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[EVENT] La colère d'Huracan 1 2 3 4 5 -6- 7  
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Calica
Calica
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20/06/2008
Posté le 13/07/2020 à 19:01:00. Dernière édition le 13/07/2020 à 19:02:32 

Calica allait y aller mollo.
Elle était loin d'être au top de sa forme et les prêtres, griffons, momies en profitaient bien. Tous trouvaient des ouvertures pour blesser la jeune femme. Elle en était au point à se demander si elle n'avait pas régressé.

Au milieu du lac, elle fut attirée par la beauté dangereuse d'une tempête.


Elle n'avait rien de naturelle. Accroupie et tenant fermement son épée plantée profondément dans le sable la française d'origine espagnole resta quinze bonnes minutes à contempler le spectacle.

La tempête et les éclairs semblaient rester au centre du lac. Une chance car Calica ne voyait pas comment traverser cet enfer. Il valait mieux s'éloigner avant d'attirer l'attention d'une éventuelle entité maléfique.
Enfin en même temps, épuisée par les combats successifs, elle n'avait pas fait une longue route. Elle devrait dormir avec cette tempête comme terrible compagnie.
Bougnette
Bougnette
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20/11/2009
Posté le 14/07/2020 à 00:03:30. Dernière édition le 14/07/2020 à 00:51:47 

Les nouvelles étaient mauvaises :
Dans toutes les villes, des prêtres vengeurs attaquaient et saccageaient tout sur leur passage. Nouvelle tuile. A croire que ça n'en finissait jamais...
 
Bien que très faible, j'avais insisté pour rentrer sur Ulungen. J'étais navrée de laisser Cendre, mais elle était entre de bonnes mains. Alors que moi je ne pouvais rien pour elle. Et, je ne pouvais pas rester au loin alors qu'Ulungen s'embrasait ! Alors, Jax et moi, accompagnés de Kimil, avions repris la route pour rentrer.
Au vu de mes maigres forces, nous avons été contraints de faire une halte pour la nuit. Cette promenade, pourtant parcourue des dizaines de fois, m'éreinta. Chaque racine, chaque pas était un calvaire... Heureusement, je n'étais pas seule.
 
Kimil, elle, était bizarrement joyeuse depuis quelques jours.
Kimil Pakal me souriait et était toujours rassurante alors que la situation était loin de l'être 
"Je ne vais pas te quitter mon amie, ne t'inquiète pas"
"Mon amie, tu as une sale mine. Cela fais longtemps non ?"
Jax commençait à mal le supporter, et nous nous posions des questions... Trop de coïncidences, trop de choses... bizarres.
 
Mais en arrivant en ville, nous n'avons pas eu le temps de creuser la question plus avant. La banque était en feu, et les prêtres avaient envahi les moindres recoins de la ville. Bien que déjà trop affaiblie pour supporter des combats, je ne pouvais rester à ne rien faire. J'aidais Jax tant que possible à nettoyer les rues de la ville mais, les prêtres étaient trop nombreux, et trop hargneux, pour que nous en venions à bout.
 
Et malheureusement, à peine quelques minutes plus tard, je m'effondrais sous l'effet de la fatigue. Mon état empirait à vue d'oeil, et, bien que beaucoup aient essayé de me soigner, en quelques minutes à peine mon état se dégradait à nouveau, comme si un venin coulait dans mes veines et m'empêchait de récupérer.

Heureusement, il y avait apparemment un remède, et beaucoup étaient partis à sa recherche. Mais la question demeurait : arriveraient-ils à temps ?
James
James
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15/01/2015
Posté le 14/07/2020 à 00:17:17 

Il aurait du prendre le poste d'intendant le mois dernier, il le savait. Désormais, James devait agir avec prudence. Soigner Enoal, si c'était possible, et lui faire cracher les vers du nez quant à qui le manipulait. Qui sait, ça pourrait le sauver. Mais il devait aussi penser à lui. Il s'était peint une énorme cible sur le dos en prenant le poste, et ses savants calculs ne le protègeraient pas de divinités, il en savait quelque chose. Tous les soirs, la bouteille fumante semblait l'appeler, posée sur une table dans ses quartiers. Tous les soirs, l'odeur enivrante carressait ses narines, malgré le bouchon de liège encore intact. Tous les soirs, une promesse, un murmure confiant lui sussurait à l'oreille. Il devait tenir. Pour lui, pour New Kingston. Hell, peut-être pour Liberty
Calica
Calica
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20/06/2008
Posté le 14/07/2020 à 21:06:33 

C'était la fois de trop.

Pourtant Calica avait envoyé une missive à El Renat plus tôt, pour sa prise de fonction et elle espérait que les choses allaient changer. Mais rien y faisait.

Il existait pourtant des espagnols sympathiques et respectueux mais la plupart n'avait que faire de sauver les intendants, même Valeryo.
Soit ils tapaient dans le tas sans réfléchir, soit ils continuaient leurs petites affaires dans leur coin. Si les espagnols appartenant à la deuxième catégorie ne posaient pas plus problème que ça, ceux de la première catégorie étaient par contre...

Elle ne préférait pas finir sa phrase dans sa tête.
El Renat "Petit Tigre"
El Renat "Petit Tigre"
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01/11/2017
Posté le 14/07/2020 à 22:26:58 

Assis au près de son feu de camps à coté de sœur basanée le nouvelle intendant était songeur.
Sa ville étaient en feu et Valeryo avec son amie Ounga regardait les prêtres la mettre à sac. la formidable machine de guerre espagnol était comme en sommeil et il devrai compter sur quelques braves corsaires encore dévoués a l'ancien intendant pour rétablir l'ordre.
Kalliopé
Kalliopé
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22/10/2015
Posté le 14/07/2020 à 22:33:12 

Καλλιόπη essayait de tempérer une Calica fulminante. Pas facile !

