Le Faux Rhum

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Chroniques d'un mandat

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Valentin du Fay, "Emouchet" [Suicidé]

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15/12/2005

Posté le 26/04/2007 à 12:12:13

Assis sur son lit d´hôpital, Emouchet lisait des missives en provenance de Port-Louis. L´incompréhension des Français était sans borne... Il choisit alors de relater toutes les étapes du mandat écoulé. Il prit une feuille, tira vers lui le chevet et commença à relater son histoire. ********************************************************** Chapitre 1 : Devenir général Identifier nos faiblesses du moment. En concertation avec Louis-Philippe Armand de Maupertuis, nous mettons au point un système de centralisation des perroquets. Cela facilitera la communication des troupes dispersées sur l'île. Plusieurs personnes adhèrent, mes premiers points sont marqués... Fin Janvier 17**, Épave du Dereito nu Muro... Les pirates sont proches de Port-Louis, le gouvernement organise une chasse aux pirates. Je sais qu´ils étaient là pour chercher des indications au sujet des origines du petit Edward. Pour arriver à mes fins, j´ai du impérativement gagner leur confiance. Je cessai donc mes activités en territoire anglais et me rendis séance tenante à l'épave. Je pris alors contact avec Sanca "Le passeur" pour arranger un combat simulé avec lui. Il accepta et m´infligea une blessure de gravité moyenne. Néanmoins, ma participation fut remarquée. Quelques semaines plus tard, je me présentais au poste de général, et remarquais la candidature de Maitre Sing au poste de gouverneur. Tous deux fûmes déboutés... La confrérie de la Côte pille Port-Louis. Seulement quelques jours après les élections, nos économies furent dérobées. Avec plusieurs autres Français, je participais au contre-pillage. De forts soupçons pesaient sur Ty bidoun, revenu de son exil. Je savais qu´il transmettait toutes les informations nécessaires à la Confrérie pour qu´elle jugule sans trop de problèmes notre tentative. Quatre jours plus tard, Ty bidoun "trahit" la France, et me blessa gravement à l´issue d'un combat inégal... Fin de mois et nouvelles élections. Je me représente au poste de général, et Maitre Sing fait de même pour le poste de gouverneur. Nous sommes tout deux élus, les plans échafaudés par chacun de nous se conjuguent à merveille...

Le Boucanier

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28/01/2006

Posté le 26/04/2007 à 18:41:33

*Le Boucanier se disait qu'Emouchet ne semblait pas connaitre toute l'histoire sur Ty bidoun et son intronisation dans la confrérie. Il est très etrange que le néo pirate ne puisse nous en dire plus!!*

Jan der Vernboer

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21/11/2005

Posté le 26/04/2007 à 21:59:56

Anton se disait qu'il avait bien eu raison de ne jamais croire les multiples repentirs d'Emouchet et d'avoir omis de lui communiquer quelques informations...

Liberty Sing

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27/03/2006

Posté le 27/04/2007 à 10:12:08

Chapitre 2: La Liberté

J'arpentais les places publiques depuis maintenant deux mois quand me vint l'idée de tester pour la première fois l'audience que l'idée d'un retour à une pleine et entière liberté sussitait en France. Sans surprise et comme il était de coutume, le Juge Henri d'Avron devenait gouverneur. Néanmoins, mon ami 'le boucanier' tenait le poste de général.
Je me mis alors à son service et l'aida dans sa communication. Ainsi le général put se concentrer sur l'effort de guerre et brillamment se débarrasser du signe indien de la defaite contre Albion.

Une nouvelle fois, les urnes allaient parler et je savais que j'avais cette fois de bonnes chances. Certes le Juge en place,Spike se présentait.comme tous les juges l'avaient fait avant lui. Mais la multiplication des candidatures ainsi qu'une réelle volonté de ma part d'aboutir me permit d'etre nommé gouverneur. La nomination d'Emouchet était une bonne nouvelle. je savais, depuis que celui-ci lui m'avait proposé le mois précédent de devenir un electron libre face à la hollande , qu'Emouchet ne serait pas un frein à la mise en place d'une politique nouvelle basée sur la liberté retrouvée.

Les premières décisions prises, avant de m'absenter pour une période de dix jours, allaient faire grincer des dents:
naturalisation de jimi l'artiste pour tenir une promesse du gouvernement précédent.
annulation du PNA avec nos voisins hollandais.
dissolution de la cour de justice.
abrogation du système d'autorisation.
http://www.pirates-caraibes.com/fr/index.php?u_i_page=5&theme=9&sujet=9497&u_i_page_theme=3&u_i_page_sujet=1

Le mois allait etre long et incertain. Beaucoup prédisaient le chaos, et moi-meme, je savais que le pari fait était risqué...

