le parrainage avancèrent bien. J’envoya un perroquet à l’intendance du Gouverneur afin q’une affiche soit posté. Le parrainage français allait renaître. Tylde me proposa d’aller visiter New Kingdom et Esperanza car les guerres étant fini, il fallait profité de l'accalmie. C’est avec une grande joie que je acceptai. Nous sortions donc de Port Louis où ils prirent la direction du nord nord-ouest. Deux jours de marche fût nécessaires pour rallier Port-Louis de New Kingdom. A mon arrivée près de New Kingdom, une jeune espagnole me demande des soins, je n’avais malheureusement plus de temps pour lui faire ses quelques soins. Cette jeune espagnole s’appelait Señorita Nara Komnenos. Elle s’était caché dernière une statue près des portes de la ville. Dans la journée, plusieurs anglais porteurs d’un drapeau arrivèrent. Ils étaient au nombre de quatre et tard le soir, ils réussirent à en entrée trois. Le quatrième leur a été dérobé quelques instants avant la manœuvre. J’arrivai dans une grande ville ou l’architecture était encore différente. J’eus du mal à dialoguer avec les gens du coin mais je réussis néanmoins à prendre quelques missions. Je ne m’attardai pas beaucoup car je voulais voir un maximum de chose avant de nouvelles catastrophes. Tylde devait prendre la direction du sud pour une affaire urgente. J’allai donc tout seul à Esperanza. Je mis deux jours pour s’y rendre. La ville était belle et grande mais aussi différente des autres. Je fus très étonné de voir autant de différence entre chaque ville. Je réussis à prendre quelques quêtes puis passai la nuit la. En fin de journée, son amie Kassandra accompagnée de l’un de ses confrères Djezous arrivèrent en ville. Ils se saluèrent et prirent un peu de temps de discuter de tout et rien. Djezous me passa un pantalon d’escrimeur. Puis à la tombé de la nuit, ils se quittèrent. Le lendemain, je pris la direction du manoir hanté ou je devais retrouver Tylde. Je soignai en passant les blessés que je rencontrai et au bout de deux jours, j’entrai dans le manoir. Le manoir était une maison en ruine mais qui tenait miraculeusement debout. Un bon nombre d’aventuriers était la, les blessés ne manquait à première vue. je pris donc le soin de soigner un maximum de personne. Durant la nuit, un anglais me pris pour un monstre. Je se réveillai en sursaut et je n’eus pas le temps se dire « que se passe-t-il ?» que je fus transpercé d’une larme dans le corps. Le noir… Le retour du noir… ça manquait… Le lendemain, je sortis de la salle de repos et mon agresseur me reversa un somme en guise de dédommagement. Mon temps était en grande partie consacré aux blessés qui étaient très nombreux, je n’avais jamais assez de temps pour tous les soigner. De plus, des êtres maléfiques me compliquèrent la tâche. Le lendemain, un homme se dénommant Titus Pullo cherchait Tylde. J’envoyai un perroquet à Tylde afin de lui transmettre l’arrivé de la personne qu’elle voulait rencontré. Tylde et Titus Pullo, se dirigent à l’étage. J’ai encore à faire au rez-de-chaussée. Le lendemain, je monte à l’étage. Il y a toujours autant de blessés à soigner. Mes stocks diminuent très vite. A l’étage, je progressai dans mes quêtes, il me faut trois jours pour visiter toutes les salles. Pendant que je visitais l’une d’elle, je rencontrai Dudu. Elle le sorti d’une bien mauvaise posture. J’étais entrain d’échapper à une momie lorsqu’une autre me tomba dessus. Je la remerciai chaleureusement et espéra rester en contact avec elle. Malgré ses allures de grande guerrière se trouve une femme serviable et très amicale. Je mis deux jours à repartir vers le rez-de-chaussée. Les blessés étaient toujours en nombre. Ce manoir était vraiment maudit ! Comme prévu, mes stocks de bandages mineurs devenaient critiques. Celui de Tylde aussi d’ailleurs. Elle allait se ravitailler à New Kingdom. Je décidai de l’accompagner aussi. Elle m’avait toujours vendu à très bon prix les bandages. Titus Pullo venait avec eux. Il me fallu trois jours pour arrivé la bas. Je soignai les patients en chemin. J’achetai près de 150 bandages mineurs ! Un record pour moi ! Je me préparai à retourner dans le nord et finir ses que j’avais à faire lorsqu’un perroquet venant de Port Louis me fait changé mes plans. Une jeune française du nom d’Elise de Rocancourt cherchait un parrain. La structure du parrainage n’était pas encore opérationnelle, je lui proposai mes humbles services. Je n’attendis pas de réponse de la part d’Elise de Rocancourt et pris la direction de sud afin de rallier au plus vite New Kingdom et Port Louis. Il lui fallu deux jours pour atteindre Port Louis. J’entrai dans la ville. J’étais souriant et heureux. Cela faisait un certain temps que je n’étais pas venu ici. J’ignorai comment j’allais retrouver Elise de Rocancourt. En réalité, c’est elle qui me trouva. Elle était fort aimable et elle savait s’y prendre avec les hommes. Plusieurs autres personnes se proposèrent dont Rose, une femme connaissant beaucoup de ficelle et d’astuce. Sûrement plus que lui d’ailleurs. Elise finit par trancher et prit comme marraine Rose. Je fus un peu déçu du choix d’Elise mais je l’acceptai. Ma mission était de faire en sorte qu’elle trouve un parrain. Je profitai de son retour au source pour aller rendre visiter à la tribus Gou-chiiii qui avait récupérer un coffre ou se trouvait de la soie. Le tailleur français en avait besoin. Je mis une journée pour m’y rendre. Dans le courant de la journée, une personne s’approcha. Elle avait besoin d’aide.
 

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