Elle-même avait fait son deuil depuis longtemps au sujet du brigand Blake. Il n'écoutait rien, il ne comprenait rien, c'était ainsi. S'énerver n'apporterait rien de plus, il fallait l'accepter.

Chacun était différent après tout, certains étaient plus frêles que la moyenne, d'autres plus maladroits, et d'autres encore... c'est comme ça !
Dulcina Fagney
Dulcina Fagney
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13/02/2006
Posté le 14/07/2020 à 23:13:30 

*Ils avaient passé plusieurs jours à l'ancien repaire pirate. L'irlandaise avait soigneusement organisé ses troupes. Les uns repéraient les aventuriers, les autres combattaient pour en récupérer les bandeaux, et la Générale veillait sur la santé de tout ce monde, en plus de centraliser les récoltes.
Leur travail d'équipe paya : ils eurent rapidement un stock suffisant pour l'ensemble des anglais mobilisés pour sauver Convard. Et... davantage encore.

Dulcina quitta le repaire avec Voynich, non sans demander à Dragon de l'informer sur l'état de santé de Convard, sur lequel il veillait.
Elle distribua à un grand nombre d'autres corsaires une partie du surplus de morceaux de bandeaux qu'ils avaient récoltés : si elle ne connaissait que très peu Valeryo, la santé de Bougnette et de la jeune Cendre lui importaient également. 
Qui plus est, elle espérait sincèrement qu'une unité internationale pourrait voir le jour pour terrasser cette menace, mais il fallait dès à présent s'entraider.

Le couple anglais marchait aussi vite qu'il le pouvait. Il leur restait deux ingrédients à trouver, avant de retourner voir la guérisseuse.
Ensuite... ils savaient qu'ils devraient affronter de sérieux ennemis... *
Egbert Dekker
Egbert Dekker
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18/11/2013
Posté le 14/07/2020 à 23:32:50 

Egbert était arrivé a Esperanza dans la nuit. Quelle ne fut pas sa surprise quand il la trouva en feu aussi. Port-Louis ou New Kingston, cela n'avait rien d'étonnant. Mais l'efficacité Espagnole était tant renommée, il était impensable de la voir aux abois devant quelques maigres sauvageons.

Le batave souhaitait voir le dénommé Salim Aouachria, qui se trouvait désormais dans une maison en flammes. Impossible d'y entrer, la bâtisse s'effondrait sur elle même. Et Egbert suait a grosses gouttes, impuissant spectateur. Non point qu'il se souciait pour le sarrasin, certainement pas. Il se souciait seulement de son intérêt. Il tenta d'appeler a l'aide, afin que quelques laquais s'occupent du feu, en vain.

Etaient-ils tous donc au chevet de leur (ancien) intendant ? Sacrifier trois personnes pour en sauver une autre, c'était un calcul assez original. Certes, l'intendant "dirigeait" la colonie, mais il était bien connu que le général ou même le ministre avaient plus d'importance. Il était le responsable de la diplomatie, mais Phil Blake avait plus d'influence sur son cours en seulement quelques minutes. Et l'on en changeait presque tous les mois, alors que le vieux El Paso, lui, servait ses habitués depuis des années. Quelle était donc cette raison mystérieuse qui poussait l’île a se ruer au secours de personnes si facilement remplaçables ?

Seule Bougnette avait été reconduite, pour on ne sait quelle raison. Probablement car elle était la moins affectée par cette folie passagère qui frappait les dirigeants. A dire vrai, Egbert n'avait guere vu de différence avec la Bougnette qu'il connut lors de son premier passage sur Liberty et qui martyrisait le pauvre et honnête Mieke. Il n'avait donc couru l’île pour trouver un remède, ses affaires étaient plus importantes. L’enquêteur avait toutefois tenté d'aider ses concitoyens de son expertise. Désormais, il lui fallait prendre les choses en mains et partir lui-même a la recherche d'un antidote. Le bien de son entreprise en dépendait.
Kalliopé
Kalliopé
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22/10/2015
Posté le 15/07/2020 à 11:45:53. Dernière édition le 15/07/2020 à 11:48:29 

Faisant le trajet d'une traite, Καλλιόπη pu enfin rejoindre la tente de la guérisseuse, et y entra sur son invitation. Elle vivait plutôt chichement, il fallait bien l'avouer...




La maya lui expliqua les dernières étapes de la préparation : brûler et torréfier les mixtures - beaucoup de mixtures - et rajouter un élément supplémentaire pour "lier" la potion à son intendante.

La grecque prit aussitôt sa plume pour transmettre cette dernière requête à ses compatriotes, là dehors, puis s'attela à la seconde partie de la préparation du remède, avec les doses de mixture qu'elle possédait déjà.

Dragon Noir
Dragon Noir
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01/08/2007
Posté le 15/07/2020 à 18:03:04. Dernière édition le 15/07/2020 à 21:08:34 

Surprend une conversation et la transmet par perroquet aux alliés , la preuve que Lady Margaret Enoal est une mauvaise personne ou une entité malveillante. Pour Dudu  il rajouta un message supplémentaire que Convard  allait très très mal, à bout de force et intransportable avec la menace dans le  palais.