Valentin du Fay, "Emouchet" [Suicidé]

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15/12/2005

Posté le 28/04/2007 à 17:31:35

Chapitre 3 : Profiter des regards focalisés sur Maitre Sing Du chaos en France. Sitôt élu au poste de gouverneur, Maitre Sing décida une rupture unilatérale du PNA franco-hollandais. Compte-tenu de mes objectifs, cela allait on ne peut mieux dans la direction que je souhaitais faire prendre à la France. La dissolution du système d'autorisations et de la cour de justice me permit d'accentuer la diabolisation de Sing, tout en passant pour un opposant à sa politique. Moins d'une semaine après les élections, je remis le système des autorisations en place, et appuyais le tribunal dirigé par Anton. Feignant le dégoût de ce qui nous tenait lieu de gouverneur, je multipliais les actes de générosité et de bienveillance. De la rupture du PNA. Il me faut ici remonter le temps sur l'espace de trois mois... Début Janvier 17** : La Rose-Croix prend contact avec moi pour obtenir un bras supplémentaire pour tenter de nuire à la Hollande. L'idée me plait, elle me permettra d'atteindre mes objectifs avec plus de facilité. Toutefois, je parle de ce contact avec Jean-François de Montecroix, alors Juge de France et futur candidat au poste de gouverneur. Je lui explique avoir été contacté par la Rose-Croix, et lui propose de l'infiltrer. Bien évidemment tout ceci se révélera n'être qu'une vulgaire tromperie, destinée à identifier les espions infiltrés à la Rose-Croix, et à tisser des liens suffisants avec la tête de l'organisation. Fin Janvier 17** : Les tentatives échouent toutes à cause des espions infiltrés. Je demande à mon contact de garder patience, un jour prochain, son but pourra être atteint. Ainsi donc en ce début de mandat, je reprends contact avec mes alliés de la Rose-Croix, et leur donne carte blanche pour jeter à bas ce PNA et le fouler aux pieds. Le "contrat" est le suivant : -Blocage des demandes de bannissement -Immunité du fait que mystérieusement, je ne serais pas au courant de leurs faits et gestes. -Etablissement d'une liste sécurisée, et d'objectifs précis. Les forces vives manquant, je contacte alors le Mouvement des 4 Lunes pour obtenir son soutien. Ses membres m'accordent leur soutien, nous serons bientôt prêts à frapper...

Liberty Sing

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27/03/2006

Posté le 29/04/2007 à 19:08:55

Chapitre 4 : Les prédicateurs du mauvais augure Il ne fallut que peu de temps pour entendre déjà les colporteurs de désillusion mettre en place une théorie diabolisant l'absence de loi au sein de notre pays. Pelle-mele, nos ressortisants les moins aguerris allaient succomber dans un bain de sang franco-hollandais, Port-Louis allait devenir le théatre d'affrontements violents entre concitoyens, et toutes les nations de l'ile allaient nous tomber sur le colleback! Certes, je reconnais que Jimi pouvait en exasperer certains. Mais après tout, Jimi, ..., ne fait jamais que ... son jimi. Et puis, les probabilités de le voir rejoindre les frères de la cote dans quelques temps me permettent de laisser couler. Très éloigné du théatre des hystériques défenseurs de l'ordre juste, je profite à plein des carresses du soleil qui se reflete sur les neiges des cimes de nos hauts sommets. La lecture des courriers de soutien reçus, tant de Hollandais et Français, que d'Espagnols et Anglais, compenssait le lamentable dégout que les vaines tentives de reprise de pouvoir des tenants de l'ordre juste m'inspirait. http://www.pirates-caraibes.com/fr/index.php?u_i_page=5&theme=9&sujet=9557&u_i_page_theme=3&u_i_page_sujet=1 Je restait, malgré l'oisiveté ambiante liée à cette bellle activité qu'est le sport de fin mars, attentif. ainsi, il m'a fallut remettre quelques principes en place concernant ce que j'étais pret à accepter d'Emouchet dans le cadre de l'accomplissement de ses projets personnels. http://www.pirates-caraibes.com/fr/index.php?u_i_page=5&theme=9&sujet=9572&u_i_page_theme=3&u_i_page_sujet=1 L'avertissement aura porté ses fruits. Il est temps désormais de finaliser la première rencontre des membres de l'Opus Intelligencia... ...

