 Le Faux Rhum
|
|
St Valentin - jeu concours
|
-1- 2 |
|
|
Auteur
|
Message
|
|
Lisbeth |
|
|
|
|
  |
|
|
Inscrit depuis le :
08/05/2020 |
|
|
|
Posté le 11/02/2022 à 17:47:09
Oyez ! Oyez !
Vous n'avez plus que deux petits jours pour préparer cette St Valentin, l'occasion de déclarer votre flamme à l'élu (e) de votre coeur, à gâter votre fiancé (e), votre époux (se), votre amant/maîtresse ou qui vous voulez !
Les couples en profitent pour échanger des mots doux et des cadeaux comme preuves d’amour ou des roses rouges qui sont l’emblème de la passion, mais faut avouer que c'est aussi un sacré casse tête !
Alors plus la peine de chercher le cadeau original qui la-le comblera ! je vous l'offre sur un plateau !
Venez tenter votre chance ! Je vous propose un petit jeu-concours !
Envoyez-moi vos poèmes, chansons, dessins, messages anonymes ou pas, je les posterai qu'ils soient signés ou non afin de garder l'anonymat des plus timides.
Humour, tristesse, amour et pourquoi pas haine, tout est permis !
J'offre au gagnant un séjour privatif sur mon île, un petit paradis rien que pour vous, à la date de votre choix.
Les textes seront publiés d'ici le 14 et le gagnant annoncé dans la soirée A vos plumes !  |
|
|
|
|
Lisbeth |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
08/05/2020 |
|
|
|
Posté le 12/02/2022 à 11:12:27. Dernière édition le 13/02/2022 à 20:30:33
1.
pour lancer le concours, un Haïku ! L'auteur souhaitant restant anonyme !
Chacune sans égale
Et nulle comparaison.
D'un amour brulant.
|
|
|
|
|
|
Posté le 12/02/2022 à 14:14:32
[ Message Modéré ]
2.
Une inconnue entre et tend une lettre à Lisbeth.
Mademoiselle, merci de bien vouloir lire cette lettre avec passion !
Monty mon trésor, ma grosse Grenouille mon gros Chorizo. Mon nom est collé au tien, comme la merde au cul de Cole. Mon cœur est collé au tien, comme ta perruque sur ton crâne dégarni. |
|
|
|
|
|
Posté le 12/02/2022 à 14:15:03
C'est beau ce que vous dites Tatie4 oui-oui ! |
|
|
|
|
|
Posté le 12/02/2022 à 14:17:52
Part en courant avec le raton.
Bordel, je t'avais dit de rester sur le pont !! On va nous reconnaître ! |
|
|
|
|
|
Posté le 12/02/2022 à 14:21:09
"Y'avais plus de fromage oui-oui !"
*le rat s'enfuit avec sa Tatie*
|
|
|
|
|
Lisbeth |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
08/05/2020 |
|
|
|
Posté le 12/02/2022 à 14:59:18. Dernière édition le 13/02/2022 à 20:31:13
3.
quel beau message ! on devine bien la passion entre ces deux tourtereaux !
Allez un peu de sérieux maintenant, nouvel auteur anonyme
L'aube d'un soleil d'été.
Sous les fins rayons de soleil,
Tu m'as, douce amie, envoûtée.
Sous sa lumière, des merveilles...
Que longtemps j'avais oublié,
Tu m'as refait découvrir et goûter.
Las, pour moi, l'automne pointait déjà,
Et dans d'autres fruits défendus,
Tu as croqué, tu t'es perdue,
Un coquin sous un costume de goujat.
Et entre mes mains tu t'es évaporée.
L'hiver, alors glacial, vint sans attendre.
Et transis, impuissant, je te voyais,
Perdue, éperdue, dans d'autres danses tendres,
Te perdre à raison, et restais là inquiet,
Impuissant, de cette course folle t'épuiser.
Puis vint le printemps plein de promesses.
Pour toi... Te rendant plein de liesse.
Pour moi, rien de cela, acteur sans pouvoir,
Je ne pouvais que te regarder plein d'espoir.
Non de te ravoir, non... Mais te de savoir comblée.