15/07 15:50:45 "Lady Margaret Enoal pose une main de fer sur l'épaule de Convard. "Il suffit Tu m'as bien servi mais ton autorité est complètement anéantie désormais Il est temps de passer à autre chose. Mais tu seras encore utile, sois-en certain.", à tout le monde
Gemini
Gemini
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29/02/2012
Posté le 15/07/2020 à 23:30:19. Dernière édition le 16/07/2020 à 10:18:56 

Bien sûr qu'elle avait suivi Gemini. Quelle question !

Elle les avait épiés depuis son buisson.

"Hin hin hin !"

Personne ne se doutait qu'elle était là, foi d'Effie-Le-Génie.

Il y avait Cendre-Petit-Gros, Belle-Faye et un petit chat noir.

Et Gemini (juste Gemini).

14/07 23:35:04 "*scrch srrch srhch" on entend une plume grattant le papier, quelque part dans les buissons." aux personnes présentes.

14/07 23:36:09 "Puis, une exclamation d'effort intense. "HAN !" Une boule de papier froissé jaillit d'un buisson et atterrit à côté de cendre. aux personnes présentes.

14/07 23:43:07 "Cendre Ouvre les yeux et essaye d'attraper la boule de papier.", à tout le monde

14/07 23:51:13 "Cendre Pose la main dessus a force de tatonner et ramene la lettre contre elle. Epuisee. Elle ferme les yeux.", à tout le monde

15/07 00:02:16 "Cendre semble assoupie.", à tout le monde

15/07 00:03:31 "Tsst ! Pssst! Hé ! Cendre !" aux personnes présentes.

15/07 00:03:49 "Je t'ai envoyé une lettre !" aux personnes présentes.

15/07 00:08:04 "Pssst! Ah, mais ! *" aux personnes présentes.

15/07 00:09:47 "Une morveuse échevelée surgit, avance droit vers Cendre, ouvre le papier et lui lit à voix haute. Il y est question d'un cadeau, qu'elle a  envoyé avec ce message, sans oiseau, et"

15/07 00:11:04 "....et qu'elle reprendra si Cendre meurt. Ensuite, elle dépose un petit objet rouge vif dans la main de la petite fille. "Tiens. Hop là."  Et elle retourne ensuite se cacher dans les buissons. Gemini a les yeux qui vont sortir de ses orbites.aux personnes présentes.

Ni vu ni connu.

Mais soudain... 

15/07 08:35:46 Alaïa * une voix dans la tête de l apparition * Bouh !

La sensation était indescriptible. Affreuse. Elle avait jailli de sa cachette comme un beau diable, terrorisée, incapable de comprendre d'où ça venait et qui s'adressait à elle. Elle s'était enfuie en ligne droite, courant parfois à quatre pattes dans sa panique.

Gemini s'était élancé pour la rattraper -en vain. A son retour plusieurs longues heures après, furieux et fatigué des cachotteries de ce chat de malheur, il put voir au premier coup d'oeil que l'état de Cendre n'avait fait que s'aggraver.
Marshall Carter
Marshall Carter
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07/08/2012
Posté le 16/07/2020 à 01:00:12. Dernière édition le 16/07/2020 à 01:01:56 

Vendredi 3 Juillet 1720 - Palais du Lord-Protecteur (point de vue de Johnny)

Johnny était bel et bien pris à son propre piège. Barricadé dans le palais, sans fuite possible. D'un côté la garde du Lord-Protecteur était suffisamment étanche pour empêcher une éventuelle fuite depuis l'intérieur mais pas pour éviter les intrusions, et de l'autre et membres de la confrérie qui s'étaient faufilés dans les appartements personnels du Gouverneur.

Les pirates apparaissaient un par un, au final ils n'étaient venus qu'à quatre, Andras, Faye, Madre et Red. L'obsession d'Enoal pour les pirates ne faisait que grandir, il promettait un bain de sang, encouragé par sa grand-mère ambiguë.

Johnny ne voyait pas d'autre issue que le combat, il espérait si fort une solution de fuite qu'il laissa échapper quelques mots qui arrivèrent aux oreilles de Madre Anna. Celle-ci lui proposa de se ranger de leur côté en faisant semblant de combattre pour fuir ensuite.

"Impossible" étant donné la configuration, et puis après tout, ils étaient venus belliqueux dans sa ville assiégé par l'ennemi.

Les invectives laissèrent place aux échanges belliqueux. Dans un premier temps, il se prit les pieds dans le tapis et manqua lamentablement Madre Anna qui menaçait de révéler quelques secrets. Par la suite, Johnny mit à profit ses compétences en lâcheté et fourberie pour attaquer les autres pirates par surprise. Il toucha plusieurs d'entre eux. Le sang jaillit.

Surpris par sa réussite, et aussi par sa fébrilité en combat rapproché, il pris le retour de bâton. Violemment. La sueur et le sang lui piquaient les yeux. Il ne voyait plus rien. Il pensait voir la fin.

Ce ne fut pas le coup final qu'il reçut mais un mouchoir tendu par Faye. Il s'essuya machinalement avec sans comprendre ce qu'il se jouait tout de suite.

La fuite proposée par Madre d'abord, la main tendue par Faye ensuite.
La démesure grandissante d'Enoal, le sourire de sa grand-mère.
La mise en garde par James de l'or maudit, l'hypothèse de la malédiction par Kalliopé.

Johnny chancelait, il doutait, il ne savait plus où donner de la tête entre les assauts des uns et des autres.

Il prit donc la décision de ne perdre la face ni devant ses compagnons d'armes, ni devant les pirates. Il fallait gagner du temps pour mener son enquête par la suite.