Valentin du Fay, "Emouchet" [Suicidé]

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15/12/2005

Posté le 30/04/2007 à 18:50:36

Chapitre 5 : La prise de Van Ders Profiter de la conjoncture. Le 30 Mars 17**, les trois autres nations s'associent pour donner naissance au PNA du Nord. La France tenue hors de ce pacte ne réagit que peu. Je pousse à la discussion, beaucoup voient en ce pacte une trahison de la Hollande et veulent agir. Seul le Lys reste campé sur ses positions. Exploitant la situation de mécontentement général, je manoeuvre la Rose Croix et quelques sympathisants pour prendre Van Ders. Des difficultés de prendre une tour vide... Les membres de la Rose Croix ayant été contactés, nous échafaudions ensemble diverses stratégies afin de rompre le PNA franco-hollandais. Une prise de tour fut choisie comme premier objectif suivie d'un pillage. C'est au cours du pillage que les forces du mouvement des 4 Lunes nous aideraient. Première tentative, premier échec... La date du pillage a été communiquée aux Hollandais, je sais de par mes contacts avec le gouverneur en place Géraldine d'Arcy qu'ils sont prêts à nous accueillir... Celle-ci est plus ou moins (je ne sais pas à quel point) au courant de mes activités, mais feint(?) de croire que je tiens à défendre le PNA. J'annule l'opération et ordonne la dispersion des pilleurs. Du manque de personnes Les événements semblaient à ce moment se liguer contre moi : D'une part, Nightbringer allait et venait en tuant mes pilleurs, et à cause de la remise en place d'un PNA, le mouvement des 4 Lunes laissa tomber l'opération : Contact de : Mouvement des 4 lunes Sujet : Message : Bah en fait on a aucun intérêt à faire un pillage ! Ca avantagerait d'abord : les pirates, les pro-pirates, puis les Anglais, les Espagnols. Même les Hollandais n'ont rien a gagner. Et le mouvement des 4 Lunes non plus. C'est une mission que l'on peut accomplir contre rémunération. Le mouvement des 4 lunes. Quelques jours plus tard, je relançais l'opération et cette fois nous prîmes Van Ders. Je reçus peu de temps après un message m'indiquant que je pouvais rejoindre les Frères de la Côte dès que j'en aurais l'occasion. Il me fallait toutefois faire preuve de circonspection, les tensions avec l'Angleterre allaient sans cesse croissant, et une guerre ne nous serait pas épargnée...

Liberty Sing

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27/03/2006

Posté le 01/05/2007 à 17:23:30

Chapitre 6: Le bureau du Gouverneur Pour régler quelques affaires ,dont celle de répondre à la demande de Madre Anna de prendre place comme « haute autorité morale » au procès de John le Borgne, je repassais pour la première fois à Port-Louis depuis mon élection.. Par mégarde, je n’avais pas pris le temps de consulter le protocole, et trouvais donc porte close. Qu’importe, un petit crochetage ne devrais pas me prendre trop longtemps. La première chose qui me choqua an entrant, c’était l’état de la réserve de « rhum du père Ralex ». Trois bouteilles seulement ! Henri d’Avron me paiera cela. Profitant honteusement de mes prérogatives, je mit sa tete immédiatement à prix. Ce n’est qu’ensuite que je remarquais toute la paperasse amassée sur et à coté du bureau. A croire que Liberty s’était passé le mot. Par acquis de conscience, et pour m’assurer de ne pas rater une information importante, je me mis à lire les missives reçues. La plupart d’entre elles commençaient ainsi : « M le Gouverneur, blablabla… votre joli pays … votre vin… blablabla.. enfin bref je demande à être accueillit et protégé durant mon séjour. Je vous prie … blabla , M le gentil Gouverneur… blabla ». A croire que de nombreux Espagnols et Anglais n’avaient pas lu l’édit de libre circulation que j’avait fait placarder sur toutes les places publiques le jour de ma nomination. J’avais reçu également des messages de soutien. Madre, Cunégonde ,Amandine ,Armand et Raton le Hollandais furent d’un réel plaisir à lire grace à la fraîcheur de l'analyse qu’ils faisaient de la situation. Cela tranchait sincèrement avec les grognements de la vieille garde de Port-Louis. Au détour de ces papiers, la facture du repas que j’avais passé en mauvaise compagnie du coté d’Esperanza avec le Gouverneur Espagnol. J’étais certain pourtant que l’invitation ayant été lancée avant mon arrivée, la note était déjà réglée par Henri d’Avron . Si je n’avais pas le soucis d’économiser les deniers publics, d’Avron aurait écopé d’un nouveau contrat ! Lady Meredith m’écrivit. Le ton était charmant, et qui plus est, elle me proposait d’entamer une série de repas pour apaiser les tensions entre nos nations. Certes son analyse quant à ma politique laisse à désirer (« domination de l’île » , elle a du me confondre avec la tatane ! ), mais son joli minois méritait qu’on s’intéresse à elle. Il y avait aussi une requête de Cyrano un peu biscornue. Le tribunal, qui n’existait pas, me demandait de ne pas intervenir dans le vote de pariatisation de Jimi , et pour cela il me fallait voter oui

