 Le Faux Rhum
|
|
PILLAGE : Votre ville a été pillée par les Français !
|
|
|
|
Auteur
|
Message
|
|
|
Posté le 30/06/2019 à 21:00:02
Pillage de votre ville par ces maudits FRANçAIS !
Ils ont mis la ville à feu et à sang et vidé les caisses de la ville !
Messages des pillards :
Piet "Viril" Van Praat : BOOOOOOOOOOOOOOOOOOOAAAAARRRPPP !!!!
|
|
|
|
|
|
Posté le 30/06/2019 à 21:02:34
 |
|
|
|
|
Chenzu |
|
|
|
|
  |
|
|
Inscrit depuis le :
09/05/2007 |
|
|
|
Posté le 30/06/2019 à 21:02:56
Mouaaarf, j'ai bien cru pendant une seconde que j'étais à Port Louis....mais je trouvais pas ma chambrette. |
|
|
|
|
Maui |
|
|
|
|
 |
|
|
Inscrit depuis le :
20/02/2009 |
|
|
|
Posté le 30/06/2019 à 21:03:47
Voilà ce qui arrive lorsqu'on élit un Général Demi-Dieu !!
Les gars avaient besoin de retrouver de la confiance, c'est fait !! Merci aux Anglais et Hollandais ainsi qu'aux 4Lunes pour leur aide... c'était beau !! |
|
|
|
|
|
Posté le 30/06/2019 à 21:10:29
Après avoir tapé sur toute l'île,
toute l'île a tapé les espagnols ! |
|
|
|
|
|
Posté le 30/06/2019 à 21:11:48
|
|
|
|
|
|
Posté le 30/06/2019 à 21:14:22
*entends les bruits de combat depuis sa cache et pense tout haut*
Dès que le sous-off' Jax a bisbille avec les Espagnols ils ne s'en sortent plus on dirait...
Faudrait quand même pas qu'on pense que j'y étais... |
|
|
|
|
Romuald |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
05/02/2017 |
|
|
|
Posté le 30/06/2019 à 21:25:13
Libérez JAX! Libérez Jax!
Oups pardon p'tite, le coup est parti tout seul
Libérez JAX! Libérez Jax!
Faut pas toucher à notre Jax à nous! Sans lui nos pommiers dépérissent, le cidre tourne, les tatins se retournent (et du coup elles deviennent de simples tartes aux pommes ces connes!!) et nos vaches pleurent ces mains qui ne leur tâtent plus le pis.
Fallait pas les gars... fallait pas... Voyez! L'ile entière s'est dressée tel un seul membre vibrant de colère et de courroux voire de ire. Et comme disait un autre maître dans un autre tribunal qui nous manque encore beaucoup : Bonjour ma colère! Salut ma hargne et mon courroux coucou! |
|
|
|
|
|
Posté le 30/06/2019 à 22:31:26. Dernière édition le 30/06/2019 à 22:48:00
*marmonne une prière puis se signe*
En ce dernier jours de juin 1719 les impies Espagnols ont été vaincus après avoir terrorisé depuis plusieurs mois l'ile. Vaincus par la glorieuse Alliance du Sud.
* Parle de plus en plus fort *
La team rocket c'est donc envolé vers d'autres cieux au grand damn des gueux James, Giovanni et Jessy. Et tout les autres lépreux composant la nation.
*Vocifère*
Le bien a vaincu le mal, les gentils finissent toujours par triompher ce soir votre ville est en feu et en sang ,nous espérons bien que vous pleurez vos mort. Ahaha
Maintenant excusez moi j'ai à faire avec vos biens ! Manger, boire, jouir de la vie en somme !
A votre santé les pingouins ! Et s'est garantie sans sel la sangria!! Où alors cela devait être celle chez Giovanni que l'on m'a ramené ? |
|
|
|
|
|
Posté le 30/06/2019 à 22:48:04
|
|
|
|
|
|
Posté le 30/06/2019 à 22:56:09
Et cessez donc vos Chinoiseries, votre compatriote n'a rien à avoir là-dedans. Il nous a pas du tout aidé ou facilité la tâche. Mais quel honte d'accuser injustement un des membres de sa nation de traîtrise pour cacher votre DÉFAITE CINGLANTE! Ahahaha |
|
|
|
|
|
Posté le 30/06/2019 à 23:05:14
Ne vous inquiétez pas, le message a été fort bien reçu. |
|
|
|
|
|
Posté le 30/06/2019 à 23:07:16. Dernière édition le 30/06/2019 à 23:08:17
L’Espagne n'oublie pas, on a baissé notre garde et votre éclat de ce soir n'est qu'illusion comparé au futur, écrit ce soir, chantez, buvez, tripoté vous notre sang tape dans notre cœur et l'amour de notre chère Esperanza brillera toujours dans notre regard! |
|
|
|
|
|
Posté le 30/06/2019 à 23:21:44
Rien de bien surprenant, camarades ! Dès que les forces coloniales sentent poindre ne serait-ce qu'une légère menace, elles envoient assez de troupes pour écraser numériquement toute rébellion. Mais nous savons notre mission vertueuse, nous finirons par triompher des royalistes ! |
|
|
|
|
|
Posté le 30/06/2019 à 23:37:36
Les gros salopiauds, en plus de s'acharner après une guerre ils nous ont attaqués pendant une épidémie de moustiques en s'y mettant à toute l'ile pour compenser leurs médiocrité.