Il reçut le plomb et la lame d'Andras et Red. Il tenta de rendre quelques coups avec une idée bien en tête. Il décida de s’éloigner du Lord-Protecteur et des autres Marshalls pour mettre en œuvre son plan. Johnny se lança en criant sur Faye qui contra et lui porta le coup final.

La rumeur court parmi les gardes du palais que le Marshall Carter ne serait pas tombé en héros ce soir là, bien en contraire. Certains l'auraient clairement vu se jeter sur Madre puis sur Faye sans arme à la main, et sans aucune attention de les blesser.
Dragon Noir
Dragon Noir
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01/08/2007
Posté le 16/07/2020 à 01:26:55. Dernière édition le 16/07/2020 à 02:09:31 

A presque  1 heure du matin , les masques tombèrent au palais de Nk.

Sans véritable surprise , l'entité qui avait pris les apparences  de la grand mère de Sir Convard  releva sa véritable identité.

16/07 00:54:10 "Ina Ang Mga Lihim fait disparaitre l'illusion qui masquait son apparence.", à tout le monde

 Sir Convard  apprenant la vérité , comprenant qu 'une entité avait pris l'apparence  de sa grand mère , regarda Dragon et poussa un hurlement  puis tomba dans les pommes.

Dragon alors se porta au secours de son ami, le porta sur son dos et se dirigea vers la sortie du palais. Dragon n'attaqua pas car seule la vie de son ami était importante.

La menace était grande et pour l'instant Dragon ne pouvait prévenir personne . Dragon avançait avec Sir Convard  lentement vers la sortie du palais  , surement pour se diriger soit au port, soit dans le fief des Frères de Liberty soit  dans la forêt.

Dragon Noir
Dragon Noir
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01/08/2007
Posté le 16/07/2020 à 02:01:58. Dernière édition le 16/07/2020 à 02:17:07 


Ainsi le destin de Dragon était lié désormais avec Sir Convard. Ancre la vie et la mort , unis deux frères et amis  de Guilde. Le péril était grand mais  Dragon ne le  laisserait pas à  la merci de l'entité.

L'honneur, l'amitié unis dans l 'adversité  , face à la force des entités de l'ile.

Les entités de l'ile reprochaient aux humains leurs suffisances , leurs fourberies, leurs cruautés, leurs avarices,   mais  les liens qui unis les Hommes de conviction devraient peut être pas leur échapper.
Après tout,  des groupes de corsaires avaient parcourus l' île  pour secourir les victimes des entités, le comportement des entités vis - à - vis des hommes  pourrait peut être évolué, à moins que ce soit que des entités démoniaques.
James
James
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Posté le 16/07/2020 à 15:40:41 

L'ancien intendant anglais n'était pas au meilleur de sa forme. L'ancien intendant français non plus. Et l'ancienne et actuelle intendante hollandaise semblait à l'article de la folie, me soignant et me souhaitant du bien après m'avoir violemment cogné lors de notre dernière rencontre.

Hmm, étrange.

Devait-t-il se savoir visé ? Les intendants étaient les cibles principales. Il n'était plus en Irlande, aucune rune ne le sauverait, pas même des bénédictions de guérisseuse maya. Il devait agir vite.
Huracan
Huracan
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17/06/2020
Posté le 16/07/2020 à 16:33:50. Dernière édition le 16/07/2020 à 17:03:03 

Tout est presque fini à présent.
 
Comme un poisson qui vient d’être pêché, les corsaires de cette île s’agitent et se débattent, se tortillent pour s’extraire de son emprise et recouvrer leur liberté. En vain. C’est trop tard, ils sont prisonniers.
 
Mais Huracan n’est pas leur geôlier. Ce serait lui accorder trop de crédit, trop de mérite. Après ces semaines à regarder les habitants de Liberty, à les observer attentivement, le dieu a compris que l’île s’autodétruisait bien avant son réveil.
 
Leur violence est aveugle, leur haine stupide. Les vieilles rancœurs les bêtifient, les discensions actuelles les rendent impuissants.
 
Et ils pensent pouvoir lutter ?
 
Le dieu se gausse.
 
Enfin, la plaisanterie a assez duré. Il est temps d’en finir, c’est qu’il a d’autres réalités qui l’attendent.
 
D'abord, rappeler ses sorcières à lui. Huracan sent la présence d'Ina non loin, mais il aura besoin d'elles toutes pour détruire ce monde. Il se glisse dans l'esprit de chacune, puis en ressort une fois son ordre délivré.

Il se lève alors de son autel, et marche jusqu’au centre de son sanctuaire. Il se tient très précisément au milieu total de l’île. Parfait.
 
Il ferme les yeux. Se plonge dans les profondeurs de la Terre. Il faut que tout remonte…
 
Tout concentré qu’il est sur sa tâche, une de ses pensées s’échappe pourtant. Ils auraient pu fuir. Prendre des bateaux et se sauver, aller recommencer leur vie ailleurs.
 
Mais non, ils ont décidé de rester. De se jeter tête la première face à la menace. Croient-ils vraiment qu’ils peuvent battre un dieu ? Ont-ils à ce point perdu tout sens de la raison ?
 
Qu’importe, autant se servir de leur orgueil.
 
Laissant libre cours à sa puissance, Huracan modifie l’agencement des sols, des niveaux de la terre. Une caverne par ici, un tunnel par là.
 
Une ouverture.
 
Rouvrant les yeux, il regarde le serpent qui lui tient lieu de deuxième jambe. Celui commence à tracer des ronds sur le sol, vite, de plus en plus vite, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus qu’une longue trainée verte.
 
Plus vite encore. Le serpent devient une tornade.