Traitre est cette saison. Et ses inondations.
Des larmes, pour toi, qui fut trahis encore une fois.
De loin je vis cette rage, cette colère t'habiter.
Et toujours, malgré tout, ma présence à tes côtés,
Qui nous amène pour nous, enfin, oui absolument,
À l'aube d'un soleil d'été
|
|
|
|
|
Lisbeth |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
08/05/2020 |
|
|
|
Posté le 12/02/2022 à 16:31:17. Dernière édition le 13/02/2022 à 21:22:17
4.
Sous non nom d'artiste, un talent évident, quel plaisir de vous lire Messieurs !
P arce qu'il n'est fleurines plus seyantistes
Ou plus rayonnisantes en naturelle
Une promenadette providentielle
Récompensoit plus qu'un métier de fleuriste
Fou fus-je, de ce monde rien ne me chaille
Aussitôt ma pensée s'étouffa à cet arôme
Y sentis-je jamais plus généreux baume
Et dedans ma cuirasse, trouva la faille.
J. Chenanonyme.
Mesdames ! qu'attendez vous ! Il faut parfois oser faire le premier pas ! Ce n'est pas réservé qu'aux hommes ! |
|
|
|
|
|
Posté le 12/02/2022 à 17:21:16
[ Message Modéré ]
5.
*la Tigresse rangeant des affaires au repaire dans le but avouer de retrouver ses travaux sur le code pirate retrouver un souvenir fort à propos.*
 |
|
|
|
|
Lisbeth |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
08/05/2020 |
|
|
|
Posté le 12/02/2022 à 18:43:54. Dernière édition le 13/02/2022 à 20:32:01
6.
magnifique affiche !
passons à un autre poème, certains sont très inspirés ! bravo !
Hooo toi la mémoire des pirates,
Perle inaccessible dans sa coquille.
Laisse moi un instant espérer avec toi une danse.
Hooo toi, maîtresse des règles, vient me punir, toi sans foi ni lois.
Oui je suis sur au fond, Que de la romance est la solution.
Ouvre toi à moi, laisse moi pénétrer tes intimes pensées
Je suis sur que sous ce foulard, comme les autres se cache aussi une petite fille éplorée.
Hoooo toi qui finit part broyer du noir. Libère toi de ton rôle si daté,
Car l'on sait tous que sous le noir, c'est le rose qui a gagné |
|
|
|
|
|
Posté le 12/02/2022 à 19:04:08. Dernière édition le 12/02/2022 à 19:09:37
[ Message Modéré ]
7.
La demoiselle m'ayant "calqué les fesses" en sortant du Coffee Shop et ayant glissé ceci dans ma poche
Est priée de venir la récupérer avant que l'intendante ne la trouve |
|
|
|
|
Lisbeth |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
08/05/2020 |
|
|
|
Posté le 12/02/2022 à 21:14:52. Dernière édition le 13/02/2022 à 20:32:20
8.
hum oui ... Monsieur Renat, en effet, les petites annonces sont permises aussi ! en espérant que la propriétaire de ce ...sous vêtement puisse rapidement venir le chercher sous peine de voir la foudre s'abattre sur elle.
Ah ! Je crois que nous avons enfin une femme qui ose s'exprimer sans laisser son nom mais c'est déjà énorme !
Je rêve de capturer dans mes rets ce gibier de choix.
Habile chasseur il esquive mes tentatives disparates
Tisse tisse doucement.
Comme une toile lentement.
Je le ferre avec tendresse, un animal pareil se manipule prudemment.
Qui sait combien, qui de ses cornes, d'étourdis il a éventré.
Tisse tisse doucement,
Dans le sommeil éternellement.
Voilà, il est tout à moi. Groguis par nos ébats, amorphe, il ne voit plus.
Enfin, l'animal porte des œillères, loin déjà il les avait dus,
Tisse tisse doucement
Mon repas satisfaisant.
Pourtant un goût amère, voilà qu'une merveille de l'île n'est plus.