! Moi j’appelle cela me prendre pour un benêt ! Quelques plaintes, une demande d’exil de Kaiser, une demande d’asile d’Ardiana plus tard, et alors que je commençais à perdre patience avec toute cette paperasse, la nouvelle se trouva entre mes mains : Le Borgne était mort ! D’un coté, je pensais que cela pouvait m’éviter de tenir un rôle qui ne me convenait pas, d’un autre je regrettais la disparition d’un homme avec qui j’avais eu quelques contacts utiles lors de mes premiers pas sur Liberty. Sur les trois bouteilles de « rhum du père Ralex », je décidais de faire la peau d’une d’entre elles à la santé … … , à la santé. Embrumé et enfumé d’un même coup, Je me rappelais de mes rencontres avec Le Borgne. C’est ainsi que , grace au développement de l’imagination que procure le « rhum du père Ralex », Je me mis à ne plus croire en cette mort . Le seul témoignage était celui d’Elyngwen, son aimée ! Lorsque l’on connaît le pouvoir d’attraction du Borgne qui conduit ses dames à … … à des poussées hormonales (la traque organisée par Madre en est un exemple), et sa capacité à faire d’énormes sacrifices par amour, il est facile d’envisager un subterfuge. Je me souvenais du travail qu’effectuait Le Borgne à chacune de nos rencontres : il cartographiait l’île. Il m’avait révélé qu’il rêvait de découvrir et de cartographier les îles avoisinantes, ainsi que de répertorier les voies maritimes exploitables. Avant de m’endormir, je songeais alors au futur retour de John, et décidait de lui réserver l’une de mes deux dernières bouteilles de « rhum du père Ralex ». Je lui donnais donc rendez-vous à l’Irish Rade de Liberty , aux alentours du 14 avril .

Valentin du Fay, "Emouchet" [Suicidé]

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15/12/2005

Posté le 02/05/2007 à 19:20:53

Chapitre 7 : La guerre contre l´Angleterre Cette guerre serait celle de la jeunesse Après discussion avec Maitre Sing, nous étions convenus de laisser participer à cette guerre que les jeunes Français opposés aux jeunes Anglais. Cela pour plusieurs raisons : -Cela continuait mon projet de pousser la jeunesse sur le devant, après une campagne d´équipement. -Cela nous permettaiet de palier à l´abscence des soldats expérimentés, trop heureux de rester à l'ombre de leurs grottes et épaves. Ainsi donc, en concertation avec le général anglais, nous posions les limites de ce conflit. Une succession de malchances s'abattit sur nous : Les jeunes enrôlés Français se révelaient n´être qu´une toute petite dizaine, face à une trentaine d´Anglais. De plus, les éclaireurs que j´envoyais se faisaient massacrer par les pirates, les Anglais et les Espagnols. Comble du scandale, seuls les membres de la Confrérie de la Lame acérée se trouvaient dehors afin de soutenir, soigner et informer les jeunes. Quelques contre-ordre furent donnés à certains moments, mais nous réussimes toutefois à marquer quelques points décisifs sur les troupes d´Albion. Ayant reçu la confirmation de mon entrée chez les frères de la côte, je me démenais afin de vaincre ou, le cas contraire, de montrer à la France que se gargariser d´être la nation la plus forte de l´île et de négliger les jeunes était une grave erreur. Là fut le premier exemple de notre arrogance.

Liberty Sing

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27/03/2006

Posté le 03/05/2007 à 22:25:44

Chapitre 8 : La pénurie de chocos L'ambition sous-jacente de ma proposition concernant les conflits nous opposant à nos voisins anglais était d'aider notre jeunesse à appréhender une guerre sous tous ses aspects (stratégie, coordination, positionnement...). Il est en effet certain que dans les mois à venir le Roy de france enverra ses troupes pour contrer les velléités d'indépendance de notre colonie, et toutes nos forces devront alors etre opérationnelles. Meme si l'implication numérique de nos troupes n'est pas au niveau de nos adversaires, nos combattants n'ont pas à rougir de leur performance. Ils découvrent les difficultés innérentes à la course aux drapeaux , la nécessité d'appliquer les consignes, et l'adrénaline que procure le suivi d'une guerre. Parcequ'ils méritent d'etre récompensés dans leurs efforts, j'ai pris la décision de mettre à prix la tete des anglais participant à cette guerre. Alors que les choses semblent pliées, et nos troupes succomber face au nombre, je reçoit un message d'Edward, le benjamin des frères de la cote. Il est en possession du dernier drapeau Français et réclame beaucoup de chocolat pour nous permettre d'éviter que les anglais s'en empare. Malheureusement, la pénurie de chocos est terrible et je n'ai pas de quoi lui donner ce qu'il réclame. Je lui propose donc un gros sac d'or pour qu'il puisse en acheter autant que son foie pourra en supporter. Ma proposition arrive trop tard et l'angleterre remporte cette victoire de la jeunesse, pour, esperons le, nous permettre de prendre conscience de nos lacunes dans l'encadrement de notre jeunesse. Le grand respect qu'ont eu les anciens de nos deux nations m'a agréablement surpris. Les débordements et dérapages que je craignais n'ont pas eu lieu. Tout juste la Fédération Des Laches a profité de la situation pour prendre notre avant poste LLG!