 
Huracan regarde la porte. Puis revient à son autel.
 
Ils ne sont pas partis. Ils se pensent de taille à le combattre.
 
Qu’ils viennent donc.

Le dieu se tient prêt à les accueillir, pour qu’ils livrent leur ultime bataille.

Dulcina Fagney
Dulcina Fagney
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Posté le 17/07/2020 à 00:41:57. Dernière édition le 17/07/2020 à 00:42:07 

*L'irlandaise ne savait plus où donner de la tête.
Les intendants. Les villes. Et désormais, leurs jeunes recrues, innocentes, qui étaient en sécurité, en train de s’entraîner. Ils subissaient un rêve dont elle ignorait tout, elle avait simplement eu vent de la vision, des paroles qu'ils avaient entendues.
Heureusement, Alejo avait proposé d'utiliser ses pouvoirs de rêveur pour partir veiller sur eux, ce qui ôtait un poids à Dulcina.

Elle avait également confié Convard à Dragon Noir. Elle connaissait l'amitié qui liait ceux là, et savait qu'elle pouvait lui faire confiance  pour veiller sur son ami le "Lord Protecteur". 
En réalité, elle enrageait de n’être pas à ses cotés. Plus encore lorsque ses compatriotes, qu'elle avait chargés de le surveiller, lui avaient dit dans quel état minable il se trouvait. Elle était à l'autre bout de l’île, à courir pour récolter les ingrédients nécessaires au remède destiné à le sortir de l'emprise de sa prétendue grand-mère, et lui souffrait, seul.

Elle enrageait oui... mais elle s'était également volontairement éloignée de lui, pour éviter d'empirer la situation.
Elle savait qu'il n'était pas dans son état normal. Elle ne savait que trop bien ce qu'il subissait, pour l'avoir elle-meme vécu quelques années auparavant, lorsqu'elle avait subi ce sort vaudou qui amplifiait la moindre de ses émotions. Et elle ne décolérait pas d'avoir constaté qu'il ne lui faisait pas confiance.
Oui, il n'était pas dans son état normal. Mais chacune de ses paroles avait un fond de vérité dans ses pensées. Elles n'étaient qu'amplifiées, empirées. Comment avait-il pu s'imaginer qu'elle puisse le trahir? Après tout ce qu'ils avaient vécu, après tout ce qu'elle avait vécu et dont il avait été le témoin... comment avait-il pu, dans son inconscient, songer un instant qu'elle ne serait pas de son coté? 

Elle oublia rapidement ces pensées lorsque Dragon la contacta pour l'avertir qu'il avait disparu, emporté par l'entité maya. Alors, l'inquiétude reprit le dessus. L'angoisse aussi, à l'idée de le perdre.
Jusqu'à ce que ne chemine, très vite, l'idée qu'il ne serait pas le seul. 

 Bougnette ! Et si Kimil faisait pareil ! Il faut qu'on aille l'en empêcher !  Il faut que l'on passe à Ulungen. Nous pourrions y être avant la tombée du jour.

Elle regarda son compagnon de vie et il n'y eut aucune hésitation : ils se mirent en marche immédiatement pour la ville hollandaise.

Par chance, ils arrivèrent "à temps", à savoir avant que Kimil n'emporte Bougnette. S'ils tentèrent de s'y opposer, ils comprirent rapidement qu'ils ne pourraient y parvenir. Alors, l'irlandaise fit ce qu'elle aurait voulu faire avec Convard : elle insuffla ce qu'elle pouvait d'espoir à son amie.

Elle la regarda ensuite quitter les lieux avec Jax, leur laissant l'intimité nécessaire à ce qu'elle garde le courage de se battre. 

Mais Dulcina avait un gout amer en bouche : ils n'étaient pas parvenus à les faire s'auto-détruire. Et ils utilisaient désormais leurs amis comme appâts. 
"Le sang doit couler" lui avait glissé Kimil lors de leur première rencontre.

L'irlandaise redoutait le piège dans lequel ils allaient désormais être attirés... *
Bougnette
Bougnette
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20/11/2009
Posté le 17/07/2020 à 18:37:49 

Plus d'une semaine avait passé. Une semaine qui malheureusement avait tout changé...

Kimil avait fini par révéler sa vraie nature. Ça avait commencé par un vertige anodin. Nous luttions, Nokomis, Jax et moi contre les prêtres qui envahissaient la ville. J'étais déjà faible, j'ai surement exagéré... La tête s'est mise à me tourner. Et Kimil est venue s'occuper de moi. Mais, ses mains dans mon cou provoquèrent une douleur sans pareil.

Je frémis lorsque Kimil se mit à me masser "Haaaa.... non... non..."
Jax commençait à s'énerver "Kimil vous lâchez ma femme où je me fâche vraiment. Je suis épuisé mais je serai encore là demain. Vous avez beaucoup à perdre."
Nokomis repoussa Kimil en arrière "ça lui fait pas du bien !"
Mais Kimil avait fini par répondre "Que voulez vous...la graine tente d’éclore, cela fais toujours mal la création d'une nouvelle vie"
Nokomis regarda Kimil d'un regard furieux "une graine ? c'est pour les arbre ça, pas pour ma soeur !"
Kimil sourit a la ronde en caressant encore mon cou "Ma beauté a bien grandit... elle va éclore ! Quelle belle fleur cela va t'il bien etre ?"
Nokomis grince des dents "Ta ... beauté ? Je te jure que si ma soeur n'allait pas si mal, je t'étranglerais là maintenant tout de suite !"
J'avais hurlé à la mort de douleur "HHHHAAAAAAA!!!! Au secours, aidez-moi, aid...." puis je m'étais évanouie, inconsciente.

