J'ai deux paquets à faire livrer en bonne santé à Espéranza. Blond. Avec des bouclettes pour l'un d'eux. Un peu babillards mais très mignons. Mais ça fait une semaine qu'ils bouffent à l'oeil ça commence à grever le budget. Vous en mettez combien en tarif postaux? parce que sinon on les garde par devers nous! Ils seront parfaits en commis de cuisine!
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Si cela est plus clair ainsi Et qu'il faut en venir aux mains Toujours trouverons nous sauf conduit Halte là! Restez loin de PL, Vilains!
Ellipse que de votre pillage Triste soir, funeste matinée? Sinon devrait demander comatage Irrationnel de vos petites bouilles adorées Restons là, brisons là, cessons là Inimité meurtrière ne vaut vie d'innocents Unissez donc vos soldats Sans passer par nos bâtiments
Si j'ai là parole céans Ouvrirais-je les portes de la ville N'enfants, parents, adultes, pourront voguer librement Tous pourront filer à travers l'Île
Nous n'aimons guère les chaînes, les menottes, ou les rets Offrons gîte et couverts, sommes de joyeux drilles! Souffrez donc que vos filles, vos fils, puissent filer!
Halte là donc ici, rentrez armes et tromblons Otez vos belliqueuses, violentes intentions, Tout à couteaux tirés, n'amènera nul bon Et par la malleposte, vos bambins rentreront Souquez les artimuses, barrez loin de nos ponts!
Posté le 12/07/2019 à 00:16:44. Dernière édition le 12/07/2019 à 08:23:16
Pouh! mon cher! Voilà qui a au moins le mérite d'être clair! Nous allons donc devoir appliquer même consigne? Bravo pour la célérité et la mesure de votre approche!
Édith me signale que, devant la situation et voulant éviter la vue du sang aux enfants, ceux ci ont êtes renvoyés gracieusement et sans contrepartie par la roulotte médicale. Gageons qu' aucune attaque de bandits ne viendra les empêcher d'arriver à destination...
Pourrais-je avoir une autorisation afin de passer une soirée sereine ? Je suis passé par Esperanza ce matin, je devais m'entretenir avec la veuve et le mendiant. J'ai même fais une bise en passant à Gregorio et Cas. Cela faisait longtemps que je ne les avais pas croisé. Je suis non loin de la tourelle maintenant et me trouve bien trop épuisé pour reprendre ma route plus loin. Serait-il possible d'avoir une autorisation ?
*revient après quelques jours d'absences.. Les papiers s'étant quelque peu entassées sur son bureau..*
"Fichtre... mais comment faisait Walter pour ne rien faire et ne pas avoir de papiers à signer.... Il devait tout faire brûler je ne vois que ça. Nymphéa je vous ai autorisé, j'ai confiance en vous puisque vous avez été l'une des nôtres.. Mais n'oubliez pas qu'une autorisation se prend avant d'être sur le territoire et non après... Votre compatriote n'a pas eu autant de chances que vous.."
Slau et moi-même avons de nouveau besoin de venir en votre belle cité afin de faire de nouvelles emplettes (il y a tellement de belles choses par chez vous).
Voici de quoi vous désaltérez Monsieur l'intendant :
Epona retire le C/C d'historique et rappelle la charte: "Je respecte les sujets "RP" et ceux qui ne le sont pas en ne postant pas sur ceux qui ne me plaisent pas. (Un sujet Rp doit finir Rp et vice versa)".
Un C/C d'historique n'étant pas RP, en plus d'être moche, merci de s'en abstenir
De retours dans vos contrées, je souhaitais obtenir un sauf conduit pour quelques jours. C'est que... les quête données par votre gouverneur me font cavaler un peu partout sur cette île...
En attente de votre réponse, passez une bonne journée TF
Posté le 29/07/2019 à 21:45:48. Dernière édition le 29/07/2019 à 21:46:53
Ne sait pas trop qui elle regarde.
" Mon p'tit, m'faudrait passer par ton village pour trouver ma sauge. Mais j'avoue que ma vue a un peu baissée et m'faudrait un gros bras musclé pour me guider et m'escorter dans vos contrées... Un des gardes ferait l'affaire!
Nouna a offert de beaux bracelets mayas au jeune Manuel, attention les yeux!"
"Non mais pour qui elle se prend la vieille pour m'appeler "mon p'tit"" marmonne-t-elle
Reprenant une respiration plus calme, elle enchaîne en s'adressant à la momie Mami.
"Estimada Seno..."