Valentin du Fay, "Emouchet" [Suicidé]

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15/12/2005

Posté le 04/05/2007 à 21:44:58

Chapitre 9 : Une politique particulière La guerre contre l'Angleterre était en passe d'être terminée, et c'est à ce moment que je reçu un perroquet m'apportant un message de mon gouverneur. Celui-ci voulait donner en quelque sorte une leçon d'humilité et d'unité à la France. Il me dit qu'il avait réussi à évincer le ministre du commerce et que l'on gérerait désormais les naturalisations comme bon nous semblerait. Son plan était simple : faire entrer autant de monde qui possible en France afin d'égayer la vie quotidienne. Main Noire, bannis, éxilés, tous étaient destinés à entrer dans le cadre de cette politique de naturalisation intensive. Cependant, vu la difficulté d'obtenir des visas, nous ne pûmes naturaliser que deux ou trois personnes. Les tensions étaient de pire en pire avec nos voisins hispaniques. Ils étaient certes désireux d'ouvrir les hostilités, mais j'avais de mon coté quelques "trublions" pouvant leur répondre. Ainsi, je donnais à Momo blanc seing pour expliquer calmement les choses à nos ennemis. Louis-le-Grand ayant été prise par les Anglais, je savais qu'elle passerait prochainement aux mains des Espagnols. Aussi, je fis une incursion nocturne acccompagné de Momo afin d'empécher cela. Le gouverneur espagnol et un autre de ses séides tombèrent sous mes coups, la prise de tour était repoussée, mais pas évitée. Les informations transitaient de manière étrange durant ce mois. Le Lys recevait à coup sûr mes informations et directives, mais leurs perroquets devaient tous mourir en me revenant... Ils ne prennaient pas même la peine de m'informer de l'endroit où ils se trouvaient et de la façon dont ils souhaitaient agir durant le conflit qui se profilait. Les exhortations à la défense et à l'action tombèrent à l'eau, visiblement personne ne voulait agir pendant la guerre, personne ne se souciait du sort de la France, personne ne répondait aux directives... Heureusement, Maitre Sing avait un espion chez les Espagnols, qui souhaitait nous rejoindre et nous aider. En tout cas ce n'est pas avec les 6 bonnes âmes ayant répondu à mon appel que cette guerre se gagnerait. Le 13 Avril 17**, les Espagnols nous déclarent la guerre, je jette un oeil à la disposition de mes troupes. Seul un miracle pourrait nous sauver. Un miracle ou un allié sortit du néant...

Liberty Sing

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27/03/2006

Posté le 06/05/2007 à 09:28:52

Chapitre 10: France terre d'asile

Adriana n'était pas la seule à souhaiter sa naturalisation. Le voyageur pris contact avec moi quelques jours avant la guerre contre l'espagne, me prévenant de la prisede LLG par les espagnols. Gael le hollandais parfois psycoquatrepatte souhaitait également nous rejoindre, dégouté qu'il était du sort que son pays d'origine lui avait réservé en l'envoyant une semaine du coté des ours. Seule une manipulation administrative du gouvernement hollandais ne permis pas à Gael de nous rejoindre de suite, mais ce n'était que partie remise.
Je proposais également à tous ceux qui avaient été bannis de leur nation de nous rejoindre, non pour foutre le bordel en France comme certains pourraient le penser, mais parceque bien souvent personne ne se souvenait des raisons qui avait poussé un gouvernement à les bannir. Russel le vagabond fut parmis eux le seul à nous rejoindre.

La demande d'Adriana évoquée précédemment m'a conduit à un tout autre type de projet. Je savais la main noire au point mort depuis quelques temps.Je proposais à Adriana de faire passer une proposition à son organisation: l'ensemble de a main noire trouvera asile en France.
C'est à l'Irish Rade de Liberty que l'accord fut conclut avec tous les membres influents de la mano (Harry, titus, russel...). Ils preteraient main forte à la France dans sa guerre contre notre ennemi comun, les espagnols, et ils reçoivent la garantie d'asile en france.

Quelques jours plus tard j'apprenais que les délais de naturalisation étaient devenus tels (7 jours) que je ne pourrais tenir ma promesse. La mano, restant dans son créneau de lacheté avant la trahison me fit donc savoir que l'opération était annulée.
Décidémment, avec LLG aux mains des Espagnols, de nombreuses troupes françaises cachant leur position au général et refusant sa coordination, cette guerre allait etre très difficile à mener.