Kimil Pakal montre le cou de Bougnette et le tatouage qui n'en ai pas un "Oui...la graine plantée a notre rencontre !"

Voilà qui expliquait bien des choses...
Cela faisait des jours que j'étais malade. C'est Kimil qui m'empoisonnait ! Et sa "graine" lui offrait un contrôle sur moi malgré la distance...
Quelle horreur !

Kimil s'amusait beaucoup "Je suis le dernier lien à la vie de votre intendante après tout ! Elle est a mon maitre ! Bientôt elle fleurira pour lui. Bougnette, notre seigneur part le feu purifie, bientôt plus d’inquiétude à avoir, tous ceux que tu aimes seront avec toi dans le néant... ou...je garderais ton esprit dans l'arbre en devenir que tu es ?"

Alors j'avais compris. Il n'y avait plus d'avenir, juste la mort...
J'ouvrais de grands yeux et fixais Kimil, prenant conscience de ses propos, puis je regardais, transie de peur, Noko et Jax, et me mis à supplier "Non, non... pas eux, que moi, je t'en prie.... Dis lui, vous n'avez pas besoin d'eux..."

Nokomis grogna "Arrête de parler, maudite que tu es !"
Jax, quant à lui, finit par demander "Kimil vous assumez donc votre position désormais ! Il va vous falloir bien plus qu'hurratruc pour espérer réussir"

Kimil jubilait "Tous les corsaires sont maudits, Bougnette... mais dans ma grande générosité, je ferai pousser Jax à tes côtés"
Je recommençais à m'agiter comme une furie pour me relever "Il n'en est pas question!!! Ni lui, ni mes soeurs, ni les hollandais!!! Vous n'y arriverez pas !!!"
Mais elle fit un geste dédaigneux dans ma direction puis serra le poing pour tirer sur le lierre "Je suis déjà bien plus grande que tu ne le penses!"
J'ai hurlé de douleur et porté les mains à mon cou, tombant à genoux sous la puissance de la peine "Non... mais que voulez vous enfin, pourquoi nous infliger tout ceci ?!"

Alors, Kimil se mit à hurler, libérant sa folie "NOUS ÉTIONS LA BIEN AVANT ! ET NOUS SERRONS LA BIEN APRES !!!"

Je sentais alors mes forces me quitter, comme vaincue par le venin qui gagnait du terrain... Kimil caressa ma joue "Vous autres intendants n'êtes qu'un avant goût, j'ai tenté de vous faire combattre les uns contre les autres, le sang l'aurait peut être apaisé...mais il est trop tard"
Elle me regarda presque a regret "Bougnette, tu feras un arbre magnifique, je jure sur mon seigneur que je prendrai soin de toi !"

Ainsi nous y étions. La sanction venait de tomber. La fin de la vie, de toutes les vies sur Liberty.
Bougnette
Bougnette
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Posté le 17/07/2020 à 18:54:06 

Nous avions tout tenté. Nous l'avons repoussée, nous avons essayé de nous cacher, de nous éloigner. Mais Kimil me tenait. Son emprise sur moi n'était pas limitée par la distance, et dès que je m'éloignais d'elle, sa colère me clouait au sol.

Alors, je suis restée.
Nous avons fait front, nous avons fait de notre mieux. Nous avons essayé de la garder à distance, comme nous autres hollandais savons le faire. Ils m'ont protégée avec un tammokk, je me sentais comme un drapeau à la tourelle. Mais rien n'y a fait...

Nous avons tenté de nous battre. Les hollandais n'étaient pas prêts à baisser les bras ! Ceux qui ne parcouraient pas l'ile à la recherche d'un remède pour nous sauver, moi et les autres intendants, répondirent à l'appel du général. Mais Kimil est puissante, et nous ne faisions qu'égratigner son écorce...

Elle en profita pour étendre son emprise sur d'autres hollandais. Elle tentait de les influencer, qui devenant parano, qui risquant le coma éthylique avec un verre d'eau... Kimil prenait des airs de propriétaires dans l'auberge, ce qui rendait certains d'entre nous un peu fous...

Mais finalement, son maitre la rappela, et elle me prévint :
"Fais tes adieux. Tu as jusqu'à minuit !"
Oünga
Oünga
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Posté le 17/07/2020 à 20:45:46 

Oünga s'inquiétait presque. Peut être que viser la tête n'était pas la.meilleure stratégie dans ce peuple au bandeau doré, qui ne semblait doté que d'une moelle épinière.
Il y avait bien quelques individus qui avaient été étonnés et avaient tentés de sauver leur pauvre intendante mais la plupart s'étaient contentés de piétiner les parterres de fleurs et de partir au loin, laissant leur propre compatriote sombrer dans la folie et la solitude.
Au moins personne ne pourrait la sauver tant que personne ne s'approchait d'elle pour briser le charme. Cette colonie tomberait donc bientot, condamnée. Bizarrement elle avait eu plus à se méfier des étrangers passant dans le village aux pierres blanches que des locaux.

Oünga se frotta les mains . Elle avait décidément eu la vie facile jusqu'ici.
Mad Demoiselle
Mad Demoiselle
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07/03/2019
Posté le 17/07/2020 à 22:23:19. Dernière édition le 20/07/2020 à 16:12:06 

.
Gemini
Gemini
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29/02/2012
Posté le 17/07/2020 à 23:34:51. Dernière édition le 18/07/2020 à 00:14:48 

Gemini s'appuya sur son fusil.

Il se sentait si... Fatigué.
 
Usé.