La silhouette se tord en deux et se mets à tousser, laissant croire qu'elle allait cracher ses poumons. Reprenant ses esprits, elle balaye sa main devant son visage afin de chasser la fumée que la quémandeuse répand.
"Et en plus elle va nous asphyxier..." Marmonne-t-elle à nouveau
Après s'être raclé la gorge, elle embraya à l'attention de la dame
"Bon... Je ne vous connais pas mais vous ne me plaisez guère... Cependant, dans ma grande mansuétude, je m'en vais requérir l'opinion de mes estimables compatriotes. Si vous ne leur avez point causer de tort, je reverrai mon jugement. Vous en serez la première avertie...
Ou pas..."
La silhouette prend congé en continuant de tousser de plus belle, pestant après son interlocutrice.
Slaughter et moi-même aurions de nouveau besoin d'une autorisation pour revenir dans votre belle cité. Nous aimerions aller faire un tour dans votre magnifique bibliothèque qui regorgent de beaux et intéressants livres.
S'il faut envoyer un petit quelque chose à quelqu'un dîtes le moi et je le ferai.
Je vois que mon prédécesseur vous avait déjà autorisés, cela ne posera donc pas de problème. Nul besoin d'envoi, je ne suis pas vénal. Je vous laisserai le soin d'être agréables avec mes compatriotes et, si vous le souhaitez, pourrez laisser un petit présent a nos jeunes que vous croiserez.
Il ne semble pas y avoir de barrage a votre obtention d'un sauf conduit sur nos terres. Je vous laisse donc 4 jours. Gageons que votre attitude sera exemplaire envers mes pairs...
Lord Byron avait-il /a-t-il l'autaorisation de fouler les terres espagnoles ? Plus précisément : L'entrée de la prison d'esperanza est-elle considérée comme terre espagnole ?
Il n'y avait aucune autorisation active depuis plus d'une semaine. L'entrée de la prison espagnole est littéralement et géographiquement considérée sur nos terres.
Je sollicite par la présente une autorisation - de longue durée, si possible, à votre meilleure convenance toutefois - de traverser les terres espagnoles de Liberty ainsi que de découvrir cette ville d'Esperanza dont je n'ai entendu parler qu'en termes élogieux par chacune de mes rencontres faites dans le cadre des menues besognes - aussi désignées "quêtes" - que j'effectue pour le compte d'autres.
Je ne manquerai pas de donner un coup de pouce aux jeunes espagnols qu'il me serait donné de croiser tout au long de mon périple sur vos terres.
D'avance merci pour la suite que vous donnerez à cette requête, en espérant qu'elle soit positive.
Votre patronyme ne m'est pas inconnu et, il me semble avoir entendu parlé de vous récemment. Je vais me donc me renseigner un petit peu plus en détail sur votre compte avant de vous délivrer ce sauf conduit. Si jamais vous avez des choses ou actes à confesser, il n'est jamais trop tard mon brave !
Bonjour cher homologue. J'aimerais pouvoir honorer ce repas diplomatique que nous avions prévu, ainsi que parler à un vieil ami. Serait-il possible de bénéficier d'une autorisation de passage à Esperanza, pour moi mais également pour mon Général, Voynich?
Et bien, il n'aura pas fallu longtemps pour que l'on essaie de me dépouiller... Malheureusement pour lui, le Sieur Micah Bell semble être meilleur tireur que tire-laine... Il est aussi discret qu'un auroch dans un magasin de porcelaine et ce ne fut pas difficile de le prendre la main dans le sac...
Ôtez-moi d'un doute: l'autorisation espagnole couvre bien le vol ou tout du moins ses tentatives infructueuses?
Par la présente, j'accuse bonne réception des précisions apportées par Sir El Ombre en privé.
Senor Intendant, j'ose espérer que mon comportement exemplaire en vos murs pourrait vous faire envisager de prolonger mon autorisation en terres espagnoles...
En son for intérieur, Céline n'en revient pas. Elle demande une autorisation. Elle qui a toujours saisi ce qu'elle voulait. Sans rien demander à personne. Et pourtant, la voici au bureau de Don Djezous.
Il y a un début un tout. Mais la pilule est quand même dure à avaler...
- Don Djezous. J'ai constaté ces derniers jours que l'Espagne est à cheval sur... la paperasse... C'est pourquoi je vous demande une*elle murmure alors le mot telle la plus grosse des injures*autorisation pour passer à Esperenza...
Elle dépose au passage une feuille de papier pliée sur le bureau du gouverneur à son attention...