Vraiment cela prouve que vous n'arrivez à quelque chose que lorsque les espagnols sont absents en faite.
|
|
|
|
|
|
Posté le 30/06/2019 à 23:59:13. Dernière édition le 30/06/2019 à 23:59:52
C'est un constat que nous partageons, effectivement, m'sieur Jean le paludier. Nous compensons notre médiocrité martiale et logistique par un savant mélange d'opportunisme et d'alliances douteuses. C'est chagrinant. Tout autant que vous, nous aspirons à un bel affrontement où l'issue ne sera pas connue d'avance. Mais avouez que nous vous donnons une nouvelle bonne raison de nous chercher querelle...
et qu'on peut dès à présent entendre les menaces de vos généraux poindre à l'horizon
|
|
|
|
|
|
Posté le 01/07/2019 à 01:33:52. Dernière édition le 01/07/2019 à 09:12:07
Ce matin, dans la crypte, Jax avait pris soin de noter sur un petit papier un message très important, déjouant la surveillance de ses gardiens un instant. Puis l'avait glissé dans sa bouche. Toute la journée, il avait cherché à enrouler le billet autour d'une pierre, dans un bouteille, n'importe où, mais il n'avait pas su endormir les gardiens extérieurs. mais ce soir, alors qu'il aidait, sous le regard haineux d'hispanique, à éteindre les incendies, se précipitant au puit, il agrippa, en mème temps que le seau, un gros éclat de mortier, et, se précipitant pour refomer sa chaîne humaine, il profita d'une seconde où les geôliers tentaient eux aussi d'éteindre les incendies pour jeter, rageusement, le petit papier, par dessus les murailles, espérant qu'un français en fuite le récupèrerait. Ou au moins un hollandais.
Il se souvenait de chaque mot. et surtout des quelques ajouts de dernières minutes, d'une couleur plus claire car le charbon s’émiettait sous ses doigts:
"Le singe hurleur reste au cocotier jaune. Le singe hurleur est là, que les vétérinaires restent ne fassent pas de service de nuit. Le singe n'a pas besoin de s'échapper, la cage est assez grande.
Je suis fier de vous. Tous. Maintenant, dispersez vous, prenez soin de vous. Je reviendrais quand le devoir sera accompli. J'étais fier d'être en ville quand tout c'est produit. Fils et Filles de Hollonde, Fils et Filles de Fronce, vous avez mérité de vos patries. "
Sans un mot, sans même semblé s'etre arrété dans son mouvement, Jax entreprend de courir chercher de nouveaux seaux d'eau. Le sang d'un médecin coulait en lui, il n'aimait pas sentir le parfum de la mort ou voir des incendies.
Et puis surtout, son sang de médecin, il aimerait bien y rester, à couler dans ses veines. Alors, sans fanfaronnade mal placée, avisant les coutelas des geôleirs, Jax ramenait de l'eau. Il aurait pu user de scalpel mais on refuserait un temps de le voir avec un outil tranchant pensa-t-il.
|
|
|
|
|
Romuald |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
05/02/2017 |
|
|
|
Posté le 01/07/2019 à 08:46:03
Quand Romuald avait reçu le message du nouveau général, il était déjà bien au Nord, là où il avait surpris la glaciale, mais néanmoins gironde, Felicia et son drapeau; enfin plutôt notre drapeau.
La guerre était gagnée et le français s'était mis en route pour visiter ce Nord si peu accessible sauf à aimer manger de la soupe au plomb. Après la guerre viendrait la paix; il en était sûr.
Et voilà qu'il apprend qu'une Esperanza revancharde a capturé le Ministre du Commerce de Port-Louis et réclame en échange l'intendant Jax, l'un des artisans de leur défaite. Romuald ne connait que trop bien cet orgueil hispanique, source de tant de vendettas centenaires et de morts inutiles. Mais Jax! Notre Jax!
Comment accepter qu'il soit livré à leur vindicte sans que l'on sache bien ce qu'ils en espèrent. En veulent ils à un de ses saucissons planqué dans une poche de sa veste? Une recette de sangria aux pommes? Ont ils peur qu'il dénonce aux yeux de tous que leurs allégations sur l’existence d'armes de destructions massives à Ulunguen n'est que manipulation pour justifier une guerre qui ne vise qu'à s'emparer des stocks de goudas et d'herbe qui fait vomir?