Un séducteur sans pareil dans ma toile s'est perdu. |
|
|
|
|
Lisbeth |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
08/05/2020 |
|
|
|
Posté le 12/02/2022 à 22:03:58. Dernière édition le 13/02/2022 à 20:32:32
9.
un nouveau Valentin qui souhaite garder l'anonymat,
désespoir et incompréhension, souhaitons lui plein de courage dans sa quête de vérité.
Oh baby Bougnette,
Pourquoi tu m'HS,
Comme dans une brouette,
Une balle dans la tête,
Quand je regarde tes yeux,
Et que je vois des oeufs,
Alors que je t'ai,
Mais rien fait du touuut! |
|
|
|
|
Lisbeth |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
08/05/2020 |
|
|
|
Posté le 12/02/2022 à 23:14:19
Le rideau se ferme pour ce soir !
demain sera riches en émotions si on se fie aux volatiles qui virevoltent dans la nuit ! |
|
|
|
|
Lisbeth |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
08/05/2020 |
|
|
|
Posté le 13/02/2022 à 08:34:25. Dernière édition le 13/02/2022 à 20:32:49
10.
Pour débuter cette journée en douceur, un auteur (trice) anonyme,
est ce que ses rêvent plein d'espoirs deviendront réalité ?
Je te vois dans mes rêves
Mon âme est attirée vers cette diffuse présence,
Cet abris rassurant, cette heureuse chance.
Mes mains tendent à saisir cette douce chaleur,
Glissant entre mes doigts, s’immisçant dans mon cœur.
Viens à moi, goûter le vin doux de mes lèvres,
Danser avec moi, partager ma tendre fièvre.
Allons visiter des dimensions inconnues,
Partons main dans la main, sans trop de retenue.
Viens glisser sur ma peau, ce pré baigné de fleurs,
Dans un souffle haletant, je t'espère avec ardeur.
Par la puissance de notre lien, immuable gardien,
Je sais que tu trouveras le chemin... |
|
|
|
|
Lisbeth |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
08/05/2020 |
|
|
|
Posté le 13/02/2022 à 10:48:46. Dernière édition le 13/02/2022 à 20:33:04
11.
Les femmes de la confrérie continuent de susciter le désir et une passion difficilement contenue
Dans un champs de rouge je t'ai vu éclatante. Violine là, violente ici.
Écrasant de tes grands pieds, tes ennemis sans merci.
Je sais bien que tu es femme prise, amenée au marieur.
Mais de cette pale copie de ta splendeur,
Je ne peux dans le silence me résoudre.
Et de tout cœur, mon âme t'absoudre.
Change d'homme (ce qu'il en reste), de couleur.
Prend celle de ma vie (tout de moi), de mon cœur.
Les changements font peur, mais ma foudroyante, je serais là.
Du coiffeur au tailleur, je ne te quitterai pas d'un pas.
Alors sans plus attendre, je me lance.
Oui toi la seconde de la chimère.
Ne me laisse pas bercer dans les miennes.
Rejoins moi. Ici, maintenant, là.
LM. DJM
|
|
|
|
|
Lisbeth |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
08/05/2020 |
|
|
|
Posté le 13/02/2022 à 11:51:15. Dernière édition le 13/02/2022 à 20:33:31
12.
On sent l'auteur peu à l'aise avec l'eau mais il l'est sans aucun doute avec la gente féminine
Encore un jour de pluie,
Arriverais-je à le parer,
Je prend le bateau,
Encore plein d'eau,
Enfin la terre, la plantation,
J'ouvre la porte,
Grande est la tentation,
Des chaussures plein l'armoire,
Et encore une baignoire,
Ah mais y'en a marre
|
|
|
|
|
Lisbeth |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
08/05/2020 |
|
|
|
Posté le 13/02/2022 à 12:29:29. Dernière édition le 13/02/2022 à 20:33:47
13.
Un autre haïku ! j'aurai pu l'écrire tant je me reconnais à travers ces quelques mots mais je n'ai pas le talent de ce M.
Devoir lâcher prise
Comme se redécouvrir
Aimer à nouveauM.
|
|
|
|
|
|
Posté le 13/02/2022 à 12:54:26
[ Message Modéré ]
14.
Oh Toi, Mon Bel Amant…
De toute ta quiétude, tu sais m'apaiser.
De toute ta fougue, tu sais me me faire chavirer.
