Posté le 04/02/2021 à 01:48:51. Dernière édition le 04/02/2021 à 12:27:41
Aube et crépuscule.
Dans la douce clarté d'un matin morne,
Je me lève de ton absence lassé.
Les rayons, qui traverse les cimes, ornent
Ma tête comme la couronne que j'ai laissé.
Je n'aimerais, ne souhaiterais, ne voudrais pourtant,
Que l'oublier pour ne pas souffrir autant.
Dans la tendre pénombre d'un soir mourant,
Je me couche, dans un lit vide, seul est glacé.
Les rayons de lune m'englobent en tombant,
Comme un manteau de pénombre oublié
Je ne voudrais, ne pourrais, ne devrais pourtant
Que la laisser pour ne pas qu'elle souffre autant
Des matins et des nuits inplacables passent
Et mon choix, ma peine jamais ne s'efface
Dans ses multitudes de matins et de soirs passant
S'est sa main dans la mienne que je rêve, navrant.
Le temps efface, les peines et les douleurs, il paraît.
Implacable maître, ton œuvre vite assouvir tu devrais.
Que mon choix, rapidement, je ne regrette,
Car c'est son bonheur, seul, que je souhaite.
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