Il était plus qu'urgent de sortir le joker....

Valentin du Fay, "Emouchet" [Suicidé]

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15/12/2005

Posté le 06/05/2007 à 17:39:34

Chapitre 11 : La guerre contre l'Espagne. Ca y est, les Espagnols ont déclarés vouloir nous "punir" de notre arrogance. Les hostilités débuteront dans quelques jours. Je bats le rappel des troupes, reçois plusieurs refus. Les membres du Lys sont au fond des mines du Crâne, ils sont sur le chemin du retour. Enfin c'est ce qu'ils me disent... Je demande du soutien pour reprendre Louis-le-Grand, et en parallèle demande une répartition sur l'ensemble de l'île. Personne ne va au Nord, personne ne va à l'Est... Quatre jours après la déclaration des Espagnols, nous lançons l'attaque de leurs positions. Très vite, le gouverneur réalise une percée et nous donne l'avantage. Le nombre jouant en leur faveur, les Espagnols s'emparent de 3 de nos drapeaux et commencent à les rapatrier. Le lendemain, je demande des renforts autour des dernières positions encore tenues. Un groupe d'une vingtaine de soldats vient défendre la tour devant Port-Louis. Je suis surpris d'y découvrir le capitaine du Lys, ainsi que plusieurs de ses membres. Seule la présence d'Anton m'était connue. Un petit groupe gardait la Grotte du Dragon, et un éclaireur était parti au Nord-Est porter secours à l'un de nos relayeurs. Le deuxième jour, la Garde Noire et des Espagnols firent une percée nocturne. Le carnage fut complet, il s'emparèrent de notre dernier drapeau. Seul le joker de Maitre Sing pouvait nous sauver. Des accords furent passés, il devait éliminer les soldats rapportants nos trophées au gouverneur d'Esperanza. Il failli de peu réussir l'exploit, mais échoua finalement. Des critiques s'élevèrent, Charles de Craon crût opportun de publier les informations dont il disposait. Il croyait sans doute se sentir supérieur, avec ses belles informations inutiles. Il me semblait l'entendre dire "Si vous étiez dignes de confiance, si vous étiez mes chiens, je vous aurais fourni mes informations plus tôt, quand ça vous aurait été utile... Cette guerre était perdue, la France agenouillée, divisée comme jamais. Toutefois, ses faiblesses ainsi révélées allaient peut-être trouver une solution. Le futur m'apprit qu'une fois encore, j'avais été trop optimiste...

Liberty Sing

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27/03/2006

Posté le 07/05/2007 à 19:44:48

Chapitre 12 : L'alliance Un projet me tenait à coeur depuis le début de ce mandat: tester l'éventualité d'une alliance avec les frères de la cote. L'approche de la guerre avec l'Espagne, dans des conditions défavorables, me donnait une occasion inéspérée. Sans prendre contact avec les pirates, j'annonçais en grande pompe au peuple français la signature d'un traité d'alliance avec eux. Les réactions à cette annonce, qui allaient constituer le véritable résultat de ce test, furent plus que réjouissantes. Certes Le Lys , probablement encore traumatisé par la vrai alliance qu'ils avaient conduit sous le mandat de général Charles Athanael de Craon pour instaurer le nouvel ordre sur Liberty, et la déroute qui s'en suivit, n'hésita pas à se prononcer contre la diplomatie de leur gouvernement. J'en viens d'ailleurs à penser qu'il m'eut fallut annoncer une chasse aux pirates pour obtenir de leur part une volonté d'alliance. Bref, certains sont ainsi fait qu'ils ne s'embarrassent aucunement de contradictions quand il s'agit de convoiter le pouvoir. En revanche, le reste du peuple français ne semblait pas s'offusquer de cette alliance. Bien que n'éxprimant pas ouvertement leur accord (probablement pour ne pas etre catalogué "'aspirant pirate"), les français, surtout les plus jeunes, comprennnaient bien qu'il n'existait aucun avantage à s'opposer aux frères de la cote sur cette ile ou deux nations nous vouaient une haine profonde , et ou la dernière venait de rejoindre une alliance à trois! Emouchet n'hésita pas à entrer dans le jeu, et confirma mon annonce. L'artichot espagnol, très vite avertit par un de ses espions (ou tout simplement quelqu'un voulant nuire à cette alliance), mettait sur la place publique cette alliance pour envenimer la situation (mais son intervention montrait la crainte que les espagnols ressentaient de voire une telle alliance se monter). Drake, quant à lui, ne mit que peu de temps pour confirmer cette alliance. Il avait semble-t-il intuité l'issue potentiellement positive pour nos deux communautés de ce test. Malheureusement , la qualité principale des membres du Lys n'étant pas de suivre les consignes d'un gouverneur aux idées différentes des siennes, les échaufourrés ne tardèrent pas à éclater. Malgré cela , et passé la surprise du premier jour, l'étude attentive du registre des hopitaux m'a convaincu que si certains français ne s'étaient pas trompés de cible, les frères de la cote aurait pu faire pencher la balance du bon coté dans cette guerre contr eles pingoins. Ma dernière cartouche fut donc de réexpédier un drapeau français d'Esperanza vers un endroit aléatoire de la carte avec l'aide de 'le voyaheur', une future recrue française. L'opération fut un echec. On ne peut aujourd'hui trouver toutes les raisons de cet echec. Il est pourtant établit qu' Athanael Charles de Craon ayant dévoilé sur notre place privée (que nous savons espionnée avec certitude depuis l'annonce de l'alliance) qu'il recevait depuis plusieurs jours la copie des ordres et consignes du général espagnol, celui-ci réajusta sa vigilence le dernier soir de validation des drapeaux. Ainsi les drapeaux traditionnelement en vente devant Esperanza ne l'étaient-ils plus le dernier jour. 'Le voyageur', pour s'emparer de l'un d'eux, dut sortir sa lame contre un de ses anciens compatriotes à l'extérieur de l'enceinte d'Esperanza. Il perrit et avec lui, nos espoirs s'envollaient. Qu'importe cette défaite qui réveillera sans nul doute l'orgeuil français. Je sais aussi que désormais, à l'exception du Lys, la France est prète à passer le pas. Le prochain gouverneur aura plus de facilité à mener une diplomatie amicale avec la confrérie si tels sont ses projets.