Devant lui, le chat noir le regardait. Faye était affalée par terre aussi confortablement que possible, avec Cendre dans son giron -inconsciente, l'air maladif. Mourante même. Faye ne réagissait plus, emportée là où l'esprit de la mioche errait.

Il laissa échapper un profond soupir, et eut une brève pensée pour son amante perdue. Il se demanda brièvement ce qu'Héloïse penserait de lui en le voyant veiller ainsi  sur une môme -sur deux, même.

...

Ouais. Effie était un peu comme sa fille, maintenant.

Ça va, il était seul, il pouvait bien se laisser aller à quelques évidences.

17/07 22:58:20 "Alaïa regarde l'homme , captant son émotion", à tout le monde

17/07 22:58:46 "Alors, c'est comme ça, hein ?" aux personnes présentes.

17/07 22:58:50 "D'accord." aux personnes présentes.

17/07 23:00:03 Alaïa comme ça quoi ? * demande le chat *

17/07 23:02:36 "Comme ça. Comme c'est." aux personnes présentes.

17/07 23:04:30 "Alaïa La vie est parfois difficile dans la tournure qu'elle prend. On n'est pas toujours acteur de son destin, parfois nous ne faisons que subir les  éléments", à tout le monde

17/07 23:06:39 "J'ai connu quelqu'un qui aurait passé des heures à te convaincre du contraire. Je doute que tu la rencontres un jour. C'est mieux ainsi." aux personnes présentes.

17/07 23:10:34 "Je vais aller mon chemin. La mioche est entre de bonnes mains, il me semble, et Faye aussi." aux personnes présentes.

17/07 23:11:10 "Alaïa regarde l'homme et opine. " Si tel est votre souhait "", à tout le monde 

17/07 23:12:37 "hoche la tête. "Ça l'est. Et toi ? Tu n'as rien à dire ?" *il ne semble parler à personne en particulier. L'instant suivant, une  seule de ses épaules se hausse.*aux personnes présentes.

17/07 23:14:20 "Alaïa * regarde la seconde réponse et dit * Je vous ai connu plus loquace..", à tout le monde

17/07 23:15:11 "Bah ! Parfois, on ne trouve rien à dire." aux personnes présentes.

17/07 23:15:39 "Alaïa * Soudain, le ciel s'assombrit, une présence oppressante se fait sentir *", à tout le monde

17/07 23:16:29 "Alaïa Le chat noir redevient statique, comme sans vie, un voile blanc recouvre ses yeux", à tout le monde

17/07 23:17:00 "Alaïa un grondement de tonnerre se fait entendre et dans la tête du chat, des paroles caverneuses lui parlent", à tout le monde 

17/07 23:17:16 "profite d'un instant d'inattention du chat pour te glisser un petit objet, qu'il serrait auparavant dans sa poigne..." à Faye.

17/07 23:17:24 Tu donnes 1 Clou en fer à Faye.

17/07 23:17:58 "le métal est froid au toucher -presque gelé." à Faye.

17/07 23:18:45 Faye *Ses doigts se referment contre l'objet, le gardant contre sa paume, et ramenant sa main contre l'enfant ensuite.

17/07 23:19:41 Faye *une légère chair de poule est la seule réaction visible, mais elle peut être attribuée au vent, ou à la présence qui est revenue.


Lui non plus n'était pas sans connaître quelques trucs.

C'était le dernier clou de cercueil de Voodoo Jim. Le salaud les arrachait lui-même quand il fouillait les tombes occupées dans les cimetières, et s'en servait ensuite pour ses pratiques répugnantes.

Il ne se rappelait même plus pourquoi il l'avait gardé... Comme un souvenir de son ancien ennemi, peut-être. En tout cas, il serait beaucoup plus utile à Faye qu'à lui.

Voilà. Ils étaient partis.

Gemini s'assit et alluma sa pipe.
Kimil Pakal
Kimil Pakal
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18/06/2020
Posté le 18/07/2020 à 00:25:22. Dernière édition le 18/07/2020 à 00:29:18 

Voilà des jour qu'elle jouais le rôle de l'amie de bougnette. 
À vrais dire ce n'étais plus un rôle, elle appréciais réellement cette demoiselle et veillerais à conserver son âme sous une autre forme. 
Un arbre part exemple. Sûrement que son maître aimerais.  Quelque chose de durable montrant sa toute puissance. 

Elle avait enlever son voile après moult réflexion de jax. Qui s'étonnant de l'état de bougnette ce dégradant surtout en presence de kimil voulait la chasser. 
Pourquoi conserver le mystère alors que bientôt leur maître les appelerais à lui ? Et personnes à part lui ne lui donnait d'ordre 

Elle avait tranquillement patienter à ulugen l'appel de son maître, pour rejoindre le couloir d'or et son arbre.
Enfin, elle avait pris le temps de torturer bougnette et ses proches durant quelque nuit... Il ne faut pas gâcher son plaisir. 

Sa plus belle réussite ?
JAN
. Ha... Sentir l'esprit d'un humain flancher et se ranger à son pouvoir.
Il n'avait suffit que de quelque mots. Sur de faux amis attendant de le tuer, le tous arrosée de magie et de mensonge pour le rendre fou et obéissant. 

Puis la fameuse nuit était arrivé. Enfin elle se retrouvais dans son sanctuaire. 

Propre, silencieux, vibrant de magie... 
C'est ce qu'elle pensait. 

Mais les corsaires était déjà là ! Oui cette vermine infestaient son chez elle ! 

Bougnette était à elle ! 