Alors l'appel à attaquer Esperanza lui a semblé logique. De même que tous se coalisent face à cette infâme manipulation. Certes, il lui a semblé étrange que la libération de Jax ne soit pas explicitement citée comme la justification de cette attaque mais pouvait il en être autrement?
Romuald a commencé à aiguiser son arme et s'entrainer à la technique du derviche tourneur dans l'espoir que cette fois les balles voleraient bas. Certes, un nettoyage préalable était prévu par nos amis flamands, sans doute ulcérés qu'on les accuse de produire en masse du gouda assaisonné au staphylocoque; mais il ne savait que trop bien qu'il suffit d'un instant d'inattention pour se retrouver aussi chargé de plomb qu'un Piet peut l'être de rhum.
Le signal a été donné! Il a croisé quelques hollandais qu'il a courageusement laissé passer devant. Puis enfin il est entré dans la ville déjà en flamme et les rues poisseuses de sang. Autour de lui, les cris des femmes sur les corps mutilés de leurs hommes, fils ou époux, quand d'autres errent le regard vide, essayant de retenir leurs habits déchirés pour masquer leurs cuisses souillées.
Une espagnole armée surgit devant lui. Il a sa rapière à la main, et sans réfléchir il sabre de quarte. Elle s'écroule, en sang.
Bon sang! Il réalise alors que la menace n'en était pas une. Il se penche vers elle et constate qu'elle vit encore. Il lui pose un rapide bandage et sort un pansement... forcément, il tombe sur le seul qu'il a. Il hésite un instant car c'est quand même un souvenir avant de le poser sur une blessure que la jeune Miranda s'est faite au front en tombant.
Il ne reste qu'à lui laisser un petit remontant en espérant que ce ne soit pas trop fort pour elle.
Aller! Il est temps d'aller occuper ce point stratégique que le général lui a demandé de tenir.
Tout en courant au milieu de la fureur et des cris, il voit passer plusieurs silhouettes connues. Mais tout cela passe comme un rêve, un rêve de sang et de fumée, une fumée âcre qui prend à la gorge et pique les yeux. En parlant d'avoir les yeux qui piquent! Ce ne serait pas Chenzu qui vient de passer? Ainsi donc les godons sont aussi de la partie! Il ne manquerait plus qu'il tombe sur Howell Davis...
"JAX! JAX! Où es tu?"
Il crie mais dans le brouhaha ambiant qui peut l'entendre? Des enfants en pleurs passent devant lui et ne semblent même pas le remarquer. Il ne peut pas partir... pas encore! Il a des ordres et doit tenir. Et alors, il le voit.
" JAX! JAX! JAAAAX!"
Mais il n'y a déjà plus que cette torride rouquine hollandaise pour l'entendre. Pourtant il est persuadé que c'est bien Jax qu'il vient de voir passer, courant, un seau à la main, l'air éperdu. Était il vraiment nu? Tout est allé si vite! Il est donc libre? Il est liiibre Jax! Il y en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler... Mais bon! S'il fallait croire tout ce qu'on dit. Nous avons réussi!!
Peu à peu, un calme relatif revient. Seuls les cris de victoire des attaquants retentissent encore dans les rues désormais désertes. Romuald remonte vers la fontaine dans laquelle urine un Piet passablement... passablement comme d'habitude quoi. A se demander comment il n'a pas pris feu avec une haleine aussi chargée.
D'autres sont là qui entourent le séduisant ministre du commerce espagnol. A se demander si Kalliopé n'use pas d'excuses pour prolonger sa proximité avec l'hidalgo. Elle nous la joue mère des draps ronds avec ses comptes de banquière en acier. Romuald se rappelle alors sa seule victime de la soirée et constate qu'elle a déjà été emmenée par les brancardiers. Pris de remords, il glisse une bourse d'or à son attention dans les mains d'El Gregorio.
Puisque Jax doit désormais déjà être loin, en route pour Port-Louis, il n'est plus temps de s'attarder. Surtout après que Kristal et Kalliopé aient quitté les lieux. Ca sent un peu trop la testostérone... et l'urine aussi! Putain! Il pisse des litres le Piet! Une vrai femme fontaine ce gars!!
En quittant Esperanza, Romuald a une pensée émue. Cette ville a quand même été le théâtre de son premier pillage, mené à l'époque par l'Ecumeur... et sa première rencontre avec un Elliott qui l'avait alors épargné. Parfois, le plus important n'est pas la victoire ou la défaite... mais bien la rencontre.
|
|
|
|
|
Big |
|
|
|
|
 |
|
|
Inscrit depuis le :
22/01/2019 |
|
|
|
Posté le 01/07/2019 à 14:36:26
Soupèse une bourse d'or et pense tout bas, vas peut être falloir que j'épargne, demain je commande un râtelier complet en or chez le dentiste.
y'a pas à dire l'odeur du sang et chorizo flambé, ça rapporte. |
|
|
|
Si vous souhaitez répondre à ce sujet, merci de vous connecter. |