De tous tes attributs, mes sens sont aux aguets.
De tous tes trésors infinis, tu me nourris.
Au clair de lune, je peux voir tes côtés les plus sombres.
Mais le soleil te fait irradier de milles feux.
Ces deux éléments s'accordent chaque jour, chaque nuit.
Pour te parer et révéler ta beauté dont je ne pourrais jamais me passer.
Et quand les étoiles s'invitent à notre fête, j'en perds la tête.
J'aime tes assauts, qu'ils soient doux ou puissants.
J'aime ton souffle qui caresse mon visage.
J'aime ton odeur qui ne me donne pas envie d'être sage.
J'aime ce sentiment de liberté que tu fais naitre en moi chaque fois que je te vois.
J'aime par dessus tout sentir tes va et vient m'assaillir, et qui me pénètre au plus profond de mon être.
Je t'aime…
Oh Toi, Mon Bel Océan…
|
|
|
|
|
|
Posté le 13/02/2022 à 14:54:04. Dernière édition le 13/02/2022 à 14:55:46
[ Message Modéré ]
15.
Une bouteille de rhum (sans rhum heureusement) arriva flottant sur les flots.
A l'intérieur, une feuille roulée, comme un parchemin, mais maculée de quelques tâches de gras. Un peu de sauce tomate aussi, dans le coin en haut à gauche, à moins que... du sang?
Bien sûr nous eûmes des ratages
C'est dur, réussir les ravioles
Mille fois tu ratas ton glaçage
Mille fois je lâchai mon bol
Et chaque assiette se souvient
Dans cette cuisine sans plateau
Des p'tits plats des bonnes galettes
Plus rien ne ressemblait à rien
Tu avais perdu le goût de l'eau
et moi celui de l'anisette
Mais mon Buddy
Mon doux mon tendre mon merveilleux Buddy
De l'étagère jusqu'à la plaque du four
Je t'aime encore tu sais, je t'aime
Moi je sais tous tes œufs en neige
Tu sais faire le vol-au-vent
Tu m'as préparé des gauffres de Liège
Je t'ai rôti des ortolans
Bien sûr tu pris un bon jambon
Pour accompagner les tourtons
Il faut bien goûter ces choses
Finalement, finalement
Il nous fallut bien du talent
Pour cuisiner sans qu'tout explose
Oh mon Buddy
Mon doux mon tendre mon merveilleux Buddy
De l'étagère jusqu'à la plaque du four
Je t'aime encore tu sais, je t'aime
Et plus le plat nous prend au piège
Et plus on y met de piment
Mais n'est-ce pas un sacrilège
Que d'épicer un tant pour tant
Bien sûr tu poivres un peu trop tôt
Je sale un peu plus tard
Nous cuisinons des cuisses entières
On enduit la viande de moutarde
On la grignote jusqu'aux os
Alors il n'en restera guère
Oh mon Buddy
Mon doux mon tendre mon merveilleux Buddy
De l'étagère jusqu'à la plaque du four
Je t'aime encore tu sais, je t'aime |
|
|
|
|
Lisbeth |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
08/05/2020 |
|
|
|
Posté le 13/02/2022 à 14:59:00. Dernière édition le 13/02/2022 à 20:34:31
16.
Et si on remplaçait Océan par l'élu de son coeur, ça fonctionne merveilleusement bien ! super poème !
A l'heure de la sieste les romantiques ne chôment pas ! les amants secrets non plus !
Toi, qui est si ravissante dans ta non tenue.
Du bout des orteils à la pointe de tes seins nus.
Je sais que tu es une femme mariée,
Mais je ne peux me résoudre au silence.
Surtout quand tous le monde sait,
À quel point ce bougon assène sa pestilence.
Fuit, vient me rejoindre, vivre avec moi.
Je suis peu riche de sous mais de cœur millionnaire
Et même ta fille sera la mienne, avec la nôtre feront la pair
Alors vite part, court, vole, rejoins moi.
Je t'attend, où tu sais, souviens toi de ce qu'on s'est dit,
Je sais que le secret était dû mais je n'en peux plus.
Vite. Rejoins moi dans notre paradis.