La frustration de ne pas avoir ce qu'elle voulait fus trop forte.
Ses plantes grimperent dans tous le couloir, s'enroulant autour de gorges assoupis... Les serrant peu à peu pour les amener dans le noir et le silence. 

Oui ! 

Personnes ne l'empêcherait  de planter bougnette non loin de son arbres.

Elle sentis d'autre corsaires cette nuit là. Ses plantes enrouler autour de quelque pieds... Mais elle se retint.

Ses sœurs arriveraient bientôt, et elle aussi aurais besoin de sacrifice à faire à leur dieu !
Jax Chiryacht
Jax Chiryacht
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03/03/2019
Posté le 18/07/2020 à 02:30:49 

Heureusement qu'il y a les espoirs...

C'est souvent l’espoir qui guide les pas de l'homme au cours de son développement. L'espoir d'un lendemain meilleur, de nouvelles terres à découvrir, d'un amour à bâtir ou encore simplement la promesse d'une nuit agitée aux bras d'une personne séduisante...

L'espoir d'enfin trouver un peu de répit et de repos dans le cas de Jax. Enfin au départ. Des expéditions avaient trouvés de bons filons, le soleil était clair, tout annonçait un bel été, assez paisible, pour une fois il y avait l'espoir de se retrouver en paix, de vaquer à autres choses que ses devoirs.
Les espoirs que portaient l'amour aussi. Bougnette avait accepté de prendre le siège d'intendante alors, et leur couple s'épanouissait dans la joie sous le regard plutôt bienveillants des amis. Tout semblait clair, et pourtant déjà si lointain.
Et puis l'espoir s'était troublé...

Heureusement qu'il y a l'optimisme...

C'est en étant un éternel optimiste qu'on acquiert la persévérance et qu'on fait ce qui est dur. Qu'on peut devenir intéressé aussi. Curieux même. Comme quand curieusement les choses ont commencé à se gâter pour tous les intendant tout autour de l'île et que les réactions ont semblé étranges. Mais que quelques fêtes et coups offerts par une nouvelle amie étouffent la crainte car l'optimisme gagne les cœurs et ouvre les bras des hollandais plus vite que la soif sanguinaire anglaise vient porter un coup de couteau dans ceux qui viennent même l'aider. 
Et soudain l'optimisme s'était voilé...

Heureusement qu'il y a l’opiniâtreté...
Après ces quelques moments de curiosité, la condition des intendants avaient soudain semblé se détériorer. Cendre perdit du poids, Bougnette des couleurs. Tout allait soudain de mal en pis, mais la solidité de la volonté humaine avait raison de tout. Les gens avaient fait cause commune, dans la recherche d'un remède, retournant les cailloux, questionnant les vieux autochtones, distillant de nouvelles infusions...
Et l’opiniâtreté s'était perdu...

Heureusement qu'il y a l'amour...
Dans la crainte de la disparition, dans la colère de l'impuissance, dans l'amertume de la haine, dans la peur du temps qui court et jamais ne revient, il ne restait que qu'à croiser les doigts et donner toute la force possible aux gens qu'on aime, pour qu'ils tiennent un jour de plus, une aurore, une heure, une nuit, et qu'un remède parvienne enfin.
Et on touchait au but...
Mais le sort continuait de s'acharner. La veille d'obtenir enfin le précieux remède, Kimil, cette engeance du démon, dévoilée, enleva Bougnette avec la complicité de quelques esprits trop affaiblis pour faire face.
Nous essayâmes de résister d'abord, de repousser sans cesse Kimil, et les hollandais firent rempart de leur corps de nombreuses fois. Mais le pouvoir de la sorcière allait grandissant et Bougnette avait dépéri petit à petit. Cendre sombrait dans la maladie, et évoquait ouvertement sa mort prochaine.
Une nuit, la dernière, nous essayâmes de fuir. De nous offrir un instant sous les étoiles, de courir loin, loin à perdre haleine, tenant sur mon dos cette compagne que j'aimais et qui semblait dorénavant plus légère que mes propres vêtements. Mais Kimil nous avait rattrapé. nous avions tenté de la bloquer alors, entre deux bancs de sable, dans une dernière lutte desespéré. Peine perdu. Blessé, inerte sur le sol, j'observais, impuissant, Bougnette se faire ravir à ma vue par une serviteuse du vilain.
Et Cendre aussi avait disparu...

Quand l'espoir, l'optimisme, l'opiniatreté, et l'objet de son amour ont disparu, que reste-t-il à l'homme pour vivre? 
Plus grand-chose. la douleur. Une douleur sourde, lancinante, permanente, une tristesse qui ne s'efface jamais. Les eaux du port, froides et sombres d'habitude paraissaient soudain si accueillantes...
Une bouffée recrachée et un instant de peine avant un moment sans douleur.

mais heureusement il y a les promesses...
"si je tiens tu devras le faire aussi. Et motiver les nôtres pour que l'esprit demeure. Retrouves moi, je t'attendrais toujours."
C'était ses mots. Ce soir, dans la fraîcheur sombre d'une nuit à l'abri d'une crevasse, ils avaient plus de force que n'importe quoi.
Foutues promesses.
Tenez bon, la famille. On arrive. Même si disons le, c'est pas avec un désespéré pareil que vous êtes sortis des ronces. 
Kalliopé
Kalliopé
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22/10/2015
Posté le 18/07/2020 à 10:26:19 

Elle avait le remède ! Enfin !

Mais son sang se glaça lorsqu'elle appris que mademoiselle Bougnette avait été enlevée par la sorcière entre-temps...

Misère... Cela n'aurait il donc pas de fin ?!
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