Valentin du Fay, "Emouchet" [Suicidé]

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Posté le 09/05/2007 à 19:23:50

Chapitre 13 : L'alliance (bis) Au vu de la disposition des troupes pour la guerre contre l'Espagne, je savais que l'on courait au désastre. Les membres de la confrérie de la côte ayant quartier libre, je pensais leur demander de nous aider durant ce conflit. Les réponses de mes futurs frères furent mitigés. Comme chacun faisait comme il lui plaisait, aucune ligne de conduite fut tracée et peu décidèrent de réellement nous secourir. Aussi, lorsque Maitre Sing annonça une alliance avec les pirates, je décidai de préter foi à ses dires. Le Lys hurla au scandale et à la mort, mais ne daigna pas pour autant bouger le petit doigt pour éviter un tel traité. Ils justifiaient donc son (hypothétique) existence. De buissons en forêts, de forêts en rochers escarpés, les quelques volontaires que je trouvai durent parfois se heurter aux pirates, parfois les remercier pour le secours qu'ils leur portaient. Une chose était certaine, cette bande de râleurs qu'est "la vraie France" criait toujours plus fort, toujours plus loin au fond des cavernes. S'ils avaient agit comme ils ont parlé, nous aurions sûrement remporté cette guerre. Mais là réside le plus grand défaut de la France. Tout le monde parle, peu agissent. Comme je le disais auparavant, Charles de Craon nous donna les consignes du général espagnol avec un léger retard, ne nous permettant pas d'agir et de retourner la situation. Pour courronner le tout, des espions avaient donné des indications aux Espagnols, concernant le fameux traité signé avec la Confrérire de la Côte. Décidemment, ils tenaient tous à passer pour de sombres crétins, grand bien leur en fasse. Aucun Français n'a crié au scandale lorsque les Anglais ont cédé Louis le Grand aux Espagnols. Aucun non plus n'était là pour les en empécher... J'étais alors soulagé de voir que la décision que j'avais prise, celle de quitter la France pour rejoindre ma vraie famille, était la bonne. Plus rien de bon n'est à tirer en France.

