 Le Faux Rhum
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Big |
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Posté le 06/11/2018 à 00:03:43
*Bouge pas poupoule je r’vient !!*
c’est ce que Big avait répondu à son bras droit, alors que du port de la Barbade (où il coulait ses vieux rhumes au jour le jour) il regardait vers Liberty.
Deux jours plus tard, la frêle esquif avait accosté et Big qui avait sentit la rumeur enfler enfonçait de nouveau ses santiagues dans le sable blond de la petite plage en face de chez jacot.
il avait eux vent de la terrible épreuve que Liberty avait subit avec la révolution et avait su que de nombreux pariât en résultait...et le pariât c’est son credo à Big ça fait une main d’œuvre facile à exploiter tant l’or manque au camps, et en plus généralement ses gars là sont des durs à cuire prêt à toute les pires horreurs.
les affaires allait pouvoir reprendre, d’un pas décidé Big s’installât a sont cartier général, il pensait faire grande impression sur l’assemblée en entrant dans la salle.
_Sert moi à boire Jacob ! Je r’prend les affaires !
si non comment vas ta hanche ?
_ elle vas comme ton coude ! |
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Big |
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Posté le 14/11/2018 à 10:05:00. Dernière édition le 14/11/2018 à 10:12:53
*Big était au travail, comprenez qu’il stationnait au comptoir du bar de jacot en sirotant une mirabelle, lorsque que tout à coup ! Une mouche au vol sinueux t’elle un habitué qui quitte le bar pour aller pisser sur la plage, se posait sur le comptoir.*
»PAFF !! Et encore un mort sur le tableau de chasse du vieux Big !! Héhéhé .
*Big s’essuyait la main dans sa barbe quand le grand couillon entra en beuglant*
Des parias on pillés esperanza ! Paraît que ce sont les 4 lunes.
*Big pris alors une bouteille derrière le bar, puis une deuxième pour la route, finit son verre cul sec, et se dirigea vers la sortie, il se sentait léger comme une ..mouche.
Il pensais : v’la mes p’tis gars.
Equilibré d’une bouteille au bout de chaques bras t’elle un funambule, Big se dirigeait vers le campement pour proposer ses services en négociation de contrat mercenaire aux lunards.* |
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Big |
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Posté le 02/12/2018 à 15:23:38. Dernière édition le 02/12/2018 à 21:13:12
- Et Jacquot ? Ça te dérange pas si je mets ça la ?
- Qu'est ce que tu mijote encore, Big ? Tu voie pas que les corsaires ne veulent plus de ça !
- Mouarf, tu te trompes, l'ami. Tu vas voir que ça va marcher !
- Boah, moi, tu sais ... tant que tu paies le loyer...
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Big |
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Posté le 05/02/2019 à 01:45:03. Dernière édition le 29/09/2020 à 13:58:31
Les affaires vont plutôt bien dans le bouge, mais c’est les pillages ..ça reporterais pas une carottes à un aveugle.
heureusement le contrat anglais c’est bien passé, et ils en sortirais presque blanchis les red neck .
Mais d’mon avis il vont prendre une tropicale dans le quart sud ouest.
m’enfin je te dit ça mon jacot... maintenant commence l’assomoir et je suis sur que j’arriverai bien à vendre des gros bras pour protéger ou faire le boulot.
Maintenant tout le monde sais que c’est chez big que l’on peut trouver les meilleurs mercenaires. |
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Big |
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Posté le 29/09/2020 à 15:26:36. Dernière édition le 29/09/2020 à 18:00:52
-" Encore une tit' goutte, just une tit' goutte, dernière tit' goutte."
Accosté face à la crique pirates, le sloop brandissait fièrement son mat et ses cordages. Voilà plusieurs jours que le navire était gréé et affrété. Il n'attendait plus que son passager et sa cargaison. Un coffre dont le contenu n'avait que peu de secret.
- Voilà deux ans, que je suis revenu, deux ans que les 4 lunes m'ont fait confiance et donné les clés de la guilde (Hips !) !
Encore affalé à sa table, qui n'était en sa possession seulement parce qu'il y avait l'habitude de s'y installer, Big avait du mal à quitter ce bon vieux rade. Était-ce parce qu'il appréciait les lieux, le tripot, les ours sodomites, la compagnie de Jacquot ou les plus jolies des Libertiennes qui y venait souvent ? Ou peut-être simplement parce que son départ avait été reculé de plusieurs jours et qu'en attendant il n'avait rien d'autre à faire que d’écumer les fonds de bouteilles que Jacquot avait gardé dans ses stocks ?
- Ahaha ! En 2 ans, les contrats n'ont jamais été aussi lucratif. Même après leur révolution foirée, tous les gouvernements nous ont embauché !
- Les Français, les Hollandais, les Anglais et même les Espagnols ! Manquait plus que la confrérie ... mais ça (Roooooteee), c'est une autre paire de manche.
Jacquot fronça un sourcil.
- Biiiig, tu devrais p’t’être y aller maintenant, avant de dire des conneries.
Big se leve et frappa le cul de la bouteille qu'il avait en main sur le comptoir !
- Quoi, qu'est ce tu veux qu'je dise ? Y a plus rien à dire !
- Les 4 lunes raccrochent, ils ont eu une illumination. Voilà qu'ils veulent rentrer à nouveau dans le rang, bosser pour leur colonie. Quelle bande de ...
- Biiiiiiggggg !
- Ouais ta raison Jacquot, je devrais pas cracher sur eux. Ils m’ont quand même rapporté un bon petit pactole ! Je vais pouvoir me mettre au vert pendant un petit bout de temps !
Jacquot leva les yeux au ciel et jeta un regard circulaire sur les mines patibulaires présent au bar de la plage qui semblaient s’intéresser de plus en plus au discours du vieux barbu, avant de lui souffler:
- Voilà ce que je ne voulais pas que tu dises, vielle serpillière. Entre le bar et le quai tu as milles fois le temps de te faire détrousser.
- Ahahah, tu crois ça ? Qu'ils y viennent et j'aurais l'occasion de faire tâter d'mon sabre une dernière fois avant de quitter c’t ‘îlot !
Big vida le fond de bouteille d'un trait avant de la lever fièrement.
- Voilà ce qu'il reste du mouvement des 4 Lunes, voilà ce qui reste du mercenariat: du viiiide !!!
Big posa non sans délicatesse la bouteille sur le comptoir. Puis rassembla ses affaires et se dirigea vers la porte.
Sa silhouette orné de sa chevelure brillante formait un tableau dans le chambranle de la porte.
Il rajouta pour le rade ou pour lui-même.
- C'est ça les 4 lunes ... toujours en mouvement ! Restez sur vos gardes moussaillons, un jour le vieux Big sera de retour et ce jour-là, il y aura encore de l'or pour les mercenaires ! |
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