LP. |
|
|
|
|
|
Posté le 13/02/2022 à 15:54:43
[ Message Modéré ]
17.
Tombée du nid, tu m'as recueillie.
Panseur de mes fraîches blessures,
Tu m'as parée de la plus belle armure.
Souvent mon protecteur, toujours mon précepteur.
Tu m'enrichies et je m'épanouie.
Plus rieur que râleur, et certainement pas beau parleur,
Tu es avant tout un homme d'honneur.
Nul doute du bonheur d'avoir croisé ta route.
J'éveille en toi des milliers de "misère!..."
Tandis que tu lèves en moi bien des mystères…
Merci Rider |
|
|
|
|
Lisbeth |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
08/05/2020 |
|
|
|
Posté le 13/02/2022 à 16:21:39. Dernière édition le 13/02/2022 à 20:34:49
18.
Un magnifique texte qui me donne des frissons et vous ?
La nature est dépositaire d'un secret,
Elle est le théâtre de ton reflet,
Un chat passant avec nonchalance,
Et c'est un hommage à ta démarche féline, qui balance,
l'édification d'une cathédrale aux dimensions démesurées,
Et c'est ta majesté qui est saluée,
Dans de l'herbe haute, la vue de libellules,
Et c'est mon cœur qui joue les funambules,
Sur tes paupières en croissant de lune,
Prêt à tomber au royaume de Neptune,
Même l'empire des cieux,
Porte le bleu d'azur de tes yeux,
Même des oiseaux chantent notre amour,
L'entends tu le concert des anges?
Nous rappelant nos conversations de velours,
Une marche à la campagne sur un sentier isolé,
M'offre la vision d'un champ de blés,
Et ce sont tes cheveux tombant sur ta nuque d'archange,
Comme le tumulte d'une cascade, d'un cours d'eau,
La brise du matin chatouillant ma peau,
Ce sont tes mains enchantées,
Le souvenir d'une caresse passée,
Tu es le fruit de l'amour et de la nature, et la nature entière respire ta beauté...
Matthaeus Isidore. |
|
|
|
|
Lisbeth |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
08/05/2020 |
|
|
|
Posté le 13/02/2022 à 16:36:37. Dernière édition le 13/02/2022 à 20:35:07
19.
Je ne pensais pas avoir autant de demandes, alors j'ai juste pris un petit moment pour un ami qui n'a hélas pas de fiancée alors je lui dédis ces quelques mots, surement bien pauvres eu égard à ce que je lis, mais le coeur y est !
Le monde est plein de faux amis
Qui cachent leur fourberie
Sous un sourire fleuri.
Toi mon ami, tu es resté le même,
Caché dans les doudounes ou dans les cheveux
Tu as su avec le temps, m'apprendre à aimer les oui oui
Petite chose fidèle, cadeau précieux,
Notre amitié ne tombera jamais dans l'oubli
|
|
|
|
|
Lisbeth |
|
|
|
|
|
|
|
|
Inscrit depuis le :
08/05/2020 |
|
|
|
Posté le 13/02/2022 à 18:41:33. Dernière édition le 13/02/2022 à 20:35:21
20.
Un de mon valentin parce que j'ai de la chance d'avoir un homme comme lui à mes côtés
Lumineuse entité d'amour, tu es un
Insoluble mystère de complexité.
Souvent tu penses avoir trouvé et alors,
Brave, tu pars souvent, trop, à l'aventure,
Espérance et promesse piétinées tu finis
Trahie par ceux que tu as mal choisis.
Horrible leçons appris dans la douleur
Mais comme toujours quand tu vas mal,
Celui qui n'attend plus, ne demande rien, est là
Chaleur, tendresse, écoute, il te les offres de bon coeur,
Avertit qu'espérer ne fait qu'avoir mal il est
Ravit pourtant de te ravoir à lui un peu.
Trésor à ses yeux qui n'a pas perdu de sa valeur,
Héroïne de mille possible contes dans ses songes,
Tes yeux, hantent ses rêves, dévorent ses jours.
A croire que oui miss, c'est l'amour. |
|
|
|
Si vous souhaitez répondre à ce sujet, merci de vous connecter. |