Liberty Sing

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27/03/2006

Posté le 10/05/2007 à 18:35:20

Chapitre 14: Le départ d'Emouchet La fin de ce mandat approchait dans une routine presque prévisible. Le Lys préparait sa campagne pour réinstaurer la Loi, l'ordre..., tout un tas de concepts sans interets sur cette ile ou il est illusoire de combattre les instincts de ses habitants. En privé, je continuais d'expliquer en quoi la politique particulière que nous avions mis en place avec Emouchet n'avait finalement eu que peu de conséquences différentes des politiques classiques et ennuyeuses suivie précedemment, l'hypocrisie en moins. Les rapports que j'entretenais avec Lady Meredith et les nombreux repas que nous avions partagé avaient permis de baisser sérieusement les tensions avec notre meilleurs ennemi. aussi, lorsque le gouverneur Anglais me demanda une protection pour se rendre à Port-Louis, je me permis de lui conseiller de se cacher dans le recoin humide. C'était sans compter sur la perversité d'Albion! La copie des consignes que le gouverneur Anglais envoyait à ses troupes pour préparer le pillage de Port-Louis m'astreint alors à envoyer 'Le boucanier' faire le ménage. Ce ne fut qu'une formalité pour lui de débusquer slaughter et Lady Meredith dans le recoin humide et de les reexpédier vers leur terre natale. Encore une anglaise qui m'a pris pour une buse! A l'avant veille de la fin du mandat, le Général Emouchet vint me trouver pour m'avertir de sa décision définitive de quitter la colonie française pour rejoindre les frères de la cote. Sans trahir les confidences qu'il me fit alors sur ses motivations les plus profondes, j'ai, après l'en avoir avertit, pris la décision de prévenir le peuple Français. Cette révélation ne reçut qu'incrédulité en guise de réaction. Et pour cause, la moitié des français avait focaliser son attention sur ma personne, m'accusant de tous les maux, de toutes les traitrises et d'avoir vendu mon ame. A croire que l'aveuglement était resté la tentation la plus répandue devant l'imprévu! Ainsi se termina un mois très spécial, difficile à gérer compte-tenu du défi engagé, mais extrèmement riche en enseignements. Je laisse le mot de la fin à Emouchet que je remercie d'avoir, malgré son engagement antérieur auprès des frères de la cote, assumé jusqu'au bout son poste de Général.

Valentin du Fay, "Emouchet" [Suicidé]

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15/12/2005

Posté le 11/05/2007 à 18:54:09

Chapitre 15 et fin : La désillusion La guerre contre l'Espagne terminée, je demandais le soutien de cinq personnes afin de rendre à Louis le Grand les couleurs qui étaient normalement les siennes. Le Lys et plusieurs irréductibles partaient dès lors en direction d'Esperanza afin d'en découdre. Cela ne me concernait plus, je n'aspirais qu'à un peu de repos. Aussi afin de me détendre quelque peu, je convenais avec Maitre Sing de révéler mon départ aux Français. Chose incroyable s'il en est, personne n'en fit de gorges chaudes, personne ne se manifesta. Trop occupés à se focaliser sur le gouverneur, ils en avaient presque oublié que d'autres personnes pouvaient agir aussi, ou devrais-je dire plus... Quand l'orgueil chemine devant, honte et dommage suivent de près. Cela n'est pas de moi. Il s'agit d'une maxime que j'ai lu dans un recueil de Gabriel Meurier. Elle prend ici tout son sens. La France bléssée dans sa fierté de s'être faite ridiculiser se précipita au Nord en hurlant vengeance. Ont-ils tout oublié ? Ont-ils oublié qu'en débarquant ici ils étaient aussi inexpérimentés que les débarqués d'aujourd'hui ? Ont-ils oublié que c'est leur propre négligence et refus d'intervenir qui a mené à la défaite ? Ont-ils oublié que le plus important est d'être Français, d'être patriote ? Se rendent-ils compte que l'étiquette est futile, que les congrégations sont de vaines caricatures de fraternité ? Je ne peux plus vivre là, je n'en peux plus des querelles intestines, des débats stériles. Si seulement ils cessaient leurs guerres d'influence, leurs combats de coqs et agissaient ensemble, pour le bien de tous, alors, la France serait une grande nation. La politique de Sing a montré à tous qui sont réellement les gens, comment ils se cachent derrière une institution. Nonobstant cette révélation, je doute qu'ils ouvrent les yeux. Un jour peut-être... Je suis arrivé seul en France, j'en repars seul. Le conformisme les tuera tous, et je pourrai jouir alors de la fraternité et du respect pour les actes et les idées, non pas pour l'appartenance à une institution. Maintenant, seule ma famille m'importe tout comme mon sort l'intéresse. Oui, je vais maintenant vivre selon mes convictions et non plus dans l'intéret de groupuscules. La voila, la vraie liberté. ********************************************************** Aujourd'hui me parviennent les rumeurs de guerre et de trahison. Le gouvernement en place cherche encore à faire briller son institution. Les Hollandais sont méprisés. La France pense leur jeter un os à ronger et les calmer ainsi. Décidement rien n'a changé, peut-être même que les choses ont empirées.

Liberty Sing

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27/03/2006

Posté le 11/05/2007 à 19:10:25

Joli épilogue Emouchet

Nous attendons vos commentaires (s'il y en a!)

Gledstone Mygas

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07/05/2006

Posté le 11/05/2007 à 19:15:45

J'ai suivis avec attention tout le récit! Très intéressant la façon dont se déroule certaines choses, j'ai vraiment prit plaisir à lire

La Verve

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10/07/2006

Posté le 11/05/2007 à 19:28:53

Je suis fan, la façon dont s'est raconté, et comment il est parvenu a ses fins. Je suis fou *saute partout* Ca fait plaisir de voir de tel RP ( j'aime bien les histoires "politiques")

Sesshu